Publié le 31 Décembre 2021
A l’instar de 2020, l’année 2021 aura été une fois de plus marquée par l’omniprésence du Covid-19 et de ses variants dont le monde entier ne semble pas pouvoir se débarrasser malgré la mobilisation de la communauté scientifique. A ce titre, il y a plus d’un an déjà que Mauricette est devenue la première française à recevoir une dose de Pfizer à Sevran, un événement symbolique qui ne saurait masquer le fait que, si la vaccination semble protéger des formes graves du virus, elle n’empêche pas sa transmission. Ultime preuve que nous n’en avons pas fini avec l’épidémie, le retour du masque en extérieur est effectif à partir d’aujourd’hui.
Localement notre ville et la région Ile-de-France ont bien souvent pallié les manquements de l’Etat en ouvrant rapidement centres de dépistage et de vaccination, en fournissant des masques, du gel hydroalcoolique, en distribuant gratuitement des repas à domicile pour les plus fragiles ou encore en aidant financièrement les acteurs commerciaux et économiques. Le conseil départemental de la Seine-Saint-Denis a, quant lui, plutôt brillé par son absence.
Côté transports, le RER B reste une vraie galère marquée par les incidents techniques à répétition, les accidents de personnes, les mouvements sociaux, les travaux de rénovation auxquels s’ajoute la réalisation du CDG Express. A moins de trois ans des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 à Paris, auxquels la Seine-Saint-Denis est largement associée, ce moyen de transport est une honte nationale. Espérons que le design prometteur des futures rames annonce des lendemains meilleurs.
Jacques Chirac et Napoléon Bonaparte à l’honneur
Malgré des tentatives pathétiques de récupération politique de la part de groupuscules d’opposition municipale intégristes et hystériques souhaitant réécrire l’histoire, le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, a mis à l’honneur le président Jacques Chirac décédé le 26 septembre 2019 en donnant son nom à une rue de la ville. De même, il était impossible de ne pas commémorer le bicentenaire de la mort de Napoléon 1er, c’est ainsi que le square Napoléon a accueilli une très belle exposition.
En ce qui concerne la politique, 2021 fut aussi une année de vote. A l’instar du scrutin municipal ayant vu en 2020 la réélection dès le premier tour du maire Bruno Beschizza, les candidats aux départementales Sévérine Maroun et Frank Cannarozzo l’ont emporté brillamment. Valérie Pécresse et sa tête de liste pour le 93, Bruno Beschizza, ont fait de même en conservant aisément la région Ile-de-France. Seule ombre au tableau, malgré un chef de file solide et expérimenté en la personne de Philippe Dallier la droite a une nouvelle fois échoué à faire basculer le conseil départemental de la Seine-Saint-Denis qui reste donc à gauche, comme c’est le cas depuis sa création.
L’image du 93 risque ainsi de s’enliser encore un peu plus pendant les six prochaines années. Notre département reste d’ailleurs désespérément englué dans la pauvreté, qui semble demeurer le seul fonds de commerce d’une gauche en manque d’idées nouvelles. Même sur les questions fondamentales de l'environnement, la Seine-Saint-Denis est en retard avec par exemple le taux de recyclage des déchets le plus bas de l'Ile-de-France. Plus spécifiquement, enfin, au niveau microscopique, l’opposition municipale à Aulnay-sous-Bois est en miettes, minée par des divisions et des démissions qui s’enchaînent.
Avalanche de faits divers dramatiques.
La Seine-Saint-Denis, notre ville y-compris, a malheureusement été touchée par des faits divers dramatiques. Jeune garçon de quinze ans tué par balles à Bondy, jeune fille de six ans mortellement renversée par une voiture dans notre commune, Samir jeune homme de 26 ans abattu dans la cité de l'Europe. Sans oublier un spectaculaire incendie d’entrepôt à Aubervilliers ou encore une pharmacie vandalisée à Saint-Denis.
Pantin a également été sous les feux de l’actualité à propos du mur de la honte dressé pour protéger Paris contre les consommateurs de crack. Pantin a aussi connu une attaque au couteau dans un bus. Aulnay-sous-Bois a aussi affronté la tempête Aurore et une rupture importante de canalisation, gérées de main de maître par des agents communaux mobilisés rapidement. Par ailleurs, la bien connue bijouterie Morel du boulevard de Strasbourg a subi un braquage. Enfin, la question des violences faîtes aux femmes ne semble toujours pas résolue dans le 93.
D’une façon générale le sentiment d’insécurité demeure important en Seine-Saint-Denis, un domaine historiquement délaissé par la gauche qui se lamente beaucoup mais ne fait rien, en entretenant cyniquement par ailleurs la culture de l’excuse. Ainsi, les forces de police du 93 sont encore régulièrement prises à partie comme à Epinay-sur-Seine avec une pluie soutenue de tirs de mortiers ou encore à Aulnay-sous-Bois lors d’une altercation d’une violence inouïe.
Sports, culture et événements festifs à gogo
Malgré la crise sanitaire, Aulnay-sous-Bois a encore rayonné comme une étoile en 2021 à travers divers événements sportifs, culturels et festifs. Difficile de les citer tous, mais on commencera par les clubs sportifs qui mettent à l’honneur la gent féminine. Hé oui, bien loin des théories du genre et de la déconstruction agitées par une gauche à la dérive, les femmes Aulnaysiennes sont libres de faire du rugby, du football, du cricket, du basket, de la danse, de la lutte ou encore du handball si le cœur leur en dit ! Bravo à elles ! Les hommes n’ont pas été en reste avec notamment la ligue des nations de football qui a animé le quartier Mitry-Ambourget cet été, attirant des médias nationaux importants comme RMC Sports. Citons aussi, enfin, l’Intégrathlon, événement incontournable de notre territoire.
Par ailleurs, les concerts et spectacles se sont enchainés dans les salles ou en plein air avec de grosses pointures comme Sheila, Maëva, Inès Reg, Booder ou encore Michel Sardou dans la pièce de théâtre « N’écoutez pas Mesdames ! ». N’oublions pas aussi de saluer Didier Grojsman pour le magnifique travail accompli avec le Créa au moment où il a décidé de passer le relais. Côté télévision, la ville a diffusé la finale de l'Euro de football sur écran géant, et même M6 est venue tourner Top Chef à Aulnay-sous-Bois.
Enfin, en bon partisan d’une écologie pragmatique et non punitive, le maire d’Aulnay-sous-Bois a mis à l’honneur une fois de plus la nature et l’environnement avec une nouvelle édition de la fête de l’arbre qui a cartonné. Et plus récemment, citons le marché de Noël, une création signée Bruno Beschizza devenue depuis une véritable institution, tout comme la patinoire à la Ferme du Vieux-Pays.
Aulnay-sous-Bois, une ville redevenue attractive
Depuis 2014 et l’arrivée du maire Bruno Beschizza, la ville est redevenue attractive. Sécurité, propreté, cadre de vie, jeunesse, école, sport, culture, commerce, emploi, entreprise, santé, social, environnement, nouvelles technologies, tout est mis en œuvre par l’exécutif municipal actuel pour tenter de récupérer le désastre laissé par la coalition de gauche menée par Gérard Ségura.
Quelques exemples parmi tant d’autres de cette dynamique qui se poursuit en 2021 : la livraison de l’Odyssée, nouveau stade nautique inauguré par le premier ministre Jean Castex, qui sera centre d’entraînement pour les jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. La poursuite de la revitalisation des anciens terrains de l’usine PSA avec l’accueil en cours du groupe Chimirec, en attendant l’arrivée de la ligne 16 du métro du Grand Paris dont le centre de maintenance sera situé à Aulnay-sous-Bois.
Mais il y a aussi l’inauguration du terrain synthétique de rugby, la réfection complète du parquet de la salle Chanteloup, le réaménagement des berges du canal de l’Ourcq, la rénovation des groupes scolaires Bourg 2, Savigny et Perrières. N’oublions pas non plus l’enveloppe de 620 000 euros consacrée à l’embellissement des cimetières communaux. Rappelons enfin la restauration du caveau de la famille Pecoroni.
Des investissements futurs conséquents et enthousiasmants concernant, par exemple, l’ancienne laiterie Garcelon ou le réaménagement du pôle gare autour de la place du général de Gaulle sont également à l’étude. Au-delà de l’aspect financier, bien loin des petites polémiques politiciennes entretenues par l’opposition, Bruno Beschizza et ses élus sont accessibles régulièrement sur les marchés, lors des événements qui émaillent la vie locale et bien entendu à travers les permanences du maire et la démocratie de proximité.
D’ailleurs, le maire est proche des habitants, des agents municipaux et du terrain qu’il arpente quotidiennement. Du reste, les Aulnaysiennes et les Aulnaysiens ne s’y trompent pas. Ils ont retrouvé la fierté de demeurer dans une ville où la fiscalité n’a pas augmenté depuis 2014 et dans laquelle tout le monde souhaite désormais habiter.
Bref, vous l’aurez compris : le bien, le bon et le beau vont continuer jusqu’en 2026…