en route vers 2015 !

Publié le 15 Décembre 2015

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza réélu au conseiller régional d’Ile-de-France

Démissionner de son mandat de conseiller régional… et être réélu quinze jours plus tard. Cocasse ? Bruno Beschizza, maire (Les Républicains) d’Aulnay, n’y voit cependant aucune contradiction. L’élu avait annoncé qu’il quittait son fauteuil à la région au printemps dernier, après avoir été élu conseiller départemental. Il s’agissait de se conformer à la loi, qui interdit le cumul de trois mandats locaux. Mais la démission n’a finalement eu lieu qu’il y a quelques semaines. « Il y a eu un recours contre mon élection au conseil départemental. Tant qu’il n’était pas jugé, je ne pouvais pas démissionner dans le vide ! », argumente Bruno Beschizza, qui pointe la lenteur de la justice administrative.

Le voici de nouveau confronté à la règle de non-cumul. Cette fois, il l’a déjà annoncé, c’est son mandat départemental qu’il va abandonner. Ses détracteurs l’accusent de privilégier sa carrière au détriment de la gestion de sa commune ? Bruno Beschizza se défend : « Ma première adjointe, Séverine Maroun, défendra les intérêts d’Aulnay au département. Moi, je compte avoir l’appui de la région pour l’aménagement des terrains PSA, pour valoriser la ville. »

Source : Le Parisien

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Publié le 14 Décembre 2015

Résultats définitifs 2nd tour des élections régionales 2015 à Aulnay-sous-Bois

Inscrits : 44031

Votants : 20294

Procurations : 194

Blancs : 622

Nuls : 236

Exprimés : 19436

Claude Bartolone : 8648 voix soit 44,49 %

Valérie Pécresse : 7886 voix soit 40,57 %

Wallerand de Saint-Just : 2902 voix soit 14,93 %

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Publié le 11 Décembre 2015

Vous trouverez ci-dessous la déclaration du Front de Gauche d’Aulnay-sous-Bois qui combat la politique gouvernementale du Parti Socialiste mais appelle quand même à voter Claude Bartolone pour le second tour des élections régionales de 2015.

Le Front de Gauche d’Aulnay-sous-Bois combat la politique gouvernementale du Parti Socialiste mais appelle à voter Claude Bartolone aux régionales de 2015
Le Front de Gauche d’Aulnay-sous-Bois combat la politique gouvernementale du Parti Socialiste mais appelle à voter Claude Bartolone aux régionales de 2015
Le Front de Gauche d’Aulnay-sous-Bois combat la politique gouvernementale du Parti Socialiste mais appelle à voter Claude Bartolone aux régionales de 2015
Le Front de Gauche d’Aulnay-sous-Bois combat la politique gouvernementale du Parti Socialiste mais appelle à voter Claude Bartolone aux régionales de 2015

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Publié le 7 Décembre 2015

Bruno Beschizza satisfait de l’arrivée en tête de Valérie Pécresse à Aulnay-sous-Bois pour les élections régionales de 2015

« VOUS AUSSI, vous avez eu beaucoup de votes FN ? » Au centre administratif d’Aulnay, hier, la question était sur les lèvres de bien des assesseurs. Ici, le Front national n’arrive pas en tête, mais il gagne tout de même 8 points, par rapport aux régionales de 2010, avec 21,66 % des voix.

Voilà qui ne gomme pas le sourire satisfait du maire Bruno Beschizza, chef de file des Républicains dans le 93. L’élu a pu annoncer, à minuit passé, le score qu’il espérait. La liste tirée par Valérie Pécresse est arrivée en tête dans sa commune, avec 29,64 % des voix, devant la liste PS (25,88 %). En 2010, c’était le socialiste Huchon qui avait l’avantage au premier tour.

« On a réussi à inverser la tendance », constate Bruno Beschizza, qui veut désormais faire campagne pour « faire réfléchir tous ceux qui ont voté FN parce qu’ils voulaient renverser la table » : « Le PS est en tête sur le département. Voter FN au second tour, c’est voter Bartolone », assène-t-il.

Le score frontiste est donc devenu une valeur-étalon que chacun interprète à sa guise. En début de soirée, le député socialiste Daniel Goldberg relativisait, avant même qu’elle soit officielle, la prise d’avantage à droite : « On est loin du score atteint lors des départementales. » Le communiste Miguel Hernandez, davantage préoccupé par la percée historique des frontistes à l’échelle nationale, lâche « qu’on ne résoudra pas le problème tant qu’on ne répondra pas aux questions sociales ». Une autre donnée, immuable celle-là, a marqué le scrutin d’hier : c’est l’abstention, à peine moins haute qu’en 2010. 64,4 % des électeurs ont boudé l’isoloir à Aulnay.

Source : Le Parisien

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Publié le 7 Décembre 2015

Résultats définitifs 1er tour élections régionales 2015 à Aulnay-sous-Bois

Inscrits : 44032

Votants : 15719 soit 35,69 %

Abstentions : 28313 soit 64,30 %

Procurations : 133 soit 0,84 %

Blancs : 499 soit 3,17 %

Nuls : 172 soit 1,09 %

Exprimés : 15048 soit 95,73 %

Liste 1 conduite par Pierre Laurent : 1020 voix soit 6,77 % des suffrages exprimés

Liste 2 conduite par Claude Bartolone : 3894 voix soit 25,87 % des suffrages exprimés

Liste 3 conduite par François Asselineau : 155 voix soit 1,03 % des suffrages exprimés

Liste 4 conduite par Emmanuelle Cosse : 819 voix soit 5,44 % des suffrages exprimés

Liste 5 conduite par Dawari Horsfall : 45 voix soit 0,29 % des suffrages exprimés

Liste 6 conduite par Valérie Sachs : 73 voix soit 0,48 % des suffrages exprimés

Liste 7 conduite par Sylvain de Smet : 53 voix soit 0,35 % des suffrages exprimés

Liste 8 conduite par Nizarr Bourchada : 298 voix soit 1,98 % des suffrages exprimés

Liste 9 conduite par Nicolas Dupont-Aignan : 612 voix soit 4,06 % des suffrages exprimés

Liste 10 conduite par Valérie Pécresse : 4461 voix soit 29,64 % des suffrages exprimés

Liste 11 conduite par Aurélien Veron : 67 voix soit 0,44 % des suffrages exprimés

Liste 12 conduite par Wallerand de Saint-Just : 3259 voix soit 21,65 % des suffrages exprimés

Liste 13 conduite par Nathalie Arthaud : 292 voix soit 1,94 % des suffrages exprimés

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Publié le 21 Novembre 2015

Clémentine Autain (Front de Gauche) sera présente ce matin sur le marché du Vieux-Pays à Aulnay-sous-Bois. Vous trouverez ci-dessous le tract annonçant sa venue.

Clémentine Autain sur le marché du Vieux-Pays à Aulnay-sous-Bois ce matin
Clémentine Autain sur le marché du Vieux-Pays à Aulnay-sous-Bois ce matin
Clémentine Autain sur le marché du Vieux-Pays à Aulnay-sous-Bois ce matin
Clémentine Autain sur le marché du Vieux-Pays à Aulnay-sous-Bois ce matin

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Publié le 19 Novembre 2015

Malgré la douleur pour les ami/es disparu/es et avec la colère chevillée au corps, nous repartons en campagne pour une société égalitaire et de dignité. Clémentine Autain sera présente au marché du Vieux- Pays samedi 21 novembre à 10 h, Didier Mignot le dimanche 22 novembre au Marché de la Gare.

Lundi 23 novembre, nous organisons une discussion publique en ateliers, au New Resto à partir de 19 h. Nous y aborderons, outre les questions liées à la situation créée par les attentats, les thématiques du logement, de l'écologie et des transports. Tous les propos politiquement incorrects seront les bienvenus.

Quatre candidats dont la tête de liste, Clémentine Autain, seront présents.

Nos vies d'abord !

Pour le Front de Gauche d'Aulnay, Sébastien Ville (membre d'Ensemble)

Le Front de Gauche de nouveau en campagne à Aulnay-sous-Bois pour les élections régionales de 2015
Le Front de Gauche de nouveau en campagne à Aulnay-sous-Bois pour les élections régionales de 2015
Le Front de Gauche de nouveau en campagne à Aulnay-sous-Bois pour les élections régionales de 2015
Le Front de Gauche de nouveau en campagne à Aulnay-sous-Bois pour les élections régionales de 2015

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Publié le 12 Novembre 2015

C’est une nouvelle assez surprenante que nous révèle le journal Le Parisien puisque l’on y apprend qu’Ahmed Laouedj, actuel conseiller municipal d’Aulnay-sous-Bois et président du Parti Radical de Gauche en Seine-Saint-Denis (PRG93), se présente aux élections régionales de 2015 dans l’Essonne (91) ! Peut-être lassé par les derniers résultats électoraux désastreux de la « Gauche rassemblée » dans notre commune (municipales de 2014 et départementales de 2015), l’homme tente-t-il de rebondir en s’offrant une virginité politique en terre inconnue… ?

Le conseiller municipal d’Aulnay-sous-Bois Ahmed Laouedj candidat aux élections régionales de 2015 dans l’Essonne !

En mars 2010, le PS réalisait un score historique avec 58,64 % des suffrages en Essonne. Mais la donne a changé et les sondages donnent actuellement un léger avantage à la droite avec, de plus, l’éclosion d’un troisième acteur, le Front National qui va grappiller des sièges. Quoiqu’il arrive, la gauche ne devrait pas retrouver les 17 conseillers régionaux sur 24 qu’elle avait en Essonne.

La liste. Le PS (emmené par Claude Bartolone au niveau régional) s’est allié dès le 1er tour avec le MRC, le PRG et l’Union des démocrates et des écologistes (UDE). Et espère le faire au second avec les Verts et le Front de gauche. Transfuge du conseil général où il siégeait jusqu’en mars, le député (et patron du PS essonnien) Carlos Da Silva, sera tête de liste départementale. Derrière ce proche de Manuel Valls suivent deux conseillers régionaux sortants (Hella Kribi-Romdhane et Olivier Thomas). A la 5e place, on retrouve le sénateur (ex-EELV) Jean-Vincent Placé (aujourd’hui UDE). « Dans les moments difficiles, l’alliance au 1er tour est essentielle. D’ailleurs, c’est ce qui s’était fait en 1998 et 2004 », rappelle-t-il.

3 priorités pour l’Essonne. 1. Développer la formation pour répondre aux besoins d’emplois sur nos territoires comme le plateau de Saclay, faire qu’aucun jeune ne reste sans formation, emploi ou projet. 2. Mettre en place rapidement des bus à haut niveau de service qui ceinturent la grande couronne et accroître la sécurité avec plus de personnel, en fusionnant les équipes de sécurité de la SNCF et de la RATP. 3. Aider les communes qui construisent des logements et supprimer les aides à la pierre pour celles qui ne respectent pas la loi SRU et créer une autorité régulatrice du logement avec des pouvoirs coercitifs.

Avec Claude Bartolone, une Ile-de-France humaine (Parti socialiste allié au PRG et à l’UDE) 1. Carlos Da Silva. 2. Hella Kribi-Romdhane. 3 Olivier Thomas. 4. Loubna Meliane. 5. Jean-Vincent Placé (UDE). 6. Sabine Nagel. 7 Hicham Affane. 8. Ophélie Guin. 9. Patrice Sac. 10. Morgane Caradec. 11 Ahmed Laouedj (PRG). 12 Hatouma Doucoure. 13. Christophe Joseph (MRC). 14. Adélaïde Itey. 15. Amir Ben Merzoug. 16. Adolé Ankrah. 17. Nicolas Fouque. 18 Laurence Bonzani (UDE). 19. Marc Petel. 20. Annick Le Roy. 21. Pacôme Adjourouvi. 22. Sarah Krimi Henry. 23. Jean-Jacques Moreno. 24. Astrid Auzou Connes.

Source article : Le Parisien

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Publié le 11 Novembre 2015

Les enjeux des élections régionales 2015 dans le 93

Treize listes ont officiellement été déposées lundi en préfecture de région pour les élections régionales qui auront les 6 et 13 décembre. Chacune comporte 225 candidats, répartis par département. En Seine-Saint-Denis, il y a 29 noms. Le point sur les enjeux du scrutin dans le département, à un peu plus de trois semaines du premier tour.

Des listes connues et d'autres plus originales. Six listes un peu baroques vont tenter de se faire une place au soleil. Parmi elles, notons l'Union des démocrates musulmans français, qui avait tenté sa chance lors des municipales à Bobigny avant de fusionner avec l'UDI et d'obtenir un conseiller municipal. Le parti voulait aussi se lancer aux départementales, toujours à Bobigny, avant de jeter l'éponge. L'ancien candidat UDI aux municipales de Villepinte en 2014, Fabrice Scagni, part sous les couleurs de Nous Citoyens. Pierre Tavares, élu DVG à Epinay-sur-Seine, prend la tête en Seine-Saint-Denis de la liste Aux Urnes Citoyen. Fatou Meite, conseillère municipale sans étiquette à Bondy entre 2008 et 2014, candidate aux législatives puis aux municipales, fait campagne au nom de la liste d'Union Citoyenne. Jade Rozenkranc, du parti Fluo, est membre du parti Pirate, un mouvement qui se bat contre le fichage abusif et pour la transparence de la vie politique. Enfin, François Asselineau est la tête de liste régionale de l'UPR, le parti antieuropéen, dont il est le dirigeant.

L'abstention, la terreur des candidats. C'est la préoccupation première de tous les candidats de la Seine-Saint-Denis : inciter les électeurs à voter. Et on comprend vite pourquoi, puisque le nombre d'élus envoyés à l'assemblée régionale dépend aussi du nombre de votants.

Le département, avec 29 candidats par liste, se situe en troisième position derrière Paris et les Hauts-de-Seine. Mais le nombre d'élus au final sera réduit si l'abstention est forte. Celle-ci était de 63,1 % au 1er tour en 2010 et 59,7 % au second tour. Résultat : la Seine-Saint-Denis n'avait envoyé que 19 élus à la région. Pour une population presque équivalente (1,6 million d'habitants contre 1,55), les Hauts-de-Seine ont 29 élus.

Cumulard, vous avez dit cumulard ? A droite, on aime empiler les mandats. Sur les neuf premiers candidats de la liste LR-UDI-MoDem, Bruno Beschizza et Thiery Meignen sont maires et conseillers départementaux, Brigitte Marsigny, Ludovic Toro et Claude Capillon sont déjà maires et Stéphane Salini est conseiller départemental. Les deux premiers devront forcément quitter un mandat s'ils sont élus. « Personne ne s'intéresse à ces élections, donc il vaut mieux proposer des gens connus », lâche un fin connaisseur à droite. A gauche, seul Stéphane Gatignon est maire de Sevran. L'équipe de Pécresse a aussi reproché à la tête de liste, Claude Bartolone, de conserver son poste de président de l'Assemblée nationale pendant la campagne des régionales.

Le FN en embuscade. Le parti de Marine Le Pen n'a pas d'élu à la région. Mais il compte bien changer la donne. Pour y parvenir, il s'appuie d'abord sur les résultats des Européennes, scrutin qui se rapproche le plus des régionales, notamment dans la participation. Or lors des dernières échéances, en 2014, le FN était arrivé en tête au premier tour dans 60 % des villes du 93. Enfin, le parti d'extrême droite mise sur le département puisque Marine Le Pen fera son meeting national d'entre deux tours sur le territoire.

Kachouri qui pleure, Marsigny qui rit. Le constraste avec les précédentes élections régionales, en 2010, est saisissant. Abdelhak Kachouri, qui était tête de liste PS dans le département, l'emportait alors largement, décrochant une vice-présidence au passage. Cinq ans plus tard, c'est la douche froide. En 5e position sur la liste cet été, il a dû céder sa place, en octobre, à Stéphane Gatignon, maire de Sevran en rupture avec EELV, au nom des accords PS et UDE, le nouveau parti écologique. Une nouvelle qu'il a apprise sur Twitter... Vexé, il a préféré se retirer de la liste. A l'inverse, Brigitte Marsigny, maire LR de Noisy-le-Grand, a vu sa côte exploser grâce à sa victoire aux élections partielles de septembre dernier. Voulant profiter de ce dynamisme, la fédération LR l'a donc propulsée en deuxième position.

Source : Le Parisien

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Publié le 31 Octobre 2015

Elections régionales 2015 : le 93 est une chance pour la région Ile-de-France selon Claude Bartolone

Claude Bartolone, le président de l’assemblée nationale et chef de file de la liste (PS) aux régionales, était avant-hier sur ses terres au Pré-Saint-Gervais pour présenter, dans les locaux de la fédération, la liste départementale.

Pour ce scrutin, une liste de 29 noms est présentée dans le 93, avec sa tête, bien sûr, Claude Bartolone, l’ex-patron du conseil général. Il sera secondé par la conseillère régionale sortante de Saint-Denis Viviane Romana, 52 ans, psychologue de profession.

« J’ai voulu une liste à l’image de la population du 93, avec des candidats jeunes qui, à l’exception de Stéphane Gatignon (le maire de Sevran, NDLR) et moi-même n’ont pas de mandat », explique Claude Bartolone, qui précise qu’en cas de victoire il quittera ses fonctions pour se consacrer exclusivement à la région. La liste laisse de fait la part à des jeunes. Surtout, Claude Bartolone a voulu une liste de rassemblement. Quatre partenaires rejoignent la liste : le MDP avec Sylvia Skoric, le PRG avec Djamila Aissaoui, le MRC avec Béatrice Desmartin et l’union des démocrates et des écologistes avec Stéphane Gatignon (qui a quitté EELV). Ce dernier figure ainsi en 5e position sur la liste, et donc en position éligible. C’est Abdelhak Kachouri, vice-président à la région, initialement en 5e position, qui a dû lui laisser sa place…

Avec cette liste, Claude Bartolone espère bien emporter la victoire face à la candidate de droite Valérie Pécresse. « J’ai deux ambitions, martèle Claude Bartolone, Je veux poursuivre le travail mené par Jean-Paul Huchon et renforcer la politique menée en faveur de l’égalité des droits républicains. Et je veux combattre les discours récurrents sur le 93 et montrer que ce département est une chance pour la région Ile-de-France ».

Source : Le Parisien

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Publié le 30 Octobre 2015

Europe Ecologie les Verts veut 1300 éoliennes en Ile-de-France d’ici 2030 !

Emmanuelle Cosse, la secrétaire nationale d'Europe Ecologie-les Verts (EELV) et candidate aux élections régionales (6 et 13 décembre), détaille en exclusivité dans le journal Le Parisien son plan pour l'énergie en Ile-de-France.

On est à J - 30 de la COP21. Quelles sont vos propositions en matière d'énergie pour l'Ile-de-France ?

EMMANUELLE COSSE. L'énergie est un enjeu majeur pour le climat comme pour l'économie. Nous présentons des programmes pour que l'énergie en Ile-de-France soit à 100 % renouvelable à l'horizon 2050. Aujourd'hui notre région importe plus de 80 % de sa consommation et n'a donc quasiment aucune autonomie énergétique. Nous sommes très en retard.

Comment comptez-vous atteindre un tel objectif ?

Il faut impulser dès maintenant une politique très volontariste, installer sur notre territoire des éoliennes, des panneaux solaires, de la géothermie et les unités de méthanisation. De cette façon, nous produirons assez d'énergie propre en 2030 pour fermer la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine (Aube), à 80 km de Paris !

Vous n'envisagez tout de même pas d'installer des éoliennes dans Paris ?

Il y a beaucoup d'espace sur le territoire où on peut en installer. Pour arriver à 100 % d'énergie renouvelable, il faut construire 1 300 éoliennes pour 2030 dont 300 dans la mandature qui arrive. C'est ce qui permettra d'augmenter notre puissance énergétique et d'inverser la tendance. Le rôle des panneaux solaires est aussi très important, même dans une région faiblement ensoleillée. Ils peuvent être implantés sur les toits, mais aussi sur des friches industrielles.

Comment allez-vous financer votre plan ?

Il faut qu'une partie des crédits régionaux soit redéployée vers les énergies renouvelables. Je propose que pour 2 € d'argent citoyen, il y ait 1 € de la région, c'est-à-dire qu'on abonde de 50 % les investissements citoyens dans les projets participatifs dès janvier 2016. Les coopératives citoyennes de production énergétique sont très prometteuses. La région doublera les aides du fonds chaleur de l'Ademe, qui soutient les projets en énergie renouvelable des particuliers.

Que prévoyez-vous pour réduire les consommations d'énergie ?

Nous doublerons les investissements pour la rénovation énergétique de 400 000 logements avec, à la clé, une facture d'énergie divisée par deux pour les habitants. Nous créerons aussi une prime pour inciter les ménages à renouveler leurs appareils électroménagers et aiderons les petites entreprises à s'équiper en machines plus sobres. Nous donnerons aux 330 000 familles en précarité énergétique des chèques travaux pour plus de confort et d'économies d'énergie.

Source : Le Parisien

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Publié le 29 Octobre 2015

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza tête de liste dans le 93 pour les élections régionales 2015 en Ile-de-France

Ce fut un long parcours semé d'embûches. Mais au final, Valérie Pécresse a obtenu gain de cause lors de la commission d'investiture des Républicains, qui a validé ce jeudi matin à l'unanimité les listes de la candidate de la droite et du centre en région capitale. «Ma stratégie politique a été validée à l'unanimité, avec une ouverture au centre (les candidats UDI MoDem ont obtenu 33% des sièges éligibles, ndlr) et un accord avec le Parti chrétien démocrate», se réjouit la députée des Yvelines. Le président du Sénat Gérard Larcher, qui préside le comité de soutien de la candidate, considère que ces listes sont «à la fois équilibrées territorialement et politiquement, en rassemblant toutes les sensibilités de la droite et du centre». Les listes LR-UDI-MoDem comptent 209 candidats (sur 1500 prétendants à la candidature), dont 120 élus en cas de victoire de Valérie Pécresse, qui a repris sur ses listes 50% des conseillers régionaux sortants de l'ancienne mandature (35 sur 69). La moyenne d'âge des candidats est de 47 ans, et le renouvellement a présidé aux choix de l'ancienne ministre chiraquienne.

» Valérie Pécresse conduira la liste dans son département des Yvelines, avec le député David Douillet en numéro deux. Dans ce département, la sénatrice LR Sophie Primas sera, symboliquement, la dernière de la liste, position également occupée par le président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, en Seine-Saint-Denis, et la numéro deux du MoDem, l'eurodéputée Marielle de Sarnez, à Paris.

» À Paris, c'est Pierre-Yves Bournazel, conseiller de Paris et secrétaire national de l'UMP qui conduit la liste, avec en numéro deux la maire LR du XVIIème arrondissement, Brigitte Kuster, et en numéro trois le porte-parole du MoDem, Yann Wehrling. Sur cette liste, Valérie Pécresse espère jusqu'à 25 élus, dont un grand nombre de maires d'arrondissements LR parisiens, comme Delphine Bürkli, Florence Berthout, Jean-François Legaret et Jean-Pierre Lecoq. Le nouveau secrétaire départemental de LR Frédéric Péchenard, très proche de Nicolas Sarkozy, est numéro sept de la liste parisienne, sur laquelle ne figure pas, comme annoncé un temps, la sénatrice Verte Leila Aïchi.

» Dans les Hauts-de-Seine, est constitué un duo entre Thierry Solère, député LR, numéro un, Chantal Jouanno, sénatrice UDI de Paris, numéro deux. Quant à Geoffroy Didier (LR), élu du Val d'Oise, l'un des porte-parole de la campagne, il a été littéralement imposé par Valérie Pécresse en cinquième position. C'est un retournement de situation pour Thierry Solère, proche de Bruno Le Maire, qui avait été élu sans l'appui de l'UMP député en 2012 en battant le très sarkozyste Claude Guéant. Solère préside aussi le comité d'organisation des primaires de 2016. L'ancienne ministre Rama Yade, qui risque l'exclusion du parti radical pour avoir prôné le «ni ni» aux régionales, n'a pas été retenue par son parti pour figurer sur la liste régionale du 92, alors qu'elle est conseillère régionale sortante.

» En Seine-Saint-Denis, l'ancienne ministre chiraquienne a souhaité la présence d'un nombre significatifs de candidats centristes en place éligible (soit 4 UDI sur 12) «pour battre Claude Bartolone», son adversaire PS, élu de ce département. La liste est conduite par Bruno Beschizza, maire LR d'Aulnay-sous-Bois, suivi de la nouvelle maire de Noisy-le-Grand, Brigitte Marsigny, qui fait figure d'icône chez les Républicains.

» Dans l'Essonne, la liste est menée sans surprise par Stéphane Beaudet, maire de Courcouronnes et surtout président de l'Association des maires d'Ile-de-France.

» En Seine-et-Marne, la tête de liste a été offerte à la nouvelle sénatrice LR Anne Chain-Larché, qui vient de succéder à Jean-Jacques Hyest, nommé par le président du Sénat Gérard Larcher au Conseil constitutionnel.

» Dans le Val d'Oise, le député LR Jérôme Chartier, responsable du projet de la campagne de Valérie Pécresse, est numéro deux de la liste conduite par Stéphanie Von Euw , conseillère régionale sortante.

» Dans le Val-de-Marne, la seule tête de liste francilienne UDI revient à Laurent Lafon, le maire de Vincennes.

Source : http://www.lefigaro.fr/

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Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 24 Octobre 2015

Invité mardi matin de France Info, Bruno Beschizza, maire Les Républicains d’Aulnay-sous-Bois et conseiller régional Ile-de-France a affirmé que François Hollande et Manuel Valls étaient les directeurs de campagne du socialiste Claude Bartolone.

"Il est normal de prendre des mesures de bon sens. Dire à nos compatriotes que dans les trains, dans les métros, il faut des agents en civil armés en capacité de riposter oui. Qu'il faut faire des fouilles, des palpations préalables oui" a réagi Bruno Beschizza aux dernières mesures en matière de sécurité dans les transports. Par contre il y a une ambiguïté quand le gouvernement l'annonce aujourd'hui, on parle des transports, un domaine de compétence régionale. Dans son communiqué le ministre de l'Intérieur parle aussi de la fraude et dans ce cas-là il fallait écouter Valérie Pécresse en demandant l'obligation d'avoir une pièce d'identité sur soi pour prendre des transports ou sinon on ne monte pas. Comme le déplacement du président de la République (à la Courneuve), il y a aujourd'hui une privatisation de certains sujets pour une campagne des régionales".

Et il donne en exemple les annonces de Manuel Valls jeudi dernier "concernant (sa) ville. Le maire n'est même pas au courant. Le président de la République vient en Seine-Saint-Denis, là où est le président du conseil départemental, successeur de monsieur Bartolone. Aujourd'hui les deux directeurs de campagne du soldat Bartolone qu'il faut sauver sont François Hollande et Manuel Valls. On n'a pas le droit de privatiser les outils d'Etat pour la campagne de Bartolone".

Source : http://www.franceinfo.fr/

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Publié le 16 Octobre 2015

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un tract actuellement en distribution sur la ville. Il annonce la candidature de Laurent Barbier, habitant d’Aulnay-sous-Bois, aux élections régionales des 6 et 13 décembre 2015 en Ile-de-France sous l’étiquette PCF - Front de Gauche.

Laurent Barbier candidat d’Aulnay-sous-Bois pour le Front de Gauche aux élections régionales de 2015 en Ile-de-France
Laurent Barbier candidat d’Aulnay-sous-Bois pour le Front de Gauche aux élections régionales de 2015 en Ile-de-France

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Publié le 14 Octobre 2015

Après celui du Front national baptisé Aulnay Bleu Marine, voici que les représentants du PS d’Aulnay-sous-Bois lancent à leur tour un nouveau blog intitulé : Aulnay mérite mieux !

Sur la forme, on notera que les créateurs signent leurs contributions de leur vrai nom, ce qui est un progrès notable par rapport au tristement célèbre Aulnay Le Blog, outil de propagande de l’ancien maire Gérard Ségura pendant la campagne des municipales de 2014, qui crachait lâchement son venin sous couvert d’anonymat.

Sur le fond, il n’y a rien de vraiment révolutionnaire pour l’instant. Les articles sont plutôt convenus et prévisibles du style « ah ! c’était mieux avant en 2008 pendant le temps du bonheur ! » ou encore « ah ! on aurait tellement fait mieux si on avait gagné les élections en mars 2014 ! »

Les socialistes d’Aulnay-sous-Bois lancent un nouveau blog : Aulnay mérite mieux !

Il est vrai que les socialistes Aulnaysiens tentent tant bien que mal de se reconstruire après les larges revers électoraux qu’ils ont subi à la fois aux municipales de 2014 et aux départementales de 2015 suite notamment à une gestion calamiteuse et un mépris maintes fois affiché vis-à-vis de celles et ceux qui ne pensaient pas comme eux. De ce point de vue, le PS local apparait encore convalescent : départ récent de Leïla Abdellaoui figure emblématique des quartiers nord de la ville ou encore comportement grotesque lors d’un café citoyen organisé par le député Daniel Goldberg.

Ceci étant, l’actuelle majorité municipale dirigée par Bruno Beschizza ne pourra pas surfer éternellement sur le bilan désastreux de l’équipe précédente. Elle devra elle aussi faire des choix, peut-être douloureux compte-tenu de l’impasse budgétaire qui se profile à l’horizon, les porter et les assumer devant la population. Après tout, 2020 n’est finalement pas si loin…

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 12 Octobre 2015

Les démocrates musulmans veulent se faire entendre pendant les élections régionales de 2015 en Ile-de-France

« Je remercie les islamophobes notoires, les Zemmour, Morano, etc. Grâce à eux, les citoyens français musulmans que nous sommes ont pris conscience qu'il faut se montrer. Nous participons déjà à la vie économique, sociale et culturelle de ce pays. L'heure est venue d'être acteurs politiquespour montrer qu'on peut être citoyens français de confession musulmane, et parfaitement démocrates, respectueux de la laïcité, fiers des valeurs républicaines.

»
Président de l'Union des démocrate musulmans français (UDMF), Khalid Majid ne mâche pas ses mots. Hier, à Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), il est venu lancer le premier meeting de campagne de son parti avec la tête de liste Nizarr Bourchada. Dans la salle, une soixantaine de personnes étaient présentes, ainsi que Malika Machtoune, Elhame Aït-Serhane et Eric Berlingen, respectivement chefs de file pour les Hauts-de-Seine, le Val-d'Oise et l'Essonne. Manquait Nabil Hmani pour les Yvelines. Les têtes de liste du Val-de-Marne et de Seine-Saint-Denis seront dévoilées prochainement. « Il faut 209 candidats et on les aura », assure Nizarr Bourchada.

Pour l'UDMF, née en 2012, c'est une nouvelle tentative d'investir la vie politique, après son échec aux dernières élections départementales. « On avait huit binômes. Avec le contexte de l'après-Charlie, etc., le mot musulman était associé par certains au communautarisme, au terrorisme. Nos candidats ont subi des pressions. Les mécènes se sont désistés... On n'a pas pu déposer nos candidatures. Il est urgent de casser les clichés. Aujourd'hui, nous sommes mieux préparés », assure le fondateur de l'UDMF, Nagib Azergui.

Selon lui, le parti compterait 1 000 adhérents et plus de 6 000 sympathisants. « Notre page Facebook réunit 5 700 fans. Quand on voit celle du MoDem à 7 000, c'est honorable ! » sourit Nizarr Bourchada. Provocateur, le terme « musulman » ? « Ça permet de clarifier les choses », insiste Khalid Majid. « Aujourd'hui, les musulmans sont un thème de campagne. A problème politique, il faut une réponse politique. La route sera longue. On sera traité d'intégristes, de salafistes, de couscoussistes ! Mais notre programme montre qu'on s'adresse à tous les Français, sans distinction de religion ou de culture ! »

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 4 Octobre 2015

Le sort de l'Ile-de-France aux élections régionales des 6 et 13 décembre sera particulièrement scruté. D’abord, bien sûr, parce que c’est la région la plus importante du pays.

Ensuite parce que la gauche y est chez elle depuis dix-sept ans. Mais le fief conquis par Jean-Paul Huchon en 1998 s’effrite scrutin après scrutin, et la victoire d’Anne Hidalgo à Paris aux municipales de 2014 masque mal les revers symboliques du PS et de ses alliés dans l’ancienne banlieue rouge, en Seine-Saint-Denis notamment. Notre sondage exclusif Odoxa pour BFMTV et « le Parisien »- « Aujourd’hui en France » révèle que si les élections avaient lieu dimanche prochain, la droite menée par Valérie Pécresse reprendrait la région.

Pas d’effet Bartolone

C’était pourtant le pari des socialistes, en exfiltrant sans ménagement en mai un Huchon jugé à bout de souffle après trois mandats, au profit du président de l’Assemblée nationale. Pour l’instant, c’est raté : crédité de 24 % des intentions de vote au 1er tour, Claude Bartolone accuse un retard de 10 points sur Pécresse et ses alliés centristes UDI et MoDem (34 %). Au second tour, elle l’emporterait avec 3 points d’avance (41 % contre 38), dans une triangulaire avec le FN. « Etonnamment, le poids politique apporté par le président de l’Assemblée, 4e personnage de l’Etat, ne fournit aucun bénéfice à la liste socialiste, commente Gaël Sliman, directeur d’Odoxa. Ainsi, dans des enquêtes d’intentions de vote réalisées par Ifop en avril avant son investiture, tant Huchon que Marie-Pierre de la Gontrie — sa rivale d’alors au sein du PS — enregistraient face à Pécresse des scores équivalents à ceux réalisés actuellement par le « sauveur » Bartolone.

Plusieurs explications à ce patinage des socialistes. D’abord, l’effet de l’impopularité du pouvoir. Plus d’un électeur sur quatre (27 %), souligne notre sondage, votera en décembre pour sanctionner Hollande et le gouvernement. Deuxième facteur, la faiblesse du reste de la gauche. Si le communiste Pierre Laurent se maintient à un bon niveau, les écolos s’écroulent, alors qu’aux précédentes régionales de 2010 Cécile Duflot avait fait jeu égal avec Huchon au 1er tour. Avec un petit 6 %, Emmanuelle Cosse paye les querelles intestines qui déboussolent les Verts… et leurs électeurs. Du coup, même si Bartolone peut compter sur un bon report de voix d’EELV et du Front de gauche au 2nd tour, cela risque de ne pas suffire.

Pécresse surfe sur la vague bleue

Partie bien avant son rival PS, la tortue républicaine — qui avait été écrasée par Huchon en 2010 par 61 % contre 39 % — bénéficie avant tout du vent porteur pour la droite depuis les municipales de 2014, confirmé par les récentes départementales. « Bartolone est le candidat investi par le bon vouloir de Hollande : sur le terrain, on l’attaque là-dessus en l’appelant Barthollande », raille un lieutenant de Pécresse. Elle martèle en outre ses propositions tolérance zéro en matière de sécurité, un thème de prédilection pour la droite… et placé en tête des préoccupations des Franciliens, selon Odoxa.

Mais Pécresse a un caillou dans sa chaussure, nommé Nicolas Dupont-Aignan. Avec un candidat FN assuré de se maintenir au 2nd tour (il faut 10 % des voix), la chef de file de la droite et du centre aura besoin d’apport de voix à droite. « Avec ses 7 % au 1er tour, le souverainiste constitue sa seule réserve de voix : il pourrait soit chèrement monnayer son soutien, soit contribuer à la faire perdre s’il invitait ses électeurs à s’abstenir au 2nd tour, analyse Gaël Sliman. Cet électorat se répartit équitablement entre vote FN et vote LR. »

La percée du FN

L’avocat Wallerand de Saint-Just a beau être quasi inconnu — 55 % des habitants d’Ile-de-France ne le connaissent pas — et avoir des ennuis judiciaires, il pourrait bien battre le record des scores du Front national dans la région capitale. Avec 21 % d’intentions de vote, il dépasserait les 20 % obtenus par le FN en Ile-de-France lors des départementales du printemps dernier. Une percée due à l’effet Marine Le Pen, et à la « dynamique nationale positive pour le FN », reprend Sliman. Malgré les bisbilles familiales et la multiplication d’affaires politico-financières, le mouvement d’extrême droite, qui axe en bonne part sa campagne sur la crise des migrants, accentue donc son ancrage dans le paysage électoral. Une certitude, conclut le patron d’Odoxa, « la perte de l’Ile-de-France serait un terrible coup dur pour le PS ».

Sondage Odoxa pour BFMTV et «Le Parisien»-«Aujourd'hui en France» réalisé du 29 septembre au 2 octobre 2015 auprès d'un échantillon de 1000 personnes inscrites sur les listes électorales franciliennes. Méthode des quotas

Source article : Le Parisien / Vidéos : Aulnaylibre !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 30 Septembre 2015

Les 6 et 13 décembre, les Français seront appelés à voter aux élections régionales. Pour cela, il faut figurer sur les listes électorales. Celles et ceux qui ne sont pas encore inscrits peuvent encore le faire aujourd'hui.

Les personnes qui ne se sont pas inscrites avant le 31 décembre dernier — comme c'est habituellement le cas — ou qui ont déménagé après le 1er janvier ont ainsi l'opportunité de régulariser leur situation. Pour l'effectuer en ligne, rendez-vous sur Mon.service-public.fr, ou à la mairie, muni d'une pièce d'identité et d'un justificatif de domicile.

Source : Le Parisien

Dernier jour d’inscription sur les listes électorales pour les régionales de 2015 en Ile-de-France

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 27 Septembre 2015

C’était l’événement politique du dimanche dans la course engagée vers les régionales des 6 et 13 décembre prochains en Ile-de-France. Valérie Pécresse, la chef de file des Républicains pour ce scrutin, a réuni autour d’elle à Nogent-sur-Marne dans la salle du Pavillon Baltard un casting impressionnant.

Nicolas Sarkozy, François Fillon, Alain Juppé, Bruno Le Maire (LR) mais aussi Jean-Christophe Lagarde (UDI) et Marielle de Sarnez (Modem) ont ainsi scellé officiellement l’union de la droite républicaine et des centristes pour cette élection.

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza était également présent. Vous pouvez prendre connaissance ci-dessus de sa vidéo de présentation de la Seine-Saint-Denis.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 19 Septembre 2015

L’UDI et le Modem avec Valérie Pécresse (Les Républicains) pour les élections régionales 2015 en Ile-de-France

«Nous vous devons beaucoup plus !» Tel est le slogan de l’affiche de campagne dévoilée ce vendredi dans un appartement du 24 rue de Turin à Paris, à l’occasion de l’inauguration du QG de la liste aux élections régionales en Ile-de-France menée par Valérie Pécresse (LR).

Une phrase en forme d’engagement et de promesse adressée par les candidats d’union de la droite et du centre aux électeurs franciliens. «Elle symbolise une double exigence : un engagement à 100%, et beaucoup plus de résultats» a précisé Valérie Pécresse devant un parterre d’élus et de militants conquis.

« Nous allons égréner les propositions très concrètes. Parmi ces dernières, arrêter la gabegie», a encore déclaré la candidate LR après s’être félicitée de l’accord obtenu avec le centre, représenté entre autres par Chantal Jouanno (UDI), Marielle de Sarnez et Yann Wehrling (Modem). Des centristes qui ne se sont toutefois pas éternisés ce vendredi.

En clôture de discours, la tête de liste LR, a cité un certain Sarkozy : «La politique, c’est comme le vélo. On part à fond et ensuite on accélère. Je suis partie à fond. Je vous demande d’accélérer avec moi».

Dans l’un des bureaux de ce local «modeste et sobre,comme nous voulons la région», une affiche du film «Les tontons flingueurs» trône au mur. Cette fois-ci, la campagne est bien partie.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 1 Septembre 2015

Ce mardi 1er septembre 2015 marque probablement le point de départ de la rentrée pour une large majorité des habitants d’Aulnay-sous-Bois. Même la nature semble au diapason puisque ce matin les canards du lac de Savigny au parc du Sausset étaient bien alignés comme des élèves devant les professeurs.

C’est la rentrée à Aulnay-sous-Bois !

Seuls quelques volatiles avaient décidé de quitter les rangs pour on ne sait quelles raisons. D’où cette interrogation : quel canard serez-vous en cette fin d’année ? Un canard qui suit la ligne docilement sans poser de questions ou bien le vilain petit canard qui ose dire non ! A vous de choisir !

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 4 Août 2015

Sondage : Valérie Pécresse devant Claude Bartolone au premier tour des élections régionales Ile-de-France 2015

Selon un sondage Ifop pour Valeurs Actuelles, la bataille s'annonce serrée en Ile-de-France. Valérie Pécresse (Les Républicains) devancerait de quatre points Claude Bartolone (PS) au premier tour. Ils seraient à égalité au second.

C'est le premier sondage depuis l'officialisation de la candidature de Claude Bartolone. Et la bataille s'annonce serrée en Ile-de-France en décembre prochain. Selon un sondage Ifop pour Valeurs Actuelles du jeudi 11 juin, Valérie Pécresse (Les Républicains) arriverait en tête (28%) au premier tour, devançant de quatre points son adversaire Claude Bartolone (PS).

L'ancienne ministre du Budget réunirait 28% des voix dans le cas où elle représenterait Les Républicains ainsi que le Modem, qui s'est dit "compatible" avec l'approche de Valérie Pécresse. L'actuel président de l'Assemblée nationale obtiendrait 24% s'il était soutenu par le PS, le PRG et le MRC.

Un second tour très indécis

Derrière, le conseiller régional de Picardie Wallerand de Saint Just, qui représentera le Front national, recueillerait 16% des voix. Emmanuelle Cosse, pour Europe Ecologie-Les Verts, 10%. Chantal Jouanno (UDI) - qui pourrait passer un accord avec Valérie Pécresse dès le premier tour - obtiendrait, elle, 8%. Pierre Laurent, patron du Parti communiste français, réunirait 7% des suffrages pour une liste Front de gauche. Enfin, Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne, obtiendrait 5% avec une liste "Debout la France".

Le second tour s'annonce quant à lui très indécis dans cette région détenue depuis 1998 par la gauche. Une liste Bartolone étiquetée "PS, PRG, MRC, Front de Gauche et Europe Ecologie-Les Verts" obtiendrait 41% des voix. Soit exactement le même score qu'une liste Pécresse soutenue par Les Républicains, l'UDI et le Modem. Wallerand de Saint Just (FN) obtiendrait 18% des suffrages.

En réaction à cette étude, Valérie Pécresse a estimé, devant des journalistes à l'Assemblée nationale, qu'il s'agissait d'un "très bon résultat pour une région qui a toujours été très à gauche". Concernant le second tour, l'ancienne ministre a "beaucoup de doutes" sur le fait qu'il y ait autant d'électeurs FN au 1er et au 2nd tour. "Il faut les convaincre que nous représentons la bonne alternance", a-t-elle ajouté.

Source : http://uam93.com/

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 31 Juillet 2015

Interview de Valérie Pécresse candidate pour les élections régionales d’Ile-de-France de 2015

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’une interview de Valérie Pécresse candidate pour les élections régionales d’Ile-de-France sous l’étiquette Les Républicains parue dans le magazine Le Point. Pour rappel, le scrutin est fixé les 6 et 13 décembre 2015.


La région que vous aspirez à diriger va être de plus en plus en concurrence avec les 12 autres super-régions nées de la réforme territoriale. Comment appréhendez-vous cette nouvelle configuration ?

Valérie Pécresse : Une précision, d’abord : il n’y a pas eu de vraie réforme territoriale ! Elle a fait « pschitt ». Elle était censée simplifier, clarifier le mille-feuilles administratif. Au contraire, elle a débouché sur la loi de l’enchevêtrement maximal des compétences. Mais pour l’instant, nous devons faire avec. Dans les années à venir, il va falloir concevoir le rôle de président de région de manière très différente. Il doit être à la fois entrepreneur et bâtisseur. Une région comme l’Ile-de-France décide de l’usage de 11,5 milliards d’euros par an, dont 6.5 milliards pour les transports. Soit en moyenne 2500 euros par foyer. Avec ces impôts, nous devons faire beaucoup plus pour les Franciliens.

La région dispose de compétences stratégiques : notamment en matière de développement économique, d’emploi, de logement, d’enseignement supérieur, de recherche, de transports, de formation, d’éducation et de culture. A cela s’ajoute l’aménagement du territoire, qui est aujourd’hui négligé. 75% du territoire francilien est rural. 2 millions d’habitants se sentent oubliés. Pour moi, la région est la collectivité qui doit lutter contre les fractures et les inégalités, qui n’ont cessé de croître. L’Ile-de-France est la première terre d’inégalités scolaires, de fractures sociales avec les quartiers-ghettos mais aussi le premier désert médical du pays. Face à ces problèmes, on ne peut plus raisonner comme avant. La gauche a géré la région comme une rente. Il faut raisonner en terme de développement économique, touristique et d’investissements d’avenir. Pour cela, je m’entourerai d’un conseil de chefs d’entreprises françaises et étrangères, y compris de PME. Cette dynamique entrepreneuriale sera au service d’une vision.

Quelle est la vôtre ?

C’est une vision pour l’emploi. Pour certaines régions, il est vital de se spécialiser pour attirer les investisseurs. L’Ile-de-France, elle, peut viser l’excellence dans tous les domaines. Cela passe par une dynamique très forte d’innovation et la valorisation de nos atouts : nous sommes la première région aéronautique et automobile de France : il n’y a aucune fatalité à la désindustrialisation qui nous touche. Nous sommes la première région en matière de recherche (40% du total) : il n’y a pas de raison que les starts up se créent ailleurs. Nous abritons de nombreux sièges européens d’entreprises étrangères, mais la dynamique d’attractivité n’est plus là. Car, notre stratégie n’est pas claire. Elle doit se résumer à : comment créer de la richesse en Ile-de-France ? Nous devons attirer des investisseurs, mais aussi des touristes, et la marque « Grand Paris » doit être le fer de lance de toute l’économie francilienne. Aujourd’hui, l’essentiel du tourisme, c’est Paris, Versailles et Disneyland. Pourquoi ne pas créer une route Napoléon en reliant les Invalides, Rueil-Malmaison, Fontainebleau, Saint-Leu-la-Forêt... ? Pourquoi le projet de cité de la gastronomie autour de Rungis est-il toujours bloqué ? Pourquoi ne pas conforter notre position de deuxième région équestre après la Normandie ? Pourquoi, le Musée de l’air et de l’espace du Bourget est-il sous-utilisé par rapport à ceux de Washington et de Moscou ? Nous avons des ressources incroyables qui sont inexploitées par non-choix et manque de stratégie entrepreneuriale.

Craignez-vous la montée en puissance de super-métropoles régionales qui contestent de plus en plus le leadership de Paris ?

Contrairement à l’Ile-de-France, il est vrai que certains territoires ont su construire une stratégie autour, notamment, de leur fierté régionale. La gauche a transformé la région capitale en robinet de subventions, qui saupoudre des crédits, sans ligne directrice. Ainsi, Lyon, par exemple, en matière de santé est finalement plus lisible que Paris ! Nous ne sommes pas en concurrence avec les autres métropoles françaises mais avec Londres, New-York, Singapour, Berlin, Francfort. Pour cela, nous avons besoin d’un chef d’orchestre qui fédérera les projets, les initiatives et les incarnera. Jamais le Grand Londres n’aurait pu s’épanouir depuis dix ans sans volonté politique. Les maires franciliens se démènent, mais ne peuvent pas réussir seuls. Par exemple, les JO ne seront pas que parisiens et impliqueront toute la région.

Vaut-il mieux être président de région que président de l’Assemblée nationale ?

Les deux fonctions n’ont rien à voir. Le Président de la région doit être pour moi un «faiseux» et pas qu’un «diseux». Quand on est député, on propose des lois, mais la traduction concrète n’est pas immédiate. Aujourd’hui, le rôle d’un président de région devrait être d’accélérer et de simplifier les processus de décision pour libérer les énergies, construire plus vite, entreprendre plus vite. Cela suppose de faire des économies pour investir davantage. C’est pourquoi je souhaite une région sobre et modeste.

De quelle manière ?

Je veux réduire le train de vie. Je propose de déménager la région hors de Paris. Elle est propriétaire de cinq hôtels particuliers, ce qui représente 250 millions d’euros, auxquels s’ajoutent 26 millions de loyers pour des bureaux attenants, situés dans l’un des arrondissements les plus chers de la capitale. Vous imaginez tout ce que l’on pourrait faire avec ces millions ! Je veux redonner cet argent aux Franciliens. Nous allons donc tout vendre, et nous installer dans le Val-de-Marne ou en Seine-Saint-Denis.

Vaut-il mieux être présidente de région que ministre ?

J’ai fait mon choix : Présidente de région. Si je suis élue, je démissionnerai de l’assemblée et je ne serai pas ministre. Un Président de région qui arriverait à attirer les sièges sociaux, les centres de recherche, les usines, les investisseurs et les touristes, ferait de l’Ile-de-France un des moteurs de la France.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 15 Juillet 2015

Ahmed Laouedj, conseiller municipal d’opposition à Aulnay-sous-Bois, tête de liste du Parti radical de gauche aux élections régionales de 2015

L'échéance des élections régionales de décembre se rapproche doucement et toutes les formations politiques se mettent en ordre de marche.

Le Parti radical de gauche vient de désigner sa tête de liste en Seine-Saint-Denis. Sans surprise, il s'agit du président de la fédération départementale, Ahmed Laouedj, élu d'opposition à Aulnay. Mais des négociations se poursuivent avec le PS, « en vue de réaliser le rassemblement de la gauche », indique le PRG dans un communiqué. Un bureau national, le 21 juillet, devrait se prononcer sur la possibilité d'un accord avec le Parti socialiste.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 13 Juillet 2015

L’adjoint au maire d’Aulnay-sous-Bois Mohamed Ayyadi bientôt conseiller départemental du 93 ?

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien qui semble confirmer sans surprise la candidature du maire d’Aulnay-sous-Bois aux élections régionales d’Ile-de-France programmées en décembre prochain. En cas de succès de Bruno Beschizza lors de ce scrutin, c’est donc Mohamed Ayyadi, le 4ème adjoint en charge de la jeunesse, des sports et de la vie associative, qui deviendrait conseiller départemental du 93 pour la commune en binôme avec la première adjointe Séverine Maroun.

Rien ne semble arrêter Bruno Beschizza. Après avoir remporté les municipales à Aulnay en 2014, puis les départementales en 2015, voilà que l’ancien syndicaliste policier, désormais secrétaire national du parti Les Républicains (ex-UMP), se lance dans la course aux régionales, qui auront lieu en décembre. Mercredi, son mouvement devrait l’introniser chef de file dans le département. Ce qui ne veut pas dire qu’il sera tête de liste pour le 93, puisque des négociations sont toujours en cours avec l’UDI. Le parti centriste réclamera peut-être la place.

Il faut un peu s’accrocher pour suivre le parcours politique de Bruno Beschizza. Conseiller régional en 2010, élu maire à Aulnay en 2014, il a ensuite quitté la région pour se présenter aux élections départementales de mars. Le voilà à nouveau sur le point de démissionner, de son fauteuil de conseiller départemental cette fois… Ouf ! Mais l’élu n’y voit aucune contradiction. « Mon territoire sera toujours bien défendu puisque ma binôme au conseil départemental est aussi ma première adjointe [NDLR : Séverine Maroun], justifie Bruno Beschizza. Et puis face à Claude Bartolone [NDLR : le candidat PS], il fallait un symbole fort de la droite dans le département. Ce que je suis devenu depuis ma victoire à Aulnay. » Mais, assure-t-il, le maire du Blanc-Mesnil Thierry Meignen « aurait aussi parfaitement répondu aux critères ». Si le chef de file est connu, la composition de la liste ne sera dévoilée qu’en septembre.

Source : Le Parisien / Photo : site de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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