Publié le 29 Novembre 2020

Il y a six ans, c'était une inconnue. Aujourd'hui, à 25 ans, Aya Nakamura, de son vrai nom Aya Danioko, est la nouvelle reine de la pop. Originaire de Bamako au Mali, elle a grandi dans la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). En 2014, à seulement 19 ans, elle enregistre son premier titre, « Karma ». En 2017, elle sort son premier album, « Journal intime ». L'année suivante, son titre « Djadja » est un succès planétaire.

 
Aulnay-sous-Bois : Aya Nakamura chanteuse la plus écoutée dans le monde !

Le 13 novembre dernier, pour la promotion de son troisième album intitulé « AYA », la chanteuse française frappe un grand coup en affichant sa silhouette sur l'un des écrans géants de Times Square, à New York. En quatre jours, « AYA » a été téléchargé plus de 12 millions de fois sur Spotify. La jeune malienne est même acclamée par Rihanna ou Madonna.

Marie Poussel, journaliste au service Culture du Parisien, raconte son ascension fulgurante dans Code Source. Voir en cliquant : ici

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : journal Le Parisien / Source photo : Aulnaylibre.com

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 28 Novembre 2020

Ne pas rouvrir, plutôt que créer des frustrations, voire des esclandres. C'est le parti pris des grandes mosquées de Seine-Saint-Denis, mais aussi de Paris et de la petite couronne dans son ensemble, alors que le gouvernement a annoncé l'autorisation des rassemblements religieux dans les lieux de culte à partir de ce samedi, à condition de respecter une jauge maximale de trente fidèles.

« C'est irréalisable dans de bonnes conditions », répondent nombre de recteurs de Seine-Saint-Denis. Ainsi, les portes des principales mosquées resteront closes pour les 700 000 musulmans du département.

Comment choisir les 30 heureux élus ?

A Montfermeil, par exemple, le calcul a été vite fait. Cette mosquée-pavillon accueille, lors de la prière du vendredi, 750 personnes sur deux offices. Un chiffre déjà divisé par deux depuis le début de la crise sanitaire pour respecter la distanciation sociale!

« Quand j'ai su qu'une jauge à trente personnes était fixée, j'ai compris qu'il ne fallait pas rouvrir, pour ne pas créer de frustration. Car on serait obligé de laisser des fidèles à la porte », résume Farid Kachour, le responsable de l'Association socioculturelle et éducative de Montfermeil (ASCEM). Qui ironise sur les solutions qui auraient pu être mises en place : « Qui laisser entrer en priorité ? Les plus généreux à la quête ? Les plus assidus ? Ou alors, je crée une carte prioritaire… Je préfère en rire ! »

L'idée est aussi d'éviter les attroupements de fidèles refoulés devant les mosquées, voire les prières de rue. « Accepter cette jauge aurait créé des problèmes : si 750 personnes se déplacent mais que seulement trente d'entre elles peuvent rentrer, certains peuvent vouloir prier sur place. Et l'on sait la réaction des autorités en cas de prière de rue : c'est la police à coup sûr », renchérit Farid Kachour.

Même son de cloche, ailleurs dans le 9-3, dans les mosquées d'Aubervilliers, Saint-Denis, Tremblay-en-France, Neuilly-sur-Marne, Noisy-le-Grand, Rosny-sous-Bois, Stains, ou encore Aulnay-sous-Bois.

Cette dernière, la plus grande du département avec ses presque 3 000 fidèles par vendredi, avait pourtant éprouvé des règles sanitaires strictes entre les deux confinements : gel hydroalcoolique à l'entrée, distanciation physique de 1,5 m par personne, obligation de faire ses ablutions à domicile, de ramener son propre Coran et son propre tapis, ainsi qu'une désinfection régulière des lieux.

« Notre exemplarité doit influencer le gouvernement dans le sens d'une réouverture, espérait récemment son responsable, Yacine Laoudi. Avec ces règles, ma mosquée n'a été le théâtre d'aucune contamination d'ampleur. » Las : l'énorme édifice, installé au cœur de la cité de la Rose-des-Vents, restera lui aussi fermé.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : journal Le Parisien / Source vidéos : Aulnaylibre.com

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 28 Novembre 2020

[CONSOMMONS LOCAL] Ce samedi 28 novembre, à l'occasion de la réouverture des commerces de proximité suite aux dernières décisions gouvernementales, le stationnement sera gratuit en centre-ville. Soutenons nos commerçants !

Le stationnement sera exceptionnellement gratuit dans les rues suivantes : avenue Anatole France, boulevard de Strasbourg, rue de Bondy, rue Isidore Nérat, rue Edouard Cornefert, avenue Dumont, parking Dumont, place du Général Leclerc.

Pour fêter la réouverture de tous les commerces le stationnement est gratuit à Aulnay-sous-Bois

Source information et image : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Voir les commentaires

Rédigé par Commerce

Publié dans #Commerce

Publié le 27 Novembre 2020

Dans la guerre sans merci que se livrent les centres commerciaux en Seine-Saint-Denis c’est une nouvelle fois celui de notre commune qui semble remporter une victoire symbolique.

En effet, après des mois d'attente, l’enseigne sportive Décathlon va enfin ouvrir les portes de son magasin au sein du complexe O’Parinor à Aulnay-sous-Bois ce samedi 28 novembre 2020 à 10h. Par voie de conséquence, celui d’Aéroville à Tremblay ferme.

Ouverture officielle du Décathlon de O’Parinor à Aulnay-sous-Bois

Alors, à fond la forme avec Décathlon à Aulnay-sous-Bois !

Ouverture officielle du Décathlon de O’Parinor à Aulnay-sous-Bois

Robert Ferrand

Source photos : Magasin Décathlon d'Aulnay-sous-Bois (avec nos remerciements)

 

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Commerce

Publié le 26 Novembre 2020

Ce jeudi 26 novembre 2020 à partir de 19h, vous pourrez suivre en direct sur Facebook un "LIVE-DÉBAT" organisé par Île-de-France Rassemblée dans le cadre des élections régionales 2021. Il sera consacré à la sécurité.

Live-Débat sur la sécurité en Ile-de-France avec le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno BESCHIZZA aura l'occasion de participer à ce débat aux côtés de Frédéric PÉCHENARD, Vice-Président de la Région Île-de-France en charge de la sécurité auprès de Valérie PÉCRESSE.

Vous pourrez poser vos questions et participer en direct à ce débat, organisé uniquement sur les réseaux sociaux en raison du contexte sanitaire, par le biais des liens ci-dessous.

https://www.facebook.com/IDFRassemblee

https://twitter.com/IDF_Rassemblee/status/1331645704373215235

https://www.youtube.com/channel/UCFQSmSuqLOSfCKwpJEPHRsA/

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 16 Novembre 2020

A une crise sanitaire hors norme s'ajoute une crise financière sans précédent. Dans les hôpitaux de Montreuil, d'Aulnay-sous-Bois et de Montfermeil - réunis au sein du même groupement hospitalier territorial (GHT) - des dettes colossales viennent plomber les cahiers de comptes et amplifier les inquiétudes du personnel, déjà très éprouvé par l'épidémie de coronavirus.

A Montreuil, elle atteint 98 millions d'euros (M€), à Aulnay, elle s'élève à 106 M€ et elle n'est « que » de 29 M€ à Montfermeil. « Mais l'établissement doit être reconstruit de façon globale, ce qui représente une dette cachée énorme de l'ordre de 300 M€ », souffle la direction de l'hôpital.

106 millions d'euros de dette cumulée par l’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois !

Un engagement du Premier ministre

Cette reprise des dettes hospitalières, l'ancien Premier ministre Edouard Philippe en avait fait un engagement à la fin de l'année 2019, quelques mois avant le début de la crise sanitaire.

Un an plus tard, nous y sommes : le parlement examine actuellement le projet de loi de financement de la Sécurité sociale qui prévoit un budget de 13 milliards d'euros. Cette somme correspond au tiers des dettes des hôpitaux dans toute la France.

Dans cette bataille des financements qui s'annonce, l'Agence régionale de santé (ARS) Ile-de-France compte bien porter haut plusieurs dossiers de Seine-Saint-Denis. Lors d'une rencontre vendredi 7 novembre avec Patrice Bessac, maire (PCF) de Montreuil, Jean-Paul Fauconnet, maire (LR) de Rosny-sous-Bois et François Déchy, maire (DVG) de Romainville, le directeur de l'ARS-IDF Aurélien Rousseau s'est engagé à faire étudier le cas du GHT de Montreuil-Aulnay-Montfermeil en priorité par le ministère de la Santé.

Emprunts toxiques

« C'est une des premières situations sur lesquelles on va travailler, explique Aurélien Rousseau. C'est pour des établissements comme celui-ci que cette mesure est la plus importante. » Pour résumer, l'hôpital de Montreuil a des atouts indéniables – densité de population, accessibilité… – mais peine à « sortir la tête de l'eau » à cause de ces emprunts toxiques contractés en 2008, durant la crise des subprimes.

Pour Montreuil, cela représenterait 2,5 à 3 M€ de dette en moins chaque année. « Cela change singulièrement l'exercice, poursuit le directeur de l'ARS IDF. C'est une mesure très concrète. »

A la direction du GHT, on se dit « ravi » que cette priorisation soit actée, pour l'instant oralement. Mais on continue de demander, comme le fait le maire de Montreuil, une reprise « totale » de la dette. « C'est une vraie première belle étape, commente l'entourage de Patrice Bessac. Mais la bataille continue pour la somme. »

«Un peu d'air» mais pas de nouveaux investissements

« A Aulnay par exemple, cela va juste nous permettre de payer les fournisseurs en médicaments et en produits de première nécessité, constate la direction du GHT. On ne les paie plus depuis des mois et des mois. Cela va nous donner un peu d'air pendant quelques mois mais cela ne nous permettra pas d'engager de nouveaux investissements. »

Le GHT travaille déjà à l'élaboration d'un projet qui sera porté, en février au ministère, par l'ARS. La reprise partielle de la dette sera liée à un contrat d'activités, c'est-à-dire « un contrat pour fixer les orientations sur lesquelles s'accordent l'agence et l'établissement (direction, soignants, personnel) sur l'utilisation de ce que va permettre cette reprise de dette : on finance quoi avec ? De l'investissement ? Quel type d'investissement ? Comment on choisit les priorités ? » énumère Aurélien Rousseau.

La direction du GHT ne précise pas encore ce qu'elle proposera d'inscrire comme prioritaire.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et photo : journal Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé

Publié le 16 Novembre 2020

Dans certains pays, le succès d’autrui, quel que soit la forme qu’il prend, engendre naturellement éloges, applaudissements, admiration. Il stimule même la saine émulation positive avec cette envie de réussir soi-même en se disant « pour moi aussi c’est possible ! ».

Et puis dans d’autres, la réussite génère plutôt la rage et la jalousie. Et même l’envie, ce mot prenant alors sa place au sein des sept péchés capitaux. Dès lors, on trouve cette bonne fortune suspecte ou imméritée au point de chercher par tous les moyens à la salir.

Petites phrases assassines, délation des moindres travers sous couvert d’information, bons mots à la limite de la calomnie, rien n’arrête ces frustrés en manque de célébrité qui tentent d’exister à travers les blogs ou les réseaux sociaux.

Cette dichotomie est assez présente en France, notre nation préférant la plupart du temps les « beaux » perdants aux gagnants.  

Prenons, par exemple, la chanteuse Aya Nakamura. Chacun devrait se réjouir de son parcours hors du commun et de sa collection de hits aux millions de vue sur YouTube. Et bien non, il y aura toujours des rageux pour critiquer.

Au sein de la rédaction d’Aulnaylibre ! on kiffe grave Aya, la diva d’Aulnay-sous-Bois. Une jolie nana qui carbure aux ondes positives. Alors on écoute en boucle son troisième album, le bien nommé Aya sorti ce vendredi 13 novembre 2020.

Quant aux frustrés par son succès, ils peuvent aller se rhabiller !

Robert Ferrand

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Culture

Publié le 16 Novembre 2020

17 octobre 2020 : la Seine-Saint-Denis décroche. Doucement, presque inexorablement, pendant cinq jours, les signaux virent au rouge. Alors que les cas positifs de Covid-19 explosent partout en France, le nombre de morts dans le 93 se met de nouveau à augmenter quotidiennement pour atteindre un pic de 41 nouveaux décès le 21 octobre. Soit le double de ce qu'enregistre en moyenne le département. La courbe oscille pour redescendre ensuite à 26 morts au 2 novembre.

Forte hausse de la mortalité en Seine-Saint-Denis depuis la pandémie du Covid-19

Si l'indicateur englobe les morts « toutes causes confondues », il suit néanmoins une tendance similaire à la reprise de la maladie liée au coronavirus. L'alerte est visible grâce à l'énorme travail de compilation de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Et cette hausse pas si facile à détecter pour les non-initiés est pourtant complètement anormale : entre le 1 er septembre et le 2 novembre, le nombre de décès en Seine-Saint-Denis est supérieur de 22,4 % par rapport aux données de 2019, sur la même période.

12% de morts en plus à l'échelle de la région depuis le 1er septembre

Dans la très grande partie nord du pays, le 93 est le territoire qui dénote de façon un peu plus inquiétante. En Ile-de-France, c'est le département qui présente le plus grand écart, bien loin devant la Seine-et-Marne (+ 16,4 % par rapport à 2019), l'Essonne (+ 15,8 %), les Hauts-de-Seine (+ 12,5 %) et Paris (+ 11,3 %). A l'échelle de la région, l'augmentation du nombre de morts est de 12 % par rapport à 2019, et de 10 % pour tout le pays. Ces chiffres doivent d'autant plus sauter aux yeux que le nombre de décès signalés au cours de l'été dans le 93 est redevenu conforme à la moyenne de 2019.

Autre constat en Seine-Saint-Denis : entre le 1er septembre et le 2 novembre, la hausse des décès parmi les personnes âgées de 65 à 74 ans est de 61 % par rapport à 2019, dans le même laps de temps ! En revanche, elle est en baisse de 25 % chez les jeunes. « Il y a probablement l'effet du confinement dans ces chiffres : les mesures prises pour lutter contre la pandémie ont permis de réduire les décès parmi les jeunes », estime Valérie Roux, cheffe du Département de la démographie à l'Insee.

24% de surmortalité à l'hôpital

Un focus sur la situation dans les maisons de retraite du 93 est également saisissant. Sur la période critique du 1er mars au 30 avril, la surmortalité atteint 307 %, par rapport à 2019 ! Sur l'ensemble de la période (1er mars-2 novembre), le département enregistre 81 % de surmortalité contre 80 % en Essonne, 74 % dans le Val-d'Oise, 69 % dans les Hauts-de-Seine, 64 % dans le Val-de-Marne, 51 % dans les Yvelines, 41 % en Seine-et-Marne et 31 % dans l'Oise. Le record ? Paris, avec 104 % de surmortalité depuis le 1er mars.

Mais dans le 93, entre le 1er septembre et le 2 novembre, « le nombre de décès est en baisse de 17,5 % dans les Ehpad », précise Valérie Roux. Aucune explication pour cette donnée, d'autant que les autres départements franciliens n'enregistrent rien de tel. En revanche, dans le 93, les morts sont en augmentation de 24 % à l'hôpital et 32 % à domicile, entre le 1er septembre et le 2 novembre.

Des données glaçantes

Le travail des experts de l'Insee avait déjà mis en lumière l'incroyable surmortalité de 124 % dans le 93, entre le 1er mars et le 30 avril. Les données compilées à l'époque sont glaçantes.

Le jour du confinement, le 17 mars, la Seine-Saint-Denis amorce une rupture en termes de décès par rapport à 2019 et 2018. Le 30 mars est frappant, avec 104 décès répertoriés en Seine-Saint-Denis, soit près de cinq fois plus que la moyenne habituelle. Et si l'on compare les données cumulées à compter du 1er mars 2020, le nombre de morts dans le 93 est de 3103 au 11 mai, date du déconfinement, contre 1491 en 2019 et 1607 en 2018.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et image : journal Le Parisien

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé

Publié le 16 Novembre 2020

Le département de la Seine-Saint-Denis vient d’annoncer son intention d’investir un milliard d’euros d’ici 2030 pour la rénovation des établissements scolaires entrant dans le champ de ses compétences. Construire, rénover et réussir la transition écologique, telles sont les ambitions du plan éco-collège.

Importante rénovation en vue pour le collège Claude Debussy à Aulnay-sous-Bois

C’est le collège Claude Debussy à Aulnay-sous-Bois qui devrait bénéficier de la rénovation la plus importante. Les autres collèges de la commune devraient quant à eux pouvoir compter sur une amélioration de la performance énergétique et du confort.

Pour plus d’information vous pouvez consulter le site du département (ici) et lire un article du journal Le Parisien consacré à ce sujet (là).

Source carte : https://seinesaintdenis.fr/

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 11 Novembre 2020

Quand les secours sont arrivés, il était déjà trop tard. Le corps d'un homme a été retrouvé ce mercredi midi, gisant au pied du foyer Adef à Aulnay-sous-Bois. Détail sordide, la victime avait les pieds et les poignets attachés par des liens.

Mort atroce d’un homme de 47 ans dans le foyer Adef à Aulnay-sous-Bois

Les premiers éléments de l'enquête ont permis de confirmer qu'il s'agissait bien d'un pensionnaire de cette résidence sociale située rue Matisse, dans le quartier des 3-000. Il était âgé de 47 ans.

Son colocataire en garde à vue

Les soupçons se sont tournés vers son colocataire, un Malien aux multiples condamnations. Les recherches ont permis de le localiser rapidement. En milieu d'après midi, ce sont les policiers d'une compagnie de sécurisation routière (CRS) qui ont repéré un individu qui déambulait complètement perdu sur l'autoroute.

Placé en garde à vue, cet homme de 34 ans aurait reconnu spontanément lui avoir « attaché les poignets et les chevilles et l'avoir poussé du 6e étage du foyer », indique une source proche de l'enquête.

Mobile encore inconnu

Selon les premiers éléments, la victime et le suspect partageaient une chambre dans une résidence sociale. Le mobile du meurtre n'a pour l'instant pas été révélé. La victime était elle aussi connue de la justice pour des vols et des abus de confiance.

La police judiciaire de Seine-Saint-Denis a été chargée de l'enquête, ouverte par le parquet de Bobigny pour assassinat.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : journal Le Parisien / Source photo d'illustration : Wikipédia 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 8 Novembre 2020

« Pourquoi faites-vous ce métier ? » Les masques cachent leurs sourires, mais les yeux de Rahma, Nabila, Yamina et Salima pétillent. « Parce qu'on a un cœur ! », lance l'une d'elle.

Le secteur de l’enfance recrute à Aulnay-sous-Bois et dans le 93 !

Un cœur avec lequel elles ont tenté, ce samedi après-midi, d'éveiller quelques vocations parmi les promeneurs du parc départemental du Sausset, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Toutes quatre sont assistantes familiales. Un vrai métier, que le grand public connaît davantage sous le nom de « familles d'accueil ». En Seine-Saint-Denis, parmi les quelque 8 000 enfants et adolescents suivis par les services de l'Aide sociale à l'enfance, 1 200 sont placés chez des assistants familiaux — des femmes dans l'écrasante majorité des cas.

Mais la profession vieillit, et souffre, comme d'autres métiers de l'enfance, d'un manque d'attractivité. Le problème est devenu si aigu que le conseil départemental de Seine-Saint-Denis a lancé, en octobre, un « Bus des métiers de l'enfance » sur les routes du 93. Avec un message clair : le secteur offre des emplois, et même des emplois en CDI, qu'il s'agisse des assistants familiaux, des éducateurs, des auxiliaires de puériculture! Ce samedi, il s'est stationné en plein parc, face à une aire de jeux pour enfants.

Prospectus en main, les assistantes familiales vont au contact des parents venus avec leur marmaille. Les réactions sont mitigées. Le métier fait parfois peur. « C'est un métier difficile, mais on n'est pas tous seuls, assure Yamina, forte d'une expérience de vingt ans. On travaille en équipe, avec des psychologues, des médecins, des éducateurs… » Toutes admettent avoir connu des moments difficiles. Mais, ajoute Yamina, « vous accueillez un enfant démoli par son histoire, vous lui donnez de la tendresse, du réconfort. Et puis vous le voyez petit à petit prendre confiance en lui, se rétablir… » Et ça, complète Rahma, assistante familiale depuis 32 ans à Livry-Gargan, « ça n'a pas de prix ».

« La France est le seul pays où les assistants familiaux perçoivent un salaire et non une indemnité »

Comment mettre un pied dans cette profession ? Le panneau planté devant le bus donne une partie de la réponse : « Vos qualités humaines sont votre meilleure carte de visite ». « C'est très vrai, assure Firyel Abdeljaouad, responsable de l'accueil familial départemental. Faire preuve de bienveillance, d'écoute, de tolérance, avoir quelques capacités éducatives, offrir à l'enfant un cadre cohérent où on ne change pas d'avis toutes les trois minutes, c'est déjà très bien. Le reste, on l'apprend en formation. »

Les candidats doivent d'abord obtenir un agrément de la PMI avant de postuler auprès du service départemental de l'Aide sociale à l'enfance. Une fois recrutés, ils bénéficient d'une formation de 300 heures permettant d'exercer le métier et d'obtenir un diplôme d'Etat. « La France est le seul pays où les assistants familiaux perçoivent un salaire et non une indemnité », souligne encore Firyel Abdeljaouad. Le salaire en question varie selon le nombre d'enfants accueillis (de 1 521 € à 3 529 € brut), et s'y ajoute une indemnité d'entretien, pour permettre de faire face aux frais liés à la nourriture, l'hygiène, les loisirs, des déplacements…

Timidement, les visiteurs s'approchent. Devenir assistante familiale, cette habitante de Bondy y a bien songé, mais n'a jamais osé, « à cause de mon logement, trop petit ». L'accueil d'un enfant suppose en effet de disposer d'une chambre dédiée. Le conseil départemental réfléchit à une solution, face à cette problématique récurrente qui empêche certains candidats d'obtenir l'agrément.

Pour s'informer et postuler, les prochaines étapes du Bus des métiers de l'enfance en Seine-Saint-Denis : mardi 10 novembre à Rosny-sous-Bois ; vendredi 13 à Noisy-le-Grand ; samedi 14 au parc départemental de la Poudrerie à Sevran ; mardi 17 à Aubervilliers ; vendredi 20 à Saint-Ouen. Horaires et lieux de rendez-vous sur ssd.fr/15652

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et photo : journal Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 1 Novembre 2020

Vous trouverez ci-dessous un communiqué de la CGT Soproréal à Aulnay-sous-Bois. Il a trait au port du masque pendant cette période de Covid-19.

Covid-19, port du masque : communiqué de la CGT Soproréal à Aulnay-sous-Bois
Covid-19, port du masque : communiqué de la CGT Soproréal à Aulnay-sous-Bois

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Communiqués

Publié le 1 Novembre 2020

« Notre quotidien, c'est un peu au jour le jour. Pour l'instant on est ouverts, mais on se demande chaque semaine à quelle sauce on va être mangés… » Un cageot d'aubergines sous le coude, Olivier Turlure, l'un des deux frères primeurs stars d'Aulnay-sous-Bois, est un peu inquiet.

 
Sauvons nos commerces de proximité et nos marchés à Aulnay-sous-Bois !

Ce dimanche matin, c'est jour de marché sur l'animé boulevard de Strasbourg. Les clients sont là, malgré le reconfinement. Moins nombreux qu'à la belle époque d'avant le Covid-19, mais tout de même. « Là tout de suite, en tant que commerce alimentaire, on ne se plaint pas à titre personnel », confirme le primeur. Mais pour lui, c'est « tout le commerce de proximité qui est en danger » à cause des mesures de fermeture des commerces dits « non essentiels ».

« En Seine-Saint-Denis, les centres-villes sont vitaux. Déjà qu'ils ont du mal à survivre en temps normal, il faut les protéger quand c'est la crise. Les autres commerçants de la rue sont aussi importants : le fleuriste, le coiffeur, le restaurant… On s'apporte mutuellement, des clients, tout le monde concourt à l'attractivité du lieu : le reconfinement aurait dû en tenir compte », analyse le marchand de fruits et légumes.

« Tout le monde a un masque et la police municipale veille »

Qui se rappelle aussi que le 24 mars, le préfet avait ordonné la fermeture des marchés alimentaires, pour tenter d'enrayer les contaminations. « Ce serait désastreux si l'on décidait ça dans les jours à venir », souffle-t-il. Ce que confirme un autre forain : « On a le sentiment de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête… »

Du côté des clients, la plupart se félicitent que les marchés soient ouverts, pour le moment.

« C'est en plein air, tout le monde a un masque et la police municipale veille », note Nadine, une habituée. À ses côtés, Karim confirme : « C'est la bonne surprise de garder nos marchés. Quand on voit les chiffres terribles de l'épidémie, on se disait que le gouvernement allait frapper fort et tout fermer sauf les hypermarchés. Je suis soulagé. Et ça maintient le lien social ! »

Mais la petite musique, c'est aussi le regret de voir la plupart des autres commerces non essentiels fermés. « J'achète pas mes bouquins à Carrefour », râle Didier, croisé devant la vitrine de Folies d'Encre, la librairie fermée. « Il n'y a jamais plus de 5 clients à la fois ici, c'est incohérent d'avoir obligé à fermer. S'ils font faillite, c'est une catastrophe pour la ville! »

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : journal Le Parisien / Source photo : Aulnaylibre.com

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 1 Novembre 2020

[ACTU COVID] Suite au reconfinement décidé par monsieur le président de la République, le ministère de l'éducation nationale a produit un nouveau protocole sanitaire qui sera en vigueur dans toutes les écoles à partir du lundi 2 novembre 2020. Ce protocole prévoit le port du masque obligatoire pour tous les élèves à partir de 6 ans. L'Etat a précisé que ces masques seront à la charge des parents.

 Distribution gratuite de masques pour les enfants dans les écoles à Aulnay-sous-Bois

Compte tenu de la soudaineté de cette annonce et dans l'intérêt des enfants, la municipalité a décidé de fournir à chacun des élèves d'Aulnay-sous-Bois des masques de protection en tissu lavables et réutilisables. En raison des délais importants de production, seuls élèves de CP et de CE1 auront des masques en tissu dès ce lundi. Pour les autres élèves, 4 masques chirurgicaux jetables seront distribués lundi. Ensuite, dès jeudi, deux masques en tissu lavables et réutilisables seront distribués pour chaque enfant.

La municipalité et les agents de la Ville restent pleinement mobilisés dans la gestion de cette nouvelle étape de la crise sanitaire.

Source information et image : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 31 Octobre 2020

[HALLOWEEN] Suite à vos nombreuses questions sur le sujet : pas de tournée des bonbons cette année pour Halloween... mais port du masque obligatoire lors des déplacements autorisés, non pas pour vous déguiser, mais vous protéger vous ainsi que vos proches !

N'oubliez pas l'autre accessoire essentiel : votre attestation !

A Aulnay-sous-Bois et ailleurs se protéger du Covid est plus important qu’Halloween !

Source information et image : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 31 Octobre 2020

[ACTU COVID] Le maire Bruno Beschizza et la ville d’Aulnay-sous-Bois soutiennent l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité et demandent au gouvernement le réexamen de la notion de commerces de première nécessité.

Soutenons nos commerçants, consommons local !

Vous pouvez lire le communiqué en cliquant : ici

Le maire Bruno Beschizza en faveur d’une ouverture élargie des commerces à Aulnay-sous-Bois

Source information : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois / Source photo : Aulnaylibre.com

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 31 Octobre 2020

Son visage grave vous rappelle peut-être le confinement du printemps. Tarik Laghdiri, 35 ans, en fut l'un des grands témoins sur le site Internet du « Parisien ». Chaque semaine dans son « Journal d'un confiné en Seine-Saint-Denis », cet habitant du quartier des Etangs à Aulnay-sous-Bois, employé dans le secteur des assurances, nous livrait son regard plein de lucidité et d'humanité sur la vie sous cloche, sur sa « cité confinée ».

 
Tarik, témoin du reconfinement à Aulnay-sous-Bois

Il y racontait le choc de voir le coronavirus arriver près de chez lui, les difficultés de son vieux père à supporter le confinement, ses propres inquiétudes pour sa sœur infirmière. Son envie de témoigner mais aussi sa sincérité sautaient aux yeux. Les habitants et lecteurs ne s'y sont pas trompés, plébiscitant ce rendez-vous avec un des leurs.

Alors que la France entière est confinée pour la deuxième fois depuis ce vendredi matin, nous lui avons demandé de témoigner à nouveau, avec sa voix et son vécu.

Première sortie. « Je n'ai pas encore assimilé ce nouveau confinement. Il y avait eu une telle onde de choc la première fois. Il y avait un côté totalitaire, cela changeait vraiment les habitudes. Là, ça n'est pas aussi drastique. Je suis sorti acheter le pain, le petit centre commercial du quartier reste ouvert, il y a encore du monde dehors.

L'impact, le choc est moins grand. La dernière fois, on était passés du tout au rien. On passait d'une vie normale à une vie sous cloche. Cette fois, on était déjà sous couvre-feu, cela ne change pas fondamentalement notre quotidien. »

Premier ressenti. « On ne se rend plus vraiment compte de ce qu'on perd, on a perdu notre liberté de mouvement, de choix. Pour l'instant, je n'ai pas l'impression de plus subir que ce que je subissais depuis mars. Je n'ai pas encore eu le temps de le ressentir.

Mais il y a une certaine usure, on se doute que ça ne va pas être respecté à la lettre, surtout dans les quartiers comme chez nous. Ça avait déjà été difficile. On habite dans de petits logements, on est entassés, on ne peut pas couper tout lien social. Ce n'est pas facile de dire : on va rester à 6, 7 ou 8 dans 30 mètres carrés. Et puis certains jeunes ont aussi la désobéissance naturelle. »

Premières inquiétudes. « Mes deux parents, avec qui je vis, sont handicapés et l'état de mon père s'est dégradé depuis le dernier confinement (NDLR : le père de Tarik, 86 ans, souffre de la maladie d'Alzheimer). Ils ont besoin de bras et de jambes. Mon père a besoin de contact social. Ne pas sortir dégrade son état physique et son état mental.

Il n'arrive plus à marcher et en août, il ne s'alimentait plus. Les médecins n'étaient pas surpris, ils nous ont dit : avec le Covid, vous n'êtes pas les seuls. Toutes les personnes fragiles qui traversent cette crise sanitaire perdent en état de santé, c'est une suite logique. Et les médecins nous ont dit qu'il n'y avait pas grand-chose à faire. »

Premières incertitudes. « J'ai des projets cinématographiques en suspens. On a eu de la chance de pouvoir participer au festival Hallnaywood (NDLR : festival de court-métrage qui a été organisé le 3 octobre à Aulnay-sous-Bois), on est passés entre les gouttes. Mais maintenant ? Beaucoup de choses ont été annulées, on ne peut plus avancer comme on le voudrait.

Après le confinement, nous avions réalisé des podcasts « Les Déconfiné_e_s ». On l'a fait une fois par mois jusqu'à aujourd'hui, mais je ne sais pas si on va pouvoir continuer.

On venait aussi de signer pour la mise à disposition d'un local avec le Cap (le centre culturel d'Aulnay), on n'a pas eu le temps d'en profiter ! Et je ne pense pas qu'on y rentrera à nouveau en 2020. En tout cas, le premier confinement avait été productif en terme artistique, je ne sais pas ce que ça donnera cette fois. »

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et photo : journal Le Parisien

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 30 Octobre 2020

L’ensemble du territoire national est confiné depuis le 30 octobre et le sera jusqu’au 1er décembre inclus.

L’attestation de déplacement est obligatoire pour toute sortie du domicile autorisée, sous peine d’une amende forfaitaire de 135 €.

>> Attestation de déplacement dérogatoire

Plus d’informations sur : https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus

Commerces : Où se restaurer à Aulnay-sous-Bois pendant le nouveau confinement ?

Marchés

Les marchés couverts et non couverts sont maintenus. La vente est limitée aux commerces alimentaires et la vente de graines, semences et plants d'espèces fruitières et légumières.

Commerces

Les commerces dont l'activité n'est pas reconnue indispensable sont fermés.
>> Liste des commerces autorisés à ouvrir

Livraison et vente à emporter

La livraison et la vente à emporter des commerces alimentaires sont autorisées.
>> Retrouvez la liste des commerces de la ville proposant ce service

Source information : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois / Source photo : Aulnaylibre.com

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 30 Octobre 2020

C’est un rétropédalage qui parait totalement invraisemblable à ce nouveau de responsabilité mais l’éducation nationale a finalement décidé d’ouvrir les écoles à l’heure habituelle le lundi 2 novembre 2020 et non pas à 10h comme annoncé initialement notamment pour rendre hommage à Samuel Paty.

Le contexte sanitaire et sécuritaire serait à l’origine de ce changement de dernière minute… A moins que les choses changent à nouveau demain !

Pour plus de détails cliquez : ici

Robert Ferrand 

Source photo : Wikipédia

 

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Education

Publié le 30 Octobre 2020

L’ensemble du territoire national est confiné depuis le 30 octobre et le sera jusqu’au 1er décembre inclus.

L’attestation de déplacement est obligatoire pour toute sortie du domicile autorisée, sous peine d’une amende forfaitaire de 135 €.

Toutes les attestations

>> Attestation de déplacement dérogatoire

>> Attestation de déplacement professionnel

>> Justificatif de déplacement scolaire

Plus d’informations sur : https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus

Commerces

  • Tous les commerces sont fermés sauf ceux de première nécessité comme les magasins d’alimentation.
  • Les marchés alimentaires restent ouverts.
  • Les bars et les restaurants sont fermés, mais la vente à emporter et les livraisons sont autorisées.
  • Les fleuristes sont autorisés à rester ouverts jusqu’au 1er novembre inclus.

Travail

  • Les entreprises continuent de fonctionner sur la règle du télétravail lorsque c’est possible.

>> Attestation de déplacement professionnel

Lieux publics

  • Les accueils des administrations publiques restent ouverts (mairies, préfectures, pôle emploi, caf, etc.).
  • Les établissements recevant du public considérés comme « non indispensables » sont fermés.
  • Les parcs et jardins restent ouverts au public.
  • Les établissements sportifs publics couverts sont fermés.
  • Les rassemblements publics sont interdits.
  • Les cimetières restent ouverts.
  • Les lieux de cultes sont ouverts et les cérémonies autorisées à l’occasion de la célébration de la Toussaint.

Culture

L'ensemble des spectacles, évènements, expositions, projections cinématographiques et activités culturelles sont annulées. Les équipes des structures culturelles vous tiendront informés des éventuels reports ou modalités de remboursement des réservations déjà acquittées.

Mariages/Obsèques

  • Les mariages sont autorisés, mais ne peuvent réunir plus de 6 personnes
  • Les enterrements peuvent avoir lieu dans la limite de 30 personnes.

Seniors

  • Les visites dans les EHPAD et maisons de retraite sont autorisées.

Déplacements/Transports

  • Les transports publics continuent de circuler.
  • Les déplacements entre les régions sont interdits.
  • Une souplesse est accordée pour les retours des vacances de la Toussaint.
  • Les déménagements sont autorisés

Source information et image : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé

Publié le 29 Octobre 2020

[SCOLARITÉ] Lundi 2 novembre 2020, les équipes enseignantes de l’Education Nationale vont se réunir afin d’organiser un temps d'hommage aux victimes des récents actes terroristes, et en particulier à Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie à Conflans-Sainte-Honorine assassiné le 16 octobre dernier.

Sur décision du Ministère de l'Education Nationale, les enseignements commenceront exceptionnellement à 10h ce jour-là.

Afin de faciliter le quotidien des parents qui travaillent, un accueil périscolaire sera proposé de 8h30 à 10h à l'initiative de la Municipalité dans l’ensemble des écoles maternelles et élémentaires d’Aulnay-sous-Bois. Les familles qui souhaitent bénéficier de cet accueil pourront déposer leurs enfants à l’école entre 8h20 et 8h30. La garderie du matin est par ailleurs maintenue de 7h30 à 8h20.

Source information : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois / Source vidéo : Aulnaylibre.com

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 29 Octobre 2020

Pendant que certains blogueurs locaux écolos-bobos de « goche » semblaient découvrir que la voiture demeure le moyen le plus pratique pour circuler en toute liberté d’un point A à un point B en pointant du doigt les quelques 600 kms de bouchons en Ile-de-France, d’autres, plus philosophes, attendaient patiemment leurs courses au Leclerc Drive à Aulnay-sous-Bois.

Queue d’enfer au Leclerc Drive à Aulnay-sous-Bois !

De mémoire d’utilisateur de ce service pratique, simple et rapide, rarement une telle queue de véhicules n’aura été observée à cet endroit. Sans doute que le confinement est à l’origine de cette frénésie d’achats de dernière minute.

Quoi qu’il en soit, il faut souligner la bienveillante patience des uns et des autres, les clients s’informant mutuellement des espaces libres pour fluidifier le processus de livraison. Le personnel de ce Leclerc Drive était comme à son habitude d’un calme olympien, aimable, souriant et professionnel.

Un peu de fraternité par les temps qui courent ne fait pas de mal…

Robert Ferrand

Source photo : Aulnaylibre.com

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Commerce

Publié le 28 Octobre 2020

La France sera à nouveau placée en confinement à partir de ce jeudi 29 octobre 2020 à minuit.

Ainsi, à Aulnay-sous-Bois, les commerces de proximité, les bars et les restaurants seront à nouveau fermés. Les activités sportives et associatives, les spectacles et les événements publics vont se trouver suspendus.

Aulnay-sous-Bois de nouveau plongée dans le confinement ce jeudi à minuit

L’incertitude demeure pour la tenue des mariages.

Par ailleurs, si les établissements scolaires restent ouverts, il est probable qu’un protocole sanitaire plus strict soit mis en place. Ses modalités restent toutefois à définir.

Les directives du préfet donneront dans les heures qui viennent de plus amples précisions sur l’application concrète de ce nouveau confinement.

En attendant, protégez-vous et protégez vos proches. Good night and good luck !

Robert Ferrand

Source photo : Aulnaylibre.com

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Santé

Publié le 28 Octobre 2020

A l’instar du peintre Claude Monet procédant patiemment par petites touches successives dans sa fameuse série Les Nymphéas, le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza impulse des aménagements qui embellissent chaque jour un peu plus notre commune.

Aulnay-sous-Bois toujours plus belle, toujours plus verte !

Dernier exemple en date, l’entrée du boulevard de Strasbourg par la route de Bondy et ses colonnes en fer forgé végétalisées.

D’une sobre beauté élégante, cet ouvrage permet aussi de mettre en valeur une fois de plus le travail remarquable des agents municipaux en charge des espaces verts.

Aulnay-sous-Bois toujours plus belle, toujours plus verte !

Alors qu’on se le dise, Aulnay-sous-Bois est chaque jour toujours plus belle, toujours plus verte !

Robert Ferrand

Source photos : Facebook

 

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 28 Octobre 2020

Alors que la pandémie de Covid-19 est totalement hors de contrôle en France et en Europe, Santé Publique France semble pourtant en mesure de produire des cartes très précises concernant la progression de la maladie.

Le quartier Nonneville à Aulnay-sous-Bois aurait dépassé le seuil des 1 000 contaminations pour 100 000 habitants !

Ainsi, on peut lire sur actu.fr que les résultats détaillés des tests pour le Coronavirus réalisés en Seine-Saint-Denis permettent de connaitre les villes et même les quartiers les plus touchés.

C’est le secteur sud d’Aulnay-sous-Bois, et plus exactement Nonneville, qui est cité dans l’article du site d’actualité. Le seuil des 1 000 contaminations y aurait été franchi, apprend-on.

Voilà une nouvelle qui n’est pas très rassurante mais qui n’est pas spécifique à cette partie de la commune. En effet, devant la propagation du virus dans le pays, le président de la République Emmanuel Macron s’apprête à annoncer des mesures drastiques ce soir à 20h pour tenter d’éviter l’explosion des hospitalisations avant que les établissements de santé n'arrivent à totale saturation.

Cela suffira-t-il ? Qui vivra, verra…

Article complet d’actu.fr à lire en cliquant : ici

Robert Ferrand

Source information : actu.fr / Source photo : Aulnaylibre.com

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Santé