Publié le 30 Avril 2011

baladeurbaine.jpg

Dans le cadre du projet de requalification urbaine de la partie nord du centre-ville, "Les Chemins de Mitry-Princet", une balade urbaine est organisée sur le secteur Mitry le samedi 30 avril 2011 de 14h00 à 17h00. Départ sur le parking de Netto (comprendre ex-ATAC et futur Netto).

Voir les commentaires

Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Urbanisme

Publié le 30 Avril 2011

lutte.jpgLe samedi 30 avril de 10 heures à 18 heures, le gymnase du Moulin Neuf (Avenue du Maréchal Juin) accueille les championnats de France de lutte sport adapté.

En partenariat avec la Fédération Française de lutte et le comité d'île de France, les rencontres de lutte de la Fédération Française de sport adapté regrouperont les sportifs en fonction de leur catégorie d'âge dans trois divisions suivant leur handicap.

Source : aulnay-sous-bois.com

Voir les commentaires

Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Soyons sport.

Publié le 29 Avril 2011

"Ahmed ! Ahmed ! Ahmed !" Son prénom a été scandé hier par les manifestants rassemblés aux portes de l'usine PSA Peugeot-Citroën d'Aulnay. "Voir autant de gens rassemblés pour moi, ça fait chaud au coeur", confie Ahmed Berazzel sourire aux lèvres. Le jeune délégué CGT est depuis octobre dernier sous la menace d'un licenciement. Après l'avis négatif émis par l'inspection du travail, la direction de l'usine a formé un recours auprès du ministère du Travail. Hier, massés sous la pluie, ses collègues, les représentants de la CGT, ainsi que la députée PC du Blanc-Mesnil Marie-George Buffet et Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte ouvrière, lui ont témoigné leur soutien. "C'est un délégué syndical toujours présent, le premier à se mouiller pour tout le monde. Alors c'est normal qu'on soit là", glissent Housni et Lahcen, deux de ses collègues.

psa.jpg

Bernard Lavilliers a signé la pétition de soutien

Il faut dire que la grande silhouette d'Ahmed Berazzel est devenue familière aux salariés de l'usine. On l'a aperçue aux premiers rangs du mouvement de grève de 2007, qui a duré six semaines, pour des augmentations de salaire. Il a aussi été de ceux qui ont débrayé en 2005, lors d'une autre grève mémorable. Et puis, cela fait tout de même onze ans qu'il travaille là. "J'y suis entré à l'âge de 18 ans, je sortais tout juste du lycée", raconte-t-il. A l'époque, il habitait Aulnay et, comme bien d'autres jeunes, il s'est dirigé vers le plus gros réservoir d'emplois du secteur. C'est là qu'il va découvrir l'activité syndicale. "Je suis rentré à la CGT en 2005, juste avant la grève. Les délégués venaient me voir de temps en temps. Leurs idées me convenaient. Le boulot était de plus en plus dur, les salaires étaient bas, et la charge de travail augmentait avec les suppressions de postes".

Dans la manifestation d'hier, chacun louait sa combativité. La direction de l'usine semble avoir un tout autre avis. Depuis 2008, Ahmed Berazzel a écopé de cinq sanctions : "J'ai eu dix-huit jours de mise à pied en tout ! J'avais à peine reçu un courrier pour une sanction que la direction m'écrivait à nouveau pour m'en annoncer une autre..." Philippe Julien, délégué CGT sur le site, estime qu'"on ne peut séparer ce qui arrive à Ahmed de ce qui se passe dans l'usine. Si la direction demande son licenciement, c'est parce qu'elle s'apprête à porter des coups contre les salariés."

La direction évoquait hier un "comportement agressif et menaçant, pas compatible avec notre règlement intérieur", tout en refusant d'entrer dans le détail du dossier. L'inspection du travail a, il y a deux mois, estimé que les faits reprochés n'étaient "pas établis" et que la sanction présentait "un lien évident" avec les fonctions syndicales d'Ahmed Berazzel. C'est maintenant au ministère du Travail de trancher. Il dispose de quatre mois pour se prononcer. En attendant, une pétition de soutien a recueilli plus de 1 000 signatures dans l'usine, ainsi que celles d'une soixantaine de personnalités, dont le chanteur Bernard Lavilliers et le réalisateur Robert Guédiguian.

Source : Gwenael Bourdon. Le Parisien du vendredi 29 avril 2011.   

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 29 Avril 2011

nouveaunettomitryambourget.jpg

 

Source : Le Parisien du samedi 23 avril 2011

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 29 Avril 2011

"Une équation impossible." L'expression a résonné plusieurs fois hier matin au cours de la séance du conseil général qui organisait son débat d'orientation budgétaire 2011, à quelques semaines du vote prévu à la mi-mai. Car, plus encore que les années précédentes, la situation financière du département semble inextricable.

En cause, selon la majorité, "le retrait grandissant de l'Etat" : gel des dotations et notamment, cette année, de la dotation globale de fonctionnement (20 % des recettes départementales), réforme de la fiscalité locale et toujours baisse des compensations liées aux allocations individuelles de solidarité (RSA, allocation d'autonomie, prestation handicap) à l'heure où celles-ci explosent. Soucieux de ne pas rester inerte, Claude Bartolone a annoncé hier vouloir présenter "un budget militant", défendu par un département militant".

conseilgeneral.jpg

Galvanisé par la décision récente du Conseil d'Etat sur les questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) déposées par le département (Le Conseil d'Etat a reconnu que les questions prioritaires de constitutionnalité relatives à l'insuffisance des compensations de l'Etat sur le RSA et l'APA étaient fondées et les a transmises au Conseil constitutionnel), le président socialiste du conseil général a prévenu vouloir aller "devant la justice à chaque fois que l'Etat ne respectera pas son rôle".

Mais l'exécutif n'a néanmoins pas prévu le vote d'un budget "de révolte" en déséquilibre, comme il l'avait fait l'année dernière. Ni, à priori, de hausse d'impôts. "A ce stade, nous ne souhaitons pas augmenter les taux départementaux et une pression fiscale déjà très forte", a expliqué Daniel Guiraud, vice-président PS en charge des finances.

Des économies à tous les étages

Conséquence, selon l'élu : "Nous allons devoir limiter en 2011 nos investissements au niveau de nos engagements juridiques et à nos projets prioritaires." Et poursuivre les économies à tous les étages. Par exemple, si les effectifs du conseil général seront maintenus, les dépenses de renforts et de remplacements seront réduites. Insuffisant, selon la droite, qui n'a pas manqué de critiquer la propension de l'exécutif à "taper sur l'Etat", "un exercice plus rhétorique que financier", selon l'UMP Jean-Michel Bluteau. "Nous ne pouvons pas continuer à dire qu'en face il y a un dû sans faire des économies structurelles de notre côté. Nos concitoyens attendent ces efforts", a plaidé Vincent Capo-Canellas (Nouveau Centre).

A contrario, les élus communistes et de la Fase ont milité hier pour le rétablissement du remboursement de la carte Imagine R à 50 %, l'annulation de la hausse de la carte de transport améthyste pour les personnes âgées et handicapées (de 15 euros à 40 euros) et la reconduction de l'aide à l'achat d'un ordinateur pour les élèves de 6é. Et réaffirmé leurs réticences sur les partenariats publics-privés imaginés dans le cadre du plan d'investissement pour les collèges. "J'entends tout, a soupiré Claude Bartolone avant de clôturer le débat. Mais il est plus facile d'arriver avec des dépenses à proposer qu'avec des économies à réaliser." Hier matin, la résolution du casse-tête budgétaire n'avait pas avancé d'un pouce.

Source : Julien Duffé. Le Parisien du vendredi 29 avril 2011  

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 28 Avril 2011

trocjardin.jpgL'arrivée des beaux jours vous donne envie de changer vos plates-bandes ? Ou encore de diversifier vos plantes vertes ? Ce week-end, au parc Dumont, bulbes, graines et boutures s'échangent dans la bonne humeur. Une occasion en or de discuter entre passionnés de jardinage tout en renouvelant ses plantations. Légumes, plantes d'intérieur, aromatiques, arbustes... Aucune restriction : tout se troque ! Vous pourrez même échanger des livres ou des outils de jardinage.

Samedi, de 10 heures à 18 heures, au parc Dumont à Aulnay-sous-Bois

Source : Le Parisien du jeudi 28 avril 2011. Photo : LP/Laurent Gaquiere

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 28 Avril 2011

madjo.jpgCa coule de source, Madjo a la musique dans la peau. C'est peut-être Evian-les-Bains, ville où elle a grandi, qui lui a donné son timbre limpide et la fraîcheur de ses mélodies. En français comme en anglais, la jeune femme à la crinière féline compose ses textes à la lueur de ballades folk. Son premier album intitulé Trapdoor propose un univers onirique inspiré par l'écrivain Lewis Carool, fait de comptines amusantes et fantasmagoriques. Une petite merveille à découvrir ou redécouvrir.

jaqee

Bercée au rythme gospel des églises de Kampala, capitale ougandaise, la chanteuse Jaqee quitte son pays natal au début des années 90 et débute ses pérégrinations musicales en Suède où elle sort un premier album soul R&B en 2005 intitulé Blaqalixious. D'une personnalité originale et créative, Jaqee jongle avec les genres et les couleurs, sa voix élégante et son phrasé jazzy manient aussi bien les cadences trip hop que les courbes bluesy. Mais c'est dans un style mâtiné de reggae et de dub que Jaqee revient en 2010 avec un troisième album qui nous démontre une fois de plus toute la richesse et l'étendue de sa palette musicale !

 

Il reste des places. Vendredi soir 21h. A partir de 4 euros. Réservations au 01 48 66 94 60.

Source : Le Cap Musique Actuelles Du Monde. Programme Avril, Mai, Juin 2011

Voir les commentaires

Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 28 Avril 2011

«Des voitures claires, aérées et climatisées, rien à redire, c’est parfait ! » Amine est passé par hasard visiter les nouvelles rames du RER B, où dominent les jaunes et les verts, présentées au public hier à la gare d’Aulnay. Pour cet usager quotidien de la ligne, cette remise à neuf est la bienvenue. « J’ai entendu que bientôt il y aurait un train toutes les trois minutes aux heures de pointe. Quand ça sera en place, on aura l’impression d’avoir le métro en bas de chez nous », se félicite-t-il encore. Un train toutes les trois minutes, ce sera en effet la cadence du RER B à partir de 2013. Ces nouveautés s’inscrivent dans le programme de rénovation complète de la ligne, qui s’achèvera en 2014.

 

rerbaulnay.jpg

Les strapontins disparaissent

 

D’ici là, tous les trains seront reconditionnés à l’image des rames présentées hier. Les voitures restent les mêmes, mais elles sont relookées et leur aménagement intérieur est entièrement revu. Un changement radical. « Avant qu’on ne me le dise, je n’avais pas imaginé que cette rame pouvait être l’un des anciens RER rénové, s’étonne Abou. On ne reconnaît pas du tout et c’est vraiment mieux. Sauf pour les strapontins, même si c’était parfois gênant, je trouvais ça pratique. » Nombre d’usagers font la même remarque. « La disparition des strapontins intrigue les gens, mais c’est une décision mûrement réfléchie : l’incivilité en période d’affluence rendait parfois difficile la sortie des voitures, notamment à cause de ces sièges », explique Séverine Lepere, directrice de la ligne B qui présentait hier ces innovations au grand public. « Ces nouvelles rames ne sont que la partie émergée de l’iceberg, ajoute-t-elle. Le gros du travail se trouve dans le rehaussement des quais, l’aménagement des voies, la signalisation… »

 

De la gare du Nord à Mitry-Claye, huit quais sont déjà rehaussés. A Aulnay, la moitié des travaux ont été effectués, ils se poursuivent jusqu’à l’été, tout comme au Blanc-Mesnil et à Drancy. A La Courneuve et au Bourget, il faudra attendre 2012. Quant aux rames rénovées, équipées de caméras, seules cinq sont déjà en circulation. Au total, l’ensemble de ces travaux de rénovation coûteront 250M€.

 

Source : Le Parisien du jeudi 28 avril 2011



Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 27 Avril 2011

L’arrière-boutique de l’Olivier offre un spectacle de désolation. L’épicerie du quartier Mitry-Ambourget, à Aulnay-sous-Bois, a été cambriolée la semaine dernière. Les voleurs sont passés par le hall voisin, en fracturant la trappe mitoyenne. Ils ont ensuite forcé deux portes, ce qui leur a permis de fuir par l’arrière avec la marchandise.

 

mitryambourgetcommerce1.jpg

C’est Samir (30 ans), le fils, qui a eu la primeur de cette désagréable nouvelle, en ouvrant la boutique à 8h30 : « La chambre froide a été vidée, les caméras détruites, les bouteilles d’alcool, le café, les feuilles à rouler… ils ont tout pris. » De retour du commissariat, dépôt de plainte à la main, Zoubida Arab, la maman, chiffre à 20000 € le préjudice. « On ne peut plus travailler et on n’a plus d’argent pour racheter », souffle-t-elle, annonçant son intention de baisser définitivement le rideau.

De l'alcool et du tabac vendus dans licence

Cette plainte n’est pas la première. Agression, cambriolages, vols… La famille Arab, qui travaille là depuis plus de six ans, évoque, à n’en plus finir, des exemples édifiants. Des « drogués qui viennent peser leur shit sur la balance », « des jeunes qui se servent dans les étagères » — ce qui a poussé Samir à mettre son comptoir en travers de la boutique. « J’ai pris un gars pour faire la sécurité, il n’a pas tenu », assure Samir.

Ce quartier dégradé et enclavé doit faire l’objet d’une restructuration dans les quinze ans à venir. Mais pour Zoubida et son fils, pas question d’attendre. L’ouverture prochaine du Netto en remplacement du magasin Atac n’est pas non plus de nature à leur redonner espoir.

Sa boutique, qui vendait des primeurs à l’origine, s’est reconvertie en alimentation générale, au fil des ans, avec même en rayon de l’alcool et du tabac — sans licence. « Avec quatre marchés autour, il était difficile de vivre en ne vendant que des fruits et légumes », résume Zoubida Arab, qui ne veut plus payer ses « 700 € de loyer mensuels » auprès du bailleur, l’office public HLM. Son bail se termine le 31 août. Mais plus encore que ces mois de loyer, c’est le fonds de commerce, évalué à 60000 €, qui reste problématique. Quel commerçant voudrait racheter un fonds de commerce à ce prix dans ces conditions? Pas l’office HLM. « Nous n’avons pas 60000 € pour racheter un fonds de commerce dont personne ne veut, ça n’est pas notre métier », explique-t-on auprès du bailleur.

Si elle ne trouve personne pour reprendre, Zoubida Arab devra s’asseoir sur sa mise de départ. Son avocat, Me Mourad Serhane, n’exclut pas d’engager une action en justice pour impliquer la responsabilité de l’Etat, au motif que tout n’aurait pas été fait pour assurer la quiétude de la commerçante dans le quartier.

Source : Carole Sterlé. Le Parisien du 23 avril 2011.

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 27 Avril 2011

Samedi dernier ou celui d'avant je sais plus, j'ai récupéré ma nouvelle carte d'identité. Pendant quelques semaines j'ai donc vécu avec un document périmé. Oh rien de grave. Au centre administratif on m'a indiqué que je pouvais voter aux cantonales, faire des chèques mais d'un montant minime, genre moins de 100 euros. Toutefois je ne pouvais pas quitter le territoire. C'est fou ce que ce morceau de plastique est contraignant.

En parlant de ça et en récupérant le précieux sésame j'ai eu un flash me projetant dix ans en arrière, une fin d'après-midi à Paris après une visite du quartier latin. En rentrant, au tourniquet du métro, un gars m'avait collé de près. Je croyais qu'il était juste pressé, mais en fait il en avait profité pour ouvrir la fermeture-éclair de mon sac à dos et s'emparer du portefeuille, pendant que les policiers gardaient les précieux sénateurs du palais du Luxembourg.

CNI.jpg

Belle moisson : carte vitale, carte d'identité, passeport, permis de conduire. La totale. Passées l'opposition aux cartes bancaires et la déclaration de vol au commissariat, je me suis mis alors en quête de nouveaux papiers. Quand j'ai appelé l'administration on m'a demandé si je n'avais pas un document quelconque prouvant mon identité ! J'ai expliqué que c'était précisément l'objet de mon appel : trouver un moyen de refaire mes papiers dérobés afin de redevenir un individu tout ce qu'il y a de plus normal.

L'espace d'un instant je me suis dit que sans ces fichus papiers je n'étais décidemment plus personne ! J'étais sur le point de filer en Normandie récupérer le livret de famille en vue d'obtenir un acte de naissance dans ce qui s'annonçait comme une sorte de parcours du combattant, lorsque mon portable a sonné. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, mon portefeuille avait été retrouvé et une agence du Crédit Lyonnais de la rue Monge le tenait à ma disposition. Un vrai coup de bol !

J'ai ainsi remis la main sur l'intégralité de mes documents d'identité et comme par magie, à cet instant précis, jai eu l'impression étrange de redevenir quelqu'un...

Samedi, en revenant du centre administratif avec mon nouveau morceau de plastique, je me suis souvenu du livre de Dali Touré, Confidences... Voilà ce que l'on peut lire page 7 :

Sans papiers, sans identité

Quand ils entendent mon nom ou mon prénom, ils imaginent tout de suite que je suis une noire qui doit sans doute avoir une colonie d'enfants. C'est à chaque fois difficile pour moi car je n'existe pas en tant qu'individu pour eux... Les Français. Mais à présent, je suis une autre personne. Je n'ai jamais eu de papiers malgré les vingt années passées en France. Sans papiers, je n'ai pas d'identité. Si j'ai bien compris, en avoir une, en France, c'est avoir son nom, son prénom, sa photo et sa date de naissance sur un papier signé par le ministère ? Pourtant j'ai un nom : Traoré ; un prénom : Mariame ; une date de naissance : le 6 mars 1974 et j'ai des dizaines de photos de moi mais malgré cela, je n'ai quand même pas d'identité.

Il y a dix, avant le coup de fil du Crédit Lyonnais, c'est presque exactement ce que j'ai ressenti...     

Stéphane Fleury

Voir les commentaires

Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Humeur

Publié le 27 Avril 2011

 

jobdete-copie-1.jpg

 

Source : Le Parisien du mercredi 27 avril 2011

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 27 Avril 2011

photointerieurrerb

Aujourd'hui de midi à 14 heures, habitants et voyageurs sont invités à découvrir les rames rénovées de la ligne B du RER en gare d'Aulnay-sous-Bois. Ils pourront visiter les wagons équipés de sièges neufs et de la climatisation et découvrir le nouvel habillage des trains (vif argent, rouge vermillon, vert jade). La SNCF renouvellera son opération demain à la gare Aéroport-Charles-de-Gaulle-1, puis vendredi en gare de Mitry-Claye.

Source : Le Parisien du mercredi 27 avril 2011

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 26 Avril 2011

forumemploi-copie-1.jpgLe troisième forum des emplois saisonniers et des jobs d'été organisé par Pôle emploi et Aéroports de Paris a lieu demain à Roissy. Quinze entreprises de la plateforme proposeront des postes dans l'accueil, la restauration, l'hôtellerie ou encore la vente aux étudiants en quête d'emplois en période estivale. L'an dernier, 250 CDD d'un à trois mois avaient été pourvus.

Demain de 9h à 13h à la Maison de l'environnement. Navettes gratuites toutes les trente minutes au départ de la gare RER 1-Roissypôle. Renseignements au 01.48.64.63.82

Source : Le Parisien du 26 avril 2011

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 26 Avril 2011

amethyste.jpgBelle-maman ne fait pas de politique. D'ailleurs, elle ne vote pas. Ce n'est pas par manque de civisme mais parce qu'elle n'a pas la bonne carte d'identité. Elle a beau habiter la ville depuis près de 50 ans, sa voix ne compte pas. Même au niveau local. Alors évidemment elle n'a pas lu les tracts des cantonales. Toujours plein de promesses en un avenir meilleur.

Celui de la carte Améthyste semble avoir pris une petite claque au passage et Belle-maman ne le savait pas. En récupérant son titre de transport, au lieu des 15 euros habituels, c'est 40 qu'il a fallu sortir cette fois-ci. Le couple qui l'accompagnait en a été pour 80 euros de sa poche. Bien entendu, pour une année, ce tarif reste très compétitif mais c'est la brutalité de l'augmentation qui l'a surprise.

Plus 166% ! De quoi laisser comme un poids sur l'estomac en fin de repas. Hier elle nous en a touché un mot. Sans se plaindre. Ce n'est pas son habitude. Mais quand on a le cœur à gauche comme elle, il y a des augmentations qui ne passent pas. Alors elle a voulu savoir qui gérait le département ? Je lui expliqué que la Seine-Saint-Denis était dirigée par la gauche justement et voilà ce qu'elle a répondu :

Ah bon ? j'aurais pas cru... !

Stéphane Fleury

Voir les commentaires

Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Transports

Publié le 26 Avril 2011

concoursphotos.jpgUn concours de photos ouvert à tous les habitants du Gros Saule est organisé jusqu'au 27 mai 2011. Vous trouverez le règlement ci-dessous. A vos clics !

Règlement :

Il est organisé un concours photos ouvert à tous les habitants du Gros Saule.

Dans le quartier du Gros Saule, il y a des éléments qui plaisent particulièrement mais que j'aimerai pouvoir rendre plus agréables : la photo montrera l'un de ces endroits en l'état. chaque participant présentera 1 seul tirage de format 18x24cm et la même photo reprise montrera comment l'améliorer soit par un commentaire, soit avec un travail de retouche photo.

Elles seront déposées à l'Espace Gros Saule ou à l'association Médi@saule. Les photos seront exposées le 1er juin pour la grande journée nettoyage et le 4 juin pour la fête de quartier avec la remise des prix à cette date.

Clôture des dépôts : le 27 mai 2011 - DES LOTS A GAGNER !!

POUR INSCRIPTION ET TOUT RENSEIGNEMENT :

- ESPACE GROS SAULE
Rue du Docteur Claude Bernard - 01 48 79 63 08

- ASSOCIATION MEDI@SAULE
28 rue du docteur schweitzer - 01 43 10 17 20

Source : www.aulnay-sous-bois.com

Voir les commentaires

Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 26 Avril 2011

Le Centre de Danse du Galion nous annonce la tenue d'une répétition publique le mercredi 27 avril 2011 à 15h. Il s'agit du spectacle de la compagnie Mood/RV6K intitulé, Rétention dont le chorégraphe Hervé Sika donne une description ci-dessous :

"Dans mon travail chorégraphique, je tente d'explorer dans la danse hip-hop des territoires nouveaux, de provoquer des ruptures avec mes bases arrières et d'interroger les a priori sur cette danse. Pour cela je m'empare d'un propos et je tente de lui donner corps.

Retention.jpg

Dans Franchir allègrement, la précédente pièce de la compagnie, j'ai exploré l'idée de la traversée. Traversée d'une frontière que l'on se donne ou qui nous est imposée. Les danseurs traversaient le plateau de jardin à cours dans une répétition de mouvements.

Avec Rétention, j'irai à contre-pied de cette démarche car la rétention implique un état de corps qui se situe à l'arrêt, dans la retenue du mouvement au bord de l'explosion. Rétention est pour moi la position d'une personne qui retient quelque chose volontairement et dans un but précis. A partir de là deux choix sont possibles : laisser sortir et en assumer les conséquences, ou compter le temps où l'on va rester enfermé avec ce qu'on a retenu. Cet état va créer un environnement, un huis clos symbolique dans lequel le corps du danseur va pouvoir s'exprimer et laisser paraître ce qu'il a retenu jusqu'à maintenant.

Entrée libre. Réservation souhaitée. Renseignements : Centre de danse du Galion, Galerie Surcouf : 01 48 68 80 65

Voir les commentaires

Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 25 Avril 2011

Saint Sébastien de banlieue

Le coeur les seins percés de flèches

De fines et noires panthères lèchent

mes plaies quand je ferme les yeux

 

Et pourtant je chante dans le supplice

l’espoir d’une saison églantine de mai

L’avènement d’une ville coiffée d’ailes et d’astres

La roue dentelée du soleil tournant dans des orbites creuses

 

Puisqu’existe plus haut que la douleur une voix

fleuves tressés  -- pour nier le plomb des fatalités

qui réveille les cadavres endormis dans les sillons de la chair

Cadavres qui demain exploseront de ferveur et de joie.

 

 

                    André Laude

 

(Amicalement transmis par André Cuzon)

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 22 Avril 2011

Une femme évacuée sur un brancard, en larmes, une autre qui hésite durant une demi-heure avant de franchir les portes d’entrée et des visages tirés par la fatigue et l’inquiétude. Mardi matin, les habitants du 12, rue des Aulnes à Aulnay ont pu rentrer chez eux, cinq jours après l’incendie qui a touché les parties communes de cette tour de 85 logements.

incendiemitry

Un retour très encadré par les services de la ville, les équipes de la Croix-Rouge et le syndic de l’immeuble : « C’est un moment difficile pour eux. Les ascenseurs sont en panne. Dans la cage d’escalier, les murs sont noirs. Dans certains appartements, les pompiers ont dû casser les fenêtres »,explique Guy Challier, adjoint au maire PS. Depuis lundi, les agents municipaux et plusieurs entreprises se sont activés pour débarrasser les parties communes, les nettoyer, remplacer les portes détruites… Mais cela n’a pas suffi à effacer le traumatisme. « J’appréhende de rentrer, de ne plus être en sécurité. On a déjà connu des incendies, mais jamais comme celui-là », confie une mère de famille, qui avait dû fuir par la grande échelle.

Plusieurs plaintes déposées

Parmi les habitants, personne ne semble croire à un feu accidentel. Les flammes ont démarré à l’endroit où étaient entreposés des encombrants. « S’ils avaient été débarrassés en temps et en heure, ça ne serait jamais arrivé », assure José Manetta, qui annonce avoir, avec d’autres copropriétaires, déposé plainte contre l’administrateur judiciaire en charge de la résidence, l’accusant de non-assistance à personne en danger. Ce dernier refuse de porter le chapeau et insiste sur la situation difficile de cette copropriété privée, qui fait l’objet d’un plan de sauvegarde depuis 2007. « Je suis convaincu que nous faisons face à un incendie volontaire, comme nous en subissons presque tous les ans dans cette résidence », indique Me Philippe Blériot, qui a lui aussi déposé plainte contre X auprès de la procureure de Bobigny. Il évoque les « conditions d’insécurité » qui règnent selon lui dans le quartier. Pour les habitants, les préoccupations hier étaient d’abord matérielles : « Combien de temps faudra-t-il attendre pour avoir l’ascenseur? » Probablement plusieurs semaines, le temps de remplacer les pièces endommagées par la chaleur de l’incendie.

Source : GB - Le Parisien du 21 avril 2011

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 22 Avril 2011

challengesportifUn challenge sportif est organisé samedi 23 avril de 14h à 18h au City Stade de la Rose des vents, en face du Cap. Au programme, tournoi multisports et défi de tennis, volley, foot, pétanque, jeux de société, boxe et échecs.

Cet événement est ouvert à tous les enfants entre 6 et 12 ans. Accès libre et gratuit.

RENSEIGNEMENTS AUPRES DES CENTRES SOCIAUX :

- Centre Social Albatros : 01 48 79 07 60
- Les 3 Quartiers : 01 48 69 87 21
- Espace Gros Saule : 01 48 79 63 08
- Mitry Ambourget : 01 43 83 00 79

Source : www.aulnay-sous-bois.com

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Soyons sport.

Publié le 22 Avril 2011

La Région compte près de 150 groupes d'usagers réunis en Associations pour le maintien de l'agriculture paysanne (Amap), mais l'offre ne répond pas à la demande...

L'agriculture de proximité a la cote. Chaque semaine, des milliers de Franciliens se rendent auprès de leur Amap de quartier pour y retirer le désormais traditionnel panier de fruits, légumes,  voire désormais des laitages ou du pain bio. Huit ans seulement après l'apparition du premier réseau dans la Région, le phénomène est en pleine explosion. Aujourd'hui le réseau Amap-Ile-de-France estime que 150 groupes adhèrent à sa charte, chaque groupe comptant entre 50 et 100, parfois 200 adhérents, et un seul panier étant censé couvrir une famille de quatre personnes. "Chaque année, nous accompagnons une cinquante de nouveaux projets de regroupement de consommateurs", précise Garlonn Kergoulay, membre du réseau Amap-Ile-de-France.

amap.jpg

Le succès du système doit sans doute beaucoup à sa simplicité. Moyennant une adhésion à l'association et le paiement à l'avance des paniers (sur six mois ou un an, chaque panier variant de 10 à 25 euros), le consommateur goûte aux plaisirs des produits de proximité tout en sécurisant le producteur. Seul problème : en Ile-de-France, l'offre ne satisfait pas la demande, à tel point que les Franciliens doivent aller chercher leurs productions dans les régions voisines. "Il y a beaucoup de gens sur liste d'attente, explique Hélène Gassin, vice-présidente de la Région chargée de l'environnement et de l'agriculture. La Région est en retard par rapport à d'autres en matière de surfaces de maraîchage bio. Mais il y a des idées innovantes."

Parmi celles-ci, la Région a soutenu la création d'un "super-réseau" d'Amap, nommé le pôle Abiosol, destiné à favoriser l'installation du bio en Ile-de-France. Les Amap viennent ainsi d'inaugurer des "couveuses" dans deux fermes franciliennes, à Toussac (Seine-et-Marne) et au Tremblay-sur-Mauldre (Yvelines), où les futurs producteurs, très souvent d'anciens urbains reconvertis à l'agriculture, sont initiés par des professionnels aux contraintes de l'exploitation bio. En 2010, des partenariats ont été signés avec une centaine de producteurs supplémentaires.

Pour mémoire il y a deux Amap à Aulnay-sous-Bois : La Tomate Farceuse et Le Poti Marrant  

Source : Vincent Michelon metrofrance.com du mercredi 20 avril 2011

Photo :  http://www.amapaulnay.fr/

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 21 Avril 2011

oxygene128Aulnay-sous-Bois, 21 avril, le soleil cogne comme en été. Un temps à oublier le travail pour ne penser qu'aux loisirs. De ce point de vue, le numéro 128 d'Oxygène colle parfaitement à l'actualité, offrant un panel détaillé de ce que la ville peut proposer pour se divertir et se cultiver. L'équipe de rédaction doit quand même galérer pour remplir les 24 pages de l'hebdomadaire. Qu'à cela ne tienne, Gérard Ségura, maire et tout sourire, arrive en page 3 pour rappeler qu'à la suite d'une enquête très sérieuse réalisée sur un panel représentatif de 288 personnes (sourires gênés) la publication devient bimensuelle. Ouf ! Cela doit arranger tout le monde ou presque...Au passage pour faire avaler la pilule, on apprend de la bouche du nouvellement réélu au Conseil général, que ce n'est pas moins qu'une économie budgétaire de l'ordre de 30 % qui est réalisé. 30 % c'est bien mais concrètement cela fait combien d'argent ? Au rayon des nouveautés, le nouveau site internet d'Aulnay-sous-Bois devrait voir le jour en juin prochain.  

En milieu de lecture on tombe sur les traditionnelles tribunes des partis politiques. Bruno Defait, le grand copain des chaises vides, mais qui est bien entendu aussi adjoint aux transports et à l'écologie, nous annonce carrément que le groupe PS se propose d'"agir concrètement sur le terrain pour inventer avec les Aulnaysien(ne)s le meilleur avenir pour tous". On dirait du Chantal Hulot. Un croisement entre Chantal Goya et Nicolas Hulot. Mais bon ne soyons pas trop sarcastiques et archivons précieusement ce numéro pour le ressortir le moment venu si des projets étaient brutalement imposés aux habitants plutôt que concertés. Le PCF et les Verts ont préféré se focaliser sur des thématiques nationales. L'éducation nationale et les suppressions de postes pour le premier. Le nucléaire pour les seconds. Du reste, les écologistes annoncent la tenue d'une réunion le mercredi 11 mai, salle Dumont à 20h pour  réfléchir sur le thème : sortir du nucléaire. Espérons que Jean-Vincent Placé ne fasse pas une apparition dans le rôle du cheveu sur la soupe qui défendrait le nucléaire. C'est peu probable mais sait-on jamais.

La droite républicaine apparait en page 14 sur deux encarts séparés qui fleurent bon le j'me voyais déjà en 2014. Le Parti Radical fête l'ouverture de sa permanence au 11 bis rue Camille Pelletan pendant que Frank Cannarozzo pour le groupe UMP essaye de trouver des raisons d'espérer malgré sa défaite aux dernières cantonales. Ses propos sur l'urbanisme, qu'on les partage ou non, méritent d'être lus. Pour finir, un mot sur la bibliothèque Daudet que j'aime beaucoup et où j'ai emprunté et lu tous les livres d'Henning Mankell. Elle fait son nettoyage de printemps. Et un autre mot enfin sur l'incendie à Mitry qui nourrit une actualité dense en faits divers. De celui-ci, on retiendra l'élan de solidarité autour des familles, ce que Ahmed Laouedj, adjoint du monde associatif et de la coopération qualifie "d'acte d'humanité". L'occasion de se rappeler que c'est malheureusement le plus souvent lorsqu'arrivent les grandes catastrophes que l'homme oublie qu'il est une machine et se souvient qu'il a encore un cœur...

Pour lire le magazine cliquez ici.

Stéphane Fleury   

  

Voir les commentaires

Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 21 Avril 2011

Après la messe, c'est la police qui s'est rendue à l'église Saint-Jean, dans le quartier de la Rose-des-Vents à Aulnay-sous-Bois, mardi matin. Les fonctionnaires se sont mis à la recherche d'indices pour trouver celui ou ceux qui, dans la nuit de lundi à mardi, ont détérioré la cloison de la sacristie, cassé deux croix en bois qui s'y trouvaient et déchiré les photos au mur, celles des papes Jean-Paul II et Benoît XVI. Si les dégâts découverts mardi au petit matin ne perturbent pas la pratique du culte, ils ravivent le profond émoi provoqué par un récent cambriolage."S'en prendre à une église, c'est honteux !" souffle Francisca, habitante des Merisiers, croisée mardi alors qu'elle venait répéter pour la chorale à l'église Saint-Jean.

eglisestjean-copie-1.jpg

A l'autre bout de la place, assis devant un café, quelques trentenaires ont peine à croire que le lieu de culte puisse être cambriolé ou dégradé de la sorte. Au diocèse de Seine-Saint-Denis, on rapporte quelques larcins dans les églises du département, mais rien d'aussi particulier que ce cambriolage survenu il y a moins de deux semaines.  C'était dans la nuit du 5 au 6 avril, comme le mentionne une affiche jaune scotchée sur la grille d'entrée. "Portes enfoncées, troncs pillés, micros volés, tabernacle éventré"... Depuis cette date, plus rien, pas même l'argent des cierges n'est laissé sur place, comme l'explique Patrick Morvan, le prêtre responsable de la paroisse Saint-Sulpice et de l'ensemble des églises d'Aulnay-sous-Bois.

"Si leur but est de voler, ils perdent leur temps. Dès la fin de l'office, on rembarque tout ! précise le curé. Cette fois, on ne sait pas par où ils sont entrés, on n'a pas trouvé trace d'effraction, précise le religieux. Peut-être ont-ils déverrouillé une porte lors de la messe du dimanche..." C'était le dimanche des Rameaux, et il y avait foule dans cette église qui peut accueillir quelque 600 personnes. "Au-delà des dégâts matériels et du vol, c'est le respect des personnes et des lieux sacrés qui est bafoué, souligne le père Morvan, alors qu'on essaye au jour le jour de tisser tous ensemble des liens de compréhension."

Source : Carole Sterlé. Le Parisien du mercredi 20 avril 2011

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 21 Avril 2011

Un drôle de cocktail se prépare au CAP, la salle de concerts d'Aulnay-sous-Bois. Pendant les vacances, vingt jeunes chanteurs de la veine rap des quartiers de la ville font leurs armes sur scène avec des musiciens venus du slam, du rap, mais aussi du rock. Avec Kohndo, un ex de la Clica, un groupe parisien des années 1990, en résidence au Cap, D'de Kabal, le rappeur-slameur de Bobigny, a accepté d'être de l'aventure. Ces ateliers, qui se terminent demain, aboutiront à "Be Live", un concert qui se jouera au Cap, le soir de la Fête de la musique, le 21 juin.

lecap

"Il y a des moments de grande émotion" Kohndo, artiste en résidence

C'est au tour de Serya, la vingtaine timide, de se lancer. Le jeune homme scande ses textes accompagné d'une guitare, d'une batterie et d'un clavier. Dans la salle, le rappeur Kohndo, 36 ans, écoute, intervient, corrige. Autour de lui, les autres rappeurs amateurs suivent attentivement l'exercice en attendant leur tour. Depuis le 11 avril, ils ont pris le rythme de ces répétitions intenses. "Je voulais faire se rencontrer des univers différents, casser les barrières entre les genres, faire jouer sur une scène des gamins qui ont plus l'habitude de chanter dans leur hall ou d'improviser des enregistrements sur leurs ordinateurs, aux côtés de musiciens aguerris" explique le directeur de la salle, Stéphane Moquet.

"L'idée est de s'enrichir les uns les autres", confie Kohndo. "Je viens du hip-hop. Je suis imprégné de ses messages d'amour, de paix et d'unité", insiste le chanteur. Au Cap, il délivre ses conseils sans compter. "J'apprends aux jeunes à maîtriser leur souffle, placer leur voix, dire leur texte, détaille-t-il. Sur scène, la plupart découvrent leur rapport à l'autre, à la musique, à leur propre corps. Ce n'est pas évident de franchir le fossé. Et là, le défi est relevé. Il y a des moments de grande émotion", assure-t-il.

C'est encore un autre plaisir que vivent les musiciens en accompagnant ces artistes en herbe. "Je me sens toujours bien avec des jeunes. Ils sont enrichissants par leur regard neuf et leur approche simple de la musique", sourit David, le guitariste. Pour lui, tous les genres musicaux ont leur place et ont quelque chose à dire. " Le rap n'est pas a priori mauvais et le jazz ou le rock a priori bons parce qu'ils seraient plus complexes. Parfois on se rend compte que c'est dans le minimalisme que les choses les plus fortes ressortent."

Source : Marie-Pierre Bologna. Le Parisien du jeudi 21 avril 2011

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 21 Avril 2011

fire1Sans doute la loi des séries. Après l'incendie du quartier Mitry, c'est au tour d'un immeuble de l'OPH du Vieux -Pays d'être en proie aux flammes. En effet, la nuit dernière, aux alentours de 2h30 du matin une cage d'escalier du troisième étage a pris feu. L'origine criminelle ne semblerait faire aucun doute.

fire2.JPGHeureusement les résidents ont réagi très rapidement en appelant les pompiers qui ont maitrisé l'incendie en quelques minutes. Les occupants des 4ème et 5ème étages ont ainsi pu être évacués vers 3h00. L'essentiel est qu'il n'y ait que des dégâts matériels. Ils sont toutefois importants comme en témoignent les photos prises sur place.

fire3Les locataires de l'immeuble étaient ce matin en état de choc, mais se sont regroupés pour aller  porter plainte au commissariat.

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 20 Avril 2011

Episode 6 : presse, commerce et politique

La presse populaire représente les commerçants tantôt avec bienveillance, tantôt avec agressivité. Elle rend compte de mouvements sociaux qui naissent dans la profession dans les années 1880. A cette époque, les employés de commerce revendiquent un jour de repos hebdomadaire. Dans Le Petit Journal en 1907, les boulangers grévistes sont traités de "saboteurs". Le journal affirme alors que le développement du machinisme garantira "la tranquillité du patron et la sécurité des clients".

Progressivement, les employés et petits commerçants de sensibilité "socialiste" s'orientent vers la droite nationaliste ou le catholicisme social. Le mouvement des commerçants, avant 1914, s'inquiète de la croissance du socialisme et du syndicalisme ouvrier. Il se rapproche alors du grand patronat, réclame des réformes qui les aident à être plus compétitifs. Après la Première guerre mondiale, les difficultés économiques expliquent certains charges violentes contre le petit commerce dont on dénonce l'âpreté.

commerceep6

En 1908, L'Assiette au beurre consacre un numéro spécial au petit commerce. Une crémière arrogante refuse de faire crédit à une femme du peuple : on devine que l'employée d'origine populaire a réussi son ascension sociale, s'est installée à son compte, est devenue prospère et méprise les petites gens.

Pour celles et ceux qui souhaiteraient visiter l'exposition Halles, étals et bazars : 150 ans de commerce en Ile-de-France, rendez-vous au Musée de Nogent-sur-Marne 36, boulevard Gallieni à Nogent-sur-Marne. Tél 01 48 75 51 25. Mardi, mercredi, jeudi, dimanche de 14h à 18h et samedi de 10h à 12h et de14h à 18h. Jusqu'au 29 mai 2011.Entrée libre.

Source : Communiqué de synthèse du musée et archives de Nogent-sur-Marne

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce