Publié le 3 Février 2014

Vous trouverez ci-dessous une lettre des communistes d’Aulnay-sous-Bois dans laquelle ils semblent s’inquiéter grandement des intentions d’Alain Amédro au second tour des municipales de 2014. Il est vrai que la liste « Vivre mieux, ensemble à Aulnay » conduite par le vice-président au Conseil régional et conseiller municipal d’Aulnay-sous-Bois a réussi un large rassemblement d’Europe Ecologie Les Verts, du Parti de Gauche mais a aussi convaincu un militant bien connu du MoDem (Jean-Marc Engelvin qui a conduit pour le centre la campagne d’Amélie Pinheiro aux législatives de 2012) sans oublier des personnalités locales reconnues telles qu’ Alain Boulanger ou encore Mohamed Beldjoudi ancien militant socialiste.

Du coup le système Ségura vacille et pourrait bien entraîner dans sa chute l’alliance composée du Parti Socialiste, du Parti Communiste et du Parti Radical de Gauche qui tient les rênes de la mairie depuis 2008. Ce qui frappe avant tout dans cette missive est la pauvreté de l’argumentaire avancé par les communistes. Comment peut-on par exemple fustiger « la politique de régression, d’injustice en faveur du Patronat, du Medef menée nationalement par les socialistes et les écologistes » tout en appelant dans le même temps localement à l’union de ces mêmes forces pour le bien de tous les Aulnaysiens ? Cela n’a pas de sens ! Les auteurs de cette lettre semblent être avant tout préoccupés par l’angoisse de perdre leurs sièges d’élus.
De ce point de vue donc et quelle que soit leur décision le soir du dimanche 23 mars 2014, Alain Amédro et sa liste ont déjà réussi leur pari : ébranler le système Ségura. Reste plus maintenant qu’à le faire tomber…

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 3 Février 2014

3555593_ide-saint-denis.jpgFin d'alerte à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) où une évacuation monstre avait été ordonnée ce lundi en plein centre-ville. C’est un appel au 17, le numéro de police secours disant qu’une bombe allait sauter à l’université qui avait déclenché ces opérations. Aux environs de 16 heures, après une inspection des locaux de l'IUT, les forces de l'ordre ont autorisé le retour des étudiants et du personnel dans l'établissement, ainsi que dans les autres bâtiment évacués. La circulation, notamment celle du tramway et des bus, a aussi été rétablie.

Pas moins de 2000 personnes avaient été évacuées à partir de 14 heures de l’antenne dyonisienne de l'IUT de l'université Paris-13, mais aussi d’autres bâtiments situés dans un périmètre de 100 m autour de la fac, comprenant notamment le lycée de l’ENNA ainsi que l’ESPE (école supérieure du professorat et l'éducation, ex-IUFM)) ainsi que le commissariat de Saint-Denis. La circulation des bus et du tramway avait également été déviée afin d’éviter le secteur de la place du 8-mai-1945. Deux équipes cynophiles spécialisées dans la détection d’explosifs ont inspecté la fac de fond en comble, sans rien trouver. De sources policière, l'appel téléphonique donnant l'alerte aurait été passé d'une cabine proche.

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 3 Février 2014

MAGNOLIA (2)Il s'appelait Didier, employé municipal depuis 1977,vous avez pu le rencontrer aux abords du parc de la Roseraie. Il était discret, gravement handicapé suite à un accident. Il aimait son travail, ses collègues et parlait peu. J'appréciais ses connaissances en jardinage. Il est décédé au début de l'année. Il aimait les magnolias et le Service des Espaces Verts en a planté un dans ce parc aujourd'hui.

Merci à eux.

Jean-Louis Karkides

 

 

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Publié dans #Vous avez la parole

Publié le 3 Février 2014

echarpes_maire_450.jpgLes maires l’arborent lors des célébrations de mariages ou des commémorations de l’Armistice. L’écharpe tricolore fait partie des attributs de fonction incontournables quand on tient les rênes d’une commune. Il fallait bien une loi — article D. 2122-4 du Code général des collectivités territoriales — pour réglementer ses usages. Les premiers magistrats sont ainsi vêtus de leur bande de tissu « dans les cérémonies publiques et toutes les fois que l’exercice des fonctions peut rendre nécessaire ce signe distinctif de leur autorité ». 

Cet insigne officiel est doté de « glands à franges d’or » alors que celui des adjoints et des conseillers municipaux est composé de « glands à franges d’argent ». Attention à ne pas se tromper de sens quand on l’enfile, de l’épaule droite au côté gauche. L’ordre des couleurs doit, selon un décret du 18 décembre 2000, faire figurer le bleu près du col, par différenciation avec l’écharpe des députés et sénateurs dont le rouge flirte avec le cou. Cette modification réglementaire permet de distinguer visuellement un édile d’un parlementaire. En cas de cumul de mandats, c’est l’étendard vestimentaire de la fonction nationale qui prévaut. Chaque maire a également le droit de porter son écharpe en ceinture, avec le bleu en haut.

Stéphane Sainsaulieu, maire sans étiquette depuis 2008 de Peille (Alpes-Maritimes), village de 2 300 habitants, l’a toujours à portée de main. « Elle est en permanence dans mon petit cartable », explique celui qui est candidat à sa propre succession. Il s’affiche notamment avec ce symbole de la République à l’occasion « des manifestations patriotiques, le 14 Juillet, le 11 Novembre, le 8 Mai… ». « C’est avec beaucoup de fierté et d’honneur que je la porte », s’enthousiasme-t-il.

Un modèle en faille de soie « infroissable » pour 100 euros

La fabrication et la commercialisation de ces ornements sont assurées par quatre entreprises privées en France. Parmi elles, la société Doublet, basée dans le Nord, spécialiste mondial des drapeaux mais aussi de tous les attributs de la République, dont les cocardes et les isoloirs. Elle propose, pour une centaine d’euros, un modèle en faille de soie « infroissable ». Deux tailles sont disponibles : l’une de 1,80 m pour les « petits » maires, l’autre de 2 m pour les « grands » maires. 

« C’est, en très grande partie, un produit made in France », vante Luc Doublet, président du conseil de surveillance. Chaque élu prend généralement soin d’acheter lui-même son écharpe, effectuant son marché dans des catalogues ou sur la Toile. « Le plus souvent, il tient à la payer avec ses propres deniers », constate Luc Doublet, qui s’attend à une vague de plusieurs milliers de commandes à l’issue des élections municipales de mars. En principe, il n’y a pas que l’écharpe qui devrait s’inviter dans la garde-robe de chaque maire. Le port du costume comprenant, notamment, un « habit bleu, broderie en argent, branche d’olivier au collet, chapeau français à plumes noires, épée argentée à poignée de nacre » reste en théorie obligatoire dans les cérémonies publiques en vertu de l’article 2 du décret du 1er mars 1852 : il n’a jamais été abrogé. A moins de vouloir se distinguer lors d’un carnaval, plus aucun élu, évidemment, ne l’applique !

Source : Le Parisien

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 3 Février 2014

agressionsEn quatre mois, près d’une dizaine de personnes ont été agressées alors qu’elles s’apprêtaient à retirer de l’argent, à Sevran, dans le centre-ville, toujours auprès du même distributeur bancaire. Un seul lieu, des agressions se déroulant toujours de la même manière : tout laissait penser qu’il s’agissait à chaque fois des mêmes malfaiteurs. Ils étaient entre deux et quatre, et surgissaient au moment où le client sortait sa carte bleue. Ils se montraient menaçants pour obtenir le code secret. Pendant que l’un restait avec la victime, un complice retirait de l’argent. Tout ne s’est pas passé sans heurt, puisque des victimes ont assuré avoir été brutalisées.

Des individus déjà connus de la police

Dans cette affaire, les enquêteurs ont semblé manquer de chance. Le distributeur n’était pas équipé d’une caméra. Mais les agresseurs ne semblaient pas inconnus de la police. Plusieurs victimes ont reconnu leurs visages dans le fichier photo des forces de l’ordre. Sur les lieux, près du DAB, les policiers ont collecté un mégot de cigarette, qu’ils ont fait analyser. C’est l’ADN d’un suspect qui est apparu.

Les arrestations ont finalement eu lieu mercredi, quelques jours seulement après la dernière agression. La police a arrêté trois jeunes hommes, majeurs depuis quelques mois seulement. Ils ont été déférés vendredi soir au tribunal de Bobigny. Ils ont été mis en examen pour vols en bande organisée, séquestration et escroquerie. Ils sont poursuivis pour quatre agressions. Un seul d’entre eux aurait reconnu les faits. Les investigations vont se poursuivre dans le cadre d’une information judiciaire. Présentés à un juge, les trois jeunes gens ont été placés hier soir en détention provisoire.

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 3 Février 2014

Pour réaliser le super métro, la Société du Grand Paris doit obtenir quelque 6000 parcelles, la plupart en profondeur. Une procédure qui peut vous rapporter des centaines d’euros.

Il s’agit de la plus importante opération foncière en Ile-de-France depuis des décennies et elle va se passer essentiellement... sous vos pieds ! Pour réaliser son réseau de supermétro qui doit permettre de désenclaver les banlieues, la Société du Grand Paris (SGP) doit acquérir quelque 6 000 parcelles dans toute la région, à 80 % situées en souterrain.   «Pour acheter les parcelles souterraines qui nous intéressent, on va devoir contacter tous leurs propriétaires en surface, explique Benoît Labat, le directeur de la valorisation et du patrimoine de la SGP. Car on l’ignore souvent, mais dans le droit, quand on est propriétaire d’une terrain on est aussi propriétaire de tous ses tréfonds jusqu’au centre de la Terre. » Une bonne surprise pour beaucoup de gens.

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Etes-vous concerné par ces acquisitions ?
Ces parcelles sont pour l’essentiel situées sur le tracé du supermétro. Pour l’heure, seule la ligne 15 sud (Pont-de-Sèvres - Noisy-Champs), qui doit être la première à être mise en service à l’horizon 2020, bénéficie d’un peu plus de détails. La SGP doit y acquérir pas moins de 1 800 parcelles. Pour ce qui est des acquisitions en surface, les premières enquêtes parcellaires (une par département) ont été lancées et leur avis est consultable sur Internet. Les enquêtes sur les tréfonds seront lancées cette année.

Quand vont avoir lieu ces démarches ?
Elles ont déjà débuté, en surface, sur la ligne 15 sud. Une quarantaine de parcelles ont été cédées à l’amiable (par la ville de Champigny ou le département du Val-de-Marne par exemple) ou achetées par la SGP. «Les parcelles de surface sont prioritaires, ne serait-ce que pour laisser aux propriétaires le temps de se réinstaller », détaille Benoît Labat. L’acquisition des parcelles en souterrain doit débuter courant 2014.

Qui se charge des négociations ?
La SGP fait appel à un groupement à qui elle a confié un mandat. Il comprend une vingtaine de négociateurs, des avocats, des géomètres, des experts immobiliers...
« Il s’agit d’un véritable processus industriel d’acquisitions, expliquait récemment Etienne Guyot, l’ancien directeur de la SGP. Et c’est nécessaire car quand on veut acquérir une parcelle situé sous une copropriété de cent personnes, il faut négocier avec chacun des cent copropriétaires ! »

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Combien cela peut-il vous faire gagner ?
Pour la surface comme les sous-sols, la SGP se base sur les barèmes établis par France Domaine. Si les tarifs en surface sont généralement connus, celui d’une parcelle souterraine est très variable. Il dépend à la fois de la profondeur mais aussi du prix du mètre carré en surface. Ce qui signifie que deux parcelles a priori similaires, situées à 40 m de profondeur, n’auront pas le même prix, selon qu’on se trouve dans le centre de Paris ou en grande banlieue. « Dans les faits, les propriétaires concernés peuvent en attendre quelques centaines d’euros, détaille Benoît Labat. Ça tournera généralement autour de 200 ou 300 €. »

Y a-t-il des recours ?
Relativement peu puisque le réseau du Grand Paris Express devrait bénéficier d’une déclaration d’utilité publique. Ce qui signifie qu’à terme, la SGP pourra exproprier les propriétaires qui refusent de vendre leur bien.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 3 Février 2014

pompiers-de-paris-feu-action-1.jpg« Urgence pompiers, j’écoute… » Cette phrase d’accueil, les opérateurs de la BSPP (brigade des sapeurs-pompiers de Paris, qui intervient aussi en Seine-Saint-Denis, dans les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne) l’ont prononcée 2,1 millions de fois en 2013. Soit environ 200000 fois de plus qu’en 2012 et 600000 de plus qu’en 2011! Le nombre d’appels d’urgence passés au 18 ou au 112 (le numéro d’urgence européen) a continué de s’envoler l’année dernière. Et ce, alors que le nombre d’interventions réalisées à Paris et en petite couronne reste relativement stable (environ un demi-million de « sorties »).

Selon le lieutenant-colonel Samuel Bernès, porte-parole de la BSPP, cette flambée est due à deux phénomènes. « D’une part les appels abusifs (pour l’ouverture d’une porte, une fuite d’eau, un dépannage…) encore trop nombreux. Et d’autre part la pollution sonore ou encore les appels de poche, causés par les smartphones qui se déclenchent par inadvertance ». La hausse de ces appels intempestifs (près de 700000 l’an dernier) est allée de pair avec la montée en puissance du 112. Ce numéro international peut se composer par la pression d’une seule touche sur certains modèles.

Pour lutter contre les « appels de poche », la BSPP teste depuis le début de l’année un nouveau système « d’aiguillage » au centre opérationnel de la caserne de Champerret (XVIIe), réservant les appels du 112 à 10% des effectifs, afin de « mieux gérer l’urgence ».

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 3 Février 2014

affiche a4A l’occasion de ce forum pour l’emploi des jeunes, organisé par la Ville de Paris, Carrefours pour l’emploi et Paris Métropole, à la Grande Halle de la Villette, 236 employeurs présenteront 3 000 postes à pourvoir aux Franciliens âgés de 18 à 30 ans de tous niveaux de qualification et d’expérience professionnelle. Parmi les secteurs représentés : la grande distribution, le prêt à porter, les banques et l’hôtellerie… Grande Halle de la Villette, 211 avenue Jean-Jaurès, Paris (XIXé), demain, de 10 heures à 18 heures. Entrée libre. Se munir de plusieurs CV.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 2 Février 2014

bouchons.jpgLe nombre de déplacements en transports en commun a eu beau augmenter de 20% entre 2001 et 2011, jamais la région parisienne n’a eu un goût de bouchon aussi prononcé. D’après une étude dévoilée aujourd’hui par le fournisseur d’informations sur le trafic routier V-Traffic, que nous révélons en exclusivité, le nombre de kilomètres d’embouteillages a augmenté de 26% en quatre ans (de 2010 à 2013) aux heures de pointe. Une saturation qui atteint son paroxysme le soir dans le sens Paris-banlieue. Les responsables de l’étude estiment que « cette prolifération générale d’embouteillages est favorisée par de nombreux plans d’aménagements urbains et le programme de modernisation des tunnels d’Ile-de-France » mené ces dernières années. « Le constat aujourd’hui est que les transports en commun sont saturés ou mal adaptés et que le réseau routier est sous-dimensionné », constate Philippe Goudal, le directeur de l’innovation de V-Traffic.

La facture est lourde

Si les automobilistes s’aventurent désormais de moins en moins dans 
Paris intra-muros (- 23% de véhicules/km entre 2000 et 2010), c’est désormais sur les axes de contournement de Paris (A 86, Francilienne) que les bouchons sont les plus intenses. « L’augmentation de l’activité économique et des emplois se concentre davantage en périphérie et il y a donc de plus en plus de trajets de banlieue à banlieue », souligne Vincent Aguilera, chargé de recherches à l’école Paristech. Or, c’est précisément de banlieue à banlieue que le bât blesse en matière de transports en commun. D’où l’idée du Grand Paris Express, qui prévoit à terme 205 km de lignes de métro et 72 gares nouvelles ceinturant la capitale. Les temps de trajet seraient ainsi réduits à quarante-trois minutes contre une heure douze aujourd’hui pour rejoindre Roissy depuis le pont de Sèvres. Sans attendre ces aménagements, beaucoup de salariés, lassés de faire du pare-chocs contre pare-chocs matin et soir, ont déjà modifié leurs horaires. La direction des routes réfléchit de son côté à l’aménagement sur les principaux axes de voies dédiées aux bus qui pourraient y circuler aussi rapidement que des tramways. Il y a urgence. Selon une étude d’Inrix, un fournisseur d’Infotrafic, la facture est lourde. Dans la seule capitale, les embouteillages font perdre 1,8 Mds€ à l’économie française.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 2 Février 2014

Vous trouverez ci-dessous un communiqué de Jérôme Charré du MoDem annonçant qu’il se range derrière l’UDI pour les municipales de 2014 à Aulnay-sous-Bois.

jerome-charréEn 2008, certains annonçaient victorieux « le temps du bonheur » pour Aulnay-sous-Bois. Aujourd’hui, six ans après, nous en sommes bien loin : clientélisme, copinage, désorganisation et minage des services communaux, dépenses publiques en hausse, etc. 

Les 23 et 30 mars, les Aulnaysiens auront à faire un choix majeur. En effet, ils auront la possibilité de mettre un terme aux dérives dans lesquelles s’enfonce notre ville. Aulnay mérite de retrouver ce que beaucoup de nos voisins nous enviaient jusqu’alors et que nous n’avons plus. En même temps, notre ville doit se retrouver et se rassembler pour relever les défis qui s’annoncent. 

Depuis plus d’un an, un travail a été mené en commun entre Jérôme CHARRÉ et Jacques CHAUSSAT sur l’analyse de la situation et l’élaboration de propositions pour notre ville. En parallèle, le Mouvement Démocrate et l’Union des Démocrates et Indépendants ont créé l’Alternative, permettant le rassemblement des centristes. 

Ainsi, le Mouvement Démocrate s’engage pleinement dans la campagne des élections municipales à Aulnay-sous-Bois en apportant son soutien à Jacques CHAUSSAT et sa participation à la liste Aulnay Demain qu’il conduit. 

Homme de convictions et dialogue, installé à Aulnay depuis de nombreuses années, maîtrisant les sujets essentiels que sont l’économie, les finances et l’insertion professionnelle, Jacques CHAUSSAT est le seul candidat qui peut rassembler enfin les Aulnaysiens autour d’un projet qui préserve notre qualité de vie, qui tire profit de nos atouts, qui mobilise les énergies et les talents. 

Ce choix pris en concertation avec les instances nationales et départementales exclut toute démarche individuelle de participation à une autre liste. Ainsi, ni le nom, ni le projet, ni la référence du Mouvement Démocrate ne pourront être utilisés par un candidat figurant sur une liste différente.

Le Mouvement Démocrate est résolument et exclusivement engagé dans une démarche permettant d’améliorer les conditions de vie des Aulnaysiens. C’est le sens de notre engagement municipal et rien ne saurait le détourner de sa mission et son objectif.

Contact presse :

Jérôme CHARRÉ

Chef de file désigné par le Mouvement Démocrate pour Aulnay-sous-Bois

Conseiller national du Mouvement Démocrate

charre.jerome@gmail.com / Tél : 06.26.84.56.17

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 2 Février 2014

periph.jpgDeux associations ont saisi le Conseil d'État. Elles estiment que cette baisse de la vitesse autorisée n'aura aucun effet positif sur la pollution, les nuisances sonores ou le nombre d'accidents.

 À peine un mois d'existence et déjà attaqué. Le décret qui fait passer la vitesse de 80 à 70 km/h sur le périphérique parisien depuis le début de cette année est mis en cause par deux associations. L'Automobile club des avocats et la Ligue de défense des conducteurs ont déposé, dès ce mardi, un recours devant le Conseil d'État. Les deux structures estiment que cette mesure ne peut prospérer car fondée sur «une erreur manifeste d'appréciation». En termes moins juridiques, cela signifie que l'équipe de Bertrand Delanoë, pour faire passer cette baisse, a mis en avant des objectifs qui ne tiennent pas la route, estime Me Matthieu Lesage.

 «Il a été dit que cette limitation allait faire reculer la pollution sonore et de l'air et qu'elle allait améliorer la sécurité routière. Rien de tel», dénonce ce dernier, à l'initiative de cette requête avec Me Rémy Josseaume. Des critiques identiques avaient d'ailleurs été émises par la candidate UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet, dès le lendemain de l'annonce de cette mesure. Dénonçant l'absence d'impact de cette décision, cette dernière avait promis le rétablissement de la vitesse initiale, si elle était élue. Pour cette action en justice, les deux avocats ont compilé des extraits d'études figurant dans ce recours de 13 pages.

Six tués en 2011

Concernant la sécurité routière, les enjeux sont tout d'abord faibles. Par rapport au trafic journalier de 270.000 véhicules, le nombre de tués est peu élevé: six en 2011. Selon Rémy Prud'homme, professeur émérite d'économie, spécialiste des finances publiques et des transports, largement cité, cette baisse va par ailleurs générer un trafic plus dense. On roule moins vite -la vitesse moyenne qui est de 39 km/h passe à 36 km/h-, on reste donc plus longtemps sur le périphérique et la circulation augmente. Or, selon le spécialiste, la densité accrue du trafic est génératrice d'accidents. «Cela va annuler les prétendus effets positifs d'une baisse de la vitesse sur l'accidentalité», selon Me Lesage.

 Autre point passé à la moulinette: le recul annoncé des nuisances sonores. Or Bruitparif, l'observatoire d'Ile-de-France, estime que cette diminution de 10 km/h entraînera une baisse du bruit sans grand effet. «Peu perceptible pour l'oreille humaine», elle «sera insuffi­sante pour améliorer significativement à elle seule la qualité de vie des riverains les plus proches du périphérique», est-il écrit. Quant à la promesse d'une amélioration de l'air, le recours fait état de diverses études indiquant, au contraire, que la diminution de la vitesse va même détériorer la situation. L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie indique: «Quand on est trop bas en vitesse, on peut émettre plus de polluants.» Contrairement à ce que l'on peut penser, rouler à très faible allure, comme c'est le cas en dessous de 40 km/h, augmente la consommation de carburant et les émissions de pollution, rappelle Rémy Prud'homme. «Cette annonce a été une mesure purement politique et il va être intéressant de connaître la position des juges», indique Me Josseaume. Or le Conseil d'État ne devrait pas statuer avant un an.

Source : http://www.lefigaro.fr/

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Publié dans #Environnement

Publié le 2 Février 2014

agressions.jpgTrois adolescents de 18 ans, ont été déférés hier au tribunal de Bobigny pour plusieurs agressions devant un distributeur automatique, à Sevran. Entre octobre et janvier, neuf personnes ont été attaquées, parfois brutalisées pour extorquer leur code de carte bleue. Le parquet a demandé l’incarcération des suspects, un juge devait trancher hier soir.

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 2 Février 2014

gaz-lacrymogene-pro.jpgUn couple de retraités, vivant avenue de la Division-Leclerc, au Bourget, a été abusé par des malfaiteurs, qui se sont fait passer pour un agent des eaux et un policier. Le scénario est classique, le premier prétendant venir réparer une fuite, le deuxième prétendant chasser un voleur. Mais la supercherie a dégénéré, puisque le couple a en plus été aspergé de gaz lacrymogène. Ils se sont fait dérober des bijoux et quelques centaines d’euros.

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 2 Février 2014

manif-air.jpgDe faux avions survolent le Trocadéro à basse altitude. Sous ces engins, gonflables, des hommes et des femmes portent des masques et des blouses blanches. En chœur, ils scandent des slogans : « Paris ton sale air irrespirable, irresponsable, mon air, c’est mon droit, l’avenir c’est changer d’air »… Bienvenue au carnaval des asphyxiés, initié par Ile-de-France environnement (IDFE fédère 370 associations), qui se déroulait hier après-midi à Paris.

Plusieurs dizaines de personnes étaient rassemblées pour dire « stop à la pollution en tous genres ». « Les conséquences sur les habitants sont considérables. En France, on compte 3 millions d’asthmatiques », insiste Michel Riottot, président d’IDFE. A Paris, cette pollution provient de deux sources : « La première est liée à la circulation automobile, la seconde, au chauffage résidentiel », détaille Michel Riottot.

Pour réduire ce « sale air » IDFE propose des solutions. « En attendant des voitures électriques moins polluantes, il faut utiliser le gaz naturel pour véhicules. C’est faisable rapidement, martèle Michel Riottot. Et il faut développer les réseaux de chaleur. C’est en cours mais ça ne va pas assez vite. »

Soudainement, un bruit retentit. « Vous entendrez cela toutes les douze minutes », prévient une manifestante au micro. La raison? « Chaque année, toutes les douze minutes, une personne meurt prématurément à cause de problèmes de pollution, notamment celle engendrée par les avions », assure le président d’IDFE. C’est justement le troisième point important évoqué hier. D’ailleurs, nombreux étaient les habitants du Val-d’Oise et les adhérents de l’association de défense des riverains de l’aéroport de Roissy (Advocnar) à avoir fait le déplacement. « Quand je suis arrivée à Montlignon, en 1986, il y avait un avion toutes les cinq minutes, maintenant il y en a trois par minute », déplore Kati. Son jardin, cette quadragénaire ne s’y rend quasiment plus. « Le bruit des avions nous empêche de tenir une discussion et il faut voir l’état de la table de jardin, pleine de particules noires », souffle-t-elle.

A quelques mètres de là, Christine chante des slogans à tue-tête. Puis, elle lâche : « Je suis là pour défendre mon cadre de vie. » Comme les manifestants rencontrés, elle aimerait « que les vols de nuit soient arrêtés. A Orly (NDLR : Val-de-Marne), c’est déjà le cas ». Tous souhaitent une réduction du trafic aérien pour « protéger la santé des citoyens, martèle Patrick Kruissel, membre de l’Advocnar. La loi de juillet 2010, votée dans le cadre du Grenelle II, permet de diminuer les vols en cas de pics de pollution, mais elle n’a jamais été appliquée. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #Environnement

Publié le 2 Février 2014

3549409_2.JPGLa nature n’a pas dit son dernier mot en région parisienne. Même si, pour beaucoup, l’Ile-de-France est assez antinomique avec la biodiversité, Natureparif, organe du conseil régional, a récolté des données qui permettent certes de dresser un constat plutôt négatif, mais avec une phase de progression conséquente. Pour la première fois, la région dispose donc d’un diagnostic complet de sa biodiversité. Il est en train d’être adressé à tous les maires franciliens, et les particuliers peuvent le télécharger gratuitement*.

On y apprend que la région parisienne abrite 1274 espèces indigènes de fleurs (NDLR : poussant spontanément dans la région), dont plus de 200 sont protégées. Que près d’un quart du territoire est forestier, avec les massifs de Rambouillet (Yvelines) et Fontainebleau (Seine-et-Marne et Essonne) en stars, même si mités par les routes. Mais elles n’abritent pas autant d’espèces que d’autres forêts européennes. Environ 20% de la superficie francilienne est identifée comme « réservoir de biodiversité », comme les zones Natura 2000 conciliant préservation de la nature et préoccupations socio-économiques (NDLR : sites naturels identifiés pour la rareté ou la fragilité des espèces sauvages, animales ou végétales, et de leurs habitats), les réserves biologiques…

Des joyaux à protéger

Et l’Ile-de-
France comporte « quelques sites très riches », qui représentent environ 4% du territoire francilien. Parmi ces « joyaux à préserver », outre les deux forêts principales, les zones de la Bassée (Seine-et-Marne), ainsi que les pelouses calcaires, riches en fleurs et en insectes, des coteaux de la région de La Roche-Guyon (Val-d’Oise), sur les bords de Seine et près d’Etampes (Essonne).

« Mais l’idée n’est pas de tout mettre sous cloche, a prévenu Liliane Pays, présidente de Natureparif et conseillère régionale écologiste. Car un million d’habitants supplémentaires sont attendus d’ici 2030. L’urbanisation va continuer. Il faut donc faire en sorte de réaliser cet accroissement en intégrant la biodiversité. Ce diagnostic doit aider les élus à prendre en compte la nature dès aujourd’hui. »

* Diagnostic à télécharger gratuitement sur www.natureparif.fr/attachments/observatoire/ indicateurs/2013/Natureparif- diagnostic-biodiversite-web.pdf.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Environnement

Publié le 1 Février 2014

C’était incontestablement l’événement politique de la matinée à Aulnay-sous-Bois. Valérie Pécresse, la chef de file de l’opposition au Conseil régional d’Ile-de-France, est venue sur le marché du Vieux-Pays accompagner Bruno Beschizza dans sa campagne aux municipales de mars prochain. La pluie intense de la matinée avait fait craindre le pire mais elle a finalement cessé au meilleur des moments permettant un tour rythmé à la rencontre des habitants et des commerçants.


Rapidement le duo est devenu le centre d’intérêt de la foule chacun souhaitant échanger un mot, comme Alain Boulanger par exemple, ou poser sur la photo. La masse des militants et simples citoyens réunis pour l’occasion derrière Bruno Beschizza et Valérie Pécresse était impressionnante. A l’instar de Daouda Sanogo, l’emblématique entrepreneur Aulnaysien, la liste des soutiens de Bruno Beschizza semble s’élargir un peu plus chaque jour imprimant un véritable souffle à la campagne qui s’annonce…

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 1 Février 2014

Dans quelques semaines la zone commerciale située au carrefour de l’Europe à Aulnay-sous-Bois devrait connaitre sa configuration finale. Ainsi, après KFC, Quick et le Wok’nRoll, le terrain de l’ancien garage Renault incendié lors des émeutes de 2005 devrait accueillir très bientôt un Lidl.

Première enseigne de hard-discount en France avec plus de 1 500 points de vente et 20 000 salariés, l’entreprise allemande a généré un chiffre d’affaires de 8,4 milliards d’euros en 2012 en hausse de 4%. Désormais donc, plus la peine d’aller à Sevran ou au Blanc-Mesnil, Aulnay-sous-Bois aura son Lidl !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 1 Février 2014

ourcqLe corps sans tête, repêché du canal de l’Ourcq à Bobigny le 17 janvier (voir photo) pourrait être celui d’une « mule », comme on appelle ceux qui ingèrent la drogue pour l’exporter, en évitant les contrôles de police. Si c’est le cas, la victime aurait pu être éventrée par ceux qui ont voulu récupérer la drogue. Le cadavre aurait ensuite été décapité afin d’empêcher son identification. L’information, révélée par RTL, n’est, pour l’heure, « qu’une hypothèse de travail », confie une source proche de cette enquête, confiée à la brigade criminelle. La victime est un homme mais n’a toujours pas été identifiée et la date du décès n’a pas non plus été établie avec précision.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 1 Février 2014

bourget-musee.jpgAvril 1916. La bataille de Verdun fait rage. « Deux combats sérieux à ajouter à la liste. La première fois, j’ai échoué, ma mitrailleuse ayant refusé tout service. J’en ai hurlé de rage dans mon appareil », témoigne le pilote Jean Chaput, dans son journal. Deux ans plus tard, le jeune homme est tué au combat à bord de son Spad XIII. Il a 25 ans. C’est cette bataille des airs dans le ciel français et allemand que le musée de l’Air du Bourget entend faire revivre du 8 octobre 2014 au 18 janvier 2015 au travers d’une exposition intitulée « La Grande guerre des aviateurs ». En attendant, on peut admirer les coucous de 14-18 exposés en permanence dans le hall de la Grande guerre.

« 2014, c’est le centenaire de la Première Guerre mondiale, mais c’est aussi celui du terrain d’aviation du Bourget, rappelle Catherine Maunoury, la présidente du musée. C’est de là que sont parties les premières missions de reconnaissance de l’aviation française. Le musée a tenu à s’engager dans ces commémorations pour souligner les aspects humains, militaires, techniques et industriels de ces temps de guerre ». Au même titre que le musée de la Grande guerre de Meaux (Seine-et-Marne), le musée de l’Air, qui dispose d’une très riche collection sur cette période, a donc reçu le label Mission du centenaire et sera un des acteurs de la commémoration.

Les aviateurs seront au centre de l’exposition concoctée par le musée. « On parle beaucoup de la correspondance des Poilus dans les tranchées, explique Gilles Aubagnac, conservateur au musée de l’Air. Nous nous sommes appuyé sur les écrits des pilotes. Pas les textes des écrivains, parfois transfigurés par l’art, mais ceux des pilotes, des anonymes. Nous avons voulu donner la parole aux aviateurs, au ras des nuages. » Lettres, carnets intimes, dessins… Chaque document racontera la vie de ces chevaliers du ciel. « Les As de la guerre sont pour nous des héros. Mais, ils n’étaient qu’une quarantaine de personnes! A côté d’eux, il y a eu des milliers de pilotes, inconnus, qui ont risqué leur vie, sont morts… Ces hommes nous parlent, avec leurs mots, de leurs émotions, leur ressenti, leurs peurs, leur douleur. » Dans un court texte, l’un d’eux ainsi fait part de son désarroi après avoir abattu un avion ennemi : « Je l’ai tiré dans le dos. J’ai eu l’impression de l’assassiner. » Tout aussi poignant, un dessin au crayon montre des Poilus assistant, depuis leur tranchée, à la chute en piqué d’un avion en feu. Prises à l’arrière, loin du front, des photos en noir et blanc dévoilent, elles, l’envers industriel de la guerre et les usines de fabrication des avions de chasse.

La scénographie, imaginée par le musée, en partenariat avec l’association Percevoir, mettra en œuvre les cinq sens. Il sera ainsi possible de toucher les différentes toiles des avions, les récits seront lus à haute voix, les images d’archives mises en scène… « J’aimerais que les visiteurs puissent sentir l’odeur d’huile de ricin, entendre le bruit des moteurs… », poursuit, enthousiaste, Gilles Aubagnac. Temporaire, l’exposition sera adossée à la galerie d’exposition consacrée au premier conflit mondial : « Une collection d’aéronefs sans équivalent dans le monde qui retrace les progrès considérables faits par l’aviation durant la guerre de 1914-1918 », précise Christian Tilatti, le conservateur en chef du musée. En août 1914, au début du conflit, la France disposait d’environ 120 appareils, elle en possédait 5000 en 1918. Certains d’entre eux voleront lors d’un meeting exceptionnel qui se tiendra le 13 juillet dans le ciel du Bourget.

Musée de l’Air et de l’Espace, aéroport du Bourget. Ouvert du mardi au dimanche de 10 heures à 18 heures. Entrée libre pour les collections permanentes. www.museeairespace.fr

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 1 Février 2014

hopital-intercommunal-robert-ballanger-aulnay-sous-bois-137.jpgOuvriers et palissades de chantiers ont envahi le vaste site de l’hôpital Ballanger, engagé depuis 2008 dans un plan de modernisation, d’un coût total de 100 M€. A quelques mètres du futur établissement de soins de suite, d’autres murs s’élèvent, bardés de couleurs vives. C’est le futur pôle mère-enfant, qui remplacera la maternité vieillissante, construite en 1987. « Le plateau technique devrait permettre de passer de 2500 à 3500 accouchements par an », glisse Jean Pinson.

Le pavillon de pédopsychiatrie est lui aussi en pleine reconstruction. Il faut dire que l’hôpital, organisé en pavillons, a pris de l’âge. La partie la plus ancienne, une série de pavillons de briques rouges, a été édifiée dans les années 1930. Elle abrita durant la guerre un hôpital militaire allemand, puis l’armée américaine y séjourna quelques années. Une seconde tranche a été bâtie entre 1975 et 1987.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé

Publié le 1 Février 2014

rer-d.jpg«RER D : partez plus tôt pour arriver plus tard! » En colère, une centaine d’usagers du RER D ont manifesté hier après-midi sur le parvis de la gare deLyon à Paris (XIIe) à l’appel de Sadur, association des voyageurs de cette ligne qui transporte 550 000 personnes par jour. Ils dénoncent, encore et toujours, les suppressions de train trop récurrentes, les retards habituels, les arrêts supplémentaires sur la branche sud qui rallongent leurs temps de parcours, le manque d’informations lors des perturbations…

Les témoignages de galère quotidienne étaient nombreux parmi les manifestants. « Quand j’ai passé mon entretien d’embauche au ministère de l’Intérieur, on m’a demandé si j’avais les moyens d’arriver à l’heure au bureau le matin car ils avaient vu que j’habitais à Yerres (Essonne), raconte Marion. J’ai répondu « oui ». J’ai menti. Je n’avais pas le choix. Dans la réalité, je mets souvent 1 heure au lieu de trente minutes. » 

En moyenne 3 % des trains supprimés chaque jour 

« Moi, j’ai mis 2h30 pour arriver au travail l’autre jour, début janvier, renchérit Nathalie, de Brunoy (Essonne). Je comprends qu’il puisse y avoir des soucis, un voyageur malade, un suicide… Mais le problème est que ça arrive tous les jours! » Encore hier soir, d’ailleurs, plusieurs RER ont été supprimés ou étaient en retard jusqu’à 20 heures à cause d’une perturbation.

« En moyenne, le RER D connaît 3% de trains supprimés par jour, reconnaît Franck Dubourdieu, directeur de la ligne. Sur le 
Paris-Montargis (ligne R), c’est 1%. Mais comme cela arrive souvent en heure de pointe, l’impact est très fort. Chaque train supprimé représente 1 000 voyageurs ne pouvant monter à bord. » Son souci : il n’a pas de matériel disponible en réserve en cas d’avarie et les infrastructures ne permettent pas de rajouter de trains, « ce qui est pourtant nécessaire », concède-t-il. « Ce sont des investissements très lourds pour le Syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif), la région et l’Etat. Des discussions sont en cours. Cela signifie que nous n’avons pas de solution à court terme. »

Un discours qui ne satisfait pas les nombreux élus présents. « A Sénart, on construit beaucoup de logements. Les besoins en RER D auraient dû être anticipés il y a 40 ans, à la création de la ville nouvelle! », lance Line Magne (PS), adjointe à Moissy-Cramayel. « A Mennecy (Essonne), où la gare est passée de 2000 à 6000 voyageurs par jour, on met 50 minutes pour aller à Paris. C’est plus lent qu’un Reims-Paris », constate un adjoint. Nicolas Dupont-Aignan, maire (DLR) d’Yerres (Essonne), a même brandi la menace d’occuper les voies un jour. 

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 1 Février 2014

Elle ne compte pas faire ses courses, mais faire campagne. Valérie Pécresse, présidente du groupe UMP au conseil régional, se rendra aux portes du magasin Intermarché dans le quartier Chanteloup à Aulnay, avant de faire un tour sur le marché du Vieux-Pays, de 11h45 à 13 heures aux côtés du candidat Bruno Beschizza.

Source : Le Parisien.  Vidéo : Aulnaylibre !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 1 Février 2014

Croises-chez-Kordiles-Debruxelles.jpgFille d’un porteur d’eau du quinzième siècle souffrant d’aquaphobie et d’une mère un peu moins célèbre, Monique DEBRUXELLES a d’abord envisagé une carrière de vendeuse d’hippopotames à la sauvette place des Vosges, avant de choisir la profession moins risquée de fileuse de bas de soie. Après l’abandon de cette jolie matière au profit du nylon, elle est devenue raconteuse d’histoires, par écrit, par souci d’économiser sa voix.

Monique Debruxelles a publié un recueil de nouvelles, Délit de vagabondage, paru chez Littera et un livre pour enfants,Les pantoufles aux sept songes, chez le même éditeur. Ses poèmes sont sortis chez Ficelle et des nouvelles de sa plume ont paru dans les revues le Billard égaré, le Pêcheur d'ombre, Brèves, Décharge, la Nef du fou et le Horla. Elle a participé, pour la partie textes, à des livres de photographies de Claude Jacquot (Laon, Bord de mer, Sous les galets).

« Jacques Talleman aurait pu fonder l’école des Sorciers amoureux.

> – Pourquoi dis-tu cela, papa ? »

> Les conversations téléphoniques avec mon père deviennent difficiles. Le fil de ses idées fait des noeuds. Ses phrases en montagnes russes m’obligent à des gymnastiques permanentes.
> « On prétendait qu’il connaissait l’avenir, qu’il le lisait dans les plantes du jardin. On disait que ses problèmes d’élocution étaient dus à la sauterelle vivante qu’il avait ingurgitée, enfant. »
> Un rail de spots s’allume dans ma mémoire : on m’en a parlé, de ce Jacques Talleman, un cousin éloigné qui prononçait si mal certains mots qu’on croyait à des prophéties.
> Exquises comme l’est la confiture servie pour le goûter dans une assiette à motif, les nouvelles de Croisés chez Kordilès ressemblent à des fleurs tropicales colorées et toxiques. Leurs protagonistes, plongés dans des situations étranges, sont à la fois durs et ingénus, fantaisistes et attachants. Ils viennent à bout comme ils peuvent de situations qui les dépassent. Souvent on les déteste, toujours on en raffole.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture