Publié le 10 Février 2013

cbab.jpgOn connaissait le jamais deux sans trois. Désormais il faudra compter avec le jamais trois sans quatre du Club Badminton d’Aulnay-sous-Bois (CBAB). Les Ducks viennent en effet d’enchaîner quatre matches nuls d’affilé sur le score de 4 à 4. Cette fois-ci c’était en déplacement chez les hauts-normands de Maromme. Tenant le score jusqu’à 2-2 les aulnaysiens étaient ensuite distancés 2-4 par les maronnais. Dans ces conditions ce résultat a la valeur des bons points pris à l’extérieur. Cette performance, outre qu’elle démontre la solidité du CBAB qui reste invaincu depuis six matches, permet à notre club local de conserver la seconde place de la poule 1 synonyme de play-offs.

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Si, sauf surprise, Issy Les Moulineaux doit normalement s’octroyer la première place qualificative pour le tournoi final, la lutte s’annonce particulièrement âpre pour la seconde entre Aulnay-sous-Bois, Aix-en-Provence, Bordeaux et Maromme qui se tiennent dans un mouchoir de poche. Il reste trois journées à nos champions pour décrocher les étoiles  avec la réception de Créteil (le 23 février), un déplacement à Aix-en-Provence (le 23 mars) et un dernier match à domicile face à Bordeaux (le 13 avril). Les Ducks ont donc leur destin entre les mains. Ainsi, en attendant la prochaine rencontre dans quinze jours au gymnase Paul Emile Victor, nous, supporters, avons plus que jamais le droit d’y croire…  

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Soyons sport.

Publié le 10 Février 2013

Ils estiment cracher suffisamment au bassinet. Alors que le gouvernement cherche à financer le Grand Paris Express, ce projet de métro automatique en rocade en banlieue, les chefs d’entreprise franciliens craignent d’être plus taxés. « Rappelons l’objectif initial du Grand Paris : relancer l’attractivité économique du Grand Paris. Tout porte à croire aujourd’hui que ce but a été oublié par les pouvoir publics », dénonce la Confédération générale du patronat des petites et moyennes entreprises (CGPME) d’Ile-de-France. « Non seulement l’Etat ne semble pas prêt à tenir ses promesses pour créer un environnement favorable à la croissance des entreprises, mais il recourt encore à la fiscalité sur les entreprises comme solution », poursuivent les petits patrons.

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Mardi, le Medef Ile-de-France mettait lui aussi « en garde contre toute nouvelle augmentation des prélèvements sur les entreprises pour financer » le Grand Paris Express, refusant que l’entreprise soit « la variable d’ajustement des difficultés financières de l’Etat ». Une mobilisation du patronat qui intervient quelques semaines avant les arbitrages de Matignon sur le dossier. Attendus en fin de mois, ils pourraient s’inspirer de la récente contribution des députés PS au débat. Outre un allongement de la dette dans le temps, le groupe socialiste préconise de faire appel à des ressources nouvelles (déplafonnement de la taxe sur les bureaux, écotaxe poids lourds, taxe sur les nuits d’hôtel…).

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 9 Février 2013

L’observatoire du bruit et l’Agence régionale de santé publient une étude montrant une paupérisation des communes subissant le plus les nuisances aéroportuaires.

C’est un peu la double peine. Plus une commune subit les nuisances sonores de l’aéroport voisin, plus elle s’appauvrit et sa population vit dans la précarité. C’est le constant édifiant dressé par Bruitparif, l’observatoire du bruit en Ile-de-France, qui vient de publier le résultat de ses travaux dans le cadre de l’étude Survol pilotée par le préfet de région et l’Agence régionale de santé (ARS). Il s’agit d’un dispositif de surveillance renforcée du bruit qui concerne 293 communes et 1,73 million d’habitants autour des plates-formes d’Orly, Roissy-Charles-de-Gaulle et Le Bourget.

Bruitparif a recoupé les relevés de pollution atmosphérique d’Airparif et ses mesures de bruit avec les données socio-économiques de l’Insee sur les secteurs étudiés. L’indicateur retenu tient notamment compte de la proportion de chômeurs, de la sur-occupation des logements et de la part de ménages sans voiture. Parmi les communes signalées comme les plus défavorisées : Saint-Denis, La Courneuve, Stains ou Aulnay, en Seine-Saint-Denis ; Sarcelles, Goussainville et Garges-lès-Gonesse, dans le Val-d’Oise ; Villeneuve-le-Roi ou Villeneuve-Saint-Georges, dans le Val-de-Marne, et Vigneux, Savigny-sur-Orge ou Montgeron, dans l’Essonne. Certaines se paupérisant d’autant plus qu’elles cumulent les nuisances des avions et des trafics routiers et ferrés.

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La faute à qui? A l’immobilier et aux contraintes d’urbanisme tonnent en chœur élus, associations de riverains et spécialistes des nuisances aéroportuaires. A Villeneuve-le-Roi, on reconnaît faire partie des « villes sinistrées », avec « un taux de chômage de 13% ». La ville est au 5e rang de l’habitat insalubre dans le Val-de-Marne. Avec le bruit des avions et « 70% de la pollution due à l’aéroport », « on ne vient pas vivre ici par choix », lance le maire UMP, Didier Gonzales, également président de l’association des élus riverains d’Orly. Sa ville a perdu « 5000 habitants en dix ans » et affiche un fort turnover.

Au fil des ans et de l’accroissement du trafic aérien, les nuisances ont fait chuter les prix de l’immobilier dans les communes concernées. « Les ménages qui ont les moyens financiers d’habiter ailleurs s’en vont, entraînant des pertes de rentrées fiscales pour les communes, qui deviennent très endettées et n’ont plus les moyens d’investir dans les équipements publics », détaille Patric Kruissel, président de l’Advocnar, l’une des principales associations de riverains de Roissy.

Sans compter les contraintes d’urbanisme imposées par les plans d’exposition au bruit. Dans les zones les plus restrictives, impossible de construire, d’agrandir sa maison. Dans le Val-de-Marne et l’Essonne, où il a même fallu raser des centaines de maisons pour construire l’aéroport, les maires ont obtenu des préfets un assouplissement pour permettre des opérations de renouvellement urbain. « Les PEB ont figé les territoires, flingué nos villes… » dénonce Didier Gonzales. L’édile plaide pour la fermeture pure et simple de cet « aéroport dans la ville ». La reconversion de « ses 1 529 ha d’emprise » pouvant offrir une formidable manne d’emplois.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 9 Février 2013

Hier le morceau proposé était issu de la bande son d’un chef d’œuvre du western : Addio a Cheyenne du long métrage il était une fois dans l’ouest réalisé par Sergio Leone. Ce soir place à une toute autre ambiance avec le titre ci-dessous. Saurez-vous reconnaitre cette chanson et ce film ?

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 9 Février 2013

Première victoire pour le conseil général du 93. La justice annule les taux d’intérêts de trois prêts de la banque franco-belge.

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Hier après-midi, alors qu’il présidait la séance consacrée à l’examen du projet de loi sur le mariage pour tous, Claude Bartolone a entendu deux députés lui lancer : « Bravo, Claude! » « Sur le coup, je n’ai pas compris pourquoi, explique-t-il. Puis un collaborateur m’a dit qu’on avait gagné contre Dexia. Depuis le perchoir, j’ai fait un signe de victoire. » Le président de l’Assemblée nationale ne cache pas sa joie. « C’est formidable », s’enflamme celui qui fut le premier à alerter sur le danger des prêts structurés, dits toxiques, à l’automne 2008, et qui a présidé une commission d’enquête parlementaire sur le sujet en 2011.

Deux ans après qu’il a assigné la banque franco-belge en justice, en tant que président du conseil général de Seine-Saint-Denis, le tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine) a donc tranché, hier, en faveur de la collectivité locale. Certes, le 93 est débouté de sa demande d’annuler les trois prêts d’un total de 184 M€, mais le résultat est « presque mieux », comme en convient Stéphane Troussel, le successeur de Bartolone à la tête du département. Les juges ont ordonné que les taux d’intérêt de ces trois prêts soient remplacés par le taux d’intérêt légal en vigueur, celui de la Banque de France. Par exemple, pour l’un des prêts de 51 M€, le taux actuel de 7,04% doit passer à… 0,71%!

La décision du tribunal est rétroactive et oblige Dexia à appliquer le taux légal depuis la signature du prêt. Le tribunal a retenu l’argument principal du département : le défaut d’informations de la banque quand elle a placé ces produits structurés à hauts risques auprès du département, comme de centaines d’autres collectivités — villes, départements, hôpitaux… « La justice française reconnaît enfin la responsabilité de Dexia, dont les agissements ont contribué à plonger les finances du département dans une situation dramatique », se félicite Stéphane Troussel. Le 21 décembre, avec le maire (PS) d’Asnières (Hauts-de-Seine), ils s’étaient rendus à Bruxelles (Belgique), à l’assemblée générale des actionnaires de Dexia, afin d’en interpeller les dirigeants. « Ils nous avaient traités avec condescendance », se rappelle l’élu.

10 M€ par an d’intérêts versés sur un compte bloqué

Pour autant, « le combat n’est pas terminé », ajoute le président du conseil général. Dexia va probablement faire appel, ce qui va suspendre l’application de la décision — hier, la banque a « pris acte du jugement » et « réfléchissait aux suites à donner ». Ensuite, il reste huit contentieux à examiner par les tribunaux, portant sur d’autres banques : Depfa, Natixis, Crédit agricole d’Ile-de-France…

La décision d’hier prête cependant à l’optimisme. Le département espère qu’elle va inciter les banques « à reconnaître leur erreur et à nous faire des propositions acceptables ». Certaines l’ont déjà fait et des prêts ont été renégociés et sécurisés ces dernières années. Les prêts toxiques ne représentent plus « que » 60% de la dette (environ 600 M€), contre 92% en 2008. Chaque année, le département place sur un compte bloqué les intérêts toxiques qu’il se refuse à rembourser, ce qui représente 10 M€ par an. Si les décisions de justice sont confirmées, d’ici un ou deux ans, le conseil général pourra peut-être réintégrer ces sommes dans son budget.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 9 Février 2013

Le corps d’une femme dans un tunnel, 800 personnes à évacuer de deux trains bloqués, la pagaille à la gare du Nord et à Châtelet, le trafic paralysé, la police, les pompiers… Hier, à 17h30, un RER D a percuté une femme qui se trouvait sur les rails, dans un tunnel. L’accident s’est produit gare du Nord, à quelques mètres des quais.  Les quelque 800 voyageurs qui se trouvaient dans deux rames sont restés bloqués. Police, pompiers, pompes funèbres et techniciens de la SNCF ont été mobilisés pendant plus de trois heures. Les 800 voyageurs ont été ensuite évacués le long des voies sur environ 800 m, puis remontés vers la gare. Ils ont dû marcher escortés par les pompiers.

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Le trafic sur les RER D et B, vers le Nord, entre Châtelet et Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), a été complètement stoppé. Des perturbations en chaîne ont également touché les autres lignes. « Moi, ça fait quarante minutes que j’attends, se plaignait une usagère du RER D sur un autre quai. Je vais à Melun (Seine-et-Marne) et je ne sais pas trop ce qui se passe. » La SNCF reconnaissait que « le reste du trafic a été impacté ».

La victime n’a pas pu être identifiée

Pendant les trois heures qu’a nécessitées l’intervention, des agents SNCF habillés de rouge ont bloqué l’accès au quai 41 où s’est produit le drame. En bas, le médecin légiste, l’officier de police judiciaire et l’identité judiciaire sont venus constater le décès. La victime, une femme, ne portait pas de papiers sur elle et n’a pas pu être identifiée. Le parquet a ouvert une 
enquête. Hier soir, la piste du suicide restait privilégiée. « On ne sait pas encore si la victime était en vie au moment du choc, indique une source à la SNCF. Nous restons prudents. Nous avons des SDF qui traînent dans les tunnels et même parfois des vendeurs à la sauvette ou des délinquants qui veulent échapper à un contrôle policier. Sans parler des voyageurs qui traversent les rails avec des écouteurs. » En Ile-de-France, la SNCF déplore un « accident de personne » une fois tous les deux jours.

Hier soir, à 22 heures, le trafic était presque normal, à raison de 3 trains sur 4. Dans la soirée, des voyageurs se sont plaint des délais d’intervention. Il aura fallu trois heures aux pompes funèbres pour arriver sur place. L’officier de police judiciaire ne donnera l’autorisation de lever le corps qu’à 22h14, soit plus de quatre heures après le drame. 

Source : Le Parisien 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 9 Février 2013

La troupe du cirque Alfonse présente son spectacle « Timber » à Aulnay-sous-Bois. L’occasion d’un week-end culturel sur le thème du Québec.

Alfonse

Contemporain certes, mais rustique. En bonne troupe moderne, le Cirque Alfonse se passe d’animaux et de décors kitsch. Héritier d’une tradition de cirque familial itinérant, il préfère s’appuyer sur le pittoresque du folklore québécois. La star du spectacle, c’est le bûcheron poilu et joyeux. En chemises à carreaux et barbes foisonnantes, les artistes jonglent avec des haches, font des courses sur des bûches de bois roulantes et du funambulisme sur des troncs d’arbres. Le tout sur des airs festifs de musique québécoise, jouée au banjo et à la scie à deux poignées.

Acrobates, musiciens, danseuse, champion de ski

Le spectacle d’une heure trente est porté par des artistes de cirque confirmés, ainsi que par des musiciens, une danseuse et même un ex-champion de ski. Une troupe venue du froid pour divertir, mais aussi initier ceux qui le souhaitent, au cours d’un atelier gratuit. Autour du spectacle, projection du film « Rebelle » du réalisateur québécois Kim Nguyen, rencontre avec les artistes, repas québécois, de quoi se plonger dans le Grand Nord.

Samedi, à 20h30, dimanche, 16 heures, au Théâtre Jacques-Prévert, 134, rue Anatole-France, à Aulnay. Tarif : 16 €-22 €. Tél. 01.48.68.08.18.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 9 Février 2013

Vous trouverez ci-dessous un communiqué du collectif pour le triangle de Gonesse qui organise ce matin à partir de 10h un rassemblement revendicatif contre l’implantation des projets de la gare en plein champ et du centre commercial de luxe et de loisirs « Europa City ». 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 9 Février 2013

RERB.pngCes samedi 9 et dimanche 10 février d’importants travaux entre Aulnay-sous-Bois et l’aéroport Charles de Gaulle nécessitent une interruption de la circulation des trains de la ligne B du RER.

Un service de bus de substitution est mis en place mais il est préférable d’être prudent en prévoyant un allongement du temps de parcours. L’ensemble des horaires et parcours est disponible en cliquant ici.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 8 Février 2013

poste.JPGComme nous l’évoquions dans un précédent article (à lire ici) le bureau de poste principal du Vieux-Pays était fermé mercredi après-midi suite à une agression aux guichets. On en sait désormais un peu plus sur cet événement puisqu’en fait un des guichetiers a été aspergé d’un produit inconnu heureusement non toxique. Le journal Le Parisien nous en dit plus ci-dessous.

Le bureau de poste du Vieux-Pays, situé place de l’Eglise, à Aulnay-sous-Bois, a été fermé mercredi après-midi après l’agression d’un employé, survenue le matin. Ce jour-là, vers 10h20, un client fait irruption dans l’agence. Sans explication, il asperge un des guichetiers d’un produit inconnu, avant de prendre la fuite. Par mesure de précaution, la victime a été conduite à l’hôpital Ballanger. Le produit n’était heureusement pas toxique. La Poste a immédiatement mis en place une cellule psychologique à l’attention des salariés et le bureau a rouvert ses portes hier matin.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 8 Février 2013

Hier la musique proposée était issue d’un western diaboliquement génial : le bon, la brute et le truand de Sergio Leone. Ce soir nous restons dans le même style cinématographique. Alors, saurez-vous deviner le titre de ce morceau et le nom du film !

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 8 Février 2013

Pas question de « choisir les uns contre les autres », parmi les syndicats divisés de PSA. Petite mise au point signée Gérard Ségura. C’est ainsi que le maire PS d’Aulnay a tenu à expliquer son absence, mardi, lors du rassemblement de soutien aux grévistes de l’usine, avec la CGT, SUD et la CFDT. Si les élus et militants du Front de gauche étaient nombreux, ceux du PS étaient absents.

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La ville devrait voter une aide

Gérard Ségura indique qu’il n’a pas pu assister à la manifestation organisée par le SIA (Syndicat indépendant de l’automobile), opposé à la grève, devant le siège parisien de PSA. « Le front syndical s’est fissuré », note à regret l’élu. « Mon souhait est que, dans l’intérêt des salariés, l’unité syndicale puisse avoir une chance de se reformer afin de mener à bien les difficiles négociations qui se profilent. » Hier soir, lors d’une réunion avec les salariés, le maire a néanmoins annoncé que lors du conseil municipal du 21 février, la ville mettrait la main à la poche pour abonder la caisse de solidarité des grévistes comme l’ont déjà fait les villes de Tremblay (20 000 €) et Gonesse dans le Val-d’Oise (5 000 €).

Une demande qu’avait formulée Miguel Hernandez, adjoint PC d’Aulnay. Gérard Ségura a également promis une aide individuelle des services sociaux de la ville pour les salariés de PSA habitant Aulnay, qu’ils soient grévistes ou non. L’édile a enfin rappelé hier soir que la municipalité avait dépensé 15 000 € depuis six mois pour aider l’Intersyndicale lors des déplacements et des manifestations.

Source : Le Parisien

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 8 Février 2013

Mohamed.JPGAlors que toute la ville d’Aulnay-sous-Bois se réjouit légitimement d’avoir été sélectionnée une seconde fois à la prestigieuse cérémonie des Grammy Awards de Los Angeles  pour le co-production du disque de blues And still I rise, c’est un véritable coup de tonnerre qui a éclaté peu avant midi. En effet, Mohamed Beldjoudi (photo ci-contre) dans un communiqué de presse vient d’annoncer son éviction du processus de direction artistique du Festival Aulnay All Blues qu’il a cofondé avec Larry SKOLLER et Christophe UBELMANN et dont il revendique le développement et les différents succès tout au long de ses six années d’existence.

Il met clairement en cause l’exécutif municipal  actuel, notamment l’adjointe au maire à la culture Gisela Michel et le conseiller municipal Bruno Defait, et dénonce un dénis de démocratie. Enfonçant le clou il explique que sa situation au regard de la démocratie locale illustre le désarroi dans lequel est plongé un grand nombre d’acteurs du développement de notre commune. Miguel Hernandez l’élu communiste de la majorité en charge de la démocratie participative appréciera ! En conclusion, Mohamed Beldjoudi annonce qu’il restera un acteur culturel engagé, créatif et libre pour notre commune. En outre il se rendra par ses propres moyens à Los Angeles ce dimanche 10 février 2013 pour ramener le trophée.  Toute la rédaction d’Aulnaylibre ! espère de tout cœur que son souhait soit exaucé…

 Vous trouverez ci-dessous l’intégralité du communiqué.

Aulnay-sous-Bois, le 8 février 2013

Communiqué de presse de Mohamed BELDJOUDI,
Co-fondateur du Festival Aulnay-All-Blues

Le 16 janvier 2013, le conseil d’administration de l’Association C.E.E.M. (Centre Européen d’Echange Musical) a décidé de dissoudre purement et simplement la structure porteuse du Festival Aulnay-All-Blues crée en 2010, au motif d’un vice de forme reposant sur la non-convocation de la commissaire aux comptes à l’Assemblée Générale Ordinaire du 15 octobre 2012, au cours de laquelle j’ai été élu Président de l’Association.

En effet, le 15 octobre 2012, j’ai été élu Président de l’Association CEEM à la majorité des votants contre la candidature de Monsieur Bruno DEFAIT, conseiller municipal en charge de l’écologie, environnement, développement durable, Agenda 21, maîtrise des énergies, transports, circulation, déplacements, suite à la démission volontaire du Président précédent. L’Association C.E.E.M. bénéficiait de trois années d’exercice et portait en moyenne plus de 320 000 euros de budget répartis entre le secteur public et privé, dont une subvention de la ville d’Aulnay-sous-Bois à hauteur en 2010 de 152 133 €, en 2011 de 120 000 € et en 2012 de 60 000 €.

Ayant demandé, aux membres adhérents et notamment aux élus présents à l’Assemblée Générale du 16 janvier 2013, Madame Gisela MICHEL, adjointe au maire en charge de la Culture et Monsieur Bruno DEFAIT, conseiller municipal, comment serait envisagé la continuité du Festival ? Et sous quelle forme juridique ? Ces derniers m’ont rétorqué que l’avenir du Festival Aulnay-All-Blues serait désormais géré dans une autre instance.

Il s’agit de fait, d’une solution qui permet de m’exclure totalement du processus de direction artistique du Festival que j’ai cofondé avec Larry SKOLLER et Christophe UBELMANN et dont je revendique le développement et les différents succès tout au long de ses six années d’existence.

Ce dénis de démocratie orchestré par les membres de l’exécutif municipal présents à cette Assemblée Générale, illustre le mépris avec lequel un acteur culturel reconnu, est écarté d’un projet pour lequel son rôle aura été primordial.
Aulnaysien, depuis plus de 40 ans, musicien expérimenté, enseignant, créateur d’équipements culturels et d’événementiels, je me suis toujours impliqué pour le devenir de notre collectivité et je suis fier notamment de pouvoir léguer aux générations futures, la possibilité de vivre la musique dans un équipement situé dans l’un des quartiers aulnaysiens cher à mon cœur.

Ma situation au regard de la démocratie locale illustre le désarroi dans lequel est plongé un grand nombre d’acteurs du développement de notre ville.

Néanmoins, l’aventure du Festival continuera pour moi d’une autre manière, notamment à travers le partenariat noué avec les acteurs culturels de la Nouvelle-Orléans dont la dernière édition aura célébré deux créations et la traduction en langue française d’un ouvrage de référence « Congo Square Racines Africaines de la Nouvelle-Orléans ».

Ce dernier fait l’objet d’un partenariat inédit combinant la transmission de près de 600 exemplaires de cet ouvrage au Centre Africain de Recherches sur les Traites et les Esclavages (le CARTE regroupe l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar au Sénégal, l’Université Abdou Moumouni de Niamey au Niger, l’Université de Ouagadougou au Burkina Faso, l’Université de Yaoundé et l’Université de Ngaoundéré au Cameroun et l’Université d’Etat d’Haïti) avec l’organisation en partenariat avec le Réseau des Instituts Français de conférences autour de cette thématique regroupant des chercheurs américains et français dont l’auteure de l’ouvrage Madame Freddi WILLIAMS EVANS.

Par ailleurs, je dirigerai une création mondiale dans le cadre de la 19ème édition du prestigieux festival des musiques sacrées de Fès en Juin « Ladysmith Chicago Gospel Experience » réunissant des artistes de Gospel de Chicago et d’Afrique du Sud.

Pour ma part, je souhaite sincèrement remercier l’ensemble des musiciens de part et d’autres de l’Atlantique m’ayant fait confiance, l’ensemble des aulnaysiens qui ont pris du plaisir pendant les six éditions à soutenir ce Festival et enfin mes amis ainsi que ma famille à Aulnay-sous-Bois et à Chicago ; aux partenaires du monde économique local pour leur soutien, aux institutions culturelles Françaises et Américaines pour avoir reconnu et légitimé notre travail.

Aussi, pour leur rendre hommage, je me rendrai par mes propres moyens à Los Angeles ce dimanche 10 février 2013, car je crois profondément que la musique transcende l’ensemble de la déshumanité exprimé par … et souhaite pouvoir ramener ce trophée qui revêt un caractère important pour les miens.

Je resterai un acteur culturel engagé, créatif et libre pour ma ville.

Mohamed BELDJOUDI

Source photo : Le Parisien

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 8 Février 2013

Ils veulent un plan d’urgence pour les écoles du 93 : au moins 1 500 créations de postes afin d’offrir un encadrement convenable aux élèves.

« Nous sommes assis sur une bombe qui va nous exploser à la figure à la rentrée si rien n’est fait dans les mois qui viennent dans le département. » Ce terrible constat pour l’école primaire a été dressé, hier matin, lors d’une conférence de presse, par Martine Caron, déléguée départementale du Snuipp-FSU. Et elle n’est pas la seule à le faire. A ses côtés, Catherine Chabaudie, secrétaire académique du Syndicat national des personnels d’inspection (SNPI), habituellement discret, est également montée au créneau. Toutes deux réclament un plan Marshall pour le département.

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Les deux syndicats sont partis d’un chiffre pour évoquer l’urgence à agir : 250 classes sont quotidiennement sans maître. Pourquoi? « Parce que malgré les 180 étudiants embauchés pour combler les trous, l’Education nationale n’a plus de personnel sous la main, déplore Martine Caron. L’institution est tellement dépassée qu’elle en vient maintenant à appeler des enseignants à la retraite afin d’assurer la classe. » Certaines écoles savent désormais d’avance que la maîtresse ne sera pas remplacée durant les deux mois de son absence.

Parmi les 150 professeurs supplémentaires annoncés à la rentrée, 75 seront affectés à une ouverture de classe, 15 à la scolarisation des moins de 3 ans et 60 viendront compléter la brigade de remplacement. « Mais on voit bien que ce ne sera pas suffisant pour remplir les 250 classes sans enseignants, insiste François Cochain, délégué national Snuipp-FSU. Et pourtant, on avait averti le ministère dès le mois d’octobre qu’on allait rencontrer ce type de situation. Mais personne n’a voulu nous écouter. »

Le Syndicat national des personnels d’inspection, qui subit les récriminations des parents comme celles des enseignants, pointe du doigt l’effet pervers de cette situation. « Les élèves des profs absents sont répartis dans les autres classes, ce qui provoque la fatigue et le stress des personnels présents et débouche sur plus d’arrêts maladie, se désole Catherine Chabaudie. Les conditions d’apprentissage sont en partie responsables des faibles résultats scolaires. »

Et elle rappelle que l’Etat se place dans l’illégalité car « avec toutes ces classes sans prof, le droit commun n’est même pas appliqué en Seine-Saint-Denis ». Selon les deux syndicats, il n’est donc pas étonnant que 3000 de ces enseignants, sur un effectif de 9600, cherchent à partir chaque année. La solution, selon eux : créer, dès la rentrée, 1500 postes pour assurer un encadrement convenable et 1150 de plus pour avoir un environnement de travail en rapport avec les populations fragiles du département.

Ils réclament également d’être reçus par le ministre de l’Education dans les plus brefs délais. « En cinq ans, nous avons gagné 12000 élèves, soit 450 classes, mais aucun enseignant supplémentaire », rappelle Rachel 
Schneider, déléguée départementale adjointe du Snuipp.

 

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 8 Février 2013

 


Larry Skoller est un guitariste de blues plutôt talentueux. Il a quitté son Amérique natale pour s'installer à Cognac. Mais il n'a pas cessé pour autant de produire des disques. Des disques de blues. Le dernier en date est nommé au Grammy's ce dimanche : And still I rise par le groupe Héritage Blues Orchestra, qui réunit en son sein 7 musiciens américains et deux Français. C'est d'ailleurs l'un d'eux, Bruno Wilhelm, qui signe les arrangements de cuivre, ce qui a donné à l'album son originalité. 12.000 professionnels ont voté pour ce disque sur 150 autres projets, dont un BB King et une Etta James recalés ! Dans la nuit de dimanche à lundi Mohamed Beldjoudi et Larry Skoller cofondateurs du Festival Aulnay All Blues et toute la ville d’Aulnay-sous-Bois, qui a coproduit ce disque, croiseront les doigts pour décrocher le prestigieux Grammy Awards à Los Angeles. En attendant vous trouverez ci-dessous en écoute l’interview qu’ils ont donné sur la radio France Info. Good luck guys and fingers crossed !

 

 

Source : franceinfo.fr

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 8 Février 2013

Rebelle.jpgL’Espace Jacques Prévert d’Aulnay-sous-Bois organise ce soir à 20h30 un ciné-débat autour de la projection du film Rebelle . Cet événement sera animé par Amnesty International. Voici le synopsis du long métrage : Kamona, jeune fille, raconte à l’enfant qui grandit dans son ventre l’histoire de sa vie quand elle a dû faire la guerre dans l’armée des guerriers rebelles d’un pays d’Afrique centrale. Le seul qui l’aide et l’écoute est le magicien, un garçon de 15 ans qui veut l’épouser. Rebelle est une fable sur l’Afrique subsaharienne du XXIe siècle, une histoire d’amour entre deux jeunes âmes prises au milieu d’un monde de violence, de beauté et de magie.

Renseignements au 01 48 68 00 22

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 7 Février 2013

belle_mere.jpgAllons allons ne nous fâchons. Il y a forcément des manières plus pacifiques d’envisager les relations avec une belle-mère !

Les policiers ont découvert un véritable arsenal en perquisitionnant chez cet habitant d’Aulnay. Pas moins de neuf armes de poing se trouvaient dans son appartement rue de Belfort : fusils 22 long rifle, revolvers, pistolet ainsi que des couteaux et un sabre. Cet amateur de calibres ne détenait aucun permis de port d’arme.

C’est sa belle-mère qui a conduit les policiers jusqu’à cette adresse. Lundi, peu après minuit, elle s’est présentée au commissariat en déclarant qu’elle venait d’être la cible de trois coups de feu, tirés par son gendre. Par miracle, elle n’a pas été blessée. Cet homme de 59 ans l’aurait d’abord frappée à la tête avec la crosse d’un revolver puis il l’aurait visée avec cette arme. Le suspect a été interpellé peu après et placé en garde à vue.

Source article : Le Parisien

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 7 Février 2013

Hier le morceau proposé était empreint d’une certaine émotion traduite par les voix de Romy Schneider et Michel Piccoli. Il s’agissait comme l’a indiqué Patrick du film de Claude Sautet Les Choses de la vie. Ce soir place à une ambiance totalement différente avec un classique immortel du genre qui avec une teinte d’humour brosse un large éventail de la palette des sentiments humains. A vous d’en deviner le titre !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 7 Février 2013

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Vous trouverez ci-dessous un communiqué des élus du groupe Aulnay-Ecologie Les Verts et des militants écologistes d’Aulnay-sous-Bois (photo ci-dessus) qui nous signalent qu’un convoi nucléaire se trouve toujours actuellement en Seine-Saint-Denis. Ils continuent à dénoncer l’opacité qui règne autour de ce type de transports. Ainsi, après une campagne d’information baptisée « opération quiche », la chasse aux castors se poursuit…  Merci à Hervé pour les photos.

Communiqué des élus du groupe Aulnay-Ecologie Les Verts et des militants écologistes d'Aulnay-sous-Bois,  le 6 février 2013

Le convoi nucléaire est actuel­le­ment en Seine-Saint-Denis !

En toute impu­nité et opa­cité les auto­ri­tés stockent des tonnes d’uranium en zone dense.

Mer­credi 6 février 2013 un nou­veau convoi de com­bus­tibles nucléaires usa­gés en pro­ve­nance de la cen­trale nucléaire de Bor­seele aux Pays-Bas et à des­ti­na­tion de l’usine AREVA de La Hague est à nou­veau passé sur les voies du RER B. Il est actuel­le­ment en gare de triage de Drancy, a quelques mètres des habi­ta­tions.

Les maires des villes alen­tour, comme cer­tains l’ont déjà fait, ne doivent pas accep­ter ce sto­ckage de tonnes d’uranium usagé en zone dense. A titre d’exemple, le convoi est sto­cké à 700m de l’hôtel de ville du Blanc-Mesnil, 1,3 km de l’hôtel de ville de Drancy et 2,9km de l’hôtel de ville d’Aulnay-sous-Bois.

Actuel­le­ment les éco­lo­gistes et mili­tants anti­nu­cléaires orga­nisent un casse-croûte pro­tes­ta­taire sur le pont rou­tier de la gare RER de Drancy (voir le com­mu­ni­qué pré­cé­dent).

Ce convoi inutile, passe une fois de plus en zone dense en toute impu­nité. Les consé­quences d’un acci­dent en pleine agglo­mé­ra­tion pour­raient être gra­vis­simes.

Non à la bana­li­sa­tion du dan­ger radio­ac­tif dans les lieux de vie ! 

Alain AMEDRO vice-président de la région IDF, Claire DEXHEIMER, François SIEBECKE, Jean-Marc BLOCH, Jean-Louis KARKIDES, Hervé SUAUDEAU

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Communiqués

Publié le 7 Février 2013

DANIELGOLDBERGDaniel Goldberg (photo ci-contre) est connu pour avoir saisi le précédent président de la République Nicolas Sarkozy afin d’aboutir à la reconnaissance du 17 octobre 1961. Du reste, cette même demande a été faîte auprès du président actuel François Hollande. Le député de la 10e circonscription de Seine-Saint-Denis s’est intéressé à cette période de l’histoire en lisant le roman de Didier Daeninckx  Meurtres pour mémoire paru en 1984. Après quelques recherches il s’est rendu compte que le contenu du livre était vrai et que cet événement était passé sous silence. Il s’est alors penché sur les mécanismes qui ont conduit à la répression et ses conséquences : de la manifestation pacifique des Algériens contre le couvre-feu jusqu’au noms de victimes en passant par la chaîne des décisionnaires et responsables de l’époque comme Maurice Papon, préfet de police à ce moment-là. Il s’est ému qu’aucune formation politique, y compris de gauche, n’ait porté cette mémoire pendant une trentaine d’années.

Dans les faits, il aura fallu attendre 50 ans pour que la République Française reconnaisse par la voix du chef de l’Etat ce qui s’était réellement passé. Cette difficulté à inscrire dans le marbre des épisodes douloureux de notre histoire a généré chez monsieur Goldberg des interrogations quant à son engagement politique et sur comment son propre pays avait pu mettre un buvard sur le 17 octobre 1961 et les vies qui se sont arrêtées brutalement ce jour-là. Ce type d’événements questionne la France sur le concept de nation, la mémoire, l’Etat de droit, ce qui fait un pays dans ses différences et ses ressemblances. L’Algérie devrait d’ailleurs s’interroger pour les mêmes raisons. Se montrant volontiers optimiste quant à l’évolution des relations Franco-Algérienne et expliquant que deux pays qui partageaient la même mer étaient forcément frères,  Daniel Goldberg a conclu qu’il fallait apprendre du passé pour le dépasser et regarder devant. Cette attitude permettrait peut-être de régler un certain nombre de questions qui ont trait plus spécifiquement aux banlieues et pourquoi pas d’éviter d’autres émeutes de celles de l’automne 2005


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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Démocratie de proximité

Publié le 7 Février 2013

Vous trouverez ci-dessous un communiqué du groupe communiste d’Aulnay-sous-Bois qui demande au maire Gérard Ségura un soutien financier aux grévistes de l’usine PSA. Jusqu’à présent aucune aide ne semble avoir été versée par notre municipalité, alors qu’elle est tout de même la première concernée, tandis que d’autres villes voisines comme Tremblay-en-France ou Gonesse ont déjà donné respectivement 20 000 et 6 000 euros et ainsi montré l’exemple. Par ailleurs, Pierre Laurent, le secrétaire national du PCF était présent à la manifestation de mardi devant l’entrée du site du groupe automobile. Pour compléter cet article nous vous proposons la vidéo de son allocution.

 
Groupe communiste d’Aulnay-sous-Bois 

Aulnay, le 5 février 2013

Soutien financier aux grévistes de PSA

Un rassemblement important s’est déroulé aujourd’hui devant l’usine fermée et bien gardée par un bataillon de vigiles.

Les salariés grévistes ne se sont pas laissés intimider et ont été nombreux devant PSA avec de nombreux soutiens syndicaux, politiques et citoyens.

La grève, c’est souvent le dernier recours pour se faire entendre de son employeur mais face à l’autisme de la direction de PSA, le personnel de l’usine n’a pas eu le choix.

Faire la grève représente un coût pour les salariés, c’est pour cela nombreux sont ceux qui se mobilisent pour apporter une aide financière aux grévistes.

Saluons ici la ville de Tremblay en France et celle de Gonesse qui embrayent le pas.

Les élus communistes d’Aulnay ont fait la même chose en contribuant personnellement à la solidarité financière.

Miguel Hernandez, Président du groupe communiste avait interpelé le Maire Gérard Segura pour que la ville d’Aulnay soutienne financièrement les salariés.

Cette demande jusqu’à maintenant n’est pas suivie d’effets.

Monsieur le Maire Gérard SEGURA, répondez

favorablement à la demande de solidarité financière

des salariés de PSA – Aulnay.

Le conseil municipal du 21 février sera l’occasion de

confirmer ce soutien par une délibération.

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Communiqués

Publié le 7 Février 2013

deniscahenzli.pngAprès le centriste Jacques Chaussat, un deuxième candidat se déclare à droite en vue des municipales de 2014 à Aulnay-sous-Bois. Surprise, il ne s’agit pas de l’ancien maire Gérard Gaudron, ni de l’ancien conseiller municipal UMP Frank Cannarozzo, mais de Denis Cahenzli (photo ci-contre). Cet ancien directeur des services techniques de la ville et ex-militant RPR, âgé de 62 ans, espère « susciter  une troisième candidature à droite, afin que le débat s’engage ensuite sur la meilleure à retenir ». Son objectif : « jouer les conciliateurs et permettre à l’opposition de se rassembler », face au maire PS sortant, Gérard Ségura.

Source : Le Parisien 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 7 Février 2013

bouquinsUne trentaine de personnes, passionnées de culture (théâtre, cinéma, ateliers artistiques, musique, philosophie…) se retrouvent à la conférence littéraire mensuelle sur un livre, un auteur. En amont, le groupe se réunit un jeudi par mois pour partager ses lectures et ses découvertes culturelles sur un pays mis à l’honneur. Rendez-vous donc aujourd'hui à la bibliothèque Dumont à partir de 14h.

Source : Oxygène n°171

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 6 Février 2013

La nouvelle est tombée comme un couperet vers 14h cet après-midi. Le bureau de poste principal du Vieux-Pays, situé place de l’Eglise St-Sulpice, est fermé jusqu’à nouvel ordre suite à une agression aux guichets. Rendons à Jean-Gauthier ce qui appartient à Jean-Gauthier puisque c’est lui en effet qui, le premier sur MonAulnay ici, a relayé l’information sur la blogosphère locale. Cela a d’ailleurs surpris le reporter d’Aulnaylibre ! envoyé sur place ce soir. Comment se fait-il, s’est-il étonné, que Jean-Gauthier relaie une information en rapport avec un fait divers ? Serait-il en train de tomber à son tour malgré lui dans la spirale de l’insécurité, qui agite tant le microcosme aulnaysien présentement,  en renforçant inconsciemment ce sentiment parmi un certain nombre d’habitants de notre commune ? En attendant les réponses à ces questions la vidéo ci-dessous n’a pu que constater l’évidence : ce bureau de poste est fermé jusqu’à nouvel ordre…

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 6 Février 2013

Hier, pour notre blind test quotidien, il fallait reconnaitre le titre d’un film d’Albert Dupontel, comique essentiel notamment à travers son sketch hilarant d’un candidat au bac en plein rattrapage de philo se débattant désespérément avec Sartre, appelé Le Vilain. Ce soir place à une musique tout à fait émouvante. A vous de deviner le nom de ce long métrage ? En indice vous pourrez reconnaitre les voix des deux interprètes principaux se mêlant au morceau qui prend une dimension saisissante...

 


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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture