humeur

Publié le 5 Mai 2020

A l’heure où le déconfinement s’approche à grands pas, on assiste presque médusé au réveil tardif et poussif de l’opposition à Aulnay-sous-Bois !

Jusque-là silencieuses derrière leur mutisme, voilà en effet qu’ « Aulnay En Commun » et « Aulnay plus fière plus forte » semblent sortir d’un long sommeil léthargique post-électoral.

Vu le résultat des dernières élections municipales nous ne tirerons évidemment pas sur cette opposition, qui a des allures d’ambulance aux quatre pneus crevés, mais on s’étonnera de ce zèle soudain à revenir sur le devant de la scène alors que les agents municipaux, le maire Bruno Beschizza et sa première adjointe Séverine Maroun sont sur le front 24 heures sur 24 depuis que les mesures de confinement ont été décrétées le 17 mars dernier.

Nous ne nous attarderons pas sur les propos des représentants d’ « Aulnay En Commun ». Ils sont abondamment relayés par les deux blogueurs, confortablement planqués derrière leur ordinateur mais jamais avares en matière de critiques envers la majorité municipale, qui figuraient sur cette liste lors du scrutin de mars 2020.

En revanche, on est très gêné pour « Aulnay plus fière plus forte ». Comment en effet expliquer la passivité des représentants locaux de La République En Marche dans cette crise sanitaire ? Ils devraient être les relais de la parole du président Emmanuel Macron et de son Premier ministre Edouard Philippe. C’est à eux d’expliquer aux Aulnaysiennes et aux Aulnaysiens pourquoi l’Etat a eu les pires difficultés à gérer la pandémie. C’est à eux de dire pourquoi le ministre de la santé, Olivier Veran, affirmait au début que les masques n’étaient pas nécessaires, voire inappropriés, alors qu’ils sont désormais obligatoires, cette cacophonie engendrant en ce moment des ruptures d’approvisionnement. C’est aussi à eux de porter la décision politique de LREM de rouvrir les écoles début mai alors que le conseil scientifique préconisait d’attendre le mois de septembre !

Au lieu de cela, « Aulnay plus fière plus forte » pose des questions ! C’est pourtant à eux qu’il faudra demander des comptes une fois le virus mis hors d’état de nuire !

Ainsi, ne nous trompons pas. Certes, en faisant des propositions l’opposition est dans son rôle, mais personne n’est dupe de sa passivité et de son incapacité à gérer efficacement et concrètement la crise sanitaire sur le terrain. Pendant que le maire Bruno Beschizza est en première ligne, d’autres profitent peut-être du confinement pour écrive un livre en vue des prochaines élections municipales de 2026 qui pourrait s’intituler « journal d’un confiné à Paris découvrant la crise sanitaire à Aulnay-sous-Bois » !

Dès lors, nul doute que, comme en 2020, lors du scrutin municipal de 2026, les Aulnaysiennes et les Aulnaysiens sauront trier le bon grain de l’ivraie !

Source : contribution externe d’un électeur Aulnaysien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 2 Avril 2020

Alors que le monde entier fait face à une crise sanitaire sans précédent depuis la grippe espagnole de 1918, que les familles endeuillées s’accumulent et que le confinement peine à ralentir le nombre de malades et de victimes du Covid-19 ou Coronavirus, certains à Aulnay-sous-Bois n’ont visiblement rien de mieux à proposer qu’une tribune politique pour ne pas sombrer dans l’oubli !

Ainsi, en l’absence de publication du magazine municipal Oxygène au mois d’avril, les représentants de la liste Aulnay En Commun ont publié sur leur blog de campagne (MonAulnay.com) quelques lignes pour le moins indécentes compte-tenu de la situation gravissime que traverse notre pays.

Tout d’abord, et c’est un premier enseignement, ils s’expriment en tant qu’élus PS, PRG et PCF, ce qui prouve ce que l’on savait déjà : la prétendue démarche citoyenne et participative de la liste Aulnay En Commun n’était qu’un leurre pour tenter un retour aux affaires après le fiasco de la gauche rassemblée autour de l’ancien maire Gérard Ségura. La France Insoumise (LFI) avait d’ailleurs compris très tôt la supercherie en quittant rapidement le navire.

Autre point à remarquer, la gauche Aulnaysienne se plaint du manque de moyens des hôpitaux. Une posture honteuse lorsque l’on songe que dès 2014, sous la présidence de François Hollande, la ministre de la santé Marisol Touraine lançait un plan d’austérité en demandant aux établissements hospitaliers de réaliser des économies d’au moins 3 milliards d’euros d’ici à 2017 ! (Voir article : ici).

La gauche est du reste la pire ennemie des services publics. Rappelons que François Hollande puis Emmanuel Macron ont torpillé les collectivités territoriales en les privant arbitrairement de 23 milliards d’euros de recettes. Dans cette opération, la ville d’Aulnay-sous-Bois a d’ailleurs perdu 26 millions d’euros de ressources qu’elle aurait pu investir dans l’intérêt des habitants de la commune.

Enfin, dernier point, en lien avec la thématique locale, la tribune de la liste Aulnay En Commun revient sur les dernières élections municipales, les qualifiant de simulacre. Il est important de rappeler que le 12 mars 2020, soit 3 jours avant le scrutin, Olivier Faure, premier secrétaire du Parti Socialiste, et Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, expliquaient devant les micros qu’il n’y avait aucune raison de reporter le vote ! (Voir vidéo : là).

Dès lors, si la gauche locale rassemblée (PS, PRG, PCF, Europe Ecologie Les Verts) n’est pas satisfaite du résultat du premier tour des élections municipales, elle devrait s’en prendre d’abord à elle-même plutôt que de jouer les pleureuses. Il parait évident qu’au moment de glisser leur bulletin dans l’urne une majorité d’Aulnaysiennes et d’Aulnaysiens ne voulait pas revivre le traumatisme des années 2008-2014 marquées par un traitement brutal du personnel communal, un mépris des habitants et une gestion financière calamiteuse responsable de 70 millions d’euros de dette en seulement 6 ans !

La tribune politique précise finalement qu’un recours au Tribunal administratif a été déposé. Il ne fera pas oublier que le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, est arrivé en tête dans la totalité des bureaux de vote de la ville, et qu’il l’a emporté avec près de 60% des suffrages et 6 000 voix d’avance…

Source : un électeur Aulnaysien / Source photo d'illustration : Wikipédia

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 27 Mars 2020

Nous n’en sommes malheureusement qu’au début, mais la crise sanitaire à laquelle le monde moderne fait face actuellement est sans précédent. Elle sème chaque jour la mort. Plus de 20 000 victimes au niveau mondial, plus de 8 000 en Italie, plus de 4 000 en Espagne et sans doute pas loin de 2 000 en France.

Alors que des familles de plus en plus nombreuses pleurent leurs proches, certains habitants à Aulnay-sous-Bois semblent avoir des préoccupations bien plus urgentes et importantes ! A commencer par les blogueurs intégristes de MonAulnay.com qui annoncent tambour battant un recours suite à l’élection au premier tour de Bruno Beschizza.

C’est sans doute dur à avaler pour eux, qui ont soutenu une liste de gauche rassemblée en effectuant une campagne honteuse et indigne à travers leur blog de propagande, mais le maire a été réélu dans un fauteuil. C’est même un plébiscite. Près de 60% des suffrages, en tête dans tous les bureaux de vote de la ville et 6 000 voix d’avance sur Aulnay En Commun ! Même le très populaire Jean-Claude Abrioux a toujours été élu au second tour.

Autre polémique du moment agitée par les deux scribouillards de MonAulnay.com, l’abattage, ô mon dieu, de trois malheureux chênes centenaires dans le jardin d’un pavillon de notre commune ! Non mais quel drame, à l'instant même où le Covid-19 frappe mortellement juste à côté de chez nous ! Une adolescente de 16 ans pleine de vie et de rêves en Essonne, deux élus municipaux aimés et respectés à Drancy et tous ces anonymes fauchés par le virus.

Alors ramenons les choses à leur juste proportion. Des élections et des recours il y en aura d’autres. Des arbres tomberont et certains repousseront. Mais pour celles et ceux tués par le Coronavirus il n’y aura pas de seconde chance. La mort frappe une seule fois et c’est définitif. C’est pourquoi protégeons-nous, prenons soin de nos proches, laissons le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza prendre les mesures nécessaires pour que le personnel municipal puisse continuer ses missions de service public en toute sécurité. C’est le plus important. Tout le reste peut attendre…

PS : si les deux petites frappes de MonAulnay.com sont sujettes aux aigreurs d’estomac, une bonne tisane aux cactus devrait les soulager !

Source : contribution externe

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 13 Mars 2020

Le discours prononcé hier soir à la télévision par Emmanuel Macron à propos du Coronavirus est un exemple flagrant du « en même temps » si cher au président et pourtant si contradictoire !

 

Je suis senior et non monsieur Macron vous ne m’empêcherez pas de choisir mon maire à Aulnay-sous-Bois !

En effet, alors que tous les annonces vont dans le sens d’un confinement général, fermeture des crèches et des établissements scolaires, interruption des manifestations sportives et culturelles, incitation au télétravail pour éviter les déplacements professionnels, la tenue des élections municipales de dimanche est pourtant maintenue !

Avec une rhétorique ambiguë du président de la République puisqu’il invite gentiment les seniors à rester chez eux plutôt que de prendre le moindre risque face à l’épidémie. Ce discours n’est-il pas en soi une tentative d'intrusion déguisée dans le scrutin de nature à en modifier l’issue ?

Alors désolé, monsieur Macron, ce stratagème ne fonctionnera pas avec moi. Je suis senior et j’irai voter dimanche. D’abord parce que les mesures d’hygiène et de sécurité ont été renforcées dans notre commune et ensuite parce que vous ne m’empêcherez pas choisir mon maire à Aulnay-sous-Bois !

Et au moment de glisser mon bulletin dans l’urne je n’oublierai pas non plus comment vous avez réduit ma retraite et celle de mes vieux concitoyens…

Source : contribution externe. Source dessin : https://www.marianne.net (Article à lire : ici)

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 3 Juillet 2019

Dans la jungle des blogs locaux, MonAulnay.com s’est toujours caractérisé par son petit côté donneur de leçons. Quand certains publiaient des faits divers, MonAulnay.com levait les yeux au ciel et écrivait oh la la pas de ça chez nous ! Chez nous, nous ne mangeons pas de ce pain-là ! Mais pris par la nécessité de publier tous les jours pour faire un minimum d’audience, ils ont fini par en poster.

Ensuite, quand d’autres publiaient un article du journal Le Parisien sur leurs blogs, MonAulnay.com prenait un air courroucé et écrivait oh la la pas de ça chez nous ! Chez nous, nous ne mangeons pas de ce pain-là ! Nous ne publions que des articles faits maison. Mais pris par la nécessité de publier tous les jours pour faire un minimum d’audience, ils ont fini par en poster également.

Ces derniers temps, Hervé Suaudeau et Jean-Louis Karkides, les Dalton de l’info, ont franchi un cran supplémentaire dans la manière d’utiliser MonAulnay.com pour donner des leçons. D’un blog supposé d’information, ils ont fait un blog d’opinion qui tire désormais à boulets rouges sur la quasi-totalité des actions menées par le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, et son équipe municipale.

Une élue participe à un rallye humanitaire ? MonAulnay.com couvre cet événement d’opprobres ! Un pavillon est en ruines rue Jules Princet, la ville va en faire un espace de respiration verdoyant ? MonAulnay.com trouve que la bâtisse était d’une architecture remarquable ! Une place piétonne et arborée va remplacer un affreux parking au stationnement anarchique place Abrioux ? MonAulnay.com crie au meurtre pour quelques plantations qui seront pourtant remplacées ! Une piscine mal entretenue et sur le point de s’effondrer va devenir un stade nautique olympique ? MonAulnay.com fustige le projet ! La revitalisation du site de l’ancienne usine PSA est à l’étude ? MonAulnay.com annonce la destruction du parc Robert Ballanger alors que la concertation vient à peine de débuter ! Le maire Bruno Beschizza limite ostensiblement le nombre des constructions sur l’axe Mitry-Princet en renégociant la concession laissée par son prédécesseur ? MonAulnay.com hurle à la bétonisation !

On pourrait enchainer les exemples qui démontrent la dérive sectaire et quasi-extrémiste des deux derniers rédacteurs à alimenter MonAulnay.com, lieu d’expression pourtant pluraliste il y a quelques années. Insinuations douteuses, mauvaise foi caractérisée, rumeurs relayées sans preuves, suppositions non documentées, amalgames sournoisement distillés, affirmations fermes et définitives publiées sans analyse ni recul, mise en cause des compétences du directeur général des services de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Tout est bon pour pourrir, salir… quitte à blanchir un peu plus tard avec quelques plates excuses.

Vous l’aurez compris. Le doute n’est plus permis. MonAulnay.com est devenu numéro 1 sur l’information boules puantes à Aulnay-sous-Bois !

Collectif DEF      

Voir les commentaires

Rédigé par Collectif DEF

Publié dans #Humeur

Publié le 29 Mai 2019

Quand ils ne sont pas occupés à vider les caisses de la ville au risque de la plonger dans la faillite financière, le sport favori des socialistes à Aulnay-sous-Bois est le championnat du monde des pleureuses !

Dès qu’un lapin du parc Robert Ballanger fait un pet de travers c’est le drame ! Et un stock complet de boites de mouchoirs en papier y passe !

Dernier exemple en date, le scrutin des élections européennes de dimanche dernier. Selon eux, "des incidents douteux" seraient intervenus dans plusieurs bureaux de vote. Et de pointer du doigt, les élus, les présidents des bureaux de vote, les assesseurs et les agents administratifs.

Avant de s’emballer comme les socialistes, prenons le temps de rappeler quelques faits très simples quant à l’organisation de cette élection dans notre commune.

Il y a 51 bureaux de vote à Aulnay-sous-Bois. Pour effectuer l’ouverture de chacun d’entre eux dans de bonnes conditions à 8 heures précises, il faut impérativement la présence d’un président, de deux assesseurs titulaires et de deux agents administratifs, au moins une heure à l’avance pour assurer l’installation réglementaire.

Il faut préparer les tables, scotcher les affiches réglementaires à l’entrée et dans les isoloirs, installer les sacs poubelle dans les isoloirs, recompter les enveloppes pour s’assurer que leur nombre est au moins équivalent à celui des inscrits, fermer l’urne avec deux clés différentes, et bien entendu disposer les bulletins de vote en s’assurant que la hauteur des tas est homogène. Concernant cette dernière opération, notons que pas moins de 34 listes se présentaient à cette élection européenne !

Lourdeur administrative d’un scrutin électoral  

A Aulnay-sous-Bois, l’amplitude horaire d’ouverture d’un bureau de vote s’étend de 8 heures à 20 heures. Une fois le vote terminé, il faut vérifier que la liste d’émargement est en ligne avec le nombre de votants et le nombre d’enveloppes dans l’urne. A partir de là, le dépouillement peut commencer, à condition d’avoir réussi à recruter aux moins quatre scrutateurs bénévoles et volontaires !

Mais ce n’est pas tout. Une fois le dépouillement terminé, avec un peu de chance aux alentours de 21h30, il faut encore remplir une tonne de paperasse administrative correctement. Malheur à vous, s’il manque un chiffre ou une signature ! Enfin, les procès-verbaux et les différents documents remplis et signés par les membres des 51 bureaux de vote sont scrutés par des agents de la ville (très patients et calmes au demeurant) au centre administratif pour s’assurer que tout est conforme avant envoi en préfecture.    

Donc, vous l’aurez compris dans les lignes qui précédent, tout ce processus électoral, plutôt très lourd à organiser et à gérer, est avant tout basé sur l’humain. Or l’humain n’est pas une machine ! Comment imaginer que sur autant de bureaux de vote, une amplitude horaire si importante et une multitude d’opérations manuelles imposées par le règlement administratif, il n’y ait pas quelques erreurs possibles. Elles peuvent d'ailleurs être consignées par écrit sur le procès-verbal envoyé en préfecture. Rappelons aussi que des membres de la commission de contrôle des élections passent dans chaque bureau de vote pour s'assurer que tout est conforme. Alors, si certains réclament le zéro défaut, et bien qu’ils l’assument clairement en demandant le retour des machines à voter !

Dans ces conditions, l’attitude pleureuse des socialistes est totalement inadmissible. Et ceci d’autant plus qu’il a fallu trouver des assesseurs titulaires à la dernière minute sous peine de ne pas pouvoir ouvrir la totalité des bureaux de vote ! Il y avait 34 listes à se présenter. Où étaient donc les assesseurs de La République En Marche, de La France Insoumise, des Ecologistes, du Parti Socialiste, pour ne citer qu'eux ?  

Ainsi, les socialistes d’Aulnay-sous-Bois feraient mieux de pleurer sur leurs échecs électoraux, dont ils sont les seuls responsables, plutôt que de jeter l’opprobre et la suspicion sur des présidents et vice-présidents de bureaux de vote, des assesseurs titulaires et suppléants, des scrutateurs et des agents administratifs de notre ville, qu’il faudrait au contraire saluer pour leur engagement dans l’organisation du vote, seul garant de notre bonne santé démocratique !

Source : contribution externe

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 30 Janvier 2019

Ah que la campagne (politique) est belle... Dans le Canard enchaîné, une des rubriques porte un nom très particulier. C’est le « Pan sur le bec ». Force est de constater que les deux compères de la pseudo-rédaction du pseudo-blog pseudo-libre et pseudo-indépendant MonBidet.com ne doivent sûrement pas en être des lecteurs aguerris.
 
Depuis maintenant quelques semaines, nous assistons à un déversement répétitif mais appliqué de sottises qui n’honorent pas vraiment les précédents auteurs de la belle époque de ce blog que les Aulnaysiens ont pu avant apprécier. Les rédacteurs actuels ont dévoyé son esprit. Ils sont rentrés aujourd’hui dans une opération permanente de destruction, bien loin de ceux qui l'ont animé à leurs débuts. Une démarche qui consiste à tenter de salir sans vergogne et sans retenue. Pire, c'est toujours sans preuve, ni décence, qu'ils déversent des immondices sur le maire actuel, son entourage, ses élus et ses actions. La vérité importe peu pour eux, seul compte la boue qu'ils croient déverser. Ce n'est plus MonAulnay.com mais bien MonVomi.com. 
 
Rappelons d'ailleurs que nos deux compères de la politique locale pèsent "lourds" dans la balance électorale. Par exemple, la dernière fois que celui que nous nommerons Laurel s’était présenté à une élection, c’était pour les régionales 2015. Celui-ci était 6ème de la liste F.L.U.O. menée par Sylvain DE SMET. Son nom avait recueilli sur la commune d’Aulnay-sous-Bois pas moins de… ** roulement de tambours ** 53 voix ! C’est peut-être en ayant appris de cette expérience électorale ratée que celui-ci cherche aujourd’hui à innover en se disant que plus il salira, plus il aura de voix. Démarche quelque peu audacieuse et tellement vomitive.
 
Laurel le bien nommé a pourtant été plusieurs fois mis en examen par différents juges d’instruction (des fois que ceux-ci puissent être accusés d’être à la solde du maire, peut-être se sont-ils relayés afin de ne pas être accusés de partialité ?). Pourtant, lui et son complice Hardy, ne semblent apprendre que peu de leurs erreurs d’avant. Cela fait pâlir d’envie Kim Jong-un, le Président du Parti du travail de Corée. Le blog se trouvant ainsi affublé du sobriquet MonPyongyang.com ne peut mieux trouver de surnom tant les similitudes sont grandes du fait des agissements de ses rédacteurs toujours prompts à désinformer la population.
 
Voilà donc leur dernier article en date sobrement intitulé « Le maire chouchoute Verrechia en inaugurant le projet privé immobilier place ex Camélinat ». Bon, il faudra expliquer à nos deux compères de l’esbroufe qu’une inauguration, c’est quand c’est terminé. Or, l’immeuble de la place Abrioux dont nous parlons n’est pas terminé. Pas étonnant qu'ils ne le sachent pas n'habitant pas la place. Ici, il s’agissait donc de la pose symbolique d'une première pierre d’un immeuble, et pas d'une inauguration. Accumulant contre-vérités, omissions et affabulations sans aucune preuve (pourquoi se gêner ?), et surtout sans même avoir été sur les lieux, nos deux gladiateurs aux lances en plastique dénoncent donc des « festivités exceptionnelles ».
 
 
Festivités exceptionnelles, qu'en est-il réellement ? Quand on entend cela, on pense caviar, champagne, foie gras, huîtres, feu d’artifices… Rien de tout cela : un pauvre barnum, de la neige fondue et un buffet modeste. Décryptage de celui-ci avec notre éditorialiste culinaire… 
 
Côté nourriture, des amuses bouches préparés par les deux emblématiques commerçants de la place : le restaurant italien mais aussi le boulanger (il faut bien faire marcher le commerce local quoi qu’en pense MonToupet.com). Et soyons honnêtes, il n’y avait rien de gargantuesque. Des bouts de pizza avec des quiches lorraines… On a connu plus fastueux ! 
 
Côté boissons, c’était prosecco, jus de fruits et eau pétillante. Grand luxe ! Rendez-vous compte : même pas de champagne, juste du prosecco dont le prix unitaire est de 6 à 8,5 € la bouteille (si, si, vérifiez dans vos magasins) ! Alors où donc sont-ils allés chercher l’idée de dire que des « bouteilles de champagne » auraient été distribuées, puisqu’il n’y en avait même pas ? Peut-être que leur source tellement bien informée, non seulement a un très mauvais palais pour confondre prosecco et champagne, mais surtout semble avoir un peu abusé du breuvage car malheureusement pour les convives présents, aucune bouteille n’a été distribuée, tout juste quelques truelles promotionnelles aux acquéreurs présents en guise de souvenir...
 
Au-delà du buffet, qui a été payé par le promoteur et pas par la ville (mais cela MonBouledogue.com oublie bien sûr de le préciser), ceux-ci dénoncent finalement tout simplement la présence du Maire, Bruno Beschizza, à cette cérémonie. Qu’aurait-dû donc faire Beschizza selon nos deux machinistes de la désinformation ? Bouder la pose de la première pierre de l’immeuble sous prétexte que Laurel et Hardy n’aiment pas l’immeuble, alors même qu’ils n’habitent pas la place ? Rappelons que Beschizza, avant même de commencer son petit mot a précisé qu’il n’était pas là pour parler du promoteur (et il ne l'a pas fait) mais bien parler de la ville (et ça il l'a fait, et plutôt bien), et notamment du projet de réaménagement de la place comme de la concertation pour le quartier centre-gare.
 
J’ai une proposition pour les auteurs de MonPyongyang.com, honnêtement, pourquoi n’arrêtez-vous pas d’écrire des âneries ? La blogosphère s’en honorerait. En attendant, les deux rédacteurs de MonÂnerie.com, vous êtes les Laurel et Hardy des prétoires comme des blogs et vous lancez la campagne des municipales de la pire des manières : sur des chapeaux de boue ! 
 
Robert Ferrand

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Humeur

Publié le 10 Décembre 2018

Vendredi dernier, le président du Rassemblement pour Aulnay, Benjamin Giami, et ses alliés de circonstance, se fendaient d’un tract appelant à un retour au calme dans notre commune suite aux incidents s’étant déroulés notamment aux abords du lycée Voillaume.

Sur la forme, pourquoi pas ? Après tout, un appel visant à apaiser les tensions actuelles, quels qu’en soient l’auteur et la portée réelle, ne peut, par principe, pas faire de mal. Néanmoins, sur le fond, quelle démagogie et quelle indécence !

En effet, monsieur Giami se déclare conseiller municipal En Marche à Aulnay-sous-Bois. De fait, il représente donc, à son échelle, le président Emmanuel Macron au sein de cette instance, c’est-à-dire le principal responsable du chaos actuel dans lequel la France est plongée depuis plusieurs semaines !

Dans ces conditions, le tract du Rassemblement pour Aulnay sonne comme de la pure démagogie, puisque Benjamin Giami appelle au calme alors que c’est son mentor qui a mis le feu aux poudres !

Depuis 18 mois, en effet, Emmanuel Macron navigue de fiasco en désillusion. Démissions de ministres englués dans les affaires ou préférant quitter le navire avant la catastrophe (François Bayrou, Françoise Nyssen, Nicolas Hulot, Gérard Collomb…), gestion de crises sans aucune maîtrise crédible (dossier Benalla…), réformes illisibles, politique fiscale inique, punitive et sans cap précis, arrogance et mépris vis-à-vis du peuple… jusqu’aux gilets jaunes.

Résultat des courses, la France est en plein marasme et son image à l’étranger est largement abîmée. Quel bilan depuis mai 2017 ! En Marche et Emmanuel Macron peuvent remballer les slogans tape à l’oeil des débuts « France is back ! » (La France est de retour !) ou « Make France great again ! » (Rendons à la France sa grandeur !).

Dès lors, dans le contexte actuel, on n’attend pas de monsieur Giami et de ses amis opportunistes un simple appel au calme, émis à peu de frais et à la portée relative. On est, en revanche, curieux de savoir quelle est la position du Rassemblement pour Aulnay quant au mouvement citoyen des gilets jaunes ? Soutien, indifférence ou condamnation ? De même, on aimerait connaitre leurs propositions concrètes pour sortir d’une crise qui s’envenime au fil des semaines… ?

En effet, un politique n’est pas là pour faire de la pure communication démagogique. Son rôle est avant tout d’agir. De ce point de vue, justement, le maire Bruno Beschizza a le mérite d’avoir fait le boulot en assurant que la ville d’Aulnay-sous-Bois reste calme ce week-end malgré le contexte de tension extrême.

Après avoir trahi son engagement municipal de 2014, au point de s’allier désormais avec ses anciens ennemis, notamment la très pro-Ségura, Leila Abdellaoui, Benjamin Giami continue de faire de la vieille politique. Le Rassemblement pour Aulnay salit, dénigre, joue les pompiers pyromanes, ne propose rien et manie avec perfidie la surenchère démagogique, pendant que la municipalité est au travail pour les Aulnaysiens.

Monsieur Giami est non seulement peu crédible mais extrêmement indécent…

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 22 Novembre 2018

Il y a cinq jours, nos confrères d'AulnayCap ! publiaient (ici) un article au titre quelque peu polémique. Il s'intitulait : "Scène de désolation au Centre Gare Nord à Aulnay-sous-Bois, on dirait l'Irak !"

Sur la forme, rien à redire. Il n'est pas dans les habitudes de la rédaction d'Aulnaylibre.com, contrairement à celle de MonAulnay.com par exemple, de donner des leçons sur ce que doit ou non publier un autre blog. La liberté d'expression et d'opinion, dans le respect de la loi bien entendu, est un des ciments de notre République.

 

Aulnay-sous-Bois ce n'est évidemment pas l'Irak !

Sur le fond, néanmoins, la comparaison entre Aulnay-sous-Bois et l'Irak n'a aucun sens. Rappelons tout de même, par exemple, que la guerre d'Irak débutée au printemps 2003 a provoqué la mort d'au moins plusieurs centaines de milliers de personnes, selon diverses études. Comparaison n'est donc absolument pas raison dans ce cas précis. 

L'auteur de l'article en question, présenté comme un lecteur, parle en réalité du chantier de construction en cours au nord de la gare d'Aulnay-sous-Bois entre les rues Anatole France et Fernand Herbaut. Il semble se plaindre d'une densification trop importante à cet endroit. Pourtant, elle a tout son sens ici. D'abord, parce que, réglementairement parlant, au niveau du plan local d'urbanisme (PLU) c'est une zone de centralité clairement identifiée et amenée à se développer en accueillant de nouveaux logements, notamment.

Ensuite, ce secteur de la ville est situé à proximité de la gare d'Aulnay-sous-Bois et des commerces du boulevard de Strasbourg. Pour éviter l'étalement urbain, qui est une catastrophe écologique, il convient donc de fixer la population au coeur des villes où tous les services sont accessibles.

 

Aulnay-sous-Bois ce n'est évidemment pas l'Irak !

Dans le cas présent, les nouvelles constructions ont aussi un autre objectif facilement identifiable. Il s'agit de redynamiser la partie de la ville localisée au nord de la gare du RER B. Idéalement, on pourrait envisager l'implantation progressive de nouveaux commerces et activités tout le long de la rue Anatole France jusqu'au garage Ford et même au delà jusqu'au Vieux-Pays.

C'est d'ailleurs dans cette optique que l'ancien Office du tourisme, désormais appelé Maison des projets et du patrimoine, a déménagé du boulevard de Strasbourg vers la rue Charles Dordain. Ce transfert a d'ailleurs une portée symbolique à la fois dans le passé et le futur. Il sauve une magnifique bâtisse historique qui accueillait autrefois le bureau des études urbaines et il fait le pari, qu'à terme, ce secteur Nord de la ville, laissé à l'abandon depuis des décennies, retrouvera un standing comparable à son homologue situé côté Sud, magnifié par le boulevard de Strasbourg que bien du monde nous envie en Seine-Saint-Denis...

 

Aulnay-sous-Bois ce n'est évidemment pas l'Irak !

Robert Ferrand

Source photos : Aulnaylibre.com

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Humeur

Publié le 8 Novembre 2018

Ce matin, dans l’alerte Google, dédiée à Aulnay-sous-Bois, deux articles sont consacrés à la chanteuse Aya Nakamura qui vient de sortir un nouvel album intitulé sobrement « Nakamura ».

Le premier, en provenance de Swigg (à lire ici), nous explique comment Booba, le Duc de Boulogne, qui a su faire son trou dans le rap, a eu un véritable coup de cœur pour Aya Nakamura.

Le second, dans Marie Claire (à lire ), s’interroge sur les raisons du phénomène Aya Nakamura dont les clips vidéo Djadja et Copines enchaînent les vues sur YouTube (respectivement 220 millions et 73 millions !).

Emporté par la foule et l’enthousiasme, le magazine Marie Claire fait même une comparaison assez osée entre Aya Nakamura et Edith Piaf. En lisant l’article on s’aperçoit que leur point commun n’a pas grand-chose à voir avec la chanson. En fait depuis 1960 et le titre « Non, je ne regrette rien » d’Edith Piaf, Aya Nakamura est la première française à occuper la tête des charts de nos voisins hollandais. Pas de quoi en démouler une mimolette donc !

Dès lors, on attend avec impatience la prochaine comparaison. Jenifer, la nouvelle Amy Whinehouse, Stromae, le nouveau Jacques Brel, Amel Bent, la nouvelle Barbara, Matt Pokora, le nouveau Sinatra, Zaz, la nouvelle Françoise Hardy… Du coup, à la lecture de cette liste, on n’est pas sûr d’avoir très envie de vouloir découvrir le nouveau Brassens !

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 27 Octobre 2018

Dans un monde où plus rien n'est gratuit, il est bon de rappeler de temps en temps que la vie nous offre parfois des cadeaux et ceci même avant Noël ! Cette nuit, en effet, nous aurons le privilège de dormir une heure de plus grâce au changement d'heure !

Ainsi, comme si Harry Potter agitait sa baguette magique, entre ce samedi 27 octobre 2018 et ce dimanche 28 octobre 2018, à 3 heures du matin il sera alors 2 heures. 

Instaurés en France en 1976, peu de temps après le choc pétrolier, les changements d'heure étaient censés générer des économies d'énergie en alignant les périodes d'activités humaines à l'ensoleillement.

Il semblerait que cette pratique soit amenée à disparaître en France et au sein de l'Union Européenne en 2019.

"Bravo !" diront les réfractaires au changement, "mince !" regretteront celles et ceux qui aiment casser le ronron de la routine. 

Alors pour ou contre les changements d'heure, choisis ton camp camarade !

Image d'illustration : Safety last ! de Buster Keaton 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 29 Juin 2018

Comme nous l’expliquions lors de la publication d’un billet humoristique le 1er avril dernier (à relire en cliquant ici) la grande majorité des « articles » que l’on trouve sur les blogs d’Aulnay-sous-Bois sont des copier-coller du journal Le Parisien, alertes Google, communiqués, informations glanées sur le site internet de la ville ou sur #SeulsLesAulnaysiensPeuventComprendre.

Ceci n’est absolument pas grave, bien entendu, puisqu’après tout comme le dit la célèbre maxime : « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ! ». Les copier-coller aboutissent cependant parfois à des situations comiques et pour le moins cocasses.

Ainsi nos confrères de MonAulnay.com ont publié hier un « article» pour une fois un peu original (à voir en cliquant ) intitulé le passage piéton le plus dingue d’Aulnay-sous-Bois accompagné d’une vidéo. Le problème est que cette dernière date de plus de deux ans, a été tournée puis publiée le 29 février 2016 (à voir en cliquant ici) sur notre site Aulnaylibre.com.

Du reste, le lendemain, soit le 1er mars 2016, ce passage piéton très mal ficelé il est vrai, avait été enlevé et repeint en gris comme nous l’expliquions lors d’un nouvel article (vidéo à l’appui) à relire en cliquant .

Nous tirons de cet événement hilarant quelques leçons :

A force de faire du copier-coller sans recouper l’information, on en vient à faire croire aux lecteurs qu’un événement vieux de plus de deux ans est encore d’actualité !

Par ailleurs, en omettant d’écrire que cette situation a été corrigée dès le lendemain, on laisse planer le doute sur la réactivité de l’actuelle majorité et des services municipaux et on fait potentiellement croire que ce passage piéton existe encore.

L’erreur est humaine et cette phrase est bien évidemment valable pour les rédacteurs de MonAulnay.com et pour les agents de la ville qui ont créé maladroitement ce passage piéton. Néanmoins les faits sont clairs : ce passage piéton date de 2016 et il a été effacé le lendemain de la publication de l’article d’Aulnaylibre.com. Cet événement n’est donc plus d’actualité depuis plus deux ans !

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 19 Février 2018

C’est une tendance assez marquée ces derniers temps à Aulnay-sous-Bois et sans doute ailleurs. Quelques crados semblent s’imaginer que l’espace public leur appartient.

Dès lors, quand ils s’achètent de quoi manger, la plupart du temps un menu à emporter, ils consomment dans la rue, jusque-là pourquoi pas, mais malheureusement ils laissent leurs déchets sur place.

Quand les crados salissent Aulnay-sous-Bois !

Bouteilles de soda non terminées, frites écrasées, peau de bananes, mégots de cigarettes et plastiques gras souillent alors les rues et trottoirs d’Aulnay-sous-Bois. On se demande dans ces occasions-là quel type d’éducation ces crados ont reçu ?

Ce comportement a plusieurs conséquences notables. D’abord, c’est une pollution visuelle qui concourt à dégrader le cadre de vie communal, ensuite les déchets sont une aubaine pour les rats et enfin plus la ville dépense en coûts de propreté moins elle peut investir ailleurs.

C’est pourquoi si vous n’avez aucun civisme, pas le moindre savoir-vivre et que vous ne savez pas manger proprement dans la rue, alors restez bouffer chez vous !

Source photo : Aulnaylibre.com   

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 5 Février 2018

Il est bien connu que cancer, maladie cardio-vasculaire, drogue, obésité, diabète, maladie infectieuse, accident domestique, broncho-pneumopathie chronique obstructive, radiation, accident de la route, travail, homicide, accident d’avion sont des fléaux de notre société qui nuisent gravement à la santé.

D’après quelques études scientifiques encore non officiellement validées, mais qui circulent sous le manteau dans les milieux autorisés, se jeter sous le RER B à Aulnay-sous-Bois ou ailleurs pourrait rejoindre très prochainement la liste ci-dessus, ô combien funèbre vous en conviendrez.

C’est pourquoi, n’oubliez jamais, que même s’il est en grève, en panne, en retard, roule au ralenti ou même n’avance plus subitement d’un centimètre sans que la moindre information ne soit donnée aux passagers, se jeter sous le RER B est très fortement déconseillé pour la santé !

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur, #Humour

Publié le 25 Avril 2017

Comme chacun sait, la politique occupe le devant de la scène médiatique depuis maintenant plusieurs mois. Les militants des différents candidats utilisent les moyens de propagande habituels tels les tracts distribués sur les marchés, mais aussi les affiches.

Bien qu’Aulnay-sous-Bois dispose d’un certain nombre de panneaux d’affichages libres, certains s’imaginent peut-être que la ville leur appartient et qu’ils peuvent coller là où bon leur semble. Cette attitude peu respectueuse du cadre de vie des habitants génère une pollution visuelle relativement insupportable.

Quand les colleurs d’affiches politiques salissent Aulnay-sous-Bois

Ironie du sort, ce seront probablement ces mêmes colleurs d’affiches qui crieront au loup pour un mégot écrasé, un papier gras ou une canette de coca vide trainant dans la rue.

Il y a des lieux où l’on peut lire : « merci de laisser cet endroit aussi propre en partant que vous l’avez trouvé en entrant ». Ces colleurs d’affiches indélicats seraient donc bien inspirés de prendre l’initiative d’aller nettoyer une fois le scrutin passé. A fortiori quand leur favori n’est pas qualifié pour le second tour…

Robert Ferrand

Photo rue Camille Pelletan : Aulnaylibre !

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Humeur

Publié le 11 Décembre 2015

Faut-il revenir au vote électronique à Aulnay-sous-Bois ?

Le centre administratif avait des allures de fourmilière le dimanche 6 décembre. Une agitation fiévreuse doublée d’une fatigue palpable hantait le lieu dans l’attente interminable des résultats du premier tour des élections régionales 2015 à Aulnay-sous-Bois.

Bien que chacun de nous soit sans doute attaché aux valeurs de nos sociétés démocratiques, il n’en demeure pas moins que le processus électoral actuellement en place est d’une lourdeur administrative totalement en décalage avec la modernité du monde qui nous entoure.

Outre l’installation matérielle des 51 points de vote, les tonnes de papier imprimé, l’angoisse de l’assesseur titulaire défaillant à la dernière minute empêchant l’ouverture du bureau à 8h00 précises, les près de 14 heures enfermés dans une pièce (claustrophobes s’abstenir !), le dépouillement manuel final, effectué le plus souvent par des scrutateurs inexpérimentés générant des erreurs et des recomptages incessants, parait totalement anachronique à l’heure du numérique.

Et ne parlons pas des procès-verbaux à rallonge remplis à la main à coups de ratures avant la centralisation des résultats dont la durée permettrait presque d’écouter l’intégralité des 106 symphonies du compositeur autrichien Franz Joseph Haydn ! Toute cette débauche de moyens et d’énergie pour un malheureux taux de participation qui plafonne à 35% dans notre bonne ville !

Mais ne songeons même pas à effleurer l’idée de faire bouger le système ! Après tout la France va si bien drapée dans ses conservatismes ! Un taux de chômage au plus haut depuis près de vingt ans, un déficit commercial persistant (36,6 milliards d’euros sur dix mois en octobre), une pression fiscale croissante sur les ménages notre pays restant un champion des prélèvements obligatoires, une production manufacturière en recul et une consommation des ménages en baisse en octobre, des collectives locales au bord de la faillite budgétaire, le premier ministre socialiste de la sixième puissance du monde contraint d’appeler à voter Philippe Richert, Xavier Bertrand et Christian Estrosi en plein journal télévisé pour un simple scrutin régional !

Et ne parlons pas des discriminations sociétales endémiques qui persistent en fonction de l’origine sociale, du diplôme, des réseaux de connaissance, de l’adresse, de la couleur de peau, du sexe ou de l’orientation sexuelle. Ne manquerait plus qu’un climat anxiogène où le simple fait d’aller boire un verre en terrasse, assister à un concert ou un match de football, soit synonyme de risque mortel, pour couronner le tout !

Mais oublions tout cela et revenons à notre sujet. Pendant ce temps-là, donc, dans la ville voisine de Rosny-sous-Bois qui utilise des machines, les résultats du premier tour des élections régionales étaient déjà connus dès 20h45 ! De là à penser qu’il faut revenir au vote électronique à Aulnay-sous-Bois…

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 23 Novembre 2015

Piscine, apartheid dans les quartiers nord d’Aulnay-sous-Bois : André Cuzon met les pieds dans le plat !

ETAT D’URGENCE

Merci à notre député de nous informer et de nous donner la parole comme ce matin (ndlr : samedi).

L’urgence fait face aux années de déshérence de nos quartiers depuis des décennies.

Des quartiers où les citoyens sont fatigués des discours et ont peur d’agir, de discuter et ne vont même plus voter.

La démocratie réelle qui combine les élections et la participation citoyenne est la vraie réponse à la délinquance ; école qui mène au terrorisme.

Nous sommes en période de révision du PLU qui définit la ville pour au moins 10 ans.

Le peuple, les citoyens ont-ils vraiment été informés et consultés ?

Ne parlons même-pas du « contrat de développement territorial » étudié par les architectes berlinois !

Parlons du PLU qui prévoit d’éventrer le parc Robert Ballanger ; Robert habitait les 3.000 et pensait aux habitants qui avait besoin de nature proche.

Parlons de la piscine (où je le vois encore jouer avec son jeune enfant), promise aux promoteurs.

Parlons des terrains de sport du quartier Mitry-Croix-Nobillon promis à la disparition pour permettre l’ANRU 2 nécessaire.

Les cités nord d’Aulnay continueront donc à vivre l’Apartheid.

Le sud lui sera aussi densifié par la suppression du COS en particulier (du fait de la loi ALUR) et subira des inondations de plus en plus importantes, puisque de l’état à la ville le mot d’ordre « densifiez » veut dire « imperméabilisez » et donc « inondez ».

La révision du PLU sans information sur le zonage et les règlements de zone vide de tout sens la démocratie de quartiers et autres « comité économique social et environnemental ».

Voilà pour le champ politique (en partie), mais sur le plan religieux dans ma paroisse catholique de Saint Joseph je demande comme « citoyen ecclésial » une assemblée paroissiale depuis des décennies. En vain pour l’instant : Vatican 2 ne s’est terminé qu’en 1965 ; c’était hier !

Les cléricaux, les apparatchiks, les idéologues pervers et les puissances de l’argent (finances, pétrole et médias…) sont les éléments d’un jeu que personne ne contrôle et qui peut dans le cadre des désinformations mondialisées devenir la guerre.

Au boulot les citoyens…

Balayez devant votre porte Faites le ménage chez vous

Vive les partis de masse, les syndicats, les associations…

La parole de chacun est précieuse : il faut mettre en confiance les citoyens et les écouter…

André Cuzon 21/11/2015

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 20 Novembre 2015

21h20 faîtes du bruit : AC/DC Highway to Hell !

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 17 Novembre 2015

Le Billet de Charline dans le 7/9 par Charline Vanhoenacker (7h55 - 16 Novembre 2015) Retrouvez toutes les chroniques de Charline Vanhoenacker sur www.franceinter.fr

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 24 Octobre 2015

Une fidèle lectrice d’Aulnaylibre ! nous a transmis une vidéo prise à l’intérieur de sa maison. On y voit un nombre impressionnant de coccinelles agglutinées au niveau de la fenêtre. On dirait presque une invasion !

Nul doute que Cyril Bozonnet, webmaster et secrétaire du Front national à Aulnay-sous-Bois, devrait saisir cette opportunité pour ajouter une ligne supplémentaire au programme de son parti pour les prochaines élections régionales de décembre 2015 : fermer les frontières pour interdire les invasions de coccinelles !

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement, #Humeur

Publié le 5 Novembre 2014

Dans la famille « Incivilité routière » je voudrais… « l’automobiliste qui se gare devant mon portail et m’empêche de sortir la voiture du garage le matin ! »

2014-NOVEMBRE-1509Modif.jpgVoilà la petite mésaventure arrivée mardi aux alentours de 8h à un habitant du Vieux-Pays à Aulnay-sous-Bois. Certes il y a des choses bien plus graves dans la vie, mais avouez tout de même qu’au moment d’emmener ses enfants à l’école avant de partir au travail il y a de quoi péter un câble !

Malgré moult coups de klaxon appuyés, qui au moins ont eu le mérite de réveiller le quartier de sa torpeur,  le conducteur indélicat n’a même pas daigné se présenter pour déplacer son véhicule. Il a donc fallu le pousser à plusieurs afin de libérer le passage ! Lamentable !

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 23 Janvier 2014

Rom-Cirque-4.jpgPourtant très critique à l’égard de l’ancienne majorité présidentielle quant au traitement réservé aux Roms en France, le maire sortant d’Aulnay-sous-Bois Gérard Ségura semble avoir fait le choix d’enclencher le processus d’évacuation du campement Rom situé actuellement sur un terrain aux environs du Vélodrome le long de la RN2. Après une lettre distribuée aux riverains du secteur concerné, il a choisi le magazine de communication municipale Oxygène pour annoncer la couleur. Ainsi, dans le numéro 194 paru lundi dernier on apprend en page 10 que la justice a été saisie et que le tribunal de grande instance devrait se prononcer définitivement sur l’ordonnance d’expulsion le vendredi 15 février 2014.

Dès lors des effectifs de police pourraient être mobilisés pour procéder rapidement à l’évacuation. En septembre 2010, pourtant, évoquant sur son blog la question Rom, Gérard Ségura écrivait  que « dans la Grèce antique, l’on respectait les mendiants selon une croyance, ancrée dans les esprits, que les Dieux eux-mêmes revêtaient les plus humbles guenilles pour éprouver le cœur des hommes ». Le cœur du maire sortant parait donc avoir choisi l’expulsion plutôt que la main tendue. Une contradiction qui tendrait à prouver qu’il est passé maître dans l’art du double discours.

Quoi qu’il en soit, cette décision, si la justice l’entérinait, réduirait à néant le travail du collectif de soutien aux Roms constitué récemment à Aulnay-sous-Bois, au moment même où, ironie du sort, deux enfants (et bientôt quatre autres) ont été scolarisés à l’école Croix Rouge dans la classe des primo-arrivants…

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 22 Janvier 2014

On aurait pu penser qu’avec la venue en grande pompe le lundi 6 janvier 2014 de son ami Manuel Valls, le maire sortant d’Aulnay-sous-Bois Gérard Ségura aurait mis un point d’honneur à faire en sorte que les abords du commissariat de Police Nationale soient un minimum présentables. C’est vrai quoi, en général, quand on reçoit des invités, on en profite toujours pour faire un peu de ménage, ne serait-ce que par fierté ou pour donner meilleure impression.

Etrangement, pourtant, monsieur Ségura n’a semble-t-il pas  jugé utile de se donner cette peine. Il est vrai que, depuis 2008, bon nombre d’Aulnaysiens n’ont pu que faire l’amer constat d’une ville dégradée, devenue chaque jour un peu plus sale au fil des années. Dans ces conditions, pourquoi faire un effort même pour la visite d’un ministre de l’Intérieur ? Du coup, comme un symbole du laisser-aller ambiant, le plan anti-feuilles et les balayeuses ont été oubliés et c’est sur une chaussée en piteux état, souillée de feuilles et de boue que les minicars de CRS, le cortège de voitures blindées et les motards ont débarqué.

Nul doute que, la prochaine fois, Manuel Valls et ses accompagnateurs prendront leurs précautions et viendront non pas en chaussures de ville mais plutôt en bottes de caoutchouc !   

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur

Publié le 8 Janvier 2014

Il fallait oser mais après tout pourquoi pas ?! Après avoir été exclue brutalement et sans la moindre explication sérieuse du forum des associations en septembre 2013 (voir les vidéos ci-dessous), l’Association de Défense des Zones Pavillonnaires d’Aulnay-sous-Bois (D.Z.P.A.B.) a reçu une magnifique carte de vœux 2014 de la part d’Ahmed Laouedj et Gérard Ségura ! Quelle charmante attention. On imagine déjà les deux hommes, le premier au violon, le second au pipeau, dictant l’œil humide cette missive estampillée d’une citation de Georges Clemenceau « je crois en l’Homme tout en le sachant imparfait » !

2013DECEMBRE-0305.JPG

A cet égard, d’ailleurs, la zone pavillonnaire d’Aulnay-sous-Bois aussi y a cru au programme Aulnay Renait de 2008 porté par Gérard Ségura. Elle s’en mord cruellement les doigts aujourd’hui. Heureusement que quelques associations se sont constituées pour tenter de stopper la folie bétonneuse du maire sortant. Du reste, à ce jour, seules la D.Z.P.A.B et Q.C.B.E (l’association qui traite du projet d’aménagement de l’ancien centre des impôts) ont été en mesure de contrecarrer très concrètement les projets du maire sortant, respectivement rue des Saules et avenue de la Croix-Blanche.  

Mais revenons à cette carte et, puisque nos parents nous ont appris les règles de politesse élémentaires nous disons aujourd’hui merci à messieurs Laouedj et Ségura pour leurs bons vœux. Nous aurons d’ailleurs en tant que simples Aulnaysiens une autre occasion de les remercier très prochainement en mars 2014. Mais cette fois-ci définitivement ! 

Le Bureau de la D.Z.P.A.B.

 

Voir les commentaires

Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Humeur

Publié le 7 Janvier 2014

C’était pourtant une promesse forte du programme « Aulnay renait » porté en 2008 par le maire sortant Gérard Ségura. Souvenez-vous. Page 13 : « les zones pavillonnaires doivent être protégées, et même étendues  » !

zonepavietendue.JPG

Un peu plus loin page 15, engagement numéro 46 : « nous nous engageons à préserver et embellir les quartiers pavillonnaires » !

zonepaviembellie.JPG

Malheureusement, près de six ans plus tard, force est de constater l’écart entre promesses et réalité ! En effet, la zone pavillonnaire, qui représente 40 % du territoire Aulnaysien, caractéristique totalement atypique à l’échelle de la Seine-Saint-Denis, n’a jamais été aussi martyrisée que sous cette mandature. La liste des sévices est longue et sonne comme autant de désillusions : élaboration de projets en catimini dans le dos des habitants (rue des Saules dès 2009), suppression du coefficient d’occupation des sols (COS), encouragement manifeste à la subdivision des parcelles de terrains pour augmenter les surfaces constructibles, simulacre de concertation des riverains (projet Croix-Blanche en 2013), mépris vis-à-vis des associations traitant des questions d’urbanisme et même appel des partis de l’actuelle majorité municipale (PS, PCF, PRG) à monter une partie de la population d’Aulnay-sous-Bois contre l’autre ! 


De ce point de vue, le bilan de l’édile et de son équipe (enfin ce qu’il en reste aujourd’hui) est littéralement calamiteux. Dès lors, au moment où l’échéance municipale se profile à grands pas, la sourde menace d’un bétonnage en règle de la zone pavillonnaire n’a jamais été aussi palpable et perceptible. A tel point que même les maisons individuelles qui tentent de sortir de terre paraissent atteintes d’une étrange malédiction. Comme celle située par exemple 20 rue Maximilien Robespierre au Vieux-Pays dont les blocs de parpaings épars esquissent les contours d’une demeure sinistre et inachevée au milieu d’un terrain vague. 

Cette construction symbolise à elle seule le triste sort réservé jusqu’à présent à la zone UG (le code affecté aux pavillons dans le plan local d’urbanisme).  Du reste, au moment de filmer la séquence hier à la nuit tombée, on semblait entendre au loin, perdue dans le vent, la longue complainte de la zone pavillonnaire d’Aulnay-sous-Bois qui dans un cri presque étouffé témoignait : « Gérard Ségura m’a tuée ! ». 

Photos : programme Aulnay Renait de 2008 porté par Gérard Ségura. Vidéos : Aulnaylibre !

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humeur