Publié le 2 Février 2015

Fin des travaux de rénovation du musée de l’Air et de l’Espace du Bourget en 2015

OUBLIÉ LES ÉCHAFAUDAGES qui cachent la magnifique façade du musée de l'Air et de l'Espace du Bourget : « En 2015, le musée fait peau neuve », se félicite Catherine Maunoury, la directrice. En mai, au terme de plusieurs mois de travaux, l'ancienne aérogare du Bourget, chef-d'œuvre de l'Art déco, aura retrouvé son lustre des années 1930.

Bientôt une façade flambant neuve

Les travaux de rénovation de l'aérogare, entamés en 2011, prennent tournure. Après la salle des Huit-Colonnes, restaurée en 2013, ce sont les façades est, longues de 300 m, qui vont être restaurées. Sauf imprévu, les travaux devraient être terminés en mai 2015. Pour le Salon international de l'aviation, en juin, l'entrée se fera donc, comme à la belle époque, par la salle des Huit-Colonnes, d'où partaient et arrivaient les passagers.

Un hangar dédié aux réserves

« Un musée n'est rien s'il n'a pas de réserves, rappelle Gilles Aubagnac, un des conservateurs du musée. Nous en avons besoin pour conserver nos collections et les faire tourner. » Le musée, qui dispose déjà de milliers de mètres carrés au Bourget et à Dugny, construira cette année un nouveau hangar à Dugny. Il abritera des avions aujourd'hui stockés en extérieur, ainsi que des avions bois et toiles et des nacelles d'aérostation (de montgolfière). « Ce hangar répondra à des impératifs d'hygrométrie, indispensables pour éviter toute détérioration », précise Gilles Aubagnac. Parallèlement, le musée poursuit l'aménagement de son sous-sol, prévu pour fin 2017.

Trois halls supplémentaires à visiter

Le nouveau hall de la Cocarde, consacré à l'armée de l'air depuis la Seconde Guerre mondiale, sera inauguré en mai. Une nouvelle scénographie sera mise place : « Nous déploierons autour des avions de nombreuses maquettes et tenues actuellement conservées dans nos collections », indique Christian Tilatti, un des conservateurs. L'exposition permanente sur le Normandie Niemen, ce régiment de chasse engagé contre le nazisme sur le front de l'Est, ouvrira, elle, en juin, en même temps que le nouveau hall de la Seconde Guerre mondiale.

Salon de l'aviation et des expos

L'année 2015 sera riche en événements. Comme tous les deux ans, les espaces extérieurs du musée accueilleront le Salon international de l'aéronautique et de l'espace. Le musée organisera également de nombreuses expositions comme « le Printemps des planétariums » en mars, « le Carrefour de l'air » en avril, « Aéropuces » en octobre... A noter : l'exposition « Comètes : Aux origines des systèmes planétaires », de juin à décembre 2015.

Source : Le Parisien

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié le 1 Février 2015

Quatre braqueurs du Franprix de Tremblay-en-France arrêtés à Aulnay-sous-Bois

Quatre braqueurs s'en sont pris au magasin Franprix de Tremblay-en-France, vendredi vers 19 h 50. Encagoulés et équipés d'une arme de poing, ils se sont fait remettre une partie de la recette, soit un peu plus de 200 €. Pris en chasse par la police dès la sortie du supermarché, ils ont fini par abandonner leur véhicule et se sont fait rapidement arrêter à Aulnay-sous-Bois.

Source : Le Parisien

 

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Publié le 1 Février 2015

Les habitants de la banlieue bientôt interdits de circuler en voiture à Paris ?

L'initiative devrait faire mouche, notamment en grande couronne. Dans une lettre ouverte, le député PS de Seine-et-Marne, Olivier Faure, par ailleurs porte-parole du parti, en appelle à Anne Hidalgo, la maire PS de Paris, pour que la chasse au diesel et à la pollution aux particules fines bientôt lancée dans la capitale ne se fasse pas au détriment de la banlieue.

Hidalgo a décidé de bloquer aux portes de Paris les voitures antérieures à 1997 à partir du 1er juillet 2016 (sauf le week-end) et d'aller vers une interdiction en 2020 des véhicules diesels. « La décision radicale que tu suggères créera transitoirement une véritable ségrégation spatiale », écrit Faure, prenant la défense « des citoyens de grande couronne qui [...] n'ont d'autres choix qu'entre leur véhicule et les rames bondées d'un réseau de RER ou de trains de banlieue encore trop irrégulier » pour aller à Paris. Le député s'interroge sur des décisions qui visent « la défense des seuls Parisiens sans tenir compte des difficultés collatérales » pour la périphérie. Il fait une proposition qu'il soumettra à tous les maires de banlieue : « Tous les véhicules achetés avant 2010 pourront continuer de circuler librement, y compris après 2020, à la condition de s'équiper d'un filtre à particules. »

Source : Le Parisien

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Publié le 31 Janvier 2015

Le maire Bruno Beschizza n’obtient pas le port d’arme hors service pour les policiers municipaux d’Aulnay-sous-Bois

Le 12 janvier dernier, après les attentats et notamment la mort d'une policière municipale à Montrouge (Hauts-de-Seine), le maire (UMP) d'Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza avait écrit au préfet lui demandant d'autoriser « le port d'arme hors service sans restriction » pour ses policiers municipaux. « Aujourd'hui, contrairement à la police nationale, mes agents doivent laisser leur arme à la fin de leur service. Mais quand ils se rendent au travail en prenant les transports, comment peuvent-ils se défendre ou intervenir ? », avait justifié l'élu. Le préfet vient de lui répondre par la négative : « Les textes ne permettent pas une détention à domicile des armes utilisées en service. Par ailleurs, aucune dérogation à ce principe n'a été prévue ».

Source article : Le Parisien / Photo : site de la ville d'Aulnay-sous-Bois

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié le 31 Janvier 2015

Ouverture de l’EHPAD Camille Saint Saëns à Aulnay-sous-Bois en juin 2015

Au quotidien, GROUPE SOS Seniors a pour ambition de favoriser l’autonomie, l’implication et l’utilité sociale de la personne âgée. C’est dans ce cadre que l’EHPAD Camille Saint Saëns, situé au Boulevard de Gourgues à Aulnay-sous-Bois, ouvrira ses portes à ses futurs 94 résidents en juin 2015. En préparation de l’ouverture, une inauguration de la chambre témoin est prévue le 6 février à 14h. Le groupe va également ouvrir l’EHPAD Erik Satie à Bonneuil-sur-Marne durant le mois de février.

Une capacité d’accueil de 94 résidents à proximité du centre-ville dans un parc arboré

L’EHPAD accueillera 94 résidents sur 3 niveaux en sus du rez-de-chaussée. Les 89 hébergements permanents et 5 temporaires bénéficient :

D’une unité d’hébergement renforcée de 11 chambres pour des personnes présentant des troubles sévères du comportement,

D’une unité de vie protégée de 13 chambres pour des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou de troubles apparentés,

D’un Pôle d’accompagnement et de soins adaptés (PASA) permettant de renforcer l’accompagnement pour les résidents qui le nécessitent, en leur proposant des activités adaptées.

Les chambres sont individuelles, meublées et équipées d’un appel-malade et d’un téléphone. L’ensemble des chambres dispose d’un sanitaire accessible aux personnes en situation de handicap.

L’architecture et l’agencement des locaux ont pour objectif de privilégier la luminosité, la convivialité et l’accessibilité. Les résidents bénéficieront d’un grand parc et d’espaces pour les activités extérieures.

Activités, animations et soins

Le groupe souhaite proposer une cuisine traditionnelle préparée sur place et servie en salle de restaurant. Le personnel hôtelier assure un service à l’assiette et personnalisé. Des activités de divertissement et culturelles seront mises en œuvre par les salariés de l’établissement, des intervenants extérieurs et des bénévoles.

Les soins seront dispensés par un personnel diplômé avec une traçabilité informatique : le résident conservera le libre choix de son médecin traitant. L’équipe d’infirmiers et d’aides-soignants assurera les soins et l’aide personnalisée requise par chaque résident. L’organisation médicale et paramédicale sera assurée par le médecin coordonnateur de l’établissement qui veillera à la coordination des intervenants extérieurs et internes et à la sécurité des soins. Un accompagnement psychologique pourra également être proposé. L’établissement bénéficiera par ailleurs d’un partenariat avec l’hôpital gériatrique René Muret et son équipe médicale.

Des coiffeurs et pédicures interviendront sur rendez-vous au sein de l’établissement.

Une soixantaine d’emplois en métiers qualifiés seront ainsi créés (infirmier, aide-soignant, auxiliaires de vie, directeur, cuisiniers….). L’établissement sera un lieu ouvert sur la ville, tant au niveau médical que pour les projets d’animation.

Développement Durable

Le GROUPE SOS Seniors a souhaité apporter un soin aux matériaux choisis, tant au niveau confort visuel que thermique. Le prix de journée de l’hébergement et de la dépendance est fixé chaque année par le Conseil Général de Seine-Saint-Denis. L’établissement est entièrement habilité au titre de l’Aide Sociale.

Source : http://www.silvereco.fr/

 

 

 

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Publié le 31 Janvier 2015

À Aulnay-sous-Bois, dans le quartier résidentiel de cette ville de Seine-Saint-Denis, le temple de l’Église protestante unie de France (Epudf) accueille chaque dimanche une petite centaine de fidèles venus d’Aulnay ou de plus loin.

L’ambiance tranquille contraste avec l’image de cette ville, située à mi-chemin entre Paris et Roissy, surtout connue pour ses cités difficiles. Le temple est non seulement un lieu de culte, mais aussi l’endroit où se réunissent régulièrement les différents responsables de la communauté.

Source : http://www.la-croix.com/

 

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 31 Janvier 2015

Drapeau_de_la_Syrie.jpgLes chiffres font froid dans le dos. Selon le préfet de la Seine-Saint-Denis, Philippe Galli, « une soixantaine de personnes issues du 93 sont actuellement en Syrie, en Irak ou sur une autre zone de combat. Au moins six d'entre elles sont mortes à notre connaissance. » Pour tenter de lutter contre ce phénomène de radicalisation islamiste, et conformément à la circulaire du 29 avril 2014*, Philippe Galli a donc réuni, pour la première fois, hier soir, à la préfecture de Bobigny, une centaine de représentants de la communauté musulmane du 93.

Pendant plus d'une heure, à l'abri des médias, ces derniers ont pu échanger avec des membres du corps préfectoral mais aussi avec le préfet Pierre N'Gahane, qui dirige le comité interministériel de prévention de la délinquance (CIPD) à l'origine du dispositif, ou encore avec le chef du bureau central des cultes au ministère de l'Intérieur, Bernard Godard.

« Il y a environ 700 000 musulmans en Seine-Saint-Denis, détaille Philippe Galli, à l'issue de la réunion. Je veux impliquer la communauté musulmane dans le combat que nous menons contre le radicalisme. Il faut qu'elle essaie de rattraper ses enfants perdus. Tout doit être fait pour qu'il n'y ait pas de nouveaux jeunes qui partent faire le jihad. »

D'ores et déjà, le numéro vert (0800.005.696) mis en place il y a six mois a permis de repérer un certain nombre de jeunes garçons ou de jeunes femmes en voie de radicalisation. « Soixante-treize situations nous ont été signalées dans le département, que ce soit par un parent, un frère ou des proches des intéressés. Toutes ces personnes font l'objet de surveillances et nous essayons, quand cela est possible, d'entrer en contact avec elle », indique le préfet. Au début du mois, une cellule de suivi des personnes en voie de radicalisation a ainsi été créée. A ce jour, six traitements d'accompagnement des familles et des signalants ont été mis en œuvre par la préfecture sur le plan social, psychologique et éducatif.

* Circulaire sur la prévention de la radicalisation et l'accompagnement des familles.

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #93 Infos

Publié le 31 Janvier 2015

Braquage.jpgTrois personnes ont été interpellées ce vendredi soir à Aulnay après le braquage d'un commerce à Tremblay. Les malfaiteurs avaient pris la fuite dans une Mégane et ont percuté une voiture de la police à Aulnay-sous-Bois dans le quartier de la Rose des Vents, qu'on appelait avant le quartier des 3000. Ils ont ensuite tenté de fuir à pied mais ont été rattrapés. Des armes et des cagoules auraient été retrouvées dans la voiture. 

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #93 Infos

Publié le 30 Janvier 2015

fabrice-eboue-aulnay-sous-bois.jpgLa représentation du spectacle de Fabrice Eboué prévue ce samedi 31 janvier 2015 à l’Espace Jacques Prévert d’Aulnay-sous-Bois est annulée.

En effet,  l’artiste a dû interrompre sa tournée en raison d’une grippe.

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Publié dans #Culture

Publié le 30 Janvier 2015

amiante-psa-aulnay-sous-bois.jpgIl y avait de l'amiante dans les murs de l'usine PSA à Aulnay, aujourd'hui en pleine démolition. Le constat n'a rien d'étonnant. Le site industriel a été construit au début des années 1970, à une époque où le matériau, très résistant, était encore largement utilisé dans le bâtiment (il n'a été interdit en France qu'en 1997).

Mais alors que les travaux avancent, l'inquiétude grandit parmi les quelques salariés encore présents sur le site, à commencer par les représentants syndicaux.

La semaine dernière, le sujet s'est invité lors d'un comité d'établissement. Dans une motion, les représentants du personnel évoquent « des quantités massives d'amiante et autres produits dangereux » découverts sur le site aulnaysien.

Ce qui les préoccupe, ce n'est pas tellement le chantier en lui-même -- dont PSA assure qu'il respecte les règles en vigueur, avec l'établissement d'un document technique amiante (DTA) et des visites régulières des services de l'Etat. Mais les syndicalistes s'émeuvent surtout de n'avoir « jamais eu connaissance de l'existence de ces substances au sein de l'usine ».

Mohamed Khenniche, délégué Sud, raconte ainsi être allé, avec quelques collègues, à l'atelier de peinture. Intrigués par les panneaux de chantier faisant référence à l'amiante, ils ont poussé la porte du bâtiment : « Nous sommes tombés nez à nez avec des ouvriers qui portaient des combinaisons et des masques ! De ce qu'on a pu voir, ils avaient juste démonté quelques machines, mais pas encore démoli les murs. Ils avaient l'air très surpris d'apprendre que nous avons travaillé dans ces locaux sans protection ».

Du côté de PSA, on juge ces craintes sans fondement : « Il y a effectivement de l'amiante un peu partout sur le site, mais il s'agit exclusivement d'amiante non fibreux. Il était contenu dans certains matériaux en dur, il ne risquait pas de se disperser dans l'air. Il n'y avait aucun danger lorsque l'usine était en activité. PSA s'est toujours assuré de l'état de ses installations, en instaurant des audits sur tous ses sites depuis 1993, avant même qu'une réglementation soit instaurée sur le sujet. »

Les élus au comité d'établissement envisagent toutefois de saisir la justice, « afin de faire expertiser l'établissement et, le cas échéant, engager la responsabilité de tous ceux qui auraient causé un préjudice à la santé et/ou la sécurité des travailleurs ».

« La situation est d'autant plus compliquée qu'à Aulnay, les comités d'hygiène et de sécurité, qui s'occupent en principe de ces questions, ont été dissous en juillet dernier. Les comités d'établissement et réunions de délégués du personnel doivent aussi disparaître à la fin du mois de janvier », souligne un représentant du SIA (Syndicat indépendant de l'automobile).

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #Amiante

Publié le 30 Janvier 2015

RER-A.jpgC'est le coup de tête de trop ! Celui qui a mis au garage le RER A, la colonne vertébrale des transports en commun dans la région parisienne. Hier, le débrayage inattendu des conducteurs de train de la ligne la plus fréquentée d'Europe a obligé des centaines de milliers d'usagers à trouver des solutions alternatives pour rejoindre leur travail, aller en cours ou, tout simplement, rentrer chez eux.

Résultat : de l'est à l'ouest de la capitale, de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) à Torcy (Seine-et-Marne), les mêmes images d'usagers en galère, avec parfois, dans certaines gares, ces scènes incroyables de gens collés les uns aux autres qui piétinent des dizaines de minutes pour sortir de l'édifice ou prendre un métro.

Un mouvement encore amplifié par les suites du déraillement, sans gravité, d'un TGV mercredi soir, à la gare de Lyon, qui a occasionné des retards sur le RER D.

Le pire est que cette journée noire pourrait se répéter aujourd'hui. Car, hier soir, syndicats et direction de la RATP étaient dans l'incapacité d'annoncer une reprise ou non du trafic. « Les heures de discussions n'ont abouti à rien, regrette l'Unsa, syndicat majoritaire chez les conducteurs du RER A. Désormais, tout dépendra des conducteurs lorsqu'ils prendront leur poste vers 4 h 30. »

Car, si l'agression de l'un des leurs a profondément ému les agents de la RATP, ce mouvement est surtout révélateur d'une ligne à bout de souffle malgré les financements publics de plusieurs millions d'euros. Les conducteurs dénoncent pêle-mêle les cadencements impossibles à tenir, la pression de la direction pour respecter les horaires demandés par l'autorité organisatrice, le Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif), les agressions toujours aussi présentes, le tout dans une ambiance qui s'est tendue depuis les attentats, avec notamment des colis suspects toujours plus nombreux. Si, du secrétaire d'Etat aux Transports, Alain Vidalies, au président de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon (PS), en passant par l'association d'usagers Fnaut, on dit comprendre l'émotion des conducteurs, tous regrettent ce débrayage sauvage. Car si les agents de la RATP sont tenus de prévenir au moins quarante-huit heures avant de se mettre en grève, hier, ils ont usé de leur droit de retrait pour un danger « grave » et « imminent ». « C'est l'arme absolue, reconnaît Thierry Babec, de l'Unsa-RATP. Mais c'est le signe d'un malaise... » L'utilisation d'un droit que la Régie va certainement contester.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 29 Janvier 2015

envoye-special.jpgLes équipes du magazine d'information Envoyé Spécial sont venues tourner le reportage de ce soir au lycée Jean Zay d’Aulnay-sous-Bois  sur le thème suivant : Attentats, l'école en première ligne. Pour parler des attentats qui ont secoué la France au début du mois de janvier, les professeurs sont en première ligne. Comment l'école de la République gère-t-elle la situation ? Nous espérons que les coupes de montage ne déformeront pas la libre expression de nos lycéens.

Marc Masnikosa

 

 

 

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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 29 Janvier 2015

aurore_berge-sarko_pays_dr_0.jpg"Oui cette loi est imparfaite, oui elle ne va pas assez loin, mais elle permet des avancées et j'espère que les parlementaires UMP sauront surmonter le traditionnel clivage droite-gauche et voter ce projet de loi". C'est par cette phrase que l'adjoint au maire d’Aulnay-sous-Bois Benjamin Giami décide de mettre les pieds dans le plat en appelant à voter une loi portée par la gauche mais vilipendée par les députés socialistes frondeurs, jugée trop libérale par certains. 

La Droite d'Avance, ce groupe de jeunes UMP libéraux sur les questions économiques et sociétales dont il est membre fondateur, appelle ouvertement dans l'Opinion (lire ci-dessous) à voter le fameux projet de loi qui permettra, entre autres, de libéraliser le travail, notamment en permettant l'ouverture des magasins 12 dimanches dans l'année (au lieu de 5 actuellement).

Imparfait, insuffisant, fourre-tout. Ces trois adjectifs ont souvent été utilisés pour qualifier le projet de loi Macron. Et à raison. Mais ce projet de loi est attendu par un monde économique qui demande de l’air et par des Français qui veulent croire que les privilèges et les rentes appartiennent au passé.

Imparfait, insuffisant et fourre-tout, oui. Mais utile et de bon sens.

Aussi est-il est dommage de voir les positionnements de principe de nombreux responsables politiques. De la part d’une partie de la gauche qui se félicite avec Marine Le Pen du score de Syriza en Grèce, et de la part d’une partie de la droite, gênée, disons-le, de voir ce ministre proposer des mesures qu’elle a pourtant soit demandées, soit même proposées en son temps.

Aussi arrêtons-nous sur le fond du projet de loi.

Il y a d’abord la partie sur les professions réglementées. Les régimes spéciaux nous semblent iniques, à juste titre, et nous avons tout fait à droite pour les faire s’approcher du droit commun. Mais voulons nous sérieusement donner l’image d’un parti qui sait s’attaquer frontalement aux statuts des cheminots ou des agents d’EDF mais qui freinent des quatre fers devant des rentes passéistes et des corporatismes ? Serions-nous enfermés dans une approche catégorielle que nous avons tellement reprochée au Parti socialiste ?

Il y a ensuite la partie sur les transports, la libéralisation du transport par autocar, la régulation des sociétés d’autoroute. La Cour des comptes a dénoncé avec justesse ces deux dernières années les tarifs pratiqués par la SNCF et par les sociétés concessionnaires d'autoroutes.

Il y a les mesures sur le pouvoir d’achat. La simplification de l'épargne salariale pour mieux la développer est une idée en phase avec les objectifs de notre famille politique : étendre au maximum de salariés ces plans d’épargne, sans pour autant faire peser leur complexité de gestion sur les PME. D’autres mesures visent à réformer l’urbanisme commercial dont nous connaissons tous la complexité. Il y a également les mesures pour le logement intermédiaire, dont nous sommes persuadés de l’utilité pour permettre l’accès des classes moyennes au logement. Réduire les effets de seuil entre le parc social et le parc privé de manière à réduire au final la pression sur le parc social est une mesure de justice sociale pour la France du travail qui se voit souvent exclue du logement social, mais incapable d’accéder au logement privé dans les grandes métropoles.

Il y a les mesures de redynamisation de l’économie. Celles-ci concernent notamment le travail du dimanche et en soirée : le « travailler plus pour gagner plus », la place de la France dans la compétition internationale touristique, la redynamisation de l’économie commerciale, autant de sujets que la droite et le centre portent également, notamment à Paris où l’idéologie aveugle la maire actuelle et condamne la capitale à prendre du retard sur ses consœurs plus ouvertes. Le projet de loi propose aussi d’ouvrir le capital de certaines entreprises publiques et de procéder à certaines ventes d’actifs.

Il y a enfin les mesures visant à rendre les droits du travail et du commerce plus justes et plus efficaces. Accélérer et simplifier la justice prud’homale, ou encore renforcer la possibilité de relancer une entreprise dans le cadre d'une procédure de liquidation ou de redressement judiciaire, voici des mesures qui vont dans le sens d’une stabilisation de notre tissus de TPE-PME aujourd’hui trop fragile, comme le montrent les comparaisons européennes.

« Cette loi est partie pour être une mosaïque de petits pas allant dans la bonne direction, mais pas assez loin » a déclaré l’économiste Philippe Aghion. C’est sans doute vrai sur la justice prud’homale, mais cette évolution est déjà souhaitable ; cela peut l’être aussi sur le travail du dimanche, mais le cadre proposé est équilibré. Certains reprocheront peut-être l’ouverture du capital des sociétés publiques, mais alors ils défendent une approche colbertiste de l’économie que nous ne partageons pas ? Certes, il aurait fallu s’attaquer davantage aux faiblesses de l’Etat actionnaire, mais une gestion dynamique d’un portefeuille de participations où ne manque qu’un raton-laveur ne peut pas être une mauvaise chose.

Oui, ce projet de loi n’est pas suffisant. Oui, il ne doit pas faire oublier les erreurs de ce gouvernement et du Président de la République, (é)perdus dans leur course à la suppression des réformes entreprises lors du quinquennat précédent ou aveuglés par l’idéologie et le besoin de satisfaire leurs partenaires de gauche, comme ce fut notamment le cas avec la loi Duflot.

Mais il est justement ce premier pas pour faire respirer mieux et plus vite notre économie. Et plutôt qu’un hypothétique grand saut, nous préférons déjà voir ses premiers pas être réalisés. Encore un effort.

« Obéissez au temps ; faites chaque jour ce que chaque jour appelle ; ne soyez ni obstinés dans le maintien de ce qui s’écroule, ni trop pressés dans l’établissement de ce qui semble s’annoncer ; restez fidèles à la justice, qui est de toutes les époques (…)». De l’Esprit de Conquête et de l’Usurpation, Benjamin Constant.

Aurore Bergé, Jean-Baptiste Reignier, Jean Spiri, Nicolas Giordano et les membres fondateurs d’Une Droite d’Avance (@DroitedAvance)

Source : http://www.lopinion.fr/

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Publié dans #Economie

Publié le 29 Janvier 2015

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Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 29 Janvier 2015

audrey-verdol.jpg« Je sais pourquoi je suis là mais je suis innocent à 200 %. » Les propos qu'Olivier Ferdinand a tenus hier à la fin des débats interpellent par leur aspect quelque peu antinomique. Un paradoxe qui résume les cinq jours de procès aux assises de Bobigny. Le compagnon d'Audrey Verdol, dont le corps avait été découvert le 25 novembre 2009 dans un bois de Seine-et-Marne, a été condamné hier à vingt ans de réclusion criminelle.

Son avocat avait plaidé l'acquittement mais la cour a suivi les réquisitions de l'avocat général, demandant la requalification pour meurtre, aggravé par la circonstance qu'il a été commis par le concubin. « Je ferai appel », répète Olivier Ferdinand à l'énoncé du verdict.

Juste avant que les jurés ne se retirent pour délibérer, l'accusé de 30 ans, ancien manutentionnaire originaire de la cité des Mille-Mille, à Aulnay-sous-Bois, a pris plusieurs minutes pour justifier son attitude pendant l'enquête, parler de sa mère, de son enfant et s'adresser aux proches de la victime. « Je suis désolé, je ne pourrais pas vous regarder si je l'avais tuée », conclut-il, en guise d'ultime argument.

Le corps avait été retrouvé dans un bois, sans traces d'ADN

Audrey Verdol, jeune femme de 21 ans du Blanc-Mesnil et qui travaillait à Meudon (Hauts-de-Seine), avait disparu le 11 avril 2009. Les restes de son corps avaient été retrouvés sept mois plus tard, le 25 novembre, par un promeneur, au bois de l'Homme-Mort, à Montgé-en-Goële (Seine-et-Marne). Un sac en plastique recouvrait sa tête et du tissu avec deux noeuds pendait autour du cou. Pas d'ADN, pas d'empreintes, pas de témoins. Seul indice : les bornages du téléphone portable d'Olivier Ferdinand et de celui de la victime montrent qu'il se trouvait avec elle le 11 avril près de Montgé-en-Goële.

Autrement dit, l'affaire s'apparente à « un crime presque parfait », comme l'a répété hier l'avocat général qui a demandé de retenir contre Olivier Ferdinand la qualification de meurtre aggravé. Il a requis une peine de vingt ans de réclusion criminelle. « Qui était présent sur les lieux (NDLR : où a été découvert le corps), qui a dépossédé la victime de son téléphone, qui a cherché à dissimuler des éléments de preuve fondamentaux, à qui profite le crime ? interroge l'avocat général. C'est un dossier exceptionnel d'investigation. On a fait tout ce qu'on pouvait. On a cherché toutes les pistes. Il y a eu douze auditions d'Olivier Ferdinand. [...] Ce n'est pas un hasard, cette procédure. »

Me Lebriquir, l'avocat de l'accusé, met au contraire en avant « les éléments de doute ». « Repérez les zones d'ombre du dossier -- l'absence d'ADN, de témoins -- et acquittez cet homme, recommande-t-il aux jurés. Comment vous sentirez-vous si, dans quelques années, quelqu'un d'autre avoue le meurtre ? » Hier soir, la partie civile affichait quant à elle son « soulagement ». « La famille va connaître sa première nuit de sommeil depuis la disparition d'Audrey », estime M e Larbi, l'avocate des proches de la victime.

Source : Le Parisien

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 28 Janvier 2015

cannabisL’automobiliste avait commis plusieurs infractions au code de la route lorsque, ce mardi soir, des policiers ont voulu le stopper vers 19 heures au Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis.

Le conducteur a alors tenté d’échapper aux forces de l’ordre, fonçant sur le véhicule des policiers et blessant un agent au passage.

L’homme a pu être interpellé malgré tout. Et en fouillant sa voiture, les fonctionnaires ont découvert un sac qui contenait 9,4 kg d’herbe de cannabis. 

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 28 Janvier 2015

EELV.jpgLa « Gauche rassemblée », en meeting ce soir à Clichy-sous-Bois*, devra se passer d'eux. Des élus et militants d'Europe Ecologie-les-Verts bouderont ostensiblement le rassemblement, auquel doivent participer le président PS de l'Assemblée nationale Claude Bartolone, la secrétaire nationale d'EELV Emmanuelle Cosse et Guillaume Lacroix, responsable du Parti radical de gauche (PRG).

Dans un communiqué, ils dénoncent « l'union factice » entre leur mouvement et le parti socialiste en vue des prochaines départementales. Parmi eux, la sénatrice Aline Archimbaud, l'élue de l'Ile-Saint-Denis, Véronique Dubarry, mais aussi des groupes locaux entiers, à Aulnay et Pantin, et des militants de Bagnolet, Saint-Denis, Saint-Ouen, Stains...

« Nous souhaitons défendre des idées plutôt que des postes. Nous entrons en résistance contre un accord rédigé par l'appareil, affirme Hervé Suaudeau, militant écolo d'Aulnay-sous-Bois. Dans certaines villes, l'accord avec le PS se justifie, dans d'autres non... » Et, de son point de vue, Aulnay entre plutôt dans la seconde catégorie : le candidat PS, Guy Challier, est l'ancien maire adjoint à l'urbanisme, un thème particulièrement sensible à l'échelle locale. Faute de volontaire écolo, le ticket pourrait être composé de deux candidats socialistes.

A Pantin, en revanche, il y avait bien une volontaire : Nadia Azoug, conseillère régionale. Elle a pâti des tractations départementales : « J'avais été désignée par le groupe local, et Pantin était un canton avec un élu Europe Ecologie sortant (NDLR : Aline Archimbaud). Mais c'est finalement une candidate du PRG, parachutée de Villetaneuse, qui fait équipe avec Bertrand Kern ! Nos négociateurs n'ont pas respecté la feuille de route fixée par les militants. » L'élue prévoit de se mettre « en retrait, comme le permettent nos statuts ».

« Il y a toujours des décisions douloureuses dans des négociations de ce type, et je comprends que les copains de Pantin l'aient vécu ainsi. Mais nous avons obtenu en contrepartie une place de titulaire à Noisy-le-Grand, un enjeu dans le contexte du futur Grand Paris », réagit Aurélien Berthou, secrétaire départemental d'Europe Ecologie, et candidat à Gagny. Il minimise la grogne : « La grande majorité des militants adhère au projet. » Craint-il l'émergence de candidatures dissidentes ? « J'ai beaucoup de mal à y croire. Ce serait un contresens. »

Du côté du PS, Mathieu Hanotin, en charge de la campagne, n'est pas inquiet : « Notre accord fonctionne très bien. Il reste juste à régler le problème des candidatures à Saint-Ouen. »

* Meeting ce soir à 19 h 30, à l'Espace 93, à Clichy-sous-Bois.

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 28 Janvier 2015

pole-emploi.jpg118 880 demandeurs d'emploi en Seine-Saint-Denis. Le nombre de personnes, en Seine-Saint-Denis, inscrites à Pôle emploi en catégorie A (n'ayant pas travaillé du tout) en décembre 2014 augmente de + 0,5 % par rapport à fin novembre 2014 (+ 610), selon les statistiques dévoilées hier soir par la Direction régionale des entreprises, de la consommation du travail et de l'emploi (Direccte Ile-de-France). Sur un an, il est en hausse de 7,2 %. A titre de comparaison, en Ile-de-France, le nombre de demandeurs d'emploi inscrit dans la même catégorie augmente de 0,1 % par rapport à novembre 2014. Sur un an, l'augmentation est de 5,9 %.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Emploi

Publié le 27 Janvier 2015

Team5Moussa Traoré et Dimitri Yomi, deux trentenaires originaires d'Aulnay-sous-Bois, ont-ils été trahis par leurs amis d'enfance, Wilfrid Achy, Idrissa Diarra et le grand frère de celui-ci, le footballeur Alou Diarra ? En décembre 2013, les premiers ont fait condamner devant le tribunal de commerce de Bobigny leurs ex-associés. Ils les accusaient de leur avoir volé un projet de centre de football en salle (futsal) à Roissy-en-France (Val-d'Oise). Le complexe a bel et bien ouvert en 2012, et la société Dack Sports, qui exploite le site, cogérée par les frères Idrissa, devait ainsi verser plus de 60 000 € de dommages et intérêts aux deux plaignants.

Mais la partie est loin d'être finie et, hier, le match retour a eu lieu devant la cour d'appel à Paris. La société Dack Sports a demandé à la cour d'infirmer le jugement du tribunal de commerce, et, jugeant la procédure « abusive », réclame à son tour des dommages et intérêts. Il faut noter qu'Alou Diarra, ancien capitaine de l'équipe de France, a contribué à faire connaître le complexe sportif. Il n'apparaît toutefois pas personnellement dans la procédure, comme le faisait remarquer hier la présidente.

L'histoire a débuté en 2009. A cette date, Moussa, Dimitri, Wilfrid et Idrissa, tous nés en 1983 et originaires de la cité de la Rose-des-Vents, passionnés de football, « s'associent à part égale pour créer un portail Internet dédié au sport » avant d'envisager l'ouverture d'un centre de futsal. « Mais, très vite, les relations se sont dégradées sur la question des financements », note la présidente. Sollicité pour prêter près de 200 000 €, Alou Diarra, grand frère d'Idrissa, aurait alors posé ses conditions. Il aurait accepté d'avancer l'argent à condition que son frère dispose d'une part plus importante dans la société, « à hauteur de 90 % », selon Moussa Traoré et Dimitri Yomi. 

Faute d'accord, les associés deviennent concurrents. Moussa et Dimitri parviennent à obtenir de modestes financements et ouvrent fin 2011 une autre structure à Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne). Tandis que Wilfrid et Idrissa, avec le soutien d'Alou Diarra, fondent Dack Sports et louent un vaste entrepôt dans la zone Paris nord 2 (à cheval sur Villepinte et Roissy) où ils implantent l'enseigne Teams Five en janvier 2012.

L'histoire aurait pu s'arrêter là. Mais Moussa Traoré et Dimitri Yomi revendiquent la paternité du « business plan » sur lequel se sont appuyés les frères Diarra. Ils affirment avoir eux-mêmes repéré le site de Roissy, qui a permis à Dack Sports de se lancer. « Monsieur Diarra (NDLR : Idrissa) a profité du travail fait par mes clients, martèle Me Vincent Pécastaing, l'avocat de Moussa Traoré et Dimitri Yomi. Ils sont partis dans le 91 par dépit, parce qu'ils ont été trahis par leurs amis. » Une version contestée évidemment par l'avocat de la société Dack Sports, Me Redouane Mah-rach, qui évoque « un mauvais procès fait à une personnalité du football pour lui nuire ». La cour d'appel rendra son arrêt le 10 mars prochain.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Soyons sport.

Publié le 27 Janvier 2015

Séverine Maroun et Bruno Beschizza, candidats à l’élection départementale de 2015 sur le canton d’Aulnay-sous-Bois, Karine Lanchas-Vincente et Mohamed Ayyadi, candidats suppléants, ont le plaisir de vous inviter à la réunion publique de lancement de campagne.

Elle se déroulera à la salle Chanteloup, située 1 avenue de Nonneville à Aulnay-sous-Bois, le mardi 3 février 2015 à 19h30. Elle sera suivie d’un apéritif amical et convivial.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2015 !

Publié le 27 Janvier 2015

routedebondy.jpgHier, à Aulnay-sous-Bois, dans le cadre de la loi Alur, cinq appartements destinés à accueillir plusieurs locataires ont été inaugurés dans un ensemble de 31 logements situé route de Bondy, à quelques minutes de la gare RER. La loi Alur permet de réglementer les locations partagées, en écartant notamment la clause de solidarité obligeant à payer pour celui qui n'acquittait pas sa part de loyer. Elle facilite aussi la vie des jeunes actifs, en favorisant notamment la prise d'abonnements comme leur interruption. « L'objectif est de faciliter la mobilité, on ne vit pas en colocation toute sa vie », souligne une porte-parole du groupe Cilger, collecteur du 1 % logement, qui a participé au financement.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Logement

Publié le 26 Janvier 2015

2015-JANVIER-2563-1-.JPGCela ne sera évidemment pas la nouvelle la plus fondamentale de la journée à Aulnay-sous-Bois mais la vitre brisée de l’abri bus de l’arrêt 251 de la gare devrait être réparée sous peu. Ce type d’incivilités occasionnel n’en demeure pas moins agaçant. Quoi qu’il en soit, le lieu a été débarrassé de ses débris potentiellement dangereux comme le prouve la photo ci-contre. Remercions au passage les travailleurs de l’ombre qui, chacun à leur échelle, tentent de conserver notre bonne ville propre…

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 26 Janvier 2015

2015-JANVIER-2461.JPGDepuis les événements dramatiques de Charlie Hebdo, Montrouge et de la Porte de Vincennes à Paris, le premier ministre Manuel Valls a décidé de déclencher le plan Vigipirate au niveau « alerte attentat ».  Ce processus s’est accompagné de la mobilisation d’un certain nombre de forces de sécurité. C’est ainsi que des militaires ont été placés sur la ville d’Aulnay-sous-Bois.

Si la commune a proposé, étant donné l’urgence, de mettre à disposition gracieusement une salle au sein du poste de police municipale afin qu’ils puissent y installer leurs lits et effectuer leur toilette, le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, a été informé qu’aucun ravitaillement en eau et nourriture n’avait été prévu pour eux ! C’est pourquoi il a saisi le préfet de Seine-Saint-Denis, Philippe Galli, pour proposer que la cuisine centrale leur fournisse le couvert !

Bien entendu, si ce scénario se confirmait, l’Etat devrait compenser ce transfert de compétences vis-à-vis de la collectivité territoriale.

En attendant, donc, si vous croisez des militaires à Aulnay-sous-Bois et que vous avez l’âme généreuse vous pouvez leur offrir à boire et à manger…

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 26 Janvier 2015

poubelles-aulnay-sous-bois.jpgQuoi qu’on en dise, la propreté occupe encore une place centrale dans les conversations à Aulnay-sous-Bois. S’il est question, bien entendu, du cadre de vie quotidien dans lequel évoluent les Aulnaysiens, il en va aussi plus largement de l’image de la commune et notamment de son attractivité vis-à-vis des créateurs de richesse, entrepreneurs et autres investisseurs.

Toutefois, avant de s’émouvoir à cor et à cri d’un papier gras traînant sur un trottoir ou d’une canette de soda jonchant la pelouse d’un parc, encore faut-il avoir quelques nombres en tête pour tenter de mieux mesurer les volumes et les enjeux de la gestion des déchets ménagers. C’est ce que la rédaction d’Aulnaylibre ! vous propose aujourd’hui.

Les principaux indicateurs de la gestion des déchets ménagers à Aulnay-sous-Bois

En 2014, les ordures ménagères (hors tri) à Aulnay-sous-Bois ont représenté un volume de 28257 tonnes soit 340 kg par habitant. La tendance est à la hausse par rapport à 2013 (+1%). Les emballages quant à eux se chiffrent à 2206 tonnes (+2%). La collecte du verre atteint 888 tonnes, en légère baisse comparé à l’an passé. Enfin, les autres déchets (encombrants, déchetterie, déchets du Centre Technique Municipal…) atteignent 16 300 tonnes.

La gestion des déchets ménagers génère pour la ville des dépenses estimées à plus de 10 millions d’euros sur l’année 2014. Elles sont financées principalement par la TOEM, la taxe d’enlèvement des ordures ménagères, acquittée par les contribuables assujettis à la taxe foncière sur les propriétés bâties. Son taux actuel est fixé à 9,52 %. Enfin, pour être complet, en 2013, le cout de gestion d’une tonne de déchets s’élevait à 223 euros soit 111,25 euros par habitant.

Si actuellement la municipalité réfléchit à diverses pistes d’économies possibles comme par exemple la suppression de la collecte du verre en porte à porte au profit de points d’apport volontaire ou encore une réduction de la fréquence des passages de 3 à 2 en zone pavillonnaire, force est de constater que, compte-tenu de l’importance du volume de déchets produits, il appartient à chaque Aulnaysien de se prendre un minimum en main afin que l’espace public et le cadre de vie quotidien soient les plus propres possibles…

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Environnement

Publié le 26 Janvier 2015

Team5.jpgLes amis d'enfance ne font pas toujours de bons associés. La cour d'appel de Paris doit se pencher ce lundi sur un litige autour du complexe de « foot indoor » Teams Five, installé depuis 2012 à Roissy (Val-d'Oise). Si l'on connaît cette structure, c'est notamment en raison de la notoriété de l'un de ses cogérants, le footballeur Alou Diarra. Ce dernier n'apparaît toutefois pas personnellement dans la procédure en cours.

C'est la société Dack Sports, qui exploite le centre de futsal, qui a été condamnée en décembre 2013 par le tribunal de commerce de Bobigny, ainsi que l'un de ses salariés, à verser plus de 60 000 € de dommages et intérêts à deux plaignants, Moussa Traoré et Dimitri Yomi. Ces deux derniers criaient en effet à la « concurrence déloyale ». Ils accusent tout simplement le petit frère d'Alou Diarra, Idrissa, également gérant de la société, ainsi qu'un ancien associé, Wilfried Achy, de leur avoir volé le projet de complexe sportif. Aujourd'hui, la société Dack Sports réplique en attaquant les plaignants pour « procédure abusive ».

Au départ, pourtant, le groupe semblait soudé. Quatre jeunes hommes ayant grandi dans la cité de la Rose-des-Vents (dite des 3 000) à Aulnay, unis par la passion du football. En 2009, Moussa Traoré, Dimitri Yomi, Wilfried Achy et Idrissa Diarra créent ensemble un portail Internet dédié au sport. Puis, le petit groupe, qui a fondé sa société Dream Team, envisage d'ouvrir un site de futsal. Mais il va éclater sur la délicate question des financements. Sollicité pour prêter près de 200 000 €, Alou Diarra aurait posé ses conditions : « Il nous a répondu : Je veux bien, mais mon frère sera actionnaire à 90 %. Ce n'était pas acceptable », affirme Moussa Traoré. Les associés deviennent concurrents : d'un côté, Moussa Traoré et Dimitri Yomi. De l'autre, Idrissa Diarra et Wilfried Achy, avec le soutien d'Alou. Ces derniers fondent Dack Sports et louent un entrepôt de la zone Paris Nord 2, où le centre Teams Five ouvre en janvier 2012.

Or, Moussa Traoré et Dimitri Yomi affirment qu'ils avaient eux-mêmes repéré le site et élaboré le « business plan » qui a permis aux frères Diarra de se lancer. Ce que conteste l'avocat de la société Dack Sports, Redouane Mahrach : « Le business plan a été élaboré à titre gracieux par le frère de M. Achy. Et messieurs Traoré et Yomi n'avaient pas les moyens de financer leur projet à Roissy. D'ailleurs, avant même que Dack Sports n'ait signé son bail, ils avaient monté un autre projet dans l'Essonne. » Effectivement, Moussa Traoré et Dimitri Yomi ont ouvert fin 2011 une autre structure de foot indoor à Sainte-Geneviève-des-Bois. Le seul rebond possible, assurent-ils, « même si l'environnement est moins favorable que Roissy ».

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Soyons sport.