Publié le 9 Septembre 2014

psychose.jpg« J'ÉTAIS PAS MOI-MÊME. C'était irréaliste. J'ai du mal à accepter la possibilité de tout ça. » Debout dans le box des accusés, le jeune homme, qui souffre d'une pelade -- une maladie qui lui a fait perdre tous ses cheveux et ses poils -- semble lutter avec lui-même. Comme s'il lui était impossible de se souvenir. Dans la soirée du 19 au 20 avril 2012, à Aulnay-sous-Bois, Mehdi Yahiaoui, alors âgé de 27 ans, a tué de plus de trente coups de couteau celle qui, lorsqu'il était adolescent, était la mère de son copain, sa voisine et son amante, Sylviane Savoyen. Elle avait 53 ans au moment des faits.

Une relation étrange semblait les lier. Elevé par des parents à la main leste, selon une experte psychiatrique, traumatisé par la violence conjugale subie par sa mère et le divorce de ses parents qui s'en est suivi, cet adolescent, décrit par ses soeurs comme très sentimental, gentil mais pouvant être très rancunier, trouve alors souvent refuge dans la famille d'un de ses amis, Jérôme, le fils de Sylviane et de Jean-Marie. « Chaque fois que ça n'allait pas avec ma famille, ils m'aidaient à relativiser. » Très vite, Jean-Marie, avec qui il passe de longues heures à faire de la mécanique, devient comme un père pour lui. Avec Sylviane, les relations sont tout de suite ambiguës. « Quand j'allais manger chez eux, elle me touchait le pied sous la table. Un jour, elle m'a poussé dans la chambre. Elle m'a fait comprendre qu'elle ferait de moi un homme. Plus tard, j'ai compris qu'en fait elle voulait que je lui rende un service. Elle dénigrait son mari. Elle m'a même demandé si je ne pouvais pas le tuer d'un coup de cric. Ça aurait été comme un accident. » Leur relation, émaillée de sévices, selon Mehdi, durera cinq ans, par intermittence. « Elle avait une telle autorité, je ne pouvais pas partir. »

Même séparés, les deux anciens amants continuent de se voir, deux à trois fois par an : « pour se raconter [leurs] misères ». Lors de ces soirées, comme Sylviane, décrite par ses enfants comme une femme acariâtre et égoïste, Mehdi boit beaucoup. Le soir du drame, il vient pour prendre de ses nouvelles. Mais, très vite, la soirée dérape. Au moment, d'après Mehdi, où ils se mettent à parler de Jean-Marie, mort en 2008 d'un cancer du poumon. « Ce soir-là, elle m'a dit comment elle était heureuse qu'il soit mort, ça m'a choqué. Je lui ai demandé si elle était pour quelque chose dans son décès. Elle m'a donné un coup sur la tête pour me rappeler à l'ordre. » Selon Mehdi, elle serait ensuite allée dans la cuisine et en serait revenue avec un couteau.

«  Tu ferais mieux de fermer ta gueule, elle m'a dit. Et elle a brandi son couteau. Ça a été un choc. Pour me dégager, je lui ai donné un coup de poing. » Sous la violence du choc, Sylviane tombe à terre. « Elle convulsionnait. J'ai paniqué. J'ai essayé de l'assommer... Je regrette... Je n'étais pas moi-même. Je l'ai frappée avec le couteau. » Il lui assène 33 coups dans les cervicales, le dos et sur les joues. « Quand j'ai appris ce nombre, j'ai été choqué », avoue le jeune homme. Après être resté plusieurs heures à côté de sa victime, qu'il arrose de whisky, Mehdi tente de maquiller la scène du crime à coups d'eau de javel. Il est arrêté un mois et demi plus tard. Son procès se termine ce soir.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 8 Septembre 2014

parc-poudrerie-sevran.jpgUne jeune femme a été tuée, ce lundi 8 septembre, vers 18 heures, alors qu’elle effectuait son jogging dans le parc de la Poudrerie à Sevran (Seine-Saint-Denis).

Selon nos informations, la victime, âgée d’une vingtaine d’années, était en train d’effectuer son jogging lorsqu’un inconnu a surgi, armé d’un couteau.

Ce dernier l’a poignardée à plusieurs reprises avant de prendre la fuite. Alertés par les cris de la victime, des policiers de la brigade équestre départementale, présents dans ce vaste parc, ont aussitôt poursuivi l’auteur présumé des faits. Ce dernier a été rapidement interpellé avant d’être trouvé porteur de l’arme du crime.

Plusieurs témoins se sont portés au secours de la joggeuse, mais cette dernière est rapidement décédée des suites de ses blessures. Toujours selon nos informations, le meurtrier présumé est déjà connu des services de police pour des faits d’agressions à caractère sexuel. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.

Source : LeParisien.fr

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 8 Septembre 2014

Si, certes, il reste encore ici ou là quelques trous dans la chaussée de notre belle commune, il n’est peut-être pas inutile de mettre à l’honneur des portions de routes refaites à neuf. Comme par exemple celle de l’avenue Anatole France à Aulnay-sous-Bois qui mène vers un équipement emblématique de la ville à savoir le Théâtre et Cinéma Jacques Prévert.

2014-JULY-0722.JPGDésormais les Aulnaysiens et les habitants des environs pourront enfin goûter aux joies d’un bitume lisse et de toute beauté vers ce haut lieu de la culture locale.  Comme quoi, Aulnay avance avec Gérard Ségura Bruno Beschizza !

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 8 Septembre 2014

sec_pop_logo.jpgDes demandes de plus en plus nombreuses et une équipe qui peine à faire face... Le Secours populaire d'Aulnay-sous-Bois cherche des bénévoles prêts à consacrer quelques heures par semaine, selon leur disponibilité, aux activités de l'antenne locale. Il s'agit de recevoir les familles, de distribuer l'aide alimentaire, mais aussi d'épauler les bénéficiaires dans leurs démarches administratives. Les compétences en comptabilité ou en informatique seront les bienvenues.

Secours populaire, 103, galerie Surcouf à Aulnay. Tél. 01.48.79.15.82. ou par mail : aulnay@spf93.org

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 7 Septembre 2014

taxis-marne.jpgDans le cadre des commémorations du centenaire de la Grande Guerre, ce dimanche 7 août, les Franciliens ont pu revivre l’épopée des Taxis de la Marne : la reconstitution du convois des taxis de l’ancienne Compagnie Générale des Voitures, devenue depuis la Scope Alpha Taxis, réquisitionnés volontaires pour acheminer près de 6 000 soldat au front, en septembre 1914.

 Ce ne sont certes pas 600 taxis, comme ce 7 septembre 1914, mais une centaine de voitures, qui ont refait la route avec 10 tacos d’époque et un cortège de 20 véhicules militaires, rendant ainsi hommage aux acteurs de l’un des grands moments symboliques de «l’union sacrée» patriotique, entre militaires et civils, de la guerre de 1914-1918.

Partis comme il y a 100 ans de l‘Esplanade des Invalides (Paris VIIe), les «héritiers» de la mémoire » ont embarqué avec eux 100 lycéens des villes étapes de l’héroïque convoi : Paris, Gagny (Seine-Saint-Denis), le Raincy, Livry-Gargan, Tremblay-en-France, Dammartin-en-Goële (Seine-et-Marne) et Nanteuil-le-Haudouin (Oise).

Source : LeParisien.fr

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 7 Septembre 2014

Un lecteur d’Aulnaylibre ! a envoyé ce cliché à la rédaction avec cette légende humoristique « la maison où poussent les antennes paraboliques ! ». Il est vrai que ce pavillon en comporte pas moins de cinq. Un chiffre appréciable qui permet sans doute à cette habitation, malgré les changements  fréquents de canaux des chaînes satellites, d’être câblée en permanence !

2014-JULY-0745.JPG

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 7 Septembre 2014

Remplir son chariot le dimanche, c'est désormais possible au centre commercial Aéroville, à Tremblay-en-France. Auchan, qui gardait rideau baissé ce jour-là, accueillera désormais les clients 7 jours sur 7. Ce dimanche, et les suivants, il ouvrira de 10 heures à 20 heures, s'alignant ainsi sur le rythme des 200 commerces de la vaste galerie de 84 000 m².

 

C’était une demande des clients

« C'était une demande de la clientèle, qui comprenait mal que le magasin soit fermé ce jour-là », explique un porte-parole de l'enseigne. Ce que confirme Elodie Arcayna, directrice d'Aéroville : « Des études montrent que plus de 50 % des clients voulaient qu'Auchan ouvre le dimanche ». Au sein de la zone aéroportuaire, l'hypermarché bénéficie du même statut d'exception que les autres boutiques d'Aéroville autorisées à pratiquer l'ouverture dominicale sans autre formalité. Dans un premier temps toutefois, Auchan avait décidé de ne pas user de cette possibilité. Le groupe a changé d'avis, obtenant le feu vert du comité d'entreprise du magasin. Pour faire tourner la grande surface de 7 500 m 2, équipée d'un drive de 11 pistes, une vingtaine d'étudiants ont été recrutés.

Nul doute que les acheteurs seront au rendez-vous. Car la fréquentation du centre commercial, inauguré en octobre, est particulièrement importante le week-end (35 % du flux hebdomadaire). L'hypermarché veut-il compenser une activité jugée insuffisante ? « La fréquentation n'est pas tout à fait à la hauteur de nos attentes. Mais cette décision n'est pas du tout liée à cela », glisse le porte-parole d'Auchan. Elodie Arcayna affirme, elle, que le centre, construit par Unibail-Rodamco, est en bonne voie d'atteindre son objectif de 8 millions de visiteurs la première année.

Source article : Le Parisien / Vidéo : Aulnaylibre !

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 6 Septembre 2014

Sur le coup des 16 heures ce samedi 6 septembre 2014, O’Parinor à Aulnay-sous-Bois organisait une cérémonie pour fêter les 40 ans d’existence du centre commercial. La rédaction d’Aulnaylibre ! vous propose de revivre cet événement à travers deux vidéos tournées sur place.


La première présente les préparatifs du gâteau géant concocté à cette occasion et la seconde le discours du directeur qui évoque à la fois la fin des travaux de rénovation (sans doute indispensables pour faire face à la concurrence frontale d’Aéroville à Tremblay-en-France) et l’arrivée d’un équipement très attendu à savoir les 14 salles du cinéma UGC ciné cité livrées en octobre prochain. Pour rappel, 13 millions de visiteurs transitent chaque année par le centre commercial O’Parinor d’Aulnay-sous-Bois.

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 6 Septembre 2014

Le lundi 1er septembre 2014, à l’initiative du maire Bruno Beschizza et de l’adjointe chargée des anciens combattants, Maryvonne Montembault, Aulnay-sous-Bois fêtait sa libération ainsi que celle de Paris intervenues 70 ans plus tôt.

Avant de revenir plus en détails sur le discours prononcé par l’édile lors de cet événement, la rédaction d’Aulnaylibre ! vous propose de réécouter l’allocution du général de Gaulle à l’Hôtel de Ville de Paris le 25 août 1944. Malgré le temps qui passe, les mots prononcés « Paris, Paris outragé, Paris brisé, Paris martyrisé, mais Paris libéré, libéré par lui-même, libéré par son peuple… » n’ont rien perdu de leur force. 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 6 Septembre 2014

Carnomise-s-installe-sur-l-ancien-site-de-PSA-Aulnay-96918.jpgLa location de véhicules entre particuliers via des entreprises qui servent d’intermédiaires est en plein boom. Carnomise, qui s’est spécialisée dans la location destinée aux voyageurs, annonce son installation sur l’ancien site PSA d’Aulnay-sous-Bois (93).

Carnomise fait partie de ces entreprises qui surfent sur la mode de la location « de particulier à particulier » avec une nuance de taille : elle s’est spécialisée dans la location autour des aéroports, ce qui explique son intérêt pour l’ancien site PSA Peugeot Citroën d’Aulnay. Carnomise a en effet profité du programme de revitalisation de l'ancienne usine automobile située dans le Nord de la région parisienne pour y installer une agence et bénéficier d'un parking à moindre coût situé à seulement huit minutes des terminaux de l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle. Gui Bulaty, co-fondateur de Carnomise justifie la nouvelle implantation : « C’est tout d’abord une très belle opportunité pour nous en ce qui concerne l’implantation stratégique de notre société. De plus, c’est une évolution plutôt positive pour ce site dont l’âme reste centrée sur l’automobile. C’est une bonne chose que l'ancienne industrie automobile aide la nouvelle économie du partage de véhicules ».

Source : http://www.caradisiac.com/

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 6 Septembre 2014

ecole-jules-ferry-villiers-sur-marne.jpgPLUSIEURS PARENTS D'ÉLÈVES du groupe scolaire Jules Ferry, à Aulnay-sous-Bois, ont prévu de bloquer l'établissement ce matin, pour le premier jour d'ouverture de classe le samedi. La ville est l'une des trois du département à appliquer la réforme des rythmes scolaires en choisissant la demi-journée supplémentaire le samedi plutôt que le mercredi.

« Cela a été décidé sans nous consulter », dénonce Houria, une maman d'élève qui compte déployer des banderoles ce matin devant cette école (maternelle et élémentaire) de 360 élèves, avec une quarantaine d'autres parents.

« Je suis contraint d'appliquer une réforme que je n'ai pas voulue, mais je ne mettrai pas comme certains des cadenas sur des écoles. Nous allons travailler pour faire un meilleur projet pour 2015 », a réagi le maire (UMP) Bruno Beschizza.

Source article : Le Parisien / Image d’illustration

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 5 Septembre 2014

L'obligation de passer par la capitale pour les voyageurs du nord de Paris qui se rendent de banlieue à banlieue ne sera bientôt qu'un mauvais souvenir. Hier matin, les différents acteurs du chantier de la Tangentielle Nord ont posé la première pierre de l'atelier de maintenance des trains à Noisy-le-Sec. Nouvelle étape d'un chantier commencé en 2010 et dont un premier tronçon doit être livré en 2017. L'opération -- d'un coût de plus de 600 M€- - doit aboutir à la création d'un tracé ferroviaire de 11 km reliant sept gares entre Epinay-sur-Seine et Le Bourget.

Grand-Paris-93.jpgDeux extensions sont également prévues. L'une à l'ouest traverserait le Val-d'Oise et s'arrêterait dans les Yvelines. L'autre à l'est, irait jusqu'à Noisy-le-Sec. Mais aucune n'est financée. Une fois terminée, la ligne ferait 28 km de long et transporter 250 000 voyageurs par jour.


Deux extensions en projet pas encore financées

Guillaume Pépy, PDG de la 
SNCF, a presenté la ligne comme une vraie révolution à venir. « Elle reliera les bassins d'emploi, les activités culturelles et sportives des villes concernées ». Elle doit permettre les connexions avec trois RER, un tramway, une ligne de train de banlieue... « Bref, elle va changer la vie des habitants du département, s'enthousiasme Guillaume Pépy. Ce ne sera pas une ligne de train classique puisque l'amplitude horaire sera exceptionnelle, de 5 heures à minuit, voire 1 heure. Comme le cadencement, avec un train toutes les 6 minutes en heure pleine et toutes les 10 minutes en heure creuse. » Des arguments repris par Stéphane Troussel, président PS du conseil général. « Ces trois ans de travaux vont créer de l'emploi et, une fois terminée, la ligne favorisera la mobilité des habitants, une donnée fondamentale pour ceux, nombreux, qui n'ont pas de voitures, insiste-t-il. Mais il faut maintenant que l'Etat s'engage sur le financement des extensions. » En effet, aucun crédit n'a été affecté aux deux prolongements : celui vers l'est entre Le Bourget et Noisy-le-Sec, soit 5 km, trois gares, et celui de l'ouest d'Epinay à Sartrouville (Yvelines) en passant par Argenteuil (Val-d'Oise), soit 12 km et 4 gares.

Jean-Paul Huchon, président PS de la région, a donc rappelé l'importance des enjeux. « Plus de 40 % des Franciliens font des trajets de banlieue à banlieue, souligne-t-il. C'est pourquoi il faut qu'on obtienne des garanties sur les financements. » Sur la ligne Epinay-Bourget, l'Etat assure ainsi 30 % du coût total. Claude Bartolone, président PS de l'Assemblée nationale, a aussi insisté sur les délais de réalisation. « L'espoir ne peut pas attendre vingt ans(NDLR : le premier projet a été inscrit au contrat de plan 2000-2006), martèle-t-il. Par ailleurs, il faudra revenir sur le proposition de taxe hôtelière régionale, qui a été écartée par le gouvernement, car aucun projet ne se fera sans financement. » Pour rassurer tous les intervenants, Jacques Rapoport, président de Réseau ferré de France (RFF), a assuré que les délais indiqués, comme les coûts du chantiers, seraient tenus pour le premier tronçon.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 5 Septembre 2014

OParinor-Aulnay-sous-Bois.pngIls poussent aujourd'hui comme des champignons. Mais il fut un temps, pas si éloigné, où les centres commerciaux étaient encore des curiosités. C'était le cas de Parinor, (devenu O'Parinor) à Aulnay. La galerie aux 220 boutiques et restaurants convie ses clients autour d'un gâteau géant* demain, pour fêter ses quarante ans.  

En 1974, lorsqu'elle a ouvert ses portes, elle ne comptait encore que 60 à 80 magasins, alignés dans un long bâtiment massif, hérissé d'enseignes visibles depuis la bretelle d'autoroute toute neuve : « L'architecture ne comptait pas à l'époque, c'était un bloc de béton et un parking devant », glisse Bastien Leal, l'actuel directeur du centre. « L'un des premiers centres à l'américaine », souligne Eva Molina, directrice adjointe.

Pas tout à fait le premier en Ile-de-France (Belle-Epine avait ouvert dès 1971 dans le Val-de-Marne), mais assurément précurseur en Seine-Saint-Denis (au coude à coude avec Rosny 2). On y trouvait déjà Carrefour. Mais des autres enseignes de l'époque, deux seulement ont survécu : Multisports (ex-Sofincuir), toujours aux mains de Sylvia et Pinhas Pérez, et Bruf 3 Western, dont la devanture « n'a pas changé depuis quarante ans », assure sa gérante, ravie de recevoir « une clientèle de gens fidèles, qui nous reviennent toujours après l'ouverture d'autres centres commerciaux ».

Les derniers chiffres de fréquentation l'attestent : O'Parinor, premier employeur de la ville (avec 2 800 salariés) a le vent en poupe. Depuis l'ouverture en mars de l'enseigne de vêtements bon 
marché Primark, la fréquentation a bondi de 30 % en moyenne. « La tendance est restée la même en juillet et en août », confirme Bastien Leal. L'ouverture, le 1er octobre, d'un nouvel UGC Ciné Cités de 14 salles devrait attirer du monde. En 1974, la création du centre semblait encore un pari risqué. Qui allait venir pousser son chariot dans ce bâtiment froid, dont une partie des cellules commerciales était encore vacante lors de l'inauguration ? « Beaucoup n'y croyaient pas », assure Eva Molina. Parinor faisait partie de ce bout de ville neuve construite dès les années 1960 sur les terres agricoles qui couvraient encore le nord d'Aulnay. « Ç'a été une révolution. Là où s'étendaient les champs de la Plaine de France se sont installés le centre commercial, Garonor, l'usine Citroën... », se souvient Bernard Hernandez, alors conseiller général communiste du canton sud de la ville. Non loin de là se dressait la cité de la Rose-des-Vents (3 000), elle aussi érigée à cette époque.

* L'immense pièce montée, confectionnée par des apprentis du Campus des métiers de Bobigny, sera découpée à partir de 15 h 45 samedi, sur la place centrale de la galerie, et des chéquiers de réductions seront distribués aux clients.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 4 Septembre 2014

ecole-louis-aragon-aulnay-sous-bois.jpgDeux sachets de cannabis ont été retrouvés ce jeudi matin près de l’entrée de l’école élémentaire Louis-Aragon, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). C’est ce qu’annonce le maire UMP Bruno Beschizza, qui, plutôt que de déposer plainte, a choisi d’avertir directement le préfet Philippe Galli, à ce sujet.

Les sachets étaient dissimulés dans une haie voisine de l’entrée de l’établissement scolaire, l’un dans l’enceinte de l’école, l’autre à l’extérieur. L’école Aragon, située dans le quartier du Gros-Saule, a déjà fait parler d’elle : en décembre 2012, des élèves avaient trouvé des flacons de méthadone dans la cour de récréation, puis au printemps 2013, un couteau avait été découvert. 

Des mesures ont été prises l’an dernier, par l’ancienne municipalité (rehaussement des clôtures, surveillance renforcée). Bruno Beschizza réclame aujourd’hui qu’une brigade canine effectue une tournée de contrôle dans l’ensemble des écoles de la ville.

Source : LeParisien.fr

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 4 Septembre 2014

Le lycée, établissement où l'on entre adolescent et d’où on ressort citoyen, donc futur électeur ! Notre maire Bruno Beschizza a profité de cette rentrée 2014 pour se rendre au lycée Jean Zay d’Aulnay-sous-Bois afin d'accueillir les élèves en compagnie de l'équipe de direction. 

Jean-Zay-Aulnay-sous-Bois-1.jpgMonsieur le maire a pu constater la magnifique embellie apportée au parvis de l’entrée pendant la période juillet-août, pourtant propice aux travaux quand les étudiants profitent d’un long repos d'été.

Jean-Zay-Aulnay-sous-Bois-2.jpgNous ne nous attarderons pas sur la profondeur des trous, mais dans la cour circule déjà une légende narrant comment le maire s'y est coincé le pied.

Jean-Zay-Aulnay-sous-Bois-3.jpg

Les tarifs de la cafétéria sont affichés. Ce service est très pratique pour les externes qui, pour x raisons, ne peuvent se rendre chez eux pour déjeuner. Rappelons au passage qu’il n’y a nul besoin du bus SADAKA devant l'établissement.

Jean-Zay-Aulnay-sous-Bois-4.jpgEnfin, et c’est IMPORTANT, des distributeurs de préservatifs sont disposés en quelques lieux du lycée. A l'infirmerie ils sont à disposition et gratuits. Étudiants, pratiquez donc toujours protégés.

Jean-Zay-Aulnay-sous-Bois-5.jpgMarc Masnikosa

Voir les commentaires

Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 4 Septembre 2014

College-Simone-Veil-Aulnay-sous-BoisDepuis deux jours la rédaction d’Aulnaylibre ! est submergée d’appels de parents d’élèves demandant comment contacter le collège Simone Veil à Aulnay-sous-Bois ? L’établissement géré par le conseil général de Seine-Saint-Denis sera inauguré officiellement le 16 septembre. En attendant voici un numéro de téléphone pour toutes demandes de renseignements : 01 56 48 06 40.


Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 4 Septembre 2014

COMMUNIQUE DE PRESSE

BBZInauguration d'un collège et annonce d'un plan pour le numérique par François HOLLANDE et Najat VALLAUDBELKACEM : opération diversion pour la rentrée

Bruno BESCHIZZA, Maire d'Aulnay-sous-Bois et Conseiller régional d’Île-de- France, dénonce l’opération de diversion de François HOLLANDE et Najat VALLAUD-BELKACEM lors de leur déplacement à Clichy-sous-Bois.

Pendant ce temps, la rentrée a lieu dans des conditions chaotiques en maternelle et en primaire dans de nombreuses villes où par manque de temps la nouvelle organisation n’est pas prête. De nombreux maires, de toutes tendances politiques confondues avaient plaidé pour un report de l’application de la réforme mais n’ont pas été entendus.

Aujourd’hui pour la rentrée scolaire, le président de la République et la ministre de l’Education nationale préfèrent inaugurer un collège et annoncer un plan pour le numérique dans le secondaire.

Pour Bruno BESCHIZZA, c’est la preuve que François HOLLANDE et Najat VALLAUD-BELKACEM ne veulent pas se confronter aux parents d’enfants en primaire et maternelle qui à 60% sont opposés à la réforme des rythmes scolaires imposée par le gouvernement.

Bruno BESCHIZZA

Maire d'Aulnay-sous-Bois

Conseiller régional d’Île-de-France

Secrétaire National de l’UMP

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Communiqués

Publié le 3 Septembre 2014

FH.jpg« Il est là ! il est là ! » crie une maman, visiblement ravie d'apercevoir François Hollande. Coups de coudes pour se faufiler au premier rang, brandir un téléphone portable et filmer l'arrivée du chef de l'Etat, sourire aux lèvres. Hier matin, ils étaient une centaine de parents et d'élèves du collège Louise-Michel de Clichy-sous-Bois à être réunis dans la cour de récréation de l'établissement flambant neuf pour accueillir le président de la République et la nouvelle ministre de l'Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, en présence du président PS de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone et du président PS du conseil général, Stéphane Troussel.  

« C'est une rentrée dont on se souviendra, murmure fièrement une mère à son fils. Ce n'est pas tous les jours qu'on a le président pour aller à l'école. » Moue dubitative du rejeton, visiblement peu impressionné par cette visite d'Etat. Ce qui l'inspire ce mardi matin ? Que François Hollande évoque dans son discours Louise-Misère, le surnom donné par les élèves à ce collège jusqu'ici vieillot et délabré. « Ce n'est pas une bonne appellation pour la réussite, poursuit François Hollande. Il faut que chacun puisse rêver d'excellence. » Reconstruit sur site dans le cadre du plan exceptionnel d'investissement (PEI) du conseil général, le collège Louise-Michel va désormais tenter de redorer son blason.

Dans les classes, la visite vise d'ailleurs à prouver que ce nouveau collège -- comme les onze autres établissements pris en charge par le PEI -- est 100 % moderne, voire futuriste. Dans une classe de 6e, Eliphe et ses camarades découvrent par exemple leur emploi du temps derrière des écrans d'ordinateurs ou des tablettes numériques. C'est ludique mais pas vraiment nouveau pour les collégiens. « Qui n'a pas de tablette à la maison ? » lance François Hollande, pensant qu'une majorité d'enfants vont lever la main. Mais Kévin est le seul à faire signe... Regards interloqués des officiels. A côté, dans une classe de sciences, on découvre l'imprimante 3D. Le cours du professeur de technologie, formé pour utiliser ce matériel moderne : fabriquer des petites figurines. Le président repart avec un mini-coq... ravi.

« Le collège de Clichy a un temps d'avance, martèle finalement François Hollande. C'est un modèle à suivre. » Les yeux brillants, Leïla semble très contente. La jeune fille a suivi tout le chantier de la destruction de son ancien collège Louise-Misère à l'inauguration du nouvel établissement. « C'est que du positif, murmure-t-elle timidement. On va pouvoir étudier dans un bel endroit. Ça me rend fière. »

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 3 Septembre 2014

Vers 11h30 la rédaction d'Aulnaylibre ! remarque des policiers en planque rue de l’Égalité à Aulnay-sous-Bois. Ils semblent prêts à intervenir pour une opération d’envergure, le top leur étant donné par talkie-walkie.

chanteloup1.jpgNous les avons suivis jusqu'à l'entrée de ce bâtiment.

chanteloup2.jpgUne personne a été appréhendée, son véhicule fouillé dans les moindres recoins, mais apparemment rien n’a été trouvé, bien que nous ne sachions pas exactement ce qui était recherché. 

chanteloup3.jpgNous n'avons pas plus d'éléments sur cet événement , la police ne nous ayant fait aucune déclaration. Le secret du mystère reste donc entier pour le moment.

Marc Masnikosa 

Voir les commentaires

Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 3 Septembre 2014

Carolina-Marin-Aulnay.JPGPour bien mesurer l'exploit de Carolina Marin, il suffisait d'être présent lundi peu après 13 heures au terminal 1 de l'aéroport Barajas de Madrid. De retour de Copenhague au Danemark avec une médaille d'or autour du cou, l'Ibère, qui jouera cette saison à Aulnay-sous-Bois, a été assaillie par des dizaines de journalistes et des centaines d'anonymes venus accueillir la nouvelle reine planétaire du badminton. La veille, Marin avait retourné la planète « bad » en remportant la finale du simple dames aux Championnats du monde.

La performance est rare. Voilà quinze ans qu'une Européenne n'avait plus décroché ce titre. Depuis 1977 et la création de la compétition, seules deux Danoises avaient inscrit leur nom à un palmarès monopolisé par les Chinoises et les Thaïlandaises.

Trois ans pour la convaincre de rejoindre le club du 93

« J'ai été félicitée par 
Pau Gasol, Rafael Nadal, Fernando Alonso ou Mariano Rajoy (NDLR : le chef du gouvernement espagnol), c'est incroyable, comme tous ces messages reçus sur les réseaux sociaux », explique l'Andalouse de 21 ans, originaire de Huelva.

Bien loin de cette région coincée entre le Portugal et Gibraltar, la brune tapera cette saison le volant du côté d'Aulnay-sous-Bois. Championne d'Europe en avril, le club du 93 a officialisé sa venue en juin dernier, après de longues négociations pour attirer la pépite.

« Cela fait maintenant trois ans que nous sommes en contact avec elle par l'intermédiaire de son entraîneur, confie Patrick Deschamps, président du CBAB. Pendant deux ans, nous n'avons jamais pu trouver un accord. Nous avons recontacté son entraîneur en début d'année et après trois ou quatre mois de discussions, nous sommes tombés d'accord sur un premier partenariat, sachant que le calendrier international sera sa première obligation. » Concrètement, Carolina Marin fera des allers-retours entre son camp d'entraînement madrilène et Aulnay, comme à l'occasion de la 1re journée du Top 12, prévue le 20 septembre contre Grande- Synthe.

« Sa signature vient dans un schéma de progression du club, précise Deschamps. Nous recherchons actuellement des partenaires et j'espère que la venue de Carolina va faire évoluer la situation. » Cette dernière, qui en a appelé aux internautes pour financer sa saison, sait de quoi il en retourne. Entre Aulnay, qui vise le titre national par équipes et, à court terme, la Ligue des champions, et la joueuse, qui ambitionne le titre olympique en 2016 avec l'Espagne, l'union des forces était évidente.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Soyons sport.

Publié le 3 Septembre 2014

Corps-Villepinte.pngELLE N'EN REVIENT PAS. Cette habitante de Villepinte ne pouvait se douter, hier matin, que les sacs-poubelles qu'elle a aperçus devant la maison d'un voisin, dans le paisible quartier pavillonnaire voisin de la gare, contenaient... les restes d'un corps humain. « Je suis sortie vers 9 heures de chez moi, mais je dépêchais pour prendre le bus, et je n'ai pas fait attention, raconte cette riveraine du boulevard circulaire. Par contre, en revenant chez moi vers 11 heures, j'ai vu les sacs, de grands sacs noirs, posés sur le trottoir. J'ai juste pensé que les voisins venaient de sortir leurs poubelles... Et puis, dans l'après-midi, j'ai vu les policiers. Le voisin m'a dit qu'il y avait un corps. »

Et en effet, les sacs, au nombre de trois, contenaient bel et bien le corps démembré d'un homme. C'est un employé de la ville, intrigué par l'un des volumineux paquets, qui a ouvert l'emballage, découvrant un tronc humain. La police municipale, première à intervenir, a immédiatement alerté la police nationale. Les autres sacs, déposés à côté, ont été ouverts un à un. Les bras, les jambes et la tête de la victime se trouvaient à l'intérieur. « Toutes les parties du corps ont été retrouvées », assure une source judiciaire.

Selon nos informations, il s'agirait d'un homme blanc. Des examens vont être pratiqués pour tenter de déterminer son identité. Hier après-midi, les enquêteurs de la brigade criminelle de Paris sont restés sur place durant plusieurs heures, sous le regard curieux des enfants et adolescents rentrant de l'école, tenus à distance par un périmètre de sécurité. L'enquête permettra sans doute de déterminer si le corps démembré a pu être déposé ainsi, sur le trottoir, sans attirer l'attention, dans cette voie étroite bordée de pavillons. Cette portion de rue n'était pas sous vidéosurveillance, mais la police s'intéressait hier aux bandes des caméras situées non loin de là dans le quartier, qui pourraient livrer quelques images utiles.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 2 Septembre 2014

Le photographe aulnaysien René-Augustin Bougourd expose son travail, effectué à Manhattan en mars dernier, à l'office de tourisme d'Aulnay-sous-Bois. L'artiste, par ailleurs enseignant, sera présent ce soir pour le vernissage de son exposition, intitulé « Dans un univers minéral ». Cette série de photographies, qui montre l'évolution des paysages urbains sans commune mesure de « La Grosse pomme », sera visible jusqu'au 14 septembre.  

Office de tourisme, 23, boulevard de Strasbourg à Aulnay-sous-Bois. Vernissage ce soir à 18 h 30. Entrée libre.

Source : Le Parisien

NY

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 1 Septembre 2014

LES ASSOCIATIONS DZPAB ET QCBE SE RÉJOUISSENT DE PARTICIPER AU

FORUM DES ASSOCIATIONS D’AULNAY-SOUS-BOIS

DU SAMEDI 13 SEPTEMBRE PROCHAIN !

01/09/2014

DZPAB-QCBE-Aulnay-sous-Bois.pngAlors que l’an dernier les associations DZPAB et QCBE avaient été traitées de façon inacceptable par la majorité municipale d’Aulnay-sous-Bois, conduite par le maire de l’époque Gérard Segura, nous nous réjouissons de tenir un stand commun cette année pour informer les Aulnaysiens sur les tenants et aboutissants de la future modification du Plan Local d’Urbanisme (PLU) et surtout pour prendre les avis de chacun sur leurs attentes en matière d’urbanisme dans les années à venir.

Rappelons que les deux associations que nous présidons ont dû se montrer déterminées pour que des projets urbanistiques dont personne ne voulait ne voient le jour ces dernières années.

Pour le dossier « Croix-Blanche », nous restons donc optimistes pour qu’un beau projet respectant le cadre environnemental et architectural voie le jour. Rappelons à Bruno BESCHIZZA ses promesses de campagne : un projet ne dépassant pas 10 logements, avec la création d’un équipement public (crèche ou maison de quartier), un square et une mairie annexe. Benjamin GIAMI, ancien président de l’association QCBE qui a rejoint l’équipe municipale et qui est Maire-Adjoint, suit bien évidemment ce dossier sur lequel nous comptons aujourd’hui beaucoup et pour lequel nous restons particulièrement déterminés à ce que ces infrastructures-ci voient le jour.

Même chose concernant le projet de la rue des Saules, suivi par l’ancien président de l’association DZPAB, Stéphane FLEURY, qui a également rejoint l’exécutif municipal en tant qu’adjoint au Maire. Après avoir été traitée avec mépris et arrogance par la précédente majorité menée par Gérard SEGURA, l’arrivée de Bruno BESCHIZZA sonne comme l’espoir d’aboutir enfin à une construction de qualité et adaptée au tissu pavillonnaire environnant, en cohérence avec le programme électoral de l’actuel Maire d’Aulnay-sous-Bois. Rappelons que dès 2010, la DZPAB, dans une démarche citoyenne inédite, avait élaboré un projet d’une dizaine de maisons passives repris dans les colonnes du Parisien ! Il est temps de le concrétiser !

Par conséquent, non seulement nous comptons sur la détermination de Messieurs FLEURY et GIAMI pour faire avancer nos projets respectifs dans le bon sens, mais nous comptons participer de toutes nos forces aux orientations de la ville d’Aulnay-sous-Bois en matière de projets urbanistiques. Nous espérons être des interlocuteurs privilégiés pour les concertations sur le futur PLU.

Nous nous ferons les relais des habitants de nos quartiers respectifs pour que l’avenir d’Aulnay ne se fasse pas sans eux !

Séverine Delamare, Présidente QCBE

Robert Ferrand, Président DZPAB

BBZ-QCBE.jpg

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Communiqués

Publié le 1 Septembre 2014

rentree_scolaire_A.jpgC'est parti pour la semaine de quatre jours et demi ! Alors que cinq villes* seulement s'étaient lancées dans l'aventure l'an passé, toutes les communes du département sont désormais tenues d'organiser les cours des écoliers le lundi, mardi, jeudi, vendredi et mercredi ou samedi matin. Si la plupart ont opté pour la demi-journée du mercredi, Aulnay-sous-Bois, Gagny et Montfermeil ont obtenu des dérogations pour faire venir les élèves plutôt le samedi matin. Du côté des parents d'élèves, on est globalement satisfait de cette nouvelle réforme. « Pour nous, c'est une chance pour les enfants, notamment si les communes proposent des ateliers périscolaires, précise Rodrigo Arenas, le président de la FCPE-93. Si la réforme est bien mise en place dans les villes, cela va permettre aux élèves de tester des activités nouvelles et enrichissantes. »

La FCPE crée un observatoire


Mais la FCPE reste tout de même sur ses gardes. Et précise d'emblée, qu'il risque d'y avoir une réforme à plusieurs vitesses dans le département. Car certaines communes ne proposent pas d'ateliers (Bagnolet, Le Blanc-Mesnil, Epinay, Livry-Gargan, Saint-Ouen, Rosny, Les Pavillons-sous-Bois) et préfèrent miser sur les centres de loisirs (Aubervilliers, Saint-Denis) ou sur des cours supplémentaires de soutien scolaire (Bobigny, Drancy).

D'autres assument un surcoût trop important et vont facturer les activités aux parents (Coubron, Le Pré, Sevran, Villemomble, L'Ile-Saint-Denis pour les maternelles et probablement à Montreuil, même si cela n'est pas encore tranché). « Nous allons donc créer un observatoire des rythmes scolaires dans le département, poursuit Rodrigo Arenas. Nous avons déjà envoyé un courrier aux quarante maires pour le leur proposer. L'idée est que les professeurs et les élus puissent échanger pour améliorer les choses. »

Mais ce n'est pas tout. Pour favoriser au maximum la mise en place de la réforme des rythmes scolaires, la FCPE-93 va lancer une pétition pour demander au 
gouvernement la pérennisation du fond d'amorçage, cette aide de l'Etat qui permet de financer en partie les activités périscolaires. « Si l'Etat laisse tomber les communes au bout d'un an ou deux, elles arrêteront les ateliers et cette réforme n'aura pas de valeur ajoutée pour les enfants », poursuit-il.

Dans les 29 villes qui se sont engagées à proposer des ateliers périscolaires aux écoliers, on s'est donc relevé les manches pendant tout l'été. Recrutement d'animateurs et d'associations, choix d'activités, planning compliqué à peaufiner... Le tout avec un seul objectif : apporter un « plus » aux écoliers qui n'ont pas toujours la chance de pouvoir exercer une activité artistique ou sportive en dehors de l'école.
 *Aubervilliers, Bondy, Le Pré-Saint-Gervais, l'Ile-Saint-Denis et Romainville.

Source article : Le Parisien / Image : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 1 Septembre 2014

citoyens.pngC'était en quelque sorte l'université d'été des listes citoyennes d'Ile-de-France. Une première rencontre entre militants indépendants, candidats aux dernières élections municipales dans la région. Et c'est à Fresnes (Val-de-Marne) qu'a eu lieu ce rassemblement. Autour de la table, une trentaine d'hommes et de femmes engagés au sein de listes citoyennes comme, notamment, 100 % Aubervilliers (menée par Samir Maizat aux dernières municipales et qui a recueilli 7,1 % des suffrages au premier tour).  

« Nous nous sommes réunis pour amorcer une véritable dynamique citoyenne », explique Abdel Yassine, leader de la liste Fleury Ensemble (à Fleury-Mérogis, en Essonne) en mars dernier. Avec un score de 15,55 % au premier tour, il a fait son entrée au conseil municipal, occupant l'un des deux sièges réservés à son équipe. « Aujourd'hui, il est temps pour nous de faire connaissance, de partager nos expériences, de dire quels obstacles nous avons rencontrés durant la campagne. »

Car, depuis l'émergence des premières listes autonomes, à la fin des années 1980, ces militants doivent se frayer un chemin. Bien souvent éducateurs, professionnels de santé ou enseignants dans des quartiers sensibles, « les candidats doivent prouver leur légitimité, malgré les pressions et les manipulations, commentait samedi le sociologue val-de-marnais Marwan Mohammed. Ils ne doivent plus être traités d'islamistes ou de délinquants ».

« Oui, nous sortons du sérail, clame Kaddour Metir, figure de Fresnes à venir. Nous avons tous en commun d'être simplement issus du terrain, mais nos voix portent, assure l'élu (qui a obtenu 7,62 % au second tour des municipales de mars). Parce que notre seule ambition est de résoudre les problèmes des habitants. En dehors de tout appareil politique, nous gardons notre liberté de ton. Notre mouvement doit s'inscrire dans la durée. »

« L'objectif est d'arriver au pouvoir, résume Abdel Yassine. Pour y parvenir, nous devons nous structurer, faire émerger une réelle alternative. Nous allons donc nous constituer en réseau. » La rencontre citoyenne de samedi en était la première étape.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal