c'est dans le journal

Publié le 6 Septembre 2015

Attention : alerte aux cambrioleurs imposteurs à Aulnay-sous-Bois !

Des cambrioleurs particulièrement rusés ont sévi cet été à Aulnay-sous-Bois. La municipalité lance une campagne d’information sur ses panneaux lumineux pour alerter ses habitants, après plusieurs vols. Plusieurs victimes ont évoqué un scénario similaire : un inconnu sonne à leur porte, se présente comme un ouvrier ou un technicien, venu vérifier que des travaux dans la rue voisine n’ont pas provoqué de fuite d’eau.

Puis de faux policiers font irruption dans la maison, « arrêtent » l’intrus, et demandent aux habitants de vérifier avec eux si des objets de valeur ont disparu… Avant de disparaître à leur tour en dérobant au passage argent et bijoux. La ville rappelle donc quelques précautions à prendre : ne pas ouvrir aux inconnus, exiger une carte professionnelle, un justificatif de passage, vérifier au besoin auprès de l’organisme cité qu’une visite était bien prévue. Et ne jamais indiquer l’emplacement d’objets de valeur. En cas de doute, elle invite à contacter la police municipale au numéro vert (accessible 24 heures sur 24) 08.00.39.93.93.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 4 Septembre 2015

A la découverte du Noratlas à Aulnay-sous-Bois avec l’union nationale des parachutistes

Entrez dans l’intimité des anciens « para » qui vous accueillent, samedi à 10 h 30, dans la carlingue du Noratlas, désormais au sol à Aulnay. L’union nationale des parachutistes ouvre en effet les portes du Nord 2 501, avion mythique qui a transporté des pilotes sur de nombreuses missions militaires et humanitaires et est aujourd’hui devenu le bureau de l’association à la Rose des vents.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 3 Septembre 2015

Manifestation des agriculteurs le 3 septembre 2015 : les tracteurs envahissent Paris !

Journée noire jeudi à Paris et sur les grands axes routiers d'île-de-France. Dès 6 heures et jusqu'à 17 heures au moins, heure prévue pour la dislocation de la manifestation, la circulation autour et dans la capitale risque de faire maugréer plus d’un Parisien.

Les agriculteurs déferlent sur Paris avec leurs tracteurs pour manifester. Dès ce mardi, certains ont déjà pris la route, et la FNSEA annonce plus 1000 tracteurs et 3000 à 4000 agriculteurs mobilisés pour «prendre» la capitale notamment en empruntant le boulevard périphérique, pour converger vers la porte de Vincennes (XIIe).

Dans un communiqué, la préfecture de police met en garde les automobilistes. Elle invite les Franciliens à «différer leurs déplacements, à privilégier les transports en commun et à éviter dans la mesure du possible d’emprunter leur véhicule afin de se rendre» à Paris.

Pour ceux qui doivent malgré tout prendre le volant, la préfecture déconseille d’emprunter le périphérique notamment dans ses tronçons Sud et Est entre la porte Maillot et la porte des Lilas.

Aux abords de Paris, des périmètres délimités seront interdits à la circulation, dans la zone de Saint-Mandé (Val-de-Marne) et Montreuil (Seine-Saint-Denis). Dans la capitale, le secteur entre la place de la Nation, la porte de Bagnolet et la porte de Bercy sera «très difficilement praticable» par les voitures pendant la plus grande partie de la journée.

Les autoroutes convergeant sur Paris seront encombrées par les cortèges de tracteurs, à allure réduite, dès 6 heures du matin. Les parcours qui seront empruntés sont les suivants :

A1 : péage de Chamand (Oise) direction Paris puis échangeur La Chapelle et boulevard périphérique intérieur.

A4 : péage de Coutevroult (Seine-et-Marne) direction Paris puis échangeur Bercy et boulevard périphérique extérieur.

A6 : péage de Fleury-en-Bière (Seine-et-Marne) direction Paris, puis A6a vers porte d’Orléans et boulevard périphérique extérieur.

A10 : péage de Saint-Arnoult (Yvelines) direction Paris, puis A6 direction Paris et A6b vers porte d’Italie et boulevard périphérique extérieur.

A13 : péage de Buchelay (Yvelines) direction Paris, puis échangeur porte d'Auteuil et boulevard périphérique extérieur.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 1 Septembre 2015

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza s’exprime sur la faillite de l’Etat PS dans la gestion du blocage de l’A1 par les gens du voyage

Atlantico : Les événements récents ont été très choquants : fusillade dans un camp de gens du voyage mardi 25 août, faisant 4 morts dont un gendarme, suivie par une émeute de 60 gens du voyage bloquant l'autoroute A1 de vendredi soir à samedi midi, journée classée rouge par bison Futé en plein WE de retour de vacances. Les émeutiers exigeaient l'autorisation de sortie exceptionnelle du fils de l'une des victimes, actuellement emprisonné, afin qu'il puisse assister à l'enterrement. Ils ont donc employé la violence : feux de pneus et de poubelles pour barrer l'autoroute dans les deux sens, alimentés par du bois coupé à la tronçonneuse par les émeutiers.

600 personnes appartenant à la communauté des gens du voyage ont assisté aujourd'hui aux obsèques à Roye. Ce fait divers violent ne donne-t-il pas l'image d'un territoire mal protégé ?

Mathieu Zagrodzki : L'affirmation est un peu choc ! C'est sûr que c'est l'image que cela donne, c'est très médiatique. On a une démonstration de force très spectaculaire. Avec des moyens mis en oeuvre qui ne donnent pas l'impression d'être improvisés. En effet il faut un certain savoir-faire pour couper des arbres et brûler des pneus afin de couper une autoroute, qui plus est l'une des plus fréquentées d'Europe, un week-end de grand retour de vacances en plein mois d'août, alors que de nombreux Belges et Néerlandais qui ont passé leurs vacances dans le sud de la France rentrent chez eux. De là à dire que l'on fait face à des hordes sauvages incontrôlables, l'affirmation est un peu exagérée. Si l'Etat ne les a pas délogés, c'est qu'il ne l'a pas voulu. Quand on parle d'impuissance, comme beaucoup de voix à droite, de Xavier Bertrand à Marine Le Pen en passant par Karoutchi, qui s'élèvent pour dire que l'état est impuissant, il n'est pas impuissant au sens physique du terme. S'il avait été décidé de déloger ces gens-là et de les interpeller, il n'y aurait eu aucun problème de moyens, c'est une question de volonté politique. Au sommet de l'Etat, on a décidé de ne pas intervenir parce que l'on considérait que le coût de cette intervention serait trop élevée par rapport à la nuisance causée par le blocage.

Bruno Beschizza : 60 personnes bloquent une autoroute, allument des feux avec des poubelles, des palettes et des pneus, et l’Etat, la force publique, ne fait rien. Combien de personnes ont été bloquées durant près de 24 heures ? Ce fait divers donne une image d’impuissance de nos forces de police. Je ne les blâme pas. En maintien de l’ordre, c’est le Préfet qui prend la main, et dans les cas les plus sérieux ou médiatiques comme ici, c’est le gouvernement qui est à la manœuvre. Bien pire que l’image, c’est le signal envoyé qui est inquiétant. Je suis élu d’une grande ville de banlieue avec des quartiers difficiles. Demain, 60 personnes provoquent une émeute dans ma ville, est-ce à dire que là encore le Préfet demandera aux forces de l’ordre de ne pas intervenir ? Cette image, ce signal, c’est le renoncement et cela m’attriste car lorsque l’Etat renonce, c’est la République qui recule.

L'autoroute est l'une des plus fréquentées d'Europe. Les touristes se sont trouvés bloqués dans leur voiture pendant des heures, certains pendant la nuit, en raison d'un réseau secondaire lui aussi saturé. L'autoroute a été dégradée, l'impact économique de l'interruption du trafic est patent. Xavier Bertrand a demandé des "sanctions exemplaires" afin de réagir à ce blocage contraire à l'Etat de droit. Face aux enjeux humains et économiques, le gouvernement a-t-il manqué de poigne et de volontarisme?

Bruno Beschizza : C’est une très bonne question car si vous remarquez bien, le gouvernement, et notamment le Ministre de l’Intérieur est très silencieux sur la question. Vous parlez de décision politique, mais je n’ose imaginer que le gouvernement n’a pas voulu prendre de risque d’affrontements dans les médias entre des gens du voyage et des policiers alors qu’au même moment le pouvoir socialiste tenait ses universités d’été. Je veux plutôt croire qu’il y a eu une impréparation de la part de ceux qui dirigent nos forces de sécurité. Une fusillade avec un gendarme mort, c’est assez inquiétant pour qu’on mobilise des forces de sécurité à proximité. L’ont-elles été ? Ce qui est sûr, c’est que le gouvernement joue l’opacité totale face à cet épisode.

Mathieu Zagrodzki : En termes humains, on est dans un contexte post-Sivens ; il y a toujours la crainte que ce genre de situation ne dégénère. Il me semble que c'est le préfet de la Somme qui a dit quelque chose comme "On ne veut pas que la situation dégénère, on préfère privilégier le dialogue", car il y a une forte sensibilité de l'opinion publique envers les bavures et violences policières. Si une situation dégénère face à plusieurs personnes déterminées, car il faut l'être pour bloquer une autoroute, elles ne vont pas se laisser faire si la gendarmerie mobile ou les CRS tentent de les déloger. Donc ils vont devoir employer des flashballs, des matraques, des gaz lacrymogènes ; ça fait mal et ça peut parfois tuer dans la pire des situations, ce que l'on a vu avec les zadistes de Sivens. Alors on bascule dans un autre reproche qui n'est plus celui de l'impuissance mais d'un Etat qui est violent et ne sait pas user de la force de façon proportionnée. Ce n'est pas pour disculper le gouvernement ou le Ministère de l'Intérieur, je trouve également choquant qu'on laisse l'autoroute du nord bloquée par 60 personnes, mais je comprends la logique qui est la leur. Eviter les morts, la casse, des échanges de coups de feu car ils sont peut-être armés. On veut éviter un massacre qui plus est devant les caméras. Il vaut mieux avoir 50 km de bouchons et une déviation plutôt que ça.

Dans ce contexte, on peut dire que l'opinion publique est soit schizophrène soit très polarisée. Il y aura toujours des gens à droite pour reprocher de ne pas les avoir délogés, affirmant que l'Etat est impuissant et ne symbolise plus l'autorité publique comme elle le devrait. S'il y a de la casse, à gauche on va invoquer les bavures policières. C'est toujours politiquement très délicat à gérer. L'autre exemple ce sont les taxis qui bloquent la porte Maillot et le périphérique. C'est la même chose ; si le préfet de police décide de déloger les taxis et d'envoyer tous les véhicules en fourrière, ils le font, la force publique est suffisamment équipée. Mais c'est politiquement délicat. Les agriculteurs pareil. Toutes ces manifestations sont contraires à l'état de droit. Ici en effet nous sommes dans une échelle supérieure de violence par rapport aux agriculteurs ou aux taxis, même s'il y a eu des violences de la part des taxis. Et bloquer une autoroute, à part bloquer les Champs-Elysées ou encercler le palais présidentiel ou bien Matignon, je ne vois pas ce que l'on peut faire de mieux ou de pire. On peut comprendre les revendications des taxis ou des agriculteurs, également des zadistes de Sivens. Là c'est différent, ce sont des gens qui veulent faire pression sur une décision de justice. Pour autant, dans tous ces cas, on n'est pas dans l'état de droit. Entraver la circulation, s'attaquer aux forces de l'ordre, c'est contraire à la loi. Le gouvernement a donc pris une décision consciente. Le ministre a réuni son cabinet, le préfet, le directeur général de la police, le directeur général de la gendarmerie, le patron des CRS, le patron de la gendarmerie mobile. C'est une décision concertée, cela fonctionne ainsi. On consulte les opérationnels sur le terrain, qui ont dû constater que la situation était tendue, les journalistes ne pouvant pas approcher le camp. Si on lance l'assaut pour les déloger ça va complètement dégénérer. A la place, il va y avoir un blocage pendant quelques heures, on va éviter un bain de sang. C'est une "impuissance" volontaire et à mon avis assumée.

Quelles sont les règles relatives à un tel événement? A partir de quel moment l'intervention des autorités devient-t-elle une nécessité ? S'agit-il d'une décision au cas par cas? Quels sont les critères qui doivent emporter les décisions d'intervention?

Bruno Beschizza : Les critères sont simples. En matière de maintien de l’ordre, la règle traditionnelle de l’intervention des forces de sécurité, c’est de ne pas créer un désordre supérieur au trouble existant. Mais force doit rester à la loi. Ce qui est sûr, c’est que la préfecture n’a pas prise la décision seule : à partir du moment où cet événement est suivi en direct par des chaînes d’information en continu, la décision est remontée au plus haut sommet de l’Etat. Et là, effectivement, les règles d’engagement n’existent pas, c’est du cas par cas.

Je ne puis croire que l’Etat ne puisse pas maîtriser une manifestation d’une soixantaine de personnes, fussent-elles potentiellement violentes. La question, c’est pourquoi.

Mathieu Zagrodzki : Oui c'est au cas par cas. Si je devais énumérer toutes les infractions commises durant ce blocage, c'est implacable. Après il y a une question d'opportunité. Parce qu'en France on préfère la casse matérielle à la casse corporelle. Il y a une espèce de doctrine qui ne dit pas son nom, du mort zéro. On a vu Sivens, également Malik Oussékine en 1986, mais en réalité c'est très rare en France. On ne tire pas à balles réelles, parce qu'on ne veut pas que des gens restent sur le carreau. Donc quand on pense que ça va être trop violent, on préfère que l'orage passe. Ensuite c'est un mécanisme de décision très codifié. Ça se fait par la voix hiérarchique, le sous-préfet, le préfet, l'autorité ministérielle, et le cas échant le Premier ministre. La décision de donner l'assaut par une unité de maintien de l'ordre se fait forcément sur ordre de l'autorité civile. Les hommes casqués sur le terrain ne bougeront pas le petit doigt si l'ordre ne leur a pas été donné par l'autorité préfectorale, qui agit au nom du ministre. D'où des scènes habituelles de murs de CRS aspergés de tomates par des agriculteurs en colère et qui ne font que tendre leurs boucliers pour se protéger. On se demande ce qu'ils attendent : mais ils n'ont pas ordre de bouger. Cependant, le point de non-retour réside dans l'intégrité physique des forces de l'ordre elles-mêmes, ou de tierces personnes. Ici par exemple, si les gens du voyage s'en étaient pris aux automobilistes, cela aurait été le devoir de l'état de protéger ces personnes, sans quoi il y a non-assistance à personne en danger. Si ce sont juste des dégradations, on ferme les yeux.

Quels sont les risques d'un tel événement dans l'opinion publique, et quelle image le gouvernement donne-t-il ?

Bruno Beschizza : L’image de ce gouvernement est désastreuse. Je rappelle tout de même que depuis 2012, c’est un tryptique Taubira qui s’est mis en place avec le laxisme judiciaire, impunité institutionnelle et culture de l’excuse. Aujourd’hui, on voit ce que ceci donne comme conséquences. Je rappelle que pendant l’été, Christiane Taubira a proposé d’abolir le délit de conduite sans permis au motif qu’il fallait désengorger les tribunaux. Le gouvernement donne l’image de l’attentisme, et même pire : de la peur. Quand soixante personnes arrivent à mettre en échec l’Etat de droit, c’est inquiétant. Nos policiers et nos gendarmes ont été humiliés. L’Etat est décrédibilisé. Quant aux citoyens, ils ont l’impression d’un véritable deux poids deux mesures. Et les voyous, eux, restent confortés dans l’impunité.

Mathieu Zagrodzki : L'image que cela donne aux citoyens est désastreuse. Voir des gens qui bloquent impunément une voie de circulation et qui à la fin obtiennent gain de cause, comme avec les taxis qui bloquent Paris pendant une journée à l'issue de laquelle le ministre interdit Uberpop... Le citoyen ne peut que se dire que faire pression n'est pas si compliqué. De fait, la décision a sa rationalité, mais l'argument d'un "Etat-PS faible" est très facile à exploiter par la droite.

Source : www.atlantico.fr

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 29 Août 2015

Un habitant de la Mayenne prend en covoiturage un habitant d’Aulnay-sous-Bois en possession de 7kg de cannabis

Interpellé le 11 août dernier après une course-poursuite à Laval, il est mis en examen pour trafic. Son complice court toujours.

« À aucun moment, je n'ai vu de mes yeux la résine de cannabis dans ma voiture. » Sur l'écran de la salle d'audience du palais de justice d'Angers le prévenu ne doute de rien. En détention provisoire depuis le 13 août à la maison d'arrêt de Laval, ce SDF de 31 ans tente de se sortir de l'ornière. Après une interpellation mouvementée difficilement explicable.

Le soir du 11 août, sa manoeuvre intrigue l'équipe de la brigade anticriminalité (Bac) de Laval. Une marche arrière à un rond-point. Peu orthodoxe. Quand les policiers approchent leur véhicule, la 207 prend la fuite, avec deux personnes à bord.

Le conducteur interpellé

Une course-poursuite s'engage dans les rues du chef-lieu mayennais. Le conducteur percute une borne en béton. Pas suffisant pour l'arrêter. Il continue sa fuite folle, malgré une roue désaxée. Tente de disparaître en éteignant ses feux. Après avoir quitté la route de Mayenne, il se gare sur le parking d'un hôtel Formule 1.

Le passager part en courant avec un sac en plastique chargé. Il laisse tomber des pièces que les policiers identifient comme des plaquettes de 100 g de résine de cannabis. Le cabas est retrouvé plus tard. En tout, les enquêteurs mettent la main sur l'équivalent de près de 7 kg de shit. Mais ne coincent pas le fuyard, disparu dans la nature.

Pendant ce temps, le conducteur lâche le volant, descend de sa voiture et s'allonge sur la chaussée. Sur lui, 1 800 € en petites coupures. En garde à vue, il reconnaît une partie des faits. « Avoir conduit sans permis », réitère-t-il devant les magistrats de la chambre de l'instruction de la cour d'appel. Il réfute l'acquisition, la détention et le transport non-autorisé de stupéfiants. « Je ne comprends pas pourquoi on me poursuit pour ça », lâche-t-il.

Sa version de l'histoire paraît à peine croyable. Il serait parti de Reims en direction de Lorient, pour rejoindre sa petite amie. Se serait arrêté le midi à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) pour déjeuner avec une connaissance. Un ami qu'il a accepté d'emmener jusqu'en Mayenne, sans lui poser de question sur son sac. « Il fait beaucoup de covoiturage », confirme son avocat, MeRomain Bouliou.

« Le nez de Pinocchio s'allonge quand il ment », semble regretter l'avocat général Carol Dugast. Qui rappelle que le mis en examen a été condamné treize fois et fait l'objet de quatre fiches de recherche. La chambre de l'instruction qui devait statuer, hier, sur sa demande de remise en liberté, a décidé de le maintenir en détention.

Source : http://www.ouest-france.fr/

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 29 Août 2015

La mosquée d’Aulnay-sous-Bois sous surveillance policière

En république Vigipirate, les centres-villes, bardés de bâtiments officiels et de lieux de culte, croulent sous les effectifs de police. Descendre à la gare RER d’Aulnay-sous-Bois, c’est se débarrasser des treillis et autres fusils d’assaut. «On dit toujours qu’à cause du trafic de drogue, les keufs tournent dans les quartiers, mais là, on les laisse aux Parisiens !» s’amuse l’employé d’une boulangerie de l’allée des Roseaux. Pas tant que ça quand même. Si la présence policière a été allégée, les forces de l’ordre gardent un œil attentif sur la mosquée Acma située à quelques dizaines de mètres. Celle d’Auch (Gers) a été incendiée intentionnellement au lendemain de l’attaque perpétrée dans le Thalys, peut-être en représailles (Libération du 26 août).«Un acte dégueulasse», s’emporte un fidèle, qui soupçonne le gouvernement de réagir a minima, contrairement aux multiples déclarations concernant Ayoub El Khazzani :«Il y a une volonté délibérée de criminaliser les musulmans.» Plus terre à terre, deux mères de familles remontent chez elles. «On n’a pas peur, témoigne l’une. Ici, on a déjà beaucoup de problèmes, alors bon, un de plus un de moins.» Elle marque une pause. «Je dirais même qu’on est plutôt contentes. Il y a plus de policiers, ce qui empêche les jeunes de faire du bruit avec les motos.»

Source journal Libération : article complet à lire en cliquant ici

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 29 Août 2015

L’autoroute A1 bloquée dans les deux sens par les gens du voyage suite à la fusillade de Roye

L'autoroute A1 était bloquée dans les deux sens vendredi soir vers 23h30 (après l'avoir été uniquement dans le sens Paris-Province) par des gens du voyage au niveau de Roye dans la Somme, trois jours après qu'une fusillade a éclaté dans un camp voisin faisant quatre morts dont un nourrisson et un gendarme, et trois blessés.

Dans la nuit de vendredi à samedi vers 0h50, l'axe était toujours coupé dans les deux sens. Des déviations avaient été mises en place.

A la veille d'un week-end de retour de vacances, cette coupure des trois voies d'une des autoroutes les plus empruntées d'Europe pourrait induire de fortes perturbations du trafic. Un bouchon de 7 km était déjà formé à 22h40. «Une soixantaine de gens du voyage ont mis le feu à des pneus et palettes à hauteur du péage de Roye», a déclaré la préfecture de la Somme.

La famille souhaite que le fils d'une des victimes de la fusillade, actuellement incarcéré à Amiens, puisse bénéficier d'une permission de sortie pour se rendre aux funérailles qui auront lieu lundi. La préfète et les gendarmes tentaient de négocier avec la soixantaine de personnes. «La décision dépend des autorités judiciaires. La demande devrait passer demain au niveau du Tribunal de grande instance d'Amiens», a précisé la préfecture qui considérait que la situation était cependant «calme», précisant qu'il n'y «avait pas eu d'affrontements». Un hélicoptère de la gendarmerie survolait la zone.

Mardi après-midi, une fusillade dans un camp de gens du voyage avait eu lieu dans cette commune de 6.200 habitants. Agé de 73 ans, l'auteur présumé des tirs était sous l'emprise de l'alcool lorsqu'il a fait feu, tuant trois membres d'une même famille, une jeune femme de 19 ans, sa fille de neuf mois et son beau-père, ainsi qu'un gendarme âgé de 44 ans, arrivé en intervention.

L'auteur présumé de la fusillade a été mis en examen pour assassinat et tentative d'assassinat et écroué, a indiqué vendredi le procureur d'Amiens. Grièvement blessé, il a été transféré dans une maison d'arrêt où il pourra continuer à recevoir des soins, a précisé le magistrat, sans donner la localisation de l'établissement «pour des raisons de sécurité».

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 29 Août 2015

« Il est vraiment bien cet office de tourisme, on espère qu’il restera ouvert encore longtemps. » Les mots sont du président du photoclub d’Aulnay, et ils illustrent bien le début d’engouement qui touche le lieu. Ouvert depuis deux ans, au cœur du boulevard de Strasbourg, dans le centre-ville d’Aulnay-sous-Bois, l’office de tourisme s’est installée comme un lieu incontournable.

Laure, l’une des deux chevilles ouvrières du projet, explique son rôle : « Les gens viennent pour plein de raisons. Beaucoup pourraient trouver les informations sur Internet, mais ils privilégient le contact humain. »

L’office de tourisme d’Aulnay-sous-Bois a un succès fou !

Les locaux sont assez modestes mais ils ont été bien aménagés, pour pouvoir circuler dans les expositions temporaires, mises en place par l’office de tourisme. « On expose un artiste local par mois. Ça donne de la vie au lieu », explique Olivier, l’autre artisan du projet. En août, c’est Roland Fuente qui proposait les aventures de son personnage Patateman. En septembre, une photographe de la ville présentera ses compositions abstraites. Ce matin du mois d’août, il n’y avait pas beaucoup de passages mais une dame est entrée quand même demander un plan de la ville. Elle est repartie satisfaite : « On trouve vraiment de tout chez vous ».

L’office de tourisme d’Aulnay-sous-Bois a un succès fou !

L’idée est aussi de jouer le rôle de lieu de sociabilisation, de rencontre », développe Laure. Le lieu est ouvert tous les jours mais ferme le lundi pendant l’été. Toutes les informations sur le patrimoine culturel mais aussi sur les espaces verts ou l’activité associative et culturelle sont disponibles. « On a passé la première phase qui était de se faire connaître. Aujourd’hui on fait partie de la géographie locale », explique Olivier. L’objectif est aussi de capter la clientèle des six hôtels de la ville et de la faire consommer localement. Un guide touristique et un site Internet sont en passe d’être édités, afin de s’imposer définitivement dans le paysage aulnaysien.

Office de tourisme d’Aulnay-sous-Bois, 23, boulevard de Strasbourg. Tél. 01.48.68.29.11

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 26 Août 2015

Des milliers d’armes saisies par la douane à Aulnay-sous-Bois et Aubervilliers

Ils pensaient trouver des contrefaçons, ils ont découvert des armes par milliers ! En juin et juillet, la brigade des douanes du Blanc-Mesnil a saisi plus de 5 000 couteaux papillons, bombes lacrymogènes, matraques télescopiques chez des grossistes asiatiques.

Ces contrôles interviennent dans le cadre d’une « veille » d’opérateurs dont l’activité est normalement liée au textile.

Le premier contrôle a eu lieu en juin dans une société d’Aubervilliers. Rebelote en juillet. Une deuxième saisie a eu lieu dans la même entreprise ! Et lorsque les douaniers poursuivent leurs contrôles dans l’entrepôt de l’enseigne, situé lui à Aulnay-sous-Bois, ils confisquent un millier de ces armes en plus. Le gérant a été bien en peine pour produire les documents justifiant l’acquisition et la détention régulière de ces objets.

Un mois plus tard, le 21 juillet, dans une autre entreprise implantée elle aussi à Aubervilliers et Aulnay-sous-Bois, les douaniers découvrent cette fois 3 000 bombes au poivre. Il s’agit d’aérosol de gaz incapacitant. Les deux entreprises n’auraient pas de lien entre elles.

C’est désormais au Service national de la douane judiciaire de mener l’enquête. « On ne s’attendait pas à un tel volume », concède Franck Marie, adjoint au directeur régional de Paris Est. Depuis le début de l’année 2015, 16 000 armes en tout genre ont été saisies par ce service.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 24 Août 2015

Un habitant d’Aulnay-sous-Bois frappe un policier dans le métro

Peu après 17h, mercredi 19 août 2015, à Rouen (Seine-Maritime), les contrôleurs du Réseau Astuce verbalisent un usager du métro. Les faits se déroulent dans le couloir, à la station Palais de justice. Le jeune homme, âgé de 23 ans et domicilié à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), s’énerve et commence à taper sur l’escalator (en panne !), sur des barrières métalliques et du mobilier urbain. Présents sur les lieux, les fonctionnaires spécialisés dans les transports en commun interviennent alors et demandent au mis en cause de se calmer.

Deux jeunes femmes s’interposent

Il a continué malgré les demandes des policiers… et des jeunes filles âgées de 16 et 20 ans qui l’accompagnent. Mais, au moment où les forces de l’ordre décident d’interpeller le voyageur irascible, ses deux amies tenteront de s’interposer… et le jeune homme décochera un coup de poing à l’un des policiers, qui est touché à l’arcade sourcilière », relate un enquêteur.

Les deux jeunes femmes se montrent alors elles aussi « agressives » et insultent les policiers. La plus jeune, domiciliée à Fort-de-France (Martinique) est la jeune sœur du voyageur sans titre de transport et la seconde est domiciliée à Darnétal près de Rouen. Finalement interpellés et menottés, les trois ont été placés en garde à vue.

Source : http://www.normandie-actu.fr/

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 6 Août 2015

Le terroriste présumé d’Aulnay-sous-Bois Mehdi Belhoucine serait mort en Syrie

126 Français ont trouvé la mort en Syrie principalement aux côtés des djihadistes d'Al-Qaïda et de l'organisation État islamique. À ce décompte, arrêté début juillet par le ministère de l'Intérieur, pourrait bien s'ajouter le décès de Mehdi Belhoucine, originaire d'Aulnay-sous-Bois qui aurait succombé à ses blessures consécutives à une explosion. Il aurait contracté une septicémie.

Comme son frère aîné Mohamed – déjà condamné et également en Syrie avec femme et enfant –, le jeune djihadiste était connu pour ses convictions radicales. Il avait escorté Hayat Boumeddiene, 27 ans, mariée religieusement, mais non civilement à Amedy Coulibaly lorsqu'elle a quitté l'Hexagone pour Istanbul via Madrid le 2 janvier, soit cinq jours avant que les frères Kouachi et son "mari" coordonnent leurs actions mortifères contre la rédaction de Charlie Hebdo à Paris et le magasin Hyper Cacher de la porte de Vincennes. La jeune femme était enceinte d'Amedy Coulibaly. Elle a vraisemblablement accouché depuis.

800 jeunes Français combattant de l'EI

Avant de se lancer dans une carrière de djihadiste, Mehdi Belhoucine était étudiant en génie mécanique et avait été un temps employé par la mairie d'Aulnay-sous-Bois comme animateur socio-culturel.

Selon les services de renseignements, près de 800 jeunes Français se trouveraient entre l'Irak et la Syrie, dont 500 dans des zones de combat. Selon nos informations, entre 80 et 100 militants radicalisés font également l'objet d'une stricte surveillance en France. Ils sont susceptibles de passer à l'acte d'un jour à l'autre.

Source : http://www.lepoint.fr/

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 24 Juillet 2015

Arrestation d’un voleur à la roulotte à Aulnay-sous-Bois

Jeudi, les policiers d’Aulnay ont mis un terme aux activités d’un voleur à la roulotte très productif. Au cours de sa garde à vue il a avoué 86 vols. Certaines nuits, il pouvait fracturer une dizaine de véhicules. Tous dans les secteurs du centre-ville et du Vieux-Pays d’Aulnay sur une très courte période, fin mai-début juin.

La police le soupçonne d’une centaine de vols au moins.

Le commissariat a recensé 105 dépôts de plaintes durant ces semaines. Le voleur qui n’avait pas de domicile fixe avait déjà revendu la plupart de son butin. Les forces de l’ordre ont retrouvé quelques objets dans les parties communes d’un immeuble du quartier du Gros-Saule.Il devrait être déféré ce soir au parquet.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 23 Juillet 2015

32 palettes de bouteilles de soda volées et retrouvées dans la zone d’activités de la Fosse à La Barbière à Aulnay-sous-Bois

Mardi, vers 22 heures, trente-deux palettes de bouteilles de soda se volatilisent de l’entrepôt d’une entreprise de transport de Garonor à Gonesse (Val-d’Oise). Elles réapparaîtront le lendemain, dans un hangar à Aulnay-sous-Bois, la ville voisine.

Ce tour de passe-passe sera résolu par hasard.

Il se trouve que le soir du vol, des policiers sont en surveillance dans la zone d’activités de la Fosse à La Barbière à Aulnay. Et ils remarquent un manège étrange : trois hommes s’affairent devant un entrepôt de la rue Louis-Saillant. L’un d’eux est resté dans la rue et semble aux aguets. Les policiers restent en planque. Au petit matin, deux des suspects reviennent. Ils sont interpellés alors qu’ils pénètrent sur le site. À l’intérieur de l’entrepôt, les policiers découvrent la totalité des trente-deux palettes volées dans le Val-d’Oise. L’un des hommes interpellés, âgé de 40 ans, n’est autre que le gérant de cet entrepôt de logistique. Il est accompagné d’un jeune homme de 25 ans. Les deux complices aidés d’un troisième avaient déchargé la veille les boissons qu’ils venaient de dérober à Gonesse. Les palettes de boissons, destinées à l’enseigne Auchan, étaient déjà installées sur une remorque. Les voleurs n’ont eu qu’à venir avec un camion et y accrocher la cargaison. Le gérant et son complice présumé ont été placés en garde à vue. Ils devraient être déférés au parquet de Bobigny dans la soirée.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 22 Juillet 2015

Un portable d’alerte sauve la vie d’une mère séquestrée à Aulnay-sous-Bois

« Le portable d'alerte a probablement sauvé la vie de cette femme », s'exclame avec soulagement Ernestine Ronai, responsable de l'Observatoire de la violence envers les femmes en Seine-Saint-Denis. Samedi, vers 19 heures, la ligne dédiée aux femmes battues retentit chez Mondial Assistance.

Au bout du fil, une voix paniquée réclame de l'aide. L'interlocutrice raconte que son ex-mari l'a enfermée depuis cinq jours chez elle à Aulnay-sous-Bois, avec ses trois enfants. Aussitôt l'opérateur répercute l'appel, comme le protocole « Femmes en très grand danger » le prévoit, sur le canal dédié de la police.

Une patrouille part aussitôt sur les lieux. Le mari violent est interpellé. Sa femme et ses enfants enfin délivrés. Mis une nouvelle fois à l'épreuve des faits, ce dispositif, imaginé par l'Observatoire en 2009 a parfaitement fonctionné. « Il est maintenant bien connu de tous, magistrats, policiers, travailleurs sociaux, associations... Nous avons réussi à créer un maillage protecteur pour ces femmes », explique Ernestine Ronai.

Ce téléphone spécial équipé de trois numéros enregistrés est attribué uniquement aux femmes victimes de conjoints très violents. Selon un protocole bien rodé. L'association SOS Victimes 93 évalue les femmes « à risques ». Après enquête le procureur de la République confie le précieux téléphone.

Son concubin condamné à plusieurs reprises

A Aulnay, cette jeune femme de 31 ans avait été équipée du portable il y a un mois. Son concubin a été condamné à plusieurs reprises pour des violences conjugales et des menaces de mort. « Il était sous le coup d'un sursis et avait interdiction d'entrer en contact avec elle », indique le Parquet. Le service pénitentiaire d'insertion et de probation (SPIP) chargé de l'évaluer pendant son contrôle judiciaire avait souligné sa dangerosité. Un signalement sera effectué auprès d'un magistrat qui aboutira à l'attribution du téléphone. « Ce dispositif est très rapide », insiste Ernestine Ronai. Le maniement du téléphone est simple. Il comporte un bouton d'appel d'urgence préprogrammé.

A Aulnay, la parade aurait pu échouer. Le geôlier avait pris soin de confisquer le portable et l'avait dissimulé dans l'appartement. Ce n'est qu'au bout de cinq jours que la victime parviendra à mettre la main dessus et à donner l'alerte.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 20 Juillet 2015

Vol de 200 mètres de câble en cuivre au parc du Sausset à Aulnay-sous-Bois

Les voleurs de câble du parc départemental du Sausset, situé à cheval sur les communes d'Aulnay et de Villepinte, n'ont pas lésiné pour parvenir à leurs fins. Pour pénétrer dans ce lieu fermé pendant la nuit, ils ont enfoncé la grille avec une voiture-bélier, une Ford en l'occurrence. L'objectif était de prélever des câbles électriques enfouis sous quelques mètres de terre.

Des trous de 5 m de profondeur

Ils ont dû creuser sur 4 à 5 m de profondeur pour trouver les fils de cuivre. Une opération qui n'a pu être menée qu'« à l'aide d'un engin de chantier, estime un policier. Deux grands trous, distants de 200 m ont été effectués, les 200 m de câble ont été sectionnés et tirés », explique-t-il. Ce n'est qu'au petit matin que les dégâts seront découverts. La police appelée pour un véhicule incendié devant le parc tombera sur la Ford « bélier ». En inspectant le site, les fonctionnaires découvrent les deux excavations dans le sol. Les câbles tout comme le matériel employé en revanche avaient disparu. Une autre tentative avait eu lieu quelque temps auparavant. Les auteurs n'étaient pas parvenus à localiser les réseaux.

Le conseil général, propriétaire du parc, a porté plainte. Il y a tout juste un an, un vol identique s'était produit à Aulnay-sous-Bois. Quelque 70 000 € de câble avaient été dérobé dans le parc Robert-Ballanger, se souvient le maire (LR), Bruno Beschizza. « Il avait fallu tout réparer dans la journée, le soir on tirait le feu d'artifice », poursuit-il. Les auteurs n'ont jamais été retrouvés.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 20 Juillet 2015

Aulnay-sous-Bois : une femme séquestrée par son ex-mari pendant 5 jours

Il avait tourné la clé dans la serrure et mis le trousseau dans sa poche. A l'intérieur de l'appartement, situé à Aulnay-sous-Bois, se trouvait son ex-compagne. Bloquée depuis le 14 juillet, au cinquième étage, dans son propre logement, cette femme de 31 ans sera finalement délivrée par la police samedi soir, au bout du cinquième jour de captivité.

C'est en tout cas le récit incroyable qu'elle livrera aux fonctionnaires venus la secourir.

Ce n'est pas la première fois que cette jeune femme subissait les violences de son ex-concubin. Cet homme de 33 ans avait été condamné à de la prison ferme pour des violences conjugales graves. Ce qui avait permis à son ex-compagne de bénéficier du programme départemental Femme en très grand danger, mis en place par l'Observatoire des violences faites aux femmes. Un téléphone portable d'alerte est mis à leur disposition sur décision du parquet de Bobigny.

En Seine-Saint-Denis, il est remis sous des conditions très précises. Il s'agit de personnes dont la vie est menacée. 172 femmes y ont eu accès depuis 2009. Au moindre incident, elles le déclenchent.

C'est grâce à ce téléphone que la jeune femme d'Aulnay émettra son appel de détresse samedi vers 19 heures. Le téléphone est activé automatiquement grâce à un numéro enregistré. L'appel parvient d'abord à Mondial Assistance qui le répercute auprès des forces de police sur une ligne téléphonique dédiée. L'ex-concubin sera interpellé dans la foulée, non sans mal après avoir menacé de se suicider. Son audition devra permettre de dissiper certaines incohérences dans cette nouvelle affaire de violences conjugales.

Pourquoi la victime n'a-t-elle appelé la police qu'au bout de cinq jours de captivité ? Elle aurait indiqué que son geôlier présumé avait dissimulé l'appareil. L'ex-mari devra aussi expliquer sa présence au domicile de la jeune femme alors qu'il avait interdiction formelle de l'approcher.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 16 Juillet 2015

L’hôtel B & B à Aulnay-sous-Bois évacué en pleine nuit après un incendie

L’hôtel B & B d’Aulnay, situé 1, rue Leonard de Vinci, a été en partie endommagé par un incendie dans la nuit de mardi à mercredi. Quatre départs de feu ont eu lieu vers 4 heures du matin, ce qui accrédite la thèse d’un incendie d’origine criminelle.

Deux chambres, au rez-de-chaussée et au 1er étage, ainsi que la laverie, installée dans un autre bâtiment, ont été détruites par les flammes. Les matelas d’une chambre du 3e ont également pris feu. Les 69 occupants de l’hôtel ont été évacués le temps de l’intervention des pompiers. Parmi eux, 45 enfants et ados anglais, de 10 à 15 ans, et leurs 8 accompagnateurs. Ils ont été hébergés dans l’urgence à l’école des Petits Ormes, avant d’être réorientés vers un autre hôtel.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 14 Juillet 2015

Attaque à la hache près de la gare  à Aulnay-sous-Bois

Violente rixe lundi soir vers 20 h 45 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Pour un motif encore inconnu une rixe a éclaté entre deux homme rue du 11-Novembre, dans le secteur de la gare. Lorsque la police est arrivée l’un des hommes venait de porter des coups de hache sur la main du second.

La victime, âgée de 34 ans, a été très grièvement blessée et transportée à l’hôpital Pompidou à Paris. Son pronostic vital était engagé lundi soir.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 9 Juillet 2015

Saisie d’armes, cocaïne et héroïne au Gros Saule à Aulnay-sous-Bois

Un pistolet automatique de calibre 11,43, un revolver à grenaille, trois cartouches de calibre 7,65, deux cartouches à grenaille, 29 bonbonnes de cocaïne et 10 bonbonnes d’héroïne… Mercredi après-midi, les policiers du commissariat d’Aulnay-sous-Bois ont réalisé une jolie saisie alors qu’ils effectuaient une perquisition chez un suspect domicilié au 1, allée du professeur Monod, dans le quartier du Gros Saule.

Cet homme avait au départ été placé en garde à vue pour recel de vol. En arrivant à son domicile, les policiers ont découvert un sac contenant de la cocaïne et de l’héroïne. Ils ont également récupéré les clés d’un véhicule de marque Renault.

Après avoir localisé la voiture, garée à proximité, dans la rue, ils ont procédé à sa fouille. C’est là, dissimulées dans le coffre, qu’ils ont retrouvé les armes et les munitions.

Rapidement identifié, le propriétaire de la voiture a été à son tour arrêté et placé en garde à vue mercredi au commissariat d’Aulnay-sous-Bois pour détention d’armes prohibées.

Le premier suspect est quant à lui toujours soupçonné de recel de vol, mais aussi désormais de trafic de stupéfiants. Les deux hommes étaient ce jeudi toujours en garde à vue. Le commissariat local reste chargé de la poursuite des investigations.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 9 Juillet 2015

16000 appels non urgents reçus par les pompiers au plus fort de la canicule

16 000 appels « ne relevant d'aucune nécessité vitale » ont été reçus par les pompiers de Paris dans la nuit de vendredi à samedi, au plus fort de la canicule. Ces appels abusifs ont provoqué la saturation du centre de traitement de l'alerte de la BSPP (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris), située dans la caserne de la porte de Champerret (XVIIe) « mettant ainsi en danger ceux qui avaient besoin d'une intervention rapide des moyens de la Brigade ».

Parmi ces appels abusifs émanant de Paris et des départements de la petite couronne, les pompiers ont eu au téléphone une personne qui avait « des difficultés pour éteindre sa bougie parfumée », une autre leur signalant une fuite de sa chasse d'eau, ou encore un habitant coincé dans un ascenseur à l'arrêt au rez-de-chaussée, leur intimant d'intervenir « au plus vite car il avait faim »... Les pompiers rappellent que le 18 et le 112 sont des numéros d'appels d'urgence uniquement.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 3 Juillet 2015

Assistantes sociales à Aulnay-sous-Bois : le maire Bruno Beschizza attaque le département !

Le torchon brûle entre la mairie d’Aulnay-sous-Bois et le conseil départemental. Le 10 décembre dernier, Bruno Beschizza (LR) avait annoncé sa volonté de ne plus financer les assistantes sociales de sa ville ainsi que les centres de planification familiale. Depuis 1996 et la signature d’une convention avec le département, la ville gère un service d’assistantes sociales (elles sont aujourd’hui 22, dont dix contractuelles). Le conseil général assume 80 % des dépenses de personnel. Le reste, ainsi que les loyers et dépenses courantes, est à la charge de la municipalité. Idem pour les trois centres de planification familiale.

Bruno Beschizza avait prévu un délai de six mois, qui devait servir à transférer l’intégralité de service ces compétences vers le département, qu’il juge responsable de l’action sociale. Mais dans ce laps de temps, rien n’a changé. Stéphane Troussel, président PS du conseil départemental conteste tous les arguments du maire d’Aulnay. Hier matin, c’est donc offensif que Bruno Beschizza s’est présenté devant la presse. En présence de l’avocat de la ville mais aussi des assistantes sociales, qu’il avait conviées à une réunion juste avant, il a annoncé sa volonté de saisir le tribunal administratif. Il veut attaquer pour « excès de pouvoir du département ».

Stéphane Troussel refuse ce « tour de passe-passe » et critique la volonté du maire d’« habiller sa décision de faire des économies sur le dos des plus fragiles et d’accuser le département ». Pour couronner le tout, les deux hommes semblent avoir du mal à se voir, et ce alors que Bruno Beschizza est conseiller départemental. Celui-ci indique qu’il a sollicité un rendez-vous avec Stéphane Troussel de longue date mais qu’il ne lui a été accordé que le 20 juillet, à une semaine de la fin effective de la convention qui unit sa ville et le département. « C’est du foutage de gueule, on ne négocie pas en sept jours », s’emporte-t-il. Stéphane Troussel dit n’avoir reçu de demande qu’il y a deux semaines. « Le département maintiendra son action », poursuit-il en reconnaissant qu’il y a un risque que le service donné aux gens soit de moins bonne qualité.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 30 Juin 2015

Mobilisation des salariés de l’Oréal à Aulnay-sous-Bois pour le Citizen day

Jeudi, près de 6 000 collaborateurs de L'Oréal participeront au Citizen day. Cette journée de solidarité, créée il y a six ans, est déployée dans 62 pays. L'an passé, 24 000 collaborateurs se sont mobilisés auprès de 32 000 bénéficiaires dans le monde. Au programme en 2015 : lutte contre la précarité, l'exclusion et le handicap, pour l'environnement, l'action pour l'emploi et la solidarité intergénérationnelle. En Seine-Saint-Denis, où le géant du cosmétique est présent sur deux sites (Saint-Ouen et Aulnay), des actions seront menées à Aubervilliers, Pantin, Noisy-le-Sec, Rosny, Saint-Ouen, Tremblay, Aulnay et Montfermeil.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 11 Juin 2015

Polémique sur la présence de Valérie Pécresse à la mairie d’Aulnay-sous-Bois pour le congrès des élus portugais

Le congrès des élus portugais qui s'est réuni à la mairie d'Aulnay-sous-Bois le 31 mai aurait peut-être eu moins de publicité sans la présence de Valérie Pécresse. Localement, tout au moins. Le blog Monaulnay.

com s'emeut en effet de cette invitation et se demande si l'hôtel de ville n'a en somme pas été privatisé pour un meeting politique.

Tapis rouge, petits fours, magnums de pétillant... La description sur Monaulnay.com est détaillée, sous la plume d'Hervé Suaudeau, militant associatif et citoyen écolo. Il n'y était pas, mais il lui a suffi de se promener sur les réseaux sociaux pour avoir quelques clichés de la réunion à laquelle participait Valérie Pécresse, qui brigue la présidence de la région Ile-de-France pour Les Républicains (ex-UMP) en décembre.

« Ce n'est pas à ce titre qu'elle était conviée, assure Paulo Marques, président de Civica, l'association des élus portugais, et conseiller municipal de la majorité à Aulnay-sous-Bois, en charge des relations internationales. Elle intervenait en tant qu'ancienne ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche au sujet de la coopération entre la France et le Portugal. Civica réunit des élus de toutes tendances politiques, nous ne pourrions pas nous permettre de ne pas avoir de diversité politique. » Et d'ajouter que rien n'a été déboursé par la ville. « Le tapis rouge, le traiteur... tout a été payé par Civica, jusqu'au pupitre ! » tient à préciser Paulo Marques.

« Ça n'était pas un congrès des Républicains ! » martèle Bruno Beschizza, un brin agacé de devoir répondre à des supputations d'un blog. Et de rappeler que la mairie « prête du matériel ou des salles pour d'autres partis ».

« Les associations savent désormais qu'elles peuvent louer la mairie », présume Hervé Suaudeau.

Tout dépend des demandes... « Civica n'est pas n'importe quelle association, répond-on dans l'entourage du maire. On parle ici d'un congrès d'élus, avec des secrétaires d'Etat étrangers... On n'allait quand même pas les recevoir dans une salle municipale. »

A la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), on rappelle qu'il est « courant que des maires prêtent gratuitement des locaux » « et tant qu'elles le font avec équité, il n'y a pas de souci ». « Un candidat à une élection peut participer à une réunion, précise encore une porte-parole de la commission, à condition qu'il ne parle ni de l'élection, ni de son programme, sinon, on doit le retrouver sur son compte de campagne. » Le maire comme Paulo Marques assurent que non.

Les proches soutiens de Valérie Pécresse n'ont en tout cas pas manqué l'occasion de diffuser des photos rebasculées sur le compte de campagne Twitter de leur candidate.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 20 Mai 2015

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza rentre au bureau politique de l’UMP

Son engagement sarkozyste a fini par payer. Bruno Beschizza, maire UMP d’Aulnay-sous-Bois et conseiller départemental, vient de rentrer officiellement au bureau politique de l’UMP, futur « Les Républicains », qui passe de 250 à 110 membres.

Il fait ainsi parti d’un collège de 20 élus non parlementaires et il est l’unique représentant de la Seine-Saint-Denis. D’après le journal le Point, Nicolas Sarkozy, le président du mouvement, souhaiterait que cette nouvelle composition se fasse, non pas en fonction du soutien aux uns ou aux autres, mais selon le poids politique de chacun. Bruno Beschizza devrait aussi, après le congrès, récupérer la délégation à la sécurité.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 30 Avril 2015

Aulnay-sous-Bois : une conductrice de 14 ans percute un camion de pompiers et prend la fuite

Une adolescente de 14 ans au volant d'une voiture a percuté mercredi soir un camion de pompiers à Montreuil (Seine-Saint-Denis) avant de prendre la fuite, abandonnant ses deux amies blessées dans le véhicule, a-t-on appris jeudi de sources concordantes. Vers 20h10, la jeune fille, qui avait vraisemblablement emprunté la voiture familiale, a d'abord refusé la priorité boulevard Théophile-Sueur avant «de percuter un camion de sapeurs-pompiers qui circulaient avec ses avertisseurs sonores et lumineux», déclare une source proche de l'enquête. Selon une source policière, l'adolescente est ensuite sortie du véhicule et a pris la fuite à pied, abandonnant ses deux amies blessées. Les pompiers, qui transportaient un homme alcoolisé, ont «dû sortir de leur camion pour désincarcérer l'une des deux et lui porter les premiers secours». Âgée de 21 ans, la jeune femme souffre d'une plaie à la tête et a été hospitalisée mais ses jours ne sont pas en danger. Blessée moins gravement, la seconde, 14 ans, a «des douleurs cervicales», a précisé cette source. La conductrice, originaire d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), n'était pas connue des services de police.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal