Publié le 9 Mars 2013

06 mars 2013

Daniel Goldberg

Député de Seine-Saint-Denis

 

« Nouveau Grand Paris »

Le Grand Paris pour tous est enfin sur de bons rails !

DANIELGOLDBERGJean-Marc Ayrault vient d'annoncer une vision d'ensemble pour la concrétisation d'un réseau de transports performant pour l'Ile-de-France, ses habitants et ceux qui sont amenés à s'y déplacer. Les enjeux sont majeurs : il s'agit à la fois de concilier qualité de vie, compétitivité et solidarité.

Alors que les déplacements quotidiens des Franciliens sont souvent difficiles, le Nouveau Grand Paris présenté par le Premier ministre permet à la fois de réaliser le schéma prévu pour le Grand Paris express et d'accélérer la modernisation du réseau existant. Cette amélioration de la qualité du transport due aux usagers sera garantie par l'extension de l'autorité du STIF à l'ensemble du réseau. C'est d'ailleurs la vision portée par la Commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur le RER, que j'ai présidée en 2012.

Aujourd'hui, un réseau moderne de transports en Ile-de-France peut enfin démarrer : financement assuré, calendrier efficace, dispositif opérationnel cohérent. Le Grand Paris sort désormais du virtuel pour se traduire dans la réalité.

Pour la Seine-Saint-Denis, la ligne 16 (ex « rouge ») devient prioritaire : passant par les territoires de Clichy-sous-Bois et d'Aulnay-sous-Bois, c’est un puissant signal pour le désenclavement de habitants de ces quartiers avant 2025 et pour le développent économique de ces territoires. La ligne 15 (ex « orange ») viendra également fluidifier les parcours des voyageurs au centre du département, notamment ceux de Bondy ou Pavillons-sous-Bois.

Colonne vertébrale d'une croissance économique, sociale et durable, ce réseau de transports publics permettra ce qui doit être une évidence : le seul Grand Paris qui vaille est celui pour tous !

Mais la qualité de vie, la compétitivité et la solidarité dans la Région Ile-de-France doivent aussi reposer sur un système efficace en matière de logement et d'urbanisme. C'est tout l'enjeu de la nouvelle gouvernance annoncée pour l'Ile-de-France qui doit avant tout permettre de résorber les inégalités territoriales dans notre Région.

Les compétences et le mode de prise de décision devront le permettre enfin pour que la ghettoïsation par le haut de l'échelle sociale et les égoïsmes ne puissent perdurer.

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Transports

Publié le 9 Mars 2013

alertegazdrancyLe hasard fait que la question écrite de Daniel Goldberg a été publiée au « Journal officiel » mardi, le jour de la fuite chimique sur un wagon, à la gare de triage de Drancy. Le député PS de Seine-Saint-Denis a en effet demandé au ministère des Transports qu’il « réduise significativement » le trafic de transit des matières dangereuses sur ce gigantesque site de fret, situé entre Drancy, Le Bourget et Le Blanc-Mesnil.

Par an, 20 800 wagons à risques passent par Drancy

Mardi, c’est un dégagement de mercaptan (utilisé pour odoriser le gaz distribué aux habitants) qui a été détecté vers 17 heures aux abords d’un wagon et a déclenché l’alerte. Un périmètre de sécurité a été mis en place. Plus d’une cinquantaine de pompiers ont été mobilisés et, après trois heures et demie de recherches, leurs analyses se sont révélées négatives. Ce nouvel incident a suscité la colère et l’inquiétude de la municipalité de Drancy, dont le député-maire (UDI), Jean-Christophe Lagarde, attend un rendez-vous aux ministères des Transports et de l’Ecologie.

Les convois de transit représenteraient 80% du volume total de produits à risques traité à la gare de triage, selon Daniel Goldberg. D’après des données de 2010, 20800 wagons contenant des matières dangereuses font étape chaque année à Drancy, dont 70% renfermant des hydrocarbures inflammables, 20% des substances toxiques, radioactives et explosives, et 10% du chlore et de l’ammoniac. Le ministère des Transports dispose de deux mois pour répondre à la question, à partir de la date de publication au « Journal officiel ».

Le hasard fait que la question écrite de Daniel Goldberg a été publiée au « Journal officiel » mardi, le jour de la fuite chimique sur un wagon, à la gare de triage de Drancy. Le député PS de Seine-Saint-Denis a en effet demandé au ministère des Transports qu’il « réduise significativement » le trafic de transit des matières dangereuses sur ce gigantesque site de fret, situé entre Drancy, Le Bourget et Le Blanc-Mesnil.

Source : Le Parisien

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 9 Mars 2013

PSARECUPDe nombreuses collectivités de Seine-Saint-Denis ont offert des subventions à des associations regroupant des salariés de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois, touchés par un plan social. Une pratique courante au titre des œuvres sociales, mais totalement illégale.

Plusieurs collectivités territoriales ont voté des subventions pour venir en aide aux salariés grévistes de l’ usine Peugeot-Citroën d’Aulnay-sous-Bois , en Seine-Saint-Denis. Ainsi, la ville d’Aulnay elle-même a débloqué 23.000 euros, celle de Tremblay 20.000 euros, de Saint-Denis 10.000 euros, le conseil général de Seine-Saint-Denis 10.000 euros. Ces subsides ont été versés à des associations comme le «Fonds de soutien aux salariés de l’automobile 93» ou l’«Association entraide et solidarité salariés du 93 et famille», proches de la CGT de l’usine d’Aulnay.

Problème : ces subventions sont parfaitement illégales, dans la mesure où elles contredisent le principe de la neutralité de l’action publique. «Une collectivité ne peut pas apporter son soutien à l’une des parties en litige dans un conflit social», commentent Claude Jaillet et Gilbert Piet, responsables d’une association de contribuables de Drancy. Ces derniers contestent une subvention de 5.000 euros en faveur des syndicalistes de PSA que Jean-Christophe Lagarde, le maire de cette commune, a fait voter par son conseil municipal.

Ils ne sont d'ailleurs pas les seuls à contester ces subventions : des habitants de Bobigny, d’Ivry-sur-Seine, du Blanc-Mesnil, de Gonesse, de Saint-Ouen, de Sevran, de Villepinte, d’Argenteuil, de Bagnolet ou de Livry-Gargan s’apprêtent demander l'annulation des délibérations municipales. Et la jurisprudence leur a déjà donné raison : en 2008, le tribunal administratif avait déjà annulé une délibération du conseil municipal de Saint-Denis décidant de verser une subvention de 10.000 euros à «entraide et solidarité salariés du 93 et famille». Le maire de Saint-Denis, Didier Paillard, ne semble plus s’en souvenir. Pourtant, il était déjà à la tête de la commune à l'époque.

Source : http://www.capital.fr

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 9 Mars 2013

chauffage-copie-1.jpgLe pacte vient d’être scellé. Aulnay et Sevran veulent mutualiser leur réseau de chaleur. Les villes voisines (qui font toutes deux partie du syndicat intercommunal, Seapfa) y travaillent depuis un an. L’objectif affiché : chauffer mieux et moins cher en anticipant l’envolée des prix du gaz et en limitant les émissions de CO2. Il s’agit aussi de mieux utiliser un réseau aujourd’hui surdimensionné en le raccordant à un plus grand nombre d’immeubles.

Le projet concerne 20 000 logements répartis sur les quartiers Gros-Saule et Rose-des-Vents pour Aulnay, les Beaudottes, Montceleux-Pont-Blanc, Rougemont et le centre-ville pour Sevran. Si le projet tient ses promesses, ces foyers, où l’on a déjà du mal à boucler les fins de mois, pourraient voir leur facture énergétique baisser dans les quinze années qui viennent. Concrètement, des études vont être confiées aux délégataires de service public en charge de la fourniture de chaleur aux quartiers concernés. Le secteur est aujourd’hui entièrement alimenté par des chaufferies au gaz. L’objectif est d’y substituer un réseau fonctionnant avec des énergies renouvelables, notamment la géothermie et la biomasse.

Dans le cas de la géothermie, notamment, il faudra évaluer la température de l’eau pouvant être puisée en sous-sol mais aussi l’endroit permettant de creuser un puits. Il faudra ensuite étudier le réseau de canalisations existant, envisager le maintien de certaines des chaufferies actuelles. En effet, l’usage du gaz restera probablement nécessaire en appoint pour fournir un complément de chaleur. Il reste à évaluer les retombées d’un telinvestissement. « Un puits de géothermie coûte entre 12 et 15 M€. Mais les villes qui ont investi dans cette technologie ont fait baisser les factures de leurs locataires de 10% par rapport à un réseau au gaz », explique Daniel Carleschi, directeur des services techniques d’Aulnay. « Si on ne fait rien, on court à la catastrophe, et il y aura un problème financier qui se traduira par une hausse du coût pour les usagers », résume le maire de Sevran (EELV), Stéphane Gatignon.

« Si on fait une approche en coût global, les réseaux de chaleur sont l’outil le plus compétitif en termes économiques », analyse Nicolas Garnier, pour l’association Amorce, l’association nationale des collectivités, des associations et des entreprises pour la gestion des déchets, de l’énergie et des réseaux de chaleur qui fédère près de 800 collectivités. Six pour cent des ménages de France sont ainsi chauffés. Les communes ne seront peut-être pas les seules à investir. Outre les aides publiques, la possibilité existe de confier le financement des travaux à une structure extérieure, du type d’une société d’économie mixte, qui exploiterait ensuite le réseau.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Intercommunalité

Publié le 9 Mars 2013

RERB.pngCes samedi 9 et dimanche 10 mars d’importants travaux entre Aulnay-sous-Bois et l’aéroport Charles de Gaulle nécessitent une interruption de la circulation des trains de la ligne B du RER.

Un service de bus de substitution est mis en place mais il est préférable d’être prudent en prévoyant un allongement du temps de parcours. L’ensemble des horaires et parcours est disponible en cliquant ici.

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Transports

Publié le 8 Mars 2013

Btissam.jpgA Sevran, le combat de Btissam Lotfi, petite brune coquette de 29 ans, a commencé au bas de son immeuble par une banale affaire de poubelles. Le local réservé aux déchets avait été supprimé pour cause d'agrandissement d'un appartement. « Les poubelles gisaient devant l'entrée, elle s'entassaient juste en-dessous de nos fenêtres », témoigne la jeune fille. C'est à ce moment là qu'a commencé sa bataille contre le bailleur. Elle peste, téléphone, écrit, engage un expert à ses frais.

Très vite elle réalise que sa voix, seule, n'a aucun impact. Elle décide alors de rejoindre l'Amicale des Beaudottes, cinq membres actifs pour tenter de changer le quotidien de tout un quartier, association dont elle est devenue secrétaire générale.

Diplômée d'un BTS assurance et d'une licence à l'Enass (Ecole nationale d'assurances), Btissam connait le droit et n'hésite pas à s'en servir pour aider les locataires. « De nombreux habitants n'ont pas la culture de l'écrit ou ne connaissent tout simplement pas leurs droits », explique Btissam. La jeune diplômée, dont les parents marocains sont arrivés en France à l'adolescence, décrit toute une population qui a peur de « faire du bruit ». « Ils assimilent le bailleur à l'Etat étant donné que ce sont des logements sociaux », explique-t-elle.

Aujourd'hui salarié à la Mutuelle Générale, Btissam vit pourtant toujours chez ses parents. Prendre son indépendance, elle n'y songe pas encore : « Tant qu'il y aura des problèmes, je serai là », promet-elle..

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 8 Mars 2013

PSARECUPAprès la CFE-CGC, la CFTC, FO, et SIA (le syndicat majoritaire de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois), c’est la CFDT qui devait annoncer qu’elle signera le projet d’accord pour l’accompagnement des salariés concernés par le plan social. Cette signature sera officialisée au cours d’un CCE, organisé le 18 mars prochain – les convocations ont été envoyées mercredi 6 mars.

Si le syndicat a émis cet avis favorable aussi tardivement, c’est qu’il semble avoir eu des difficultés à résoudre une contradiction interne. La centrale était pour la signature depuis plusieurs semaines, mais la CFDT d’Aulnay était contre – et même engagée, aux côtés de la CGT, dans la grève qui handicape fortement l’usine aujourd’hui.

11.000 C3 manquent à l'appel

La CGT, qui représente 23% des salariés, se retrouve donc très isolée : c’est en effet désormais la seule organisation syndicale qui continue à refuser la fermeture de l’usine de PSA. Mercredi, au salon de Genève, Frédéric Banzet, le directeur général de Citroën, a profité de la visite du Ministre du Redressement Productif Arnaud Montebourg sur le stand de la marque aux chevrons pour évoquer devant lui les difficultés liées à cette grève : "la situation est très tendue, lui a-t-il soufflé tout en lui montrant le futur C4 Picasso, nous allons finir par perdre des clients".

En effet, le dirigeant estime à 11.000 le nombre de C3 qui n’ont pas pu être produites depuis début 2013 à Aulnay-sous-Bois en raison du très violent conflit qui oppose certaines organisations syndicales à la direction, à tel point que 30% des salariés sont en arrêt maladie et que du matériel de production a si endommagé qu’il a fallu une semaine pour le remettre en état de fonctionner.

Arnaud Montebourg, lui, s’est simplement prononcé, une nouvelle fois, "pour la défense du dialogue social" : "Il vaut mieux se parler que s’affronter. Le gouvernement, via Michel Sapin, a envoyé un médiateur. Nous avons besoin de nous parler, en France. De nous unir".

Source : http://www.challenges.fr

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 8 Mars 2013

A force de parcourir notre bonne commune de long en large et en travers, les reporters de la rédaction d’Aulnaylibre ! finissent parfois par tomber sur des lieux que nous qualifierons d’insolites. Ainsi prenons par exemple ce canisite du quartier Chanteloup - Pont de l’Union situé à proximité immédiate de la zone commerciale Intermarché. Comme son nom l’indique, l’objectif de cet aménagement est d’éviter la propagation des déjections canines sur la voie publique. A ce propos, sur le très sérieux site web de la commune d’Aulnay-sous-Bois, on rappelle dans la section développement durable que les propriétaires de chiens sont responsables des dégâts que leurs animaux peuvent causer y compris de leurs excréments.  A chacun donc d’adopter la bonne attitude dans l’intérêt général et le souci partagé d’une ville propre. Précisons enfin pour le conseiller municipal Raoul Mercier que le canisite n’est en principe pas prévu pour les pigeons

(Le canisite du quartier Chanteloup – Pont de l’Union : un lieu qui donne envie ?)

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 8 Mars 2013

balagny.jpgC’est lors d’une journée ensoleillée, que la résidence Balagny située au 7 et 9 rue de Corse, a été inaugurée. L’événement, organisé à la suite des « rendez-vous d’Aulnay » - présentation du projet de ville aux habitants du quartier a rassemblé un bon nombre de riverains venus découvrir cette construction neuve. L’opération s’est renouvelée le 2 mars pour célébrer cette fois-ci la résidence Savigny, au 4 et 6 allée des Genêts. 

Après un discours du Président de l’OPH, Gérard SEGURA et la traditionnelle coupe du ruban tricolore, les participants ont été invités à visiter quelques appartements « témoins ». Parmi les personnalités présentes: le député Daniel Golberg, les élus de la ville, l’entreprise GTM (Maitre d’œuvre), les architectes Philippe Muller (Balagny) et Humbert Dileege (Savigny), les financeurs. Un buffet cocktail a ensuite clôturé chaque événement pour célébrer ces livraisons de logements 

savigny.jpgDeux résidences, un chantier exemplaire 

Composées de 40 logements chacune, les résidences Balagny et Savigny participent à la politique de construction d’Aulnay Habitat en faveur de nouveaux logements neufs de qualité. Les travaux, initiés à l’automne 2011, ont fait l’objet d’un programme innovant. C’est en effet une seule et même entreprise qui s’est chargée de mener à bien les travaux sur les deux résidences. Cette démarche,  dénommée « CQFD » pour « coût, qualité, fiabilité, délai » a permis de réaliser des économies d’échelle  par la conduite des deux projets en parallèle par un seul maître d’œuvre. Un processus qui a fixé les principes d’une construction rapide, à coûts et charges maitrisés tout en utilisant des matériaux garantissant la qualité et la durabilité des futurs logements. 

Source : http://www.oph-aulnay.org

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Logement

Publié le 8 Mars 2013

GRANDPARISEXPRESS« Globalement, c’est positif », commente le député-maire (FG) de Tremblay, François Asensi. « Mais les délais posent question. C’est important que le parcours Pleyel-Roissy soit réalisé dans les temps prévus. Il s’agit de desservir les zones d’activité économique.  » « Ça y est, on a gagné, s’enthousiasme son homologue (PC) de La Courneuve, Gilles Poux. Nous aurons notre gare aux 6 Routes, avec une mise en service prévue en 2023. C’est une formidable opportunité pour notre ville. »

A Sevran, Stéphane Gatignon (EELV) se félicite que les deux nouvelles gares du supermétro dans sa ville soient confirmées à l’échéance 2025. « Les annonces du Premier ministre ont le mérite de nous sortir des incertitudes insupportables qui gelaient la progression de tous les projets », note-t-il, tout en critiquant la nouvelle gouvernance prévue pour la métropole qui, selon lui, « ne répond pas aux enjeux ».

« Le nouveau gouvernement a fait perdre beaucoup de temps pour, finalement, ne rien changer dans le tracé du projet initial », tacle Jean-Christophe Lagarde. Le député-maire (UDI) de Drancy dénonce surtout le nouveau fonctionnement de la métropole (pilotée par le maire de Paris et les présidents de communautés d’agglomération) : « C’est un véritable coup de force contre les maires de banlieue. » Son collègue sénateur-maire centriste du Bourget, Vincent Capo-Canellas, parle d’un « vrai recul » : « Jean-Marc Ayrault clarifie les délais, mais repart de zéro pour l’ensemble des études », pointe-t-il, tout de même satisfait de voir que « la liaison Le Bourget - Roissy revient dans le jeu ».

Côté socialiste, on est évidemment content. « Le nouveau Grand Paris, pour la Seine-Saint-Denis, c’est réussi », a tweeté Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale et député du département, dès les annonces du Premier ministre. « Pour la Seine-Saint-Denis, la ligne 16 (ex- « rouge ») devient prioritaire : passant par les territoires de Clichy-sous-Bois et d’Aulnay-sous-Bois, c’est un puissant signal pour le désenclavement de ces quartiers », note le député Daniel Goldberg.

Le patron du département, Stéphane Troussel, se réjouit que toutes les lignes et gares prévues en Seine-Saint-Denis soient réalisées « avant 2025 », tout en promettant d’être « particulièrement attentif » à la qualité des connexions avec le réseau existant. Il demande aussi que le caractère automatique de la ligne 11 prolongée soit confirmé.

A Neuilly-sur-Marne, en revanche, le maire (DVG) Jacques Mahéas est amer. « On perd la ligne orange pour une ligne 11 saturée, pour l’instant pas financée et qui n’est même pas encore prolongée jusqu’à Rosny… Neuilly-sur-Marne va continuer à être une ville enclavée. »

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 8 Mars 2013

joanna.jpg« Je suis une fille qui fait le sport qu’elle aime. » Voilà, tout simplement. Pourtant, rien n’est simple quand une femme est joueuse de rugby de haut niveau. Elle doit supporter les réflexions machistes. Elle doit faire avec un statut amateur et l’absence de considération. Joanna Sainlo, 22 ans, le sait. Mais la talonneuse de l’équipe de Bobigny est une guerrière avec un très joli regard. L’expression « combat » revient d’ailleurs plusieurs fois sur ses lèvres, pour parler de sa discipline. Son club est dans le top 10, c’est-à-dire l’élite de l’ovalie féminine. La jeune sportive est par ailleurs internationale. Sélectionnée dans l’équipe de France à sept, elle part lundi suivre un stage de cinq jours.

«C’est beaucoup de sacrifices, analyse-t-elle. Il est plus dur pour une femme de combiner des exigences de haut niveau et une vie professionnelle et personnelle. Parce que nous devons toujours en faire plus que les hommes pour être reconnues. » Lucide et déterminée, la joueuse qui a fait ses études à la fac de Bobigny vient d’entrer dans une école de kiné, dans le Val-de-Marne, où elle réside maintenant. « J’ai établi des priorités. Je n’ai pas forcément envie d’attendre 30 ans pour commencer à travailler », juge-t-elle. Elle a désormais une heure de transport pour se rendre aux trois entraînements par semaine de son club. S’ajoutent sa préparation physique quotidienne, le match du week-end et les sollicitations liées à sa sélection enéquipe de France à sept. «C’est assez lourd », admet-elle.

Le rugby est une passion qu’elle pratique depuis six ans. « J’avais fait du judo pendant près de dix ans et j’en ai eu marre. Un jour j’ai découvert des joueuses qui s’entraînaient dans un parc. Le rugby permet la liberté dans le combat. C’est aussi un sport collectif et une grande famille. »Une grande famille dont les mentalités bougent doucement. La saillie de Pierre Camou, président de la Fédération française (FFR) en est le meilleur exemple. « Le rugby féminin, ce n’est ni du rugby ni féminin », a-t-il estimé. « Il ne faut pas s’arrêter à ces propos », répond Joanna, satisfaite du début de reconnaissance qu’a offert la retransmission télé le 23 février, du match du tournoi des six nations, où les Françaises... ont gagné contre l’Angleterre.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 8 Mars 2013

ismini.jpgSon prénom est inspiré de l’une des plus grandes tragédies grecques. Dans la pièce de Sophocle, Ismène est la sœur d’Antigone. Pied de nez du destin ? C’est le théâtre qui a donné un sens à la vie d’Ismini Vlavianou, qui enseigne depuis vingt-trois ans les lettres modernes et le théâtre aux lycées Louise-Michel de Bobigny et Jean-Jaurès de Montreuil. « Le théâtre a été une renaissance pour moi qui suis arrivée très jeune à Paris, un peu à la bohème pour y finir mes études», explique-t-elle. C’était en 1984. Ismini est née il y a une cinquantaine d’années au Pirée, le célèbre port d’Athènes. « Tous les matins, je regardais la mer et j’avais envie de partir. »

Un destin logique pour cette prof qui veut aujourd’hui aider ses élèves, presque tous issus de l’immigration, à se construire et se reconstruire. Sur scène et dans la vie. « Ils sont un peu déracinés, ils ne savent pas où ils sont, qui ils sont. J’avais la même fragilité d’identité qu’eux », confie-t-elle. Pour rien au monde elle ne quitterait la Seine-Saint-Denis et se plaindrait de ses élèves. « Je les respecte trop. »

Pourtant, Ismini mène ses troupes à la baguette. Etonnant spectacle que de la voir les houspiller, les bousculer, les recadrer lors des ateliers théâtre qu’elle organise avec eux, notamment à la MC93 de Bobigny à quelques pas du lycée Louise-Michel où elle monte cette année « le Malade imaginaire » de Molière. « Il ne faut pas avoir peur du corps à corps, du contact », lance-t-elle.

 « Le théâtre, le langage permettent à ces jeunes de construire un autre rapport aux profs, aux copains et à leur corps. » A rebours des discours déprimants sur l’Education nationale, Ismini croit en « la perfectibilité de l’Homme ». « On peut tout faire par l’éducation », lance, sur un ton revigorant, cette prof qui ne baisse jamais les bras. Des problèmes de violences ? Des difficultés à se faire respecter ? « Jamais ! » assure ce petit gabarit — 1,60 m — à la tignasse de lionne et à l’énergie débordante. Sur scène même les « petits caïds » se transforment, confie-t-elle. « Je leur dis :“ arrête de parler comme ça ! ” et ils arrêtent... avant de recommencer dès qu’ils en sont sortis », sourit-elle.

Source : Le Parisien

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 7 Mars 2013

Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Communiqués

Publié le 7 Mars 2013

Pendant deux ans, quatre sociétés d’ambulances ont escroqué la Sécurité sociale de Seine-Saint-Denis pour un préjudice de 1,6 M€. L’Urssaf a aussi fait les frais des arnaqueurs. Elle évalue son manque à gagner à 513139 €. Lundi, le gérant indélicat et son frère ont été placés en garde à vue. Le chef d’entreprise est poursuivi pour obtention indue de prestations sociales, abus de confiance et travail dissimulé. Il a dirigé ses sociétés à Aulnay puis à Stains, où il avait implanté SOS Ambulance, puis Meline. Toutes sont désormais fermées.

ambulance.jpg
C’est la CPAM (Caisse primaire d’assurance maladie) qui a déclenché les poursuites. En janvier 2012, elle repère des anomalies dans les prestations versées à ce transporteur. Ce dossier complexe est confié aux services spécialisés du Codaf (comité opérationnel départemental antifraude) et à son bras armé, le Golfaps (groupement opérationnel de lutte contre la fraude aux prestations sociales).

Des salariés non déclarés et sans agrément sanitaire

Au terme d’un an d’enquête, ils découvrent un système de fraude d’une ampleur sans précédent. L’escroc combine le recrutement de salariés non déclarés et sans agrément sanitaire, avec la facturation de courses fictives. « Des bons de transport vierges étaient tamponnés par les hôpitaux. Les courses n’étaient jamais effectuées. Ensuite, les bons étaient adressés pour remboursement à la CPAM », explique la préfecture.

La supercherie a fonctionné pendant deux ans, avant d’éveiller les soupçons de la Sécurité sociale. Le groupe antifraude a également dénombré trente-neuf salariés, jamais déclarés. La combine reposait sur une méthode immuable : « Le gérant recrutait brièvement des brancardiers disposant d’un agrément, puis il les licenciait. Entre-temps, il faisait appel à des travailleurs clandestins qui utilisaient les agréments, mais n’effectuaient pas la course », détaille-t-on à la préfecture. En subtilisant l’agrément, il pouvait se faire rembourser des déplacements purement imaginaires.

Dans le milieu du transport sanitaire, les pratiques de ce gérant n’étonnent personne. « Il était passé déjà cinq fois devant la sous-commission des transports sanitaires. Avant de s’installer à Stains, il avait exercé à Aulnay », signale un artisan ambulancier, qui énumère des pratiques peu orthodoxes. « Ses salariés nous piquaient nos patients en leur faisant croire qu’ils travaillaient chez nous. » Des entourloupes d’autant plus aisées à mettre en œuvre que la clientèle est vulnérable. « La plupart de nos patients sont des personnes âgées », ajoute un ambulancier.

Au vu des sommes escroquées, des investigations plus poussées ont été réalisées sur le patrimoine du gérant par le groupement d’intervention régionale. Ainsi, 230000 € ont pu être saisis sur ses comptes et immédiatement transférés à l’Agence de 
gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (Agrasc). Les circuits financiers pourraient conduire les enquêteurs au-delà de l’Hexagone. Une partie de l’argent était déposée sur des comptes de banques marocaines.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé

Publié le 7 Mars 2013

Ne parlez plus du Grand Paris, mais du nouveau Grand Paris. Dans un discours très attendu, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a précisé hier les contours de ce projet historique pour la région Ile-de-France, et notamment son volet transports. Il s’agit d’investir dans le réseau existant et de réaliser de nouvelles lignes en banlieue parisienne.

En tout, ce sont un peu plus de 32 Mds€ qui seront mis sur la table. Une première partie, 6 Mds€, permettra de rénover les RER, de prolonger la ligne E jusqu’à La Défense puis vers le Mantois, et de mener à bien les projets de tramways.

SUPERMETROPLAN.pngMais le gros de l’enveloppe (26,5 Mds€) concerne le réseau du Grand Paris Express et ses 72 gares. Il s’agit du prolongement des lignes 11 et 14 et de la création de 4 nouvelles lignes. Elles ont désormais des numéros : la 15 (en rocade), la 16 (qui parcourt l’est de la Seine-Saint-Denis), la 17 (vers l’aéroport de Roissy) et la 18 (pour desservir le plateau de Saclay et son pôle scientifique). Le calendrier de réalisation a été précisé : les différents tronçons doivent être réalisés d’ici à 2030.

Vers une hausse des amendes ?

Pour mener à bien le projet, des économies ont été faites sur certaines lignes, qui verront rouler des métros plus légers, et de nouvelles ressources identifiées. Seul accroc : « 2 Mds€ supplémentaires sont encore à trouver à partir de 2020 », a annoncé Ayrault, qui dit « étudier des mesures de hausse des amendes de stationnement ». De 17 €, elles pourraient passer à 30 voire 35 € pour financer les transports partout en France.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 7 Mars 2013

Ce n’est pas encore Noël mais les lignes B et D du RER ont offert ce matin à leurs usagers un petit cadeau matinal sous la forme d’une panne d’aiguillage à Paris Gare du Nord. Outre la suspension de l’interconnexion, de nombreux retards étaient à signaler. Comme d’habitude l’information était relativement confuse créant une certaine pagaille que l’on qualifiera de coutumière.

Ce qui frappait avant tout dans le regard des voyageurs c’était cette sorte de résignation face aux événements. Comme si utiliser les transports en commun quotidiennement dans de telles conditions était devenue la norme ! Pas de colère, pas de révolte, un peu d’exaspération pour la forme mais guère plus. Face à ce tableau au moins les choses sont claires : celles et ceux qui nous gouvernent peuvent dormir tranquilles ! La révolution n’est pas pour demain !

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Transports

Publié le 7 Mars 2013

PSARECUPLes grévistes de l’usine PSA Peugeot-Citroën d’Aulnay ont manifesté, hier, devant le ministère du Travail, réclamant la désignation d’un médiateur, alors que le site est paralysé par une grève depuis le 16 janvier. Une délégation a été reçue par un conseiller technique de Michel Sapin. « On nous a clairement répondu non. Le gouvernement a choisi le camp de PSA », assure Philippe Julien, délégué CGT, tandis qu’au ministère du Travail, on se refusait hier à livrer des détails sur l’entrevue.

Le directeur départemental du travail, Marc Leray, avait été chargé le 14 février par le gouvernement de tenter de « rétablir le dialogue » et de « favoriser le retour au calme » à Aulnay. Mais les cinq réunions organisées depuis, avec des représentants du groupe PSA et les 7 syndicats du site, grévistes ou non, n’ont guère permis de débloquer la situation. Face à une direction caressant toujours l’espoir de faire redémarrer une production à l’arrêt depuis un mois et demi, la CGT, SUD et la CFDT locale contestent le projet de fermer l’usine en 2014.

Les syndicats non-grévistes (CFTC, CGC, FO, SIA) ont lors de ces entrevues demandé des précisions sur le plan social. Pour l’heure, aucune autre réunion n’est programmée. Après Thierry Le Paon, futur patron de la CGT, les grévistes ont reçu hier la visite d’Annick Coupé, porte-parole du syndicat Solidaires, qui a pris la parole lors d’une assemblée générale. Ce jeudi matin, les grévistes se rendront à l’aéroport de Roissy, pour apporter leur soutien à un mouvement lancé par la CGT chez Air France Cargo, pour protester contre le plan Transform 2015 et ses conséquences sur le temps de travail.

Source : Le Parisien 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 6 Mars 2013

Puisque la musique adoucit parait-il les mœurs a fortiori en période de vacances scolaires, nous vous proposons ce soir un nouvel extrait de l’heure musicale du 29 janvier 2013 consacrée aux bandes originales de films. Dans l’épisode numéro 12 il s’agissait de reconnaitre la BO de Live and let die (Vivre et laisser mourir) le 8e opus de la série des longs métrages autour du personnage de James Bond. Signalons au passage que ce morceau composé par Paul McCartney a également servi de générique à l’émission politique l’Heure de vérité même si ces temps-ci politique et vérité ne semblent pas vraiment faire bon ménage ! Mais oublions cela, et passons au titre suivant ci-dessous. La question rituelle est bien entendu la même : quel est le titre de ce film ?

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 6 Mars 2013

Nous continuons notre reportage vidéo autour du débat sur la sécurité organisé par les élus et militants communistes d’Aulnay-sous-Bois le 27 février dernier avec l’intervention de Miguel Hernandez à propos du rôle de la police municipale.

Monsieur Hernandez a rappelé le contexte de la création de la police municipale à Aulnay-sous-Bois en 1983 suite à un assassinat. Il s’agissait selon lui d’une sorte de prétexte pour répondre à la question de l’insécurité alors même que les missions de cette nouvelle structure policière n’étaient pas clairement définies. Depuis ses effectifs n’ont cessé de croître au fil du temps passant de 20 à 62 agents municipaux aujourd’hui alors que dans le même temps ceux de la police nationale diminuaient (moins 18 personnes). Si, de son point de vue, la sécurité est avant tout une mission régalienne de l’Etat, la police municipale peut avoir son utilité à condition d’être au service de l’ensemble de la population et non d’intérêts particuliers. Elle doit ainsi faire preuve  d’une réelle proximité avec les riverains en allant au contact avec les gens, les commerçants, les gardiens d’immeubles, les jeunes dans la rue afin de créer un climat de confiance réciproque. 

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 6 Mars 2013

Hier, un peu avant 20h30, le périmètre de sécurité a été levé autour de la gigantesque gare de triage de Drancy, « la plus dangereuse de France », comme le laissait tomber un riverain, avec un rien de fatalisme. Trois heures et demie plus tôt, l’alerte avait été donnée par la SNCF, à la suite d’une détection de fuite chimique sur un wagon-citerne.  Les premiers éléments connus font part d’un dégagement « intermittent » d’un gaz à l’odeur de soufre : les secours suspectent la présence de tétrahydrothiophène (THT) ou de mercaptan. Ces composés, assez similaires, sont ajoutés au gaz distribué en ville pour le rendre décelable, en cas de problème sur le réseau. La toxicité du mercaptan suscite bien des interrogations après l’énorme nuage rejeté dans l’atmosphère par l’usine Lubrizol de Rouen (Seine-Maritime), il y a un mois et demi. Ces produits, qui sont inflammables, sont irritants à haute dose.

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Les élus ont déjà demandé le déménagement du site

A Drancy, cinquante-deux pompiers et une douzaine d’engins sont alors déployés au cœur de la gare de marchandises. Leur longue intervention est totalement invisible de l’extérieur. Seule la fermeture partielle de la rue Gâteau-Lamblin indique aux habitants les plus proches qu’il y a un dysfonctionnement. De son côté, la préfecture de Seine-Saint-Denis assure rapidement qu’il n’y a pas de risques. Mais ce n’est pourtant qu’au terme de 3h30 de recherches sur place, que les analyses toxicologiques et les mesures d’explosimétrie (déterminant les risques d’explosion) se sont révélées négatives.

L’incident est clos, mais la polémique promet de repartir de plus belle sur les dangers pour la population de la gare de triage. Posé à la croisée de Drancy, du Bourget et du Blanc-Mesnil, le site est totalement dédié au fret ferroviaire. Il accueille chaque année entre 150000 et 300000 wagons dont 20800 transportant des matières dangereuses, selon des données de 2010. Sur ces 20800 conteneurs, 70% renferment des hydrocarbures inflammables, 10% du chlore et de l’ammoniac et 20% des substances radioactives, toxiques et explosives. « Nous avions déjà eu une alerte le 11 novembre dernier, rappelle le député-maire (UDI) de Drancy, Jean-Christophe Lagarde. Avec le sénateur-maire du Bourget, cela fait plusieurs mois que nous attendons d’être reçus par les ministres des Transports et de l’Ecologie. » Selon la municipalité, qui s’appuie sur une étude de danger datant de mai 2011, trois zones présentant des « risques létaux pour la population » ont été établies, entre 250 m et 2600 m autour de la gare. Ces secteurs exposés engloberaient au 
total 220000 habitants, toujours d’après les élus de Drancy, qui n’ont pas hésité à demander en 2012 le déménagement de ce site.

Source : Le Parisien 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 6 Mars 2013

Aulnay-sous-Bois est en pleine période de vacances scolaires mais les chantiers de la commune ne s’arrêtent pas pour autant. Ainsi, celui de la gare par exemple, et en particulier le réaménagement en cours de la place du Général de Gaulle, bat son plein. C’est du moins ce qu’a pu constater ce matin la caméra d’un des reporters de la rédaction d’Aulnaylibre !

Comme vous pourrez le constater, de nouveaux arbres ont fait leur apparition et les agencements semblent peu à peu prendre cohérence. Reste maintenant à savoir si cette verdure suffira à faire disparaitre les problèmes de fluidité de la circulation fréquemment constatés dans cette zone de la ville… 

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 6 Mars 2013

PRGlogo.pngLa fédération du Parti radical de gauche de Seine-Saint-Denis présente, avant la Journée internationale de la femme, le 8 mars, ses 8 propositions pour contrer les discriminations. « Au moment où la gauche est majoritaire à l’Assemblée nationale et au Sénat, il est inconcevable que des progrès ne soient pas accomplis rapidement pour corriger ces inégalités », estime dans un communiqué le président du PRG 93, Ahmed Laouedj. Parmi les idées avancées, certaines sont classiques : l’augmentation du nombre d’appartements relais pour les femmes victimes de violence en Seine-Saint-Denis, des incitations au congé parental d’éducation pour les hommes. D’autres le sont moins, comme la création d’un « service public de l’aide à l’autonomie ».

Vous pouvez trouver le communiqué intégral du PRG 93 en cliquant ici. Ci-dessous les 8 propositions que les radicaux de gauche avancent pour les femmes en 2013…

1) Augmenter les moyens financiers des CIDF – donner des moyens supplémentaires aux Déléguées Régionales chargées auprès des Préfets de la promotion des femmes. 2)  Promouvoir les femmes à la tête des exécutifs 3) Créer  sur notre département plus d’appartements relais pour les femmes victimes de violence. 4)  Développer les incitations financières pour impulser une véritable mixité des bénéficiaires du congé parental d’éducation. 5)  Impulser l’orientation des bachelières vers des filières universitaires spécifiques 6) Développer l’éducation sexuelle et l’usage de la contraception. 7)  Créer un service public de l’aide à l’autonomie 8) Inciter publicitaires et médias à changer l’image des femmes qu’ils véhiculent

Source : Le Parisien et http://www.radicauxdegauche-aulnay.org/

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 6 Mars 2013

PSARECUP« J’achète un ticket de métro pour Paris! » Fiodor Rilov ne plaisante qu’à moitié. L’avocat du syndicat SUD compte bien assigner le groupe PSA devant le tribunal de grande instance (TGI) de Paris. Hier, le juge des référés de Bobigny s’est en effet déclaré « incompétent territorialement » pour statuer sur les recours formés par le syndicat de l’usine d’Aulnay-sous-Bois.

Lors de deux audiences les 25 février et 1er mars, SUD a demandé la suspension de la restructuration annoncée au sein du groupe (qui doit aboutir à 11000 suppressions de postes, et qui prévoit la fermeture du site aulnaysien, où travaillent 3300 personnes en comptant les intérimaires). Il a aussi réclamé l’annulation du plan de sauvegarde de l’emploi, y décelant des « insuffisances ». « Nous sommes contents de ne pas avoir été déboutés de nos demandes, a réagi Mohamed Khenniche, responsable de SUD-Aulnay. Cela prouve qu’on a raison de porter l’affaire devant un tribunal. »

Me Rilov se dit toutefois « surpris » : « Le TGI de Bobigny était parfaitement compétent. La catastrophe sociale qui se trouve au cœur de notre action judiciaire est à quelques centaines de mètres. » Du côté de PSA, on ne commentait pas hier la décision, qui va dans le sens de ce qu’avait réclamé l’avocate du groupe automobile. Le 25 février, Me Yasmine Tarasewicz, avait précisément demandé au tribunal de se déclarer incompétent : « Le projet dépasse largement la question d’Aulnay, puisqu’il concerne la totalité des effectifs, et le site de Rennes », avait-elle indiqué.

Le site toujours paralysé par une grève

Les responsables de SUD espèrent obtenir dès aujourd’hui une nouvelle date d’audience. Pour l’heure, le syndicat est le seul, au sein du groupe PSA, à avoir ainsi saisi la justice. Quatre syndicats (CFTC, CGC, FO et SIA) se sont déjà déclarés favorables à la signature d’un accord qui a été discuté durant trois mois. Franck Don, délégué central de la CFTC, craignait vendredi « que cette procédure retarde les reclassements des salariés d’Aulnay ». Le site est toujours paralysé par une grève qui a débuté à la mi-janvier, soutenue par la CGT, SUD et la CFDT.

Une autre procédure a bien été lancée cet été, mais elle est partie d’une filiale du groupe PSA, l’équipementier Faurecia. Fin janvier, la CGT de cette filiale a obtenu, devant la cour d’appel de Paris, la suspension du plan de restructuration, le temps que les instances représentatives du personnel de Faurecia soient régulièrement consultées (une réunion a eu lieu depuis, et une seconde est programmée le 11 mars).

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 6 Mars 2013

martinelasagnes.jpgLes bibliothécaires donnent rendez-vous aux enfants et à leurs parents pour partager des moments de plaisir autour d’albums, de comptines.

Aujourd’hui à 16h à la bibliothèque Dumont. Entrée libre.

Source : Oxygène 173

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 5 Mars 2013

citeeuropeplanIl suffit de quelques balades urbaines pour réaliser à quel point la ville d’Aulnay-sous-Bois est en pleine mutation. L’une des plus impressionnantes de ces dernières années concerne indubitablement le quartier de la Rose des Vents qui à travers le Plan de Rénovation Urbaine (PRU) a connu des transformations spectaculaires.

Le prochain sur la liste, comme indiqué par le maire Gérard Ségura lors d’une de ses interventions pendant les rendez-vous d’Aulnay, est celui de Mitry-Ambourget.

Plus loin de nous encore, le secteur de la Cité de l’Europe devrait également connaitre une évolution totalement remarquable. En effet, outre la réhabilitation de la zone commerciale, où trônaient il n’y a pas si longtemps les ruines de l’ancien garage Renault suite aux émeutes de 2005 de triste mémoire, puis la construction d’une Agence Famille de la CAF 93 et de 60 nouveaux logements,  l’arrivée possible d’une gare du supermétro du Grand Paris Express pourrait à jamais changer le visage de ce coin de la commune. Mais, en attendant de voir ce que le futur nous réserve, la rédaction d’Aulnaylibre ! vous propose une plongée dans le passé à travers un petit film récupéré sur la toile à l’époque où la Cité de l’Europe s’appelait la Cité Emmaüs. Voici donc une séquence nostalgie de 5 minutes 30 dans les années 60 qui, espérons-le, augure de lendemains qui chantent…

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #A vos quartiers !