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Publié le 30 Novembre 2013

autoecole.jpgBoulevard périphérique, hier matin. Quatre cortèges de moniteurs d’auto-écoles, partis des Yvelines, de l’Essonne, de Seine-Saint-Denis et de Seine-et-Marne, ont convergé vers les portes de Paris puis provoqué des ralentissements sur le périphérique, entre les Portes de Bagnolet et d’Auteuil. Les véhicules — 150 selon les organisateurs, 90 selon la police — ont ensuite roulé jusqu’à la place Vauban à Paris. En cause l’insuffisance du nombre d’inspecteurs du permis de conduire et leur grève illimitée, qui représenterait une menace pour la survie des auto-écoles.

Source : Le Parisien

 

 

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Publié le 29 Novembre 2013

routiers-ecotaxeLes routiers de l’Organisation des transports routiers européens (OTRE) remettent le couvert! Et ils préviennent que demain, « les blocages d’autoroutes seront d’une autre envergure que les opérations escargot du 16 novembre ». Dans leur ligne de mire, toujours la fameuse écotaxe dont ils demandent l’annulation pure et simple au gouvernement.   Ce sont donc quelque 500 camions qui prendront la route à 8 heures, pour se rendre sur les lieux des trois barrages filtrants qui seront installés respectivement sur les autoroutes A4, A1 et A6, condamnant ainsi les principaux accès vers la capitale. Les dispositifs qui prendront effet vers 9 heures, ne seront pas levés avant 18 heures. Il s’agit de barrages filtrants qui laisseront passer les voitures, mais barreront la route aux poids lourds.

Une autre mobilisation la semaine prochaine

« Sur l’autoroute A4, les routiers se regrouperont à Croissy-Beaubourg (Seine-et-Marne) et prendront la route en direction de Paris, explique Jean-Marc Rivera, secrétaire général adjoint de l’OTRE nationale. Le barrage filtrant sera placé à hauteur de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), au droit de la sortie N° 9. » Pour ce qui est de l’A1, « les camions se regrouperont à Longueil-Sainte-Marie (Oise) et bloqueront l’autoroute un peu plus tard à la hauteur de l’échangeur avec l’autoroute A3, précise Jean-Marc Rivera. Enfin sur l’A6, le regroupement aura lieu à Bondoufle (Essonne), dans la zone industrielle La Marinière et le barrage filtrant sera placé à Villabé, à hauteur de la station-service ». Exceptionnellement, les camions bloqueront le sens Paris province, en raison du trop grand risque d’accident dans le sens province Paris, à cause de la présence de travaux actuellement en cours.

Cette journée de mobilisation ne pourrait bien être qu’une entrée en matière, en fonction du succès de l’opération. D’autres routiers appartenant au Collectif Spinelli, de défense et de sauvegarde des transports français, qui fédère des employeurs et des chauffeurs, annoncent déjà le début possible dès le lundi 2 décembre d’un mouvement beaucoup plus dur et durable. « Cela se traduira lundi par deux mouvements Nord Est et Sud Est, révèle leur porte-parole, Yann Viguie. D’abord sur l’A15, un premier barrage filtrant sera déployé entre Cergy-Pontoise (Val-d’Oise) et Gennevilliers (Hauts-de-Seine). L’un des objectifs étant le pont de Gennevilliers. Sur l’A4, les camions démarreront de Croissy-Beaubourg (Seine-et-Marne) en direction de Villiers-sur-Marne et Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) avec des projets sur l’A86 et une approche de Rungis. »

Ce matin, dès 6 heures, ce sont les agriculteurs d’Ile-de-France qui se mobilisent contre l’écotaxe. Ils se rendront en cortège à Paris en passant par l’A 13, l’A 6, la N104, l’A 4, et le périphérique intérieur, mais promettent-ils, « sans heurts ni bouchons. » « Très clairement, on manifeste sur le thèmelaissez-nous travailler, ce n’est pas pour empêcher les autres de se rendre à leur travail », explique Luc Smessaert, président de la Fédération régionale nord bassin parisien (FRNPB) et membre du bureau national de la FNSEA, le principal syndicat agricole.

Source : Le Parisien

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Publié le 28 Novembre 2013

NEIGE-VERGLAS.JPGIl est activé depuis bientôt deux semaines, en mode veille mais prêt à être dégainé avec ses 16000 t de sel et ses 70 engins. Le préfet Jean-Paul Kihl, secrétaire général de la « Zone de défense et de sécurité » (SGZDS) de Paris, a présenté hier le « Plan neige et verglas en Ile-de-France » (PNVIF), qui coordonne jusqu’au 15 mars les interventions des multiples acteurs publics et privés des routes que l’on rêverait de ne jamais voir coupées, jamais bloquées pour deux trois flocons de neige inattendus. Or « selon l’heure et le jour où survient un épisode neigeux, l’impact sur la circulation peut être rapidement très important », rappelle Jean-Paul Kihl, « le plan peut alors être élevé au niveau supérieur à tout moment selon ce contexte ».

La N118, le maillon faible de la circulation

La veille est assurée par le Centre régional d’information et de coordination routière (CRICR), la direction des routes d’Ile-de-
France et les prévisionnistes de Météo France. Dans les sous-sols de la préfecture de police de Paris, la « cellule météo » compte même des spécialistes en « météorologie routière ». Lorsque qu’apparaissent des incertitudes sur l’intensité de l’épisode annoncé, le PNVIF prend des mesures sur le trafic, en premier lieu celui des camions. Les autorités ont retenu les leçons de mars dernier, où un coup de fièvre sur la météo avait paralysé Roissy et plus de 350 poids lourds. « Ce plan s’améliore d’année en année et s’enrichit du passé. Désormais le stockage des poids lourds se fera plus en amont sur le nord de Paris, de façon à désengorger Roissy », assure le préfet. En même temps sont prépositionnés des moyens de dépannage lourds, « pour permettre de réguler le plus vite possible », précise-t-il.


En niveau 3, le « pilote » actionne tous les outils. Y compris la fermeture radicale de la N118, à l’Ouest de Paris. Le maillon faible de la circulation toute saison. « C’est la première fermée en cas de nécessité car elle est particulièrement exposée, avec une traversée en point haut, sur le plateau de Saclay notamment, et une très forte fréquentation », justifie le préfet. En niveau 3, policiers et gendarmes veilleront aussi au « bon respect » des restrictions de circulation, à commencer par les poids lourds, aux 81 points stratégiques cartographiés sur l’Ile-de-France, dont 31 réputés très sensibles. Ici comme sur le périphérique ou sur le réseau RATP, « on ne peut pas empêcher la neige de tomber, insiste Jean-Paul Kihl, mais l’objectif est que l’impact en soit le moins important possible ».
Les usagers peuvent aussi s’informer au numéro vert 0800 100200, et sur les sites www.bison-fute.gouv.fr et www.sytadin.fr 

Source : Le Parisien

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Publié le 28 Novembre 2013

La nouvelle carte des cantons vient d’être dévoilée par le ministère de l’Intérieur en vue des élections de 2015. A cette occasion les cantons nord et sud d’Aulnay-sous-Bois devraient fusionner en un seul ! Le Parisien de ce matin présente ci-dessous les principaux éléments de la réforme…

cantons-93.jpg

Après la réforme des circonscriptions en 2010, c’est autour de la carte des cantons d’être redessinée dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales. Un exercice mené par le ministère de l’Intérieur et dont le but est notamment de rééquilibrer la taille des cantons en fonction de leur population.   En mars 2015, les électeurs vont élire deux conseillers départementaux par canton. En Seine-Saint-Denis, ce thème particulièrement délicat n’a pas manqué de faire réagir l’opposition. La présentation de cette nouvelle carte aura lieu le 12 décembre prochain. Voici les principaux changements.


De 40 à 21 cantons

Leur nombre est donc quasiment divisé par deux. En revanche, les territoires ont été agrandis. Et pour assurer une majorité stable, il a été décidé de choisir un chiffre impair.

Parité obligatoire

Sur chaque canton, la loi oblige les partis politiques à proposer comme candidat un homme et une femme. « Ce qui permettra d’avoir donc 50% de femmes dans l’assemblée contre 25% aujourd’hui, se réjouit Stéphane Troussel, le président PS du conseil général. Sur l’ensemble du territoire, les assemblées départementales tournent aujourd’hui autour de 13% de femmes ».

Deux conseillers de plus

Il y en a actuellement 40. Il y en aura 42 en mars 2015. Pour autant, la Seine-Saint-Denis est bien plus mal lotie que les autres départements de petite couronne. « Les Hauts-de-Seine en comptent 45 pour un nombre d’habitants similaires au nôtre et le Val-de-Marne compte 49 élus pour 200000 habitants de moins, regrette Stéphane Troussel. Avec la loi, on gagne deux personnes de plus ».


Moins d’écart de population entre cantons

La loi prévoit une différence de plus ou moins 20% du nombre d’habitants entre les cantons. « Il s’agit de rééquilibrer les territoires, justifie le président du conseil général. Actuellement, le plus petit canton compte environ 20000 habitants contre environ 70000 pour le plus gros, soit un rapport de 1 à 3,4. Avec la réforme, ce rapport est ramené de 1 à 1,5 ». Ainsi le plus petit canton de Seine-Saint-Denis sera celui de Blanc-Mesnil avec 58578 habitants et le plus grand, celui de Bobigny avec 87225 habitants.

Moins de villes fractionnées

Dans le système actuel, huit villes du département (Saint-Denis, Montreuil, Bondy, Aulnay-sous-Bois, Aubervilliers, Drancy, Pantin, Saint-Ouen) sont divisées en deux voire en trois cantons. A l’avenir, d’après le nouveau découpage, ces communes ainsi fractionnées ne seront plus que quatre : Saint-Denis, Montreuil, Drancy, Epinay.

De nouveaux noms

Désormais on ne parlera plus de conseil général mais d’un conseil départemental composé de conseillers départementaux.

Source : Le Parisien

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Publié le 28 Novembre 2013

logo-ile-de-france.jpgParis valait bien une marque. Elle en a désormais une. Paris Région, avec son nouveau logo inspiré de la tour Eiffel, représentera désormais l’Ile-de-France, première destination touristique mondiale (avec 32,7 millions d’arrivées en 2012) et première région économique d’Europe (607 Mds€ de PIB) auprès des potentiels investisseurs et professionnels du tourisme internationaux. Face à leurs clients étrangers, les hommes d’affaires franciliens pourront désormais brandir la « bannière » Paris Région, plus universelle grâce au mot magique : « Paris ». Le logo lui-même figure une tour Eiffel stylisée, entourée de huit bâtonnets, pour les huit départements de la région, Des tracés colorés, représentant la diversité et la créativité de l’Ile-de-France.

Source : Le Parisien

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Publié le 27 Novembre 2013

goldberg-parisien.jpgCet après-midi, les députés se prononcent en séance publique sur le projet de loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine. L’amendement sur la discrimination à l’adresse, proposé par le député PS de Seine-Saint-Denis Daniel Goldberg, a été approuvé en commission et intégré. Celui-ci nous explique en quoi ce point est important pour les habitants du 93.

Pourquoi faire entrer la discrimination à l’adresse dans la loi ?
DANIEL GOLBERG. Parce que de nombreux habitants du 93 et d’ailleurs se sentent discriminés à cause de leur lieu de résidence, de leur code postal. En tant que député j’ai souvent été interpellé sur le sujet. D’autres formes de discrimination existent en 
France, mais en l’occurrence, c’est bien le lieu d’habitation qui est source d’inégalité, qu’on s’appelle Robert, David ou Mohamed. Voilà ce que cette loi va mettre en lumière. Elle doit aussi pousser à réfléchir à la « mal-vie » dans ces zones, mal desservies par les transports en commun, où les taxis et les agents de la Poste refusent parfois d’aller. En disant cela, je n’incrimine ni le chauffeur de taxi, ni le postier. Les institutions de la République doivent se pencher sur la question.

Qu’est-ce que cet article de loi va changer ?
Comme les autres formes de discrimination, celle-ci ne disparaîtra pas du jour au lendemain. Mais l’inscrire dans la loi. C’est offrir la possibilité à quelqu’un qui s’estime victime d’entamer une démarche devant la 
justice. C’est un pas en avant pour l’égalité. Nous ne sommes pas uniquement dans une logique de punition, il y a aussi un aspect pédagogique vis-à-vis des recruteurs. Ce peut être un point d’appui, pour aller plus loin auprès des entreprises.

Que se passera-t-il vis-à-vis des entreprises ?
On ne peut influencer le recrutement dans le secteur privé. Mais lors de l’attribution de marchés publics, on pourrait demander à l’entreprise de préciser ce qu’elle fait pour lutter contre les stéréotypes dans son processus de recrutement. Quelques sociétés jouent déjà le jeu, elles ont même bâti leur identité autour de la diversité, comme Paprec, à La Courneuve.

Peut-on vraiment prouver qu’on a été écarté d’un emploi, d’un stage parce qu’on habite à Sevran ou Clichy-sous-Bois ?
Ce n’est pas plus difficile que de prouver qu’on est mis de côté en raison de sa religion, ou parce qu’on est une femme. Il existe aujourd’hui des opérations de « testing » efficaces, réalisées par des associations. Si une entreprise pratique effectivement la discrimination au code postal, on pourra facilement la confondre. Jusqu’à aujourd’hui, la loi ne le permettait pas.

Source : Le Parisien

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Publié le 22 Novembre 2013

champs-elysees.jpgHier, à 18h50, Laetitia Casta, la marraine de cette édition, a donné le coup d’envoi des illuminations des Champs-Elysées (Paris VIIIe) aux côtés du maire (PS) de Paris, Bertrand Delanoë, et de Jean-Noël Reinhardt, président du Comité des Champs-Elysées. L’avenue s’est alors couverte de lumières qui perdureront jusqu’au 8 janvier. Le dispositif, d’un coût de 1 M€ et qui comprend 4000 guirlandes, sera allumé tous les jours de 18 heures à 2 heures.

Source : Le Parisien

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Publié le 20 Novembre 2013

tracteurs-manifestation-agriculteurs 475136 (1)Voilà qui devrait - un peu - rassurer les automobilistes. Les organisations agricoles d'Ile-de-France, qui appellent à manifester jeudi autour de Paris, prônent «plutôt» des barrages filtrants dans la matinée sur les principaux axes routiers et ferroviaires, de façon à laisser passer les véhicules, selon leur responsable.  Mais attention, les opérations devraient quand même avoir un impact sur la circulation. 

Le sud et l'ouest de l'Ile-de-France «fortement touchés»

Dans un communiqué publié mercredi en fin d'après-midi, la Préfecture de police (PP) de Paris a annoncé que «plusieurs perturbations étaient à prévoir sur les principaux axes routiers de l'agglomération parisienne». Selon la PP, les secteurs sud et ouest franciliens pourraient être «fortement» touchés, citant les autoroutes A6, A10, A12, A13, A15 et les routes nationales N12, N20, N118. Le groupe Vinci Autoroutes a confirmé lui aussi que de «fortes perturbations sont à prévoir à partir de 6 heures à l’approche de Paris, depuis l’ouest et le centre de la France (A10, A11)».

«On appelle plutôt à du filtrant, l'idée c'est de pas être totalement impopulaires, mais de lancer un cri d'alarme face à la surdité du gouvernement», explique Damien Greffin, président de la Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles d'Ile-de-France (FDSEA), qui avait appelé semaine ses adhérents à participer à un blocus de Paris. «Notre volonté, c'est que ça ne dure pas trop longtemps, de 7 heures à la fin de matinée. Mais ça ne sera pas non plus du filtrant partout, et, à certains endroits, il ne faut pas grand-chose pour bloquer Paris» a-t-il ajouté, en précisant être en contact avec les forces de l'ordre.

La FDSEA compte plusieurs milliers d'adhérents qu'elle appelle à se mobiliser à bord de tracteurs, camions et voitures pour protester contre un «cumul de taxes et de réglementations» et surtout contre la redistribution des aides européennes entre céréaliers et éleveurs (au profit de ces derniers) à la faveur de la nouvelle Politique agricole commune (PAC). Les Jeunes agriculteurs (JA) d'Ile-de-France se joignent également au mouvement. La mobilisation ne doit cependant concerner que les départements de l'Essonne et de l'ouest de la région Ile-de-France. M. Greffin redoute des débordements d'éléments extérieurs à ces deux organisations : «On n'est pas des terroristes» a-t-il insisté en refusant d'être «assimilé aux Bonnets rouges».

Source : Le Parisien

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Publié le 20 Novembre 2013

voillaume-aulnay-louvre.pngIls ont accroché leurs œuvres dans l’un des musées les plus connus au monde. Une trentaine d’élèves de seconde du lycée Voillaume, à Aulnay-sous-Bois, exposent jusqu’à la fin de la semaine, leurs travaux dans la mezzanine du Louvre à Paris. Les élèves, inscrits en option histoire des arts, ont d’abord étudié quelques chefs-d’œuvres, comme la Joconde de Léonard de Vinci ou Vénus sortant des eaux de Boticcelli, puis s’en sont inspirés pour donner naissance à leurs propres créations. On peut admirer le résultat aux heures d’ouverture du musée. Ce n’est pas la première fois que les lycéens d’Aulnay mettent ainsi les pieds au Louvre, grâce à un partenariat de plusieurs années entre le musée, l’établissement scolaire et l’école d’art municipale Claude-Monet. L’objectif du projet est notamment de familiariser cette jeune génération avec l’art et les grands musées, dans lesquels certains n’avaient encore jamais mis les pieds.

Jusqu’à vendredi sur la mezzanine du musée du Louvre à Paris. Entrée libre.

Source : Le Parisien

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Publié le 19 Novembre 2013

Fouad, 28 ans, et Amin, 26 ans, originaires d’Aulnay et de Drancy, ont été contrôlés début novembre aux abords du stade d’Amiens (Somme). Les deux supporteurs avaient fait le déplacement pour assister à une rencontre de l’équipe de CFA (amateurs) du PSG contre la formation locale, alors qu’ils étaient sous le coup d’un arrêté d’interdiction administrative de stade, prise en juillet par la préfecture de police de Paris. Vendredi, ils devaient être jugés en comparution immédiate.

Quand le tribunal demande à Fouad pour quelles raisons il avait été sanctionné, il répond de façon lapidaire : « Trocadéro ». En mai, pour fêter son titre de champion de France, le PSG avait convié ses supporteurs à une fête, qui avait viré à l’émeute. Sept personnes avaient été condamnées. Parmi elles, Fouad et Amin. Vendredi, les juges ont décidé de renvoyer le procès au mois d’avril. En attendant, les deux supporteurs ont été placés sous contrôle judiciaire.

Source : Le Parisien

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Publié le 15 Novembre 2013

daniel-goldberg.jpgHier matin, le député socialiste de Seine-Saint-Denis Daniel Goldberg a présenté aux membres de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale un amendement qui intègre le lieu de résidence comme nouveau critère potentiel de discrimination. Cette proposition qui s’inscrit dans le projet de loi de Programmation pour la ville et la cohésion urbaine présenté par le ministre de la Ville, François Lamy, a été adoptée à l’unanimité. « J’avais déjà présenté un amendement allant dans ce sens en 2010 et en 2011, mais la majorité de droite d’alors l’avait rejeté. Son adoption aujourd’hui, à l’heure où le modèle républicain de notre pays est questionné, marque la reconnaissance d’une discrimination potentielle et un pas en avant important pour l’égalité », se félicite l’élu dans un communiqué.

Source : Le Parisien

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Publié le 14 Novembre 2013

car-jacking-blanc-mesnil.jpgDans la nuit du dimanche 10 au lundi 11 novembre 2013, à 3 heures du matin, une automobiliste a été victime d’un car jacking très violent avenue du 8-Mai-1945, au Blanc-Mesnil. Alors qu’elle s’était arrêtée, un homme a ouvert la portière pour s’emparer de son sac à main. La conductrice qui se trouvait seule à bord a tenté de résister. Mais son agresseur est parvenu à prendre le volant du véhicule et a poussé sa victime dehors. Celle-ci a continué à s’agripper à son sac. Elle a été traînée sur une centaine de mètres. Elle a été transportée à l’hôpital Robert-Ballanger, à Aulnay-sous-Bois. Elle souffre de nombreuses blessures mais ses jours ne sont pas en danger. Sa voiture a été retrouvée une heure plus tard à Aulnay-sous-Bois, sans le voleur.

Source : Le Parisien / Photo d'illustration

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Publié le 13 Novembre 2013

cannabisHier, vers 13h20, alors que les policiers d’Aulnay se trouvaient aux abords d’un immeuble situé 11, rue de Madrid, où ils suspectaient l’existence d’un trafic de stupéfiants, ils ont repéré un jeune homme qui fumait du cannabis. Les agents l’ont interpellé et les perquisitions menées à son domicile ont permis de découvrir 14 sachets de cannabis, et 20 sachets d’herbe de cannabis, soit 3,3 kg au total, ainsi que du matériel de conditionnement. Le dealeur présumé a été placé en garde à vue.

Source : Le Parisien

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Publié le 13 Novembre 2013

pleyel.jpgC'est la fin d'une épopée artisanale et artistique étalée sur deux siècles. La manufacture de pianos Pleyel, dernière à fabriquer des pianos en France, devrait fermer ses portes à Saint-Denis «d'ici à la fin de l'année». «Dans une indifférence quasi générale, les prestigieux Ateliers Pleyel ont annoncé l'arrêt de l'activité du site de Saint-Denis», a annoncé la Confédération française des métiers d'art (CFMA) dans un communiqué.  Un responsable de cet ancien fleuron de l'industrie musicale française a confirmé la fermeture prochaine des ateliers, dont l'activité s'était considérablement réduite ces dernières années. 

«Les ateliers vont fermer, le processus est en cours, ça va se faire avant la fin de l'année. Je fais partie des gens qu'on remercie, on est 14 dans la même galère, à se retrouver sur le carreau», a dénoncé ce salarié, qui a souhaité rester anonyme. Dans la soirée, l’entreprise Pleyel a confirmé la fermeture de l’atelier de production de Saint Denis, qui emploie 14 salariés, par le biais d'un communiqué, évoquant des «pertes récurrentes et un très faible niveau d’activité». «Une première solution permettant d’assurer la poursuite d’une certaine partie de la production n’a pas aboutie. Compte tenu du niveau des stocks des produits finis, le maintien de l’activité commerciale est assuré. Des solutions alternatives seront recherchées», ajoute le communiqué.

Le fabricant était revenu à Saint-Denis en 2007

Le plus ancien fabriquant de pianos encore en activité dans le monde, fondé en 1807 par le compositeur Ignace Pleyel (1757-1831), avait déjà cessé en 2007 sa production à Alès, jugée non rentable face à la concurrence étrangère, notamment chinoise et coréenne. La marque avait ainsi 
décidé de se recentrer sur le haut de gamme en 2007, réduisant sa production annuelle de 1700 pianos en 2000 à une vingtaine aujourd'hui. «Cette disparition est symptomatique du plan social de grande ampleur actuellement à l'oeuvre dans le secteur des métiers d'art. Chaque jour, des ateliers et des savoir-faire ancestraux, constitutifs de l'ADN économique et culturel de notre pays, disparaissent», regrette le CFMA. La société Pleyel avait obtenu en 2008 le label «Entreprise du patrimoine vivant» (EPV), attribué par l'Etat afin de distinguer des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d'excellence. La construction d'un piano Pleyel nécessite 5000 pièces, entre 500 et 1500 heures de travail, regroupant 20 métiers différents (luthiers, ébénistes, vernisseurs, laqueurs...), indique le constructeur sur son site.

Source : Le Parisien

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Publié le 12 Novembre 2013

babyboom-montreuil.jpgClap de fin à la maternité de l’hôpital André-Grégoire de Montreuil. Ce soir, à 23h25 sur TF1, les sages-femmes, les aides-soignantes, les médecins et les puéricultrices de l’émission « Baby-boom » vont raccrocher leurs blouses. De quoi attrister plus de 1,5 million de téléspectateurs fidèles qui, chaque semaine depuis mi-septembre, se passionnent pour le quotidien de l’équipe médicale de cette maternité de niveau 3, qui fait naître 3200 bébés chaque année.

Car après deux saisons de « Baby-boom » filmées à la maternité de Poissy (Yvelines), les équipes de TF1 ont posé cet été leurs 55 caméras au cœur de la Seine-Saint-Denis, dans un hôpital tout juste rénové. Semaine après semaine, les téléspectateurs ont été séduits par le sourire plein de gentillesse de Géraldine, les blagues de Jean-Bernard, l’expérience du docteur Daoüd, leurs moments de détente en équipe, les pleurs des jeunes parents, leurs sourires, leurs craintes… Le tout saupoudré d’une musique d’ambiance qui vous fait bien comprendre, à vous téléspectateur, que l’instant est ultra-émouvant.

« Ma mère adore! » se réjouit Jean-Bernard, accoucheur, une des vedettes du programme de téléréalité. « A chaque fois, des copines l’appellent pour commenter ce que j’ai dit ou fait! Moi, ça me fait rire car on me donne l’image du rigolo du service. » Pas si éloignée de la réalité si l’on en croit Claire, sa collègue, un peu déçue de ne presque pas apparaître dans les épisodes de cette troisième saison. « Ils ont tout focalisé sur les accouchements, mais, en réalité, une maternité, c’est aussi des soins dans les jours qui suivent », explique avec regret la sage-femme, en « suite de couche » au moment du tournage.

Et si le rendu est un peu trop rose bonbon à son goût et ne montre pas assez les urgences du quotidien, elle reste néanmoins satisfaite. Oui, le tournage a soudé encore plus l’équipe. Oui, tous ont bien vite oublié les caméras. Et oui, les épisodes sont « globalement fidèles à l’atmosphère de la maternité. » Et si, comme Claire, certains préfèrent parfois éteindre le poste de télévision en rentrant chez eux, tous sont rattrapés par des amis ou de la famille qui commentent leurs faits et gestes.

Le début de la gloire? « Ça fait bizarre, glisse Géraldine, à qui la production a consacré un épisode entier. Certaines patientes me reconnaissent et on m’arrête même dans l’hôpital. Mais globalement, on n’a que des retours positifs. » Tant pis donc si, parfois, la gestion des salles ou du personnel a été « un peu contraignante » pour l’équipe.

« Cela s’est très bien passé, assure Christophe Poncelet, le médecin responsable de la maternité. Nous connaissions la qualité professionnelle des équipes. Mais nous avons découvert leurs grandes qualités humaines. » S’il fallait repartir pour une deuxième saison? « Pour moi, aucun problème, lance-t-il. Avec plaisir! » D’autant que depuis le début de la diffusion de « Baby-boom », la maternité enregistre une hausse de 20% des inscriptions. Le sourire de Géraldine et les blagues de JB n’y sont certainement pas pour rien. 

Ce soir sur TF1 à 23h25

Source : Le Parisien

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Publié le 9 Novembre 2013

disneyland-paris.jpgLes citrouilles et les fantômes d’Halloween ont à peine fini leur ronde que Disneyland Paris se met déjà à l’heure de Noël. Principal temps fort de l’année pour le parc à thèmes basé à Chessy, en Seine-et-Marne, cette saison démarre demain et doit durer jusqu’au 6 janvier. Voici un tour d’horizon des principales nouveautés de cette période très stratégique pour Euro Disney, la société exploitante du complexe. Parmi les nouveautés, le spectacle visuel et pyrotechnique « Disney Dreams », qui s’enrichit de plusieurs personnages issus de « la Reine des neiges », le nouveau film d’animation qui sort le 4 décembre; un sapin illuminé de 24 m de haut; enfin, Disney garantit une « neige constante » dans les rues de Main Street, fabriquée à base de savon !

Source : Le Parisien

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Publié le 7 Novembre 2013

Abdallah-aulnay-psa-ratp.jpgCostume anthracite, pull vert jade, au milieu d’une demi-douzaine d’agents à la gare RATP de la Porte de la Chapelle à Paris (XVIIIe), Abdallah Saadi est stressé mais serein. Hier matin, à 36 ans, cet ancien salarié de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois fait ses débuts comme machiniste-receveur. C’est ainsi que l’on désigne les conducteurs de bus. Titulaire d’un CAP en mécanique, cet ancien formateur d’intérimaires est entré à l’usine PSA à 22 ans. Aujourd’hui, il fait partie des quinze anciens de PSA reclassés à la RATP. Cette première session doit être suivie par d’autres puisque la régie s’est engagée à recruter une centaine de salariés d’Aulnay qui deviendront chauffeurs de bus ou agents d’accueil en 2013 et 2014. « Notre entreprise est en plein développement. Nous recrutons entre 900 et 1200 conducteurs chaque année. Il était normal de nous montrer solidaires avec les employés de PSA », observe Isabelle Porro, en charge des ressources humaines à la RATP.

Pour vivre et avoir travaillé à Aulnay-sous-Bois, Abdallah connaît bien les routes qu’il va emprunter dans son nouvel emploi, celles du bus 302, qui va de La Courneuve à la gare du Nord. Il confie qu’à l’usine, ce partenariat avec la RATP a été d’abord vu avec suspicion : « On nous a dit : C’est une arnaque, pour vous dégager du plan social. Vous savez, quand on s’est pris un coup comme ça, il n’y a plus de confiance. » Mais Abdallah a refusé de baisser les bras : « Il faut savoir prendre des décisions. De nos jours, c’est difficile de trouver un CDI. J’ai deux enfants à nourrir, ma femme ne travaille pas. »

Au moment d’entamer son service hier, il découvre avec inquiétude un modèle de bus qu’il n’a jamais conduit. Arrivé à la Porte des Poissonniers, grosse frayeur! Abdallah rate son freinage et pile en plein virage. Yves, son accompagnateur pour les deux dernières semaines de formation, rit avant de l’orienter avec calme. « C’est normal d’avoir un peu de mal au début, mais je ne me fais pas de souci pour lui », explique-t-il. Au cours du trajet jusqu’à la gare du Nord, le bus sera secoué plusieurs fois par des freinages un peu nerveux. Au fil du trajet, Abdallah se détend. Il se permet quelques coups de sonnette pour déloger des piétons paresseux.

Parmi les voyageurs, Prosper et Béatrice, couple de retraités, excusent volontiers la maladresse du nouveau conducteur. « Avec la conjoncture actuelle, ce n’est vraiment pas évident. C’est bien que ces ouvriers soient reclassés ainsi », salue Béatrice. Pour Abdallah, en revanche, la fin de cette usine, dont il parle encore au présent, a laissé des traces. « Dans ma tête, le logiciel est formaté. Je sais que si j’entre dans une entreprise, je n’y resterai pas toute ma vie », reconnaît-il.

Source : Le Parisien

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Publié le 6 Novembre 2013

la-poste.jpgVotre facteur pourrait bien ne pas passer aujourd’hui. Et vous pourriez trouver portes closes en vous rendant à votre bureau de poste. Un mouvement de grève départemental a été lancé à l’appel des syndicats CGT, FO, Sud, CFDT et Unsa pour dénoncer la désertification postale, la fermeture de certains guichets ou encore la réorganisation des horaires qui entraîne, selon les syndicats, des incivilités. Près de 3000 salariés de la Poste — des facteurs, des guichetiers mais aussi des employés au tri du courrier — sont concernés par ce mouvement départemental. « Mais il est encore trop tôt pour connaître le pourcentage de grévistes, précise Jean-Louis Frisulli, de SUD 93.

Mais nous attendons autour de 30% de grévistes et plus de 50% pour ceux qui travaillent à la Plate-forme industrielle courrier (PIC) de Bobigny. » Et pour cause : la Poste a annoncé en septembre dernier la fermeture de la PIC installée il y a quatre ans à Bobigny. 200 postes seront ainsi supprimés d’ici à fin 2014. Et même si des propositions de reclassement et de mutation sont faites aux salariés de Bobigny sur les sites de Gonesse (Val-d’Oise) et de Lognes (Seine-et-Marne), où seront relocalisées les activités de tri, les inquiétudes persistent. « La plupart des salariés n’imaginent pas partir dans un autre département, avec la fatigue que cela entraîne, poursuit Jean-Louis Frisulli. D’autant que beaucoup de ceux qui sont concernés par la fermeture sont plutôt en fin de carrière. »

Source : Le Parisien

 

 

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Publié le 5 Novembre 2013

montreuil.jpgIls lancent un appel au secours. Pour éviter le drame de l’hiver dernier. Quand, sous la neige et par des températures négatives, des gymnases de Montreuil ont été ouverts à la hâte pour accueillir des centaines de migrants frigorifiés, fuyant la guerre au Mali ou en Libye. Quand, en voyant ces hommes, souvent seuls, dormir en bas de chez eux, des habitants de la ville ont ouvert leur jardin et leur maison pour les accueillir. Pour ne pas revivre ce scénario de la misère, des élus du conseil municipal, général et régional ainsi que des citoyens de Montreuil ont écrit au ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, et à la ministre du Logement, Cécile Duflot. Ils leur ont demandé « de mettre en place d’urgence une cellule de crise […] afin d’apporter des solutions de court, moyen et long termes à la situation et au traitement des populations migrantes fragilisées ».

Si, pour le moment, les réponses des ministres se font encore attendre, des centaines de migrants errent déjà dans les rues de Montreuil. Maliens sans domicile fixe ou familles de Roms qui s’installent, pour quelques jours, sur une parcelle de trottoir avant d’être délogées. A Montreuil, la mairie assure qu’il existe en permanence une quarantaine de squats pour les artistes, les militants mais aussi les miséreux. « Cela devient ingérable, reconnaît Belaïde Beddredine, conseiller général PC-Front de gauche du canton Ouest de Montreuil et l’un des signataires du courrier. Si la ville et le préfet ont trouvé des solutions pour les premiers afflux, cela est devenu impossible par la suite. Je crois que la ville ne peut pas à elle seule résorber cet afflux massif de migrants. »

Depuis cinq jours, le collectif Bara (son nom vient du foyer Bara où affluent de nombreux migrants) assure que 80 hommes célibataires se sont installés au 124, avenue Gallieni, à Bagnolet, dans les locaux vides d’une entreprise. Sur place, ils sont une quarantaine à tuer le temps autour d’un jeu de dames fabriqué avec un bout de cartons et des bouchons de bouteilles d’eau. Ils dorment à même le sol. Mais au chaud et avec l’eau courante. « La police est passée constater le squat hier, explique Mamadou Fofana, le porte-parole du collectif. On espère pourtant qu’ils pourront rester ici pendant l’hiver. » Mais comment gérer les afflux incessants de migrants? « C’est un puits sans fond, prévient Dominique Voynet, la maire (EELV) de Montreuil. Nous nous sommes démenés plus d’une fois pour trouver des solutions. Mais lorsque le consulat et l’ambassade du Mali renvoient tous les migrants vers Montreuil, c’est un problème insoluble. »

Source : Le Parisien

 

 

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Publié le 4 Novembre 2013

cannabis.jpgL’audace était peut-être un peu outrancière. Un homme s’est fait interpeller ce lundi après-midi, à la Rose des Vents à Aulnay-sous-Bois alors qu’il chargeait de la drogue dans son coffre. Il ne se savait sans doute pas repéré par un équipage de brigade anticriminalité (Bac). En voyant cet homme charger des cartons dans son coffre, les policiers ont voulu en avoir le cœur net. L’odeur qui se dégageait des colis laissait peu de doute quant à leur contenu. Plus de 4,5 kg de résine de cannabis et 2,5 kg d’herbe ont été découverts et saisis. L’homme a été placé en garde à vue.

Source : Le Parisien

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Publié le 4 Novembre 2013

BrunoBeschizzaAulnayLe futur redécoupage des cantons en Seine-Saint-Denis continue d’agiter la droite. Eric Raoult, patron de l’UMP 93 et maire du Raincy, et le conseiller régional Bruno Beschizza ont adressé un courrier au préfet lui demandant « d’assurer une réelle transparence ». La réforme, qui sera appliquée en 2015, prévoit de passer de 40 à 21 cantons. Chaque secteur comptera deux élus qui se présenteront en binômes. La nouvelle carte doit être élaborée par le préfet. Déjà, l’UMP dénonce des « méthodes empreintes d’une grande opacité », avançant que les propositions faites dans d’autres départements « sont des copier-coller du PS ». La lettre met en garde la préfecture contre tout « charcutage ».

Source : Le Parisien

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Publié le 3 Novembre 2013

disneyland-pirates-caraibes.jpgL’attraction «Pirates des Caraïbes» a rouvert hier, à 10 heures. C’est ce qu’annonce un porte-parole de Disneyland Paris. L’attraction phare du parc avait été fermée mercredi après-midi, après un accident dans lequel un petit garçon de 5 ans avait été blessé en chutant de l’une des embarcations. Le parquet de Meaux avait autorisé, vendredi, la réouverture de l’attraction. Disney a ordonné que toutes les procédures de sécurité soient passées en revue, afin de rouvrir l’attraction en toute sécurité. Iban, dont le pronostic vital n’était plus engagé vendredi, est toujours hospitalisé à l’hôpital Necker à Paris.

Source : Le Parisien

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Publié le 1 Novembre 2013

arnaque-impots-1Marc Masnikosa publiait cette information sur Aulnaylibre ! dès le 15 octobre 2013 (voir article et lettre type ici). Le journal Le Parisien la relaie aujourd’hui à son tour.  Des contribuables du 93 ont reçu des courriers réclamant le paiement d’un impôt imaginaire de 28 euros. Bercy met en garde contre cette arnaque. Alors ouvrez l’œil !

La création de nouvelles taxes semble avoir inspiré certains petits malins : ils en ont profité pour en inventer une… Plusieurs communes du département, comme La Courneuve, Saint-Denis ou Neuilly-sur-Marne, mettent en garde, sur leurs sites Internet, contre cette tentative d’escroquerie. Des habitants ont en effet reçu dans leur boîte aux lettres un courrier émanant d’une mystérieuse « Trésorerie citoyenne », réclamant le paiement d’une prétendue « taxe extraordinaire des traitements des ordures polluants (sic) » d’un montant de 28 €. Le courrier, malgré son logo « République française » en en-tête et ses références à des articles du Code général des impôts, est en réalité un faux. Il ne faut bien sûr rien envoyer.

« La Direction départementale des finances publiques nous a alertés, explique-t-on à la mairie de Saint-Denis. Nous avons immédiatement relayé l’information sur notre site et sur les réseaux sociaux pour que personne ne tombe dans le piège. »

Le courrier, en date du 11 octobre, demande que le règlement soit fait avant le 28 par virement ou chèque à l’ordre de Trésorerie citoyenne. Il s’agit en réalité d’une société domiciliée à Argenteuil (Val-d’Oise) et créée en juin. En bas de la lettre, un numéro de téléphone — surtaxé — renvoie vers un autre numéro, non attribué. D’autres détails dans ce courrier d’apparence officiel doivent alerter le contribuable.

« C’est une petite escroquerie localisée, que nous avons pu rapidement maîtriser, commente-t-on à la direction des finances publiques, à Bercy, qui devrait déposer plainte. C’est une arnaque assez grossière, il ne devrait pas y avoir beaucoup de victimes. L’an dernier déjà, des contribuables parisiens avaient reçu une fausse taxe d’habitation, mais toutes les victimes ont pu être remboursées. Le nombre d’escroqueries de ce genre, par courrier ou mail, reste assez stable, mais il faut régulièrement faire de la prévention auprès du public. »

Source article : Le Parisien Photo : Aulnaylibre !

 

 

 

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Publié le 31 Octobre 2013

pirates-caraibes-disneyland-paris.jpgL'accident est survenu vers 16 heures ce mercredi à Disneyland Paris, sur l'attraction «Pirate des caraïbes». Un enfant de cinq ans originaire de Montpellier (Hérault) est tombé d'une des barques à la toute fin du parcours et a été transporté dans un état grave vers l'hôpital Necker pour enfants à Paris. Un temps menacé, son pronostic vital n'était plus engagé mercredi soir à 23 heures, a indiqué la préfecture de Seine-et-Marne.  Le petit Iban était avec son papa à bord d'une des barques tractées, à la fin du parcours sur l'eau, lorsque l'accident s'est produit. L'embarcation était sur le point d'arriver au niveau du quai de sortie mais il y avait un peu d'attente. L'enfant s'est levé trop tôt malgré les messages qui demandent aux visiteurs de rester assis jusqu'à l'immobilisation complète des barques. Lorsque son embarcation a redémarré, le petit garçon, déséquilibré, a chuté.

Coincé entre un bateau et le quai

L'enfant «était coincé, en compression thoracique, entre le quai et un bateau d'une attraction», a expliqué le commandant Fabrice Delin du Codis de Seine-et-Marne. Immédiatement, le papa, aidé par d'autres visiteurs et le personnel du parc d'attraction, a dégagé son fils. «Les systèmes de sécurité ont parfaitement fonctionné», souligne une source policière. «L'incident a eu lieu en fin d'après-midi. Nos services de premiers secours sont intervenus rapidement afin de prodiguer les premiers soins à l'enfant», a indiqué une porte-parole du groupe Eurodisney. «L'attraction est momentanément fermée et nous sommes aux côtés de la famille», a-t-elle ajouté. L'attraction restera fermée jusqu'à nouvel ordre. Une 
enquête est ouverte. C'est le procureur de la République qui autorisera la réouverture de Pirates des Caraïbes.

En avril 2011, cinq personnes avaient été blessées, dont une grièvement, dans un wagon du Train de la Mine dans le parc. En novembre 2008, un jeune s'était blessé à la tête après avoir chuté d'un manège alors qu'il se trouvait à 7 mètres au-dessus du sol. En janvier, 
quatre personnes avaient été légèrement blessées après un accident de train à vapeur, un wagon s'était décroché et en avait percuté un autre lors de l'arrêt en gare. La direction du parc a indiqué en soirée sur Twitter être «profondément attristée» par cet accident. 

Source : Le Parisien

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Publié le 30 Octobre 2013

senegal-aulnay-drapeau.jpgAulnay reçoit aujourd’hui une importante délégation sénégalaise emmenée par le maire de Rufisque, une ville du Sénégal de 300000 habitants, à 25 km de Dakar. Cette rencontre a lieu dans le cadre de la coopération décentralisée. Ce rapprochement se crée du fait de l’important réseau associatif à Aulnay. La coopération entend structurer ce réseau, développer l’entreprenariat et des partenariats éducatifs.

Source : Le Parisien

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