Publié le 13 Février 2014

Alain-AMEDROSerrons les rangs à gauche. Voilà en résumé le message adressé par l'équipe du maire sortant PS d'Aulnay au candidat Europe Ecologie Alain Amédro. « La droite a désigné Aulnay comme un objectif prioritaire de reconquête », estiment dans un communiqué les représentants du PS, du PRG, du PC, de Génération Ecologie, en référence au candidat UMP Bruno Beschizza. Ils appellent donc à « un désistement réciproque en faveur de la liste de gauche la mieux placée à l'issue du 1 er tour », brandissant le danger d'un basculement et du Front national. L'appel du pied semble laisser Alain Amédro de marbre pour l'instant : « nous poursuivons notre travail sur le fond, qui trouve un écho de plus en plus favorable chez les Aulnaysiens de gauche et au-delà », répond le candidat écolo sans se prononcer sur l'entre-deux tours.

La liste « Aulnay avance », tirée par Gérard Ségura, présente son programme ce soir à 19 h 30, à la salle Chanteloup, 1, rue Nonneville.

Source : Le Parisien

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Publié le 13 Février 2014

Le festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), qui s’est achevé ce week-end, a notamment couronné le film « Inupiluk », de Sébastien Betbeder.

 

L’œuvre, récompensée par le prix du public, a bénéficié du soutien du conseil général. Le film conte l’histoire de deux amis qui se retrouvent à l’autre bout du monde, dans les plaines enneigées du Groenland, où vit le père de l’un deux. « Inupiluk » sera projeté en avant-première le 20 février. Espace 1789, rue Alexandre Bachelet à Saint-Ouen.

Source : Le Parisien

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Publié le 13 Février 2014

DSC00128.JPGNous apprenons à l’instant que Bruno Beschizza le candidat d’Union de la Droite, du Centre et de la Société Civile vient de sortir et boiter son projet pour Aulnay-sous-Bois en vue des municipales de 2014.

L’histoire retiendra donc que le supposé parachuté a été le premier à présenter son programme aux Aulnaysiens !

Robert Ferrand

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Publié le 12 Février 2014

Vous trouverez ci-dessous le communiqué d’invitation à la grande soirée de dévoilement de la liste et du projet menés par le maire sortant d’Aulnay-sous-Bois Gérard Ségura pour les municipales de mars prochain. Ce document est accessible au format pdf en cliquant ici.

 Communiqué de la liste de large rassemblement

à gauche, écologique, solidaire et de progrès

AA-GS.pngLes forces rassemblées de la gauche, de l’écologie et du progrès  dévoileront leur liste et leur projet lors d’un grand rassemblement  jeudi 13 février à 19h30.

Cette soirée conviviale sera également l’occasion de lancer le comité de soutien qui permettra de poursuivre la dynamique enclenchée. 

Jeudi 13 février 2014

à 19h30

Salle Chanteloup

1 avenue de Nonneville

Ensemble faisons avancer Aulnay !

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Publié le 12 Février 2014

Un incendie mortel s'est déclaré ce mercredi dans un camp de Roms situé dans le quartier des Coquetiers à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Un enfant, vraisemblablement une fillette de 8 ans, a été retrouvé par les secours mort brûlé.

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Pour une raison encore inconnue, le sinistre s'est déclaré vers 5h45. «Une centaine de pompiers a été mobilisée, indique-t-on à la préfecture de Seine-Saint-Denis. 

Ils ont réussi à maîtriser le feu vers 6h40.» Ce camp qui avait, ces dernières semaines, vu affluer de plus en plus de personnes victimes d'expulsions, était occupé par près de 200 Roumains et Bulgares, qui ont été évacués. C'est environ un cinquième de ce camp qui a été dévasté par l'incendie.

Les pompiers ont réussi à maîtriser le feu aux environs de 06H25, mais «une fillette de 8 ans n'a pas été retrouvée pendant l'opération. Nous ne savons pas pour l'heure s'il s'agit de la même personne», a ajouté la préfecture. L'autopsie du corps de l'enfant était en 
cours dans la matinée. Selon une enseignante investie auprès des Roms, cette fillette, prénommée Mélissa, d'origine bulgare, était scolarisée en CE1 dans une école de Bobigny.

Le préfet de Seine-Saint-Denis Philippe Galli s'est rendu sur place. Ce campement avait déjà été le théâtre d'un incendie en avril, qui n'avait pas fait de victimes.

La maire de Bobigny en appelle à l'Etat

Dans un communiqué, la maire communiste de Bobigny, Catherine Peyge, a dit vouloir «rencontrer d'urgence» la ministre du Logement Cécile Duflot après «ce drame». «N'oublions pas que cette question repose sur l'égalité territoriale bafouée en région parisienne et que la "chasse" à laquelle ces populations sont exposées est un facteur aggravant de grande précarité», affirme Catherine Peyge.

En fin de matinée, alors qu'une centaine des occupants du camps erraient à ses environs, Catherine Peyge déclarait au Parisien qu'elle venait de s'entretenir avec Cécile Duflot par téléphone. Une réunion d'urgence doit se tenir en préfecture de Seine-Saint-Denis avec l'ensemble des intervenants pour que des solutions d'hébergement pérennes soient proposées. Pour sa part, la maire de Bobigny en appelle à l'Etat pour qu'il ne laisse pas les collectivités locales seules face à ces situations, souhaitant notamment qu'Adoma, qui gère quelque 70000 logements sociaux, s'implique sur ce terrain.

Selon la préfecture, 135 campements ont été évacués en Seine-Saint-Denis en 2013, soit plus de deux évacuations par semaine. Le nombre de Roms vivant dans des campements est par ailleurs passé de 8.000 personnes début 2013 à 3.000 personnes début 2014, installées dans 46 campements.

Selon un rapport de la Ligue des droits de l'Homme publié mi-janvier, 22 camps roms (abritant un total de 2.157 personnes) ont été touchés par des incendies en 2013, contre 11 (1.065 personnes) en 2012.

Source : Le Parisien

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Publié le 12 Février 2014

Mohammed.jpgFin de la belle aventure pour Mohammed Si Abdelkader Benmoussa. Le cuisinier de 21 ans, qui a fait ses classes d'apprenti au CFA de Villepinte, a été éliminé lundi de l'émission « Top Chef », diffusée sur M 6. La créativité de Mohammed n'a pas suffi face à des candidats plus expérimentés. « Top Chef » restera quoi qu'il arrive un bon souvenir pour le jeune talent. « J'adore cette émission alors y participer, c'est juste énorme ! » confiait-il avant le tournage. Il va désormais se consacrer aux Championnats de France des desserts (il fut finaliste l'an dernier) et peut-être à une autre émission de télé (« Qui sera le prochain grand pâtissier ? » sur France 2).

Source : Le Parisien

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Publié le 12 Février 2014

Bagnolet-Capsulerie-Drogue.jpgAprès un an d’enquête, la sûreté territoriale a interpellé six personnes dans ce quartier gangrené par le trafic de drogue.

Une étrange impression régnait hier cité de la Capsulerie à Bagnolet. Des camions de police en enfilade, des fonctionnaires armés à l'allure de Robocop ou en civil déambulant dans les allées, talkies à la main, d'autres dans les halls.

Malgré tout un calme relatif, avec des habitants continuant à aller et venir, comme Joël et Odile, la cinquantaine rayonnante, de retour du BHV à Paris, un paquet sous le bras. « Il doit y avoir des arrestations », suppose ce couple qui traverse la cité à chaque fois qu'il se rend au métro Gallieni, 200 m plus bas. Il y a eu hier six interpellations, des jeunes de 20 à 30 ans. Deux vivent dans le quartier, les autres viennent de Saint-Ouen et Montreuil. Un revolver, 19 kg de cannabis et 31 000 € ont été saisis.

C'est le hall 25 qui était particulièrement visé par le coup de filet, en début d'après-midi, lorsque les clients commencent à affluer. Les policiers de la sûreté territoriale étaient aux commandes, après un an d'enquête et de surveillances, sur commission rogatoire, l'objectif étant d'amasser des preuves pour toucher les acteurs de ce trafic connu de tout le monde ici.

D'après les estimations, cela rapporterait 20 000 € par jour

La « vente de bonbons », comme l'appellent certains riverains, se fait au grand air, sur le terrain à l'arrière du 25, en retrait de la rue. On y arrive par un chemin depuis le métro. Les acheteurs ne peuvent pas se perdre, ils sont guidés, par grappes. La drogue est dans un chariot, prête à vendre. Les « choufs » (guetteurs) quadrillent la cité pour repérer tout intrus qui viendrait les déranger.

L'omniprésence des dealeurs 7 jours sur 7 n'est pas simple à vivre au quotidien. « On ressent un sentiment d'impunité, si on vivait à Neuilly, on ne laisserait pas un tel trafic prospérer », pense une mère de famille attachée à son quartier mais très amère. Elle pense aux enfants qui peuvent voir un avenir dans la fonction de guetteur. Selon elle, le trafic a pris de l'ampleur depuis trois ans, lorsque la pression policière s'est accentuée à Saint-Ouen et à Saint-Denis, autres points de vente proches de Paris.

« Alors on s'est mobilisés à une dizaine pour alerter, mais on a eu du mal », reprend-elle, saluant l'engagement du premier adjoint (PC) Laurent Jamet -- par ailleurs candidat aux municipales -- et de Josiane Bernard, la conseillère générale (PC). « Peu nous ont soutenus », dit-elle en convenant que la police s'est escrimée à donner du fil à retordre aux trafiquants. En septembre, le tribunal de Bobigny a condamné un habitant de 29 ans à sept ans de prison et interdiction de paraître à Bagnolet après la saisie, en mars 2012, de 150 000 €, d'un fusil à pompe et d'une trentaine de kilos de cannabis, qu'il tentait de jeter par la fenêtre.

Mais le trafic a repris. A 20 000 EUR par jour, d'après les estimations, le commerce est juteux. Alors hier soir, la police gardait un oeil sur le quartier. Sans l'appui des CRS toutefois, accaparés par les manifestations de taxis. 

Source : Le Parisien

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Publié le 12 Février 2014

Taureau-espagnol.jpgLa bibliothèque Dumont d’Aulnay-sous-Bois propose ce matin à 11h de se mettre à l’heure hispanique de façon originale avec la découverte d’applications ludiques et pédagogiques et une séance de contes espagnols sur tablette numérique. Voici donc sans doute une excellente occasion de déguster un café olé !

Atelier numérique à la bibliothèque Dumont, 12 boulevard Gallieni. Entrée libre. Renseignements au 01 48 79 41 81.

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Publié dans #Technologies

Publié le 11 Février 2014

En ce moment le maire sortant d’Aulnay-sous-Bois Gérard Ségura nous régale avec ses tracts de campagne. Après l’incroyable aveu de faiblesse devant Alain Amédro avant même les résultats du premier tour des municipales de mars prochain, voici le nouvel épisode d’une saga qui semble s’annoncer prometteuse. Cette fois-ci l’édile a choisi de s’intéresser, tardivement diront les mauvaises langues, à l’épineux sujet du RER B+. Arborant son plus beau sourire il nous la joue très pastille valda et suppositoire à l’eucalyptus en expliquant combien les conditions de transport des usagers déjà difficiles habituellement sont devenues insupportables depuis quelques mois suite à la mise en place de l’omnibus notamment.

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Conforté par ce constat plein de lucidité, Gérard Ségura avance non pas une mais carrément deux mesures concrètes, immédiates et révolutionnaires : un dédommagement des voyageurs et une enquête publique afin d’identifier les causes réelles de cette situation pour le moins chaotique. Sur la forme personne ne songerait évidemment à contester ces propositions. Une compensation financière symbolique du type de celle de mars 2012 où la SNCF avait consenti une baisse de 50 % d’une mensualité des abonnements serait bien entendu la bienvenue. Mais suffirait-elle à couvrir la totalité des heures ou des journées de travail perdues ou pire la perte d’un emploi consécutives à pareils dysfonctionnements ?  On peut légitimement se poser la question.

DSC00102.JPGDe même, quémander une enquête publique  ne parait pas très crédible. Surtout si l’on songe par exemple qu’il y a à peine deux ans le député Daniel Goldberg présidait en grandes pompes une commission d’enquête parlementaire sur le réseau RER censée apporter des pistes de réflexion en vue de l’amélioration du quotidien des usagers. Où sont les résultats concrets de ce travail doivent se demander aujourd’hui les pauvres voyageurs du RER B ? Comble de malchance enfin pour Gérard Ségura, c’est sous l’impulsion du sénateur de la ville voisine du Bourget que le ministre des Transports en personne, Frédéric Cuvillier, a annoncé au sénat en fin de semaine dernière une prochaine mission d’inspection sur le nouveau RER B+ mis en service à l’automne 2013.   

Mais examinons maintenant ce tract sur le fond. Il ne tient absolument pas la route. D’abord et surtout parce qu’au niveau des responsabilités le syndicat des transports d’Ile-de-France (STIF), qui est comme son nom l’indique  l’autorité organisatrice des transports de la région Ile-de-France, est présidé par le socialiste Jean-Paul Huchon, l’ami politique de Gérard Ségura ! Pourquoi n’assument-ils pas conjointement l’échec de la mise en place du RER B+ dont le seul point positif se limite pour l’instant à l’amélioration de l’aspect et de  l’accessibilité des gares ?  De ce point de vue, du reste,  la dérobade des amis écologistes de Jean-Paul Huchon à la Région, Pierre Serne, vice-président en charge des transports et des mobilités, et Alain Amédro n’est pas très glorieuse non plus. Ils préfèrent courageusement (rires enregistrés) jeter la faute sur la SNCF, la RATP, et RFF, occultant volontairement la question qui tue : comment a-t-on pu lancer le RER B + sans anticiper que la vétusté du réseau existant n’était pas en mesure de supporter la mise en place des nouveaux horaires ?! Franchement ce n’est pas sérieux ! On a déjà vu des dirigeants d’entreprises du secteur privé être remerciés sur le champ pour moins que cela !

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Bref, vous l’aurez compris, cette communication de Gérard Ségura est une vaste plaisanterie. Une énième gesticulation ridicule censée enfumer les usagers du RER B. Certes, il n’est pas interdit aux politiciens de prendre les voyageurs de cette ligne de transport pour des idiots, mais cela ne veut pas dire qu’ils le sont. La meilleure preuve en étant que bon nombre de ces tracts distribués au petit matin à la gare d’Aulnay-sous-Bois ont terminé là où ils le méritaient. Dans la poubelle au milieu des déchets…

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 11 Février 2014

centre-tri-bobignyIls se battent depuis novembre. Les deux principaux syndicats de la Poste, SUD et la CGT, ont réuni une trentaine de personnes hier à 12 h 30 devant la direction départementale de l'entreprise. En cause, la réorganisation interne qui vise à transférer la plate-forme industrielle de courrier (PIC) sur les sites de Lognes (Seine-et-Marne) et de Gonesse (Val-d'Oise). Près de 200 emplois sont concernés.

Catherine Peyge, la maire (PCF) de Bobigny, est venue hier assurer les salariés de son soutien. « Je suis très attachée à ce que ces emplois restent à Bobigny », a confié l'édile qui a écrit à la direction de la Poste voici plus de deux semaines, « en vain ».

« Quand on voit qu'il y a environ 1,3 million d'habitants en Seine-Saint-Denis, ça démontre que ce n'est qu'un choix financier », lâche Philippe Chamek de SUD. Le département serait le premier d'Ile-de-France à ne pas avoir son courrier trié sur place, selon les syndicats. L'échéance initiale de la mise en oeuvre de cette restructuration fixée à la fin de l'année préoccupe. Y compris les syndicats de Lognes, également présents hier, site qui accueillera les trois quarts des migrations.

La direction de son côté n'envisage pas de revoir sa copie. La Poste insiste sur la nécessité de revoir son schéma industriel. Selon les chiffres communiqués, l'activité de la PIC de Bobigny s'est réduite de 6 % en 2013 après déjà deux baisses de 5 %. « Le site de Bobigny ne ferme pas. On va garder certaines activités sur place mais le traitement du courrier entrant et sortant sera transféré », indique un porte-parole de l'entreprise. Des négociations sont en cours sur le nombre d'emplois conservés. Ce représentant affirme que « le courrier continuera à être distribué par les facteurs du département » et que « la qualité des prestations restera de haut niveau ».

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 11 Février 2014

intoxicationmonoxydedecarbone.jpgL'agence régionale de santé (ARS) lance un cri d'alarme après le nombre important d'intoxications au monoxyde de carbone dans le département. Entre le 1er septembre 2013 et le 27 janvier 2014, l'agence a recensé près de vingt accidents concernant pas moins de 55 personnes, dont un décès. La Seine-Saint-Denis est le département qui connaît le plus grand nombre de drames après Paris. « L'habitat, les conditions de vie et la précarité font que l'on retrouve, un peu plus qu'ailleurs, des installations vétustes, mal entretenues, dans des habitations également mal aérées, analyse Flore Taurine, ingénieur d'études sanitaires à l'ARS. En outre, le chauffage au gaz est plus répandu car il est moins cher que l'électrique. »

Et l'évolution n'est pas particulièrement rassurante si l'on regarde les chiffres des trois dernières années en Seine-Saint-Denis. Ainsi en 2011, 91 personnes ont été intoxiquées au monoxyde de carbone, causant 2 décès ; en 2012, 159 et 4 décès ; en 2013, 166 et 4 décès également.

« Il faut rappeler qu'une chaudière se contrôle une fois par an, que cet entretien est à la charge du locataire et que le forfait se situe entre 90 € et 150 €, détaille Flore Taurine. Il existe aussi des détecteurs de gaz qui doivent porter une référence norme française (NFEN 50 291), mais ils sont moins fiables que les détecteurs de fumée. C'est pourquoi ils peuvent être une sécurité supplémentaire mais cela ne doit pas éviter l'entretien annuel des installations. » L'ARS rappelle aussi que les barbecues, braseros, cuisinières ou réchauds de camping ne doivent pas être utilisés comme moyen de chauffage.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé

Publié le 11 Février 2014

interco.jpgMercredi 12 février à 20h à la salle Gainville d’Aulnay-sous-Bois, Patrick BRAOUZEC et Julie NOUVION seront au côté d'Alain AMEDRO pour parler de leur expérience de l'intercommunalité.

Solution aux bruits (A3, aéroport CDG, trafic routier...), équipements concurrents ou complémentaires, urbanisme et aménagements coordonnés, les solutions se trouvent avec les autres villes !

« Sortons Aulnay de son isolement ! »
L'intercommunalité, c'est travailler avec les autres communes.

Alain AMEDRO est vice-président du Conseil régional d’Île-de-France en charge de l'aménagement et notamment du projet Île-de-France 2030

Patrick BRAOUEZEC est président de la communauté d'agglomération Plaine commune, ancien président de Paris Métropole

Julie NOUVION est présidente de Bruitparif, conseillère régionale d’Île-de-France

Comment arrêter les concurrences destructrices entre communes (centres commerciaux, cinémas...) ? Comment s'ouvrir vers les autres villes pour plus d'efficacité budgétaire, plus d'innovations et de dynamisme ? Venez comprendre les enjeux de l'organisation de l’Île-de-France : intercommunalité, métropole, Grand Paris... comment ça marche ?

Autour d'Alain Amédro et des candidats de la liste "Vivre mieux ensemble à Aulnay-sous-Bois"

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 11 Février 2014

marimba.jpgLe Conservatoire a le plaisir d’accueillir la classe de marimba du CRR de Paris. Unique en France, elle a été créée par le marimbiste Eric Sammut dont l’exigence et les remarquables qualités artistiques ont permis à ses élèves d’atteindre un haut niveau d’excellence. Le concert de ce soir témoigne de cette qualité, en présentant tout d’abord un mini-récital de la marimbiste Yi-Hsien Wu suivi d’une deuxième partie exécutée par l’ensemble de claviers de percussion (marimba, xylophone, vibraphone, glockenspiel…) de cette classe.

Ce soir 20h30 au conservatoire de musique d’Aulnay-sous-Bois. Entrée libre. Renseignements au 01.48.79.65.21.

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Publié dans #Culture

Publié le 11 Février 2014

futsal-final-brasil-espanha-01g.jpgTrois Aulnaysiens de 21, 24 et 29 ans partis soutenir l'équipe locale de futsal samedi à Strasbourg, ont mis un peu plus de temps que prévu pour rentrer chez eux. Ils ont été interpellés et placés en garde à vue par des gendarmes alsaciens pour des vols commis sur une aire d'autoroute du Bas-Rhin. De la nourriture a été dérobée, ainsi que quelques vêtements, trois vestes polaires, un béret, des basquettes et une paire de lunettes. La femme du gérant a aussi dit avoir été molestée. La vidéo a été visionnée. Les gendarmes ont intercepté trois autocars. Des objets volés ont été retrouvés et trois passagers arrêtés. Deux d'entre eux ont été libérés le lendemain, faute de preuves. Le troisième en revanche s'est engagé à payer le montant des dégradations.

Source : Le Parisien

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 11 Février 2014

reseaubiblioDans le cadre de ses séances "Livr'et vous" la bibliothèque Jules Verne d'Aulnay-sous-Bois, située 8 rue du Limousin, propose une rencontre entre lecteurs aujourd'hui à partir de 14h30. Vous aimez les livres et souhaitez faire partager vos coups de coeur ? Alors ne manquez pas ce rendez-vous de passionnés fait pour vous ! Renseignements au 01.48.79.41.08.

Livr'et vous c'est aussi un blog à découvrir en cliquant ici.

Source : réseau des bibliothèques d'Aulnay-sous-Bois

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Publié dans #Culture

Publié le 10 Février 2014

Les parents étaient de nouveau appelés à ne pas envoyer leurs enfants à l’école, lundi. Ils paraissent, cette fois, avoir largement ignoré le mot d’ordre.

ecole-2417984-jpg_2077833.JPG"Tous mobilisés pour sauver nos enfants d'une théorie du genre mensongère et traumatisante !" "Vaincre ou mourir !" Les slogans mi-anxiogènes, mi-belliqueux ont-ils fait leur temps ? En lançant une seconde journée nationale de "retrait de l'école" deux semaines tout juste après la premièreFarida Belghoul espérait, sans doute, battre un fer encore chaud. Or, si en fin de journée le ministère de l'Éducation nationale ne disposait pas encore de chiffres précis, la JRE de lundi semble avoir été peu suivie. 

À l'école Alfred Binet de Meaux, qui a connu le 27 janvier jusqu'à 40 % d'absentéisme, rien à signaler. "Les seuls absents sont les enfants malades", assure la directrice adjointe de l'école. Pas de "théorie du genre" dans les mots d'excuse, pas plus que de "réunion solennelle de famille" - le motif conseillé, dans leur SMS aux parents, par les organisateurs du mouvement. "Il y a quinze jours, le directeur a écrit un mot aux parents qui avaient choisi de participer pour les rassurer, leur expliquer le principe des ABCD de l'égalité et leur proposer d'en discuter individuellement avec lui", précise-t-elle. 

Ce travail d'apaisement, largement mené par les enseignants du primaire et le ministère de l'Éducation nationale, pourrait avoir porté ses fruits ce lundi. "Nous n'avons eu aucun écho, il semble que cela n'a pas eu autant d'impact", confirme Paul Raoult, président de la FCPE, la principale fédération de parents d'élèves. "C'est logique, poursuit-il. La première fois il y a eu un effet de surprise, certains parents ont pu se laisser berner. Ceux qui retirent aujourd'hui leurs enfants sont, je crois, de vrais membres du mouvement." Paul Raoult dit cependant remarquer une inquiétude persistante chez certaines familles, qui ne souhaitent pas être associées aux extrémismes et refusent le boycott, mais s'interrogent néanmoins sur les contenus des enseignements. "On ne peut pas ne pas prendre cela en compte, estime-t-il. Il faut un vrai dialogue, individuel."

Des enfants troublés

De fait, la mobilisation du 27 janvier avait été éparse mais impressionnante : une centaine d'écoles sur 48 000, jusqu'à 50 % d'élèves concernés. "Il y a eu cinq absents dans ma classe la première fois, une dizaine chez d'autres collègues", témoigne un instituteur d'une école de Seine-Saint-Denis. "Un seul, Marwan, avait le lendemain un justificatif clair. Il m'a dit, un peu gêné, que sa mère avait essayé de lui expliquer de quoi il retournait mais qu'il n'avait rien compris."

Le hasard est taquin. La leçon de ce jour-là, prévue de longue date, est bien consacrée au genre... mais il s'agit de grammaire et du genre du nom. "Les élèves ont au tableau une série d'étiquettes et doivent trouver un principe de classement, explique l'enseignant. Comme je suis un peu taquin, et que l'égalité des sexes m'importe, je veille toujours à ce que les représentations véhiculées par les exercices proposés soient équilibrées. Du coup, la liste est la suivante : boxeuse, coiffeur, caissier, directrice, ouvrière, mécanicienne, serveur, acteur. Et puis mon regard se porte sur Marwan. Il est angoissé comme jamais, son cahier est complètement raturé, et, nerveusement, il a classé tous les métiers de fille ensemble, en changeant pour faire bonne mesure le boxeuse en boxeur... Il a fallu le calmer, lui expliquer que ce n'était que de l'orthographe." Le 10 février, cependant, Marwan était en classe - comme tous les autres.

Source : http://www.lepoint.fr/

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Publié dans #Education

Publié le 10 Février 2014

Alors que les élections municipales approchent à grands pas, la construction de logements à Bondy de la gare au centre-ville fait débat. Pour les uns, c’est de la densification inutile dans une ville qui a besoin d’activités économiques. Pour les autres, le choix se fait sans concertation. Toute ressemblance avec ce qui se passe à Aulnay-sous-Bois serait évidemment fortuite...

3574505_11-0-4084801970_640x280.jpg SYLVINE THOMASSIN, MAIRE SORTANTE PS. « Nous avons mis en place un plan local d’urbanisme qui nous permet de créer une ville dynamique et plurielle. Nous avons mis en place dans le texte tous les garde-fous pour que la ville reste à taille humaine. Le pavillonnaire y est sanctuarisé, sauf sur les axes périphériques tels que la rue Carnot car nous avons besoin de construire. Si nous ne construisons pas de logements nous laissons la part belle à tous types de marchand de sommeil. Construire est une bonne manière de lutter contre les marchands de sommeil et le logement indigne. Le plan local d’urbanisme est mixte. Il nous oblige à créer 30 % de logements sociaux. Les 70 % restant doivent permettre de voir émerger du locatif et de l’accession privés, ainsi que l’accession sociale. Nous voulons créer une ville attractive. »


STEPHEN HERVE, CANDIDAT 
UMP-UDI-MODEM. « Je tiens tout d’abord à dire que nous n’avons pas voté le plan local d’urbanisme qui permet cette densification. Ce choix est en plus complètement anarchique. Des types d’habitat très différents se retrouvent côte à côte sans que l’on n’en comprenne la logique. Des bâtiments de 4 voire 5 étages jouxtent ainsi des pavillons. Beaucoup de riverains qui sont en pavillons ne sont pas contents de se retrouver de but en blanc avec un mur de plusieurs mètres de haut dans leur jardin. Plutôt que construire à tout va, je préconise l’installation de commerces et de services. Que les gens trouvent de l’emploi près de chez eux ce qui permettra de sortir de la ville-dortoir dans laquelle nous sommes. Et pour ceux qui doivent travailler à l’extérieur, il faut parallèlement développer les voies de circulation, qu’ils puissent aisément utiliser les véhicules pour désengorger les transports en commun ».

HAKIM KADRI, CANDIDAT DVG-BONDY AUTREMENT.
 « Les choix urbanistiques générés par le plan local d’urbanisme manquent de lisibilité. Sur les chantiers, il est rarement simple de savoir ce qui va sortir de terre : des logements sociaux ou des terrains livrés en pâture à des promoteurs privés. Les nouvelles constructions rognent sur les espaces verts. Des pelouses se voient ainsi reléguées sur des toits. Et à côté de cela, des arbres sains sont détruits pour laisser place aux nouvelles habitations. Plutôt que construire et faire de la spéculation immobilière, à tout va, nous pensons qu’il y a urgence à repenser l’éducation. L’échec scolaire est grave sur la ville. Il faudrait mettre en place des formations pour adultes. Pour les commerces, nous voulons favoriser l’installation d’une librairie. La voirie doit également mieux être entretenue. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 10 Février 2014

« Pour beaucoup c'est un coup de massue. Certains sombrent même dans la dépression », confie Léon. Cet habitant du Blanc-Mesnil participait samedi à la nouvelle mobilisation du Corigat (Collectif des riverains de la gare de triage), qui portait plus précisément sur les conséquences immobilières et fiscales de la limitation des droits à construire autour de la gare. Ce site majeur du fret ferroviaire francilien, où transitent chaque année 250 000 wagons dont 13 000 transportant des matières dangereuses, est source d'inquiétudes chez les habitants. Elus et riverains sont mobilisés depuis de nombreux mois, pour dénoncer ses dangers, mais aussi le « porter à connaissance » du 22 avril 2013. Cette décision du préfet interdit toute nouvelle construction, ainsi que les verrières ou les vérandas, dans un périmètre de 620 m autour de la gare.

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150 lettres adressées au fisc

Conséquence : la valeur de l'immobilier dans ce secteur a chuté. Avec moins d'un an de recul, impossible d'avoir des données précises, mais pour certains habitants, les effets sont déjà visibles. « J'ai un projet de vente à moyen terme, quand ma famille quittera la maison, raconte Anne-Marie Delmas, membre du Corigat. J'avais fait évaluer ma maison l'an dernier, elle valait 550 000 EUR. Après le porter à connaissance, un agent immobilier l'a estimé à environ 330 000 EUR. Mon pavillon a perdu 40 % de sa valeur ! » La décote est sans doute renforcée par la taille du terrain d'Anne-Marie (plus de 1 000 m 2), qui présentait une grande valeur de par les droits à construire. « J'avais des promoteurs parmi mes clients potentiels, indique Anne-Marie. Mais là, je vais rester là encore un certain temps... »

« La décision préfectorale réduit de fait la valeur du patrimoine immobilier des habitants, observe Alain Ramos, président du Corigat. Il faut que l'Etat révise son mode de calcul des bases locatives, pour que les gens spoliés puissent payer moins d'impôts. » cela se traduirait par une baisse des taxes foncière et d'habitation. Un nouvel angle d'attaque pour le Corigat, pour qui l'objectif final est surtout d'obtenir que le tri des matières dangereuses aille se faire ailleurs. « On est dans une stratégie de harcèlement médiatique. On cherche à polluer les pouvoirs publics, que ce soient les impôts, la préfecture ou le gouvernement, pour que l'Etat réagisse d'une manière ou d'une autre », conclut Alain Ramos.

Les lettres des 150 membres du Corigat vont donc envahir cette semaine les bureaux des centres des impôts du Blanc-Mesnil et de Drancy. Parallèlement, la mobilisation des élus se poursuit, surtout qu'un nouvel incident, en fin de semaine dernière, a continué d'alimenter les craintes (lire ci-contre). Didier Mignot, maire (PC) du Blanc-Mesnil, a confirmé la tenue vendredi du premier « comité local d'information » sur la gare de triage, réunissant Etat, SNCF, RFF, élus et riverains.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 10 Février 2014

Alain Amédro doit se friser la barbichette en ce moment. En effet, après les communistes, visiblement très préoccupés des intentions du vice-président au Conseil régional et conseiller municipal d’Aulnay-sous-Bois à l’issue du premier tour des élections de mars prochain, c’est cette fois-ci le maire sortant Gérard Ségura qui met un genou à terre devant lui.

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Dans un tract larmoyant, distribué ce week-end sur les marchés,  monsieur Ségura appelle ainsi ni plus ni moins à un désistement réciproque en faveur de la liste de gauche la mieux placée le 23 mars. Un aveu de faiblesse hallucinant à une quarantaine de jours du scrutin qui contraste avec l’arrogance de toute la mandature. Il démontre en tout cas de façon flagrante que la liste de rassemblement « vivre mieux, ensemble, à Aulnay-sous-Bois » conduite par Alain Amédro fait peur et que le maire sortant commence sérieusement à envisager la défaite.

Mais la manœuvre aussi grossière soit-elle ne prendra pas cette fois-ci. Nous ne sommes plus en 2008 où la gauche rassemblée dans l’euphorie de la victoire annonçait le temps du bonheur. Depuis, les belles promesses ont mordu la poussière comme autant d’illusions perdues. La faute aux dérives autocratiques du maire sortant et de son cabinet qui ont fait des ravages en semant le désordre, divisant les quartiers et les habitants, abîmant la ville au propre comme au figuré.

Les écologistes ont eu la lucidité de démissionner dès 2010 pour ne pas participer plus que de raison à ce naufrage monumental. Ils n’ont eu de cesse depuis de dénoncer les pratiques du système Ségura et ne devraient pas en toute logique contribuer à le pérenniser. A ce propos justement, dans la vidéo ci-dessous, Alain Amédro déclarait le 23 janvier 2013 lors des vœux EELV en parlant de Gérard Ségura : « Il faut virer ce maire ! ». La réponse à cet appel semble donc on ne peut plus clair…

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 10 Février 2014

Vous trouverez ci-dessous un communiqué d’Aulnay Environnement qui demande une commission d’enquête indépendante urgente pour analyser tous les dysfonctionnements du RER B.

Aulnay Environnement                                                                 le 8 février 2014

                                                                Communiqué

RER B.svgLe « comité des usagers du RER B Nord » a demandé à Monsieur HUCHON président du STIF de venir dans notre banlieue rencontrer les « sinistrés quotidiens» du RER B.

Le comité de ligne ne s’est pas réuni depuis juillet 2012.

Il est urgent que tous les acteurs du RER B : les responsables de la région et du STIF, les opérateurs (SNCF, RATP…), les élus locaux de la  ligne RER B Nord, les employeurs et évidemment les usagers que nous défendons depuis des décennies puisse chercher ensemble des solutions.

Nous demandons une commission d’enquête indépendante urgente pour analyser tous les dysfonctionnements et améliorer à court terme et à long terme les transports du quotidien.

La situation actuelle pénalise les travailleurs, les entreprises, les étudiants et doit cesser.

Nous demandons à Monsieur Huchon de venir nous rencontrer à Aulnay comme il le fit en 2004 (Mr Copé aussi à l’époque) pour décider de la mise en place de cette commission d’enquête indépendante.

Nous avons été scandalisé par la venue du ministre des transport à Roissy pour remettre sur les rails le CDG-Express.

Nous demandons aux élus locaux actuels ou futurs de s’opposer au CDG-Express, d’appuyer notre « demande » d’enquête indépendante et de promouvoir un réseau maillé non-dédié de Paris à Roissy et Mitry-Crépy  qui améliore les transports pour tous les usagers.

P.S. Le président du STIF pourrait voir à Aulnay (dont la gare est l’équivalent en usagers de la gare régionale de Bordeaux) comment la SNCF fait d’un souterrain un territoire qui n’est ni public, ni républicain.

Pourtant ce souterrain dessert 2 gares routières permet d’accéder aux guichets SNCF, relie l’hôtel de ville au centre-gare-marché. La passerelle et le misérable souterrain public sont hors-norme pour les PMR.

Que de dépenses inutiles pour empêcher l’accès aux quais. Il est vrai que les 1.000 voyageurs de chaque train n’ont droit qu’à la seule présence d’un conducteur et que les contrôleurs ou la police ferroviaire sont invisibles dans les trains : que d’incidents voyageurs qui retardent des milliers d’usagers pourraient être évités avec un minimum de personnel dans les trains (l’emploi est prioritaire !).

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 10 Février 2014

taxis-vtcEn guerre contre leurs concurrents, les véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC), les taxis manifestent aujourd’hui à Paris et en province.

Les taxis sont mécontents. Et le font savoir une nouvelle fois aujourd'hui par un gros coup de force prévu à Paris et dans les principales villes de province, à l'appel des syndicats CFDT, CGT, FO, SDCTP et CST.

Circulation perturbée

En Ile-de-France, les deux principales autoroutes menant à la capitale seront absolument à éviter, l'A1 au nord et l'A6 au sud. Deux cortèges ont prévu de se rassembler à partir de 6 heures, aujourd'hui, sur les parkings des aéroports de Roissy (Val-d'Oise) et d'Orly (Val-de-Marne) avant de converger à faible allure vers Paris à partir de 8 heures et rejoindre le centre de la capitale. La préfecture de police de Paris a prévu un large périmètre d'isolement où la circulation sera interdite. La dispersion n'est annoncée que vers 18 heures. « Il y aura vraisemblablement des répercussions sur l'ensemble du secteur autoroutier concerné ainsi qu'aux abords du Champ-de-Mars. Nous conseillons donc aux automobilistes de contourner très largement la zone », indique la direction de l'ordre public et de la circulation. A Marseille (Bouches-du-Rhône), plusieurs points de départ sont prévus à partir de 7 heures : l'aéroport de Marignane ne sera pas bloqué, mais les taxis n'assureront pas la prise en charge des clients.

Pourquoi une nouvelle journée de manifestations ?

Cette nouvelle mobilisation intervient alors que le Conseil d'Etat vient de suspendre le décret qui imposait un délai minimum de quinze minutes entre la réservation d'un VTC (véhicule de tourisme avec chauffeur) par un client et sa prise en charge. Un revirement inacceptable pour les taxis qui dénoncent une « concurrence déloyale » qui risque « de mettre encore plus à mal un secteur touché de plein fouet par la crise ». « Il faut a minima réglementer les VTC, estime Alexandre, artisan taxi depuis treize ans à Cergy (Val-d'Oise). C'est un deux poids deux mesures qui nous est extrêmement préjudiciable. »

Le précédent

Cette nouvelle manifestation succède aux mouvements du 13 janvier, émaillés d'incidents. A Paris, plusieurs centaines de chauffeurs (800 selon les organisateurs) avaient suivi le même parcours. Conséquence, au plus fort du regroupement, jusqu'à 250 km de bouchons avaient été recensés en Ile-de-France. La pagaille avait été d'autant plus grande que les deux cortèges, qui devaient prendre la route à 8 heures, étaient finalement partis en ordre dispersé et par petits groupes tout au long de la matinée. « Rien ne dit que ce scénario ne se reproduira pas », craint un fonctionnaire de la préfecture de police. En province, la mobilisation a été plus modérée. A Marseille, le rassemblement de 350 taxis, selon les organisateurs, 140 selon la police, a créé des bouchons dans le centre. A Lyon, une quarantaine étaient partis de l'aéroport.

La crainte de débordements

« Ça va être chaud ! pronostique Michel, un chauffeur de taxi interrogé à une borne, porte de Clignancourt (Paris XVIII e). On est très remontés car on en a marre que les pouvoirs publics ne fassent rien alors que beaucoup de pseudo-chauffeurs agissent en toute illégalité. En attendant, c'est nous qui trinquons ! » « J'ai peur que ça parte en vrac, confie un autre. La colère est telle que ça pourrait facilement dégénérer. » Huit organisations de taxis (comme la FFTP, la FNDT ou l'Unit) ont déjà prévu de protester à nouveau le 8 mars en bloquant les principales grandes villes de France.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 10 Février 2014

Amel-Bent.jpgAprès Maxime Le Forestier ce week-end, l'Embarcadère continue d'attirer les têtes d'affiche. La nouvelle salle de concerts d'Aubervilliers accueille jeudi soir la chanteuse Amel Bent, révélée en 2006 par son tube « Ma philosophie ». Il reste des places pour venir découvrir les succès de celle qui fut découverte à la télé sur « Nouvelle Star » en 2004. Amel Bent, qui a grandi à La Courneuve, chantera aussi les titres de son dernier album, « Instinct ».

 

Jeudi, à 20 heures, à l'Embarcadère, 13, rue Réchaussière à Aubervilliers. Tarif : de 15 EUR à 25 EUR. Informations et réservations au 01.48.11.20.35.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 10 Février 2014

RER B.svgLa circulation du RER B sera interrompue cette nuit entre Aulnay-sous-Bois (93) et l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle. La RATP effectue en effet des travaux de maintenance qui entraînent la coupure de cet axe, dans les deux sens, de 23 h 5 à la fin du service, à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 14 février. Des navettes de bus de remplacement sont à disposition des voyageurs à ces horaires. D'autres travaux de maintenance de nuit sont prévus aussi la semaine prochaine, du lundi 17 au vendredi 21 février.

Source : Le Parisien

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 9 Février 2014

Les citadins peu habitués aux vents violents auront vite fait de qualifier le temps de ces derniers jours à Aulnay-sous-Bois de très agité d’où ce titre un poil exagéré sans doute, monstrueuse tempête à Aulnay-sous-Bois, qui fera probablement rigoler les habitants des côtes de la France qui affrontent bien plus souvent ce type de situations et à des degrés bien supérieurs.


Les bourrasques parfois soutenues ont toutefois dû mettre à mal les brushing de ces dames ces dernières heures.  La rédaction d’Aulnaylibre ! a reçu deux vidéos illustrant ce phénomène dans notre commune. Tout d’abord avenue Anatole France où une poubelle bleue de recyclage renversée et un arrêt de bus provisoire tombé ont pu être observés.

 

Ensuite à la gare RER B d’Aulnay-sous-Bois où les panneaux indicateurs valsaient littéralement sous l’impact du vent dans un balai étonnant.

Heureusement la presse locale n’a semble-t-il fait aucun écho de dégâts dans notre bonne ville jusqu’à présent…

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 9 Février 2014

Sur le papier l’événement s’annonçait prometteur. Réunir autour d’une table les principaux candidats aux élections municipales de 2014 à Aulnay-sous-Bois laissait entrevoir des échanges d’une belle intensité démocratique. Mais au final, le débat a tourné court. En effet, bien qu’il ait pourtant laissé entendre à certains qu’il ne viendrait pas, seul Alain Amédro, le représentant de la liste vivre mieux à Aulnay, a finalement fait le déplacement samedi soir jusqu’au chalet du Vélodrome à l’appel des associations UATEM-PIMG et COJEP ILE DE FRANCE.

Côté organisation de la salle tout était parfaitement professionnel et convivial. Ambiance musicale, buffet de qualité et micros pour les candidats étaient au rendez-vous. Kadim Özdemir, président d’UATEM-PIMG, a expliqué en introduction l’objectif de cette démarche qui se voulait simplement citoyenne de son point de vue. Aborder les sujets qui seront au cœur de la campagne municipale de mars prochain, mieux faire connaitre les propositions des uns et des autres et sensibiliser la population pour  aller voter, tels étaient les principaux leitmotivs de la soirée.

Finalement l’événement s’est transformé en simple tribune libre pour Alain Amédro, qui a excellé dans cet exercice il est vrai. Mais que les absents se rassurent. Avec à peine 40 personnes dans la salle, dont bon nombre de militants de la liste vivre mieux ensemble à Aulnay et les éternels habitués (blogueurs, soutiens des autres candidats...) ce n’est certainement pas ce samedi 8 février 2014 dans le chalet du Vélodrome que le sort de l’élection a basculé…

Marc Masnikosa

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa