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Publié le 5 Septembre 2013

pistecyclable.JPGCette voie de 5 000 km devrait voir le jour entre 2015 et 2020. Le tracé est encore à l’étude mais les pistes cyclables pourraient passer en Seine-Saint-Denis sur 17 km, le long du canal de l’Ourcq.

Les randonneurs qui se sont aventurés sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle pourront bientôt continuer leur route à vélo. Car dans quelques années devrait voir le jour une piste cyclable longue de 5000 km reliant Trondheim, en Norvège, à cette ville de l’Espagne en passant par plusieurs départements franciliens, dont la Seine-Saint-Denis. Vieux de plusieurs années, le projet de cette eurovéloroute s’accélère en cette période de rentrée. Un comité national de pilotage, présidé par la région, a été créé afin que le tracé puisse être inauguré en 2015 au mieux, et en 2020 au pire. Durant tout le mois, des comités techniques doivent se réunir.

L’idée remonte à la fin des années 1990, lorsque la Fédération européenne des cyclistes imagine un réseau à travers l’Europe. Parmi les quatorze pistes proposées au fil des ans, il y a celle qui conduit de la Norvège à l’Espagne en traversant le Danemark, l’Allemagne, la Belgique et près d’une vingtaine de départements français dont l’Oise, le Val-de-Marne, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, Paris et l’Essonne. Soit 1500 km dans l’Hexagone, dont 170 en Ile-de-France. Les voyageurs traverseraient la Seine-Saint-Denis sur 17 km de pistes, le long de l’Ourcq, dont la plupart sont déjà réalisés.

Les enfants pourront prendre cet axe pour aller à l’école

Accomplir le pèlerinage de Saint-Jacques n’est pas l’objectif recherché par les acteurs du dossier. « Le principe n’est pas juste de voir passer des étrangers devant chez nous. Les fins sont également utilitaires — les enfants pourront ainsi l’emprunter pour aller à l’école — et touristiques pour les habitants de la région », précise Patrick Thépin. Le directeur des études à l’Agence d’urbanisme et de développement Essonne-Seine-Orge (Audeso) vante aussi les mérites d’un « loisir pas cher ». En Ile-de-France, cette initiative permettra de mettre en valeur la Seine avec un parcours le long du fleuve.

Mais tout cela a un coût. « Plusieurs millions d’euros pour l’ensemble de la région, et de dizaines de millions pour la France », note Pierre Serne (EELV), vice-président à la région chargé des transports et des mobilités. Cher, mais intéressant avec la multiplication de commerces autour et la valorisation des sites touristiques. « C’est un signe fort à l’échelle européenne, se réjouit Pascal Fournier, son homologue socialiste au conseil général de l’Essonne, qui finance l’étude de faisabilité pour le département. L’eurovéloroute répond à la demande locale de l’aménagement des berges sur lequel l’Audeso travaillait déjà. Enfin, elle participe au développement économique. »

Une fois les frontières de l’Ile-de-France passées, les cyclistes poursuivront leur route vers le Loiret, la Touraine, le Poitou-Charentes, l’Aquitaine et les Landes avant de rejoindre l’Espagne.

Source : Le Parisien

 

 

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Publié le 4 Septembre 2013

France-UMP-Logo.pngSéverine Maroun, déléguée UMP de la 10e circonscription de Seine-Saint-Denis (Aulnay-sous-Bois, Bondy-sud-est, Les Pavillons-sous-Bois), se dit « excédée ». Hier matin, elle a découvert la vitrine de la permanence de son parti, située rue Isidore Nérat à Aulnay, recouverte de déchets divers (œufs, tomates…). « J’ai quitté le local lundi soir vers 22 heures et je suis revenue vers 7h45. La police est immédiatement venue constater les faits. J’espère que les caméras de vidéosurveillance du parking permettront de retrouver le coupable », indique la conseillère municipale d’opposition, qui affirme qu’elle déposera plainte. Selon elle, la permanence a déjà été dégradée à deux reprises en moins de deux ans. Lors des législatives, en avril 2012, la vitrine avait été recouverte d’affichettes du Front de gauche.

Vous pouvez lire à ce propos ci-dessous le communiqué de presse transmis à la rédaction d’Aulnaylibre ! par Séverine Maroun.

COMMUNIQUE DE PRESSE

La Démocratie une nouvelle fois bafouée à Aulnay-sous-Bois

SeverineMaroun.jpgCe matin les élus et militants UMP d’Aulnay ont découvert la façade de leur permanence couverte de déchets. Alors que la campagne, en vue des élections municipales de mars 2014, n’est pas encore lancée, cet acte de vandalisme est à l’évidence un manque de respect pour la Démocratie.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois. Rappelons que l’année dernière, au moment des campagnes présidentielle et législatives, notre permanence fut couverte d’affichettes du Front de Gauche tout comme le domicile d’un élu UMP.

Ces actes de vandalisme démontrent clairement que l’UMP est l’adversaire à museler car notre liste représente la seule alternance crédible aux prochaines élections municipales d’Aulnay-sous-Bois.

Nous appelons chacun à respecter la liberté d’expression politique et le respect des personnes, piliers fondamentaux de notre démocratie, et à préférer le débat à ces agissements d’une bassesse évidente.

Les forces de l’ordre ont été prévenues et dans l’espoir que le fonctionnement des caméras de vidéosurveillances municipales soit effectif, je souhaite que les enregistrements soient saisis et visionnés afin de procéder au plus vite à l’arrestation des coupables de ce délit.

Séverine MAROUN

Déléguée de la 10ème circonscription

7 rue Isidore Nerat 93600 Aulnay-sous-bois – 06.61.5014.81

 

Source article : Le Parisien. Communiqué transmis par Séverine Maroun

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Publié le 2 Septembre 2013

TF1-LogoEn prévision d’une nouvelle émission de décoration, TF1 recherche des candidats dans la région Ile-de-France. Ils doivent être « fans de décoration et fiers de leur intérieur », précise la chaîne privée. Trois mille euros sont à gagner. Les personnes sélectionnées pourront « changer  la décoration d’une pièce de leur domicile gratuitement et de façon ludique », poursuit TF1. Le but sera de tester les talents de décorateur de quatre candidats. Contact au 01.40.53.45.33 ou par mail castingdecoration@gmail.com

 

Source : Le Parisien

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Publié le 31 Août 2013

pucessaintouenUne partie du toit de trois boutiques a cédé, hier après-midi à Saint-Ouen, pour une raison encore inconnue. Il n’ y a pas eu de blessés.

Les anciens du marché aux puces n’avaient « jamais vu ça en plus de cinquante ans ». Hier, peu avant 16h30, l’avant du toit de trois petites boutiques de l’avenue Michelet, près de la porte de Clignancourt à Saint-Ouen, s’est soudainement effondré. L’origine de l’accident reste encore indéterminée. Selon les premiers témoignages, ce serait le poids de la marchandise suspendue sur un auvent qui aurait fait céder la structure. En cette veille de marché, l’effondrement, très spectaculaire, n’a heureusement pas fait de victime. Seules deux personnes se trouvaient à l’intérieur de ces commerces de chaussures et de textile au moment de l’accident. Elles ont pu en sortir sans dommages.

« On n’a pas du tout compris ce qui se passait », explique Abdel, l’une de ces deux personnes, qui indique être l’ami de la famille d’un commerçant. « On n’y est pour rien, poursuit-il. Personne n’a touché les murs. On était juste en train d’allumer la radio, et boum! » Un autre vendeur a « senti des vibrations » avant de voir l’auvent « tomber brusquement ». Aux puces depuis vingt-cinq ans, Mustapha, l’un des commerçants voisins, a entendu « un bruit immense, un peu comme si deux camions s’étaient rentrés dedans ». Pour lui, c’est le manque d’entretien des bâtiments qui pourrait être à l’origine de l’accident. « Ce sont des commerces très anciens. Certains sont ici depuis au moins cinquante ans. Le propriétaire ne s’est peut-être pas rendu compte du problème, car les fissures sont parfois cachées. Cela s’aggrave pendant des années et des années, et l’accident arrive. » Pour sa part, il assure que son magasin a déjà été retapé quatre fois.

 36 pompiers mobilisés

Hier soir, d’autres marchands expliquaient « avoir eu très peur ». « Heureusement que cela n’est pas arrivé un jour de marché, souffle Mustapha. Car les conséquences auraient pu être plus graves… » « Je suis quasiment né aux puces, moi, expliquait une vieille dame. Et c’est la première fois que je vois un tel accident. Certains bâtiments sont en très mauvais état. Il faut les rénover. »

Trente-six pompiers ont été mobilisés pendant plusieurs heures afin de dégager les décombres. L’avenue Michelet est restée fermée dans un sens pour permettre leur intervention.

Source : Le Parisien

 

 

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Publié le 29 Août 2013

DisneylandParis.jpgUn Belge, qui tient un blog sur les parcs Disney dans le monde, a lancé une pétition internationale dans laquelle il dénonce l’état du site de Chessy. Elle a recueilli plus de 4 600 signatures.

Mickey doit avoir les oreilles qui sifflent. Il y a quelques jours, un groupe d’inconditionnels des parcs Disney a mis en ligne* une lettre ouverte à Bob Iger, le PDG depuis 2005 de The Walt Disney Company, maison-mère d’EuroDisney, la société exploitante de Disneyland Paris. Dans cette pétition traduite en six langues, qui a déjà recueilli plus de 4600 signatures, ils appellent carrément celui qui préside aux affaires du groupe à… « sauver Disneyland Paris ».   Leur missive explique que si, à l’ouverture du parc, en 1992 en Seine-et-Marne, il s’agissait « du plus grand accomplissement jamais réalisé par Disney », ils estiment qu’après de « nombreuses années de coupes budgétaires au niveau de la maintenance, de l’animation et de la restauration […] Disneyland Paris est aujourd’hui dans un état de négligence inacceptable ».

Spectacles annulés, horaires d’ouverture réduits, pannes…

Cette détérioration des prestations n’aurait jamais été aussi forte que cette année. Ainsi s’étonnent-ils qu’il n’y ait cet été « aucun spectacle sur scène » — du jamais-vu « dans l’histoire du parc ». Ils pointent « l’état indigne du standard Disney », l’annulation de spectacles au cours de l’année alors que « d’autres espaces de spectacles sont désespérément vides », les horaires d’ouverture réduits des restaurants, des boutiques et de certaines attractions, ou encore le « cycle sans fin d’attractions en panne ».

Ce constat est dressé par un véritable fan du parc : Guillaume G., un habitant de Bruxelles passionné par les parcs Disney auxquels il consacre depuis quelques années un blog — le Parcorama. Lui qui a visité Disneyland Paris une quinzaine de fois depuis son ouverture se dit choqué par ce qu’il y a vu au début de l’été. « J’ai trouvé le parc dans un état préoccupant : deux attractions fermées, quatre spectacles annulés, la nourriture aussi mauvaise dans les restaurants haut de gamme que dans les fast-foods et, plus généralement, un état de délabrement que je n’avais jamais vu dans aucun parc Disney. » D’où cette lettre ouverte directement adressée au siège mondial. « Nous ne sommes pas des professionnels et ne prétendons pas apporter une solution clé en main à Bob Iger, prévient Guillaume. Mais c’est l’image de marque de tout le groupe qui est abîmée. »

« Nous prenons très au sérieux les commentaires de tous les visiteurs », assure un porte-parole de la direction du complexe touristique. D’ailleurs, cette lettre-pétition est remontée jusqu’au plus haut niveau, sur le bureau de Philippe Gas, le PDG d’EuroDisney. Ce n’est pas une première car, depuis le lancement du premier parc en 1992, le site est régulièrement le sujet de doléances de fans, plus exigeants et sans concession, car plus attachés à Disney que les visiteurs qui viennent juste s’amuser dans les attractions.

Une grosse opération dans plusieurs parties du parc avait été effectuée juste avant le vingtième anniversaire fêté l’an dernier. « Nous avons fait un inventaire minutieux pour déterminer les éléments qui étaient les plus susceptibles d’apparaître sur les photos de nos visiteurs et de marquer leurs souvenirs, expliquait début 2012 Joe Schott, directeur général adjoint des opérations. C’est ainsi que de nombreux éléments emblématiques de notre destination ont été remis à neuf pour notre anniversaire. » Le château de la Belle au bois dormant a été restauré, ainsi que le bateau pirate du capitaine Crochet. Par ailleurs, les 5800 chambres d’hôtel sont en cours de rénovation.

Quant aux fermetures d’attractions planifiées en septembre, elles sont, selon nos informations, calées en fonction de la fréquentation, celle-ci étant plus faible à la rentrée que l’été. Elles sont indispensables aux impératifs de sécurité car les opérations lourdes nécessitent plusieurs jours d’intervention. D’ailleurs, le budget dédié à la maintenance est constant depuis des années. Quant aux opérations quotidiennes, 12% des 14500 employés travaillent de nuit pour nettoyer et remettre le parc à neuf, dont une bonne partie à la maintenance des attractions. A titre d’exemple, une équipe d’une petite quinzaine de personnes gère la réparation et la maintenance de onze attractions. Le site en compte 58.

Quant aux « spectacles d’été » regrettés par les fans, ils ont été remplacés par Dreams, conçu spécialement pour les vingt ans du parc et prolongé cette année.

* https://www.change.org/petitions/mr-bob-iger-ceo-the-walt-disney-company-save-disneyland-paris.

 

Source : Le Parisien

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Publié le 29 Août 2013

cabourg-copie-1.jpgVenus de toute l’Ile-de-France à bord de 107 cars affrétés par le Secours populaire, des milliers d’enfants âgés de 6 à 12 ans ont profité hier d’une journée sur la plage normande.

Le ballet des 107 cars a duré toute la matinée. A tel point qu’hier après-midi, la petite ville de Cabourg (Calvados) a compté plus de baigneurs que d’habitants. 5000 enfants défavorisés venus de toute l’Ile-de-France, accompagnés de 1500 bénévoles du Secours populaire français se sont levés à l’aube hier pour rejoindre la cité balnéaire pour la 34e Journée des « oubliés des vacances ». Dans les cars, l’excitation est palpable chez les enfants de 6 à 12 ans, qui ont déboursé deux petits euros pour venir. Beaucoup n’ont jamais vu la mer. « Il y aura des poissons? La mer sera propre? » s’inquiètent Nabil et Glody, 9 ans, qui habitent dans la même cité à Pantin. « Je n’ai pas dormi de la nuit tellement j’étais excitée à l’idée de venir ici » confie Tiguidé, 12 ans, du XIXe arrondissement de Paris.

Arrivés sur la plage, les petits vacanciers, casquettes rouges, bleues, vertes ou orange en fonction de leur ville se répartissent entre les huit tentes aux drapeaux frappés du numéro de leur département. Avant de se précipiter dans l’eau ou de s’atteler à construire des châteaux de sable. Aïcha, sautille joyeusement. « Ça fait du bien de changer, de ne pas toujours rester au même endroit, devant les Anges de la téléréalité. Même si c’était difficile de se réveiller à 6 heures, je ne me suis pas levée pour rien », sourit la fillette de 12 ans. Un peu plus loin, Saoussène, 7 ans, venue de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), joue la starlette en maillot de bain, les jambes pleines de sable. « C’est la deuxième fois que je viens à la mer, confie-t-elle. Ce que je préfère, c’est jouer dans l’eau et avec le sable. »

« J’ai réussi à toucher un crabe », lâche, étincelante, Maïmouna, 11 ans, venue avec sa grande sœur Assa de Pontault-Combault (Seine-et-Marne). Accompagné de son grand frère Abdel Malek, Farouk, de Pontoise, désigne la mer du doigt. Il assure avoir « adoré la piscine », ce qui déclenche un fou rire général autour de la tente du Val-d’Oise. Cette année, entre les serviettes de bain, s’est faufilée une invitée de marque : Valérie Trierweiler, première dame de France, était la marraine de l’événement. Abir, Dania et Anne-Sophie, 12 ans, trois copines de Villejuif (Val-de-Marne) ont pu échanger quelques mots avec la star du jour : « Elle nous a dit qu’elle mangerait avec nous, mais elle n’est pas venue. Elle n’a pas tenu ses promesses… Comme son mari », pouffe de rire Abir.

Pour donner le sourire à ces milliers d’enfants, l’organisation de l’événement a nécessité un an de préparation. « Le plus gros du travail, ça a été de trouver les bénévoles. Tous ces gens prennent des vacances pour venir nous aider ici, ils font preuve d’une grande générosité. Certains sont ici depuis quatre jours! », assure Frédéric Vedel, le coordinateur régional de la journée. Concernant le bilan, le responsable est sans appel. « C’est une réussite à partir du moment où les enfants arrivent sur la plage, découvrent la mer et touchent le sable. »

Source : Le Parisien


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Publié le 28 Août 2013

cimetierrelivrygarganUn homme devait être déféré ce mercredi soir au parquet de Bobigny au lendemain du saccage de 70 tombes du cimetière ancien de Livry-Gargan. Il a été identifié grâce aux films de vidéosurveillance : les policiers se sont aperçus que cet homme était déjà en garde à vue, à Pantin. Mardi matin, après avoir renversé des stèles, cassé des décors de marbre, brisé des médaillons puis fracassé la vitrine de la marbrerie située en face du cimetière, l’homme s’est rendu dans un bar à Pantin, où il a encore cassé des objets et des vitres. C’est là qu’il a été interpellé. Le suspect a pour l’instant été incapable d’expliquer les raisons de son geste. Une chose est sûre, il ne s’agissait pas de vol. Il n’y avait pas non plus, semble-t-il, de motivation religieuse à cette action de pur vandalisme.

Source : Le Parisien

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Publié le 28 Août 2013

cimetierrelivrygargan.JPGStèles renversées, ornements brisés… Plusieurs sépultures du cimetière ancien ont subi de gros dégâts hier. Des témoins ont vu un suspect.

« C’est épouvantable! » Deux femmes s’arrêtent, consternées. Les débris de plaques de marbre et autres morceaux de verre recouvrent une tombe. A quelques mètres, une colombe de cuivre, arrachée d’une stèle, gît dans le gravier. La photo d’un défunt, en médaillon, a été méthodiquement brisée.« Il y a eu beaucoup de dégâts ? » « Soixante-dix tombes », soupire le maire (divers gauche) Alain Calmat, accouru sur les lieux en début d’après-midi. Quelques minutes plus tôt, une dame s’interrogeait en sortant du cimetière : « Il y a eu une tornade, ici? »

Mais la météo n’est pour rien dans les dégradations constatées hier au cimetière ancien (par opposition au nouveau) de Livry. C’est bel et bien un vandale, aperçu par plusieurs témoins, qui s’en est pris aux sépultures, sans motif apparent. On n’a trouvé sur place ni graffitis ni inscriptions. Le carré juif n’a pas été visé. Les ornements de métal, qui suscitent parfois des convoitises, ont été abandonnés sur place. « C’est du vandalisme pur, c’est effarant, c’est révoltant! » martèle Alain Calmat, l’œil sombre.

Un homme armé d’une croix de métal

La police n’avait encore interpellé personne hier. Les faits ont probablement eu lieu en matinée, alors que le cimetière était déjà ouvert. Le gardien et deux ouvriers d’un chantier voisin ont aperçu un homme « de 35 à 40 ans », peu avant 9 heures. « On ouvre à 8 heures. Des gens sont venus me dire qu’il y avait des dégâts, raconte Philippe Rogues, conservateur du cimetière. Je suis sorti, et j’ai vu cet homme. Il avait décroché une croix de métal, et il l’a utilisée pour aller casser toutes les vitres du magasin d’en face. » Hier après-midi, le verre brisé jonchait encore le sol devant le local commercial, une ancienne boutique de marbre funéraire vide dans l’attente de travaux.

Les bandes des caméras de surveillance du lieu permettraient d’apercevoir nettement le suspect, alors qu’il s’en prend aux vitrines. « Il allait à son rythme, sans se précipiter », glisse un autre témoin. Puis, le vandale a déposé la croix métallique au sommet du portique d’un parking voisin.

Après ça, il est parti à pied, tranquillement, indique encore Philippe Rogues, qui a immédiatement donné l’alerte. Les services municipaux se mobilisent désormais pour prévenir l’ensemble des familles concernées. Hier soir, le maire et les élus de la ville sont revenus au cimetière, afin d’y célébrer le 69e anniversaire de la libération de Livry-Gargan, en déposant une gerbe au pied de la stèle dédiée aux morts de la Seconde Guerre mondiale. L’ambiance était forcément un peu plus lourde que d’ordinaire.

Une permanence téléphonique a été mise en place par la mairie pour informer et assister les familles concernées. Tél. 01.41.70.88.00.

Source : Le Parisien

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Publié le 26 Août 2013

police-girophare-roujas-640x280 640x280Un homme de 80 ans a été sauvé lundi matin après avoir tenté de se suicider avec sa femme de 84 ans, qui, elle, est morte. Le couple a précipité sa voiture dans le canal de l'Ourcq, à hauteur de Pavillons-sous-Bois, a annoncé une source préfectorale. «La femme est décédée et l'homme est sain et sauf», a précisé cette source. Une lettre annonçant leur intention de se suicider, adressée à la femme de ménage du couple, a été retrouvée. Originaires de la commune aisée du Raincy, les octogénaires ont précipité vers 9h30 leur voiture à quelques kilomètres de leur domicile. En 2010 en France, 3 000 suicides de personnes âgées ont été enregistrés sur un total d'environ 10 000. Alors que les plus de 65 ans représentent 20 % de la population totale, ils comptent pour 30 % des suicides.

Source : Le Parisien

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Publié le 26 Août 2013

navettecanalourcq47 468 passagers ont emprunté ces neuf week-ends d’été les navettes à 1 et 2 euros pour naviguer sur le canal de l’Ourcq de Paris à Bobigny et Aulnay-sous-Bois. Ce chiffre record estimé en fin d’après-midi devait être réévalué dans la soirée. « Nous n’aurons pas atteint les 50 000 espérés. Nous enregistrons quand même notre meilleure fréquentation depuis le lancement des navettes en 2008 », se félicite Vincent Chartier du comité tourisme du 93.

Source : Le Parisien

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Publié le 25 Août 2013

bombeiros.jpg

Le maire (UMP) du Raincy a décidé de verser 1 000 € à la ville portugaise de Caldas da Rainha (à laquelle sa commune est jumelée) après les violents incendies de forêts qui frappent en ce moment le centre et le nord du Portugal. L’ancien ministre de la Ville a par ailleurs écrit une lettre au président PS  du conseil général, Stéphane Troussel, pour lui demander de débloquer une subvention départementale de 10 000 € en faveur des collectivités sinistrées du Portugal.

Source : Le Parisien

 

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Publié le 25 Août 2013

basiliquesaintdenis.JPGUn homme de 29 ans a escaladé la façade de la basilique Saint-Denis dans la nuit de vendredi à samedi, à 2 heures du matin. Alors qu’il s’était réfugié sur la coupole de l’édifice, les pompiers ont fini par le faire redescendre vers 8h30. Originaire de Côte d’Ivoire, il voulait protester contre l’expulsion, vendredi, de la quarantaine d’anciens squatteurs qui campaient sur le parvis de la mairie de Saint-Denis depuis trois mois.

Source : Le Parisien

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Publié le 24 Août 2013

navettecanalourcqA l’image des navettes du canal de l’Ourcq, qui devraient dépasser les 50 000 plaisanciers, les sites touristiques du 93 n’ont pas désempli.

Le soleil généreux et les températures caniculaires y sont sans doute pour beaucoup. Les animations du comité du tourisme comme les sites touristiques ont vu défiler des milliers de curieux.

Les navettes à 1 € prises d’assaut. Leur va-et-vient sur le canal de l’Ourcq entre Paris et Aulnay ne s’achèvera que dimanche soir. Mais d’ores et déjà, les navettes fluviales à 1 ou 2 €, qui ont circulé 9 week-ends cet été, ont battu leur record de fréquentation avec d’ores et déjà 45743 visiteurs enregistrés (contre 40000 l’été dernier où elles ont pourtant circulé un week-end supplémentaire).

« On espère dépasser les 50000 cette année », assure Vincent Chartier, chargé de la communication et de la promotion au comité départemental du tourisme. Cette année encore, le week-end le plus fort a été celui des 10 et 11 août avec 7487 passagers contre 6888 passagers l’an dernier. « C’est traditionnellement celui où toutes les plages du département sont ouvertes. Du coup, avec ses péniches, ses concerts, ses bals, le canal est en effervescence » souligne Vincent Chartier.

La dizaine de plages du département a d’ailleurs battu tous les records cette saison avec par exemple 130000 entrées cumulées à Bobigny-sur-Ourcq. Fin juillet, la fréquentation des navettes était de 23612 passagers contre 17900 l’an dernier. « Sur un mois, c’est une hausse de 31%, qui s’explique en partie par un mois de juillet déplorable l’an dernier », explique Vincent Chartier.

stade-de-france-vide2Deux fois plus de participants aux balades urbaines. Consacrées cet été au patrimoine agricole du département et couplées cette année au jeu De Visu, les balades urbaines du comité départemental du tourisme qui se terminent à la fin du mois ont doublé le nombre de leurs participants qui sont passés de 500 à 1000 personnes. « Les visiteurs viennent de toute la région et il y en a de tous les âges : jeunes de 25 ans, retraités, enfants centres de loisirs », indique-t-on au comité du tourisme.

Le Stade de France fait le plein. L’arène sportive s’impose année après année comme une étape touristique importante. Le grand stade a accueilli depuis le début de l’été 16000 visiteurs, contre 13700 l’an dernier. Quant au musée de l’Air et de l’Espace du Bourget, il a enregistré une belle fréquentation dopée notamment par la réfection du hall de l’aérogare, joyau Art déco. « Nous comptons et depuis le 1er août, 11781 visiteurs contre 10756 sur la même période l’an dernier », explique-t-on à la communication du musée. Parmi les temps forts du musée : la Nuit des étoiles qui a rassemblé 700 personnes les 9 et 10 août. Concernant le mois de juillet, en revanche, le musée a accusé une légère baisse avec 15455 visiteurs contre 16229 l’an dernier. « Mais les deux chiffres ne sont pas directement comparables car nous avons accueilli cette année le Salon de l’aéronautique du Bourget et il y a toujours un léger creux post-salon, souligne-t-on à la communication du musée. En juin, en effet, 80758 visiteurs ont profité de leur présence sur les lieux de l’occasion pour visiter le musée de l’Air et de l’Espace.

Source : Le Parisien

 

 

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Publié le 22 Août 2013

brevedeweekend3« Sortez vos appareils photos, nous passons de l’autre côté du périphérique »… Voilà ce que pourraient un jour entendre les visiteurs de passage en arrivant dans la banlieue parisienne. La scène tient encore de la fiction, mais de petits groupes de touristes en files indiennes ont déjà fait leur apparition, ici et là, dans les cités du « 9-3 ».  Sur « Lonely Planet », on peut désormais trouver des promenades en banlieue. 

La Seine Saint Denis possède déjà ses attractions « classiques » : la Basilique Saint Denis, le musée de l’air et de l’espace du Bourget, les Puces de Saint Ouen et, plus récemment, le Stade de France. Chaque année, ces sites attirent des centaines de milliers de visiteurs, voire des millions pour les célèbres puces. Mais la banlieue autrefois rouge veut innover et mettre en valeur son territoire à travers un tourisme « alternatif ».   

 Il y a quinze ans déjà, un Comité départemental du tourisme (CDT) a été créé dans ce sens : valoriser la richesse culturelle et historique des quartiers populaires. « L’idée est de prendre à contrepied l’image négative de la banlieue en montrant simplement les différents quartiers, leurs histoires et leurs habitants », explique le directeur du CDT, Daniel OrantinA l’office du tourisme, les visiteurs peuvent choisir parmi 500 sorties, par exemple une croisière sur le canal de l'Ourcq à Bobigny ou une balade le long du Parcours des impressionnistes dans le parc de L’Ile-Saint-Denis. Parmi les offres, certaines sont plus inattendues encore : visite des ateliers de la RATP, balade urbaine parmi les logements sociaux de la cité-jardin de Stains ou encore découverte de la salle des mariages de la mairie de Bobigny présentant, au milieu des fauteuils en forme de cœur, une Marianne africaine. 

lesjardinsduzephyr2J’IRAI DORMIR CHEZ VOUS, DANS LES CITÉS

Les touristes peuvent même dormir dans les quartiers du si redouté « 9 – 3 ». Depuis deux ans, l’association Accueil banlieues propose une formule de chambres d’hôtes. Pour une somme modique, les habitants ouvrent leurs portes, offrent une chambre individuelle et un petit déjeuner et, surtout, font découvrir les banlieues de l’intérieur. Si l’offre de logement est économique, elle ne doit pas représenter seulement une solution avantageuse. Les visiteurs s’engagent à passer une demi-journée au moins à découvrir le quartier avec les hébergants. 

« Nous voulons montrer que la banlieue ce n’est pas une zone de non-droit. La réalité est plus subtile et contrastée », explique la présidente de l’association Marie-Pierre Agnes. Non, pas de programmes cage d’escalier squattée ou frisson nocturne côté HLM, mais une excursion chaleureuse chez des habitants dans leurs quartiers. « Les visiteurs sont généralement surpris par les espaces verts,  raconte Marie-Pierre Agnès, ils s’attendent à voir des tours de bêtons. » Marie Fonteneau, vendéenne, a apprécié cette découverte. Depuis 2010, elle a renouvelé ces séjours en banlieue où elle dit « se ressourcer » : « Plus je connais l’ambiance et plus je l’apprécie, explique la provinciale. Le dépaysement est réel, c’est un autre ailleurs ». 

Si le projet Pantin Plage n’est pas encore d’actualité, les touristes peuvent se laisser tenter par des expéditions plus locales en suivant par exemple le slameur Hocine Ben dans une visite de la Maladrerie, son quartier natal à Aubervilliers. L’auteur et comédien sait naviguer parmi les ateliers d’artiste et ponctue la virée de ses slams racontant son attachement à la cité. « L’idée, ce n’est pas de changer l’image du quartier mais le regard des gens, fait remarquer le Hocine Ben. Je voudrais montrer qu’on peut se balader dans un quartier populaire comme on se promène sur un site touristique de Paris ». 

breves10UN SUCCÈS MODESTE CONTRE UNE RÉPUTATION BÉTON

Le succès en matière de tourisme alternatif se chiffre en centaines de visiteurs sur l’année. « C’est modeste, mais suffisant pour espérer un développement et faire un pied de nez à tous ceux qui nous prédisait que cette région n’était pas touristique », fait remarquer Daniel Orantin. Le public est  principalement francilien, « à environ 90% ». La proportion des visiteurs étrangers est très faible mais le département espère attirer davantage ce public grâce au partenariat avec Parisien d’un jour.  Depuis 2006, cette association propose des balades gratuites dans Paris intra-muros organisée par des habitants bénévoles. Dorénavant, l’association suggère aux touristes étrangers d’aller faire un tour du côté de Pantin, Montreuil ou Bobigny. 

Ces deux tourismes pourraient se complèter dans le cadre d’un « Grand Paris » qui représente pour Daniel Orantin « la capitale telle que la voit les touristes, aussi étendue que l’est la carte du métro ».  Ce dernier défend le rôle complémentaire que peut jouer les banlieues : « Les touristes ne veulent pas seulement aller voir les sites incontournables de Paris, ils veulent également découvrir comment vit un parisien et sur ce terrain, la banlieue peut jouer un rôle d’avant-garde. » 

Après un séjour, les visiteurs n’envisagent pas les banlieues de la même manière. « Auparavant je ne comprenais pas l’idée d’aller s’entasser dans des banlieues où le chômage est pire qu’ailleurs, relate ainsi Marie Fonteneau. Aujourd’hui je comprends mieux, à la fois l’attachement des habitants pour leur quartier, et les raisons qu’ils peuvent avoir de se révolter ».  

« Le tourisme apporte sa pierre pour combattre la mauvaise réputation du quartier fait valoir Daniel Orantin. Aujourd’hui la ville de Pantin envisage par exemple de mettre en place un port de plaisance. Cela signe une véritable mutation dans la perception des quartiers populaires que le tourisme alternatif a largement soutenue. » La Seine Saint Denis se verrait bien à l’avenir troquer une notoriété faite de voitures brulées et d’émeutes urbaines contre celle d’une destination touristique parmi d’autres. 

Source : http://www.marianne.net

 

 

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Publié le 21 Août 2013

marchesolidaire.jpgLa rédaction d’Aulnaylibre ! vous propose de prendre connaissance ci-dessous d’un article du Parisien paru ce matin évoquant la mise en vente demain de fruits et légumes à prix solidaires dans dix villes de la Seine-Saint-Denis. Malheureusement, Aulnay-sous-Bois ne fait pas partie de cette liste. On se demande bien pourquoi ?

C’est un rendez-vous devenu traditionnel. Cageots de tomates, pêches, salades vont surgir demain au coin de la rue, dans dix villes du 93. Des producteurs du Lot-et-Garonne organisent, avec le Parti communiste et le syndicat agricole du Modef, une vente solidaire de fruits et légumes, à prix modéré (2 € le kilo de nectarine, 1,20 € celui de prunes, 1,20 € celui de tomates, deux melons pour 3 €) dans toute l’Ile-de-France. Objectif affiché : lutter contre la flambée des prix qui ont bondi de 14 à 17% par rapport à l’été dernier.

Les distributions auront lieu à : Aubervilliers, 156, rue Danielle-Casanova (17h30); Bagnolet, place du 17-Octobre-1961 et au 78, rue Robespierre (10 heures); Bobigny, place de la Libération (9h30); La Courneuve, place de la Fraternité (10h30), au centre commercial Verlaine (16 heures), à la boulangerie Anatole-France et au Franprix du centre-ville (18 heures); Montreuil, quartier de la Noue, barrière de l’Aful (17 heures), place du Morillon (17 heures), angle de la rue du capitaine-Dreyfus et de l’avenue du Président-Wilson (17 heures); Noisy-le-Sec, 27, rue Henri-Barbusse (de 17h30 à 20 heures); Pantin, en face du métro Eglise, mail Charles-de-Gaulle (16h30), au métro Hoche (17 heures); Saint-Ouen, place Peyret (17h30), place de la Mairie (17h30), boulangerie du Vieux-Saint-Ouen (18 heures); Saint-Denis, place Jaurès (18h15); Tremblay, cours de la République (17 heures), place du Bicentenaire (18 heures).

Source : Le Parisien

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Publié le 19 Août 2013

police-girophare-roujas-640x280_640x280.jpgLa collision a eu lieu à 18 heures ce lundi, dans la cité de la Rose-des-Vents (dite des 3000) à Aulnay-sous-Bois. Trois policiers ont été blessés dans un accident de la circulation. Leur voiture a été percutée par le véhicule d’un particulier. Selon un témoin sur place, l’accident a eu lieu au croisement de la nationale 2 et de la rue Auguste-Renoir, à la hauteur de la Maison de l’emploi (Meife). Deux des fonctionnaires présentent des blessures légères. Le conducteur a dû être désincarcéré par les pompiers et souffre d’un traumatisme crânien, mais ses jours ne seraient pas en danger.

Source : Le Parisien

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Publié le 19 Août 2013

Plus de 600 000 euros ont été collectés pour la future mosquée d’Aulnay-sous-Bois pendant le ramadan, d’après l’association porteuse du projet (Association culturelle des musulmans d’Aulnay). L’essentiel des financements a donc été trouvé pour la construction de cet édifice de 2000 m2, ainsi que celle d’un centre culturel et éducatif mitoyen, qui coûteront au total 5 M€. La somme a été entièrement collectée auprès de la communauté musulmane. Le bâtiment doit être livré dans les mois à venir. Le dôme n’ayant pas encore été posé, une toile blanche a été posée pendant le mois de jeûne pour permettre d’accueillir les prières.

Source : Le Parisien / Vidéo : Aulnaylibre !

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Publié le 17 Août 2013

canalourcq-copie-1.jpgLe passé industriel de Pantin se dévoile au fil de l’eau. Des Grands Moulins transformés en bureaux de BNP Paribas à la blanchisserie industrielle Ellis, en passant par les anciens magasins généraux des douanes, l’office de tourisme de Seine-Saint-Denis vous propose une balade urbaine demain le long du canal de l’Ourcq. L’occasion de découvrir « l’influence de l’Ourcq sur la vie économique de Pantin ». Ce trajet découverte de 3 heures à pied, intitulé « Avant la plage, le travail », se terminera par un goûter convivial. Les inscriptions de dernière minute sont possibles, mais il faudra présenter son mail d’inscription au début du parcours.

Demain, 15 heures, mail Charles-de-Gaulle, Pantin. Tarif : 5 €. www.tourisme93.com.

Source : Le Parisien

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Publié le 16 Août 2013

psa-aulnay-indemnites-greve-1819954-jpg_1648005.jpgLa direction de PSA est assignée pour inégalité de traitement entre grévistes et non-grévistes. Ces derniers veulent les mêmes avantages que ceux qui ont participé au mouvement.  

Conformément à ce qui avait déjà été annoncé en juin, le syndicat majoritaire à PSA Aulnay-sous-Bois a demandé vendredi à la direction du groupe automobile l'extension à des salariés non-grévistes d'une prime de fin de conflit, accordée mi-mai aux grévistes CGT et CFDT après 4 mois de grève dure. "Les protocoles de fin de grève doivent s'appliquer à tout le monde", a affirmé l'avocat du syndicat SIA, Philippe Lejard, lors d'une audience en référé (procédure d'urgence) devant le tribunal de grande instance de Paris.

Grâce à cette indemnité de 19 700 euros, "un gréviste avec dix ans d'ancienneté peut partir avec un chèque de 60 000 euros (indemnités de licenciement comprises) contre 40 000 euros pour un autre salarié", a indiqué avant l'audience Tanja Sussest, déléguée du SIA, qui dénonce une "inégalité de traitement".

Après avoir bloqué l'usine pour contester la fermeture du site, les grévistes avaient accepté le 14 mai de mettre fin au mouvement lancé le 16 janvier par la CGT en signant un accord avec la direction qui prévoyait une indemnité exceptionnelle de 19 700 euros. En échange, les grévistes s'engageaient à partir avant le 31 mai et abandonner les recours contre le plan de restructuration. Cette mesure avait fait grincer des dents parmi les salariés, divisés par 4 mois de grève entachée par des dégradations et des menaces de mort, certains dénonçant une "discrimination syndicale".

Grévistes et non-grévistes, même combat ?

À la signature du protocole, les syndicats CGT et CFDT avaient présenté à la direction une liste de 210 "parties prenantes au conflit", dont 160 sont partis dans le cadre de l'accord, selon l'avocate de PSA, Yasmine Tarasewicz. La direction avait ensuite accepté de l'étendre à tous les salariés du site candidats au départ anticipé, sous réserve qu'ils justifient au minimum d'un CDD de 6 mois - "pour éviter de lâcher 600 personnes dans la nature", selon Me Tarasewicz.

Environ 300 personnes - en plus des 160 grévistes - ont bénéficié de l'accord et de la prime, mais 550 en ont été exclues faute de présenter une promesse d'embauche, condition qui n'était pas opposable aux personnes concernées par l'accord initial. Cette prime devait permettre "la reprise du travail dans des conditions apaisées". Elle devait aussi compenser financièrement la renonciation aux mesures d'accompagnement prévue par le plan social.

Selon l'avocate de PSA, les salariés grévistes, "marqués au fer rouge", étaient exposés au "risque de voir leurs candidatures à des reclassements internes et externes évincées". Décision attendue le 10 septembre.

Source : http://www.lepoint.fr

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Publié le 16 Août 2013

ordinateur.jpgCe chauffeur de camion n’est pas prêt d’oublier la matinée d’hier sur le parking de la zone logistique Garonor à Aulnay-sous-Bois. Vers 8h30, cinq malfaiteurs, cagoulés et gantés, l’ont obligé, sous la menace d’un couteau, à leur remettre son chargement, 150 ordinateurs. Les malfrats les ont sortis du semi-remorque pour les déposer dans un autre véhicule avant de prendre la fuite. La victime n’a pas été blessée. Le préjudice est estimé à près de 100000 €. L’enquête a été confiée à la Sûreté territoriale.

Source : Le Parisien

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Publié le 14 Août 2013

burger.jpgPréparer un burger… au fil de l’eau. C’est ce que propose le collectif Plaine de saveurs. A l’occasion des deux derniers week-ends de « l’Eté du canal », il organise un atelier cuisine à bord des navettes fluviales sur le canal de l’Ourcq, au départ du bassin de la Villette. A bord, les curieux apprendront à revisiter ce classique autour d’un thème évocateur : « Burgers du monde » durant deux heures.

Samedi à 19h30 et le 24 août à 20h30. Départ du bassin de la Villette. Tarif : 25 € par personne. Inscription sur www.tourisme93.com.

Source : Le Parisien

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Publié le 13 Août 2013

palestine93.jpgDix enfants et adolescents palestiniens, âgés de 11 à 14 ans, arrivent aujourd’hui en Seine-Saint-Denis. Ils viennent du camp de réfugiés Al-Amari situé à Ramallah, en Cisjordanie et vont être accueillis ce soir par les bénévoles du Secours populaire du 93, pour passer quinze jours de vacances en région parisienne et au bord de la mer à Dieppe (Seine-Maritime). Ils seront, ce soir, à partir de 19 heures, sur la « péniche de la solidarité », affrêtée par la ville de Pantin, sur le canal en face de l’église. Une exposition photo permettra de découvrir les portraits de Mohammed Abbas, qui montrent le quotidien de ces enfants. Ce photographe âgé d’une vingtaine d’années vit sur place.

Source : Le Parisien

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Publié le 12 Août 2013

couteau.jpgUne sombre histoire de rivalité amoureuse serait à l’origine d’une violente agression, samedi, vers 17 h 30, allée des Hêtres à Aulnay-sous-Bois. Deux jeunes hommes ont porté deux coups de couteau au niveau de l’abdomen de leur victime. Celle-ci, âgée de 19 ans, a été transportée à l’hôpital Robert-Ballanger d’Aulnay-Villepinte. Ses jours ne seraient pas en danger. Les policiers du commissariat de la ville sont parvenus à interpeller les auteurs de l’agression qui ont été placés en garde à vue.

Source : Le Parisien. Photo d’illustration.

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Publié le 12 Août 2013

canalourcq.jpgConnaissez-vous l’histoire du canal de l’Ourcq, ce long ruban d’eau qui relie la Seine-et-Marne à Paris en traversant la Seine-Saint-Denis? Un passionné vous propose de la découvrir lors d’une randonnée au départ de Pantin. Cette balade commentée, organisée par le comité départemental du tourisme, peut se terminer à Bondy, Sevran ou Villepinte, selon les envies et la météo. Prévoir des chaussures de marche et des boissons.

Mercredi à 9h30 au départ de la gare RER E à Pantin, tarif : 5 €. Inscription sur www.tourisme93.com.

Source : Le Parisien

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Publié le 11 Août 2013

CHAMBREHOTE.jpgBien connue dans les régions touristiques de province, la chambre d’hôte est plus rare en Ile-de-France. Pourtant, de plus en plus de propriétaires y ont recours et la demande ne manque pas.

Se lever à 5 h 30, aller chercher des viennoiseries chez le boulanger, presser des oranges lorsque ses hôtes se lèvent pour leur servir un jus de fruits frais, refaire les chambres lorsqu’ils partent… Tel est désormais le quotidien de Robert Glaive. Depuis un peu plus d’un an, ce trentenaire s’est lancé dans l’aventure de la chambre d’hôte en ouvrant cinq confortables chambres dans sa « chaumière » de 300 m² à Sucy-en-Brie (Val-de-Marne). Et il n’est pas le seul. Deux des principaux labels, Gîtes de France et Clévacances, enregistrent une hausse de leur offre en Ile-de-France. Celle-ci est en effet passée de 310 à 333 annonces entre le catalogue 2012 et celui de 2013.

« Il y a une réalité économique. Ouvrir une chambre d’hôte représente un complément de revenu, mais il y a aussi sans doute une volonté de faire découvrir son environnement, sa ville… » avance François Navarro, directeur de la communication au comité régional du tourisme Paris Ile-de-France. La démarche heurte certains hôteliers qui crient à la concurrence déloyale.

Robert a, lui, réalisé son rêve en 2011 après avoir fait un héritage : « Je voulais être mon propre patron, explique cet ancien réceptionniste d’hôtel. Un jour, j’ai découvert cette maison et j’en suis tombé amoureux. » Avec son imposant toit de chaume, son jardin de 1200 m² et un petit cours d’eau qui serpente, la demeure séduit les clients sur Internet : « Je viens ici une fois par mois depuis six mois et je ne m’en lasse pas, confie Luc, un commercial de Limoges. On dort tranquille, on se croirait à la campagne. C’est mieux que certains hôtels qui pratiquent le même prix (70 €)… En plus, Robert sert des jus d’orange frais. C’est super sympa! » Le propriétaire accueille également des personnes qui ne peuvent pas être hébergées, faute de place, dans leurs familles ou chez leurs amis lors de visites, de mariage…

« Le carnet du mois d’août est super bon. J’ai eu du monde et des réservations jusqu’au 14 », précise-t-il, rassuré. Il n’en a pas été de même au début : « J’ai bien cru que j’allais tout abandonner. J’ai beaucoup investi dans les travaux. Au bout d’un an, je ne peux pas dire que j’en vis. Heureusement que ma mère est là. » Robert tient à casser le mythe de la chambre d’hôte : « Certains pensent que ça n’est pas du travail. Or, il y a des contraintes : se lever tôt, faire le ménage… » Il n’échangerait pour autant sa place pour rien au monde : « J’adore échanger avec les gens et j’apprécie ce sentiment de liberté… »

Source : Le Parisien

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