Publié le 26 Avril 2013

coprolamoree.jpgLe 93 cumule 22 plans de sauvegarde pour les copropriétés endettées. Le sénateur PS, Claude Dilain, va rendre un rapport à la ministre du logement dans lequel il préconise une intervention plus rapide des pouvoirs publics.

Appartements insalubres au Chêne Pointu à Clichy-sous-Bois, chauffage défaillant aux Bruyères à Bondy, squat et incendie tragique dans un immeuble d’Aubervilliers... On vit de plus en plus mal dans les copropriétés privées de Seine-Saint-Denis et d’ailleurs. Barres de dix étages ou petits immeubles de quelques appartements, elles sont, selon l’expression du sénateur socialiste Claude Dilain, une « bombe à retardement ». L’élu s’apprête à transmettre un rapport à la ministre du Logement, Cécile Duflot, pour faciliter l’intervention en urgence des pouvoirs publics dans les résidences les plus en danger. « Aujourd’hui, il est difficile d’intervenir, la propriété privée est sacrée en France », indique l’élu, ancien maire de Clichy et fin connaisseur de la situation au Chêne Pointu.

Sévérité accrue envers les investisseurs véreux

Le ministre de la Ville, François Lamy, semble aussi conscient de l’urgence, puisqu’il a annoncé un plan englobant les résidences privées présentant des « dysfonctionnements », à partir de 2014. En 2012, les tribunaux de France ont été saisis plus de 700 fois pour qu’une copropriété soit placée sous administration provisoire. La mesure est prise lorsque les propriétaires n’arrivent plus à entretenir l’immeuble ou à payer leurs charges.

Autrefois promises aux classes moyennes, ces résidences ont vu leurs habitants s’appauvrir. « La crise met les ménages dans l’impossibilité de payer leur crédit auprès de la banque, et leurs charges, souligne Claude Dilain. C’est le début du cercle vicieux ». Les dettes ne permettent plus d’entretenir ces ensembles, qui vieillissent mal : « Ils ont souvent été construits dans les années 1950-1960, à une époque où on ne se préoccupait pas d’isolation et d’économies d’énergie », note Philippe Blériot, administrateur judiciaire de plusieurs résidences du 93.

En Seine-Saint-Denis, sur 230000 logements collectifs privés, 10000 font l’objet d’un diagnostic ou d’une intervention publique. Et le 93 compte 22 plans de sauvegarde, qui permettent à une copropriété de bénéficier de fonds publics pour effectuer des travaux d’urgence et améliorer son fonctionnement. Parfois ça marche. La résidence de la Morée, à Aulnay, a ainsi épongé sa dette (2 M € d’impayés en 2004), et entame des travaux de réhabilitation. Mais il y a aussi des échecs. Claude Dilain plaide pour la création d’un « cadre juridique permettant de prendre des mesures exceptionnelles ». Cela permettrait d’être plus sévère à l’égard des investisseurs peu scrupuleux, alléchés par les prix des appartements. « Par exemple, au Chêne Pointu, un copropriétaire bailleur peut détenir 12 lots et devoir de l’argent à la copropriété sur ses 12 lots. Rien ne lui interdit aujourd’hui d’acheter d’autres appartements au sein de cette résidence. Il faudrait instaurer un droit de veto, sous l’autorité d’un juge, pour bloquer ces achats ».

Source : Le Parisien Photo : aulnay-sous-bois.fr

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Publié dans #Logement

Publié le 26 Avril 2013

En moins d’une heure, hier, matin, deux hommes sont passés retirer un kit au distribox. Pas besoin de signer quoi que ce soit, un jeton suffit -ou une seringue usagée- pour retirer un kit de deux seringues stériles avec compresse, qui servent le plus souvent à injecter de la cocaïne, de l’héroïne voire de la méthadone. Le premier est un « consommateur occasionnel », l’autre passe pour un ami. Ils échangent quelques mots avec l’équipe de First qui gère ce Caarud, l’un des quatre centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogue que compte la Seine-Saint-Denis.

distribox.jpg 

On est ici à l’entrée de l’hôpital Ballanger, sur le territoire d’Aulnay et de Villepinte. A un passage piéton des Beaudottes à Sevran et quelques mètres du Gros-Saule. Après que des enfants ont trouvé à trois reprises des seringues _ trois se sont piqués le 16 avril_, le maire Stéphane Gatignon a déposé plainte pour mise en danger de la vie d’autrui, saisi Marisol Touraine ministre de la Santé et réclamé la suspension de cette distribution de seringues dont 350 au moins seraient ramassées chaque mois dans les rues.

Mais la mise hors services des distribox n’est pas à l’ordre du jour pour les autorités sanitaires. L’Agence régionale de santé précise que la machine de First à Ballanger a distribué en 2011 près de 20000 seringues (soit un tiers environ des seringues distribuées par automates sur le département) et plus de 350000 sur Paris. Abdel 47 ans, dont 30 de toxicomanie, en veut à ceux qui jettent leur seringue n’importe où, à Sevran, comme dans l’enceinte de Ballanger. « A force ça risque de provoquer des clashs avec les antitox, la chasse et le savatage », dit cet homme qui a trouvé un appui chez First, avec qui il travaille. Il se souvient qu’à Tremblay, il y a quatre ans, un distributeur a été arraché, signe que les toxicomanes sont mal perçus. « Ici au moins, on est considéré comme des êtres humains », ajoute Hakim, la quarantaine, qui a « arrêté l’héroïne après la perte d’un ami, mort par overdose ». Mais il repasse au Caarud, souvent, parce qu’il s’y sent bien.

Après la découverte d’un usager, la seringue dans le bras, couché dehors, entre deux murs, au milieu des excréments, Jean-Louis Bara, président de First avait souhaité humaniser un peu l’extérieur, en installant deux chaises et un auvent, au moins. Mais l’ARS a jugé le site illégal, et réclamé sa suppression express. Cela fait suite à une inspection réalisée l’an dernier, qui listait une cinquantaine d’injonctions à réaliser par First sur un court et moyen terme. Le rapport final est en cours d’élaboration. « C’est la disponibilité de drogue qui amène les drogués plutôt que la distribution de seringues », pense Bernard Kirschen, représentant de l’Agence régionale de santé (ARS) en Seine-Saint-Denis. Aux Beaudottes, comme au Gros-Saule, les usagers connaissent une demi-douzaine d’adresses où il est encore possible de se fournir, malgré la présence policière accentuée.

Source : Le Parisien

 

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Publié dans #Santé

Publié le 26 Avril 2013

poleemploi105 090 demandeurs d’emploi de catégorie A (qui n’ont pas du tout travaillé) étaient inscrits à Pôle emploi fin mars 2013 en Seine-Saint-Denis. Le chômage connait une forte poussée dans le département puisque ce nombre de demandeurs est en augmentation de 1,7 % par rapport à février, contre 1,4 % pour l’ensemble de l’Ile-de-France. Sur un an, la progression est de + 11,8 %. Toutes catégories confondues (catégories A, B et C), la hausse des demandeurs d’emploi sur un mois est un peu plus modérée : elle s’établit à 0,8 % avec 138 730 inscrits. Source : Le Parisien

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Publié dans #Emploi

Publié le 26 Avril 2013

Region_Ile-de-France_-logo_de_plaque_d-immatriculation-.s.pngDouze millions de Franciliens, cela vaut bien une mise en musique pour aboutir à un développement harmonieux. La partition s’appelle Schéma directeur d’aménagement de la région d’Ile-de-France (SDRIF). L’enquête publique concernant la révision de ce document, surnommé également Ile-de-France 2030, devrait finalement s’achever le 14 mai et non le 30 avril comme prévu. On  peut donc consulter et essayer d’amender ce gros dossier qui fixe l’aménagement du territoire (habitat, emploi, équipements, services, transports) dans tous les départements. Les lieux de consultation sur le site : www.enquetespubliques.iledefrance.fr

Source : Le Parisien 

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Publié dans #Urbanisme

Publié le 26 Avril 2013

C’est un concert de R’n’b Jamaïquain que propose le Cap ce soir, avec le groupe Jim Murple Memorial. L’orchestre de musiques caribéennes est né en 1996. Ses sept membres sont devenus une référence dans le milieu ska, reggae et rocksteaddy. Ils interpréteront, entre autres leur dernier album « Take your flight ». Ce soir 20h30 au Cap 56 rue Auguste Renoir à Aulnay-sous-Bois. Tarifs de 5 à 10 euros. Tél : 01 48 66 94 60.

Source : Le Parisien


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Publié dans #Culture

Publié le 25 Avril 2013

seringuesBOBIGNY - L'Agence régionale de santé (ARS) a fait valoir aujourd'hui qu'il n'y avait pas de distribution spécifique et massive de seringues stériles à des toxicomanes à Aulnay-sous-Bois, alors que le maire de la commune limitrophe de Sevran a dénoncé une prolifération et appelé à suspendre cette distribution.

En 2012, 13.282 kits (soit environ 26.000 seringues) ont été distribués par l'association First, installée dans l'enceinte de l'hôpital Robert-Ballanger d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Ce chiffre a fortement augmenté ces derniers temps, passant à 3.000 seringues par mois en février et mars.

Il n'y a pas de politique particulière pour en distribuer plus qu'ailleurs, a assuré Bernard Kirschen, délégué territorial de l'Agence régionale de santé (ARS) en Seine-Saint-Denis, contacté par l'AFP.

Il s'agit de niveaux très inférieurs à ce qu'on peut avoir à Paris intra-muros où plus de 350.000 seringues ont été distribuées en 2011, a-t-il souligné.

M. Kirschen a par ailleurs relevé que comme l'association First, financée à 100% par l'ARS, trois autres Centres d'accueil et d'accompagnement à la réduction de risques pour usagers de drogues (CAARUD) existent en Seine-Saint-Denis, à Montreuil, Bondy et Saint-Denis.

Ces associations reçoivent des toxicomanes, organisent des maraudes, avec pour mission de les aider sur des questions sociales, d'hébergement ou d'hygiène. L'une de leurs attributions réglementaires est de distribuer des seringues stériles, selon M. Kirschen.

Le maire EELV de Sevran, Stéphane Gatignon, a appelé mercredi la ministre de la Santé Marisol Touraine à décréter une suspension provisoire de la distribution des seringues à Aulnay-sous-Bois, à deux pas du quartier des Beaudottes qui a connu plusieurs incidents depuis la mi-avril.

Le 16 avril, trois enfants s'étaient piqués avec une seringue à insuline dans une cour d'école. Mardi soir, un toxicomane s'est piqué devant des enfants à la sortie d'une autre école primaire du quartier des Beaudottes, gangrené par un trafic de drogue qui lui a valu son classement en zone de sécurité prioritaire (ZSP).

Ce quartier attire des toxicomanes de toute la région parisienne qui, selon M. Gatignon, arrivent en RER pour s'acheter de la drogue puis rejoignent en dix minutes à pied les locaux de l'association First, à Aulnay, où un distributeur de seringues est en libre-service.

Au total, quinze de ces distributeurs sont installés en Seine-Saint-Denis, a indiqué M. Kirschen, qui rappelle que la politique de prévention date des années 80, marquées par une terrifiante mortalité des toxicomanes, dues notamment au sida.

Source : AFP / 25 avril 2013 12h37

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé

Publié le 25 Avril 2013

Le 9 avril, un RER B a dû s’arrêter : cinq de ses huit moteurs étaient en panne.

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Les accidents de parcours, qui obligent les voyageurs à descendre des RER B, pourraient-ils être évités? C’est ce que pense un conducteur de la ligne, Laurent Gallois, responsable à l’Unsa-Ratp, qui accuse l’opérateur de faire rouler des trains avec une partie de ses moteurs hors service, au risque de tomber en panne en cours de route, parfois entre deux stations.

À cause de la neige

Les RER sont équipés de quatre ou huit moteurs, selon qu’ils sont courts ou longs, en heure de pointe. « Le 9 avril, un train a pris le départ en gare de Massy avec 3 moteurs hors service sur 8, rapporte Laurent Gallois. Ce train a dû s’arrêter en garde Laplace, à cause d’un effort de traction diminué : il avait 5 moteurs HS! Que se serait-il passé si cela avait été dans le tronçon central et que les passagers descendent sur la voie ? » Ce jour-là, les usagers en ont été quittes pour 21 minutes de retard.

Voilà six mois que le syndicaliste dénonce cette situation, tant auprès de la direction de la RATP, que du ministère des Transports, comme en témoigne un courrier daté de septembre 2012. « Ça n’est pas systématique mais c’est de plus en plus fréquent, confirme un autre conducteur de RER. Sur le plat, ça va, mais entre Luxembourg et Châtelet, ça peut être très problématique car ça descend puis ça monte. En tant que conducteur, on sait gérer mais avec 2000 personnes en heure de pointe dans le train et des portes qui peuvent s’ouvrir, c’est forcément stressant. » Un autre évoque des trains qui terminent leur course à 2 km/h, faute de traction suffisante. Il reste aussi la solution de la « demande de secours » : se faire pousser par le train qui suit.

Si la RATP convient que le train cité plus haut avait bien cinq moteurs hors service, elle dément que le train soit parti avec trois moteurs hors service. « Aucun train ne démarre avec plus de deux moteurs HS, soit 12% de moteurs en moins, on ne joue pas avec la sécurité des passagers, les trois pannes sont intervenues ensuite », assure l’opérateur. Selon la RATP, chargées de l’entretien des RER, ces moteurs auraient été endommagés par les épisodes neigeux de cet hiver. La RATP sera peut-être contrainte de changer les moteurs prochainement. La rénovation des trains de la ligne B, dite « commerciale » n’a pour l’heure pas concerné les moteurs mais seulement la partie haute des trains. Les moteurs, eux, ont une durée de vie de quarante ans environ. Mis en circulation au début des années 1980, ils ont aujourd’hui une trentaine d’années.

Source : Le Parisien

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 25 Avril 2013

 

Chanteloup_04_image_largeur460.jpgLes habitants du secteur Chanteloup semblent confrontés à des problèmes grandissants de squat sur l’espace public ainsi que dans les parties communes d’immeubles et du trafic de stupéfiants à différents endroits du quartier. Ainsi, le sentiment d’insécurité croît parmi les locataires compte-tenu des nuisances permanentes. Les riverains constatent un trafic organisé de bandes investissant les halls d’immeubles, notamment en soirée provoquant de multiples troubles pour les locataires qui sont menacés s’ils interviennent.

La police municipale ainsi que la police nationale ont été sollicitées à des multiples reprises. Seule la police nationale est habilitée à intervenir dans les parties communes des bâtiments. Cependant, jusqu’à présent, les agents de cette dernière interviennent mais n’entrent pas dans les halls expliquant qu’ils ne détiendraient pas de  «badges » d’accès fournis par les bailleurs. Les habitants expliquent que sur les immeubles OPH, il est possible de surveiller les entrées du fait de grandes baies vitrées et de fenêtres mais aussi de sorties de secours et de coursives permettant la fuite lors d’intervention de la police.

Sur certains immeubles, les digicodes ne fonctionnent plus. Certaines portes d’entrée sont vrillées et n’ont jamais été réparées, aussi l’accès à certains bâtiments reste permanent. Certains placards électriques sont constamment fracturés. Ils servent de « planque » ou sont utilisés pour des raccordements sauvages. Certains locataires ont rencontré le bailleur OPH, suite à des problèmes de squat, mais cela n’a donné aucun effet. Les habitants souhaiteraient plus de suivi de la part des forces de l’ordre et qu’un projet de résidentialisation voit le jour afin de sécuriser au mieux les lieux.

Source : compte-rendu du conseil de quartier Chanteloup / Pont de l’Union du 25 mars 2013

Image : http://www.oph-aulnay.org

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 25 Avril 2013

BATTLE-INTERNATIONAL-VNR-2011-c-Homardpayette.jpgPas de basses qui tremblent, de démonstrations de « pop-up » ou de break… Le battle VNR aurait dû souffler en juin ses 10 bougies au gymnase Pierre-Scohy d’Aulnay. Mais la compétition de hip-hop, née en 2003, n’aura pas lieu faute de sous. « On reviendra en 2014, encore plus forts », promet Pascal-Blaise Ondzie, prof de breakdance et artisan historique de l’événement, prisé du public, où s’affrontent des équipes de danseurs venues du monde entier. Jusqu’à l’an dernier, l’association VNR (Voies de la nouvelle rue) avait pu compter sur le soutien de la ville. En 2012, la municipalité avait déboursé une subvention de 30000 € et 20000 € de plus pour la logistique et la sécurité. Trois sponsors privés (dont Dalkia et Sita) ont aussi versé leur obole.

 Une autre ville intéressée

Mais rigueur oblige, la mairie a resserré les cordons de la bourse. Depuis 2012, les grandes manifestations doivent se contenter d’une subvention une année sur deux. C’était déjà le cas pour le salon Orchidée Passion. L’an dernier, le principe a été élargi à la Fête de l’arbre et au festival latino-andalou de l’association Aldea (qui a maintenu l’événement). « On n’interdit pas aux associations de les organiser tous les ans mais le financement sera biennal. Les demandes étaient de plus en plus énormes, il fallait faire des choix », explique le cabinet du maire PS, Gérard Ségura.

« Si on l’avait su dès septembre, on aurait pu trouver l’argent », regrette Pascal-Blaise Ondzie. La ville affirme au contraire que VNR avait été prévenue dès juin 2012. Ces dernières semaines, le ton est monté entre la municipalité et l’association, qui revendique 600 adhérents et 350 élèves danseurs. Une entrevue avec le maire semble avoir apaisé les esprits. « On a obtenu un écrit que l’on peut faire valoir auprès de nos adhérents et partenaires. C’est important de ne pas perdre leur confiance », explique Blaise-Pascal, désireux d’éviter que l’affaire ne soit « récupérée par la droite ».

L’opposition UMP a fustigé le « mépris » de la municipalité envers un événement « de dimension internationale ». « On risque de le perdre au profit d’une autre ville », déplore le conseiller UMP Franck Cannarozzo. C’est une option envisagée, reconnaît Pascal-Blase Ondzie. D’autant qu’une ville voisine aurait déjà fait une offre…

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 25 Avril 2013

 

Aulnay-sous-Bois, le 24 avril 2013

COMMUNIQUE DU MAIRE

« Le réemploi de tous les salariés de PSA

est le préalable obligatoire à une fermeture avant 2014 »

gerardsegura« Par une dépêche de l’AFP, datée d’aujourd’hui, j’apprends que la direction de PSA envisage sérieusement la possibilité de fermer le site d’Aulnay-sous-Bois de façon anticipée en arguant des perturbations liées au mouvement de grève d’une partie du personnel de l’usine.

J’ai déjà eu l’occasion de mettre en garde les responsables du constructeur automobile contre toute tentation d’user du prétexte de la grève comme un moyen de hâter les échéances. Ce serait là un symbole désastreux à l’heure où le dialogue social doit prévaloir sur toute autre considération. Je crains qu’une telle décision, si elle devait se confirmer, ne réveille les vieux soupçons sur le caractère longuement prémédité de la fermeture de l’usine d’Aulnay-sous-Bois.

Conformément aux engagements solennels pris par M. Varin, aucun personnel de PSA ne doit pointer au Pôle Emploi. Les éléments chiffrés, dont je dispose, montrent que nous sommes encore loin du compte en matière de réemploi des salariés du site d’Aulnay. Or, cette condition reste un préalable incontournable à l’éventualité de la fermeture de l’usine avant la date initialement fixée à 2014. »

Gérard Ségura,

Maire d’Aulnay-sous-Bois,

Vice-Président du Conseil général

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Communiqués

Publié le 25 Avril 2013

Militants et élus du PC organisent ce soir leur troisième atelier débat autour de l’école. Pointant une « situation désastreuse héritée de la droite », les communistes s’interrogent : « Quelle ambition pour l’école ? Quelles attentes des familles ? Quel rythme scolaire ? Pour les enseignants, quelle formation et quelle reconnaissance ? »

Ce soir à 19 heures au 25, rue Jacques Duclos. Entrée libre.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 24 Avril 2013

 

Ce lundi 22 mars au soir se déroulait à la mairie d’Aulnay-sous-Bois une réunion publique de restitution de la concertation effectuée auprès de la population autour du nouveau plan de circulation prévu dans le sud de la ville. La phase de consultation des riverains menée sur les chapeaux de roues au mois de mars a permis de faire émerger trois thématiques principales à savoir les axes structurants sur la commune, les modes de déplacements alternatifs à la voiture (le vélo, la marche, les transports en commun) et le co-voiturage. L’adjoint au maire en charge de la démocratie locale, Miguel Hernandez, a tenu à rappeler que la discussion ne s’arrêterait pas là. Une parole sage lorsque l’on sait que sur les 22 000 habitants situés dans le secteur concerné seuls 85 ont participé aux différents ateliers. Nous vous proposons de revivre cet événement en vidéo à travers diverses interventions. Nous débutons avec la présentation générale du cadre de cette co-élaboration. 

 


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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Transports

Publié le 24 Avril 2013

ump-logo-1.jpgVous trouverez ci-dessous un article paru ce matin dans le journal Le Parisien qui traite du meeting du leader de l’UMP Jean-François Copé prévu ce soir au Raincy. Il s’agira pour cette famille politique de recoller les morceaux après l’affrontement Copé-Fillon dans l’optique de préparer au mieux les municipales de 2014, notamment en Seine-Saint-Denis.  La droite espère ainsi pouvoir reconquérir au moins quatre villes dans ce département :  Aulnay-sous-Bois, Le Blanc-Mesnil, Livry-Gargan et Villepinte. Pour ce faire un accord entre l’UMP et l’UDI, menée par Jean-Louis Borloo, parait indispensable dès le premier tour.  

La hache de guerre entre fillonistes et copéistes est-elle définitivement enterrée en Seine-Saint-Denis? C’est en tout cas le message que Jean-François Copé, président de l’UMP, veut porter ce soir en participant à un meeting au Raincy*. Pour y parvenir, toute la famille UMP sera présente. Philippe Dallier, sénateur-maire des Pavillons-sous-Bois et principal soutien de Fillon dans le département, interviendra même à la tribune. Avec un objectif affiché : les municipales de 2014. Et un chef désigné : Eric Raoult, toujours président de la fédération UMP après une année 2012 très difficile : perte de son siège de député, problèmes de santé et ennuis judiciaires pour lequels il a obtenu un non-lieu en février.

L’objectif de la soirée est bel et bien de remettre les compteurs à zéro. « Nous avons l’occasion de montrer à tous les militants que nous sommes unis pour nous lancer à l’assaut des municipales », assure Philippe Dallier. « Une page est tournée, confirme le copéiste Bruno Bechizza, conseiller régional. On se met en ordre de bataille ».

Quatre villes en ligne de mire

Les tractations vont déjà bon train pour désigner les candidats dans chaque ville. Et, même si ce n’est pas annoncé officiellement, bon nombre d’élus soulignent qu’un accord UMP/UDI dès le premier tour sera indispensable. « On n’est pas assez puissant dans ce département pour prendre le risque de présenter plusieurs listes à droite car c’est la porte ouverte au Front national », reconnaît Eric Raoult. Avant l’été, le nom des têtes de liste devrait donc être connu. La commission départementale décidera pour les villes de moins de 30000 habitants. Pour les autres communes, le choix revient aux instances nationales. L’UMP estime que l’alternance est possible dans au moins quatre d’entre elles : Aulnay, Le Blanc-Mesnil, Livry-Gargan et Villepinte.

Du côté de l’UDI, le député-maire de Drancy Jean-Christophe Lagarde ne cache pas une certaine impatience. « Il devient urgent de discuter car certains candidats sont déjà en campagne, explique l’élu. Or dans la plupart des villes, nous avons intérêt à présenter des listes communes ».

On le voit, à onze mois des municipales pas question de laisser s’exprimer les ambitions des uns et des autres quant à la volonté de prendre la tête de la fédération départementale. Le sénateur UMP estime que « la question ne se pose pas » et l’actuel occupant du poste, Eric Raoult, attend de voir les résultats des municipales. Maire de Neuilly-Plaisance et ennemi historique d’Eric Raoult, Christian Demuynck résume l’enjeu. « Pour le moment le président, c’est Eric Raoult avec qui je ne suis pas ami. Mais quels que soient les défauts et les qualités des uns et des autres, la première chose à faire est d’arrêter les divisions. Nous avons besoin d’une UMP ressoudée ».

* Ce soir à 20h30 au centre culturel Thierry Le Luron, 9, bd du Midi

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 24 Avril 2013

PSARECUPLa grève qui paralyse le site PSA Peugeot Citroën d'Aulnay-sous-Bois, en région parisienne, "pourrait nous obliger" à le fermer dès cette année, a indiqué mercredi le directeur financier du constructeur automobile français, Jean-Baptiste de Chatillon. A la question de savoir si PSA pourrait fermer l'usine d'Aulnay dès cette année et non en 2014 comme prévu, M. de Chatillon a expliqué que "le fait qu'un petit nombre de personnes continue à perturber notre usine pourrait nous y obliger", lors d'une conférence d'analystes. "Je ne peux pas vous dire aujourd'hui quand cela se produirait mais ceci ne poserait pas de problème" car PSA est en train de faire basculer la production de la Citroën C3, faite à Aulnay, sur le site voisin de Poissy, dans les Yvelines, a-t-il ajouté.

Dans le cadre d'un vaste plan de restructuration en France qui touche plus de 11.200 personnes en France, le numéro un automobile français a prévu de fermer Aulnay, qui emploie moins de 3.000 salariés à l'heure actuelle. "C'est le chantage habituel des patrons", a réagi Philippe Julien, secrétaire général de la CGT du site, moteur de la grève qui paralyse l'usine depuis plus de trois mois. La perte de production a été évaluée à plus de 14.000 voitures par la direction. "C'était ce qu'ils avaient prévu de faire, de toutes façons. Quand ils parlaient d'une fermeture en 2014, c'était en fait en janvier 2014", a-t-il affirmé, rappelant que la phase de départs volontaires courait jusqu'en décembre 2013. "Maintenant ils vont coller ça sur le dos des grévistes (...) ils se servent de ce prétexte parce qu'ils sont en échec complet devant la détermination des grévistes", a ajouté M. Julien.

"C'est ce qu'on obtient quand on arrête de produire. Une fois que tu ne fabriques plus, tu ne les intéresses plus", a pour sa part jugé Tanja Sussest, déléguée du SIA, syndicat majoritaire à Aulnay-sous-Bois. "On a l'impression que la CGT leur rend service, qu'ils sont de mèche!", a-t-elle fustigé, jugeant l'annonce d'une éventuelle fermeture anticipée "scandaleuse". "Il est hors de question d'écourter les délais donnés dans le cadre du PSE et des négociations sur les mesures d'accompagnement" des salariés, a-t-elle mis en garde. Le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) doit être entériné lors d'un comité central d'entreprise le 29 avril. "Si la direction perd de l'argent, ce n'est pas mon problème!", a encore dit Mme Sussest.

PSA Peugeot Citroën a par ailleurs publié mercredi un chiffre d'affaires en baisse de 6,5% à 13,0 milliards d'euros au premier trimestre et a réaffirmé que la dégradation plus forte que prévu du marché automobile européen allait l'amener à engager des négociations sur la compétitivité. Le chiffre d'affaires de sa branche automobile, la plus importante, a chuté de 10,3% à 8,7 milliards d'euros sur ces trois mois, à cause de la dégringolade du marché européen où il réalise encore 57% de ses ventes et de "la pression maintenue sur les prix", selon un communiqué de l'entreprise. La progression des ventes du groupe en Chine et en Amérique latine n'a donc pas suffi à compenser son recul en Europe, où sa part de marché est tombée à 12,3% contre 12,9% au premier trimestre 2012.

Et PSA souligne sa crainte que le marché européen puisse "être plus difficile qu'attendu" en 2014, ce qui pourrait l'amener à "de nouvelles mesures opérationnelles", sous la forme d'un accord de compétitivité sur ses sites en France, suivant ainsi l'exemple de Renault. "Les mesures opérationnelles que nous sommes en train d'étudier, c'est le lancement de négociations (...) sur la compétitivité du groupe", a expliqué son directeur financier Jean-Baptiste de Chatillon lors d'un point presse. "Nous discuterons avec les partenaires sociaux à partir du deuxième trimestre." Il n'a pas voulu entrer dans le détail du contenu des futures négociations mais a reconnu que les questions du temps de travail, des congés et des augmentations de salaires, "c'est effectivement tout ce qui peut couvrir un accord de compétitivité".

A la question de savoir si les négociations sur la compétitivité pourraient déboucher sur de nouvelles suppressions d'emplois, M. de Chatillon a assuré que "ce n'est pas l'objet de ces discussions". Le constructeur, qui tient son assemblée générale des actionnaires ce mercredi, pourrait aussi être amené à retarder certaines dépenses d'investissement et il compte encore vendre des biens immobiliers pour 200 millions d'euros cette année.

Source : AFP

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Publié dans #Emploi

Publié le 24 Avril 2013

Ils n’ont pas obtenu le gardien tant espéré, mais la promesse d’une veille renforcée par du personnel « volant » pendant une période test de quatre semaines, le changement des clés pour fermer les grilles et le réhaussement des clôtures aussi rapidement que possible. « Et je me fous des devis, je n’en ai rien à cirer de la réglementation, lance le maire Gérard Ségura (PS) à son directeur des services techniques. Il y a une situation très urgente. » Ses engagements — insuffisants pour certains — ont toutefois fait lever le blocus engagé hier matin par les parents d’élèves de l’école élémentaire Louis-Aragon, au Gros-Saule, qui redoutent que l’école ne soit plus un sanctuaire pour leurs enfants.

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Il a du mal à les convaincre

La trouvaille d’une seringue non loin de là, à l’école Zola, aux Beaudottes, mardi dernier, a fait monter l’inquiétude d’un cran, à Louis-Aragon. Là, des fioles de méthadone ont été ramassées par des enfants, dans la cour, le 6 décembre. « Elles étaient vides et aucun enfant n’a été intoxiqué », confirmait hier la préfecture. Les parents disent aussi qu’un couteau a été trouvé, et des objets qui n’ont rien à faire dans une cour.

« Ici, c’est le seul endroit où les enfants peuvent crier, courir, le seul lieu où on les pensait en sécurité », dit Virginie, maman de deux garçons de 5 et 8 ans qu’elle ne laisse jamais sortir seuls. Même pour acheter le pain tant le trafic et les bagarres sont courants. Ces mêmes parents ne tarissent pas d’éloge pour « ces instits qui se battent pour » leurs enfants. L’heure est si grave que certains, comme Karima, assistante de direction, qui est aussi passée par cette école, a posé sa journée pour participer au blocus.

Mourad propose de démissionner pour remplacer la gardienne partie à la retraite en septembre et jamais remplacée. « Un gardien ne règlera pas tout », pense le maire qui a du mal à convaincre l’assemblée. Il compte sur la mobilisation des parents, pour obtenir la reconstruction du commissariat, à 300 m du quartier, plus près des points durs de trafic, qui s’est, dit-il, « renforcé avec la pression policière » exercée sur le trafic à Sevran.

Source : Le Parisien

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 24 Avril 2013

article_navigo.jpgLe conseil d’administration du Syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif) doit se pencher lors de sa prochaine réunion sur le dézonage pendant la période estivale. En attendant le passage, deux fois retardé, à la tarification unique, le Stif avance donc par étapes, après avoir mis en place en septembre le dézonage les week-ends et les jours fériés. Ce dézonage pourrait s’appliquer du 15 juillet au 15 août pour tous les possesseurs d’un forfait Navigo, Solidarité Transport mensuel et Améthyste. Cette mesure coûterait 4 millions d’euros.

Source : Le Parisien 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 24 Avril 2013

rose_et_violet_7.jpgL’Espace Jacques Prévert d’Aulnay-sous-Bois propose aujourd’hui à 14h30 un rendez-vous spécial autour de la projection de trois fables animées pour les enfants à partir de 6 ans. Voici ci-dessous le programme qui vous attend. Renseignements au 01 48 68 00 22.

ROSE ET VIOLETTE

France/GB/Canada, 2013, animation, 50 min

Un programme qui évoque sans complaisance la différence sous toutes ses formes et l’impérieuse nécessité de se ménager des parts de rêve dans un monde souvent hostile. Laissez-vous emporter par ces trois fables douces amères, aux univers inspirés tantôt de Brazil et des contes russes, peuplés de créatures bigarrées et attachantes, où les monstres véritables cachent parfois leur vrai visage...

- LA CHOSE PERDUE d’Andrew Ruhemann et Shaun Tan

Un garçon tombe sur une créature étrange sur la plage et décide de lui trouver un foyer dans un monde où les hommes considèrent qu’il y a des choses bien plus importantes.

- ALEKSAN DR de Louise Seynhaeve, Raphaëlle Ranson, Juliette

Klauser, Maxime Hibon, Remy Dereux

Aleksandr le tricoteur a oublié depuis longtemps la raison pour laquelle il vit suspendu au-dessus des nuages avec son village, qui survit au froid grâce à ses tricots. Jusqu’au jour où il tombe et doit

faire face à l’inconnu et à ce qui vit en dessous.

- ROSE ET VIOLET de Luc Otter et Claude Grosch

Le cirque Igor a recruté deux nouvelles acrobates : Rose et Violet, les soeurs siamoises ! Attachées par un bras commun, elles pirouettent et rebondissent sous les projecteurs. Elles sont promises à un grand succès, mais l’arrivée de l’homme le plus fort du monde au sein de la troupe d’artistes vient tout compliquer.

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 23 Avril 2013

OPHlogo.pngC’est ce qui s’appelle s’attaquer à un gros morceau… Dans un mois, le 22 mai, Cécile Duflot, la ministre du Logement, aura sur son bureau un rapport dont les propositions pourraient bousculer bien des habitudes parmi les maires. Rendre plus transparent, plus juste aussi, le traitement de la demande des logements sociaux… C’est la délicate mission qu’a confiée la ministre aux différents acteurs du monde HLM. En donnant, mi-janvier, le top départ à cette vaste concertation, Cécile Duflot n’a pas caché l’ampleur de la tâche : « Je n’ignore pas que la voie est étroite. » Car elle s’attaque à un maquis où règnent en maître les barons locaux qui ont la haute main sur les bailleurs sociaux. En ce sens, Cécile Duflot joue gros.

Rétablir une vraie priorité entre les dossiers

Un maquis ? Filière Dalo (Droit au logement opposable) gérée par les préfectures, circuit du 1% logement réservé aux entreprises, filières communales dépendant des maires, sans oublier celles réservés à certains fonctionnaires ou salariés d’établissements publics… A chacune son quota de logements. A chacune, aussi, ses critères de sélection. « Au fil du temps, l’architecture du système est devenue tellement complexe qu’on a perdu de vue le demandeur lui-même. Le préfet veut d’abord loger ses fonctionnaires, la commune favoriser ses habitants et l’entreprise trouver pour son salarié un logement le plus proche de son lieu de travail », résume un expert.

Comment rendre le système plus transparent et rétablir une vraie priorité entre les dossiers? Dans l’entourage de Cécile Duflot, on a quelques idées. Il y a d’abord le « scoring » (lire ci-dessous). Ensuite, les villes devront mettre en commun leurs quotas de logements. Or, « pour un maire, maîtriser le logement social, c’est maîtriser le type de population sur sa commune », souligne un proche du dossier. Cécile Duflot arrivera-t-elle à remporter la bataille des maires? Réponse en juin, lorsque les parlementaires s’empareront de sa loi urbanisme et logement.

Source : Le Parisien

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Logement

Publié le 23 Avril 2013

Le chantier de l’immeuble construit à l’angle de la rue Fernand Herbaut et de l’impasse des marronniers arrive désormais dans sa phase de finalisation. Aux dires de certains, les futurs 53 appartements qui se négocient aux alentours de 5 000 euros du mètre carré se vendent comme des petits pains. Dès 2009, pourtant, une association de défense du quartier avait tenté de négocier avec la municipalité en vue d’obtenir une réduction de la taille du bâtiment. Sans succès. D’où cette question qui pointe le bout de son nez maintenant que la construction est presque achevée : cet immeuble est-il un monument de béton comme le pensent les uns ou bien est-il correctement inséré dans l’existant comme le prétendent les autres ? A chacun de se faire une idée en regardant ci-dessous la vidéo tournée sur place hier soir…

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Urbanisme

Publié le 23 Avril 2013

opproprete.jpgLes services propreté, collecte, espaces verts, voirie, assainissement et Gestion Urbaine de Proximité concentrent leurs moyens et investissent plus particulièrement le quartier Mitry pour effectuer en une journée les missions d’entretien et de maintenance de l’Espace Public et se rapprocher des habitants. N’hésitez pas à les rejoindre au point informations pour vous renseigner et mieux les connaître. Pour cela rendez-vous le jeudi 25 avril devant le parking Netto.

Source : aulnay-sous-bois.fr

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 23 Avril 2013

aragon.jpgDes parents d’élèves ont prévu de faire le blocus de l’école Louis Aragon, dans le quartier du Gros Saule à Aulnay-sous-Bois. La panique aux Beaudottes – où des enfants se sont piqués avec une seringue souillée, dans la cour de récréation – a ravivé l’inquiétude au Gros Saule où des fioles qui auraient contenu de la méthadone, ont été récupérées par les enfants.

Les parents réclament l’affectation d’un gardien à l’école, pour éviter « les intrusions successives le week-end et pendant les vacances scolaires, la présence d’objets qui n’ont rien à faire dans une cour d’école, comme un couteau et des canettes de bière ». Ce blocus doit s’organiser au début des classes, ce matin.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 23 Avril 2013

unnamed.pngQu’il s’agisse de transcriptions (Sonate de Francis Poulenc), d’œuvres originales (Fantasia d’Heitor Villa-Lobos, Rock Me ! de Barry Cockroft) ou de révisions de partitions antérieures (Concertino de Satoshi Yagisawa), Jérôme Laran s’illustre aux saxophones soprano et alto avec le même bonheur dans ce répertoire aux charmes contrastés.

Ce soir 20h30. Conservatoire de musique d’Aulnay-sous-Bois 12 rue de Sevran. Entrée libre. Renseignements au 01 48 79 65 21.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 22 Avril 2013

Durant une semaine, le village de vacances de Stella Maris a accueilli une cinquantaine d’enfants de CM2 d’Aulnay sous Bois (Saine-Saint-Denis) pour une classe découverte un peu particulière.  Depuis maintenant deux ans, la mairie, les écoles et le CREA d’Aulnay travaillent en collaboration afin de mettre en place un spectacle qui sera joué dans un théâtre parisien en juin. Le CREA est une association dont le but principal est la culture pour tous. Toute personne, enfant ou adulte souhaitant entrer dans le monde artistique est la bienvenue.

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Afin de faciliter les relations sociales entre les divers quartiers de la ville, d’impliquer les enfants et les parents dans un projet artistique, le CREA a mis en place un projet inter-générations intitulé « Prête-moi ta plume ». Ce projet est encadré par des professionnels du milieu artistique qui travaillent avec les enseignants, les élèves et leurs parents depuis la rentrée scolaire dans le but de créer un spectacle. Tout ce petit monde a passé la semaine au centre de vacances Stella Maris pour mettre au point les costumes, travailler les jeux scéniques et les chants qui seront proposés lors du spectacle en juin. En plus du côté artistique, les enfants ont eu l’occasion de découvrir le littoral du nord de la France, son patrimoine et ses traditions. Ils ont été rejoints par un groupe d’une vingtaine de parents d’élèves pour le week-end, permettant ainsi à l’équipe de professionnels qui les encadre d’avancer dans la création scénique.

Tous sont ravis de leur séjour à Stella Plage. Les participants d’une part qui ont pu profiter du beau temps et sortir de leur quartier habituel, et les professionnels du CREA qui y trouvent leur compte pour mettre en place différents ateliers. « Nous avons plusieurs salles à notre disposition et c’est parfait pour les ateliers en petits groupes », explique Claire Grojsman, responsable des actions culturelles, qui conclut : : « la direction est également sensible à la culture pour tous et fait tout pour que le séjour se déroule bien. »

Spectacle interprété les 20 et 21 juin au théâtre J. Prévert d’Aulnay-sous- Bois. Renseignements : 01 48 79 66 27

Source : http://www.lavoixdunord.fr

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 22 Avril 2013

Web-rouge_A.jpgForte de ses succès remarquables et remarqués en matière de démocratie participative, tout le monde se souvient encore des concertations exemplaires menées courageusement avec la population depuis 5 ans sur des projets urbanistiques,  la mairie d’Aulnay-sous-Bois organise ce soir à partir de 19h un nouvel événement exceptionnel cette fois-ci autour du plan de déplacements dans le sud de la ville. Axes structurants, modes alternatifs à la voiture, stationnement,  vous êtes invités à venir découvrir les propositions élaborées en un temps record par les habitants au cours d’ateliers participatifs conduits au mois de mars. Cette restitution éclair, orchestrée de main de maître par l’exécutif municipal, semble prouver de façon éclatante à celles et ceux qui en doutaient encore que les élus actuellement en place sont vraiment  à l’écoute de leurs administrés. Bref, ne manquez pas ces instants aulnaysiens de démocratie locale que toutes les communes du département et au-delà nous envient…

Ce soir à 19h à l’Hôtel de Ville d’Aulnay-sous-Bois. Entrée libre. 

Source image : aulnay-sous-bois.fr

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Démocratie de proximité

Publié le 22 Avril 2013

Bandes spécialement venues des pays de l’Est, cours de l’or à la hausse, crise… De plus en plus de cambrioleurs sévissent en région parisienne.

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Les compteurs s’affolent ! Depuis le début de l’année, les services de police et de gendarmerie de l’Ile-de-France constatent des hausses vertigineuses des cambriolages dans les résidences principales ou secondaires. A Paris, où un (très gros) millier de plaintes ont été enregistrées en février, le nombre de cambriolages aurait progressé de plus de 40% par rapport à février 2012.« Spectaculaire mais sans aucune valeur statistique », relativise-t-on au pôle police du ministère de l’Intérieur. Et les analystes de rappeler que la réforme des modalités d’enregistrement des données menée par l’OND (Observatoire national de la délinquance) peut aboutir à des résultats atypiques en cas de comparaisons mensuelles.

 + 7,9% à l’échelle régionale

Le bilan des cambriolages, réalisé selon la technique dite des « douze mois glissants » (comparaison des douze mois écoulés par rapport à la même période un an avant) appliquée par l’OND n’est cependant guère plus rassurant. De mars 2012 à février 2013, le nombre de cambriolages de résidences principales a ainsi bondi de 7,9% à l’échelle régionale. La hausse a été de plus de 10% dans les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne, les Yvelines et l’Essonne; de 6% en Seine-Saint-Denis et de 3% dans la capitale (où l’année 2012 s’était pourtant soldée par une baisse de 4% des faits constatés par rapport à 2011).

Les raisons sont multiples : la flambée des cours de l’or qui a relancé l’attrait des bijoux, la multiplication des vols de matériels informatiques ou l’émergence de gangs de l’Est venant faire de véritables « marathons du cambriolage ». « Et il y a sans doute un effet crise économique », conclut un policier. Le préfet de police de Paris, Bernard Boucault, qui a mis en place un plan anticambriolages (avec recours systématique aux méthodes de police scientifique, meilleure centralisation des affaires, mutualisation des synthèses des différents services…), a annoncé la poursuite du dispositif à Paris et son intensification dans la petite couronne. Car un cambriolage est toujours un traumatisme.

Source : Le Parisien

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique