A l’heure de la toute puissante technologie, il arrive encore que des applications internet tombent en panne. C’est le cas en ce moment du site Mon Dédommagement Navigo mis en place pour rembourser les clients victimes des grèves récentes.
Une forte affluence est désignée grande responsable de cette situation. Mais pas de panique, le site sera ouvert jusqu’au 11 mars 2020 7j sur 7, 24h sur 24h.
« Finalement, cette liste citoyenne qui devait mettre des habitants lambda et apolitiques en tête de liste pour faire valser les pros de la politique, elle nous sort… un habitué des hémicycles. » A Aulnay-sous-Bois, le choix de la tête de liste Aulnay en commun fait sourire ce militant LR.
Et pour cause ! Alors que ce collectif — soutenu par tous les partis de gauche (PCF, FI, PS, EELV, PRG) ainsi que des associations locales, inspiré par la tendance du municipalisme — avait prôné le renouvellement du personnel politique, jurant que les citoyens seraient au cœur de son projet, vient de désigner Alain Amédro pour conduire son équipe au scrutin.
« Un vieux briscard », résume un autre candidat. « Pas franchement en accord avec ce qu'ils avaient vendu au départ. On était en droit d'attendre une tête de liste inconnue, quelqu'un d'apolitique », souligne une autre.
D'autant qu'Aulnay en commun a joué à fond le jeu de la liste dite « citoyenne », en tirant au sort plusieurs colistiers, sollicitant par courrier 1 400 habitants. C'est d'ailleurs par un vote, impliquant une centaine de personnes, qu'Alain Amédro a été désigné tête de liste, lundi.
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Vous avez décidé de créer votre entreprise ? Dans ce cas venez rencontrer les structures de Paris Terres d’Envol qui hébergent, financent et accompagnent les créateurs d’entreprise.
Le forum de la création d’entreprise se déroulera le mardi 4 février de 13h à 17h à la Maison de l’emploi située 1 rue Auguste Renoir à Aulnay-sous-Bois.
Source information et image : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Aulnay-sous-Bois est une terre de rugby. Chaque semaine la ville vibre aux exploits du RAC. Cette notoriété semble dépasse les limites nationales puisque, comme l’indique le Dauphiné dans ses colonnes, la République Démocratique du Congo a décidé d’organiser son stage d’hiver de présélection dans notre commune.
A cette occasion, 40 joueurs et 15 joueuses évoluant tous dans les championnats français seront testés. Ce stage se déroulera du vendredi 7 au dimanche 9 février 2020.
Après des années de course folle vers la mondialisation, principalement pour réduire les coûts de production en bénéficiant d’une main-d’œuvre bon marché, les industriels semblent faire face aujourd’hui à un retour de bâton. En effet, si les consommateurs sont sensibles au prix, ils sont désormais plus exigeants sur la qualité.
Également, la question environnementale est en train de changer profondément les modes de consommation. Ainsi, les circuits courts sont privilégiés ce qui permet une meilleure traçabilité des produits. C’est dans ce contexte que le made in France semble opérer un retour en force comme l’indique un article paru sur le site https://fr.news.yahoo.com à lire en cliquant ici.
Heureux dénouement pour Adama Cissé, cet ancien éboueur parisien licencié par la société Derichebourg parce qu'une internaute avait publié une photo de lui endormi. Ce jeudi matin, ce père de famille de 37 ans, habitant de Villemomble, a signé un contrat de travail avec une société de nettoyage installée en Seine-Saint-Denis. Il doit débuter lundi.
De quoi espérer une vie meilleure pour lui. Mi-janvier, le Parisien révélait l'histoire de cet homme licencié en octobre 2018 après une photo le montrant allongé, en train de faire la sieste, sur le rebord d'une vitrine. Le cliché avait circulé sur Twitter, à l'insu d'Adama Cissé…
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Pas de « vague bleue » attendue, mais des « positions consolidées ». A un mois et demi des élections municipales, les Républicains et l'UDI ne comptent pas bouleverser l'échiquier politique comme en 2014, lorsque des bastions communistes, à l'image de Bobigny, du Blanc-Mesnil et Saint-Ouen, étaient tombés dans son escarcelle. Faisant passer à 21 sur 40 le nombre de communes gérées par la droite en Seine-Saint-Denis.
Philippe Dallier, patron de la fédération LR départementale et sénateur du 93, vise la « stabilité » et espère « garder les villes gagnées ». Entre les têtes de liste LR ou UDI et les équipes soutenues dans le cadre d'alliances, des candidats de droite sont attendus dans « 30 à 35 villes ». Même s'il faudra « attendre la date de clôture pour le dépôt des listes (NDLR : le 27 février) avant de dresser un état des forces en présence définitif ».
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Malgré la présence de cinq déchetteries à Sevran, Tremblay, Villepinte, Blanc-Mesnil et bien entendu Aulnay-sous-Bois, certains n’hésitent pas à effectuer des dépôts sauvages. Les images ci-dessous mises en ligne sur le groupe Facebook #SeulsLesAulnaysiensPeuventComprendre sont édifiantes.
Elles montrent un amas de détritus visiblement laissés à l’abandon dans la zone industrielle de Balagny à Aulnay-sous-Bois. Une pratique aussi lâche que scandaleuse. Heureusement, la municipalité n’est pas inactive sur le sujet. Plusieurs opérations de nettoyage de grande ampleur sont régulièrement réalisées (voir ici et là).
Mieux encore, la ville étend progressivement son réseau de vidéo-protection aux abords des sites où des dépôts sont habituellement observés. Rappelons à toutes fins utiles que l’abandon de déchets par un particulier, transportés à l’aide d’un véhicule, expose le contrevenant à une amende de 1500 euros (3000 euros en cas de récidive). Si l’abandon de déchets est effectué par une entreprise, la peine est de 2 ans de prison et/ou 75000 euros d’amende.
Vous voilà prévenus !
Robert Ferrand
Source photos : Naj Zagh sur le groupe Facebook #SeulsLesAulnaysiensPeuventComprendre
Thérèse BOUCRAUT Peintures et gravures Noémi FABER
Céramiques
Une exposition intitulée « Deux sœurs, d’argile et de cuivre » présente à l’Espace Gainville, galerie de l’école d’art Claude Monet, des peintures et gravures de Thérèse Boucraut ainsi que des céramiques de sa sœur, Noemi Faber.
Plus de 60 œuvres à découvrir, fruits de deux parcours artistiques originaux et témoins d’une sororité où le vécu familial, la complicité et les expériences créatives et esthétiques furent longtemps partagées.
Née en 1930, Thérèse Boucraut, après des études à l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs, où elle fréquente l’atelier du peintre Marcel Gromaire en 1957, se consacre à la peinture et à la gravure. Au cours des années qui suivent, la question du sujet lié au retour à la figuration est centrale pour l’artiste. Elle l’explore à travers la peinture et la gravure – qu’elle utilise de plus en plus en peintre. Les dégradés de gris que permet l’aquatinte sont utilisés dans des sujets tels que l’autoportrait (visage et fragments du corps) ou les paysages de sa région natale, la Champagne. Récemment Thérèse Boucraut a peint une série de tables rondes : à leur surface se déploient les objets de la maison, laissant parfois apparaître les céramiques de sa sœur, Noemi Faber.
Plusieurs œuvres de Thérèse Boucraut font partie de la collection de la ville, dont une gravure achetée en 2001, lors de l’exposition « L’estampe, le paysage » présentée à l’Hôtel de Ville et quatre gravures offertes par l’artiste en 2019.
Ce bel ensemble d’oeuvres a été présenté lors de l’exposition « 30 ans de collection » qui s’est tenue à l’Hôtel de Ville d’Aulnay-sous-Bois, du 4 novembre au 3 décembre 2017.
Noemi Faber (1939-2017), céramiste et designer a su décliner avec la technique du coulage des pièces, à la fois utilitaires et décoratives, en différentes tailles et différentes couleurs, telles que vases, boîtes, bougeoirs, assiettes ou encore des coupes.
Ainsi la recherche de la forme, de la ligne, de la souplesse du volume s’est associée à la recherche des émaux, en accord avec la terre et leur transformation par le feu, véritable alchimie. Le langage de ces formes est celui de la géométrie et des couleurs vives qui font résonner entre elles ces pièces d’un quotidien sobre et intemporel.
Membre actif des Ateliers d’Art de France, elle participait au Salon Maison et Objet.
Source information et image : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Dans son édition nationale datée de ce mercredi, le journal Le Parisien évoque les prochaines élections municipales de mars 2020 et plus particulièrement les doubles candidatures LREM dans plusieurs villes de France.
Ainsi, on apprend que, parmi les 60 plus grandes villes françaises, 16 font face à cette situation un peu incongrue à savoir une lutte fratricide entre un candidat LREM officiel et un dissident. A Paris, c’est le duel entre Cédric Villani et Benjamin Griveaux qui fait rage. A Aulnay-sous-Bois, il oppose Abdel Benjana et Benjamin Giami.
D’un côté, nous avons Benjamin Giami, LR de longue date mais reconverti tardivement LREM après les élections législatives de 2017. Bien qu’il soit le candidat officiellement investi, monsieur Giami semble tout faire pour cacher son appartenance à La République En Marche. Il faut dire que l’étiquette est lourde à porter en ce moment, le président Macron enchaînant les mesures impopulaires tout en laissant filer les dépenses publiques. Jamais le pays n’a semblé autant à la dérive.
De l’autre, il y a Abdel Benjana, supporteur d’Emmanuel Macron de la première heure, avant que ce dernier ne devienne chef de l’Etat. Aussi étrange que cela puisse paraitre, bien que monsieur Benjana se soit toujours montré fidèle et loyal à LREM, le mouvement a pourtant décidé de ne pas lui donner l’étiquette officielle, alors qu’il l’assumerait pleinement, lui !
Il est vrai que La République En Marche est une jeune formation politique qui navigue encore à vue. Elle fait donc parfois des choix relativement incompréhensibles. Ce fut par exemple le cas à Aulnay-sous-Bois, lors des législatives de 2017, où la désignation surprise de Billel Ouadah a fait grincer des dents chez les plus fidèles de LREM. On connait la suite, une défaite cuisante du représentant du parti présidentiel face au Républicain Alain Ramadier !
Benjamin Giami va-t-il suivre la voie tracée par Billel Ouadah ? L’avenir le dira très prochainement ! Quoi qu’il en soit, en attendant le 15 mars, LREM reste plus que jamais dans le flou avec un candidat officiel qui n’assume pas son étiquette, Benjamin Giami, et un postulant prêt à l’assumer, Abdel Benjana, mais obligé d’entrer en dissidence !
Alors que va-t-il se passer ? Les deux hommes vont-ils finir par faire cause commune ? Benjamin Giami va-t-il se ranger derrière Abdel Benjana ou l’inverse ? Le président de la République, Emmanuel Macron, va-t-il rencontrer les deux hommes pour tenter une médiation comme à Paris ? Marc Masnikosa, fidèle parmi les fidèles à LREM et faiseur de roi à Aulnay-sous-Bois, va-t-il, tel Salomon, apporter un peu de sagesse dans le parti présidentiel ?
Le suspense reste entier…
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Source carte : journal Le Parisien / Source photo : communiqué d’Abdel Benjana / Source article : contribution externe
Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien. Il est consacré au Tombouctou situé rue Maximilien Robespierre à Aulnay-sous-Bois. Ce restaurant qui concocte une gastronomie subsaharienne à prix doux fait un carton !
« J'ai toujours aimé la discrétion, je déteste être dans la lumière, même dans les affaires. Force est de constater qu'aujourd'hui… cela me sert ! » On a beau insister : Matiné ne veut pas être pris en photo. Pas même pour parler du Tombouctou, son «bébé», un concept de fast-food design servant des plats africains, qui rencontre un énorme succès depuis sa création, il y a six ans, à Aulnay-sous-Bois. En quelques années, dix restaurants ont ouvert en région parisienne et à Troyes (Aube)*. Un onzième doit voir le jour à Paris.
La recette est simple : les spécialités de l'Afrique noire — poulet ou bœuf en sauce façon Yassa, thieb rouge ou jaune, mafé, pour les plus connus — servis sur place ou à emporter, dans de petits restaurants déclinés selon le même code couleur, et soumis à de strictes normes d'hygiène. « Le Tombouctou, c'est un peu le McDo africain », rigole une habituée des lieux. Un comparatif qui ne déplaît pas du tout à Matiné, bien au contraire.
« L'idée est simple : chaque enfant issu de la diversité a eu, un jour, envie de faire goûter les plats de son pays d'origine. Alors, avec mes frères, qui sont associés, on s'est dit : pour quoi ne pas en faire un concept moderne, propre », explique l'entrepreneur de 36 ans, originaire du quartier des 3 000. Il poursuit : « Car jusqu'ici, il n'y avait que deux manières de manger facilement africain : les restaurants un peu chers à Paris avec menu à 25 euros, ou les foyers en banlieue. Ces derniers sont très bons, mais l'hygiène, ça reste à voir. »
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Les championnats d’Europe par équipes de badminton vont se dérouler du 11 au 16 février 2020 à Liévin. Les noms des membres des équipes sélectionnés pour représenter la France ont été dévoilés.
Parmi eux figure celui de Marie Batomene, joueuse du club badminton Aulnay-sous-Bois (CBAB). Marie représentera donc la France dans l’équipe féminine qui affrontera notamment l’Angleterre, la Biélorussie et Israël.
Encore une distinction pour notre commune ! Le beatmaker originaire d’Aulnay-sous-Bois, Tarik Azzouz, vient d’être récompensé ce dimanche lors de la prestigieuse cérémonie des Grammy Awards à Los Angeles.
Il a été distingué pour son travail sur le titre Higher de DJ Khaled, Nipsey Hussle et John Legend.
Ce Grammy sonne comme une consécration pour celui qui a réussi à se faire une place dans le vaste monde du rap américain.
Et oui, Aulnay-sous-Bois regorge de talents et ils sont reconnus aussi à l'international.
Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un communiqué de la France insoumise Aulnay-sous-Bois qui annonce se désengager de la liste Aulnay en commun.
Si la démarche de la liste Aulnay en commun semblait, au départ, prometteuse, les représentants locaux de la France insoumise constatent que le résultat est aujourd’hui très loin de ses espérances. Il s’agit d’un quasi-échec, ajoutent-ils.
Ils dénoncent par ailleurs la trop grande influence exercée par le Parti socialiste d’Aulnay-sous-Bois sur la liste Aulnay en commun.
Cette information est un coup de tonnerre dans la campagne des élections municipales de 2020. La gauche partira donc divisée.
Source : communiqué de la France insoumise Aulnay-sous-Bois
Selon le site Actu.fr, un grand plan de rénovation des urgences va être lancé dans trois hôpitaux de Seine-Saint-Denis.
Ainsi, l’hôpital Robert Ballanger à Aulnay-sous-Bois devrait bénéficier d’une enveloppe de cinq millions d’euros pour rénover entièrement les urgences pédiatriques et adultes.
Les travaux devraient débuter dès cette année.
Article complet du site Actu.fr à lire en cliquant : ici
France, 2019, drame, 1h42 Réalisé par Ladj Ly Avec Damien Bonnard, Alexis Manenti
Stéphane, tout juste arrivé de Cherbourg, intègre la Brigade Anti-Criminalité de Montfermeil, dans le 93. Il va faire la rencontre de ses nouveaux coéquipiers, Chris et Gwada, deux « Bacqueux » d’expérience. Il découvre rapidement les tensions entre les différents groupes du quartier. Alors qu’ils se trouvent débordés lors d’une interpellation, un drone filme leurs moindres faits et gestes...
PRIX DU JURY FESTIVAL DE CANNES 2019
20h30 - Projection du film "LES MISÉRABLES"
22h30 - Renc'Art - Echange-débat en présence de l’équipe du film (Almamy Kanoute, Steve Tientcheu, Alexis Manenti, Issa Ba et la production.)
En partenariat avec le Réseau des bibliothèques et le service du développement et de la promotion culturelle.
Tarifs : Plein : 5,60€ Ι Réduit : 4,40€ Ι -14 ans : 4€
Adhérent : 3,80€ Ι Groupe : 3€
Carte 10 entrées : 41€
Détail des tarifs ici
Lieu : Cinéma Jacques Prévert
134 avenue Anatole France
93600 Aulnay-sous-Bois
Source information et affiche : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Comme une allégorie aux jours qui vont nous conduire jusqu’au 15 mars prochain, la rédaction d’Aulnaylibre ! vous propose de débuter cette journée avec Joseph de Torres y Vergara et sa fameuse composition baroque Batalla de Torres (Bataille de Torres en français).
Ce morceau a été interprété le 15 décembre 2019 lors du concert de Noël à l’église Saint-Sulpice par un jeune Aulnaysien plein de talent.
L’orgue résonne de façon fulgurante et emporte tout sur son passage.
A Aulnay-sous-Bois un policier est devenu spécialiste des chiens dangereux et forme l'ensemble de ses collègues dans ce domaine très complexe.
« Depuis un an et demi à deux ans, ces molossoïdes sont en constante évolution », constate le policier. Et surtout : « Ils ont des origines frauduleuses. Leurs propriétaires s'arrangent avec des vétérinaires pour faire changer leurs chiens de catégorie. »
Ce déclassement vers une catégorie moins dangereuse leur donne le droit de se balader avec leur animal favori sans protection. La méthode est implacable. « Le vétérinaire délivre un diagnostic racial, la diagnose. Par exemple sur un pitbull standard qu'il déclasse en croisé boxer, en décidant que le museau est trop court », détaille le fonctionnaire.
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Des élèves de l’école Ambourget à Aulnay-sous-Bois ont participé à l’émission Franceinfo junior. Ils ont évoqué les effets potentiellement nocifs des écrans sur la santé.
Un directeur de recherche en neurosciences à l’Inserm a tenté de leur donner des éléments de réponse. Vous trouverez ci-dessous le passage de cette émission de France TV Info.
Toutefois, concernant la rue Maximilien Robespierre justement, la circulation demeure parfois problématique au point que les automobilistes, toujours plus impatients, s’engagent dans les petites artères pavillonnaires alentours à une vitesse souvent supérieure à celle autorisée.
Dans la vidéo ci-dessus, des automobilistes, sans doute très pressés, pensaient peut-être gagner un peu de temps en se faufilant dans les artères de la zone pavillonnaire autour de la rue Maximilien Robespierre. Problème pour eux, ce jour-là, ils étaient trop nombreux à faire ce choix. Résultat des courses : une scène relativement hallucinante puisqu’il faudra près de trois minutes aux différents conducteurs pour trouver un moyen de s’en sortir !
Heureusement que l’Homme est au sommet de la chaîne alimentaire, sinon il y aurait de quoi s’inquiéter !
La Maison de l’Environnement située dans le parc Faure à Aulnay-sous-Bois vient de publier son programme pour le mois de février, marqué par deux semaines de congés scolaires.
Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant : ici
Nouveautés au programme :
Pour les adultes : des ateliers "O Jardin" ; les balades nocturnes avec caméras thermiques; et de nombreux ateliers inter-générations sur le thème de l'exposition "la santé dans l'assiette" , car les bonnes habitudes alimentaires commencent dès le plus jeune âge et peuvent être modifiées à tout âge !
Un moment important sera l'atelier ANTI GASPI du mardi 18 février après-midi pour le mise en place d'une démarche Anti-gaspi au long cours sur Aulnay-sous-Bois avec de nombreux partenaires (SYCTOM, EPT Terres d’envol ; Pik Pik Environnement) Toutes les animations sont gratuites, sur inscription obligatoire par téléphone au 01 48 79 62 75 et /ou par retour de mail.
Source programme : Maison de l’Environnement / Source photo : Aulnaylibre.com
Au cœur de la Semaine de la création, ce concert vous présentera diverses œuvres de la seconde partie du XXème siècle (Introduction and rondo alla burlesca de Benjamin Britten, Piano phase de Steve Reich, Otherworldly resonances de George Crumb…), représentatives de courants musicaux distincts. Tout en demeurant relativement accessibles, elles constituent chacune un témoignage vivant de l'abondante activité créatrice anglo-saxonne.
Violaine Debever, Julien Guénebaut, pianos
Source information et image : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Le samedi 1er février 2020 à 12h sera inaugurée la place Jean-Claude Abrioux à Aulnay-sous-Bois. Cet endroit abritait autrefois un parking chaotique sans le moindre charme.
Comme il s’y était engagé en début de mandat, le maire Bruno Beschizza a mis de l’ordre dans ce qui constituait un non-sens urbanistique.
La place Jean-Claude Abrioux va devenir au fil du temps un véritable pôle de vie, convivial, sécurisé et où il fera bon se restaurer ou simplement contempler le temps qui passe.
D’ailleurs, les enfants n’ont pas attendu l’inauguration pour s’approprier ce lieu, signe qu’il plait déjà, car ne dit-on pas « la vérité sort de la bouche des enfants ! ».
Nous précisons que les vidéos d’illustration (ci-dessus) de cet article sont anciennes. Elles datent en effet de décembre 2019. Depuis, la place Abrioux s’est encore embellie.