Il aura suffi d’un simple tweet en provenance d’un obscur transfuge du Rassemblement National vers Reconquête pour qu’une petite nomenklatura locale tente d’en faire une polémique.
Mais de quoi parle-t-on au juste ? D’un banal panneau publicitaire pour le supermarché Aswak Salam situé 24 rue Léon Jouhaux à Aulnay-sous-Bois.
Placée stratégiquement près du Rond-Point Schuman, point de passage routier et piétonnier important, et de plusieurs zones commerciales (Beau Sevran, Aldi près du quartier du Gros Saule, petits commerces du secteur Savigny), cette publicité a tout son sens notamment en cette période.
En effet, Ramadan Moubarak peut-on lire sur cette affiche, ce qui semble signifier tout simplement bonne fête du ramadan ou encore que le ramadan soit bon pour vous.
Pas de quoi pousser des cris d’orfraie donc ! Sachant que ce secteur est déjà abondamment envahi par d’autres panneaux publicitaires pour des marques aussi variées que Castorama, Grand Frais, Leclerc, etc... Il y a même en ce moment de la publicité pour de la bière ou encore un sandwich végan, le burger « Colonel Veggie Original » de KFC. Bref, ces publicités ne sont qu’une expression de la diversité de l’offre commerciale.
Par conséquent, il n’y a aucune raison de polémiquer sur le panneau utilisé par Aswak Salam qui, comme toute société commerciale, fait du marketing pour attirer les clients.
Les représentants du parti Reconquête n’ont visiblement toujours pas digéré leur échec cuisant aux élections présidentielles et législatives de 2022. Alors, peut-être qu’un Msemen nappé d’un délicieux Amlou aiderait à soulager leurs aigreurs d’estomac ! Un verre de Rayeb accompagné de dattes est également une option possible !
En attendant restons calmes et n’oublions pas que cette période appelle plutôt à la paix, la quiétude et l’unité avec la conjonction du ramadan pour la communauté musulmane, de pessa’h pour la communauté juive et de pâques pour la communauté chrétienne.
Ce week-end étaient encore visibles quelques inscriptions de mauvais goût près de la gare à Aulnay-sous-Bois. Ainsi, on pouvait lire en grosses lettres côté nord, au niveau de la mosaïque des quatre éléments, « Je suis plus belle entière». Côté sud, à proximité de la passerelle était inscrit « Rentrer sans être découpée ».
Quoi qu’il en soit, on se demande bien ce qu’il a pu se passer dans la tête des auteurs de ces inscriptions. D’abord, parce que cette affaire, aussi triste soit-elle, ne concerne a priori en rien Aulnay-sous-Bois. Ensuite, parce que l’espace public n’a pas vocation à être souillé par l’expression ou les états d’âmes de certains, quelle que soit la légitimité de leur cause.
Imaginons un instant si chacun s’amusait à écrire un peu partout dans la ville en fonction de ses humeurs du moment. Cela pourrait donner ceci. Une gentille réclamation musicale : « Un concert de Beyoncé, pas les travaux sur le RER B ! ». Plus costaud « Si t’es couillu, prépare un barbecue ! ». Enfin, plus trash et volontairement provocateur « Ta déconstruction, tu peux te la carrer dans l’oignon ! ».
Bref, plus sérieusement, l’espace public est un pilier du vivre ensemble. Le dégrader c’est s’en prendre à la vie en collectivité. C’est aussi générer des dépenses de nettoyage et donc gonfler le budget propreté sans raison alors que l’argent de la commune pourrait être affecté plus utilement. Quant aux « poètes Aulnaysiens », ils disposent de suffisamment de panneaux d’affichage libre pour s’exprimer sans polluer…
En attendant, merci à celles et ceux qui ont pris la peine de nettoyer.
Avant la guerre en Ukraine, c’était le sujet numéro 1 traité par les médias. En effet, la Covid-19 était partout avec le plus souvent un matraquage anxiogène sur le taux d’incidence, la saturation des services de réanimation, la déprogrammation d’opérations dans les hôpitaux, les variants, la nécessaire troisième dose, le passage du passe sanitaire en passe vaccinal, les points presse de Gabriel Attal, Olivier Veran, Jean Castex ou le mépris d’Emmanuel Macron envers les non-vaccinés etc.
Et puis soudain miracle ! La Russie envahit l’Ukraine et nos écrans s’emparent du sujet avec une diffusion non-stop du conflit que l’on peut suivre tranquillement de chez soi comme une série Netflix affalé sur son canapé, un coca dans une main et un cornet de popcorn dans l’autre.
Evidemment cette guerre est dramatique, mais elle aura au moins eu une vertu. Elle démontre que les médias orientent notre attention, probablement sciemment, vers les sujets censés être des priorités pour nous. Ce qui frappe, c’est la disparition totale et soudaine de toute autre actualité. Finie la campagne électorale ! Certains expliquent même qu’Emmanuel Macron a déjà gagné. Terminé le Covid-19 !
Comme quoi les scientifiques peuvent arrêter de chercher ! La guerre en Ukraine est le vaccin miracle contre la Covid-19 !
Source image 1 : page Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois / Source photo 2 : Aulnaylibre.com
Il est bien loin le temps de la COP 21 où l’on nettoyait les abords des autoroutes en direction de Paris pour accueillir les décideurs du monde entier et sauver la planète. Oubliées les larmes de crocodile de Laurent Fabius en 2015 après la signature d’un accord soi-disant historique sur le climat. Désormais président du Conseil constitutionnel, l’ancien premier ministre de François Mitterrand, semble bien loin du quotidien des Franciliens.
Pollution atmosphérique catastrophique générée par une circulation de plus en plus dense, RER B dans un état déplorable, mur de la honte à Pantin pour camoufler le trafic de crack, migrants aux portes de Paris dont on ne sait plus quoi faire, sans oublier les roms installés dans des camps de fortune prenant régulièrement feu comme ce fut encore le cas ce matin à Saint-Denis le long de l’autoroute A1.
Ah il est beau le tableau ! On imagine les trésors qu’il a fallu déployer pour cacher tout cela en vue de l’obtention des jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ! Nos dirigeants sont désormais les rois de l’apparence et en bons Tartuffes tentent de cacher aux Français ce qu’ils ne sauraient voir…
Le 16 novembre 1985, le monde entier assistait impuissant à la mort d’Omayra Sánchez Garzón, jeune colombienne de 13 ans, victime collatérale de l’éruption du volcan Nevado del Ruiz.
Hier, c’est comme si l’histoire se répétait. Durant cinq jours et quatre nuits, tous les yeux étaient rivés en direction du Maroc dans l’espoir de voir sortir de terre un petit bonhomme de cinq ans, tombé accidentellement dans un puits.
Malheureusement, dans les deux cas, le miracle n’a pas eu lieu.
Mais, dans un monde de plus en plus violent, où les nations et les hommes luttent pour on ne sait quelle suprématie, ces événements dramatiques tendent au moins à prouver que nous n’avons pas perdu toute humanité.
En effet, en 1985 comme en 2022, chacun d’entre nous a souhaité au plus profond de soi qu’Omayra et Rayan survivent et accomplissent leur destin.
La mort en a décidé autrement. Puissent-ils désormais reposer en pays au paradis des anges…
La photo ci-dessous est consternante. Elle a été prise avenue Jean Jaurès à Aulnay-sous-Bois. L’amas de détritus est aussi impressionnant que dégoûtant. Pourtant, les moyens de recycler les déchets ne manquent pas dans notre commune. Nous avons trois poubelles différentes : une grande verte pour les déchets non-recyclés, une grande bleue ou jaune pour le plastique et le papier, et une autre petite verte pour le verre. Il y a aussi une déchetterie, équipement remarquable où vous serez accueillis et conseillés avec professionnalisme. Nous avons enfin 2 500 corbeilles de rue disséminées dans la commune, soit le double d’une ville comme Asnières dont le nombre d’habitants, à savoir 85 946, est comparable au notre.
Oui mais voilà, c’est tellement plus simple de jeter, puisqu’il y aura forcément toujours quelqu’un pour ramasser. Cela s’appelle purement et simplement de l’incivilité, c’est-à-dire un manquement aux règles du comportement en société. Malgré des campagnes de sensibilisation à la propreté répétées rien n’y fait. Bon sang, comment se fait-il que les Suisses réussissent à avoir des villes propres ? Faîtes un tour à Lausanne par exemple, pas un papier qui traîne, on pourrait manger parterre. Est-ce impossible en France ?
En attendant des réponses à ces questions, n’oublions pas qu’à Aulnay-sous-Bois le budget propreté représente plusieurs millions d’euros chaque année. Avec moins de déchets balancés sur la voie publique et donc une ville plus propre, une bonne partie de cet argent pourrait être injectée dans les écoles, pour des actions éducatives, festives et culturelles, à l’entretien des routes et du patrimoine bâti, ou même investie dans d’autres équipements sportifs.
Bref, avant de jeter vos déchets dans la rue, réfléchissez au temps, à l’énergie et à l’argent gaspillés…
Hier, les quelques lecteurs du site d’opposition « MonAulnay » ont pu découvrir, non sans étonnement, l’étrange positionnement de la rédaction du blog.
En effet, le blog n’a pas hésité à relayer les attaques de Jordan Bardella à l’encontre de notre Maire, Bruno BESCHIZZA, candidat sur la liste de Valérie Pécresse aux élections régionales. L’auteur est même allé à revendiquer la paternité des accusations portées par le candidat RN.
Notre maire a répondu point par point à ces accusations répétées de l’extrême-droite sur son twitter, https://twitter.com/brunobeschizza/status/1401125434520186885?s=20, rappelant au passage au candidat du Rassemblement National qu’il y a une grande différence entre les musulmans et les islamistes. « Il va falloir que Bardella comprenne que oui, il y a des musulmans en France. Un musulman n'est pas forcément un islamiste. Il y a des islamistes, cela ne se traite pas en se bouchant le nez, mais en prenant à bras le corps ces sujets. »
Bien sûr, le blog de MonAulnay, connu pour son honnêteté intellectuelle toute relative, n’a fait aucune mention de ces réponses, pourtant factuelles et très étayées.
Dans cette entreprise de calomnie et de mensonge, il semble que Jordan Bardella ait trouvé des alliés de circonstance… Aulnay a donc la triste primeur d’un nouveau concept politique : le « Rassemblement-Nationalo-gauchisme ».
A défaut de rassembler son camp, la gauche aulnaysienne semble prendre le chemin d’une stratégie d’alliance des haines. La haine à l’encontre de notre Maire d’un côté et la haine portée par le Rassemblement National de l’autre. Triste programme.
Peu étonnant pour une gauche obsédée par l’origine et la race … La candidate Audrey Pulvar n’avait-elle pas tenu des propos racistes assumés par les élus d’Aulnay-en-Commun ?
Décidemment, la campagne réserve bien des surprises …
Depuis maintes années, l’association « Aulnay Environnement » a montré une constance : l’attaque systématique de l’action de la Municipalité en place depuis 2014.
Cela fait bien longtemps que cette association n’est plus que l’ombre d’elle-même. Ses actions sont quasi inaudibles et ses combats totalement opposés aux aspirations réelles des Aulnaysiens.
Pour preuve, malgré un grand nombre de tracts, malgré un investissement en temps, en énergie, et sûrement en argent, l’association n’a pas empêché Bruno Beschizza d’être réélu à la tête de notre ville en 2020 dès le premier tour
L’aversion pathologique d’« Aulnay Environnement » envers la Majorité municipale a poussé celle-ci à défendre plus d’une fois l’indéfendable. Rappelons-nous de leur opposition pavlovienne à l’aménagement de la Place Jean-Claude Abrioux. Grâce à l’action du Maire, cet ancien parking insalubre et dangereux est devenu une vraie place de vie et fait le bonheur de nos enfants. Qui peut encore soutenir le contraire ?
Une question se pose tout de même. Pourquoi ? Pourquoi un tel aveuglement ? Pourquoi une telle haine ? La réponse est très simple : la politique partisane.
En effet, c’est désormais un secret de polichinelle, Aulnay Environnement (qui n’a d’environnemental plus que le nom) s’est révélée, au fil du temps, être une succursale du groupe d’opposition municipale La République En Marche (LREM).
Aux dernières élections, au moins 5 membres de l’association étaient sur la liste « Aulnay plus fière plus forte » menée par Benjamin Giami avec le soutien du parti présidentiel.
En plein cœur de la campagne, le Président d’ « Aulnay Environnement », René-Augustin Bougourd, était allé jusqu’à publier une lettre ouverte dans laquelle il appelait à voter pour la liste macroniste.
Certes, tout cela en vain puisque la liste LREM arriva troisième aux élections avec seulement 14% des suffrages …
Cependant, parmi les 4 nouveaux élus de ce nouveau groupe d’opposition au Conseil Municipal, figure Christian Bausson. Celui-ci n’est autre qu’un des membres du bureau actuel de l’association « Aulnay Environnement » !
Bien évidemment, l’association se garde bien de jouer la carte de la transparence et d’en informer ses adhérents qui, pour beaucoup de bonne foi, ignorent ses accointances politiques.
Dès lors, « Aulnay Environnement » a perdu toute crédibilité. Ses quelques écrits ne passent plus que pour un acharnement simpliste et systématique envers notre Ville.
La défense de l’environnement semble, objectivement, du côté de la Municipalité qui, au dernier Conseil Municipal, a tout de même fait voter la création du nouveau Parc Floréal, l’acquisition et la rénovation de la villa Feninger et de son jardin afin de compléter la coulée verte, l’aménagement des berges du canal, la rénovation de la laiterie Garcelon pour y implanter un restaurant et des activités pédagogiques autour de l’agriculture urbaine, un nouveau centre aqualudique qui consommera 30% d’énergie en moins qu’un équipement classique, l’installation de recharge pour les véhicules électriques, ou encore un vœu sur la ZFE. Tout cela en un seul conseil …
Il y a ceux qui font de la politique politicienne et ceux qui travaillent pour leur ville.
En fin de conseil municipal, ce mercredi 7 avril 2021 à Aulnay-sous-Bois, le maire Bruno Beschizza a répondu de manière factuelle à une question orale posée par le groupe d’opposition Aulnay En Commun à propos d’un supposé acharnement judiciaire, vis-à-vis des blogueurs locaux notamment.
Dans un premier temps le maire a rappelé très clairement les conditions d’application de la protection fonctionnelle.
La protection fonctionnelle est un droit qui n’est pas nouveau. Force doit rester à la loi, force doit rester au droit. Il n’y a pas d’acharnement judiciaire. Il y a tout simplement un droit pour les élus à être protégé dans le cadre de leurs fonctions et de leurs mandats. C’est un droit personnel dont chaque élu doit pouvoir bénéficier. Le fait que la commune accorde la protection fonctionnelle est une obligation, une exigence démocratique, c’est ce qu’on appelle l’Etat de droit. La protection fonctionnelle est valable pour le maire, les agents qu’il s’agisse d’un animateur, d’un policier municipal, d’un directeur général des services, des élus de la majorité ou de ceux de l’opposition.
L’opposition municipale multiplie les procédures contre la ville d’Aulnay-sous-Bois
Loin d’être étrangère à la judiciarisation qui semble toucher la vie politique locale en ce moment, le maire Bruno Beschizza a rappelé que, depuis 2014, l’opposition municipale, principalement par le biais de la liste Aulnay En Commun, a multiplié les procédures contre la ville d’Aulnay-sous-Bois. La commune prend donc légitiment des avocats pour se défendre, ce qui engendre évidemment des coûts.
Concernant spécifiquement la prise en charge des frais justice, la ville d’Aulnay-sous-Bois agit simplement en conformité avec la loi.
Rappelons d’ailleurs au passage ces quelques chiffres. Depuis que la majorité municipale conduite par le maire Bruno Beschizza a été élue en 2014, la ville d’Aulnay-sous-Bois a été impliquée au total dans 182 procédures. 126 procédures ont donné lieu à des décisions favorables pour la commune, soit un taux de réussite de près de 70 % !
Attaqué, le maire Bruno Beschizza ne fait que se défendre
Enfin, concernant les derniers procès en cours, le maire d’Aulnay-sous-Bois n’a pas été condamné. La cour a simplement pris un arrêt, les frais de justice étant à la charge de celui qui a initié la procédure, comme la loi le prévoit. De toute façon, quoi qu’il en soit, il est évident que Bruno Beschizza ne pouvait pas laisser passer le fait d’avoir été traité d’homophobe et de salafiste, ce qu’il n’est évidemment pas.
En conclusion, le maire a fustigé à juste titre ces blogueurs bien planqués derrière leur écran, parfois même réfugiés en province pendant les périodes de confinement, qui attaquent, critiquent et souillent systématiquement l’action de la majorité municipale. Bruno Beschizza a préféré saluer la mobilisation de ses élus et des agents communaux qui ont affronté courageusement la violence de la crise sanitaire engendrée par la Covid-19 pour maintenir tant que possible la continuité du service public en particulier en direction des plus fragiles.
Mais c’est bien connu, les blogueurs Aulnaysiens sortent souvent les muscles quand ils attaquent, mais ils jouent systématiquement les Calimeros face à celles et ceux qui se défendent contre eux.
Pourtant c’est une évidence, quand on attaque quelqu’un, il faut s’attendre à ce qu’il se défende. La loi du Talion ne dit-elle pas « Œil pour œil, dent pour dent ! »
Souvenons-nous. Lors du dernier trimestre de l’année 2019, on évoque déjà la pandémie de Covid-19, mais la ministre de la Santé de l’époque, Agnès Buzyn, se veut rassurante expliquant que le virus devrait épargner la France et l’Europe.
Ce discours optimiste volera totalement en éclats au début de l’année 2020. Le coronavirus s’étend sur le territoire national, les hôpitaux sont submergés et le pays finalement totalement confiné.
Le confinement est un choc et met davantage en lumière les inégalités sociales. En effet, certains peuvent faire du télétravail, confortablement installés chez soi, pendant que d’autres, les fameux premiers de cordée doivent continuer à travailler en extérieur et s’exposer. Certains vivent dans de grandes maisons avec jardin, pendant que d’autres occupent de petits appartements. Ainsi, notamment en Seine-Saint-Denis, les violences conjugales et envers les enfants explosent.
C’est pourquoi, lors du premier déconfinement, la réouverture des écoles sonne comme un soulagement. Certes, les protocoles sanitaires renforcés ne rassurent pas totalement les parents, mais celles et ceux qui doivent travailler retrouvent un semblant de vie normale. Les enfants, notamment les plus fragilisés par les cours à distance, ont, eux aussi, l’opportunité de reprendre les apprentissages.
Aujourd’hui encore, c’est cette position qui est portée et défendue bec et ongles par le ministre de l’Education nationale. Malgré la flambée actuelle de l’épidémie, Jean-Michel Blanquer considère que les enfants sont mieux à l’école qu’à la maison.
C’est dans ce contexte que quelques blogueurs locaux et élus d’opposition, appartenant d’ailleurs tous à la liste socialo-écolo-communiste Aulnay En Commun, ont tenté d’alimenter une polémique honteuse au moment même où la gestion de crise devrait plutôt appeler à la mesure et à la tempérance.
En effet, instrumentalisant l’inquiétude des parents d’élèves et des enseignants, ils ont tenté de remettre en cause l’action du maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza et de sa majorité municipale. Pourtant, ceux-ci ont fait preuve d’une présence constante sur le terrain depuis le début de la pandémie de Covid-19, palliant les manquements de l’Etat en fournissant des masques, du gel hydroalcoolique, des gants, des lingettes, organisant du mieux possible le maintien et la continuité du service public aux habitants en protégeant les agents de la ville, multipliant les réunions avec le préfet pour faire appliquer, souvent dans l’urgence, des protocoles sanitaires changeants et contraignants, cherchant à défendre les commerçants de proximité et les marchés, tentant d’organiser des événements festifs pour maintenir un peu de lien social.
Compte-tenu de la situation actuelle, les critiques de ces blogueurs et élus d’opposition paraissent totalement indignes, a fortiori quand elles viennent de personnes se vantant d’avoir quitté Aulnay-sous-Bois pendant le confinement pour aller se réfugier en province ! Ah ils sont beaux ces donneurs de leçons bien planqués à l’abri derrière leurs écrans !
Alors, revenons aux faits, et rien qu’aux faits. L’inquiétude des parents d’élèves et des enseignants face à la propagation du virus dans les écoles est tout à fait légitime. Mais si les établissements scolaires restent ouverts, ce n’est que par la volonté du ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer. Le préfet, quant à lui, ne fait qu’appliquer les consignes de l’Etat. Un maire ne peut, en aucun cas, décider seul de la fermeture d’une école !
Dans ces conditions, l’instrumentalisation à des fins politiques de la peur des parents d’élèves et des enseignants par des blogueurs et élus d’opposition est totalement honteuse. Quelle indignité !
400 kms de bouchons en région parisienne à 17 heures. Des trains et des avions pris d’assaut. L’annonce du nouveau confinement qui va entrer en vigueur ce soir à minuit semble avoir généré un nouvel exode des habitants d’Ile-de-France pressés de rejoindre des régions moins touchées par les restrictions liées à la Covid-19.
D’où cette question pour les Aulnaysiennes et les Aulnaysiens : allez-vous quitter Aulnay-sous-Bois ? Si on faisait une consultation, plusieurs choix seraient sans doute possibles :
Oui (je suis déjà parti ou dans les bouchons, le train, l’avion !)
J’aimerais bien mais je ne peux pas !
Je pourrais mais je reste par solidarité pour Aulnay-sous-Bois
Non (quoi qu’il en coûte) !
Quel que soit le choix des uns et des autres, ces départs précipités et le brassage de population qu’ils induisent posent question. Mais ne réfléchissons pas trop, faisons confiance à Emmanuel Macron et Jean Castex puisque la situation est sous contrôle.
PS : si vous êtes un blogueur Aulnaysien, que vous vous exilez en province mais que vous continuez à publier des « articles » sur notre commune, bien planqué derrière votre ordinateur, de grâce évitez de critiquer celles et ceux qui restent à Aulnay-sous-Bois, à commencer par le maire Bruno Beschizza et les élus de la majorité qui tentent tant bien que mal de soutenir les habitants et les acteurs locaux (commerces, associations, clubs sportifs…) face à la pandémie. Si vous le faisiez, vous seriez un gros beauf à ranger dans la catégorie pauvre type…
En ce lundi matin, pourtant, force est de constater qu’on n’y voit toujours pas très clair sur la possibilité d’un nouveau confinement en Ile-de-France. Le taux d’incidence est surveillé de près. Le 11 mars il était de 391 pour 100 000 habitants dans la région, la palme revenant à la Seine-Saint-Denis avec un taux de 487.
Néanmoins, Matignon semble vouloir gagner du temps, expliquant que ce seul critère n’est pas suffisant pour reconfiner le puissant poumon économique du pays que constitue la région parisienne. Il est vrai qu’un nouveau confinement, même limité aux week-ends, sonnerait comme un désaveu pour le gouvernement un an seulement après celui de mars 2020. Alors on attend. Mais jusqu’à quand ?
Quoi qu’il arrive désormais, la crise sanitaire du Covid-19 et ses plus de 90 000 morts en France aura mis au grand jour l’impuissance de notre pays face à une pandémie. Politiciens peu préparés et tentants de rassurer la population par le discours sur un virus soi-disant cantonné aux limites de la Chine, division pour ne pas dire déchirement de la communauté scientifique, absence de masques, insuffisance de tests, hôpitaux affaiblis par le manque de moyens humains et matériels, incapacité des laboratoires français à produire un vaccin, campagne de vaccination chaotique.
Et ne parlons pas de l’ardoise financière qui découlera du fameux quoi qu’il en coûte. La note pour les français et les collectivités territoriales risque d’être particulièrement salée. Il faudra, en effet, tôt ou tard rembourser la dette publique qui atteint les 2 800 milliards d’euros soit 40 000 euros par habitant. Les dégâts pour les entreprises, les commerçants et le monde de la culture seront eux aussi considérables.
Dans ces conditions, il est inutile de se bercer d’illusions. Le virus a déjà gagné la partie, affaiblissant la mondialisation et son modèle économique pour longtemps. La vaccination représente bien entendu un espoir, mais elle ne garantit en rien l’éradication complète de la maladie qui pourra ressurgir à tout moment sous cette forme ou une autre. Or, si les diamants sont éternels, le confinement, lui, ne pourra pas durer éternellement…
C’est un lieu commun. Il semblerait que l’être humain, et sans doute un peu plus quand il est français, soit plutôt réfractaire au changement. La faute peut-être à un ancien président de la République, François Hollande pour ne pas le nommer, qui en avait fait son slogan de campagne « le changement c’est maintenant ! ». On s’en souvient, en 2012, le socialiste avait promis le couscous royal pour tout le monde, et cinq ans plus tard le peuple de France avait fini avec la semoule et le bouillon !
Mais revenons à nos moutons et à cette « affaire » Gorki vs Chirac. Sur la forme, admettons bien volontiers les désagréments administratifs liés à un changement de nom de rue. Même si la mairie a promis de prendre en charge tous les frais induits, on peut comprendre un certain agacement à devoir entreprendre ce type de démarche.
Sur le fond, en revanche, il n’y a vraiment pas de quoi faire tout un fromage à propos d’un changement de nom de rue à Aulnay-sous-Bois. Il y a en eu dans le passé, il y a en a dans le présent et il y en aura d’autres dans le futur. L’histoire est une matière vivante et chaque exécutif municipal, légitiment élu par les voix des urnes, imprime sa marque en fonction de ses sensibilités.
Souvenons-nous de la mini-polémique entretenue par une petite minorité autour de l’ex-place Camélinat. Le député-maire Jean-Claude Abrioux a désormais pris la place de Zéphirin Camélinat et la vie continue. Chaque habitant de la ville demeure libre d’appeler cet endroit place des écoles, place Camélinat ou place Abrioux comme bon lui semble.
Bref, il est fort à parier que, dans peu temps, ce changement de rue Maxime Gorki en rue Jacques Chirac deviendra un non-sujet à Aulnay-sous-Bois et que le vent l’emportera…
Source image 1 : BFM TV Paris / Source image 2 : Département de la Seine-Saint-Denis
Ces dernières 24 heures, on apprend que 5 personnes supplémentaires sont mortes du Coronavirus en Seine-Saint-Denis, ce qui porte le total à 1 759 victimes dans notre département depuis le début de la pandémie.
Si ces décès sont évidemment dramatiques et causent un chagrin légitime dans les familles concernées, il faudrait peut-être considérer qu’à l’échelle du 93 le taux de mortalité reste relativement faible.
En effet, en faisant le ratio nombre de morts sur nombre d’habitants on obtient 0,11% !
Alors, à chacun d’appréhender les événements à sa manière, mais la bonne nouvelle, au moins, est que 1 637 657 habitants de la Seine-Saint-Denis ont survécu à la Covid-19 pour le moment !
On était censé détenir le scoop de ce début d’année 2021 ! MonAulnay et Aulnaycap, alliés dans le rôle de la balance, avaient en effet débusqué une supposée taupe de l’actuelle majorité municipale au sein d’une formation politique locale de gauche, possiblement le PCF.
Rappel rapide des faits. Arnaud Kubacki alias Arnaud K. semble dans un premier prétendre avoir débusqué ladite taupe mais ne fait pas d’article sur son blog. Qu’à cela ne tienne, telle une hyène humant les restes d’une proie en putréfaction, Hervé Suaudeau se jette sur l’occasion et nous gratifie d’un article sur MonAulnay intitulé « La municipalité a-t-elle une taupe à gauche ? ». Mais cet écrit ne résout pas l’énigme, à savoir quelle est l’identité officielle de cette taupe ?
La taupe tardant à sortir de terre, Hervé Suaudeau et Jean-Louis Karkides tentent ensuite de mettre la pression sur l’un des représentants du PCF Aulnaysien, en la personne de Mackendie Toupuissant, pour obtenir une réaction officielle. Ce dernier semble plutôt interloqué par la méthode et répond à Jean-Louis Karkides sur Facebook «t’as oublié nos numéros ? ». Il explique cependant qu’un communiqué pourrait être produit sur cette « affaire ».
Depuis lors, comme disait Jacques Chirac, le scoop de la taupe a fait « Pschitt ! » et celle-ci n’a plus donné signes de vie ! De même, la formation de gauche pointée du doigt par MonAulnay n’a toujours pas réagi officiellement.
Quoi qu’il advienne par la suite, ces événements posent vraiment question. Pourquoi balancer le nom, même si ce ne sont que les initiales, d’une supposée taupe sur un blog, sans en apporter de preuve irréfutable ? Sommes-nous revenus aux temps des lynchages publics ?
De plus, puisque les protagonistes de l’affaire sont visiblement tous du même bord politique, à savoir la gauche au sens large (PS, EELV, PCF, PRG…), et semblent se connaitre de longue date, pourquoi n’avoir pas discuté de la taupe, en interne, sans tout ce déballage à l’extérieur orchestré par un blog ?
Enfin, quand bien même cette taupe existerait, de quelles informations hautement stratégiques disposerait-elle donc pour intéresser à ce point l’actuelle majorité municipale ? Le maire Bruno Beschizza et ses élus ont obtenu 60 % des voix, sont arrivés en tête dans la totalité des bureaux de vote, et ont emporté le scrutin de mars 2020 dès le premier tour. Ont-ils vraiment eu besoin d’une « taupe à gauche » pour accomplir cela et écraser le match ?
Ceci étant, et c’est au moins une leçon de cette histoire : si vous devez échapper à votre pire ennemi, ne vous cachez surtout pas dans la cave d’un blogueur de MonAulnay et d’AulnayCap. Avec des amis pareils, on n’a pas besoin d’ennemis !
PS (sans vilain jeu de mot) : nous partageons cette affiche à l’humour assez caustique concocté par le profil Facebook Aulnaypopulaire qui a le mérite d’apporter sa pierre à l’édifice dans cette enquête en posant une question hautement essentielle : « la taupe » mange-t-elle du couscous ?!
Bravo pour le montage en tout cas, c'est succulent !
Montage image réalisé par le profil Facebook Aulnaypopulaire
Au départ, une simple plaisanterie, mais au final une vraie question de fond ? Une roue de vélo a-t-elle vraiment été volée place Abrioux à Aulnay-sous-Bois ?
Essayons de passer en revue quelques éléments. La photo de la roue manquante ne prouve rien en soi. En effet, les cyclistes un peu paranos ont parfois tendance à enlever soit une roue, la selle ou les pédales de leur vélo pour le rendre moins attractif et dissuader les potentiels voleurs.
Un parent d’élèves, présent sur place, aurait vu des jeunes jouer avec la roue en question. Peut-être s’agissait-il donc simplement d’un jeu comme un autre, initié pourquoi pas par le propriétaire de la bicyclette soi-même.
Quoi qu'il en soit, ces interrogations ne sont pas si anodines. On se souvient que le changement de nom de la place Camélinat en place Jean-Claude Abrioux ainsi que son réaménagement complet par le maire Bruno Beschizza n’avaient pas été du goût d'une petite minorité.
De même, la poursuite de l’installation de caméras de vidéoprotection dans notre commune ne semble pas plaire à une poignée de militants de gauche conservateurs et réfractaires, alors même que des villes de Seine-Saint-Denis gérées par des édiles de cette mouvance politique s’y mettent aussi, poussés par des habitants de plus en plus sensibles aux questions de sécurité.
Dès lors, sans doute guidés par l’amertume et un soupçon de mauvaise foi, certains chercheraient peut-être n’importe quel prétexte pour créer la moindre polémique autour de cette place.
C’est pourquoi, évitons les Fake news ! Les blogueurs d’Aulnay-sous-Bois, par exemple, ne peuvent pas à la fois se plaindre de la mauvaise image que les médias renvoient de notre commune le plus souvent, et participer eux-mêmes à cette impression en relayant des éléments non totalement vérifiés, comme ce supposé vol de roue de vélo.
Ceci étant écrit, retenons tout de même l’essentiel. La place Camélinat était un horrible parking de voitures où pollutions visuelle, sonore et olfactive régnaient en maîtres. La place Jean-Claude Abrioux est désormais un havre de paix, rendu aux piétons et qui fait le bonheur des habitants et des commerçants. Une roue de vélo ne saurait remettre ceci en question…
Source photo 1 : compte Twitter de Petit Louis, dernière plume un peu pamphlétaire de la ville d’Aulnay-sous-Bois (voir son blog Ecume de mes jours : ici) / Source photo 2 : compte Twitter de la ville d'Aulnay-sous-Bois
Il aura suffi que nous publions nos chiffres d’audience démontrant qu’en 2020 le blog Aulnaylibre.com a été, de loin, le plus visité de toute la blogosphère à Aulnay-sous-Bois pour que nos deux principaux concurrents réagissent au quart de tour !
Désormais la course est lancée et c’est Jean-Louis Karkidès de MonAulnay qui s’en est officiellement chargé ! En quoi consiste-t-elle ? Il s’agit de publier le plus d’articles possible ! C’est un petit peu comme si nous nous retrouvions tous au McDonald’s du carrefour des Droits de l’Homme. Chacun mange le plus de double-cheeseburgers possible et, à la fin, le premier qui vomit a gagné !
Nous admettons bien volontiers rester dubitatifs face à un tel « défi » alors que la France lutte en ce moment même contre la Covid-19 et vient de franchir la barre des 80 000 morts ! A l’instar des habitants de notre pays, certaines et certains autour de nous à Aulnay-sous-Bois ont sans doute des inquiétudes légitimes pour leur avenir et celui de leurs enfants.
Mais peu importe visiblement ! L’important, pour certains blogueurs, la préoccupation du moment, la priorité absolue c’est la course à l’audience, bref, vulgairement savoir qui a « la plus grosse » ! Le « Chiche » provocateur lancé hier soir par Jean-Louis Karkidès est-il annonciateur d’une guerre ouverte entre les blogs à Aulnay-sous-Bois ? Bien malin qui pourrait le dire aujourd’hui. Certes, nous ne sommes pas amis, au sens fraternel du terme, avec les rédacteurs de MonAulnay et d’Aulnaycap, mais nous ne sommes pas encore ennemis. Car un ennemi c’est avant tout quelqu’un contre lequel vous devez vous défendre, parce qu’il représente une menace.
Arnaud Kubacki, alias Arnaud K., du blog Aulnaycap, constitue-t-il une menace pour Aulnaylibre ? Nous serions tentés de répondre que non. Son CV à Aulnay-sous-Bois est bien connu et se résume en quelques mots. Il incarne le parfait exemple de l’accident industriel en politique. Longtemps grand espoir du Parti Radical et de l’UDI, il était, parait-il, le maitre de l’information locale, les yeux et les oreilles de son mentor Jacques Chaussat (qui lui était le cerveau), avant de sombrer dans les oubliettes comme une vieille chaussette après l’élection municipale de 2014. Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts et l’UDI est désormais incarnée dans notre ville par des visages connus et reconnus tels Sébastien Morin, Amélie Pinheiro ou encore Karine Lanchas-Vicente. Alors, à quoi servirait un combat de coq avec lui ? Ce serait un peu comme s’en prendre à une ambulance ou à Billel Ouadah. Non, mais franchement, qui se risquerait à attaquer les Daltons s’ils se lançaient en politique non pas en envoyant Joe mais deux Averell pour le prix d’un ?
Du côté de MonAulnay, il ne reste désormais que Jean-Louis Karkidès et Hervé Suaudeau. Tous les deux candidats malheureux sur la liste Aulnay En Commun, menée par leur ami de longue date, Alain Amédro, lors des dernières élections en mars 2020, leur blog est devenu au fil du temps un site d’opposition municipale, même s’ils n’osent pas l’avouer ouvertement. Tous les deux sont bornés, mais l’un des deux est plus bête que méchant. L’autre, en revanche, derrière son sourire mielleux, est un vrai méchant, capable de trainer votre nom dans la boue quitte à s’excuser platement plus tard sans en penser un mot. Nous connaissons bien ses méthodes pour l’avoir fréquenté malheureusement trop longtemps. Bref, ce sont des éblouis, fidèles, coûte que coûte, à la cause qu’ils défendent. Nul besoin d’aller consulter Madame Soleil pour cerner leur profil. Avec eux tous les coups sont permis.
Du coup, une fois ceci écrit, que se passe-t-il ? Le game « la course aux articles dans les blogs aulnaysiens » se poursuit-il en mode « Si vis pacem, para bellum » la locution latine traduite par « Si tu veux la paix, prépare la guerre » ou bien allons-nous la jouer cool comme Beckham ? A l’heure où s’écrivent ces lignes, nul ne le sait. Alors, dans le doute, suivons les sages préceptes de nos vrais amis, Nietzsche et Spinoza : éloignons-nous des passions tristes que constituent le passé et l’avenir et croquons à pleines dents dans le présent !
Et citons, en conclusion, l’immense Jean de la Fontaine qui sait si bien résumer l’essentiel en peu de mots : Rien ne sert de courir, il faut partir à point ! (Le Lièvre et la Tortue).
Ne revenons pas sur cette « enquête » cousue de fil blanc où un certain Ar. K. du blog Aul. C. aurait découvert une taupe au sein d’un parti de gau. à Aulnay-sous-Bois. Celle-ci donnerait, parait-il, des informations stratégiques top-secret de la plus haute importance à un certain Br. Be., éminent personnage de notre bonne commune.
Dénoncée par le blog d’opposition municipale de la liste Aul. e. Com., à savoir Mo. Aul, la taupe serait connue sous le nom de code « Cha.» et utiliserait le profil Facebook Fré. Mar.
A en croire ce faux blog d’information, on serait en présence d’une affaire digne du Watergate !
En attendant de nouvelles révélations fracassantes, puisqu’il parait que ledit parti de gau. devrait faire un communiqué sur cette question brûlante, on ne peut qu’ironiser sur ce « scoop » tout droit sorti des poubelles et à l'importance insignifiante sur la vie locale.
Car, quelle que soit l’identité de « Cha. », on sait très bien que Br. Be. n’a aucun besoin de taupe, de surcroit en provenance d’un parti politique moribond au poids électoral inexistant, pour remporter le succès que l’on connait.
Bon, excusez-nous, nous devons faire un passage aux toilettes, parce que y’a la taupe qui est sur le point de sortir !
PS : si vous souhaitez échapper à votre pire ennemi, ne choisissez jamais la cave d'un blogueur d'Aulnay-sous-Bois pour vous cacher !
C’est une rumeur qui enfle et se répand tel un virus dans notre commune. Après les faux agents municipaux, les faux policiers ou encore les faux plombiers, il existerait, parait-il, des faux blogueurs à Aulnay-sous-Bois ! Ils séviraient en informant les incrédules !
Comment les reconnaitre ?
Alors, comment les reconnaitre ? Premier indice : ces faux blogueurs prétendent écrire des articles. En réalité, la plupart du temps, ils ne font que recopier des informations en provenance d’autres sources : Le Parisien, alertes Google, site Actu 93, page Facebook #SeulsLesAulnaysiensPeuventComprendre, réseaux sociaux officiels de la commune ou autres communiqués. Pourtant, un blogueur digne de ce nom est censé produire du contenu original, bien rédigé et bien construit.
Le dernier vrai blogueur en date qui faisait vraiment honneur à la profession était Alexandre Conan sur le regretté site 93600 Infos (lire ici). Ses publications étaient en effet bien écrites, documentées et illustrées avec des photos authentiques.
Second indice : les faux blogueurs jureront la main sur le cœur qu’ils sont totalement libres et indépendants ! Tout d’abord, la liberté et l’indépendance sont des notions trop abstraites et arbitraires pour être revendiquées aussi aisément. Et quand bien même, au-delà de ce débat presque philosophique, quelques clics suffisent pour se rendre compte que la quasi-totalité des blogueurs locaux sont avant tout des militants politiques.
Ils sont, soit encartés, soutiens avérés de formations politiques, ont été ou seront candidats à des élections. Leurs écrits sont donc forcément orientés et sous influence alors qu’ils prétendent pourtant user de leur plume en toute neutralité ! C’est une supercherie aussi grossière qu’un éléphant errant au milieu d’une boutique de porcelaine.
Une course à l’audience qui privilégie la quantité à la qualité
Nous l’avons vu plus haut, la blogosphère Aulnaysienne souffre actuellement d’au moins deux maux. D’abord, un manque criant d’originalité. En effet, au terme blogueur devrait plutôt se substituer celui de «recopieur », la faute à une course frénétique pour générer de l’audience. Il n’y a pas de secret, pour multiplier les clics il faut multiplier les publications et de fait privilégier la quantité à la qualité.
De ce point de vue, les blogs locaux ne font que suivre la tendance impulsée par notre société de consommation : production standardisée au moindre coût pour toucher le plus grand nombre. Le marché est inondé d’œufs de lump dont se contente une majorité, faute de mieux, alors que les initiés, par essence en nombre minoritaire, connaissent et louent la valeur inestimable du caviar !
Le second mal qui frappe insidieusement la blogosphère Aulnaysienne est cette fausse candeur dissimulée qui consiste à prétendre informer alors qu’il est avant tout question de mettre en avant les amis de son parti ou de son idéologie. L'autre est alors forcement envisagé comme un ennemi dont l'image doit être ternie. D’ailleurs, pour arriver à ses fins, le blogueur local n’hésite pas à utiliser tous les procédés les plus vils pour salir celle ou celui qui n’est pas dans son camp ou ne pense pas comme lui.
Hé oui, le blogueur local est aussi manipulateur, de mauvaise foi et hypocrite. C’est sans doute pour cela qu’il finit toujours par faire de la politique parce qu’il est parfaitement adapté à ces deux milieux !
Gros égos mais maigre influence sur la vie politique locale
Au-delà de nos petites et modestes réflexions exposées plus haut, ce qui caractérise, enfin, le blogueur Aulnaysien c’est son égo surdimensionné ! Chacun, tel un Narcisse contemplant son reflet dans l’eau, passe son temps à flatter son nombril. Tous les ans, c’est la même histoire au moment du bilan. Et va-z-y que j’ai tant de followers sur Twitter, d’abonnés sur Facebook, de vues sur YouTube, de nombre de lecteurs !
Tel un Rocco Siffredi, les centimètres en moins pourtant, chaque blogueur Aulnaysien clame haut et fort avoir la plus grosse ! Le plus comique dans tout ça, c’est la prétendue énorme influence que les blogueurs auraient sur la vie politique locale. A les écouter, ce serait eux qui dicteraient le tempo ! Un positionnement qui doit bien faire marrer le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza et son entourage, régulièrement égratignés par cette blogosphère si libre, si indépendante, si populaire et au poids si important !
Réélu en 2020 dès le premier tour, en tête dans la totalité des bureaux de vote de la ville, conforté malgré deux recours administratifs, l’édile peut entamer son second mandat sereinement. Il évolue, lui et son équipe municipale, au quotidien, sur le terrain, dans le réel, pendant que les blogueurs locaux s’agitent dans les méandres du virtuel derrière claviers et écrans.
Quid des blogueurs de demain ?
En guise de conclusion, ne nous méprenons pas sur les intentions de ce modeste écrit. Il ne s’agit bien entendu pas de critiquer ouvertement les blogs. La liberté d’expression est évidemment un acquis fondamental qu’il est hors de question de remettre en cause.
D’ailleurs, l’époque actuelle n'est-elle pas un hymne vibrant à la liberté d’expression au sens large du terme ?! En effet, n’importe quel idiot peut s’exprimer sur les réseaux sociaux et donner son opinion ! Il peut même, en trente secondes, créer un blog, recopier des articles, faire de l’audience tout en étant un parfait Averell de l’information !
De ce point de vue, cette période est finalement tout à fait salutaire. Car comme la lumière a besoin de l’ombre et inversement, l’intelligence a besoin de la bêtise pour s'apprécier !
Sans vouloir jeter la pierre à quiconque, il n’y a plus grand-chose à attendre de la blogosphère locale actuelle. Elle est trop politisée et animée par des intérêts qui nuisent à sa crédibilité.
Seul espoir, peut-être, qu’émerge d’ici 20 ou 30 ans une nouvelle génération de blogueurs locaux, moins rongée par l’ambition, moins politisée, moins manipulatrice, plus désintéressée, plus soucieuse de qualité que de productivité.
Si un jour, dans un futur plus ou moins lointain, tu lis ces lignes, toi la blogueuse, toi le blogueur d’Aulnay-sous-Bois, prends de la hauteur avec ta plume et fais-nous rêver !
A l’heure où le déconfinement s’approche à grands pas, on assiste presque médusé au réveil tardif et poussif de l’opposition à Aulnay-sous-Bois !
Jusque-là silencieuses derrière leur mutisme, voilà en effet qu’ « Aulnay En Commun » et « Aulnay plus fière plus forte » semblent sortir d’un long sommeil léthargique post-électoral.
Vu le résultat des dernières élections municipales nous ne tirerons évidemment pas sur cette opposition, qui a des allures d’ambulance aux quatre pneus crevés, mais on s’étonnera de ce zèle soudain à revenir sur le devant de la scène alors que les agents municipaux, le maire Bruno Beschizza et sa première adjointe Séverine Maroun sont sur le front 24 heures sur 24 depuis que les mesures de confinement ont été décrétées le 17 mars dernier.
Nous ne nous attarderons pas sur les propos des représentants d’ « Aulnay En Commun ». Ils sont abondamment relayés par les deux blogueurs, confortablement planqués derrière leur ordinateur mais jamais avares en matière de critiques envers la majorité municipale, qui figuraient sur cette liste lors du scrutin de mars 2020.
En revanche, on est très gêné pour « Aulnay plus fière plus forte ». Comment en effet expliquer la passivité des représentants locaux de La République En Marche dans cette crise sanitaire ? Ils devraient être les relais de la parole du président Emmanuel Macron et de son Premier ministre Edouard Philippe. C’est à eux d’expliquer aux Aulnaysiennes et aux Aulnaysiens pourquoi l’Etat a eu les pires difficultés à gérer la pandémie. C’est à eux de dire pourquoi le ministre de la santé, Olivier Veran, affirmait au début que les masques n’étaient pas nécessaires, voire inappropriés, alors qu’ils sont désormais obligatoires, cette cacophonie engendrant en ce moment des ruptures d’approvisionnement. C’est aussi à eux de porter la décision politique de LREM de rouvrir les écoles début mai alors que le conseil scientifique préconisait d’attendre le mois de septembre !
Au lieu de cela, « Aulnay plus fière plus forte » pose des questions ! C’est pourtant à eux qu’il faudra demander des comptes une fois le virus mis hors d’état de nuire !
Ainsi, ne nous trompons pas. Certes, en faisant des propositions l’opposition est dans son rôle, mais personne n’est dupe de sa passivité et de son incapacité à gérer efficacement et concrètement la crise sanitaire sur le terrain. Pendant que le maire Bruno Beschizza est en première ligne, d’autres profitent peut-être du confinement pour écrive un livre en vue des prochaines élections municipales de 2026 qui pourrait s’intituler « journal d’un confiné à Paris découvrant la crise sanitaire à Aulnay-sous-Bois » !
Dès lors, nul doute que, comme en 2020, lors du scrutin municipal de 2026, les Aulnaysiennes et les Aulnaysiens sauront trier le bon grain de l’ivraie !
Source : contribution externe d’un électeur Aulnaysien
Alors que le monde entier fait face à une crise sanitaire sans précédent depuis la grippe espagnole de 1918, que les familles endeuillées s’accumulent et que le confinement peine à ralentir le nombre de malades et de victimes du Covid-19 ou Coronavirus, certains à Aulnay-sous-Bois n’ont visiblement rien de mieux à proposer qu’une tribune politique pour ne pas sombrer dans l’oubli !
Ainsi, en l’absence de publication du magazine municipal Oxygène au mois d’avril, les représentants de la liste Aulnay En Commun ont publié sur leur blog de campagne (MonAulnay.com) quelques lignes pour le moins indécentes compte-tenu de la situation gravissime que traverse notre pays.
Autre point à remarquer, la gauche Aulnaysienne se plaint du manque de moyens des hôpitaux. Une posture honteuse lorsque l’on songe que dès 2014, sous la présidence de François Hollande, la ministre de la santé Marisol Touraine lançait un plan d’austérité en demandant aux établissements hospitaliers de réaliser des économies d’au moins 3 milliards d’euros d’ici à 2017 ! (Voir article : ici).
La gauche est du reste la pire ennemie des services publics. Rappelons que François Hollande puis Emmanuel Macron ont torpillé les collectivités territoriales en les privant arbitrairement de 23 milliards d’euros de recettes. Dans cette opération, la ville d’Aulnay-sous-Bois a d’ailleurs perdu 26 millions d’euros de ressources qu’elle aurait pu investir dans l’intérêt des habitants de la commune.
Enfin, dernier point, en lien avec la thématique locale, la tribune de la liste Aulnay En Commun revient sur les dernières élections municipales, les qualifiant de simulacre. Il est important de rappeler que le 12 mars 2020, soit 3 jours avant le scrutin, Olivier Faure, premier secrétaire du Parti Socialiste, et Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, expliquaient devant les micros qu’il n’y avait aucune raison de reporter le vote ! (Voir vidéo : là).
Dès lors, si la gauche locale rassemblée (PS, PRG, PCF, Europe Ecologie Les Verts) n’est pas satisfaite du résultat du premier tour des élections municipales, elle devrait s’en prendre d’abord à elle-même plutôt que de jouer les pleureuses. Il parait évident qu’au moment de glisser leur bulletin dans l’urne une majorité d’Aulnaysiennes et d’Aulnaysiens ne voulait pas revivre le traumatisme des années 2008-2014 marquées par un traitement brutal du personnel communal, un mépris des habitants et une gestion financière calamiteuse responsable de 70 millions d’euros de dette en seulement 6 ans !
La tribune politique précise finalement qu’un recours au Tribunal administratif a été déposé. Il ne fera pas oublier que le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, est arrivé en tête dans la totalité des bureaux de vote de la ville, et qu’il l’a emporté avec près de 60% des suffrages et 6 000 voix d’avance…
Nous n’en sommes malheureusement qu’au début, mais la crise sanitaire à laquelle le monde moderne fait face actuellement est sans précédent. Elle sème chaque jour la mort. Plus de 20 000 victimes au niveau mondial, plus de 8 000 en Italie, plus de 4 000 en Espagne et sans doute pas loin de 2 000 en France.
Alors que des familles de plus en plus nombreuses pleurent leurs proches, certains habitants à Aulnay-sous-Bois semblent avoir des préoccupations bien plus urgentes et importantes ! A commencer par les blogueurs intégristes de MonAulnay.com qui annoncent tambour battant un recours suite à l’élection au premier tour de Bruno Beschizza.
C’est sans doute dur à avaler pour eux, qui ont soutenu une liste de gauche rassemblée en effectuant une campagne honteuse et indigne à travers leur blog de propagande, mais le maire a été réélu dans un fauteuil. C’est même un plébiscite. Près de 60% des suffrages, en tête dans tous les bureaux de vote de la ville et 6 000 voix d’avance sur Aulnay En Commun ! Même le très populaire Jean-Claude Abrioux a toujours été élu au second tour.
Autre polémique du moment agitée par les deux scribouillards de MonAulnay.com, l’abattage, ô mon dieu, de trois malheureux chênes centenaires dans le jardin d’un pavillon de notre commune ! Non mais quel drame, à l'instant même où le Covid-19 frappe mortellement juste à côté de chez nous ! Une adolescente de 16 ans pleine de vie et de rêves en Essonne, deux élus municipaux aimés et respectés à Drancy et tous ces anonymes fauchés par le virus.
Alors ramenons les choses à leur juste proportion. Des élections et des recours il y en aura d’autres. Des arbres tomberont et certains repousseront. Mais pour celles et ceux tués par le Coronavirus il n’y aura pas de seconde chance. La mort frappe une seule fois et c’est définitif. C’est pourquoi protégeons-nous, prenons soin de nos proches, laissons le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza prendre les mesures nécessaires pour que le personnel municipal puisse continuer ses missions de service public en toute sécurité. C’est le plus important. Tout le reste peut attendre…
PS : si les deux petites frappes de MonAulnay.com sont sujettes aux aigreurs d’estomac, une bonne tisane aux cactus devrait les soulager !
Le discours prononcé hier soir à la télévision par Emmanuel Macron à propos du Coronavirus est un exemple flagrant du « en même temps » si cher au président et pourtant si contradictoire !
En effet, alors que tous les annonces vont dans le sens d’un confinement général, fermeture des crèches et des établissements scolaires, interruption des manifestations sportives et culturelles, incitation au télétravail pour éviter les déplacements professionnels, la tenue des élections municipales de dimanche est pourtant maintenue !
Avec une rhétorique ambiguë du président de la République puisqu’il invite gentiment les seniors à rester chez eux plutôt que de prendre le moindre risque face à l’épidémie. Ce discours n’est-il pas en soi une tentative d'intrusion déguisée dans le scrutin de nature à en modifier l’issue ?
Alors désolé, monsieur Macron, ce stratagème ne fonctionnera pas avec moi. Je suis senior et j’irai voter dimanche. D’abord parce que les mesures d’hygiène et de sécurité ont été renforcées dans notre commune et ensuite parce que vous ne m’empêcherez pas choisir mon maire à Aulnay-sous-Bois !
Et au moment de glisser mon bulletin dans l’urne je n’oublierai pas non plus comment vous avez réduit ma retraite et celle de mes vieux concitoyens…
Dans la jungle des blogs locaux, MonAulnay.com s’est toujours caractérisé par son petit côté donneur de leçons. Quand certains publiaient des faits divers, MonAulnay.com levait les yeux au ciel et écrivait oh la la pas de ça chez nous ! Chez nous, nous ne mangeons pas de ce pain-là ! Mais pris par la nécessité de publier tous les jours pour faire un minimum d’audience, ils ont fini par en poster.
Ensuite, quand d’autres publiaient un article du journal Le Parisien sur leurs blogs, MonAulnay.com prenait un air courroucé et écrivait oh la la pas de ça chez nous ! Chez nous, nous ne mangeons pas de ce pain-là ! Nous ne publions que des articles faits maison. Mais pris par la nécessité de publier tous les jours pour faire un minimum d’audience, ils ont fini par en poster également.
Ces derniers temps, Hervé Suaudeau et Jean-Louis Karkides, les Dalton de l’info, ont franchi un cran supplémentaire dans la manière d’utiliser MonAulnay.com pour donner des leçons. D’un blog supposé d’information, ils ont fait un blog d’opinion qui tire désormais à boulets rouges sur la quasi-totalité des actions menées par le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, et son équipe municipale.
Une élue participe à un rallye humanitaire ? MonAulnay.com couvre cet événement d’opprobres ! Un pavillon est en ruines rue Jules Princet, la ville va en faire un espace de respiration verdoyant ? MonAulnay.com trouve que la bâtisse était d’une architecture remarquable ! Une place piétonne et arborée va remplacer un affreux parking au stationnement anarchique place Abrioux ? MonAulnay.com crie au meurtre pour quelques plantations qui seront pourtant remplacées ! Une piscine mal entretenue et sur le point de s’effondrer va devenir un stade nautique olympique ? MonAulnay.com fustige le projet ! La revitalisation du site de l’ancienne usine PSA est à l’étude ? MonAulnay.com annonce la destruction du parc Robert Ballanger alors que la concertation vient à peine de débuter ! Le maire Bruno Beschizza limite ostensiblement le nombre des constructions sur l’axe Mitry-Princet en renégociant la concession laissée par son prédécesseur ? MonAulnay.com hurle à la bétonisation !
On pourrait enchainer les exemples qui démontrent la dérive sectaire et quasi-extrémiste des deux derniers rédacteurs à alimenter MonAulnay.com, lieu d’expression pourtant pluraliste il y a quelques années. Insinuations douteuses, mauvaise foi caractérisée, rumeurs relayées sans preuves, suppositions non documentées, amalgames sournoisement distillés, affirmations fermes et définitives publiées sans analyse ni recul, mise en cause des compétences du directeur général des services de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Tout est bon pour pourrir, salir… quitte à blanchir un peu plus tard avec quelques plates excuses.
Vous l’aurez compris. Le doute n’est plus permis. MonAulnay.com est devenu numéro 1 sur l’information boules puantes à Aulnay-sous-Bois !
Quand ils ne sont pas occupés à vider les caisses de la ville au risque de la plonger dans la faillite financière, le sport favori des socialistes à Aulnay-sous-Bois est le championnat du monde des pleureuses !
Dès qu’un lapin du parc Robert Ballanger fait un pet de travers c’est le drame ! Et un stock complet de boites de mouchoirs en papier y passe !
Dernier exemple en date, le scrutin des élections européennes de dimanche dernier. Selon eux, "des incidents douteux" seraient intervenus dans plusieurs bureaux de vote. Et de pointer du doigt, les élus, les présidents des bureaux de vote, les assesseurs et les agents administratifs.
Avant de s’emballer comme les socialistes, prenons le temps de rappeler quelques faits très simples quant à l’organisation de cette élection dans notre commune.
Il y a 51 bureaux de vote à Aulnay-sous-Bois. Pour effectuer l’ouverture de chacun d’entre eux dans de bonnes conditions à 8 heures précises, il faut impérativement la présence d’un président, de deux assesseurs titulaires et de deux agents administratifs, au moins une heure à l’avance pour assurer l’installation réglementaire.
Il faut préparer les tables, scotcher les affiches réglementaires à l’entrée et dans les isoloirs, installer les sacs poubelle dans les isoloirs, recompter les enveloppes pour s’assurer que leur nombre est au moins équivalent à celui des inscrits, fermer l’urne avec deux clés différentes, et bien entendu disposer les bulletins de vote en s’assurant que la hauteur des tas est homogène. Concernant cette dernière opération, notons que pas moins de 34 listes se présentaient à cette élection européenne !
Lourdeur administrative d’un scrutin électoral
A Aulnay-sous-Bois, l’amplitude horaire d’ouverture d’un bureau de vote s’étend de 8 heures à 20 heures. Une fois le vote terminé, il faut vérifier que la liste d’émargement est en ligne avec le nombre de votants et le nombre d’enveloppes dans l’urne. A partir de là, le dépouillement peut commencer, à condition d’avoir réussi à recruter aux moins quatre scrutateurs bénévoles et volontaires !
Mais ce n’est pas tout. Une fois le dépouillement terminé, avec un peu de chance aux alentours de 21h30, il faut encore remplir une tonne de paperasse administrative correctement. Malheur à vous, s’il manque un chiffre ou une signature ! Enfin, les procès-verbaux et les différents documents remplis et signés par les membres des 51 bureaux de vote sont scrutés par des agents de la ville (très patients et calmes au demeurant) au centre administratif pour s’assurer que tout est conforme avant envoi en préfecture.
Donc, vous l’aurez compris dans les lignes qui précédent, tout ce processus électoral, plutôt très lourd à organiser et à gérer, est avant tout basé sur l’humain. Or l’humain n’est pas une machine ! Comment imaginer que sur autant de bureaux de vote, une amplitude horaire si importante et une multitude d’opérations manuelles imposées par le règlement administratif, il n’y ait pas quelques erreurs possibles. Elles peuvent d'ailleurs être consignées par écrit sur le procès-verbal envoyé en préfecture. Rappelons aussi que des membres de la commission de contrôle des élections passent dans chaque bureau de vote pour s'assurer que tout est conforme. Alors, si certains réclament le zéro défaut, et bien qu’ils l’assument clairement en demandant le retour des machines à voter !
Dans ces conditions, l’attitude pleureuse des socialistes est totalement inadmissible. Et ceci d’autant plus qu’il a fallu trouver des assesseurs titulaires à la dernière minute sous peine de ne pas pouvoir ouvrir la totalité des bureaux de vote ! Il y avait 34 listes à se présenter. Où étaient donc les assesseurs de La République En Marche, de La France Insoumise, des Ecologistes, du Parti Socialiste, pour ne citer qu'eux ?
Ainsi, les socialistes d’Aulnay-sous-Bois feraient mieux de pleurer sur leurs échecs électoraux, dont ils sont les seuls responsables, plutôt que de jeter l’opprobre et la suspicion sur des présidents et vice-présidents de bureaux de vote, des assesseurs titulaires et suppléants, des scrutateurs et des agents administratifs de notre ville, qu’il faudrait au contraire saluer pour leur engagement dans l’organisation du vote, seul garant de notre bonne santé démocratique !