Publié le 31 Octobre 2015

Hier soir, ce ne sont pas les recommandations de Didier Deschamps qui résonnaient dans les vestiaires du Stade de France, mais les rires de sorcières.

Les coulisses de l'enceinte se sont transformées en repaire de sorcellerie pour célébrer Halloween.

Des dizaines de familles ont ainsi pu découvrir la zone mixte, métamorphosée en salle de torture, ou les vestiaires des arbitres, devenus le laboratoire d'une sorcière maléfique.

Création de badges, atelier maquillage, spectacle...

Avant la visite, les enfants et leurs parents ont accès à un grand espace éphémère où ils peuvent s'adonner à différentes activités. Lou-Ann, 6 ans, a choisi le stand des badges. Aidée par un monstre plutôt aimable, la petite Parisienne a créé son pin's « chauve-souris ». « Je me suis déguisée en sorcière pour venir », glisse timidement l'enfant en montrant son chapeau pointu.

A quelques mètres, Elsa, 5 ans, transformée pour l'occasion en princesse Elsa (NDLR : l'héroïne du film d'animation « la Reine des neiges »), patiente dans une courte file d'attente pour se faire maquiller. Entourée de ses parents grimés en citrouille et en sorcière, la petite fille souhaite « une toile d'araignée sur la joue ».

Après une heure de détente dans l'espace éphémère, les familles sont invitées à assister à un spectacle de magie, pendant lequel Thibault Del Corral dévoile ses tourts les plus impressionnants. Après vingt minutes de show, il est temps de partir à la découverte des coulisses du stade. Le clou de la visite arrive à la fin : les enfants, déguisés en diables, en vampires, en princesses, se lancent, à la place des joueurs, dans le couloir qui mène à la pelouse. Des fumées vertes et bleues se diffusent sur leur passage. Aïssa, 9 ans, en reste bouche bée. « C'est la première fois que je viens ici, c'est comme les matchs de foot à la télévision, s'exclame-t-il. Ça m'a fait un peu peur mais c'est génial ! » Halloween au Stade de France, aujourd'hui et demain, de 16 h 30 à 23 heures (fermeture des caisses à 21 h 30). Entrée : 15 €, passe tribu à 50 € pour quatre personnes, gratuit pour les moins de 5 ans.

Source article Le Parisien / Vidéos : Aulnaylibre !

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Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 31 Octobre 2015

Elections régionales 2015 : le 93 est une chance pour la région Ile-de-France selon Claude Bartolone

Claude Bartolone, le président de l’assemblée nationale et chef de file de la liste (PS) aux régionales, était avant-hier sur ses terres au Pré-Saint-Gervais pour présenter, dans les locaux de la fédération, la liste départementale.

Pour ce scrutin, une liste de 29 noms est présentée dans le 93, avec sa tête, bien sûr, Claude Bartolone, l’ex-patron du conseil général. Il sera secondé par la conseillère régionale sortante de Saint-Denis Viviane Romana, 52 ans, psychologue de profession.

« J’ai voulu une liste à l’image de la population du 93, avec des candidats jeunes qui, à l’exception de Stéphane Gatignon (le maire de Sevran, NDLR) et moi-même n’ont pas de mandat », explique Claude Bartolone, qui précise qu’en cas de victoire il quittera ses fonctions pour se consacrer exclusivement à la région. La liste laisse de fait la part à des jeunes. Surtout, Claude Bartolone a voulu une liste de rassemblement. Quatre partenaires rejoignent la liste : le MDP avec Sylvia Skoric, le PRG avec Djamila Aissaoui, le MRC avec Béatrice Desmartin et l’union des démocrates et des écologistes avec Stéphane Gatignon (qui a quitté EELV). Ce dernier figure ainsi en 5e position sur la liste, et donc en position éligible. C’est Abdelhak Kachouri, vice-président à la région, initialement en 5e position, qui a dû lui laisser sa place…

Avec cette liste, Claude Bartolone espère bien emporter la victoire face à la candidate de droite Valérie Pécresse. « J’ai deux ambitions, martèle Claude Bartolone, Je veux poursuivre le travail mené par Jean-Paul Huchon et renforcer la politique menée en faveur de l’égalité des droits républicains. Et je veux combattre les discours récurrents sur le 93 et montrer que ce département est une chance pour la région Ile-de-France ».

Source : Le Parisien

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Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 30 Octobre 2015

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’une note d’information annonçant le lancement d’une importante campagne de dératisation à Aulnay-sous-Bois depuis le 22 octobre 2015.

Lancement d’une importante campagne de dératisation à Aulnay-sous-Bois depuis le 22 octobre 2015

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Publié dans #Environnement

Publié le 30 Octobre 2015

Marche de la dignité et contre le racisme à Paris le samedi 31 octobre 2015

Une marche de la dignité et contre la racisme a lieu ce samedi, à Paris, au départ de Barbès à 14 heures pour rejoindre la place de la Bastille. Organisée par le collectif de femmes Mafed, elle veut dénoncer « le racisme structurel au sein de la société », dix ans après les émeutes urbaines.

Selon le collectif, cette marche est organisée en collaboration avec des dizaines d’associations dont plusieurs de Seine-Saint-Denis comme Aclefeu, le collectif des Baras, Femmes en lutte 93 ou encore Zonzon 93.

A la fin de la marche, un concert est prévu auquel doivent notamment participer Kery James, Médine, Disiz, Tunisiano, Princess Erika.

En Seine-Saint-Denis, un départ collectif est organisé à 12 h 30 depuis la mairie de Saint-Denis.

Source : Le Parisien

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 30 Octobre 2015

Bruno Beschizza recevait hier soir en mairie des enfants du quartier Mitry-Ambourget à Aulnay-sous-Bois. Le président du CMCN (Collectif Mitry Croix Nobillon), Youcef Sayah a envoyé une photo ainsi que quelques mots à notre rédaction suite à cet événement. Nous les partageons bien volontiers avec nos lectrices et lecteurs.

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza reçoit des enfants du quartier Mitry-Ambourget

« Le CMCN, Collectif Mitry Croix Nobillon en visite au bureau du maire ce jeudi 29-10-2015.
Au nom de tous ceux du CMCN, les enfants d’abord, Françoise, Christophe, Samia, les membres de l’ACSA, nos grands remerciements à M. Le Maire, qui a été un guide extraordinaire pour nous faire visiter son cabinet ainsi que son bureau. Des moments agréables avec les enfants: des questions pertinentes, autographe, et finir autour d’un buffet sympathique. Nos remerciements aussi vont aux élus présents.
L’accueil fut chaleureux et sincère. Merci monsieur le maire encore une fois
».

Source photo et témoignage : Youcef Sayah. Avec nos remerciements.

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Publié dans #A vos quartiers !, #Fêtes et Cérémonies

Publié le 30 Octobre 2015

Europe Ecologie les Verts veut 1300 éoliennes en Ile-de-France d’ici 2030 !

Emmanuelle Cosse, la secrétaire nationale d'Europe Ecologie-les Verts (EELV) et candidate aux élections régionales (6 et 13 décembre), détaille en exclusivité dans le journal Le Parisien son plan pour l'énergie en Ile-de-France.

On est à J - 30 de la COP21. Quelles sont vos propositions en matière d'énergie pour l'Ile-de-France ?

EMMANUELLE COSSE. L'énergie est un enjeu majeur pour le climat comme pour l'économie. Nous présentons des programmes pour que l'énergie en Ile-de-France soit à 100 % renouvelable à l'horizon 2050. Aujourd'hui notre région importe plus de 80 % de sa consommation et n'a donc quasiment aucune autonomie énergétique. Nous sommes très en retard.

Comment comptez-vous atteindre un tel objectif ?

Il faut impulser dès maintenant une politique très volontariste, installer sur notre territoire des éoliennes, des panneaux solaires, de la géothermie et les unités de méthanisation. De cette façon, nous produirons assez d'énergie propre en 2030 pour fermer la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine (Aube), à 80 km de Paris !

Vous n'envisagez tout de même pas d'installer des éoliennes dans Paris ?

Il y a beaucoup d'espace sur le territoire où on peut en installer. Pour arriver à 100 % d'énergie renouvelable, il faut construire 1 300 éoliennes pour 2030 dont 300 dans la mandature qui arrive. C'est ce qui permettra d'augmenter notre puissance énergétique et d'inverser la tendance. Le rôle des panneaux solaires est aussi très important, même dans une région faiblement ensoleillée. Ils peuvent être implantés sur les toits, mais aussi sur des friches industrielles.

Comment allez-vous financer votre plan ?

Il faut qu'une partie des crédits régionaux soit redéployée vers les énergies renouvelables. Je propose que pour 2 € d'argent citoyen, il y ait 1 € de la région, c'est-à-dire qu'on abonde de 50 % les investissements citoyens dans les projets participatifs dès janvier 2016. Les coopératives citoyennes de production énergétique sont très prometteuses. La région doublera les aides du fonds chaleur de l'Ademe, qui soutient les projets en énergie renouvelable des particuliers.

Que prévoyez-vous pour réduire les consommations d'énergie ?

Nous doublerons les investissements pour la rénovation énergétique de 400 000 logements avec, à la clé, une facture d'énergie divisée par deux pour les habitants. Nous créerons aussi une prime pour inciter les ménages à renouveler leurs appareils électroménagers et aiderons les petites entreprises à s'équiper en machines plus sobres. Nous donnerons aux 330 000 familles en précarité énergétique des chèques travaux pour plus de confort et d'économies d'énergie.

Source : Le Parisien

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Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 30 Octobre 2015

Le bidonville rom situé à proximité du Parc des expositions du Bourget, qui doit accueillir à partir du 30 novembre la conférence internationale sur le climat, COP21, a été évacué hier matin. L'expulsion s'est déroulée dans le calme.

Cette évacuation fait suite à l'arrêté municipal pour dangerosité pris par le maire, Vincent Capo-Canellas, le 15 octobre.

Une centaine de personnes, appartenant à la communauté rom, vivaient depuis environ six mois sur ce campement installé sur un terrain appartenant à la direction des routes d'Ile-de-France et situé entre le rond-point Lindberg et l'autoroute A 1.

Source article : Le Parisien / Vidéo d’illustration : Aulnaylibre !

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Publié dans #93 Infos

Publié le 29 Octobre 2015

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza tête de liste dans le 93 pour les élections régionales 2015 en Ile-de-France

Ce fut un long parcours semé d'embûches. Mais au final, Valérie Pécresse a obtenu gain de cause lors de la commission d'investiture des Républicains, qui a validé ce jeudi matin à l'unanimité les listes de la candidate de la droite et du centre en région capitale. «Ma stratégie politique a été validée à l'unanimité, avec une ouverture au centre (les candidats UDI MoDem ont obtenu 33% des sièges éligibles, ndlr) et un accord avec le Parti chrétien démocrate», se réjouit la députée des Yvelines. Le président du Sénat Gérard Larcher, qui préside le comité de soutien de la candidate, considère que ces listes sont «à la fois équilibrées territorialement et politiquement, en rassemblant toutes les sensibilités de la droite et du centre». Les listes LR-UDI-MoDem comptent 209 candidats (sur 1500 prétendants à la candidature), dont 120 élus en cas de victoire de Valérie Pécresse, qui a repris sur ses listes 50% des conseillers régionaux sortants de l'ancienne mandature (35 sur 69). La moyenne d'âge des candidats est de 47 ans, et le renouvellement a présidé aux choix de l'ancienne ministre chiraquienne.

» Valérie Pécresse conduira la liste dans son département des Yvelines, avec le député David Douillet en numéro deux. Dans ce département, la sénatrice LR Sophie Primas sera, symboliquement, la dernière de la liste, position également occupée par le président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, en Seine-Saint-Denis, et la numéro deux du MoDem, l'eurodéputée Marielle de Sarnez, à Paris.

» À Paris, c'est Pierre-Yves Bournazel, conseiller de Paris et secrétaire national de l'UMP qui conduit la liste, avec en numéro deux la maire LR du XVIIème arrondissement, Brigitte Kuster, et en numéro trois le porte-parole du MoDem, Yann Wehrling. Sur cette liste, Valérie Pécresse espère jusqu'à 25 élus, dont un grand nombre de maires d'arrondissements LR parisiens, comme Delphine Bürkli, Florence Berthout, Jean-François Legaret et Jean-Pierre Lecoq. Le nouveau secrétaire départemental de LR Frédéric Péchenard, très proche de Nicolas Sarkozy, est numéro sept de la liste parisienne, sur laquelle ne figure pas, comme annoncé un temps, la sénatrice Verte Leila Aïchi.

» Dans les Hauts-de-Seine, est constitué un duo entre Thierry Solère, député LR, numéro un, Chantal Jouanno, sénatrice UDI de Paris, numéro deux. Quant à Geoffroy Didier (LR), élu du Val d'Oise, l'un des porte-parole de la campagne, il a été littéralement imposé par Valérie Pécresse en cinquième position. C'est un retournement de situation pour Thierry Solère, proche de Bruno Le Maire, qui avait été élu sans l'appui de l'UMP député en 2012 en battant le très sarkozyste Claude Guéant. Solère préside aussi le comité d'organisation des primaires de 2016. L'ancienne ministre Rama Yade, qui risque l'exclusion du parti radical pour avoir prôné le «ni ni» aux régionales, n'a pas été retenue par son parti pour figurer sur la liste régionale du 92, alors qu'elle est conseillère régionale sortante.

» En Seine-Saint-Denis, l'ancienne ministre chiraquienne a souhaité la présence d'un nombre significatifs de candidats centristes en place éligible (soit 4 UDI sur 12) «pour battre Claude Bartolone», son adversaire PS, élu de ce département. La liste est conduite par Bruno Beschizza, maire LR d'Aulnay-sous-Bois, suivi de la nouvelle maire de Noisy-le-Grand, Brigitte Marsigny, qui fait figure d'icône chez les Républicains.

» Dans l'Essonne, la liste est menée sans surprise par Stéphane Beaudet, maire de Courcouronnes et surtout président de l'Association des maires d'Ile-de-France.

» En Seine-et-Marne, la tête de liste a été offerte à la nouvelle sénatrice LR Anne Chain-Larché, qui vient de succéder à Jean-Jacques Hyest, nommé par le président du Sénat Gérard Larcher au Conseil constitutionnel.

» Dans le Val d'Oise, le député LR Jérôme Chartier, responsable du projet de la campagne de Valérie Pécresse, est numéro deux de la liste conduite par Stéphanie Von Euw , conseillère régionale sortante.

» Dans le Val-de-Marne, la seule tête de liste francilienne UDI revient à Laurent Lafon, le maire de Vincennes.

Source : http://www.lefigaro.fr/

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Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 29 Octobre 2015

TWINGO, FORD FIESTA, Mégane… Selon la dernière étude de l’association 40 Millions d’automobilistes, les voleurs de voitures ne semblent pas attirés par le luxe. On retrouve bien dans ce classement, que nous vous révélons département par département, quelques bolides comme les BMW X5 ou X6, mais ce sont les berlines de gamme moyenne qui sont très prisées par les malfrats.

Une tendance qui peut s’expliquer par les réseaux qui se professionnalisent de plus en plus avec, en bout de chaîne, la revente de pièces détachées, notamment sur Internet.

Le Top 5 des voitures les plus volées dans le 93 en 2014

Ce qui intéresse les voleurs, c’est le chiffre d’affaires rapide, et donc des véhicules de très grande diffusion. Rien de tel pour cela qu’une Twingo ou une Mégane. Exemple de ces réseaux très bien structurés : la filière de Pomponne, en Seine-et-Marne. En mars, les policiers tentent de contrôler trois voitures qui roulent en convoi. L’un des conducteurs est interpellé et mène les enquêteurs à la tête d’une organisation à qui on impute 34 vols de véhicules à Paris, en Seine-et-Marne, Seine-Saint-Denis, dans le Val-d’Oise et le Val-de-Marne. Plusieurs voitures désossées avaient été retrouvées dans un garage à Pomponne (77).

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 29 Octobre 2015

L’ancien adjoint à l’urbanisme d’Aulnay-sous-Bois Alain Amédro s’inquiète d’un plan local d’urbanisme destructeur d’espace verts

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un communiqué de presse d'Alain Amédro, ancien adjoint à l'urbanisme d'Aulnay-sous-Bois, et vice-président actuel du Conseil Régional chargé de l'aménagement.

Communiqué de Presse :

Alain AMEDRO Aulnay-sous-Bois, le 27 octobre 2015

Ancien adjoint à l'urbanisme, aux espaces verts de la ville d'Aulnay-sous-bois

Vice-président du Conseil régional en charge de l'aménagement.

Alerte sur un PLU, destructeur des espaces Verts !

Depuis 18 mois, j'ai été discret sur les politiques municipales, pour laisser à la nouvelle équipe le temps de trouver ses marques. Mais aujourd'hui, ancien adjoint aux espaces verts, à l'urbanisme et au développement durable, je me dois d'alerter les aulnaysiens.

Je ne reviendrai pas sur les déjà nombreuses critiques justifiées faites à ce PLU comme la disparition de la piscine qui passe en zone UD, petit collectif, privant toute une génération d'enfants de piscine, ni sur la mauvaise compréhension de certains éléments du SDRIF.

J'insisterai sur le règlement du Plan Local d'Urbanisme. Un règlement qui est bien éloigné des articles gentillets du journal municipal présentant le PLU et du mode trop classique de pseudo-concertation qui n'a pas expliqué les changements et quels changements ! Jugez-vous mêmes !

ALERTE sur les terrains des services des espaces verts :

Des immeubles de grande hauteur à la place des serres municipales !

Des terrains déclassés au profit de la zone UH

(zone aux bâtiments de 20 mètres, la plus carencée en espaces verts : 20% seulement).

Détruites les serres municipales qui attirent de très nombreux visiteurs et constituent un lieu de savoirs, d'échanges entre la population et nos agents du service des espaces verts, un lieu de production pour une grande partie des plantes et fleurs de nos parterres et jardins municipaux.

Détruit le jardin pédagogique ouvert aux écoles et aux aulnaysiens trop souvent privés de jardins,

Détruits les champs de production notamment de chrysanthèmes qui font la renommée de la ville

Détruit le savoir-faire de tout un service, connu pour son professionnalisme, sa créativité, son souci du développement durable et l'intégration de nombreux jeunes en formation...

Détruit le classement de notre ville en 4 fleurs, le rayonnement de notre ville et la fierté des aulnaysiens !

Au nom de quoi ? de la trop souvent brandie réduction budgétaire ?

Notre ville doit au contraire faire vivre ses espaces aux services de la population du nouveau territoire du grand Paris auquel nous allons adhérer au 1er janvier 2016.

Aulnay doit en être le cœur vert, nous devons avoir une ambition paysagère pour un territoire très urbain et marqué par une densité forte. Aulnay doit porter la lutte contre le changement climatique, les îlots de chaleur par la végétalisation de nos places, de nos rues et espaces collectifs.

Nous avons un savoir faire à préserver et même à développer par un centre de formation aux métiers de la ville et des espaces verts.

La ville ne peut se contenter de construire, elle doit produire les équipements qui profiteront aux habitants : écoles, médiathèque...mais aussi permettre une qualité de vie renouvelée en faisant du paysage : fleurs, arbres, murs végétaux, agriculture urbaine, le socle de sa politique de qualité de vie à Aulnay-sous-bois. C'est la condition pour réussir une ville agréable à vivre et qui allie nouvelles constructions et bien vivre.

Ce PLU doit être combattu en faisant entendre votre voix auprès du commissaire enquêteur avant le 7 novembre 2015 notamment :

· en relevant les non-dits, les éléments cachés découverts à la faveur d'une lecture attentive de la carte de destination des sols. Cette destruction des serres comme bien d'autres éléments aurait dû figurer dans les documents préparatoires et notamment le journal municipal.

· en demandant le retour en zone US et UV des terrains des espaces verts et plus largement des services techniques municipaux, patrimoine de tous les aulnaysiens.

· en demandant le retour du terrain de la piscine en zone US.

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Publié dans #Communiqués, #Urbanisme

Publié le 28 Octobre 2015

Son incroyable talent, c'est sa sincérité. Hamdax, 18 ans, lycéen au grand cœur, est monté sur la scène du programme de M6 sans tour de magie... mais l'envie de rendre hommage à son père, décédé des suites d'un cancer lorsqu'il était petit garçon. Sous les yeux de sa maman, l'adolescent rappe à "l'amour fou" entre ses parents. "Sans domicile fixe, vous dormiez dans le métro", raconte-t-il, avec un mélange d'émotion et de conviction.

Le magicien Eric Antoine "éberlué"

Pendant que le public balance les mains, au rythme de la chanson, le jury essuie ses larmes. A commencer par le magicien Eric Antoine. "Je suis éberlué par ta force et ta puissance", avoue-t-il. "Ton débit est très rapide, on ne comprend pas toujours bien", tempère Gilbert Rozon. "Je t'encourage juste à travailler ta diction parce que sinon je trouve ça formidable."

Un bémol partagé par Hélène Ségara. "Même si tu rappes, tu peux faire monter ta voix", explique la chanteuse avec bienveillance. Reste que les 4 jurés vont voter "oui", et conserver le jeune talent pour la suite de l'émission. Comme le résumait Kamel Ouali un peu plus tôt : "il doit être fier de toi ton père". Jugez plutôt...

Source : http://www.metronews.fr/

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Publié dans #Culture

Publié le 28 Octobre 2015

RMC en reportage à Aulnay-sous-Bois : « entre les jeunes de banlieues et la police la défiance et les tensions existent toujours »

Il y a 10 ans, après Clichy-sous-Bois, les émeutes gagnaient les villes voisines de Seine-Saint-Denis. Avec toujours le même scénario : un face à face très tendu chaque nuit entre jeunes habitants des quartiers populaires et forces de l’ordre. Des affrontements qui durent plusieurs heures avec, à chaque fois, un lourd bilan matériel. Au choc de la mort de Zyed et Bouna s’ajoute, quelques jours plus tard, les revendications d’une génération qui assure vivre sous une pression policière, à cause notamment de contrôles d’identité répétés.

Mais, dix ans après, les relations entre les forces de l’ordre et ces jeunes des quartiers populaires ont-elles évolué ? RMC s’est rendue avec un policier de la BAC 93 (la Brigade anti-criminalité de Seine-Saint-Denis) à Aulnay-sous-Bois et a constaté que ces relations demeuraient très tendues… Ainsi, il suffit de prononcer le mot « police » sur un terrain de basket au pied d’un immeuble pour que la discussion s’anime.

« C’est comme un petit jeu »

« Moi, j’ai une mauvaise image de la police aujourd’hui, assure un jeune. Ils ne nous respectent pas quand ils viennent. Ils nous tutoient, nous parlent mal, avec dédain. Ils nous prennent de haut. Donc je ne vois pas pourquoi nous devrions ensuite les respecter ». Et un autre de surenchérir. « Parfois, on ne fait rien. On marche dans la rue et ils nous interpellent ». « C’est comme un petit jeu en fait. C’est le chien et le chat, estime encore un autre. Eux, ils nous parlent mal. On ne va pas venir et leur parler gentiment, c’est normal ».

Ces joueurs basket ont en moyenne 17 ans. Des lycéens comme eux, Fabrice (le prénom a été modifié car tenu au devoir de réserve ce policier doit rester anonyme) en croise tous les jours. « La défiance existe toujours, assure-t-il. Ce sont des regards, des mots… Mais nous sommes formés et habitués à ne pas y répondre. Il y a malgré tout, parfois, des situations beaucoup plus violentes où, sans raison, des policiers sont pris à partie de manière gratuite. La simple patrouille qui passe peut se faire assaillir à coups de boules de pétanque ou de cocktails Molotov ».

Promesse non tenue

Depuis les émeutes de 2005, Fabrice l’assure les policiers ne travaillent plus de la même façon : « Prenons l’exemple d’une course poursuite. Il faut savoir que quand bien même une infraction a été commise, une course poursuite avec un deux-roues est systématiquement stoppée par l’état-major parce qu’il craint un accident, un embrasement des cités. »

A noter que, dans les quartiers populaires, selon un sondage publié en 2013, près de deux mineurs sur trois déclarent se méfier des forces de l’ordre. Pour rassurer cette jeunesse, François Hollande s’était engagé durant sa campagne à lutter contre les contrôles au faciès. Une promesse non tenue pour le moment selon de nombreuses associations.

Source : rmc.bfmtv.com

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 28 Octobre 2015

Emotion à Clichy-sous-Bois lors de la commémoration de la mort  de Zyed et Bouna

« Voilà, ça fait dix ans. Il y a dix ans se produisait un drame.

Un drame national. » C'est d'une voix tremblante d'émotion que Siyakha Traoré, 31 ans, a pris la parole ce mardi soir, à Clichy-sous-Bois. Cela faisait longtemps que la foule n'avait pas été aussi dense autour de la stèle portant les noms de son petit frère, Bouna, et de Zyed Benna.

Ce mardi, plusieurs centaines d'habitants, d'élus, de militants se sont rassemblées à 18 heures, au moment précis où, il y a dix ans, les deux adolescents de 15 et 17 ans mouraient électrocutés dans le transformateur EDF où ils s'étaient réfugiés pour échapper à la police. Le drame avait déclenché trois semaines d'émeutes en banlieue. Des bougies ont été allumées sous le portrait des défunts, symbolisant « le moment où toutes les lumières de la ville s'étaient éteintes », a souligné Samir Mihi, porte-parole des familles. Une coupure de courant générale avait immédiatement suivi le décès des adolescents.

La présence du ministre de la Ville a sans doute ajouté à la solennité du moment. Avant la cérémonie d'hommage, Patrick Kanner a passé un moment avec les familles Benna et Traoré, ainsi qu'avec les soeurs de Muhittin, seul rescapé du drame, loin des caméras et des journalistes.

« Cette solidarité, cette gentillesse, c'est ce qui nous a permis de rester debout »

Puis, devant la stèle, les grands frères de Zyed et Bouna ont chacun prononcé quelques mots, la gorge nouée. « Pendant dix ans, on s'est battu pour que leur mort serve à quelque chose. On voulait prouver aux jeunes, à tous les jeunes de banlieue qu'il ne fallait pas se faire justice soi-même. Il reste beaucoup à faire pour que les habitants des quartiers soient considérés comme des citoyens à part entière », a lâché Adel Benna, 39 ans.

Siyakha Traoré a rendu hommage à la foule des habitants et des amis : « Cette solidarité, cette gentillesse, c'est ce qui nous a permis de rester debout. » Quelques instants auparavant, l'allée menant au collège Robert-Doisneau a été baptisée du nom des deux adolescents. « Il est très important que les futurs élèves de 6e, qui n'étaient pas nés en 2005, connaissent ces noms et ces prénoms », a souligné le maire PS de Clichy, Olivier Klein.

Parmi les jeunes Clichois venus en nombre, Maryam, Lina et Sana ne sont pas prêtes d'oublier : « C'était des jeunes de notre ville, on ne veut pas les effacer de notre mémoire. » « C'est un épisode tragique, il doit entrer dans l'histoire de France », estime de son côté Ayoub, 15 ans, tout jeune militant du collectif AC Lefeu. En mai dernier, deux policiers, jugés pour non-assistance à personne en danger, ont été relaxés par le tribunal correctionnel de Rennes.

« C'est peut-être un manque de fraternité qui a conduit à cette tragédie », estimait ce mardi soir Patrick Kanner, devant la foule silencieuse.

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 27 Octobre 2015

Un enfant de 6 ans oublié dans un bus par des animateurs d’un centre de loisirs à Montfermeil

Alexandre, 6 ans, a passé lundi soir près d’une heure, seul, dans le noir, dans un bus stationné sur un dépôt à Montfermeil (Seine-Saint-Denis). Les animateurs du centre de loisirs Jules Verne, avec qui il était parti en sortie, l’y avaient oublié ! Furieuse, sa mère a porté plainte mardi matin au commissariat local.

La mairie a de son côté immédiatement ouvert une enquête administrative. « Dès que nous aurons les conclusions de cette enquête, nous prendrons les sanctions qui s’imposent », indique Xavier Lemoine, le maire (LR).

Les animatrices ont assuré qu’elles avaient bien compté les enfants

Lundi, à 18 heures, le papa d’Alexandre se présente comme tous les soirs au centre pour récupérer son fils. « D’habitude, quand il nous voit, Alexandre court vers nous. Mais, là, il n’était pas là ». Inquiet, son père questionne les animatrices. « Elles lui ont d’abord répondu qu’il avait dû partir avec une autre personne. Mais, pour nous, ce n’était pas possible vu que personne d’autre que nous ne va jamais le chercher », poursuit sa maman.

Ce jour-là, les enfants du centre Jules-Verne ont, avec des enfants d’autres centres de loisirs de la ville, effectué une sortie à la Maison de la nature à Asnières (Hauts-de-Seine). Ils s’y sont rendus en bus et sont revenus un peu avant 18 heures, toujours en bus. « Mon mari a demandé aux animatrices si elles étaient bien sûres qu’il était rentré au centre. Elles lui ont assuré qu’elles avaient compté les enfants et qu’il n’en manquait aucun. » De plus en plus inquiet, le père d’Alexandre alerte la police et, à sa demande, les animatrices téléphonent au chauffeur du bus.

«Il était paniqué. Il pleurait.»

C’est ce dernier qui retrouvera l’enfant… dans le bus. « Il était paniqué. Il pleurait. Le soir, il m’a dit qu’il avait eu tellement peur qu’il pensait ne jamais me revoir », témoigne sa maman encore sous le choc. D’après son récit, Alexandre se serait endormi pendant le trajet. Au retour, le bus aurait déposé les enfants dans leurs centres de loisirs respectifs. L’arrêt Jules Verne était la dernière station. Alexandre n’a pas entendu ses camarades sortir et les animatrices ne se sont rendu compte de rien. Le chauffeur de bus non plus.

Furieux, les parents d’Alexandre ont porté plainte et alerté la mairie. « Si ça s’est passé comme ça, c’est qu’il y a des failles dans la surveillance. Cela s’est heureusement bien terminé pour mon fils. Mais, cela aurait pu tourner au drame. Dans ces cas-là, on imagine le pire ».

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 27 Octobre 2015

150 réfugiés viennent d’arriver en Seine-Saint-Denis

Il s'appelle Asil. Un prénom prédestiné pour ce jeune Afghan de 23 ans : il rêve d'obtenir ce statut de demandeur d'asile qui lui permettrait de rester quelque temps en France et d'espérer s'y insérer. En attendant l'aboutissement de cette démarche, Asil est hébergé depuis quatre jours dans d'anciens bureaux de la rue Alphonse-Leydier, à Romainville.

Il s'agit d'un des trois sites réquisitionnés par l'Etat dans le département (avec Noisy-le-Sec et Le Raincy) afin de participer au plan national d'accueil des réfugiés, lancé en pleine crise migratoire.
« Environ 150 réfugiés sont hébergés dans le département depuis vendredi », précise Didier Leschi, préfet délégué à l'égalité des chances en Seine-Saint-Denis. Le département avait promis de prendre sa part, dans la mesure de ses moyens, à l'accueil des migrants. Les premiers sont donc arrivés entre vendredi et hier. 54 réfugiés sont logés à Romainville, 9 à Noisy-le-Sec (il n'y en a pas encore au Raincy) et les autres dans trois villes qui disposaient déjà de centres d'accueil : une trentaine au centre d'hébergement d'urgence CASP de Pantin, une quinzaine au foyer Adoma Toussaint-Louverture à Saint-Denis. Les autres ont rejoint le centre Adoma de Neuilly-sur-Marne, dans les anciens locaux de l'Association pour la formation professionnelle, qui accueille déjà des Erythréens et des Soudanais depuis juin.

Ces premiers migrants du 93 viennent en fait du lycée désaffecté Jean-Quarré (Paris XIXe), qui a été évacué la semaine dernière. « La plupart sont Afghans. Il y a aussi quelques Erythréens, Libyens et Syriens, indique Didier Leschi. Ils ne resteront là que le temps de statuer sur leur demande d'asile. Elle sera traitée dans les deux mois maximum. Ensuite, ils ont vocation à aller dans d'autres lieux en province. Il n'y aura pas d'orientation de façon permanente dans les logements sociaux du département. Nous ne pouvons être qu'un lieu de transit, de premier accueil. » Pour lui, « beaucoup ne veulent pas rester en France et viennent juste y faire leur demande d'asile ».

Ce n'est pas le cas d'Ahmadzai, 24 ans, qui a fui les combats de la province de Nangarhâr, en Afghanistan, où les talibans s'opposent à l'Etat islamique, jetant des milliers d'hommes dans les rues. « Je veux rester en France. Ici, c'est bon, il n'y a pas de bagarre », bredouille-t-il dans un français approximatif, appris dans la rue depuis son arrivée en France, il y a un an. « J'ai dormi huit mois à la gare de l'Est, explique-t-il. C'était difficile. » Il a ensuite rejoint le lycée Quarré, ouvert cet été, et dont la population a gonflé pour atteindre environ 1 300 migrants, jusqu'à son évacuation le 23 octobre. Désormais, il attend d'obtenir l'asile, qui lui donnera le droit de travailler ou de bénéficier de certains minima sociaux comme le RSA. Dans le centre d'hébergement d'urgence de Romainville, géré par l'association Aurore, il dort dans une des chambres de sept couchages, peut prendre quelques repas et subsiste avec environ 320 € par mois de l'allocation temporaire d'asile. « C'est mieux ici. Je n'ai plus de famille en Afghanistan. Et si j'y retourne, ce sera fini pour moi... », grimace-t-il, en se passant le pouce sous la gorge.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 27 Octobre 2015

1710 chômeurs de moins en un mois dans le 93

1 710 chômeurs de moins en un mois en Seine-Saint-Denis. Soit une diminution de 1,4 % entre fin août et fin septembre. Cette baisse spectaculaire concerne les demandeurs d'emploi de catégorie A (n'ayant pas du tout travaillé).

Il reste 120 630 demandeurs d'emploi dans cette catégorie. Si l'on prend en compte les catégories A, B et C (y compris ceux qui ont travaillé quelques heures dans le mois), on atteint 164 060 personnes, soit 0,3 % de moins qu'en août. A noter que la baisse concerne toutes les catégories, sauf les 50 ans et plus pour lesquels l'évolution est stable. En Ile-de-France, le chômage a baissé de 1,2 % en septembre.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos, #Emploi

Publié le 26 Octobre 2015

Une fidèle lectrice d’Aulnaylibre ! nous a transmis une photo prise ce dimanche après-midi au parc du Sausset à Aulnay-sous-Bois. Notre rédaction la trouve tout simplement magnifique et a décidé de la partager avec vous. Nous la considérons comme un moment naturel de respiration dans un milieu il est vrai de plus en plus urbanisé…

La magnifique photo du week-end prise dans le parc du Sausset à Aulnay-sous-Bois

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 26 Octobre 2015

La police caillassée après un accident de moto à Clichy-sous-Bois

Des heurts sérieux se sont produits dimanche soir vers 18 h 45, à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), à la suite d’un accident de la circulation boulevard Emile-Zola entre une moto et une voiture. Les pompiers qui intervenaient auprès du motard blessé ont été pris à partie par une cinquantaine de jeunes qui ont tenté de s’interposer pour dégager le deux-roues et son conducteur.

La tension n’est pas retombée avec l’arrivée de la police. D’autres jeunes ont rejoint l’attroupement qui s’était formé à proximité, sur le parking Anatole-France. Divers projectiles ont été lancés sur les secours et la police. Une source proche de l’enquête indique que les forces de l’ordre ont dû faire usage « à quinze reprises de l’armement collectif (gaz lacrymogène, etc.) pour désencercler les assaillants ».

Peu de temps après, d’autres incidents ont éclaté dans le quartier des anciennes tours de la Forestière qui borde le boulevard Emile-Zola. Des projectiles de toutes sortes, pavés, oignons congelés, bouteilles en verre et tasses, ont été jetés sur la police depuis les tours.

Le pilote du deux-roues, une moto non homologuée, qui circulait sans casque, a réussi à s’enfuir. La conductrice de la voiture accidentée a été prise en charge par les secours.

Ces incidents interviennent dans un contexte particulièrement sensible. Il y a dix ans exactement, le 27 octobre 2005, deux jeunes de Clichy, Zyed et Bouna, poursuivis par la police mouraient électrocutés dans un transformateur. Le drame avait déclenché plus de trois semaines d’émeutes dans les banlieues.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 26 Octobre 2015

Un homme défenestre sa femme et tente de la poignarder au Blanc-Mesnil

Une jeune femme de 25 ans est toujours entre la vie et la mort. Dimanche soir, vers 19 h 45, au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), rue Guillaume-Apollinaire, son compagnon âgé de 28 ans aurait tenté de la tuer en la poussant du 7e étage.

Il est ensuite descendu armé d’un couteau dans le but de l’achever.

Mais il n’a pas eu le temps de passer à l’acte. Des témoins se sont interposés et sont parvenus à maîtriser l’agresseur. Le déroulement des faits reste encore flou. Déjà, dans l’appartement, il aurait déjà essayé de la poignarder avant qu’elle ne chute par la fenêtre. L’homme a été interpellé par la BAC. La jeune femme, toujours en vie, a été transportée à l’hôpital sous escorte moto.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 26 Octobre 2015

Lili Boom nous annonce la tenue d’un événement festif autour d’Halloween. Rendez-vous le 31 octobre 2015 au niveau du parking du Galion (place du marché) vêtus de vos plus beaux déguisements pour un tour des quartiers nord d’Aulnay-sous-Bois. Tous les détails ci-dessous.

Fêtez Halloween dans le quartier des 3000 à Aulnay-sous-Bois !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies, #A vos quartiers !

Publié le 25 Octobre 2015

Comme hier soir nous vous proposons de terminer la journée avec le Aulnay Futsal qui a remporté son match 13 à 3 face au May en Multien FC en coupe de France. Vous trouverez ci-dessous les dix dernières minutes de la rencontre…

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Soyons sport.

Publié le 25 Octobre 2015

La RATP veut recruter encore plus dans le 93

Toujours plus de partenariat. C’est un peu le mot d’ordre que viennent de lancer en cœur la présidente directrice générale de la RATP et le président socialiste de Seine-Saint-Denis.

La semaine dernière, au centre bus d’Aubervilliers, Elisabeth Borne et Stéphane Troussel ont, en effet, signé une charte de partenariat pour poursuivre voire augmenter encore les formations et les emplois au sein de la Régie dans le département.

« En 2014, la RATP a embauché 700 hommes et femmes en Seine-Saint-Denis, soit 25 % des emplois pourvus cette année-là », se félicite Elisabeth Borne. Et ça va continuer, promet-elle. « Ici, comme ailleurs, mais peut-être encore plus en Seine-Saint-Denis, la RATP souhaite promouvoir l’égalité des chances. C’est notre mission de service publicde proposer des opportunités à de nombreux jeunes sortis du système scolaire sans qualification », poursuit-elle.

« Le dispositif passerelle emploi — en place depuis près de dix ans avec la RATP, NDLR — n’est pas qu’une ligne budgétaire. C’est utile. Ce n’est pas qu’une politique publique qui s’affiche. Il s’agit de s’occuper de vos vies et de vos parcours », s’enflamme Stéphane Troussel à l’attention des jeunes conducteurs de bus et de tram qui ont bénéficié de cette aide.

« La formation m’a aidée à m’imposer dans un bus »

Ils ont été sélectionnés par Pôle emploi ou la mission locale, ont été formés par des associations telles que Jérémy et Assofac, essentiellement pour des remises à niveau en français, et travaillent désormais pour la RATP. Dix-huit hommes et deux femmes sont venus témoigner de leur nouvelle vie.

Yahya, 22 ans se dit « heureux ». « Tout va bien », assure celui qui, avec son niveau scolaire de 1re pro, avait d’abord essayé de monter son propre restaurant, lequel n’avait pas marché. Aujourd’hui, il est fier de porter l’uniforme vert foncé de la RATP.

« Je tiens à remercier tous ceux qui nous ont aidés », sourit Icham. Cet ancien électricien de Pantin s’est retrouvé au chômage avant de suivre une formation de trois mois via Jérémy et de passer le permis D de chauffeur de transport en commun. Julie, elle, est devenue machiniste-réceptionniste à Saint-Denis. « La formation a été salutaire pour moi. Cela m’a aidée à m’imposer dans un bus. Ce n’était pas gagné. Je suis très timide », confie la jeune femme, qui reconnaît ne pas se sentir encore à l’aise lorsqu’elle s’y trouve seule la nuit.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi, #Transports, #93 Infos

Publié le 25 Octobre 2015

Dès potron-minet ce matin, nombreux étaient les Aulnaysiens voulant retirer de l’argent des distributeurs de banque du quartier Vieux-Pays à Aulnay-sous-Bois. Et bien ils se sont cassés les dents. Que ce soit à la Société Générale, la Caisse d’Epargne ou encore la BNP, impossible d’obtenir le moindre billet !

Il faudra donc attendre lundi ou mardi ou bien tenter sa chance dans un autre secteur de la ville aujourd’hui pour avoir du cash. Diable ! Le cœur historique de notre commune deviendrait-il un espace de la zone euro semblable à celui de la Grèce en pleine crise il y a quelques mois ?

Réponse dans quelques heures sans doute…

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 25 Octobre 2015

2000 expulsions pour impayés chaque année dans le 93

La préfecture de Seine-Saint-Denis fait mentir la perception de certains maires en matière d’expulsions locatives. Azzedine Taïbi, maire FG de Stains estime qu’il y a eu une explosion des expulsions depuis dix ans. Mais statistiques à l’appui, Didier Leschi, préfet délégué à l’égalité des chances, démontre que si le nombre d’expulsion ne régresse pas, il se stabilise.

En 2014, 1 835 expulsions ont été réalisées avec le concours de la force publique. Depuis le début de l’année 2015, on en est à 1900*. Mais Didier Leschi précise que, depuis trois ans, l’essentiel des expulsions se déroule de fin juin à début septembre. « Nous expulsons davantage en dehors de la période scolaire », indique le préfet.

Le nombre d’assignations en justice a baissé

De leur côté, les bailleurs ont considérablement réduit leurs assignations en justice à la suite d’impayés. De 7 492 en 2014, elles sont tombées à 4 500. Ces procédures n’aboutissent pas automatiquement à des expulsions. Des garde-fous sont installés pour repousser la date fatidique. Même si la justice donne son feu vert, le concours de la force publique n’est pas forcément accordé. Des sursis sont couramment accordés. Cette année, la moitié des assignations ont débouché sur des jugements d’expulsions, pour les autres, une solution a été trouvée. Autre subtilité : « si le concours de l’a force publique est accordé, il n’est pas forcément réalisé », précise Didier Leschi.

L’Etat a versé 8,4 M€ aux bailleurs du 93 pour compenser les impayés

L’été dernier, Bintou, 50 ans, mère de deux grands enfants a été expulsée de son logement à Stains. Mais quatorze ans s’étaient écoulés avant que la décision de justice soit mise en œuvre, le 3 juillet dernier. Le premier jugement d’expulsion remontait à 2001. Entre-temps, « I3F, le bailleur, et l’Etat ont étudié le dossier cinq fois en commission », indique la préfecture. « Un protocole a été signé. La locataire s’engageait sur un minimum de versement. » Il n’a pas été respecté. A plusieurs reprises, la locataire a bénéficié d’un sursis jusqu’en juillet 2014. Ayant épuisé toutes les solutions, I3F a déclenché la procédure d’expulsion, début 2015. Le feu vert a donc été donné par la préfecture six mois plus tard.

Les longues années de sursis à expulsion auront un coût pour la collectivité. C’est à l’Etat d’indemniser le bailleur qui ne peut pas recouvrer ses loyers. Le bailleur est, en effet, en droit de réclamer une indemnisation à l’Etat pour « non-concours de la force publique ». En 2013, la préfecture de Seine-Saint-Denis a versé 12 M€ aux différents bailleurs et 8,4 M€ en 2014. « La Seine-Saint-Denis consomme le tiers de l’enveloppe nationale », indique le préfet qui souligne la nécessité d’intervenir plus en amont avant que la dette enfle. Ensuite, le Trésor public est censé réclamer ces sommes aux locataires mauvais payeurs. Peine perdue car la plupart sont insolvables.

* Sur un total de près de 300 000 logements en location (social et privé) en Seine-Saint-Denis

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 25 Octobre 2015

On le croyait à la retraite depuis sa rupture douloureuse avec le mannequin allemand Claudia Schiffer. Il semblerait qu’il n’en soit rien puisque le magicien mondialement connu nous a gratifié d’un tour de magie époustouflant.

En effet, profitant de l’obscurité, il a fait disparaitre les quatre roues d’une voiture à Aulnay-sous-Bois d’un simple coup de baguette magique ! Il a même réussi à glisser des parpaings en dessous du véhicule juste en bougeant le petit doigt. Un exploit qui pourrait pousser Harry Potter à reprendre du service…

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !