Publié le 15 Avril 2013

bernard_tapie_devant_un_yacht_reference.jpgUn exemple emblématique de la confusion des genres…

Certains croient que tout se qui se passe aujourd’hui n’est qu’un banal accident, la faute à pas de chance d’une sorte de Directeur du personnel qui n’aurait pas su recruter un contrôleur fiscal (…) ou se serait laissé abuser !...

Las, trois fois las, rien de nouveau sous le soleil. Juste des projecteurs plus puissants. Qui à la lumière du ras le bol des Etats, et au premier chef de celui des Etats-Unis d’Amérique, de voir les ressources fiscales leur échapper, font que les choses sont révélées au grand public, sous la double pression des nouvelles techniques d’information et de communication et des intérêts bien compris à long terme des Etats.

Car, il ne faut pas voir dans l’offensive actuelle, une péripétie de plus, orchestrée par un journal électronique, en mal de lecteurs et d’abonnés, mais bien une vaste opération lancée par les « Bourgeoisies éclairées » des principaux pays, dont Mediapart n’est, d’ailleurs, que l’un des instruments, tant il est vrai que la situation des Finances publiques de la plupart des pays développés exige un sursaut de grande ampleur, y compris en traquant la grande fraude fiscale, là où elle peut bien se nicher.

Car, tout cela est bien connu : un peu de corruption, un peu de fraude ça va, mais trop c’est trop et alors bonjour les dégâts !

Voyez par exemple, l’exemple emblématique de ce « pauvre » Bernard Tapie !

Ancien ami de Tonton qui, en avait fait, un Ministre ; ancien visiteur du soir de N. Sarkozy, voilà t-y pas que ce dernier s’est « refait la cerise », comme l’on dit dans les milieux populaires, grâce à la médiation d’un miraculeux ( ?) arbitrage privé décidé par Bercy au temps de Mme Lagarde (actuelle Directrice Générale du F.M.I.), et vraisemblablement orchestré plus haut. Je me garderais bien de me prononcer sur le fond du dossier que je ne connais pas en détail, mais il y a quand même des choses troublantes !...

Toute l’argumentation de B.Tapie consiste à dire qu’il se serait fait flouer par le Crédit Lyonnais, lors de la cession de ses actions Adidas. Cela est peut-être vrai, je n’en sais rien. D’autres pensent que la société était en mauvaise posture lors de sa cession et que seule sa reprise par L. Robert Dreyfus a permis de la sauver et donc de la valoriser.

Mais il est, pour le moins étonnant, que l’Etat, ait choisi de recourir  à un arbitrage privé, contre l’avis même de ses représentants au conseil d’administration de la structure chargé de gérer ce litige et surtout contre la poursuite judiciaire logique d’une procédure qui paraissait favorable à l’Etat.

Des recours ont été engagés et se poursuivent. Par ailleurs, des éléments laissent penser que le travail des arbitres n’a pas été, peut-être, pas aussi satisfaisant que cela.  Un prochain scandale en perspective ? On verra bien !...

En attendant, notre « Nanard national » se retrouve à la tête d’un joli magot, semble-t-il, de l’ordre de 400 Millions d’euros !...

Et qu’en fait-il ? C’est là où ça devient vraiment intéressant !...

Il suffit alors de lire un petit article du site nouvelobs.com, pour être édifié.

On apprend ainsi que celui qui s’était permis de donner des leçons de vertu à Bernard Arnault, lorsque ce dernier souhaitait acquérir la nationalité belge, a « créé un écheveau de sociétés à l’étranger et éparpille sa fortune entre Bruxelles, Londres et Singapour. Sans oublier Malte, l’île de Man et des chèques tirés sur son compte à Monaco ». « Un véritable safari des paradis fiscaux » selon l’hebdomadaire qui poursuit : « L’ex-patron de l’O.M. multiplie les dépenses somptuaires (yacht, villas, jet privé,) à travers des entités étrangères et sans payer le moindre impôt… »

Au journaliste qui l’interroge, ce dernier lui clôt le bec en lui raccrochant au nez, non sans lui avoir signifié :« D’ailleurs, je t’emm…) Toujours aussi élégant, notre cher Bernard ! Pathétique de vulgarité, de mélange des genres, de mauvaise foi, de cynisme le plus absolu…Tout est à peu près condensé dans cet exemple, ou plutôt, ce contre-exemple.

Pourquoi parler de cela, dans un petit blog aulnaysien ?

Tout simplement parce qu’il n’est pas sûr - toutes proportions gardées - que ce qui se produit dans le macrocosme, ne se passe pas  aussi dans un petit microcosme.

Parce que tout citoyen - surtout quand on lui demande des efforts, qui sur son salaire, qui sur sa retraite, qui sur ses impôts – a le droit de savoir ce qui peut se passer dans certaines sphères, certains milieux…De la politique aux affaires, les affaires de la politique concernent tous les citoyens. Voilà pourquoi. Tout simplement.

Et après, bien sûr, on me dira que je fais le jeu des extrêmes ou du populisme. Mais êtes-vous sûrs que c’est bien moi ?

Veritis

 

 

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 15 Avril 2013

KASHLEONE.jpgAprès son clip rageur qui a fait le buzz sur internet, Kash Leone, salarié à l’usine d’Aulnay depuis dix ans, sort aujourd’hui son CD « Activiste ».

Franck, alias Kash Leone, a décidément plusieurs casquettes. En février, les internautes découvraient son visage en lame de couteau et son flow rageur, dans le clip de rap « Ça peut plus durer », tourné dans l’usine PSA d’Aulnay. Le succès avait été immédiat. Franck était donc ouvrier, rappeur… Mais c’est aussi un artisan ingénieux et infatigable.

Alors que son album solo, « Activiste » sort ce martin, ce père de famille de 35 ans a misé sur une méthode inédite de marketing.

Ce matin, à l’heure où les premiers RER se mettront en branle, il arpentera les couloirs de la station Châtelet avec quelques compères, pour scotcher des CD sur les murs. « L’idée est toute bête. Plutôt que les stickers (NDLR : autocollants) qu’on voit partout, j’ai eu envie de coller des disques de démo, avec quarante secondes de chaque chanson, pour que les gens découvrent le disque. »

L’idée était toute bête, mais le travail a été titanesque pour réaliser un millier d’exemplaires, du CD à la pochette. Le fait-maison, c’est la spécialité de Kash Leone, qui a enregistré son album seul, dans son minuscule studio capitonné de boîtes d’œufs, en sous-sol du pavillon aulnaysien de ses parents. « Je déclenchais l’enregistrement sur mon ordinateur, avant de courir dans le studio pour chanter », raconte-t-il.

Le résultat ? Un album de 15 titres, dont le fameux chant de combat des PSA, mais aussi d’autres textes, parfois militants. Dans « Jusqu’au dernier souffle », dont le clip est visible sur Internet, le rappeur décrit une société en crise, « pour montrer ce pour quoi je lutte et j’écris : conserver nos acquis pour les plus jeunes »… Certains, parmi les collègues, l’appellent « la star ». Mais le succès du clip, les plateaux de télévision, les coups de fil d’autres rappeurs ne lui ont pas donné le tournis. « J’ai gardé la tête froide », explique Franck simplement. Sur le mur de son studio, il a accroché un « office planner », un tableau avec des fiches de couleur, comme il en existe à l’usine d’Aulnay. « Pour ne rien oublier et m’organiser entre le travail, la famille et la musique… »

La musique lui prendra forcément un peu de temps dans les semaines à venir, avec une douzaine de petits concerts en deux mois. Mais il n’oublie pas l’usine. Il y a un peu plus d’une semaine, il grimpait sur scène à Bobigny, pour une soirée de soutien aux PSA qu’il a contribué à organiser. Franck, moniteur de ligne au montage, avait fait grève avant de reprendre le travail, la mort dans l’âme. « Ce qui me déprime aujourd’hui, c’est de voir partir les intérimaires de mon équipe. C’est dur. »

Il se prépare, bien malgré lui, à rédiger un CV, pour l’après-PSA. Percer dans la musique? Franck écarte l’idée d’un haussement d’épaule : « Je connais un peu ce milieu. J’ai vu des gens arriver au sommet avant de dégringoler. Moi, je veux être quelqu’un qui travaille, et qui sait combien tombe sur son compte à la fin du mois. Etre autonome, c’est ma fierté. »

« Pendant que leur monde tourne comme un moteur, le nôtre s’effondre au profit de certains saboteurs » chante-t-il dans « Ça peut plus durer ». Les paroles prendront une résonance toute particulière lors du concert auquel Kash Leone participera le 1er mai. Ce sera à Florange, en soutien aux ArcelorMittal.

 « Activiste », 10 €. L’album est disponible dans certaines Fnac et grandes surfaces franciliennes et sur les plates-formes de téléchargement.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 15 Avril 2013

concert-musique_image_full.jpgDans le cadre de sa série « Carte blanche à… » le Conservatoire de musique et de danse d’Aulnay-sous-Bois, situé 12 rue de Sevran, propose ce soir à 18h un concert des élèves de la classe de musique de chambre et d’instruments du conservatoire. L’entrée est libre. Renseignements au 01 48 79 65 21.

Source : Oxygène n°175

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 13 Avril 2013

interdire.jpgJe viens d’une génération qui, par provocation devant la pesanteur des ordres établis et des mœurs corsetés, s’est écriée joyeusement : « Il est interdit d’interdire ! ». Ce slogan, compréhensible à l’époque, a permis de libérer la société de carcans fortement préjudiciables à l’épanouissement des individus. Encore aujourd’hui, nous en bénéficions tous à un degré ou un autre.

Mais comment ne pas voir, dans l’intervalle, le mauvais usage qui a pu être fait d’un tel slogan ?

Aucune société, en effet, ne peut fonctionner sans règles et d’abord des règles intérieures et personnelles.  Aucune éducation ne peut, non plus, se faire sans effort et sans référence à des valeurs. A trop l’oublier, on assiste ainsi, trop souvent, à un délitement des mœurs, des comportements, des attitudes et malheureusement, du « haut en bas de l’échelle » comme l’on dit trop communément. Tout le monde en pâtit et le vivre ensemble est tout simplement menacé.

Quand les fautes et les laxismes du « haut » servent de paravents ou de prétextes pour faire de même « au milieu » ou en « bas », les choses n’ont plus de sens et la société court à sa perte, emportant alors tout le monde vers un inconnu fatalement dangereux, porte ouverte à tous les extrêmes et toutes les violences. Il est donc temps de réagir avant qu’il ne soit trop tard. Mais il est bon, aussi, de comprendre de quoi il s’agit. Afin de ne pas se tromper de diagnostic et donc de solution.

Prenons quelques exemples, venus d’en haut.

Il n’y a pas si longtemps, un Président de la République (en l’occurrence, F. Mitterrand) déclara, tous les six mois, pendant quatorze ans de faux bulletins de santé, sans aucune vergogne et cacha à la France entière, l’existence d’une fille morganatique, entretenue par les deniers de l’Etat. Pour des raisons que l’on comprend fort bien, mais, précisément, où commence et où finit un mensonge d’Etat ?

Il y a, deux ans à peine, un candidat putatif à la Présidence de la République (en l’occurrence D.S.K.) imaginait, en toute légèreté, qu’il pouvait continuer à mener une vie pour le moins « dissolue » et prétendre aux plus hautes fonctions de l’Etat. Imaginait aussi qu’il pouvait avoir une vie de « nabab », tout en se prétendant socialiste…Bref, comme le disait un psychanalyste, un « homme qui voulait tout » !

Il y a, quelques jours, à peine, un ministre de la République (en l’occurrence, J. Cahuzac) prétendait pouvoir être le patron de la lutte contre la fraude fiscale en France, alors  qu’il était lui-même un fraudeur patenté depuis vingt ans, en mentant, en toute impunité, devant la France entière.

Quoi de commun à tout cela ? Une absence totale de « sur-moi ». C’est à dire, le sentiment d’être au-dessus des lois. Le sentiment de pouvoir échapper au sort et aux règles qui s’imposent à tous. D’être au-dessus des codes de la morale et de la vie en société. A contrario, la manifestation d’un désir de jouissance sans borne : du pouvoir, de l’argent, et du sexe (pour au moins les deux premiers). Ou, en d’autres termes, la poursuite de son bon plaisir, si possible en toute impunité, et loin des foules dont, pourtant, on sollicite les suffrages.

Comment ne pas voir, ici, poussé à l’extrême, et à une échelle individuelle paradigmatique et paroxystique, l’équivalent symbolique de tous les ressorts sans fin d’une société de consommation qui nous dit que tout est possible, tout est désirable, tout, tout de suite, sans frein, sans retenue, sans limites !

Tous les ressorts d’une société qui a atteint, selon les mots de Marx, lui-même, le stade de la « réification » c’est-à-dire un stade où la marchandise est devenue tellement reine qu’elle englobe tout, à tel point que l’homme lui-même est transformé, en « homme objet », précisément objet des pulsions infinies qui le traversent.

Or, nous savons bien qu’une telle société n’est, au sens strict du terme, pas vivable car elle subit les pulsions tyranniques et destructrices tant de l’individu que de la société toute entière. Etonnez-vous après cela des incivilités en chaîne, des fraudes et magouilles diverses, des violences quotidiennes, des envies et des jalousies de toutes sortes, de la faiblesse des vrais repères et de l’absence de respect quasi généralisé.

Tout est fait, dans ce contexte, pour affaiblir la conscience des citoyens, et pas seulement leur conscience morale. Lorsque l’on voit que c’est le plus malin, le plus hâbleur, le plus manipulateur, voire le plus « tueur » qui s’en sort, en politique ou ailleurs, on est vraiment loin du compte ! Mais c’est précisément, sur le lit de tels phénomènes qu’une nouvelle conscience peut surgir.

Des expérimentations nouvelles, des micro initiatives individuelles ou collectives émergent alors dans la société civile, bien loin de cette politique traditionnelle qui n’entre plus dans les valeurs et les codes nouveaux dont se dotent leurs initiateurs  Bien  éloignés d’un certain petit « milieu » politique professionnel en perte de vitesse, ils réinventent ainsi les éléments d’un monde nouveau où la « polis » ou « vie de la cité »  se régénère en autant d’espoirs pour demain.

Tout cela vous paraitra peut-être un peu abstrait, pourtant, il n’y a rien de plus concret ou prometteur pour l’avenir de notre société. Une société où le « sur-moi », sans être omniprésent,  ne serait pas aboli pour autant. Une société où le bon plaisir aurait cédé la place à un vrai plaisir de vivre ensemble. Certains ont appelé cela la Fraternité. Mince, une utopie de plus !...

Veritis

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 13 Avril 2013

cbabbordeaux.jpgC’est presque un syllogisme. C’est en tout cas une équation à trois inconnues.  Si Issy-Les-Moulineaux l’emporte face à Maromme, Créteil gagne à Aix-en-Provence et Aulnay-sous-Bois triomphe de Bordeaux, dans ce cas, le CBAB sera assuré de jouer les play-offs du Top 12 Badminton interclubs pour la première fois de son histoire ! Le scénario idéal semble tiré d’un crane hitchcockien mais comme dit le proverbe local bien connu : « Impossible n’est pas Aulnay ! ». Ainsi rendez-vous cet après-midi à 16h au centre sportif Paul Emile Victor d’Aulnay-sous-Bois situé 2 rue du Moulin de la Ville. Vous êtes attendus en masse pour venir encourager les Ducks et terminer la saison 2012- 2013 en beauté. Il y a de nombreux cadeaux à la clé pour le public !

En lever de rideau (la partie a débuté à 13h) Aulnay 2 fêtera sa première place d’ores et déjà assurée en Nationale 3 contre Juvisy.

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Soyons sport.

Publié le 13 Avril 2013

japon.jpg

La bibliothèque Alphonse Daudet d’Aulnay-sous-Bois, située rue du Hameau dans le quartier Mitry, propose cet après-midi à 16h30 une séance lecture de petits contes japonais pour plonger doucement dans l’ambiance extrême-orientale. Cet événement sera animé par Caroline Castelli. L’entrée est libre.  

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 13 Avril 2013

La bibliothèque Elsa Triolet d’Aulnay-sous-Bois, située rue Henri Matisse dans le quartier de la Rose des Vents, organise cet après-midi à 15h un concert Gnawa en partenariat avec le Cap, la scène des musiques actuelles du monde. L’entrée est libre.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 12 Avril 2013

educationnationale.gifDes classes privées d’enseignants, faute de remplaçants disponibles, c’est le phénomène marquant de cette année scolaire en Seine-Saint-Denis — une nouvelle fois, des parents d’élèves se sont mobilisés le week-end dernier à Saint-Ouen.

Jean-Louis Brison, le patron de l’Education nationale sur le département, revient sur ce phénomène avec un certain optimisme : « Le pire est derrière nous », assure-t-il.  Autres sujets importants dans le département, la scolarisation des moins de 3 ans ou encore le passage aux nouveaux rythmes scolaires.

Le problème des enseignants non remplacés dans les écoles est une plaie dans ce département. Quelle est la situation actuelle?

JEAN-LOUIS BRISON. Le pire est derrière nous en termes de remplacements. Fin janvier-début février, nous avions plus de 5% des classes sans professeur. Nous sommes tombés aujourd’hui à 1,5%, ce qui équivaut à la moyenne nationale. Nous avons recruté comme contractuels 224 étudiants et 9 professeurs à la retraite. L’année prochaine sera forcément plus calme car sur les 150 nouveaux professeurs que nous recevrons en plus, 60 seront reversés dans la brigade de remplaçants.

Le manque de médecins scolaires est-il toujours aussi criant?
Malheureusement, nous avons toujours une dizaine de postes, pourtant financés, qui ne trouvent pas preneurs. Nous sommes en relation directe avec la faculté de médecine, notamment pour qu’un certain nombre d’étudiants fassent leur stage dans le département. Nous espérons qu’ensuite ils voudront y travailler.

En début d’année dernière, vous évoquiez votre volonté de renforcer le lien avec les parents d’élèves. Qu’en est-il?
Avec la scolarisation des moins de 3 ans, nous avons l’occasion d’inciter les parents à mieux s’investir dans l’école. En partenariat avec les communes, on pourrait imaginer la mise en place, dans l’école, d’ateliers linguistiques, nutritionnels ou de 
gestion de budget. Cela permettrait non seulement d’impliquer les parents dès le début mais aussi leur permettre de suivre la scolarité de leurs enfants le plus longtemps possible.

Cinq villes sur quarante seulement vont passer aux nouveaux rythmes scolaires en septembre. N’est-ce pas un chiffre un 
peu décevant?
Evidemment, nous aurions préféré une adhésion plus rapide au projet. D’autant qu’un plus grand nombre de villes s’étaient déclarées partantes en début d’année. Il est évident que l’approche des
élections municipales a joué sur les décisions. Maintenant, nous allons tout faire pour accompagner au mieux les communes qui ont accepté de se lancer.

C’est-à-dire?
Mon rôle consiste à vérifier certaines données, à savoir que le projet prévoit bien 9 demi-journées par semaine et 24 heures de 
cours. Ces conditions ne sont pas négociables. En revanche, deux autres le sont : les 5,5 heures de cours par jour et l’1h30 de pause méridienne. Une dérogation est aussi possible pour que les cours aient lieu le samedi matin à la place du mercredi matin. Enfin, le brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur (Bafa), acquis ou en cours, est le niveau minimum des animateurs qui encadreront les activités. L’encadrement sera de 1 adulte pour 18 enfants en élémentaire et 1 adulte pour 14 enfants en maternelle.

Source : Le Parisien du mardi 9 avril 2013

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 12 Avril 2013

Une centaine de salariés en grève de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois ont envahi le mercredi 10 avril au matin le siège national de Pôle emploi, situé Porte des Lilas, à Paris(XXe). Selon le délégué CGT Jean-Pierre Mercier, joint par leparisien.fr, ils sont arrivés à bord de deux cars, à l'ouverture des bureaux, à 9 heures.

«On a envahi le CCE. On a pris la parole pour dire notre opposition à la fermeture de l'usine et qu'on ne voulait pas finir à Pôle emploi», a ajouté Jean-Pierre Mercier. Les salariés ont chargé le directeur général de Pôle emploi Jean Bassères de «faire passer le message au ministre du Travail». Leur occupation des locaux a duré environ une heure.

Le délégué CGT a rappelé que l'usine d'Aulnay était en grève depuis plus de trois mois. «C'est rare, cela prouve notre détermination. Le fait qu'on ne lâchera pas, il faut que le gouvernement se le dise», a-t-il prévenu.

 

Pour rendre leur action plus visible, les ouvriers ont redécoré la façade d'entrée du siège de Pôle emploi en la recouvrant d'inscriptions telles que «PSA voyou», «non à la fermeture d'Aulnay» ou «on veut pas finir ici». Des affiches contre l'accord sur l'emploi, «meurtre avec préméditation du code du travail» avaient également été collées en nombre. 

Dans un communiqué, le syndicat SUD a indiqué «soutenir cette action», qui s'est opérée «pacifiquement», et «dénoncé la restructuration en marche dans le secteur automobile au détriment de l'emploi». «Encore une fois les salariés sont la variable d'ajustement qui pallie les erreurs de stratégie des dirigeants d'entreprises», estime le syndicat.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 12 Avril 2013

Je me garderais bien de me prononcer sur le fond du dossier. Certains disent qu’il ne peut y avoir de site sidérurgique qui ne soit à proximité d’un port. D’autres qu’il y a une surcapacité mondiale de la production d’acier. D’autres encore que l’Europe ne saurait abdiquer face aux pays émergents et qu’il faut d’ores et déjà préparer la reprise qui se profile. Je laisse donc aux spécialistes le soin de trancher.

Je note seulement que dans le grand barnum médiatique, notre ancien Président s’est grandement illustré. « Je ne vous laisserai pas tomber », a-t-il dit, jadis, aux ouvriers de Gandrage, avec le résultat que l’on sait : tout est fermé aujourd’hui. Seule subsistait une plaque commémorative « En souvenir des promesses de N. Sarkozy ». Las, depuis, elle a été volée…

sarko-promesses-unejpg.jpg

Et que dire de notre nouveau Président ! C’était au temps, qui paraît déjà fort ancien, d’une propagande électorale. N’écoutant que son courage, et au péril de sa vie, il se jucha sur un camion et pris un mégaphone pour s’écrier quelque chose comme ça « Je suis de tout cœur avec vous et je ne vous oublierai pas. Nous ferons passer une loi, pour obliger quelqu’un qui ne le veut pas, à céder à un repreneur, une activité qu’il ne désire pas poursuivre ». Paroles, paroles, comme disait la regrettée Dalida. Depuis, nous attendons toujours…

Ni le charisme du leader syndical, E. Martin, ni le soutien de B.Lavilliers et des élus locaux, ni le pas de deux « Ayrault-Montebourg » sous les auspices de l’hypocrisie hollandienne, n’ont permis de faire bouger les lignes : il y a tout lieu de penser que les haut-fourneaux de Florange vont définitivement cesser…

Comme un symbole, la dernière flamme s’éteindra lundi ! Comment ne pas comprendre la colère de ceux que l’on a pris pour des gogos, (ô le vilain mot) en échange médiocre de  quelques voix…

De droite ou de gauche, me direz-vous ! Mais, peut importe, si c’est pour aboutir aux mêmes fausses promesses et aux mêmes impuissances !

Veritis

 

 

 

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 12 Avril 2013

jilislucky.pngJil is Lucky et Mountain Men seront en concert ce soir à 20h30 au Cap, la scène des musiques actuelles du monde. Vous trouverez ci-dessous quelques mots sur ces artistes.  

Après un premier album sorti en 2009, influencé par Léonard Cohen, Otis Redding, les Beach Boys, une tournée de 18 mois avec un titre phare The Wonderer, illustrant le spot publicitaire Flower By Kenzo, Jil is Lucky est retourné en studio pour réaliser un deuxième disque pop et rythmé. Julian Casablancas, Noah and the Whale ou encore les Maroon 5 ont collaboré à ce projet résolument moderne, co-réalisé avec Jason Lader. Jil is Lucky nous dévoile sur scène une nouvelle approche des sonorités et des arrangements.

Deuxième album In the tigger’s bed sorti le 5 février 2013.

Nominés deux fois aux Awards de la Blues Foundation de Memphis en 2009 avec leur premier album Springtime Coming, Mr Mat et Barefoot Iano reçoivent le prix spécial du célèbre Cognac Blues Passion Festival et se produisent aux quatre coins du globe. Avec une voix grave et enivrante portée par des envolées d’harmonica, le duo franco-australien nous embarque dans un blues communicatif qui va droit au coeur. Teintée de rock et de folk, leur musique déclenche des émotions fortes. Le groove et le charisme des Mountain Men sur scène est un régal d’énergie.

Deuxième album Hope sorti en octobre 2012

Le Cap, 56 rue Auguste Renoir à Aulnay-sous-Bois. Tarifs : 5, 8 ou 10 euros. Renseignements au 01 48 66 94 60.

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 11 Avril 2013

Bionoor, société dont le siège est à Aulnay-sous-Bois, annonce que l’enseigne Monoprix (groupe Casino et groupe Galeries Lafayette) renouvelle leur partenariat : une part des bénéfices issus de la vente des dattes biologiques est utilisée pour financer le vaste programme de reforestation pédagogique engagée depuis plusieurs années par Bionoor. Pour en savoir plus, voire pour financer vous-mêmes la plantation de plusieurs arbres dans des écoles en Afrique, nous invitons à lire ou relire l’article consacré à Bionoor en 2010 : One, two, t(h)ree, plantons en Algérie. Fin août 2012, Bionoor investissait le marché de la viande en lançant Tendre France, première marque de viande halal certifié bio.

 

Source : http://www.al-kanz.org

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 11 Avril 2013

LE COLLECTIF POUR AULNAY VOUS INFORME SUR :

LE NOUVEAU PLAN DE CIRCULATION DANS LE SUD DE LA VILLE

collectifpouraulnay.pngAlors que le dernier «Oxygène» vient de vous annoncer la fin de la concertation sur le plan de circulation, le Collectif pour Aulnay souhaite vous faire parvenir un autre point de vue.

Les opposants sont nombreux à ce projet qui sera mis en place très prochainement et qui touche nos déplacements quotidiens.

Sous forme de « concertation » avec les riverains, 3 réunions ont été organisées afin de pouvoir débattre sur ce nouveau plan.

À ces réunions, aucune alternative n’a pu être proposée lorsque des problèmes étaient soulevés.

Il est bien loin, le temps où le Maire Gérard Segura promettait d’organiser des référendums de quartier pour des sujets aussi importants que celui-ci.

Imaginez un peu : 

- Plusieurs rues seront mises en sens unique dont l’ensemble du Boulevard de Strasbourg (le GPS deviendra vite votre meilleur allié),

- L’Avenue Jean Jaurès et la route de Bondy, 2 grands axes structurants, seront également mises en sens unique.

Notons qu’une rangée d’arbres sur la route de Bondy risque de disparaître au profit d’une piste cyclable.

Tous ces changements sans prendre en compte les nouvelles constructions actuelles et à venir !

- Quid du stationnement ? Il a été annoncé que 300 places seront amenées à disparaître

: les rues seront encore plus engorgées !

- Sans oublier la place de la gare, où les bouchons sont déjà existants. Cela risque d’empirer avec la mise en place de ce nouveau plan de circulation !

Êtes-vous prêts à subir des bouchons pour rentrer chez vous ?

Etes-vous prêts à une circulation accrue dans les petites rues et un stationnement intempestif ? La réponse est NON ! Trop c’est trop

Comptez donc sur nous pour continuer à vous informer, nous ne lâcherons rien !

Le Collectif pour Aulnay

 

Stéphane FLEURY                            Benjamin GIAMI

Président de l’association DZPAB          Président de l’association QCBE

04. 04. 2013

Contact : lecollectifpouraulnay@gmail.com

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 11 Avril 2013

Décidément, tous les blogs socialistes ne se ressemblent pas…homme-bandeau-yeux

« La crise d’un système » Tel est le titre d’un article publié par le sénateur socialiste de la Nièvre Gaêtan Gorce  dans son blog, le 9 avril 2013.

Un vrai bijou de lucidité sur les mœurs et les pratiques du Parti socialiste, vu par quelqu’un qui connaît très bien, et pour cause, ce parti de l’intérieur…

Qu’on en juge, et surtout que l’on compare ces propos avec ceux d’un blog aulnaysien intitulé, comme par hasard (mais où va se nicher l’inconscient ?) « D’un seul blog » !

« Cahuzac après Strauss-Khan, et alors que d’autres affaires sont en cours : tout cela ne peut plus être mis sur le compte seulement des personnes. Tout cela au contraire fait système ! » dit, en effet, Gaëtan Gorce…

Puis il poursuit : « C’est la dérive clanique qui s’est emparée du parti socialiste qui a conduit presque mécaniquement à cette situation. DSK, pas plus que Cahuzac, ne sont des accidents. Leur attitude, et plus encore le sentiment d’impunité qui, manifestement, les habitait, sont la conséquence d’un processus d’oligarchisation de l’appareil dirigeant du parti : à mesure que les luttes de clan ont perdu toute dimension idéologique se sont constitués des groupes d’intérêt visant seulement à perpétuer le pouvoir et l’influence de leur chefs, le cynisme prenant la place des convictions, le rapport de force celle de la confrontation d’idées ». On ne saurait mieux dire !...

Tout cela s’est accompagné, rajoute Gaëtan Gorce par des victoires aux élections locales « offrant mandats et emplois à des ribambelles d’alliés, clients et porte-flingues en tout genre, peu portés à dénoncer des errements auxquels ils étaient indirectement associés. » Je crois que c’est suffisamment clair pour que chacun puisse se reconnaître !...

Pour Gaëtan Gorce, tout cela a été facilité par un triple processus :

 

1) La confiscation du parti par une bourgeoisie d’appareil (diable, on croirait entendre un trotskyste !)

2) Le produit d’une professionnalisation à outrance de la vie publique qui fait que l’on devient toujours plus tôt, toujours plus jeune, dépendant, pour vivre, d’un mandat ou de celui ou celle qui l’exerce. (Bien évidemment, tout cela, n’a rien à voir avec ce qui se passe en Seine-Saint-Denis…)

3) La « peopolisation » de la politique qui a conduit pour une partie de ses dirigeants à faire de la notoriété médiatique et des facilités qu’elle offre une fin en soi et développe connivences et passe-droits.

 

    Puis, il conclue ainsi : «  Si rien ne change qu’à la marge, nous, socialistes, connaîtrons  la lente agonie de tous ceux qui, un jour, ont refusé de voir la vérité en face et d’en tirer les conséquences. Le regard que porte déjà sur nous une bonne partie des Français, et parmi les plus modestes, n’est-il pas déjà suffisamment douloureux à supporter ? »

Tout est dit. Ou presque...

Veritis

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 11 Avril 2013

cuivre.jpgMardi, à 20h30, cinq voleurs de cuivre ont été interpellés à Aulnay-sous-Bois, dans le secteur de Garonor. Ils étaient en train de décharger de 2 m3 de bobines de cuivre qu’ils venaient de dérober sur un chantier. Depuis le début de l’année, une recrudescence de vols de métaux sur les chantiers a été constatée, indique-t-on à la préfecture.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 11 Avril 2013

PSARECUPLe calendrier s’accélère à nouveau pour les salariés de l’usine PSA d’Aulnay. Le plan social (qui prévoit la fermeture du site en 2014) doit être validé le 19 avril, lors d’un comité central d’entreprise. Ce matin, le tribunal de Paris examine enfin les requêtes des syndicats CGT et Sud, qui réclament la suspension ou l’annulation du plan, dénonçant ses « insuffisances ». Hier, une centaine de grévistes ont envahi le siège de Pôle emploi à Paris, refusant de voir l’usine fermer.

En coulisses, les tractations avancent. Elus, entreprises, direction de PSA semblent désormais s’entendre autour de la réindustrialisation du site, même si pour l’heure, le maire PS d’Aulnay, Gérard Ségura, assure n’avoir pas donné d’« accord définitif ».

593 emplois avec des salaires plus bas

Le compte à rebours est lancé pour la société ID Logistics, principale candidate à l’installation sur les terrains de PSA. Son objectif : déposer une demande de permis de construire début juin pour bâtir ses entrepôts (144000 m2 au total) sur 25 ha, à cheval sur les territoires d’Aulnay et de Gonesse (Val-d’Oise). Un premier bâtiment pourrait être construit à partir d’avril 2014, pour être livré en décembre. S’il n’a pas souhaité nous répondre, le PDG Eric Hémar a en revanche fourni des précisions écrites aux élus et à PSA. Il promet la « création immédiate de 593 emplois temps plein, dont 540 en création nette en parfaite adéquation avec les compétences des salariés de l’usine » (306 préparateurs de commande, 84 caristes, mais aussi 55 administratifs, 66 chefs d’équipe etc.). A terme, ce sont 690 emplois qui doivent être créés. ID Logistics insiste sur « la qualité des équipes formées par PSA Peugeot Citroën, qui a été déterminante dans la décision de notre groupe de s’implanter sur le site d’Aulnay », et avance l’idée d’une « reconversion pérenne » du site.

ID Logistics a cependant déjà annoncé qu’elle recruterait à « ses conditions », et avec sa grille de salaires, inférieure à celle de PSA. « Un ouvrier ayant peu d’ancienneté ne perdrait que 100 €, mais l’écart est bien plus grand pour les anciens », note Tanja Sussest, déléguée du SIA. Jean-Pierre Mercier, de la CGT, pointe ainsi une perte de 660 € pour un cariste travaillant depuis 20 ans chez PSA. Franck, moniteur de ligne, s’est renseigné auprès de son chef : « Je toucherais un salaire de 1100 € par mois contre 1500 € nets aujourd’hui. En plus, il n’y a pas de 13e mois chez ID Logistics! » PSA s’est toutefois engagée à combler une partie de cette différence de salaires durant deux ans (en versant jusqu’à 300 € par mois la première année, puis 200 €).

La semaine dernière, les maires socialistes d’Aulnay et de Gonesse ont été reçus à Bercy par Arnaud Montebourg. Ils ont présenté au ministre du Redressement productif plusieurs études sur l’aménagement du site. L’Etat prendra-t-il part à ce chantier? Il est sans doute encore un peu tôt pour avoir une réponse.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 11 Avril 2013

bouquinsUne trentaine de personnes, passionnées de culture (théâtre, cinéma, ateliers artistiques, musique, philosophie…) se retrouvent à la conférence littéraire mensuelle sur un livre, un auteur. En amont, le groupe se réunit un jeudi par mois pour partager ses lectures et ses découvertes culturelles sur un pays mis à l’honneur. Rendez-vous donc aujourd'hui à la bibliothèque Dumont à partir de 14h.

Source : Oxygène n°175

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 10 Avril 2013

Vous trouverez ci-dessous une lettre d’Aulnay Environnement adressée au maire Gérard Ségura. Dans cette missive l’association présidée par André Cuzon demande la révision du Plan Local d’Urbanisme (PLU).

Aulnay Environnement                                 le 2 avril 2013

                                                A Monsieur Segura maire d’Aulnay

                                                Monsieur le Maire,

aulnayenvironnementSuite à notre assemblée générale et suite à la série de réunion que vous avez organisé, nous vous demandons une rencontre en particulier pour faire le point sur l’avenir de la ville et particulièrement sur la nécessaire révision du PLU, que nous défendons et défendrons près de tous les candidats aux élections municipales.

Le processus de débat public pour définir la ville de demain doit être négocié. A ce jour nous sommes atterrés de constater que le diagnostic du PLH réalisé en juin 2012 ne soit pas encore publié : ce devrait être un préalable.

L’autre élément déterminant c’est le diagnostic du PLU en cours révisé en 2008 et modifié profondément en 2009 et 2010. Nous avons étudié quelques cas de permis de construire qui illustrent les conséquences graves du règlement en cours.

En particulier dans la zone pavillonnaire, la suppression du COS, la facilitation des divisions de terrains et des constructions en plusieurs logements ont donné le signal à toutes les dérives : les constructions illégales sans tenir compte des règlements et le non-respect des permis est si banale que nous allons vers un marché où les marchands de sommeil seront rois et à terme vers la création des bidonvilles du XXI siècle.

Ce diagnostic du règlement actuel est urgent. Pour nous cela doit se faire dans le cadre de la révision du PLU.

Le service des « permis de construire » qui croit bien faire a tendance à dire : « il est interdit d’interdire » et comme personne ne vérifie la conformité il faut que les particuliers portent plainte contre les voisins en cas de construction illégale, ce qui socialement est difficile.

Il faut que la municipalité se donne les moyens de la conformité des constructions et fasse respecter les règlements d’urbanisme : la carte 3D doit être un outil pour cela.

Il faut mettre réellement cartes (dossiers) sur tables avec des études de cas : sinon c’est le règne de la communication ou de la propagande.

Nous vous joignons 2 cas de permis de construire qui illustrent la nécessité de réviser le PLU de notre point de vue.

En résumé revoir il faut revoir les règlements d’urbanisme et les faire respecter : c’est tout un programme.

Dans l’attente d’un rendez-vous recevez monsieur le maire nos meilleures salutations.

(1) Les rendez-vous d’Aulnay

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Urbanisme

Publié le 10 Avril 2013

articlesupermetroVous trouverez ci-dessous un article du Parisien qui évoque la spéculation immobilière qui commence autour des futures gares du supermétro du Grand Paris Express. Pour mémoire celle d’Aulnay-sous-Bois devrait être construite aux abords du carrefour de l’Europe.

Sur certaines petites annonces immobilières, c’est déjà un argument de vente. « Proche de la future gare du Grand Paris Express de Vitry-Centre » pouvait-on déjà lire, il y a quelques semaines, dans le descriptif d’un pavillon sur un site Internet spécialisé. Cela ressemble à une fatalité : l’arrivée du Grand Paris Express, ce supermétro qui doit relier les banlieues entre elles, va faire monter les prix de l’immobilier aux abords de ses gares. Et risque, in fine, de repousser certaines populations qu’il devait desservir.

Les pouvoirs publics se sont donc dotés d’un outil dédié. Un observatoire des prix du foncier et de l’immobilier aux abords des gares du Grand 
Paris a en effet été lancé hier à l’occasion de l’Assemblée des maires d’Ile-de-France, qui se tient au Parc floral de Paris (XIIe). La structure associe la Société du Grand Paris (SGP), la préfecture de région et la chambre de notaires de Paris et doit fournir une image précise de l’évolution des prix autour des gares.

« Nous avons souvent été questionnés sur les risques de montée des prix de l’immobilier, explique Etienne Guyot, le président de la SGP. C’est notre responsabilité de maître d’ouvrage d’en savoir plus. » D’autant que la SGP doit acquérir entre 5500 et 6000 parcelles pour réaliser son réseau de transport.

Préemption, zonage ou acquisitions pour faire face

L’observatoire réalisera une synthèse semestrielle — « c’est-à-dire quasiment en temps réel en matière d’immobilier », explique-t-on à la SGP — sur un périmètre de 800 m autour de chacune des 72 gares attendues. De quoi donner un bon aperçu de l’impact du Grand Paris Express sur les prix de l’immobilier.

Les pouvoirs publics vont-ils se contenter d’observer la flambée des prix? « La connaissance, c’est la base de l’action, assure le préfet de région, Jean Daubigny. Nous avons besoin de ne pas laisser dériver les choses. »

Pour ce faire, le représentant de l’Etat évoque des pistes. « Dès lors que se manifesteront des indices de tension, on peut utiliser plusieurs procédures : la préemption par les collectivités locales, des mesures de zonage voire des acquisitions de terrain à titre conservatoire, détaille Jean Daubigny. C’est aussi le moyen d’éviter que la réalisation du réseau ne coûte trop cher à l’Etat. »

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Urbanisme

Publié le 10 Avril 2013

Nous ne savons pas si cette question est fondamentale. Quoi qu’il en soit, puisque cette interrogation a germé dans certains esprits, nous sommes allés directement demander à l’intérieur du restaurant Quick, qui a ouvert ses portes hier à Aulnay-sous-Bois, de quoi il retournait. Ainsi, le nouveau Fast Food du carrefour de l’Europe n’est pas Halal. La seule mention apparaissant sur les menus concernant la viande est qu’elle est certifiée 100 % pur bœuf.


Par ailleurs, nous avons appris que l’autre Quick situé celui-là dans le centre commercial O’Parinor doit également subsister. Les deux espaces d’alimentation vont donc cohabiter malgré le peu de distance entre eux. Voilà pour les informations. Enfin, nous vous proposons deux vidéos commentées tournées sur place par un des reporters de la rédaction d’Aulnaylibre ! qui a la fois montrent les lieux et donnent de plus amples explications.

Et puisqu’il est midi, nous vous souhaitons bon appétit bien sûr !

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Commerce

Publié le 10 Avril 2013

choc_h.jpgLa vie est amusante…Comment ce Président, si fade, si insipide, si peu inspiré, en vient, peut-être pour se réveiller lui-même, à utiliser par trois fois le mot choc pour définir quelques maigres lignes d’action qu’il essaye de tracer, et toujours en réaction  face à des situations qu’il ne peut maîtriser ?

Comme si notre société avait besoin de chocs supplémentaires ! Le mot choc est un mot négatif.  Quand il y a choc, il y a coupure, blessure ou meurtrissure. Tout le contraire d’une société apaisée ayant l’intelligence d’arbitrer ses conflits grâce au dialogue et au bon sens. On n’attend donc pas d’un Président qu’il gouverne à coup de chocs mais qu’il fasse preuve d’une autorité naturelle lui permettant de présider aux destinées du pays en rassemblant le plus possible, c’est à dire en évitant si possible les chocs inutiles.

De quels chocs s’agit-il, donc ?

Un choc de compétitivité.

Diable, il a fallu huit mois au chef de l’Etat pour s’apercevoir que l’industrie française souffrait d’un déficit de compétitivité. D’autant qu’il a tout fait, lui-même, pour l’affaiblir dès son élection.  Un coup de barre à gauche, puis un coup de barre à droite, rien de tel pour ramer donc… quand on est, précisément, un mauvais rameur !

D’où l’adoption d’un crédit d’impôt de 20 Milliards d’euros (un cadeau dit la gauche de la gauche) ouvert en 2014 en faveur des entreprises pour restaurer leur compétitivité. Financé, pour moitié, par une augmentation de la TVA frappant les consommateurs. Laquelle, jamais, ô grand jamais, ne devait intervenir, du moins le temps de la dernière campagne électorale ! Vous avez dit « gogo » ? Oui, j’ai bien dit « gogo » !

Hélas, cette bonne idée s’est transformée, les énarques de Bercy ou de l’Elysée étant passés par là, en une véritable machine à gaz, incompréhensible pour les chefs d’entreprise et donc inefficace ! De plus, ouverte à tous, alors qu’il fallait la cibler pour les entreprises industrielles soumises à la compétition internationale. De sorte que la grande distribution, les compagnies d’assurance ou les banques vont bénéficier d’un tel dispositif. Pensez-vous qu’elles en aient vraiment besoin ? A ce stade, ce n’est plus simplement de l’amateurisme, c’est de l’incompétence.

Des machines à gaz administratives, on passe donc au fameux choc de simplification…

Un choc de simplification.

En panne d’idées, F. Hollande ressort donc ce fameux serpent de mer !... Mais comment peut-il être crédible, quand on voit, ne serait-ce que la démentielle complexification fiscale qui a été votée par le Parlement, dès l’élection de F. Hollande ? 

Avez-vous déjà eu affaire à l’Administration ? A tous ces règlements, normes, lois, décrets qui sortent tous les jours, à tel point que même les spécialistes les plus pointus finissent par s’y perdre !

A vrai dire, c’est la nature même de la bureaucratie que de produire toujours plus de bureaucratie. C’est la raison pour laquelle, il faut tout faire pour limiter le poids de ce monstre froid, sauvage et impersonnel dont le seul but est de se perpétuer lui-même. Mais croyez-vous que tous ceux qui n’ont connu comme univers que la politique professionnelle ou la haute administration publique soient les mieux placés pour conduire une telle révolution ?...Cessons d’être naïfs, une fois encore !

Et maintenant, « last but not least », tout ce qui paraissait évident à un honnête citoyen, mais ne semblant pas l’être aux plus hauts niveaux de l’Etat, voilà qu’on nous ressort, de derrière les fagots, un choc de moralisation.  On croit rêver ! Mais dans quel monde vivons-nous ?

Un choc de moralisation

Voilà donc ce qui va nous occuper cette semaine ! Des esprits « brillants » concoctent donc des projets de loi, avec force déclarations de patrimoine, comité « Théodule »  pour vérifier,  sanctions en cas de défaillance….Bref, on essaye d’amuser la galerie, en faisant semblant de réagir face aux vrais chocs que subit l’opinion publique devant les révélations en cascade dont elle prend connaissance, et qui ne sont souvent que des demi surprises, tellement la classe politique, en général, est discréditée !...

Tout se passe comme s’il fallait édicter un règlement intérieur face à des élèves d’une école primaire, tout simplement pour qu’ils ne fassent pas de bêtises. Nous savions déjà, au vu de leurs échanges à l’Assemblée ou lors d’un Conseil municipal, que c’étaient de grands enfants, mais qu’en plus  ils faillent les surveiller de près pour vérifier qu’ils ne soient pas tricheurs ou malhonnêtes, tout cela nous laisse proprement pantois !...

Dans les pays scandinaves, un ministre qui engage une dépense personnelle sur le compte de son ministère, octroie une faveur ou en bénéficie, démissionne sur le champ. On cultive la simplicité. Le ministre ne bénéficie d’aucun privilège, il est au service de ses concitoyens, conformément à l’étymologie de ce mot. Il est là pour servir et non pas se servir.

Est-ce trop demander ?  Tout cela est avant tout, une question d’état d’esprit. On aura beau faire tous les règlements que l’on voudra, si la mentalité de nos responsables ne change pas, tout cela restera lettre morte.

Vaste programme, donc, qui va bien au-delà des petites mesurettes que l’on nous prépare dans l’urgence et la cacophonie actuelles !

Ils nous ont dit « chocs », c’est plutôt un électrochoc qu’il leur faudrait !...

Veritis

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 10 Avril 2013

psa-peugeot-citroen-new_640x280.jpg

Dans un marché automobile morose, le groupe PSA veut satisfaire ses clients malgré les perturbations provoquées par le vaste plan de réduction des effectifs. Depuis quelques jours, l’usine Peugeot de Poissy (Yvelines) a reçu pour consigne de rattraper le retard de production du site d’Aulnay (Seine-Saint-Denis). Ce retard a pour origine la grève des salariés d'Aulnay, depuis 16 janvier dernier, pour s’élever contre la fermeture de leur usine l’an prochain.

À cela s’ajoute le mouvement de colère des employés du fournisseur de sièges, Lear Corporation de Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise), qui ont cessé le travail durant plusieurs jours en février afin de soutenir l’action des ouvriers de Seine-Saint-Denis. Plus de 11 000 Citroën C 3 n’ont pas été fabriquées et près de 6 000 sont sorties des chaînes de montage sans sièges. De fait, le délai de livraison est plus long pour les clients, trois mois contre deux en temps normal.

Pour éviter de pénaliser les acheteurs, le centre de production des Yvelines qui assemble également ce modèle, va faire dix voitures de plus par jour jusqu’en juillet. A Aulnay-sous-Bois, les chaînes ont redémarré hier lundi mais en deux jours seulement 17 véhicules ont été fabriqués alors la production moyenne est de 250 unités au quotidien.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 10 Avril 2013

Martine-Boutin.jpgLes bibliothécaires donnent rendez-vous aux enfants et à leurs parents pour partager des moments de plaisir autour d’albums, de comptines.

Aujourd’hui à 16h à la bibliothèque Dumont. Entrée libre.

Source : Oxygène 175

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 9 Avril 2013

 


Nous continuons ce soir notre reportage autour de la venue de M. Pokora au centre commercial O’Parinor samedi dernier avec deux nouvelles vidéos un peu spéciales. En effet, outre le showcase offert au public un concours était également organisé pour désigner un nouveau danseur ayant l’honneur et l’avantage de rejoindre la troupe du spectacle Robin des Bois. Nous vous proposons la séquence de leurs performances tout à fait spectaculaires et la découverte de l’heureux vainqueur… Let's dance !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 9 Avril 2013

Herbe.jpgSix hommes soupçonnés de trafic de stupéfiants ont été interpellés, samedi soir, à Drancy, Tremblay et Aulnay alors qu’ils revenaient des Pays-Bas avec de la drogue. Les enquêteurs du service départemental de la police judiciaire (SDPJ) travaillaient sur cette affaire depuis plusieurs mois dans le cadre d’une commission rogatoire du parquet de Bobigny. Samedi soir, les suspects se trouvaient à bord de trois voitures lorsque la police est intervenue.

Quinze kilos d’herbe de cannabis ont été saisis dans le coffre d’un des véhicules. Les perquisitions menées dans un box à Drancy ont également permis de découvrir 300 g de résine de cannabis et 300 g d’herbe. Deux autres suspects, les fournisseurs présumés de la drogue, ont été arrêtés ce même week-end aux Pays-Bas. Les six suspects français, âgés de 21 à 29 ans, étaient toujours en garde à vue hier soir dans les locaux du SDPJ, à Bobigny. Quatre d’entre eux sont déjà bien connus des services de police pour trafic de stupéfiants.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal