Plusieurs associations, dont le collectif pour le triangle de Gonesse, attaquent devant le tribunal administratif le permis de la gare sur la future ligne 17 du supermétro.
« Non à la gare en plein champ ! » Voici la revendication de plusieurs associations écologiques et du collectif pour le triangle de Gonesse, qui viennent de déposer un recours devant le tribunal administratif de Cergycontre le permis de construirede la future gare du supermétro de la ligne 17, délivré en septembre par le préfet du Val-d’Oise. La gare est une condition essentielle à la réalisation d’EuropaCity, un complexe de loisirs et de boutiques de 80 ha.
Mais la réalisation de ce projet, et par ricochet de cette gare sur un secteur aujourd’hui essentiellement agricole, fait grincer des dents. « Il n’y a aucun habitant à moins de 800 m. Cet équipement, d’un coût de 100 M€, ne servirait qu’à acheminer les clients d’EuropaCity. Est-ce aux contribuables de financer des infrastructures destinées à un groupe privé ? », fulmine le collectif pour le Triangle de Gonesse.
Des travaux préparatoires de la gare sont prévus dès l’année 2019. Quant à la mise en service de la ligne 17, elle avait été reportée de 2 024 à 2 027 par le gouvernement.
Certains rêvaient peut-être d'un nouveau mai 68. Force est de constater que nous en sommes encore bien loin. Notamment à Aulnay-sous-Bois.
Les gilets jaunes devaient, selon certaines sources bien informées, se mobiliser en masse en suivant un circuit précis : d'abord ralentir le carrefour près du centre commercial O'Parinor, puis celui de L'Europe avant de se diriger vers celui des droits de l'Homme près du Mac Donald.
En début d'après-midi, comme en témoigne notre vidéo ci-dessus tournée sur place, le carrefour de l'Europe était d'une fluidité absolue. Même pas la queue d'un début d'embouteillage. Nos yeux n'y croyaient tellement pas qu'ils ont même écrasé une larme.
Donc si vous avez des courses à faire ou un film à aller voir à l'UGC, n'hésitez pas un instant, la circulation est optimale en direction du centre commercial O'Parinor d'Aulnay-sous-Bois.
A lire ce matin les articles de nos confrères de la blogosphère locale, il fallait s'attendre à du lourd et même à du très très très lourd.
En effet, les gilets jaunes étaient parait-il mobilisés en masse à Aulnay-sous-Bois et devaient ralentir fortement l'accès au carrefour menant au centre commercial O'Parinor.
Sur notre vidéo ci-dessus tournée en début d'après-midi sur place, le trafic était pourtant d'une fluidité absolue. Alors que s'est-il passé ? Où sont les points de blocages annoncés ?
En attendant la réponse à ces questions, le centre commercial O'Parinor n'a même pas dû ressentir la moindre baisse de fréquentation.
Le grand capital peut dormir tranquille. La révolution n'est pas pour demain...
L’association de commerçants "Au cœur des commerces d’Aulnay » organise le premier concours des Vitrines de Noël du 19 novembre au 31 décembre.
À l’occasion des fêtes de fin d’année les vitrines de vos commerces du centre gare se parent de leurs plus beaux ornements.
Votez pour votre vitrine préférée et participez au tirage au sort pour tenter de gagner de nombreux bons d'achat.
Liste des commerçants participants :
O bouquets d’Aulnay, Optic Leader, Chauss’et nous, Phox, Urbanium, Corbeille d’or, Libellule, La gueule à raisin, Mercerie 1900 Ma Belle, Detroit, Gerald vêtements, Les jardins d’Aulnay, Deniz coiffure, Gel o soleil, Pair et impaire, Nicolas
Votez pour votre boutique préférée en cliquant : ici
Source information et image : site internet de la ville d'Aulnay-sous-Bois
Vous trouverez ci-dessous une lettre du maire d'Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, adressée au Comité des usagers du RER B Nord. Dans cette missive, l'édile rappelle ses doutes, dès 2016, quant à la pertinence du projet de CDG Express prévoyant la liaison directe entre l'aéroport Roissy Charles de Gaulle et la gare de l'Est à Paris. Il se félicite par ailleurs que l'ensemble des élus du conseil municipal se soit prononcé à l'unanimité contre ce projet lors de la séance de mercredi dernier.
Madame, Monsieur,
Depuis le 22 octobre dernier, la commune d’Aulnay-sous-Bois accueille l’enquête publique relative à la demande d’autorisation environnementale concernant le projet CDG-Express.
En 2016, j’avais exprimé des doutes quant à l’intérêt de ce projet pour les territoires qu’il traverse. Le CDG-Express ne profite pas à nos villes mais va entrainer de nombreuses nuisances pendant les travaux et risque de perturber le fonctionnement d’un RER B déjà en dysfonctionnement chronique.
En effet, avec 8 trains par heure, de 5 heures à minuit chaque jour, et avec une vitesse de 160km/h minimum, les rames du CDG-Express engendreront une grande pollution sonore. De plus, les travaux nécessaires jusqu’en 2024 pour mener à bien ce projet seront également source de désagréments avec d’importantes interruptions de trafic pour ceux qui empruntent quotidiennement la ligne B du RER et la ligne K du réseau transilien.
En l’état, ce projet risque de dégrader le service de transport public global des Sequanodyonisiens, dont la qualité est déjà très perfectible. J’ai donc proposé que la Ville d’Aulnay-sous-Bois rende un avis défavorable à la demande d’autorisation environnementale du CDG-Express.
Si l’objectif du projet du CDG-Express de renforcer l’attractivité de notre région, son développement économique mais aussi d’accompagner l’arrivée du nouveau terminal T4 de l’aéroport Roissy – Charles de Gaulle est louable, il ne concernera qu’environ 17.000 voyageurs par jour. Il me parait plus prioritaire d’avancer sur les lignes 16 et 17 du Grand Paris Express et de répondre aux besoins des 900.000 voyageurs quotidiens du RER B et de la ligne K.
Je me félicite que lors du Conseil municipal du 14 novembre dernier, l’ensemble des élus, de toutes tendances politiques confondues, se soient ralliés à ma position et aient exprimé unanimement un avis défavorable. Je tenais à vous en informer personnellement.
Je vous prie de croire, Madame, Monsieur, en l’expression de mes salutations distinguées.
Source lettre : service de presse de Bruno Beschizza / Source photo : site internet de la ville d'Aulnay-sous-Bois
Les élections des représentants des locataires de HLM ont lieu pendant un mois au niveau national. Objectif : peser sur le quotidien des habitants des cités.
Abdel Moujid, trentenaire « né » à la cité de l’Europe d’Aulnay, a dix jours pour mobiliser ses voisins. Et plus généralement, les locataires des 12 600 logements gérés par le bailleur social Emmaüs-Habitat.
Il est candidat à l’élection des représentants de locataires au sein du conseil d’administration de son bailleur. Un scrutin national : les 4,5 millions de HLM existants en France, pour 91 500 dans le 93, sont concernés par ces élections confidentielles, qui durent jusqu’au 15 décembre - chacun des 600 bailleurs existants ayant un jour de vote dédié. Pour Abdel et les cinq membres de sa liste, originaires de toute la petite couronne, le jour J, c’est le 27 novembre.
« On distribue notre profession de foi depuis des semaines, on colle des affiches dans les halls pour informer de notre candidature », explique-t-il. « Maintenant, il nous faut des hommes et des femmes de parole », clame ainsi le tract d’Abdel et de son équipe, distribué dans les 802 appartements de la cité.
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Source information et photo : Thomas Poupeau du journal Le Parisien
La journée du 17 novembre 2018 fera office de test, notamment pour Emmanuel Macron et son gouvernement, puisque le mouvement des gilets jaunes a décidé d'effectuer une opération choc en organisant des blocages un peu partout dans le pays.
La particularité de cet événement est qu'il n'est encadré par aucune organisation qu'elles soient politiques ou syndicales. Dans ces conditions personne ne peut réellement prédire ce qu'il se passera demain et les jours suivants.
Aulnay-sous-Bois sera elle aussi vraisemblablement concernée par les diverses actions des gilets jaunes. Du coup se pose cette question : êtes-vous pour ou contre ce mouvement ?
Les pour diront que le ras-le-bol fiscal qui frappe notamment les carburants justifie une action. Les autres penseront peut-être que les vrais enjeux sont ailleurs. Dans quel camp vous situerez-vous ?
Le drame s'est produit jeudi matin à la gare de Villeparisis - Mitry-le-Neuf. Deux témoins oculaires confirment la thèse du suicide.
Un homme de 54 ans s’est suicidé ce jeudi matin à la gare RER de Villeparisis - Mitry-le-Neuf, à Mitry-Mory. Il s’est jeté sur les rails au moment du passage d’un train.
Le drame a eu lieu vers 11 heures. Deux témoins oculaires ont confirmé aux policiers du commissariat de Villeparisis la thèse du suicide. La victime n’a laissé aucun mot pour expliquer son geste.
En conséquence, la circulation du RER B entre la gare d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) et celle de Mitry-Claye, terminus de la ligne, a été interrompue.
La reprise du trafic s’est produite en début d’après-midi.
Source information : journal Le Parisien / Photo d'illustration
C'est un phénomène naturel récurrent sur la planète Terre, quel que soit l'hémisphère. Quand arrivent les premiers frimas de l'automne, les arbres perdent peu à peu leurs feuilles. Dès lors, elles tombent au sol dans les jardins, les parcs, les rues, les trottoirs etc...
Aulnay-sous-Bois n'est évidemment pas exempte de ce processus inhérent au cycle de vie des arbres. Pourtant, certaines voix se lèvent parfois pour exprimer leur mécontentement quant aux désagréments provoqués par les feuilles qui jonchent les trottoirs rendant ces derniers glissants, notamment par temps humide.
Si, évidemment, il est compréhensible que l'on puisse déplorer qu'il faille redoubler de prudence lors de nos déplacements quand les feuilles envahissent les trottoirs, il faut aussi, peut-être, envisager la question sous d'autres angles.
Tout d'abord, qui peut se plaindre de la présence d'arbres, de fleurs, de verdure dans un monde de plus en plus urbanisé où la nature disparaît chaque jour un peu plus ?
Ensuite, il faut aussi considérer qu'Aulnay-sous-Bois a encore la chance de posséder d'importants espaces verts puisqu'ils occupent 14% de la superficie de la commune. Les arbres plantés dans la ville sont estimés à une population de 30 000 unités. Parmi ces 30 000, 9 000 sont en alignement c'est à dire le long des trottoirs et des voies de circulation.
Dans ces conditions, il est évident qu'il faut faire preuve d'un peu de patience pour collecter toutes les feuilles de ces 9 000 arbres éparpillés le long des 180 km de voirie que compte la ville.
Alors, certes, il existe des solutions radicales. On peut couper tous les arbres ! Mieux encore, on peut planter des arbres en plastique qui auront des feuilles toute l'année !
Bien entendu, à chacun son opinion sur le sujet, mais nous, à la rédaction d'Aulnaylibre !, nous préférons les vrais arbres, indépendamment des petits tracas qu'ils provoquent pendant la période automnale...
La toujours très active association LNA, La Nouvelle Ambition, organise à nouveau cette année une dictée Voltaire. Elle se déroulera le dimanche 2 décembre 2018 à la salle Pierre Scohy d'Aulnay-sous-Bois.
Un voyage pour deux personnes et plein d'autres cadeaux sont en jeu.
Inscription à l'adresse mail suivante : lanouvelleambition@gmail.com
Bruno Beschizza était l'invité hier soir de l'émission "BFM Story" animée par Olivier Truchot. Le sujet portait sur le mouvement du 17 novembre.
Sur les antennes de la chaîne d'information en continu, le maire de la ville d'Aulnay-sous-Bois a expliqué qu'un tractage serait effectué ce week-end dans la commune en soutien aux gilets jaunes.
Après plusieurs jours de panne, l'entrée située du côté de la rue du 11 novembre de la gare RER B d'Aulnay-sous-Bois a réouvert depuis hier. Toutefois, une nouvelle réparation s'avère nécessaire. Elle sera programmée le mardi 20 novembre 2018.
Par conséquent, cette entrée sera à nouveau fermée une partie de la journée. Il est donc conseillé d'anticiper cette situation en prenant un autre accès.
Source photo : compte Twitter de la ville d'Aulnay-sous-Bois
La chanteuse Aya Nakamura était présente ce samedi aux NRJ Music Awards. Mais elle n’a visiblement pas apprécié l’expérience. La jeune femme a d’ailleurs promis sur Twitter qu’elle n’y remettra pas les pieds. Une décision qui est compréhensible compte tenu du très mauvais accueil dont elle a été victime.
AYA NAKAMUA N’A PAS APPRÉCIÉ LES NRJ MUSIC AWARDS
L’interprète de « Djadja« , « Copines » ou encore « Comportement », n’a pas supporté que Nikos écorche son nom de scène. « On n’invite pas les gens quand on n’arrive pas à dire son nom correctement !! #DerniereFois », a-t-elle lâché sur Twitter après la petite boulette de l’animateur. Et ce n’est pas la seule boulette de la soirée. En effet, des micros mal réglés ont entaché la performance de la chanteuse.
Le nom de la chanteuse a également été mal prononcé par LIO, qui nous a sorti d’un autre monde un « Ava Nakamura ». Mais également le magazine « Public » qui s’est trompé sur le nom de la chanteuse sur Twitter. Le problème est que le nom de la chanteuse est relativement simple à dire. Alors, pourquoi autant de déformation ? De nombreux internautes crient au scandale sur les réseaux sociaux concernant cette cérémonie des NRJ Musics Awards. Mais Aya Nakamura peut se rassurer, ce n’est pas cette erreur qui va ternir son succès… Bien au contraire, elle a gagné encore plus de soutiens depuis.
AYA NAKAMURA: SON NOM VIENT D’UNE SÉRIE
Pour éviter toute nouvelle bourde sur le prénom de la chanteuse, on vous explique d’où il vient. Le nom Aya Nakamura se compose en deux parties. La première, le prénom Aya qui est le vrai prénom de la chanteuse. Le prénom de la jeune fille née à Bamako au Mali et qui a grandi dans la ville d’Aulnay-sous-bois. Et le second « Nakamura« , vient du héros de la série « Heroes » Hiro Nakamura.
Le Rugby Aulnay Club organise ce samedi 17 novembre 2018 à partir de 19h à la salle Pierre Scohy d'Aulnay-sous-Bois son traditionnel super loto.
Outre une ambiance chaleureuse et bon enfant, ce moment sera l'occasion de mettre la main sur un certain nombre de lots prestigieux comme un séjour de 8 jours et 7 nuits en formule tout inclus pour 2 personnes sur l'île de Malte. Un week-end pour 2 à Prague est également en jeu.
Dans un conseil municipal d'une durée relativement courte, c'est le sujet qui a généré le plus de débat : le CDG Express !
Un blog dit d'information, mais en réalité fortement politisé, avait tenté de monter en épingle une polémique à ce sujet (voir notre article ici). Et bien, ce matin, on a envie d'écrire : tout ça pour ça !
En effet, après un nombre d'échanges conséquent où chaque groupe politique a pu longuement présenter son point de vue, la position des élus locaux est désormais claire et sans équivoque. Au moment de se prononcer ils ont voté contre le projet de CDG Express à l'unanimité.
Il incombemaintenant aux autres villes du Territoire Paris Terres d'Envol, à savoir Drancy, Dugny, Le Blanc-Mesnil, Le Bourget, Sevran, Tremblay-en-France, Villepinte, de prendre leur responsabilité et de se prononcer publiquement sur le projet de CDG Express.
A Aulnay-sous-Bois, en 2016 comme aujourd'hui, c'est NON !
Source photo : site internet de la ville d'Aulnay-sous-Bois
A l’initiative de l’Établissement public territorial Paris Terres d’Envol, un atelier de concertation sera organisé à l’hôtel de ville ce jeudi 15 novembre à partir de 19h. Objectif : vous permettre de donner votre avis sur vos déplacements.
Paris Terres d’Envol s’est engagé, en 2017, dans l’élaboration d’un Plan Local de Déplacements (PLD). Ce document stratégique définit la politique de mobilité au sein des huit villes du Territoire. Il a pour objectif d’améliorer la mobilité des habitants, usagers, salariés en développant des modes de déplacement respectueux de l’environnement et de la santé : transports en commun, marche, vélo, usages partagés de la voiture. Il précise, à l’échelle locale, les ambitions du Plan de Déplacements Urbains d’Île-de-France (PDUIF).
Améliorer la circulation
A partir d’une réflexion globale sur l’ensemble des modes de déplacement (circulation et partage de la voirie, transport et livraisons de marchandises, stationnement, intermodalités), le PLD doit aboutir à un programme d’actions sur cinq ans (nouveaux services, aménagement de l’espace public, actions de sensibilisation…).
Une démarche de concertation est organisée afin d'enrichir la réflexion globale et de partager le diagnostic réalisé. Des ateliers participatifs vont ainsi avoir lieu sur le territoire. A Aulnay-sous-Bois, le rendez-vous est fixé au jeudi 15 novembre à 19h à l’hôtel de ville. Il se déroulera comme suit : présentation du diagnostic et des actions par le cabinet d’études, puis tables-rondes thématiques de 8-10 personnes, et enfin restitution du travail des tables.
Les actions définies dans le cadre du PLD visent à améliorer l’attractivité des transports collectifs, à construire une ville plus favorable à la pratique de la marche et du vélo, et à organiser des conditions de circulation et de stationnement plus sereines et optimisées. Il s’agira également de mieux intégrer et d’anticiper les profondes transformations du territoire avec l'arrivée de huit gares du Grand Paris Express, à l'horizon 2030, ou encore l'accueil des Jeux Olympiques en 2024.
Source information et image : site internet de la ville d'Aulnay-sous-Bois
Les Tic et Tac de la blogosphère locale officiant sur MonAulnay.com se sont notamment emparés de la question mais l'ont traitée de manière partielle mais surtout très partisane.
Selon eux, en effet, le maire d'Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza serait en faveur du projet de CDG Express, mais aurait retiré ladite délibération face à "des pressions".
Tout d'abord, Bruno Beschizza n'a jamais été en faveur du projet de CDG Express. En effet, dès juillet 2016, il écrivait au président de la commission d'enquête publique du CDG Express en émettant de forts doutes quant à l'opportunité d'une telle réalisation (voir la lettre ci-dessous).
"Alors que l'argument du manque de moyens ne cesse d'être invoqué lorsqu'il s'agit d'améliorer les conditions de transport sur la ligne du RER B qui dessert une population nombreuse, entre autres, sur notre ville d'Aulnay, il est difficilement acceptable que des financements soient mobilisés prioritairement et dans un délai rapide pour la création d'une nouvelle ligne ferroviaire à l'horizon 2023" écrit-il ainsi.
Plus loin encore dans la missive, les réserves du maire sont encore plus nettement exprimées.
"Je redoute des répercussions de la liaison du CDG Express telle, la déportation des lignes B sur une voie intermédiaire lors de la maintenance des voies. Or, la gare d'Aulnay-sous-Bois qui dessert toutes les gares jusqu'à Paris gare du nord ainsi que celles à destination du T4 et des axes Roissy CDG / Mitry-Claye constitue un pôle d'échange majeur par lequel transitent chaque jour des milliers de voyageurs. Je souligne également l'importance du maintien de l'arrêt à Aulnay-sous-Bois de la ligne K.
Il ne faudrait pas que cette liaison du CDG Express qui, selon une estimation, accueillera environ 50 000 usagers/jour se réalise au détriment des conditions de transport des 856 000 usagers qui empruntent chaque jour la ligne du RER B" poursuit-il.
Cette lettre ne peut pas être plus claire ni plus explicite. Le maire d'Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza a très clairement pris position contre le CDG Express dès 2016.
Ainsi, et contrairement à ce qu'affirment les rédacteurs de MonAulnay.com, Bruno Beschizza a exprimé très tôt (dès 2016) ses réserves quant au CDG Express. Il n'a pas reculé devant la moindre pression lundi soir en conseil de Territoire. Il laisse au contraire chacune des huit villes composant le Territoire Paris Terres d'Envol (Aulnay-sous-Bois, Drancy, Dugny, Le Blanc-Mesnil, Le Bourget, Sevran, Tremblay-en-France, Villepinte) le choix de se prononcer et prendre ses responsabilités quant à ce projet dans leurs conseils municipaux respectifs. Il sera temps alors d'envisager une position commune au sein du Territoire.
Justement, à propos de position, le conseil municipal d'Aulnay-sous-Bois s'apprête à voter NON à ce projet ce soir en conseil municipal, preuve que le maire de la ville n'a pas changé d'opinion depuis 2016.
On savait que certains rédacteurs de MonAulnay.com écrivaient avec leurs pieds, mais dans ce cas précis du CDG Express ils ont franchi une étape supplémentaire. Non seulement ils ont laissé croire que le maire d'Aulnay-sous-Bois était en faveur de ce projet alors que, dès 2016, il le dénonçait ! Mais ils ont aussi sous-entendu que Bruno Beschizza aurait cédé à des pressions (des pressions dont ils sont bien incapables d'indiquer la source au demeurant !), alors qu'il n'en est évidemment rien.
Alors, maladresse, incompétence, volonté assumée de désinformer, attitude partisane affichée au grand jour en vue de nuire à Bruno Beschizza et à son équipe municipale ? Chacun son opinion. Quoi qu'il en soit, il devient de plus en plus évident que MonAulnay.com est de moins en moins un blog d'information...
Plusieurs fidèles lecteurs d'Aulnaylibre.com nous ont signalé leur satisfaction suite aux travaux entrepris sur le pont de la Croix-Blanche à Aulnay-sous-Bois.
Après plusieurs dizaine d'années d'immobilisme concernant ce lieu historiquement engorgé par les embouteillages, il fallait il est vrai un certain panache pour entreprendre au coeur de l'été l'aménagement d'une troisième voie de circulation.
Le pari semble pourtant avoir été gagné puisque l'on peut noter une nette amélioration des flux de circulation sur le pont de la Croix-Blanche.
Les rédacteurs d'Aulnaylibre.com ont testé le franchissement du pont à différents horaires, y compris en fin d'après-midi, et nous avons constaté une bonne fluidité de circulation.
Voilà donc un investissement de 650 000 euros très efficace. Il ne reste plus désormais qu'à aménager le rond-pont qui permet soit d'aller vers le secteur Chanteloup à gauche ou en direction de la gare à droite pour encore plus de confort dans le futur.
Le commerce est en plein boum à Aulnay-sous-Bois. Les ouvertures de nouvelles enseignes s'enchaînent, preuve d'une vitalité et d'une attractivité retrouvées depuis quelques années.
Hier soir, c'était au tour du Kokajo Grill situé au 57 boulevard de Strasbourg à Aulnay-sous-Bois. La boutique a ouvert peu de temps avant l'été et les gérants ont tenu à faire une inauguration pour marquer l'événement.
Le Kokajo Grill propose un éventail élargi de spécialités portugaises. Vous y trouverez notamment un assortiment de viandes grillées au goût savoureux. Les amateurs de bière locale ne seront pas déçus non plus puisqu'on y trouve la bière de Lisbonne, la Sagres.
Les gérants ont indiqué être contents de leur installation sur la ville et que l'activité était plutôt bonne.
Le maire Bruno Beschizza, accompagné de son adjoint au maire en charge du commerce, Eric Pallud, a coupé le célèbre ruban bleu blanc rouge marquant ainsi cette célébration menée dans la joie et la bonne humeur.
Comme c'est la tradition, nous souhaitons bien entendu une belle continuation et un bon chiffre d'affaires au Kokajo Grill d'Aulnay-sous-Bois.
Jean-Michel Blanquer le répète à tout-va : « La France gagnerait beaucoup en ayant un débat public qui arrête de se focaliser sur les créations de postes. » Ben voyons. Depuis les bureaux de la rue de Grenelle, l’affaire est confortable. Elle l’est beaucoup moins dans les nombreux établissements qui constatent, chaque jour, les conséquences de ces coupes budgétaires décidées par le gouvernement. À Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le lycée Jean-Zay peut témoigner. Depuis septembre, les personnels de cet établissement de quartier populaire s’époumonent à réclamer des assistants d’éducation (AED) supplémentaires, les fameux « surveillants », pour faire face à la hausse continue des effectifs d’élèves. Cinq journées de grève, et autres marches dans les rues de la ville, réunissant profs, parents et lycéens, ont été organisées depuis septembre. En vain jusqu’ici.
« Un mépris à peine déguisé pour nos demandes »
Comme dans le reste du secondaire, le lycée Jean-Zay est confronté, depuis plusieurs années, à une forte poussée démographique. Et à l’absence de réponse à la hauteur des besoins. En quatre ans, 343 élèves supplémentaires ont dû être accueillis, soit un bond de 30 %. Dans le même temps, seul un demi-poste a été ouvert. « Nous nous retrouvons avec des classes surchargées et des conditions de travail qui se détériorent pour tout le monde », souligne Kamta Ryam, professeure de lettres et membre du Snes-FSU. Les effectifs atteignent désormais 1 512 élèves. Alors que même que le conseil régional d’Île-de-France, dans un rapport publié en 2013, avait fixé la capacité maximale à 1 320…
Un trop-plein de quelque 200 élèves qui pose des problèmes de gestion et de sécurité. « Même la circulation dans les couloirs lors des intercours devient compliquée, assure un enseignant. Je n’ose imaginer ce qu’il se passerait en cas d’incendie. » Promis depuis septembre, un austère préfabriqué d’un étage avec quatre salles devrait bientôt être livré et donner un peu d’air. Mais ce nouveau bâtiment, pointe l’équipe enseignante, réclame du personnel de surveillance. Or, c’est exactement ce qu’il manque.
Article complet de l'Humanité à lire en cliquant : ici
Deux jeunes hommes originaires du Val-d’Oise ont été déférés au tribunal de Bobigny pour proxénétisme, ce week-end. Ils sont soupçonnés d’avoir prostitué et violenté plusieurs jeunes filles dans le nord francilien.
C’est ce qu’a permis de mettre au jour l’enquête menée par la police judiciaire de Seine-Saint-Denis, sur la piste d’un réseau de prostitution d’appartement, depuis l’alerte d’une mère de famille en mars dernier. Sa fille l’avait alertée qu’elle était séquestrée.
Celle-ci, mineure, a été découverte par des policiers du commissariat d’Aulnay dans un appartement du quartier de la gare. Une autre jeune femme se trouvait sur place. Soupçonnée d’être en affaire avec les proxénètes, cette dernière a été interpellée.
L’enquête ne faisait que démarrer. Le parquet de Bobigny a ouvert une information judiciaire, et c’est la PJ du 93 qui s’est vu délivrer la commission rogatoire pour conduire les investigations. D’après l’enquête, la prostitution ne s’effectuait pas que dans cet appartement qui avait été loué.
Les recherches ont conduit les policiers vers des hôtels, et même chez des particuliers, à Paris et dans le Val-d’Oise, à Saint-Brice notamment, où les relations étaient monnayées, une centaine d’euros la passe. La mise en relation passait par Internet.
Les interpellations ont eu lieu la semaine dernière. Les deux proxénètes présumés ont été arrêtés chez eux, dans le Val-d’Oise. Ils ont 22 et 28 ans. S’ils étaient déjà connus de la police, ils n’avaient jamais fait parler d’eux pour des faits de prostitution. Ils sont aussi suspectés d’avoir eu la main lourde sur les jeunes prostituées, puisqu’on leur reproche de les avoir frappées, et d’avoir utilisé un taser, pistolet à impulsion électrique.
Deux relations féminines, âgées d’une vingtaine d’années elles aussi, sont aussi mises en cause. Elles sont suspectées d’avoir aidé la logistique, tant dans la surveillance des filles que pour la mise en relation avec les clients. Parmi elles figurerait la petite amie d’un des suspects, une ancienne prostituée. Tous les quatre ont été mis en examen, trois sont écroués en détention provisoire.
Combien de jeunes filles sont tombées dans leurs griffes en un an ? Deux au moins, âgées de 16 et 18 ans, mais il est probable qu’elles soient encore davantage.
Cette nouvelle enquête confirmeun phénomène malheureusement bien connu des enquêteurs, magistrats et associationsqui viennent en aide aux victimes de prostitution. " Il s’agit le plus souvent de jeunes fugueuses, repérées dans des gares ou ailleurs, qui pense trouver une protection quand on leur propose un hébergement, et se retrouvent séquestrées, obligées de se prostituer", s'inquiète un policier coutumier de ces affaires.
Laure Vasconi, photographe, et Caroline Boidé, écrivain, ont passé un an à la cité de l’Europe et dans le quartier de la Rose des Vents. Elles dressent le portrait de 21 habitants.
Derrière les murs gris de la cité de l’Europe et de la Rose-des-Vents, des visages et des histoires. Pendant une année entière, Laure Vasconi, photographe, et Caroline Boidé, écrivain, sont allées à la rencontre des habitants des quartiers nord d’Aulnay-sous-Bois.
Il en ressort l’exposition-journal « Cité(s) dans le texte »*. Entre albums photo personnels, clichés réalisés par l’artiste et longues prises de parole des habitants eux-mêmes, on plonge dans l’histoire de ces zones urbaines souvent décriées.
Au fil de 21 portraits, archives à l’appui, on découvre comment l’arrivée des premiers locataires de ces grands ensembles, à la fin des années 1960, a été rythmée par la construction de l’usine Citroën toute proche. C’est elle qui donne le tempo, surtout aux 3 000 (l’autre nom donné à la Rose-des-vents, NDLR). « Mon père a travaillé chez Citroën […] jusqu’en 2004. Mes jobs d’été en juillet 2003 et 2004 étaient chez Citroën. Le patron remplaçait le personnel en vacances par leurs enfants, des adolescents », raconte ainsi Abdel, désormais trentenaire, aux deux artistes.
Monument central de l’expo : le Galion, bâtiment emblématique de la Rose-des-Vents, en passe d’être démoli. Un « âge d’or » dans les années 1970, avant le déclin. « Les caves du Galion étaient ouvertes. Des soirées étaient organisées autour de petits téléviseurs. Je n’avais pas peur d’être agressée […] raconte ainsi Tibile, sexagénaire nostalgique. Pour Fatiha, à cette époque, le nord d’Aulnay a même « des airs de province ».
Après, la maman estime que la situation s’est dégradée parce que les pouvoirs publics ont laissé l’endroit se transformer en « ghetto ethnique ». Dès 1985-1986, « le Galion a été le cauchemar de mes enfants », dit même France, 80 ans, se rappelant « les seringues qui traînaient », « les bagarres »…
Ainsi, l’expo n’élude pas les problèmes. La drogue, encore plus présente aujourd’hui. Et l’inaction des autorités. « La drogue se généralise et, malheureusement, le sujet se banalise. On a signalé aux politiques l’emplacement des trafics dans les quartiers. Je leur avais même fait un dessin », s’alarme Monique, pour qui c’était pourtant « un rêve », en 1972 de venir s’installer dans un grand ensemble.
*Espace Gainville, 22, rue de Sevran. Jusqu’au 9 décembre, du mardi au dimanche, de 13 heures à 18h30. Entrée gratuite.
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Source information : Thomas Poupeau du journal Le Parisien / Vidéo d’illustration : YouTube / Photo d'illustration : https://patrimoine.seinesaintdenis.fr
Jusqu’en décembre le célèbre musée parisien Le Louvre s’invite à Aulnay-sous-Bois au cours de différents événements prometteurs.
En ces occasions il sera possible de découvrir des œuvres et d’échanger avec un intervenant du musée du Louvre. Vous trouverez ci-dessous l’ensemble du programme jusqu’à la fin de l’année.
Source information et image : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois
La cérémonie célébrant le centenaire du 11 novembre 1918 à Aulnay-sous-Bois a donné lieu à de nombreux moments d’émotion. La chorale de l’association ARPEJ conduite par Martine Lagorsse n’est pas pour rien dans cette sensation.
En effet, le mélange des voix des enfants et des seniors crée nécessairement le frisson. Aussi, nous vous proposons d’entendre cette chanson interprétée à cette occasion. Elle constitue une véritable ode à la paix, cette paix qui parait désormais acquise pour tout le monde en Europe mais qui a tant manqué aux générations précédentes frappées par d’innombrables conflits… que ce soient les guerres napoléoniennes, la guerre de 1870 évoquée notamment dans le roman de Zola, la débâcle, la guerre 14-18, la guerre 39-45, la guerre d’Indochine, la guerre d’Algérie ou encore la guerre en ex-Yougoslavie qui remonte au début des années 90.
Alors mesurons notre chance de vivre enfin en paix…