Publié le 31 Août 2014

Des tonnes de gravats jonchent le sol, avenue Jean-Jaurès à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Vers 7h30, ce dimanche matin, une terrible explosion a secoué le quartier provoquant l'effondrement d'un immeuble de quatre étages. Au moins un enfant de 8 ans et une personne âgée ont trouvé la mort. Onze personnes ont été blessées tandis que d'autres restaient encore coincées sous les décombres.  Le gaz pourrait être à l'origine de l'explosion.

rosny-8-st.jpgSource article et image : Le Parisien

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Publié le 31 Août 2014

bus-616-614-Aulnay-sous-Bois.jpgLe lundi 1er septembre 2014, la nouvelle ligne de bus 616 sera mise en service. Afin d’assurer la desserte des futurs élèves du collège Simone Veil d'Aunay-sous-Bois, le STIF a établi la fusion de deux lignes de bus exploitées par Transdev - TRA : la 614 et la 616. Pour visualiser le plan de la ligne 616 et ses horaires cliquez ici.

Source : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Publié le 30 Août 2014

eleves-de-college.jpgElle aimerait encore s’imaginer une classe de jeunes «enfants, forcément adorables», mais sait qu’elle va plutôt affronter «des ados boutonneux pas du tout enclins à apprendre l’histoire-géo». C’est la première rentrée pour Marie, lundi, prof en Seine-Saint-Denis.

«Ça va être un peu le saut dans l’inconnu», avoue cette jeune femme de 24 ans, accueillie mardi par le rectorat de Créteil pour préparer la rentrée, comme des centaines de nouvelles recrues de l’académie, qui recouvre trois départements de région parisienne.

Devenir enseignante, c’était «son rêve de gamine», assure-t-elle. Mais quand elle s’amuse à se décrire «dans 40 ans», son ironie devient grinçante : «Sans doute en dépression, fumeuse, avec plein de café dans le sang».

Dans son collège de Saint-Ouen, en zone d’éducation prioritaire (ZEP), Marie sera seule face à plus de 30 élèves. Vertigineux quand on n’a pas fait le moindre stage. «J’essaye de ne pas y penser.» «Beaucoup sont déjà stressés. Moi, je pense que ce sera ce week-end», confie Diane, future prof d’économie dans un lycée d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

En attendant d’assister au discours d’accueil de la rectrice d’académie dans un amphi de la fac de Créteil spécialement réquisitionné, elle imagine, l’œil déterminé, ses premiers pas face aux élèves.

«Il faut me faire respecter tout de suite, montrer que c’est moi le professeur. Sans être forcément sévère, je vais leur faire comprendre que je n’ai pas prévu de me laisser faire», affirme-t-elle sans broncher malgré la pluie qui perle sur ses boucles blondes et son caban rouge vif.

Puis elle ajoute tout sourire : «Après, c’est plus facile à dire qu’à faire. Il y aura forcément des rebelles...»

- «Les élèves vont nous tester» -

Comme chaque professeur stagiaire, elle suivra toute l’année en alternance une formation théorique à l’École supérieure du professorat et de l’éducation (Espé) de Créteil, successeur de l’IUFM, pour peaufiner son approche. En général, deux jours à enseigner, trois autres à étudier.

Nicolas, futur prof de d’EPS au look de surfeur, attend beaucoup de cette formation, même s’il a déjà fait quelques semaines de stage l’an passé. «On pense connaître le métier, sans en avoir réellement une grande expérience. J’ai été loin de la réalité du terrain lors de mon année de stage», estime-t-il, assis décontracté sur les marches d’un escalier.

A 25 ans, il se dit «impatient et curieux» de débuter dans son établissement de Seine-et-Marne et «pas plus stressé que ça». «Étant donné notre âge, les élèves vont nous observer, nous tester, mais sans forcément être méchants», prédit-il.

«Moi, je vais y aller au feeling», assure Antoine, 22 ans, qui passerait presque encore pour un lycéen avec sa tenue «T-shirt-jeans-baskets».

Futur prof de physique à Meaux, ville plutôt tranquille, il avoue être «bien tombé» au sein d’une académie de Créteil souvent boudée par les enseignants, qui craignent d’être nommés dans une banlieue difficile.

Antoine, lui, refuse de se projeter plus loin que les quatre prochains mois : «J’ai envie de voir si c’est vraiment ça que je voulais faire. Je pense que je le saurai d’ici les vacances de Noël...»

Source : AFP/Libération

 

 

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Publié le 30 Août 2014

cahiers.jpgLa rentrée, cela coûte cher. Pour aider les parents d'écoliers à faire face à l'achat des fournitures, quasiment toutes les villes de Seine-Saint-Denis mettent la main à la poche. Des coups de pouce qui prennent différentes formes.

Près d'une vingtaine de communes versent ainsi à chaque école une somme par enfant qui doit permettre d'acheter livres, cahiers, stylos et autres crayons nécessaires pour l'année. Neuilly-sur-Marne, par exemple, verse 31 € par élève ; à Rosny, c'est 32,20 € par enfant en maternelle et 34,20 € pour les élémentaires. Aux Pavillons-sous-Bois, cette somme est de 24 €, et Noisy-le-Grand, depuis 2009, donne 50 € par enfant aux écoles afin que celles-ci achètent l'ensemble des fournitures, de la règle au protège-cahier. Neuilly-Plaisance, Les Lilas, Saint-Denis, Pierrefitte, Bondy, Gagny, Romainville, Le Pré-Saint-Gervais, La Courneuve, Drancy, Sevran, Coubron, Livry, Vaujours ou encore Le Bourget versent, elles aussi, des dotations plus ou moins importantes aux établissements primaires.

Dicos, encyclopédies...

Certaines villes, comme Bagnolet, offre un sac de fournitures complet à chaque enfant en élémentaire. Le contenu a été déterminé avec l'inspecteur de l'
Education nationale en fonction du niveau des élèves. Noisy-le-Sec fournit des trousses scolaires aux 3 200 élèves d'élémentaires. Même chose à Epinay. Villepinte délivre « les fournitures essentielles ». Saint-Ouen distribue des pochettes de fournitures aux enfants du CP au CM 2 et, cette année, une ardoise et un compas « de qualité supérieure » seront ajoutés, précise la ville. A Pantin, Bondy, Aubervilliers, Clichy, Livry-Gargan et Les Pavillons, des trousses garnies sont offertes aux petits entrant en CP. A Villetaneuse, c'est pour les CP et les CE 1. A Villemomble, c'est une pochette de matériel d'écriture pour les CP, une calculatrice pour les CE 2, un kit de géométrie pour les CM 1... A Bobigny, les CP reçoivent une ardoise avec des feutres. A Aubervilliers, les CM 2 ont aussi des sacs pour la piscine. A Pierrefitte, les CM 2 ont droit à une clé USB avant de rentrer en 6 e.

Plus de la moitié des communes du département offrent des dictionnaires ou des encyclopédies. C'est la récompense traditionnelle pour les enfants qui rentrent au collège à L'Ile-Saint-Denis, Dugny, Bondy, Aubervilliers, Villetaneuse, Saint-Ouen, Epinay, Bagnolet, Les Pavillons, Neuilly-sur-Marne, Neuilly-Plaisance, Les Lilas, Saint-Denis, Coubron, Tremblay, Romainville, Noisy-le-Grand, Drancy, Sevran ou Vaujours. Les plus petits ont également leur dico, dès le CP à Coubron, Drancy et Saint-Ouen, en CE 1 à Villemomble et Livry, en CE 2 à Pantin et Bobigny, en CM 1 à Villetaneuse. Par ailleurs, plusieurs villes, comme Aulnay, Drancy, Sevran ou Tremblay, donnent des livres en cadeaux aux écoliers.
Parmi les rares communes qui n'apportent aucune aide particulière aux élèves au moment de la rentrée, Le Raincy. Mais la ville, qui a changé de maire au 
printemps, envisage de faire l'année prochaine.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Education

Publié le 29 Août 2014

Un fidèle lecteur d’Aulnaylibre !, qui a visiblement la main verte, nous a transmis une photo présentant sa récolte du jardin. De quoi rappeler peut-être que, malgré un environnement de plus en plus urbanisé, il est encore possible de produire ses fruits et légumes à Aulnay-sous-Bois.  En tout cas, ce cliché nous a donné envie de relire un classique parmi les classiques à savoir Candide de Voltaire où il est écrit que pour être heureux il suffit de cultiver son jardin…

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Publié dans #Environnement

Publié le 29 Août 2014

La rédaction d’Aulnaylibre ! vous propose de prendre connaissance d’un communiqué de presse de Bruno Beschizza, maire d'Aulnay-sous-Bois, dans lequel il demande le report de la réforme des rythmes scolaires suite au départ du ministre de l’éducation nationale Benoît Hamon.

Communiqué de presse  

Rentrée scolaire : Il est encore temps d'agir !

Bruno-Beschizza-Aulnay-copie-1Le Président de la République a accepté la démission du gouvernement de Manuel Valls. Monsieur Benoît Hamon, Ministre de l'Education nationale, dit ne pas vouloir faire partie du nouveau gouvernement qui sera formé prochainement.

Benoît Hamon, précédé de Vincent Peillon, a imposé une réforme non concertée, non financée, mal préparée, qui suscite bon nombre d'inquiétudes chez la communauté éducative ainsi que chez les parents : la réforme des rythmes scolaires.

En tant que maires, dès notre élection le 30 mars, nous avons dû mettre en œuvre les moyens d'appliquer de manière précipitée cette réforme, sans aucune marge financière et dans un cadre qui selon nous ne va pas dans le sens de l'intérêt de l'enfant.

Aujourd'hui, il est encore temps d'écouter les nombreux maires, de toutes tendances politiques confondues, qui demandent le report de l'application de cette réforme. Par conséquent, nous demandons au Président de la République et au nouveau Ministre de l'Education nationale d'agir en urgence et de permettre le report de l'application de cette réforme. 

Bruno BESCHIZZA                                Vincent JEANBRUN

Maire d'Aulnay-sous-Bois                            Maire de L'Haÿ-les-Roses

Grégory GARESTIER                             Laurent BROSSE

Maire de Maurepas                                        Maire de Conflans-Sainte-Honorine

Karl OLIVE                                                Alexandre VINCENDET

Maire de Poissy                                              Maire de Rillieux-la-Pape

 

 

 

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Publié dans #Communiqués

Publié le 29 Août 2014

En prenant un café à la terrasse du bar Le Strasbourg à Aulnay-sous-Bois la rédaction d’Aulnaylibre ! a noté la présence d’un nid de guêpes bien caché à proximité d’un buisson.

 

Elles n’étaient pas spécialement agressives, néanmoins une piqûre pourrait s’avérer dangereuse notamment pour les enfants en bas-âge. Plusieurs commerçants du quartier ont alerté la mairie qui d’après nos informations devrait traiter ce problème dans les meilleurs délais. En attendant prudence.

Marc Masnikosa

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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 29 Août 2014

La rédaction d’Aulnaylibre ! a reçu un grand nombre d’appels de parents d’élèves du collège Simone Veil d’Aulnay-sous-Bois s’inquiétant du fait de ne pas avoir reçu de courrier officiel à propos de  la rentrée des classes ou encore la liste des fournitures. Nous vous proposons donc de prendre connaissance de l’affiche présente désormais au 2 rue du Havre.

college-Simone-Veil-Aulnay.jpg

On y apprend que la rentrée des classes est prévue à 9h pour les 6emes, 10h pour les 5emes, 14h pour les 4emes et 15 heures pour les 3emes. Quant à la liste des fournitures elle devrait être donnée aux élèves le mardi 2 septembre. Certains parents ayant des enfants scolarisés à la fois au collège Le Parc et au collège Simone Veil se sont basés sur le document fourni par le collège Le Parc. Gageons qu’il n’y ait pas de différences notables entre les deux établissements.

Quoi qu’il en soit bonne rentrée 2014 !

Marc Masnikosa

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Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 29 Août 2014

chauve-souris-copie-1.pngLa nuit internationale de la chauve-souris se déroule ce week-end. Comme chaque année, le parc départemental du Sausset, à Aulnay-Villepinte, vous invite à venir découvrir ce drôle de petit animal. Demain après-midi, de 15 heures à 18 heures, un jeu de piste et un atelier de création de masques attendent les enfants qui pourront profiter ensuite, jusqu'à 19 heures, de contes. De 20 h 30 à 23 heures, une sortie nocturne avec des animateurs vous permettra d'observer les chiroptères dans la nature. C'est gratuit mais il faut impérativement s'inscrire*.

D'autres sorties dans le Vexin

Pour mieux voir ces insectivores volants, on peut aussi se rendre dans le département du Val-d'Oise, l'un des derniers bastions des chauves-souris en Ile-de-
France. Dans le Vexin, sont concentrées 18 espèces différentes sur les 20 encore présentes dans la région, la pipistrelle bien sûr mais surtout un type de chauve-souris qui est en train de disparaître : le petit rhinolophe. Ce chiroptère d'à peine 5 g, qui a la particularité de se draper complètement dans ses ailes lorsqu'il est au repos, se voit de moins en moins. « Il y a un siècle, on en voyait partout en Ile-de-France, mais aujourd'hui il n'en reste plus que dans le Vexin », observe Nicolas Galand, chargé de mission faune au parc naturel régional. Cette espèce très fragile s'installe dans les combles des vieilles maisons.

Si la nuit internationale de la chauve-souris remplit une mission de sensibilisation, c'est bien toute l'année que les habitants sont invités à être attentifs à la présence des chiroptères. « Nous demandons aux gens qui localisent des colonies de nous prévenir », explique Nicolas Galand. « Ces rassemblements de femelles (pendant l'été au moment de la reproduction) sont rares, il est donc important de les protéger. » Car d'une manière générale, toutes les populations de chiroptères ont tendance à régresser en Ile-de-
France. Les chauves-souris sont pourtant d'une grande utilité. « Elles ont un rôle d'insecticide naturel, s'il n'y en avait plus nous serions envahis de moustiques et d'insectes nuisibles pour les cultures. »

* Demain, au parc du Sausset, à Aulnay-Villepinte. Inscription obligatoire au 01.71.29.20.80
Aujourd'hui et demain au bois du moulin de Boisemont à Chars (Val-d'Oise), inscriptions obligatoires 01.48.60.13.00.
Demain, à 20 h 30, à Bernes- sur-Oise (Val-d'Oise), projection sur le mode de vie nocturne des chauves-souris et insectes puis sortie pour les observer dans le marais, inscriptions au 06.10.03.74.19.

 Source : Le Parisien

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Publié dans #Environnement

Publié le 29 Août 2014

fuite_gaz_-_reims.jpgNouvelle alerte à la gare de triage du Blanc-Mesnil-Drancy-Le Bourget. Dans la nuit de mercredi à jeudi, peu avant 3 heures, la sirène d'alarme a retenti à la suite d'une fuite de gaz carbonique survenue sur un des wagons à l'arrêt transportant 60 000 l de CO2 liquéfié.

C'est un agent de la 
SNCF qui a constaté ce dégagement de vapeur de CO2.Il a immédiatement alerté sa direction qui, conformément à la procédure prévue, a déclenché la sirène et le plan d'urgence interne marchandises dangereuses. La circulation a tout de suite été interrompue sur l'ensemble des voies du site, y compris sur le RER B. Elle n'a été rétablie qu'à 5 heures. Un périmètre de sécurité a été mis en place, dès 3 heures, dans un rayon de 100 m puis, quand le danger était moindre, à 5 heures, dans un rayon de 20 m. Les pompiers de Paris sont restés présents sur le site jusqu'à 6 heures.

Le débat sur la présence de matières dangereuses relancé

Selon la SNCF, citée par la préfecture, c'est « un changement de température à l'intérieur du wagon qui a entraîné la transformation du CO2 liquide en gaz, ce qui a déclenché la soupape de sécurité ». Pour la préfecture, « cet incident a été classé en événement de type 2 et n'aurait donc pas dû conduire au déclenchement du plan d'urgence ». En clair, il n'y avait pas lieu de s'inquiéter. Un point de vue que ne partagent pas les élus et encore moins le collectif des riverains de la gare de triage (Corigat). « Cet incident souligne une nouvelle fois la présence sur ce site de wagons transportant des matières dangereuses et toxiques », dénonce le collectif pour qui « il y a urgence à développer une politique d'information précise en direction de la population ».

Comme le Corigat, Jean-Christophe Lagarde, le député-maire UDI de Drancy, réclame de nouveau « l'arrêt du transit et du stationnement des wagons transportant des matières dangereuses et toxiques sur le site de la gare de triage ». « Il n'y avait peut-être pas de danger, note l'élu UDI. Mais si, au lieu de CO2, cela avait été un gaz mortel ? Vous imaginez, en pleine nuit... Cet incident montre simplement la permanence du danger sur ce site. »

Source article : Le Parisien / Image d'illustration

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Publié dans #93 Infos

Publié le 28 Août 2014

libetation-paris.jpgBruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois, conseiller régional d’Ile-de-France, Chevalier de l’ordre national du Mérite, Maryvonne Montembault, adjointe au maire chargée des Anciens Combattants, le conseil municipal et les associations des Anciens Combattants d’Aulnay-sous-Bois seraient honorés de votre présence à la commémoration de la libération de Paris et de sa banlieue. Cet événement est programmé le lundi 1er septembre 2014 à 19h place du Général de Gaulle en face de la gare RER.

Source texte : invitation à la libération de Paris et de sa banlieue. Source photo : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 28 Août 2014

La MEIFE d’Aulnay-sous-Bois réitère  le projet du « BUS REGIONAL DE LA CREATION D’ENTREPRISE ». Cette opération se déroulera du 1er au 5 septembre 2014.

bus1.png

Les quartiers et lieux d’étapes suivants ont été retenus :

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Cet événement est animé par la Boutique de Gestion de Paris qui mettra à disposition deux conseillers qui accueilleront et informeront le public sur la création d’entreprise.

bus2.png 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 28 Août 2014

logo pole emploi 469 1905b290 chômeurs de plus de catégorie A (n'ayant pas du tout travaillé) ont été recensés fin juillet en Seine-Saint-Denis par rapport à fin juin. Pôle emploi dénombre désormais 115 920 demandeurs d'emploi, en hausse de 0,3 % sur un mois (+ 8 % sur un an). Si l'on prend en compte les catégories A, B et C (y compris les chômeurs ayant travaillé quelques heures), la hausse est de 1,1 % en un mois (+ 8,3 % sur un an). On atteint alors 154 980 demandeurs d'emploi. Dans le même temps, en Ile-de-France, le nombre d'inscrits de catégorie A a très légèrement baissé de 0,2 % sur un mois, mais a progressé de 0,9 % pour les catégories A, B et C.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Emploi

Publié le 28 Août 2014

cannabis.jpgPas moins de 7,3 kg de résine de cannabis ainsi que 28 000 EUR en liquide ont été saisis, hier midi, dans un appartement de la cité du Gros-Saule, à Aulnay. Depuis plusieurs semaines, les enquêteurs du commissariat pistaient l'occupant de ce logement, soupçonné d'être un des acteurs d'un trafic de stupéfiants. Il a été arrêté hier et placé en garde à vue. Un des revendeurs présumés a également été interpellé et placé en garde à vue. L'enquête se poursuit. 

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 26 Août 2014

Après une certaine accalmie due à la trêve estivale, la rue Maximilien Robespierre à Aulnay-sous-Bois subit à nouveau un transit de circulation important depuis la rentrée. En témoigne cette scène pour le moins surréaliste filmée hier soir par notre caméra. On y voit un camion de pompiers en route pour une intervention lamentablement coincé par un bus. Dès lors, un soldat du feu muni de son équipement complet est obligé de fluidifier le trafic devant des automobilistes plus que jamais impatients.

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 26 Août 2014

La rédaction d’Aulnaylibre vous propose de revivre la commémoration de la libération du camp d’internement de Drancy qui s’est déroulée le dimanche 17 août 2014 dernier à la Cité de la Muette. Habitat collectif bâti dans les années 1930 mais jamais achevé, la Cité de la Muette est à l’origine destinée à accueillir des logements. Elle est réquisitionnée par les autorités nazies d’occupation en juin 1940 pour la détention provisoire des prisonniers de guerre Français et Anglais, puis pour les Juifs raflés à partir d’août 1941.

 

De mars 1942 jusqu’à l’été 1944, elle devient pour 63 000 Juifs parmi les 76 000 déportés de France la dernière étape avant la déportation vers les camps d’extermination nazis en Pologne. Quelques années après la Libération, la Cité de la Muette est réhabilitée et rendue à un usage d’habitation. Il faut attendre 1976 pour qu’un monument rappelle l’histoire de ce lieu. Depuis 2001, la Cité est classée parmi les sites et monuments protégés de France.

A noter que nos confrères de 93600Infos ont également évoqué cet événement dans leurs colonnes à travers un article à lire ici.

Marc Masnikosa

(Données historiques fournies par le Mémorial de la Shoah à Drancy)

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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 24 Août 2014

Une fois de plus, le rappeur Booba a choisi Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) comme toile de fond d’un de ses clips, celui de son dernier morceau «3G» (deuxième extrait d’un album qui doit sortir à la fin de l’année). Cette fois, c’est entre les murs d’un vaste entrepôt, non loin du centre commercial O’Parinor, qu’a eu lieu le tournage, dans la nuit de samedi à dimanche. 

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 «Il y avait peut-être 200 personnes présentes. Ca a duré de minuit à deux heures du matin», raconte un jeune habitant, qui a assisté aux prises de vues. Un décor minimal, les carosseries rutilantes d’une Lamborghini et de deux Mercedes, et des dizaines de figurants : les ingrédients ont suffi au réalisateur Chris Macari, lui aussi habitué des lieux, et qui collabore régulièrement avec le rappeur. 

Originaire de Boulogne (Hauts-de-Seine), Booba a cependant de nombreux contacts à Aulnay, où se trouve d’ailleurs l’une des boutiques de la marque de vêtements qu’il a créée, Unkut. L’an dernier, c’est sur ses conseils que le rappeur new-yorkais Waka Flocka Flame était venu tourner un clip dans le quartier de Balagny, toujours à Aulnay. 

La ville de 80 000 habitants a aussi inspiré, dans un passé plus lointain, le rappeur Sefyu (originaire de la commune) mais aussi le chanteur britannique Tricky (ex-Massive Attack) en 2008, pour un tournage dans les halls de la cité de l'Europe.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 22 Août 2014

p-red-truck.pngNouveau vol de camionnette transportant des colis. Cette fois c'est à Aulnay-sous-Bois qu'un chauffeur livreur, sous-traitant de la Poste, a été menacé par plusieurs hommes, jeudi en début d'après-midi, rue Auguste-Renoir. Quatre malfaiteurs l'ont délesté de son véhicule, après l'avoir menacé avec un couteau. La voiture, qui transportait des colis, n'a pas été retrouvée. L'enquête a été confiée au commissariat local.

Source : Le Parisien

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 22 Août 2014

1439442983_ID6407010_p-accident_121151_H34W8U_0.JPGUn homme de 33 ans qui vit à Claye-Souilly en Seine-et-Marne est dans le coma suite à un accident survenu mercredi soir, avenue de Savigny, à Aulnay-sous-Bois. Il a été percuté par une voiture à un croisement. D'après les premiers éléments de l'enquête, l'automobiliste lui aurait refusé la priorité et il roulait à vive allure. La conductrice était sous le choc.

Source article: Le Parisien / Image d’illustration

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 21 Août 2014

Un-consommateur-sur-dix-achete-casher-ou-halal_article_main.jpgDeux femmes ont été arrêtées hier après-midi au centre commercial O'Parinor, pour avoir dégradé des marchandises au rayon casher du supermarché Carrefour. Elles portaient des tee-shirts où était inscrit « Boycott Israël apartheid ». Des tracts clamant « Mort à Israël » ont été répandus. Elles étaient quatre mais deux seulement ont été rattrapées par la police et arrêtées sans difficulté. « C'est un cas isolé et regrettable, le centre n'est pas une tribune politique. C'est un terrain neutre où chacun doit pouvoir travailler ou faire ses courses tranquillement », commente le directeur du centre, qui rappelle que 250 0000 personnes passent chaque semaine par O'Parinor.

Source : Le Parisien

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 20 Août 2014

images--2-.jpgVous trouverez ci-dessous un article du Parisien paru ce matin qui évoque une opération plutôt intéressante puisque des producteurs du Lot-et-Garonne viendront demain vendre à prix coûtant des fruits et légumes dans 13 villes du 93. Malheureusement Aulnay-sous-Bois ne fait pas partie de la liste. On se demande bien pourquoi ? 

Comme chaque été au mois d'août, le PCF et le syndicat agricole Modef organisent une vente de fruits et légumes à prix coûtant en région parisienne. Demain, des producteurs du Lot-et-Garonne vont venir vendre directement leurs pêches, tomates, salades et autres melon à Paris et dans une trentaine de villes d'Ile-de-France, dont treize en Seine-Saint-Denis.« L'objectif est de mettre les fruits et légumes à la portée de tous », explique le Parti communiste. Les produits seront vendus moins chers, sans la marge prise par la grande distribution.

Voici la liste des points de vente demain en Seine-Saint-Denis.

Aubervilliers, à 17 h 30, quartier de la Maladrerie 156, rue Danielle-Casanova (angle allée Georges-Leblanc).

Bagnolet, à 10 heures, quartier Malassis place 17-Octobre 61 ; de 10 heures à 13 heures au Centre Sud 78, rue Robespierre devant  la Butte aux Pinsons et à midi, avenue Gambetta, dos à la mairie.

Bobigny, à 10 heures à l'Espace citoyen 160, rue Jean-Jaurès.

Drancy, à 17 h 30, cité Roger-Salengro.

Epinay, à 18 heures, section PCF, avenue de la Marne.

La Courneuve, à midi, à la Poste du centre-ville et à 17 heures, place de la Fraternité aux 4 000-Sud

L'Ile-Saint-Denis, de 17 h 30 à 20 heures, cité Thorez, salle Ghislaine-Durand.

Montreuil, à 17 heures dans le quartier de la Noue (barrière de l'Afule), place du Morillon et quartier Espoir (angle rues Capitaine-Dreyfus et Victor-Hugo).

Noisy-le-Sec, à 17 h 30 au local du PCF, 27, rue Henri-Barbusse.

Pantin, à 17 h 30, devant le Ciné 104, avenue Jean-Lolive et cité les Courtilières, devant la pharmacie.

Pierrefitte, de 15 heures à 17 heures, quartier Lavoisier ; de 17 heures à 19 heures, à la Fontaine-Rosée et de 19 heures à 20 h 30 dans le quartier des Poètes.

Saint-Ouen, à 18 heures devant la mairie et aux puces, en bas des tours  Bouts en train  et à 18 h 30 au Vieux-Saint-Ouen.

Tremblay, à 16 h 30 au centre-ville, cours de la République et à 17 h 30 dans le quartier du Vert-Galant, place du Bicentenaire.

 

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 20 Août 2014

40248769_11.jpg600  enfants du 93 quitteront ce matin la Seine-Saint-Denis pour une journée à la plage, à Ouistreham, en Normandie, avec bien d'autres oubliés des vacances. L'initiative, organisée chaque année par le Secours populaire, devrait permettre à 5 000 enfants de 6 à 12 ans, privés de vacances, de respirer l'air iodé, jouer dans le sable et faire trempette. Dans le 93, ils partiront d'Aubervilliers, Bobigny, La Courneuve, Epinay, Livry-Gargan, Noisy-le-Sec, Pantin, Pierrefitte, Saint-Ouen, Sevran, Tremblay, Villepinte. Ils seront accompagnés par 200 bénévoles. Une nouveauté : pour la première fois, les Jeux équestres mondiaux (le plus grand événement équestre au monde) s'associent à l'événement. Des démonstrations de dressage, de voltige, de saut d'obstacles et de horse-ball auront lieu sur la plage. Le Mémorial de Caen sensibilisera également les petits vacanciers à la signification du 70 e anniversaire du Débarquement allié.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 19 Août 2014

RM.pngVous aimez les enfants et vous cherchez du travail ? Bingo ! Avec la réforme des rythmes scolaires, de nombreuses villes du département cherchent -- parfois en urgence -- des animateurs pour encadrer les ateliers périscolaires dès septembre. Sur les sites Internet de Montreuil, Villepinte, Bobigny, Bagnolet, Pierrefitte, Romainville ou encore Saint-Denis ou Villetaneuse, les dossiers de recrutement sont directement téléchargeables.

« On cherche encore du monde et la prochaine session de recrutement se tiendra le 20 août prochain », explique-t-on à la mairie de Montreuil où 400 postes sont à pourvoir. Et si à Bondy ou Noisy-le-Grand on assure avoir « toute l'équipe » pour la rentrée, les villes peinent parfois à faire venir les animateurs en herbe. « Il faut être bancable auprès des jeunes, reconnaît Sébastien Gaspard, le directeur de cabinet de Villepinte. Avec des ateliers d'une heure et demie deux fois par semaine, nous sommes plus attractifs que les villes qui les échelonnent sur quatre jours avec quarante-cinq minutes à chaque fois. Mais moins que celles qui les regroupent sur trois heures le vendredi après-midi. »

Certaines villes recrutent plus que nécessaire

Et pour cause : pour un étudiant en fac à Paris ou à Marne-la-Vallée, ce n'est pas vraiment rentable de venir travailler pour une heure. « Ils vont aussi au plus offrant, glisse un responsable de l'animation. Car le salaire, légèrement au-dessus du smic horaire, peut varier d'une ville à l'autre. Certaines communes s'organisent aussi pour faire cumuler plusieurs postes afin que le contrat soit intéressant. » Garderie du matin et du soir, surveillance de la cantine, aide aux devoirs et animations d'ateliers l'après-midi : les postes peuvent varier et parfois être cumulés. C'est notamment le cas à Noisy-le-Grand, où l'on tient à préciser que les cent personnes recrutées sont « presque toutes des habitants de la commune ».

Si la recherche active de jeunes motivés est palpable dans toutes les villes, il faut aussi montrer patte blanche pour être embauché. Les critères de sélection ? Aimer s'occuper des enfants, avoir éventuellement une première expérience dans l'animation et avoir (ou envisager de passer) son Bafa (brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur). En Seine-Saint-Denis, le nombre de candidats inscrits à la formation Bafa a d'ailleurs grimpé de 2,04 % par rapport à l'an dernier et le nombre de candidats ayant commencé cette formation a augmenté de 9 %. Au niveau national, les chiffres avoisinent les 10 %.

« Pour un étudiant ou un jeune sans emploi, ça peut être une bonne source de revenus, assure un animateur de l'UCPA, l'un des organismes qui forment les jeunes au Bafa. Il y a d'ailleurs eu un petit effet réforme sur les inscriptions à la formation. » Certaines communes ont d'ailleurs pris contact directement avec l'UCPA pour former une partie de leurs nouvelles recrues qui n'avaient pas encore le Bafa.

Bref, rien n'est fermé pour qui reste motivé par l'animation. Si certaines villes ont terminé leur recrutement pour la rentrée, il est toujours possible de déposer son CV car des embauches auront lieu tout au long de l'année scolaire. Quelques mairies reconnaissent même avoir recours au surbooking : « On recrute plus que nécessaire car on sait que ce sont parfois des emplois précaires et qu'il y a beaucoup de désistements au début puis en cours d'année », explique-t-on à Montreuil.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 19 Août 2014

Dans le cadre du Plan exceptionnel d'investissement (PEI) du conseil général, douze nouveaux collèges ouvriront leurs portes à la rentrée dont le collège Simone-Veil d'Aulnay-sous-Bois.

College-Simone-Veil-Aulnay-sous-Bois.png 
Il a les clés du château. Son lourd trousseau à la main, Bardy Diaw, l'un des responsables du chantier du septième collège d'Aulnay-sous-Bois, est ici chez lui. Voilà deux ans qu'il s'attelle à construire ce nouveau vaisseau amiral, à l'angle de la rue du Havre et de la rue de Bondy. Et lorsqu'on lui demande s'il est fier de son travail, il sourit et baisse les yeux, modeste.

Pourtant ici, le chantier a été colossal. Pour faire sortir de terre le collège Simone-Veil, bâti au cœur d'un quartier pavillonnaire, il a fallu détruire douze maisons et l'ancien gymnase communal reconstruit un peu plus loin et inauguré en septembre 2013.

Un look de loft new-yorkais

Si des ouvriers peaufinent encore les derniers détails, tout sera prêt à la rentrée pour accueillir plus de 500 jeunes dont la plupart étaient scolarisés jusqu'ici au collège du Parc, complètement engorgé. « L'idée est de faire basculer des élèves du Parc à Simone-Veil même si des élèves d'autres établissements étudieront aussi ici », explique-t-on au conseil général.

Le nouvel établissement design, aux façades tantôt vitrées, tantôt en bois, a été imaginé en L, enserrant une cour de récréation à taille humaine. On y pénètre après avoir franchi un parvis dont le sol est en béton matricé (effet bois) puis en traversant le préau où sont installés les casiers des collégiens. Dans l'enceinte chaleureuse, accolée à une maternelle, on accède au réfectoire, au foyer des élèves ou encore au bureau de conseillers principaux d'
éducation (CPE). Dans les couloirs, l'architecte a opté pour du carrelage gris foncé au sol et du gris clair et du rouge sombre pour les murs. L'ensemble procure au collège un look de loft new-yorkais particulièrement moderne.

A l'étage, côté rue, le Centre de documentation et d'information (CDI) a été installé face aux maisonnettes. Comme dans tous les autres nouveaux établissements construits ou rénovés dans le cadre du Plan exceptionnel d'investissement (PEI) du département, le CDI a été entièrement repensé. Des petites salles vitrées permettront aux élèves de travailler en groupe. Elles jalonnent la grande salle principale avec les étagères de livres, les tables de travail et des espaces cosy pour lire ou étudier. Installé au cœur du collège, le CDI devient le lieu phare de l'établissement.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 14 Août 2014

treillis.pngImpossible de les manquer. Depuis lundi, 21 jeunes en treillis s'activent dans les rues d'Avricourt, un petit village de l'Oise. Entre l'entretien des espaces verts, la rénovation de l'église, des murs du cimetière ou encore d'une salle de classe, les va-et-vient sont incessants. Autant de tâches effectuées bénévolement, sous la coupe de l'association Laissez-les servir. « Nous sommes basés à Rosny-sous-Bois, explique son fondateur, Nourouddine Abdoulhoussen. Mais nous rayonnons dans toute l'Ile-de-France. »

Ainsi sont réunis dans cette commune de moins de 300 habitants des jeunes originaires de Seine-Saint-Denis, du Val-de-Marne, du Val-d'Oise, des Yvelines mais aussi de Paris. Tous en situation professionnelle ou scolaire plus que compliquée. L'objectif de ce séjour qui prend fin demain est de les remettre sur le droit chemin grâce à un encadrement militaire que connaît bien Nourouddine Abdoulhoussen, capitaine de réserve. D'où les tenues. Ainsi que le lever de drapeau quotidien et « la Marseillaise »...

Agés de 17 à 25 ans, certains sont venus de leur propre chef. Comme Gaëlle Jean-Louis, de La Courneuve. « Je veux m'engager dans l'armée pour rendre à la France ce qu'elle m'a apporté. Mais, avant cela, je désirais avoir une première expérience du même genre. » D'autres, en revanche, n'ont pas eu le choix. « Ma mère m'a mis devant le fait accompli. Elle voulait que je goûte à ce mode de vie pour son côté très strict. Je n'étais pas partant au départ. Mais je ne le regrette pas », sourit avec le recul Warren Doutau, de Guyancourt (Yvelines). Pas de regrets, car la méthode semble fonctionner. « On commence par leur apprendre des choses simples, comme le respect ou l'histoire, détaille Nourouddine Abdoulhoussen. Des choses qu'ils n'ont pas forcément apprises en banlieue. Et c'est bien plus facile de le faire dans un cadre comme celui-ci. Comment voulez-vous arriver en bas des escaliers, à Bondy par exemple, et leur imposer de telles règles ? »

Convaincu par le projet, le maire d'Avricourt a donc répondu favorablement à la demande de l'association de mettre à disposition la salle des fêtes pour que le groupe y établisse son camp en échange des travaux effectués dans sa commune. « Je ne savais même pas quoi leur demander en retour, sourit Roger Parzyut. Mais j'ai trouvé le projet trop pertinent pour refuser. » Ce ne sont pas Yannick et Anis de Tremblay qui le contrediront. Tous deux fréquentent depuis six ans l'association. « Nous avons eu de sérieux problèmes avec la justice, pour des violences notamment. Le capitaine nous a sortis de là. Et, grâce à ces séjours, aux règles qui y sont imposées, nous avons appris à nous cadrer, à maîtriser notre colère. Désormais, nous allons passer notre Bafa (NDLR : brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur) pour, à notre tour, devenir encadrants. » Le plus beau signe de reconnaissance aux yeux de Nourouddine Abdoulhoussen.

Source : Le Parisien

 

 

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