Publié le 9 Avril 2013

school.jpgPas moins de quinze villes ont été retenues par Jean-Louis Brison, le directeur académique du département de la Seine-Saint-Denis, pour accueillir une classe réservée aux enfants de moins de 3 ans : Epinay, La Courneuve, Villetaneuse, deux classes sur Saint-Denis, Saint-Ouen, Stains, Aulnay-sous-Bois, Le Blanc-Mesnil, Sevran, Tremblay-en-France, Bobigny, Montreuil, Pantin, Bondy et Noisy-le-Grand. « J’ai choisi parmi les quartiers les plus sensibles où la scolarisation à moins de 3 ans peut apporter un véritable intérêt pour l’enfant comme pour les parents », souligne Jean-Louis Brison. « Il y aura une montée en charge progressive jusqu’à atteindre 24 élèves maximum par classe. » Chaque année, il y aura 16 instituteurs supplémentaires dévolus aux moins de 3 ans.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 9 Avril 2013

fibre.jpg84 814 foyers seront reliés au très haut débit dans le nord-est de l’Ile-de-France d’ici à 2020. C’est ce que prévoit l’avenant signé hier à la région avec les départements de la Seine-Saint-Denis et du Val-d’Oise concernant Debitex. Cet établissement public travaille depuis 2009 au déploiement de la fibre optique dans 13 villes du 95 et 14 villes du 93* délaissées par les grands opérateurs. Jusqu’à présent, seules les zones d’activités et les lieux publics étaient concernés. Grâce à cet avenant, les particuliers aussi auront la fibre!

* Aulnay-sous-Bois, Tremblay, Villepinte, Sevran, Vaujours, Coubron, Clichy-sous-Bois, Le Raincy, Montfermeil, Gagny, Neuilly-Plaisance, Neuilly-sur-Marne, Gournay et Noisy-le-Grand.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Technologies

Publié le 9 Avril 2013

francois-hollande-lunettes-soleilJusqu’à quand pourra-t-il tenir ? Telle est la question qui se pose désormais à F.Hollande.

Celui qui n’aime pas trancher dans le vif, et qui pense bien volontiers qu’il n’y  a pas de problème dont l’absence de solution ne finisse par venir à bout, est-il prêt à opérer ce grand saut dans l’inconnu, dont il répugne pourtant à se résoudre. A savoir, nommer un gouvernement resserré sur la base d’une nouvelle politique en prise sur les réalités  d’une société ouverte qui ne se plie pas aux dogmes d’un autre âge.

Mais est-il véritablement maître du temps qu’il semble vouloir s’accorder ? A la lumière des affaires récentes, on peut légitimement en douter.

Faudra-t-il de nouvelles révélations pour qu’il se décide enfin à agir et tirer les conséquences  d’un début de mandat si décevant que sa côte de popularité  a plongé, en très peu de temps, dans des abimes inconnus jusqu’alors.

Un Premier ministre en manque de charisme et d’autorité. Un gouvernement tirant à hue et à dia, ballotté par les événements, inaudible hormis dans les cacophonies à répétition, et inexpérimenté, à de rares exceptions près. Que lui faut-il de plus ? Des députés, notamment les plus jeunes d’entre eux, qui, de retour de leurs circonscriptions, commencent à tirer la sonnette d’alarme ? Encore faudrait-il que le Président « normal » prenne l’exacte mesure de la situation et assume pour lui-même l’éthique de responsabilité si chère à Max Weber.

Qu’il accepte aussi d’être bousculé dans ses certitudes dont il mesure encore mal les pesanteurs et leur caractère désuet.  Oubliant les leçons du véritable Marx, pour lequel  il ne peut y avoir d’évolution des « rapports de production » sur l’affaiblissement des « forces productives », il a cru, en effet, que ses incantations pouvaient lui servir de viatique. Normal, me direz-vous, de la part de quelqu’un qui a toujours fait carrière dans la fonction publique  et qui ignore à peu près tout de la sphère productive réelle et de ce que sont les usines, les entreprises, leurs actionnaires, leurs salariés et leurs clients.

Peut-être, mais il n’est jamais trop tard pour apprendre et s’apercevoir que l’on s’est trompé. A l’heure, où, lors de sa dernière intervention télévisée, il s’affirme comme le Président de tous les français, ne pourrait-il pas, enfin, en tirer les conséquences en appliquant les méthodes d’un « manageur » moderne, rassemblant toutes les forces du pays au service d’un véritable redressement en actes et non plus seulement en paroles. Nul doute que s’il avait été, à la tête d’une entreprise privée, sur la vue de son bilan, il aurait été, aujourd’hui, remercié et renvoyé à ses chères études.

A ce jour donc, sauf à ce qu’il envisage de remettre, lui-même, son mandat en jeu, ce qui est assurément très improbable, il ne lui reste plus qu’à appliquer, enfin, ce qu’il avait promis lors de son élection, à savoir nommer un véritable Premier ministre chargé de diriger un gouvernement et conduire la politique de la nation, conformément aux institutions de la V° République.  Avec si possible, à sa tête et en son sein, des gens dont l’intégrité et  la compétence sont reconnues. Capables de diriger des équipes. Capables de tenir un cap. Capables de restaurer la confiance. Capables d’entraîner les citoyens dans un juste effort dont ils verront rapidement les fruits. Pas forcément issus des milieux politiques traditionnels.  Jusqu’à présent, en manque criant de vision et d’autorité saura-t-il profiter des difficultés actuelles pour mieux rebondir ? Ceux que certains appelaient « culbuto » en raison de sa capacité à surfer sur l’événement saura-t-il saisir sa chance et reprendre la main ? Mais, à la lumière de la gestion de son premier gouvernement, n’est-ce pas trop lui demander ?

Nous verrons bien. Qui prend les paris ?

Veritis

 

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 9 Avril 2013

quick.jpgAujourd’hui Quick ouvrira à Aulnay-sous-Bois au niveau du carrefour de l’Europe son 10e établissement dans le département de Seine-Saint-Denis. Avec 81 restaurants, l'enseigne renforce sa présence en région Île-de-France.

L'exploitation du restaurant a été confiée à Éric Azan, déjà franchisé de huit autres restaurants dont un à Villejuif en région parisienne et sept autres sur Paris. Avec une surface de 470 m² et une capacité de 131 places assises en salle et 50 en terrasse, ce nouveau restaurant a permis l'embauche de 40 personnes. Le recrutement a été effectué en partenariat avec le Pôle emploi d'Aulnay-sous-Bois.

 

http://groupe.quick.fr

Source : http://www.lhotellerie-restauration.fr

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 9 Avril 2013

Violon-et-Piano640x480.jpgLes dernières sonates pour violon et piano de Mozart sont toutes dignes de prendre place aux côtés de ses derniers chefs-d’œuvre symphoniques et des quintettes à cordes. Bien loin des pièces destinées à l’origine au marché des amateurs, la Sonate en si bémol majeur K.454 montre un certain nombre de raffinements d’écriture propres aux œuvres de la maturité.

La Sonate n°9 en la majeur est la plus célèbre entre toutes celles dédiées à l’instrument par Beethoven. Dite « à Kreutzer », elle fut surnommée ainsi à partir de 1805, lorsque Beethoven dédia l’œuvre à « l’habile violoniste » français Rodolphe Kreutzer qu’il avait rencontré à Vienne en 1798. Les œuvres sont jouées sur instruments d’époque.

Ce soir à 20h30 au conservatoire de musique d’Aulnay-sous-Bois. Entrée libre. 

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 8 Avril 2013

 


Nous poursuivons notre couverture vidéo du passage de M. Pokora et la troupe de la comédie musicale Robin des Bois au centre commercial O’Parinor d’Aulnay-sous-Bois samedi après-midi avec la chanson intitulée : A nous. Pour mémoire le spectacle dans sa version finale débutera à partir du 26 septembre 2013 au palais des congrès de Paris avant une tournée dans toute la France.

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 8 Avril 2013

C'est parfois un petit signe de rien, plusieurs boîtes aux lettres sur une même grille quand les maisons voisines n'en possèdent qu'une. Des allées et venues plus nombreuses aussi dans ces quartiers tranquilles. Mais la plupart du temps, rien ne distingue ces pavillons de leurs semblables. Et pourtant, depuis deux ans, les villes de banlieue voient se développer un nouveau phénomène du mal-logement : la location à la découpe dans les zones pavillonnaires.

nombreuses-boites-aux-lettres.jpg

Au milieu des pseudo-villas "Sans souci" aux prétentieuses colonnes doriques, des petites maisons ouvrières "Marceline" ou "Ginette" avec leurs nains de jardin ou encore les belles meulières des années 1930 derrière leurs troènes, se nichent de nouveaux taudis : un pavillon, divisé en quatre ou cinq appartements, loués chacun entre 600 et 800 euros selon les communes, sans déclaration à la mairie ni respect des normes sanitaires. La cible ? Une population pauvre qui ne trouve pas à se loger ailleurs et ne se plaint pas, vivant dans la peur de perdre son toit.

"Ce processus de densification spontanée, accompagné d'une "taudification" de l'habitat dans les tissus pavillonnaires est avéré dans plusieurs communes qui accueillent des populations défavorisées", explique Anastasia Touati, doctorante à l'Ecole nationale des ponts et chaussées.

Ainsi, en Seine-Saint-Denis, les communes d'Aulnay-sous-Bois, Tremblay-en-France, Sevran, Romainville, Montfermeil, Pavillons-sous-Bois seraient touchées. Dans l'Essonne, le phénomène émerge à Grigny et, dans les Yvelines, à Trappes et à Saint-Quentin. On le retrouve à Goussainville, Gonesse, Villiers-le-Bel, dans le Val-d'Oise, à Chelles et Villeparisis, en Seine-et-Marne, ou encore à Orly, Choisy-le-Roi et Villeneuve-le-Roi, dans le Val-de-Marne.

C'est une partie significative de la moyenne couronne qui est ainsi concernée, dans cette banlieue pavillonnaire modeste qui s'est développée successivement dans les années 1940, au lendemain de la guerre et dans les années 1970. Contrairement à la proche banlieue, on y trouvait des grandes parcelles, peu chères, sur lesquelles les ménages, "sortis des cités" ou fuyant la grande ville, pouvaient s'offrir leur maison. Le pavillon avec son bout de jardin et sa balançoire pour les enfants était alors une valeur de standing pour cette France des "petits-moyens"titre de l'ouvrage collectif des sociologues Marie CartierIsabelle CoutantOlivier Masclet et Yasmine Siblot (La Découverte, 2008).

Avec l'extension des gares, la création de zones d'activités économiques autour des aéroports parisiens, ces zones pavillonnaires sont devenues plus accessibles et proches de l'emploi. Les pavillons y ont souvent vieilli avec leurs habitants et, quand ils sont mis en vente, ils constituent désormais un bon placement pour qui veut faire de l'argent rapidement : "Certains marchands l'ont bien compris : avec une maison de 140 m2, ils arrivent à faire quatre F2 en utilisant les combles. C'est très rentable et les opérations se succèdent, car il y a de la demande", explique Benoît Le Foll, pilote du Centre d'études techniques de l'équipement de Normandie.

On ne parle pas ici de la sous-location que peut faire un couple de retraités pour arrondir ses fins de mois. Mais d'acquéreurs qui veulent faire de l'argent rapidement. Leur profil semble un peu partout le même : des petits commerçants, des petites entreprises de BTP ayant un peu de cash, qui obtiennent très vite des prêts bancaires qu'ils remboursent avec les loyers perçus et qui repèrent les maisons à acheter par les agents immobiliers de leur réseau professionnel.

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PETITE MAFIA ARTISANALE

Les clients sont légion : étudiants, jeunes travailleurs, stewards ou personnels travaillant dans les aéroports, familles aux faibles revenus trop contentes de s'offrir aussi un logement en dehors des zones urbaines denses...

Une petite mafia artisanale, parfois en réseau communautaire faisant venir ses compatriotes, a su aussi prospérer sur la misère. "Dans certains cas, le business est porté par des familles ou des réseaux familiaux qui achètent ensemble le patrimoine et le rentabilisent avec des pavillons utilisés avec des familles entassées dans les moindres recoins", raconte Xavier Lemoine, maire UMP de Montfermeil. On trouve ainsi "à louer" des abris de jardin, des garages, des caves...

Certains poussent l'arnaque un cran plus loin : comme à Sevran, où un pavillon a été transformé en dortoirs, dans lequel le propriétaire loue des lits. "Ce sont les nouveaux marchands de sommeil. Comme il n'y a plus de construction de foyers de travailleurs migrants, la demande est forte. A 400 euros le lit, c'est le scandale absolu", assure Stéphane Gatignon, maire EELV de la commune.

"On est face à des gens sans scrupule qui profitent de la crise du logement en proposant un logement moins cher à des familles à la rue", remarque aussi Martine Bescou, adjointe au logement du maire Front de gauche de Tremblay-en-France. "Dans ces réseaux, on a découvert que des agences immobilières s'étaient spécialisées, des notaires étaient impliqués ainsi que des banques qui font des prêts défiant toute concurrence", dénonce Cécile Madura, première adjointe PS à Goussainville.

Les maux de ces nouveaux taudis sont un peu partout les mêmes : humidité, isolation défaillante, installations électriques saturées, surcharge des réseaux sanitaires... jusqu'au stationnement de voitures sans parking qui rend la circulation difficile. "Les élus s'inquiètent, car pour le voisinage, c'est vécu comme une dégradation du quartier et l'arrivée de ces populations plus modestes, c'est aussi moins d'impôts et des dépenses publiques en plus", souligne Eric Charmes, directeur de recherche à l'Ecole nationale des travaux publics de l'Etat.

L'ensemble des acteurs s'accordent pour expliquer que lutter contre ces nouvelles locations à la découpe demeure compliqué, car la législation n'a pas prévu une telle utilisation du bâti individuel.

TENDANCE À FERMER LES YEUX

La division d'un pavillon en plusieurs logements, non accompagnée de travaux extérieurs, n'est pas soumise à autorisation préalable auprès des services d'urbanisme. Seule demeure l'obligation de respecter le plan local d'urbanisme qui impose, par logement, des contraintes de construction, de stationnement et d'espace vert disponible. Mais, parmi ces nouveaux marchands de sommeil, peu de propriétaires le font. Les services municipaux découvrent souvent l'existence de ces contrevenants lors des inscriptions à l'école, les rattachements demandés à ERDF ou les interventions des services d'hygiène. Les listes d'habitants fournies par l'Insee permettent aussi parfois de découvrir ces nouveaux logements collectifs.

Conscients de l'effet négatif que ces nouveaux taudis donnent à l'image de leur ville, certains élus préfèrent les ignorer. Une tendance à fermer les yeux, car les procédures judiciaires sont longues et difficiles et que ces maires n'ont souvent pas de solution de relogement.

D'autres ont décidé d'attaquer ces constructions non conformes. C'est le cas de la commune de Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis) qui a mis en place un groupe de travail pour croiser les données des différents services et repérer les infractions. A Aulnay-sous-Bois, la ville dresse des procès-verbaux d'infraction au plan local d'urbanisme en s'appuyant sur la liste des déclarations de logement aux impôts et saisit systématiquement le procureur.

Idem à Goussainville où quinze propriétaires ont été condamnés pour"changement d'affectation" ou "augmentation de la capacité d'habitation" du bien immobilier. Là, les services de la ville vérifient les déclarations d'achèvement de travaux pour traquer les contrevenants. "Dès qu'on voit un tas de sable devant une clôture, on s'inquiète", admet Mme Madura.

Source : Sylvia Zappi Le Monde.fr 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Logement

Publié le 8 Avril 2013

battleVNR-copie-1Un membre du conseil administratif  de l’association aulnaysienne Les Voies de la Nouvelle Rue a transmis à la rédaction d’Aulnaylibre ! une lettre d’indignation concernant sa situation. En effet, cette structure a contacté le bureau du maire pour un rendez-vous à plusieurs reprises depuis le 18 mars dernier, sans succès. Cet état des choses fait planer le doute sur l’organisation de l’édition 2013 du Battle VNR, événement incontournable de la scène Hip Hop. Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous de ce courrier adressé aux membres du conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois

« Mesdames et messieurs membres du conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois,

Alors que pourrait se célébrer la dixième édition de notre manifestation annuelle, nous sommes consternés de l’état d’avancée de notre collaboration pour la réalisation de l’édition 2013 du Battle VNR. Aussi vis-à-vis du trouble actuel que nous ressentons, nous souhaiterions vous rencontrer afin que s’éclaircisse le positionnement de la ville d’Aulnay-sous-Bois. En effet, nos discussions se sont arrêtées à une réunion en date du 15/09/2012 pour le bilan de l’édition 2012 avec les référents de la ville.

A ce jour, aucun des services et structures associés de la ville ne nous officialise une décision.

D’une part, nous sommes pressés d’opérer une réservation du gymnase Pierre Scohy. D’autre part, l’idée d’un passage en biennale serait évoquée. Incohérent… Nous avons acté au fil du temps la multiplication des référents. Ceci allant dans le sens des multiples objectifs que ce rendez-vous annuel rempli, ceci allant dans le sens d’une volonté jusqu’ici partagée de rassemblement et de développement. Cette transversalité entre services et structures, qui pourrait être particulièrement souhaitable en ces temps contraints, s’illustre dans les faits par ce qui pourrait sembler être pour le moins un défaut d’appropriation du projet, pour le pire des enjeux de pouvoir. Certes sur le temps de réalisation, nos efforts sont loués sur les questions de fréquentation et de mixité des publics. Du local à l ‘international, nous portons particulièrement un sens à notre volonté d’ancrage local, un sens à notre attachement à la valorisation d’une mémoire locale collective. C’est tout cela qui est mis à mal par les conditions de mise en œuvre actuelle.

Effectivement, si le Battle VNR s’est imposé comme une manifestation d’envergure, il demeure un des moteurs de notre activité annuelle en direction des publics, principalement jeunes. L’exigence artistique que nous y portons se conjugue à la meilleure ambition pour les jeunes dans un lien le plus souvent entretenu avec leur famille. Sans nous soustraire à un échange de point de vue qui resterait à tenir, nous excluons telle quelle l’idée d’une biennale dans la mesure où le cœur de notre jeune public, a besoin d’une offre continue à la faveur de son épanouissement et de son émancipation. Il s’agit d’être facteur de lutte contre le déterminisme social. C’est l’ambition d’y œuvrer au quotidien qui anime les artisans de la culture que nous sommes.

L’état des échanges actuels laisse place aux plus grandes inquiétudes et il nous est difficile de qualifier ce terrible flottement. Il y a désormais urgence de préserver la richesse et la diversité culturelle mises en lumière à Aulnay-sous-Bois.

Pourquoi sacrifier un événement culturel qui a mis Aulnay-sous-Bois sur la carte depuis 2003 et en 9 éditions, qui est reconnu comme un rendez-vous majeur et singulier pour les pratiques artistiques dans lesquelles nous œuvrons ? S’agit-il de la mauvaise volonté de quelques personnes, de sombres raisons financières ?

Que d’émotions… Nous sommes désolés, troublés, choqués. Dans le genre c’est du grand art.
La méthode pourrait à terme nous faire penser au dicton « Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage »
Quelle tristesse ! Quelle déception ! Quel gâchis ! Tels sont actuellement les sentiments qui accompagnent la préparation de notre 10ème édition.

Plutôt qu’imaginer les hypothèses les plus sombres, nous nous en remettons à un échange franc et direct avec vous. Il nous faut sortir de cette crise par le haut. Bon sang, on parle là d’un événement culturel majeur d’Aulnay-sous-Bois, réputé au niveau national et international !

Nous osons croire que vous ferez tout votre possible pour nous rencontrer au plus vite avant d’engager toutes les personnes qui se sentent concernées à se manifester également.

Je vous prie de croire, Mesdames et messieurs membres du conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois, en ma considération.

Emery ONDZIE

Président de l’association Les Voies de la Nouvelle Rue. »

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Associations

Publié le 8 Avril 2013

ethiquebebe.pngDans leurs petits souliers nos donneurs de leçons, toujours prompts à s’emporter, à vitupérer, à éructer ! Diable, quel silence assourdissant !

Autrefois, ils vitupéraient contre cet Etat qui  asphyxiaient les Collectivités locales et les privaient de ressources.  Aujourd’hui et pour cause, sous l’empire de la nécessité, ils subissent le même sort mais sont doux comme des agneaux. Parce que leurs amis sont à la tête de l’Etat, ils ont la mémoire courte : le hold-up de jadis est devenu le signe d’une gestion rigoureuse…

Autrefois, ils affrétaient des cars pour protester violemment contre la réforme des retraites. Aujourd’hui, ils s’apprêtent à prendre des mesures identiques pour sauvegarder le régime des retraites, sous la double contrainte d’un allongement de la durée de vie et d’un chômage persistant qui prive les caisses des cotisations nécessaires.

Autrefois, ils n’avaient pas de mots assez durs pour fustiger, à juste raison, les relations de consanguinité entre le pouvoir et l’argent. Aujourd’hui, ils s’aperçoivent, ou plutôt font mine de s’apercevoir, qu’ils hébergent eux-mêmes  de tels comportements. Horreur ! Nous ne savions pas. Nous avons été bernés, roulés dans la farine…disent-ils ! Alors que tous ceux qui fréquentent les petits cercles parisiens savaient déjà depuis fort longtemps…

Autrefois, ils nous disaient qu’ils allaient supprimer le cumul des mandats. Aujourd’hui, ils reportent une telle mesure à la fin de la mandature !...Et pour cause, il y a tellement de cumulards, qu’ils se sont aperçus que cela risquait de modifier les équilibres des deux Assemblées....

Autrefois, ils dénonçaient la « com » de leurs adversaires. Aujourd’hui, réduits à l’impuissance de leurs actions et de leurs résultats, ils reprennent le même type de comportement et reprennent à l’envi des « éléments de langage » appris par cœur et repris en boucle par les medias.

Autrefois, ils dénonçaient la finance, à grands coups de slogans réducteurs. Aujourd’hui, et comme cela était prévisible, ils composent avec elle, ne serait-ce que par réalisme ou nécessité, en adeptes du double discours qu’ils ont toujours pratiqué : celui qu’ils pensent nécessaire pour attraper les voix (je n’ose dire les gogos, car cela va m’attirer les foudres de la « bienpensance » de gauche) et celui qu’ils adoptent, une fois parvenus au pouvoir…

La liste pourrait être bien plus longue. Mais à chaque jour suffit sa peine !....Ethique et toc ? Ethique en toc, plutôt !

Veritis

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 8 Avril 2013

signal dalarme sncfAndré Cuzon, président de l’association Aulnay Environnement, nous a transmis un communiqué annonçant la création d’un collectif unitaire sur les villes du RER B d’Aulnay à Mitry et Roissy. Nommée A LARME RER B cette structure appelle les usagers à s’indigner et à se mobiliser face à leurs conditions de transports en commun dégradées. Ainsi sont déjà programmées une réunion publique le lundi 13 mai à la salle Dumont (Aulnay) et une grande manifestation le vendredi 7 juin à la gare d’Aulnay-sous-Bois.

A LARME RER B !

USAGERS et CITOYENS :

voilà ce qui vous attend dans les prochains mois …

Ce qui va changer le 2 septembre 2013

En septembre prochain, le STIF nous annonce le passage du RER B en omnibus, arrêt à chaque station entre Paris et Roissy / Mitry, aux heures de pointe.

Avec l’omnibus, un service dégradé pour tous !

Pour les habitants entre Aulnay et Paris, un temps de trajet rallongé de 10 mn.

Pour les habitants des branches Roissy et Mitry, un temps de trajet rallongé de 15 à 25 mn.

Pour tous, l’illusion d’une meilleure desserte mais l’embouteillage sur les rails puisque l’engorgement à gare du Nord restera le même qu’aujourd’hui. Il n’y aura pas plus de trains entre Aulnay et Paris aux heures de pointe (20 maximum comme aujourd’hui).

Ce trajet rallongé se fera dans des trains retapés « en façade » (et non des trains neufs) dans lesquels 40 places assises ont été supprimées.

PEUPLE DU RER : INDIGNEZ-VOUS !

Les causes de la galère du RER B et de la ligne K, nous les connaissons : saturation due à l’augmentation de la fréquentation (+35% en 10 ans), manque d’investissement depuis 30 ans, engorgement avant le tunnel gare du Nord-Châtelet commun au B et au D.

Ce que proposent les associations pour une réelle amélioration dès aujourd’hui du RER B Nord

une négociation sur le passage à l’omnibus,

la suppression des trains directs Paris-Roissy aux heures creuses avec un arrêt à Aulnay,

le passage au ¼ heure des trains de la ligne K Paris-Aulnay-Mitry-Crépy-en-Valois en heures de pointe,

l’investissement immédiat dans le matériel roulant et dans les infrastructures.

 

MOBILISONS-NOUS !

Le collectif des différents comités et associations de défense des usagers de la ligne B vous invite :

à une rencontre publique le 13 mai prochain

à 20h00  dans la salle du Foyer Dumont à Aulnay

à une grande manifestation d’usagers le vendredi 7 juin

à 18h à Aulnay (hall et place de la gare).

Nous demandons tous les soutiens : associations, syndicats, élus, organisations politiques…

En mars 2012 le rapport parlementaire sur les RER demandait de :

« placer les usagers au centre du système »…

Sans attendre, nous devons mobiliser le maximum d’usagers, de citoyens.

Environnement 93, Nature Environnement 77 , Aulnay Environnement,

  Sevran, Livry-Gargan, Villepinte, Tremblay-en-France, Villeparisis, Mitry-Mory

Contacts DU COLLECTIF UNITAIRE  «  A LARME RER B »

Aulnay:    André Cuzon 0148661888 acuzon@wanadoo.fr

Villeparisis    Franck Rolland 0685271610 franckrolland@yahoo.fr

Sevran    Catherine Laussucq    0680017280    catherinelaussucq@free.fr

Mitry    Farid Djabali      0164678477  djabali.farid@neuf.fr

Nature Environnement 77    Benoit Penez    0623968388    benoit.penez@cegetel.net

Villepinte    René Durand        0148611329    rene.durand@durandandco.org

Environnement 93    Francis Redon   0143819637 francis.redon1@free.fr

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Transports

Publié le 8 Avril 2013

Usage des transports en commun plus élevé, recours importants aux deux-roues, stagnation de la voiture… Une enquête du syndicat des transports révèle que les Franciliens ont modifié leur façon de se mouvoir.

embouteillage-paris-1951-greve.jpg

Les Franciliens ont évolué dans leur manière de se déplacer. Nous utilisons beaucoup plus les transports en commun, le vélo a connu un retour en grâce inespéré et les motos et les scooters n’ont jamais été aussi nombreux. C’est ce que révèle l’enquête globale transport (EGT 2010), pilotée par le Syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif), en partenariat avec la direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement (Driea), auprès de 43000 personnes. 

Les transports en commun en hausse. Le principal constat concerne l’utilisation des transports en commun, dont la forte augmentation en dix ans (+ 21%) témoigne du succès de la politique de développement portée depuis plusieurs années par la région. Cette tendance devrait s’accentuer dans les années à venir avec le lancement des travaux du Nouveau Grand Paris, annoncé le 6 mars par le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault. Par ailleurs, si le « métro, boulot, dodo » existe toujours, sa prédominance tend à reculer. « Les résultats de l’enquête nous montrent qu’il n’y a plus vraiment de différences entre heures de pointe et heures creuses », analyse Pierre Serne (EELV), vice-président chargé des transports à la région. Nous devons donc travailler plus en profondeur avec les opérateurs (RATP, SNCF) sur la révision des grilles horaires, des mesures déjà mises en œuvre, comme le fait de maintenir la fréquence des dessertes sur le RER A la première quinzaine de juillet », précise-t-il.

La voiture recule dans Paris. En parallèle à la forte augmentation de l’utilisation des transports en commun, on constate pour la première fois une stagnation de l’utilisation de la voiture au niveau régional. Toutefois, sur ce point les situations restent très variables. A Paris, les déplacements en voiture ont reculé de 5%. Mais ils ont augmenté en petite couronne (+ 7%) et surtout en grande couronne (+ 10%). « Cela nous montre qu’il y a encore beaucoup de travail à faire en grande couronne, dont les habitants se sentent parfois oubliés. Dans ces zones, l’offre en transports collectifs reste clairement insatisfaisante », reconnaît Pierre Serne. Il admet qu’il y a « des territoires où la voiture est la seule solution ».

On pédale de plus en plus. La dernière décennie a été celle de la renaissance du deux-roues. L’utilisation du vélo a doublé dans la région, avec 715 000 déplacements quotidiens, dépassant ainsi le nombre de déplacements à moto ou à scooter. Effet Vélib’ oblige, les déplacements à vélo à Paris ont même triplé en une décennie. Une « preuve », pour Pierre Serne, que la région doit « continuer à favoriser son usage ».

Le scooter continue à séduire. Les moins sportifs se sont aussi massivement tournés vers les deux-roues motorisés, en augmentation de 34%. Particularité parisienne, les scooters y représentent 65% des deux-roues, tandis que les banlieusards privilégient les plus grosses cylindrées. « Dans la capitale, le scooter est devenu une solution pour des automobilistes excédés par les bouchons et le stationnement, confirme Pierre Serne. Mais cela pose aussi des problèmes de sécurité routière, notamment avec la multiplication des assimilés deux roues, type MP3, très puissants, et pour lesquels les utilisateurs ne sont pas forcément formés. » Au vu de ces résultats*, la région envisage de « modifier les ordres de priorité ». En l’occurrence, « concentrer les efforts sur la grande couronne », précise Pierre Serne, selon qui cette étude va aussi fournir des arguments pour « obtenir des changements de grille horaire ».

* Consultables sur www.omnil.fr.

Source : Le Parisien 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 7 Avril 2013

RD-CongoVenez découvrir la région des Grands Lacs et la République Démocratique du Congo cet après-midi jusqu’à 17h place de l’Eglise Saint-Sulpice à Aulnay-sous-Bois.

Hot-dogs, salades, taboulés, tourtes salées à déguster sur place, des jeux, des expositions, des animations et des groupes de chants vous seront proposés, ainsi que des boissons, des gâteaux et des produits du commerce équitable d’Artisans du Monde. 

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 7 Avril 2013

BOBIGNY. C’est un concert marathon auquel se préparent l’association d’action culturelle Zebrock et la salle du Canal 93 à Bobigny. Aujourd’hui, six heures de musique et un impressionnant défilé d’artistes sont prévus pour soutenir les grévistes de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois. Parmi eux, bien sûr, le rappeur Kash Leone, ouvrier au sein du site industriel (voir photo), Syrano, Volo, Merlot, Akli D, Thomas Pitiot, Bams, Johnny Montreuil… Les billets sont en prévente sur le site de Canal 93.

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Aujourd’hui, de 16 heures à 22 heures, à Canal 93, 63, avenue Jean-Jaurès, Bobigny. Entrée : 10 €. Rens. sur www.canal93.net.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 6 Avril 2013

 

C’était l’événement people local de l’après-midi. M. Pokora et la troupe de la comédie musicale Robin des Bois étaient en visite au centre commercial O’Parinor d’Aulnay-sous-Bois. Dans une ambiance surchauffée et une foule compacte ils ont fait le show en interprétant quelques morceaux dont la chanson le jour qui se rêve. La rédaction d’Aulnaylibre ! qui passait par là vraiment par hasard vous propose de revivre cet événement via plusieurs séquences vidéos tournées sur place. 

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 6 Avril 2013

Le printemps n’est pas encore arrivé à Aulnay-sous-Bois. Du moins ne se traduit-il pas dans les températures observées en notre belle commune présentement. Néanmoins les plantes, elles, commencent à pointer le bout de leur nez dans les jardins comme le prouve ce cliché envoyé par une fidèle lectrice d’Aulnaylibre ! Voici donc de jolies primevères. Puissent-elles vous apporter un peu de couleurs dans un environnement amené à être de plus en plus bétonner…

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Environnement

Publié le 6 Avril 2013

Vous trouverez ci-dessous l’intervention d’Alain Amédro (photo ci-dessous), conseiller municipal d’opposition Europe Ecologie Les Verts à Aulnay-sous-Bois et par ailleurs vice-président de la région Ile-de-France, prononcée lors du conseil municipal du 21 mars dernier. Elle s’intitule Développement durable : passons à l’action ! maintenant !

 

Développement durable : passons à l’action ! maintenant ! 

Conseil municipal du 21 mars 2013 :

Intervention d’Alain  AMEDRO sur le rapport du développement durable

 

alainamedrojpgLe Maire ayant instauré un temps de parole très limité par groupe, pour intervenir sur des sujets aussi importants que : le compte administratif, le budget, le bilan des cessions et le rapport du développement durable,  peu de temps a pu être consacré au dernier point. C’est pourquoi, nous avons souhaité revenir sur l’intervention d’Alain AMEDRO sur le rapport du développement durable.

Ce rapport comporte de nombreux points de détails intéressants et il faut remercier les services qui ont fait de nombreux efforts que l'on peut constater en filigrane. Hélas, pris dans sa globalité le rapport ne répond absolument pas aux enjeux auxquels il prétend se confronter.

Une démarche avortée

L’agenda 21, on le sait, est une démarche qui a avorté faute de participants sans doute découragés par la récupération politicienne de la démarche et, comme il n’y avait que 3 ou 4 personnes dans les réunions, vous avez décidé d’arrêter et pourtant vous faites un beau rapport qui n’est pas fait par la Direction du Développement Durable mais par la communication, ça se sent.

Fuite en avant de la communication

On est dans une fuite en avant de la communication. Le développement durable, c’est un travail en profondeur et c’est loin de ce que vous faites. C’est assez triste parce que, nous, qui connaissons bien les services, notamment ceux des espaces verts, mais aussi ceux qui travaillent dans le domaine social pouvons dire qu’ils se sont engagés avec nous dans toute une série de politiques loin de la communication mais sur le réel. Le service des espaces verts, la Maison de l’Environnement, le service social, se sont sincèrement impliqués et depuis très longtemps dans une démarche d’amélioration environnementale.

On a un super support : « Oxygène », chargé de propager les louanges de l’exécutif, mais  la réalité c’est quoi :

► des actions qui ont été engagées par les services avant 2008,

► des actions qui sont engagées par l’état, la région et d’autres entités étrangères à la municipalité (par exemple : le décret gouvernemental d’extinction des lumières des enseignes la nuit , les actions du STIF, etc…),

► des actions déjà annoncées depuis longtemps et qui ont vu leurs prétentions considérablement réduites : les aliments bio dans les cantines sont au nombre de deux par semaine plus le pain, or en 2011, la mairie avait annoncé dans Oxygène « 100% de bio dès 2012 ». De très nombreuses actions à l’impact anecdotique donc on nous dit qu’elles sont réalisés à 100%, ça n’est pas une approche sérieuse des enjeux,

► des actions qui ne sont que l’application de la loi, comme la norme ambitieuse BBC , c’est les normes en terme énergétique 2012 qui s’appliquent à tout le monde or, sur Arc en ciel, les choses ont été faites sans répondre à ce type de critères,

► des actions qui sont aussi en contradiction avec les actes sur le terrain. Vous parlez de favoriser l’épanouissement de chacun alors que les employés municipaux sont traités avec autoritarisme et nombre se disent mal dans leur travail et je vous en ai parlé tout à l’heure,

► donc des actions aussi qui sont présentées comme faussement réussies, c’est la cité Arc en ciel (page 37) qui est présentée comme « conçue pour s’insérer harmonieusement dans l’environnement du quartier ». Je pense que cela a du faire plaisir à un certain nombre alors qu’on se souvient tous ici de la manière dont vous aviez présenté le projet qui était A et qui est ressorti A, malgré les remarques qui vous avaient été faites notamment par moi en tant qu’Adjoint à l’urbanisme en disant « Oui, il faut construire mais on peut construire autrement. Remettons l’objet sur l’établi de l’architecte et regardons comment on peut garder y compris les arbres et l’espace vert », c’est ce que vous n’avez pas fait. Aujourd’hui, la population nous dit qu’elle manque d’espaces de jeux pour les enfants.

► Pire, des actions qui n’ont rien à voir avec le développement durable : « une ville éco responsable et engagée » soit disant et qui vante le projet de Multiplexe à O’Parinor alors même que le service public du Blanc Mesnil, de Tremblay, d’Aulnay va être mis à mal par ce projet.                                                          

L’importance des ambitions écologiques revendiquées dans ce document de propagande, sont en contradiction avec la réalité de l’ampleur des actions. Or, ce n’est pas de la communication que les aulnaysiens demandent mais del’action concrète.

On est loin, là encore, du développement durable au contraire, on est dans une démarche qui casse la proximité donc l’important c’est de porter des actions concrètes face aux enjeux planétaires. L’homme vit grâce à un cycle de vie, grâce à un éco-système sur la terre. Or, l’activité des hommes menace directement la stabilité de cet éco-système. On n’a pas l’impression que vous ayez pris conscience de l’ampleur de la tâche qui est devant nous.

Ainsi le productivisme, qui érige comme Dieu la consommation, réduit directement, mois après mois, le potentiel de vie sur notre planète. Le détournement des valeurs écologiques et les divisions entretenues entre les hommes (et je pense que l’action locale est très néfaste sur ces points) ne peuvent que retarder la nécessaire mobilisation citoyenne inéluctable pour entamer une véritable transition écologique, meilleur rempart pour les plus faibles face aux menaces climatiques. La prise de conscience effective de l’ampleur de ces enjeux est, dans les faits, absente de ce rapport dont le principal objectif est de nous servir une fois de plus de la communication.

 

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Conseil municipal

Publié le 6 Avril 2013

Les journées des métiers d’art se déroulent ce week-end à Aulnay-sous-Bois avec un programme particulièrement alléchant que nous vous invitons à découvrir ci-dessous :

samedi 6 avril et dimanche 7 avril de 11h à 19h, portes ouvertes à l’ate­lier Alli­bert (17 rue du Havre) : fabri­ca­tion de car­casses d’abat-jour et d’objets en fil de fer. Tous les détails ici.


samedi 6 avril et dimanche 7 avril de 11h à 19h, portes ouvertes à l’atelier de Fran­cine Her­billon (115 rue Maxi­mi­lien Robes­pierre), céra­miste. Tous les détails ici. (voir nos vidéos par ailleurs).

samedi 6 avril et dimanche 7 avril de 11h à 19h, Fran­çois Chaillou, sculpteur/mouleur (invité au 115 rue Maxi­mi­lien Robes­pierre). Tous les détails ici.

samedi 6 avril et dimanche 7 avril de 11h à 19h, Bijoux Fée mains, Mari­sol Massé et Sté­pha­nie Stihlé, créa­trices de bijoux en pâte de bronze et cuivre (43 rue de la divi­sion Leclerc, dans le réfec­toire de l’école Non­ne­ville 1). Tous les détails ici.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 6 Avril 2013

planetefete.pngA l'occasion de la semaine du développement durable, la ville d'Aulnay-Sous-Bois fête la Planète cet après-midi de 14h à 18h à la Ferme du Vieux Pays. Cet évènement festif et familial regroupera plus de vingt partenaires.

Au programme :

22 stands d'animations, jeux, quizz :

- ateliers scientifiques sur l'énergie 
-  concours de dessins 
-  fabrication de produits ménagers écolos 
-  atelier une planète en récup et un arbre géant 
-  découverte de la cuisine anti gaspi, des recettes et astuces pour moins gaspiller 
-  jeu du Kit tri 
- atelier illustration sur les thèmes énergie et déchets 
- animation pédagogique et ludique " électricité où sont les clefs ?" 
- fabrication cosmétique, réalisation d'objets utilitaires ou décoratifs à partir de déchets ménagers 
- simulateur d'éco-conduite sur scooter et véhicule 
- réalisation d'une fresque commune sur le thème des déchets

et bien d'autres surprises encore...

débats, conférences, expositions d'objets recyclés, présentation de la thermographie aérienne d'Aulnay, buvette et goûters bios seront aussi au rendez-vous. Sans oublier la présence exceptionnelle du groupe Zic Zazou qui vous proposera un concert à 16h30.

Tout est gratuit, vous êtes attendus nombreux, il y en aura pour tous les goûts et tous les âges.

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Environnement

Publié le 6 Avril 2013

Jusqu’à présent, ils étaient restés muets. Abdel Benjana et Fouad Guendouz répondent au maire PS d’Aulnay. Le 28 mars, Gérard Ségura a retiré à ces élus de la majorité leurs délégations, pointant leur inaction. L’un et l’autre n’occupaient pas la même place au sein de l’exécutif. Fouad Guendouz, 33 ans, était conseiller municipal délégué à la propreté. Abdel Benjana, 50 ans, 15e maire-adjoint a autrefois occupé le fauteuil de 1er adjoint au maire. Une fonction dont il avait démissionné en juillet 2011.
Les deux élus viennent de constituer un « groupe des conseillers municipaux indépendants » avec Alain Boulanger, autre transfuge de la majorité. Ils s’en expliquent.

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En constituant un groupe avec Alain Boulanger, vous passez dans l’opposition ?

ABDEL BENJANA. Absolument. Nous n’avons pas d’autre choix, après avoir été dans l’opposition « silencieuse ». Ce groupe nous permettra de nous exprimer dans le magazine Oxygène.

FOUAD GUENDOUZ. Je suis redevenu un élu libre, au service des Aulnaysiens, je n’ai rejoint ni la droite, ni l’UDI.

Le maire vous a reproché vos absences en conseil municipal. Que répondez-vous ?

F.G. Mon travail a joué, mais c’était aussi une manière d’exprimer mon désaccord. J’avais déjà présenté ma démission, il y a deux ans pour protester. Je n’approuvais pas la manière de procéder avec le personnel, à qui on disait blanc un jour, noir le lendemain et qu’on poussait à travailler dans l’urgence.

A.B. On m’a mis à l’écart dès le début, en 2008, sur les décisions importantes. On n’a pas tenu compte de mon avis sur l’implantation de l’entreprise chinoise Jimei, sur l’aménagement du terrain Renault. Le maire n’a jamais répondu à mes questions. Par solidarité de groupe, je n’ai rien dit en 2011 quand j’ai démissionné du poste de 1er adjoint. D’autres élus pensent comme nous, mais n’osent pas le dire.

Malgré vos absences, vous avez continué à percevoir vos indemnités d’élus (NDLR : 2200 € mensuels pour Abel Benjana, 800 € pour Fouad Guendouz)…

F.G. Je n’ai pas été élu pour l’argent. C’est Gérard Ségura, mon ancien prof, qui m’avait convaincu d’être sur sa liste. J’habite à Aulnay depuis ma naissance, j’avais pris ça comme un challenge.

A.B. Je n’étais pas au conseil, mais j’ai continué à agir pour des habitants.
M. Benjana, vous avez aussi été 
président de la Maison de l’emploi (Meife). La structure fait aujourd’hui l’objet d’une enquête préliminaire. Avez-vous été mis en cause dans cette affaire ?

A.B. Non, je n’ai pas été auditionné par la police. Lorsque j’étais président de la Meife, j’ai alerté le maire sur des dysfonctionnements. Je ne veux pas en dire plus en raison de l’enquête.

Source : Le Parisien

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Conseil municipal

Publié le 5 Avril 2013

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Une fidèle lectrice d’Aulnaylibre ! nous a envoyé ces deux clichés décrivant une situation qu’elle a jugé quelque peu insolite. En effet, à proximité de la Ferme du Vieux-Pays, quelqu’un a laissé, tel un vélo, un chariot à courses contre une rambarde dont l’usage habituel est d’éviter le stationnement intempestif des véhicules. Un bien curieux endroit pour stocker ses provisions, vous en conviendrez. Quoi qu’il en soit, cet objet est-il si précieux au point de nécessiter l’usage d’un antivol ? Et que se cachait-il à l’intérieur ? Nous ne sommes malheureusement pas en mesure d’apporter la moindre réponse à ces questions… 

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 5 Avril 2013

cheque_lire-A_01.jpgLa ville d’Aulnay-sous-Bois est partenaire de l’opération « chéquiers, lire, écrire et grandir en Seine-saint-Denis », dispositif renouvelé par la Caisse d’Allocations Familiales tous les deux ans. Sous l’égide de la direction Enfance Jeunesse, ce sont plus de 562 jeunes qui ont bénéficié d’un chèque lire d’un montant de 45 euros le mercredi 2 avril. Ces derniers sont nominatifs et permettent l’achat de livres dans les libraires partenaires de l’opération. Signalons qu’une déclinaison de cette opération existe sous forme de concours d’écriture. Ainsi, le club loisirs du «Moulin de la Ville» y participe. Les résultats seront connus d'ici fin mai.

Source : aulnay-sous-bois.fr

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 5 Avril 2013

Paradis-fiscaux.jpgDécidément, les révélations  tombent comme à Gravelotte ! Pour Hollande, les emmerdes sont comme les vols en escadrille et s’accumulent dans un ciel passablement assombri…

En pleine affaire Cahuzac, le journal Le Monde, révèle en effet que le trésorier de campagne de F. Hollande possède un compte aux îles Caïmans, paradis fiscal s’il en est, pour abriter une société  dénommée « International Bookstores Ltd », filiale d’une société dénommée « Capital Concorde Ltd », holding qui gère toutes ses affaires chinoises, et elle-même filiale de son holding financier Eurane.

Tout cela serait parfaitement légal et réalisé à la demande de son partenaire chinois, paraît-il.

Mais là n’est pas le problème !

Quel est ce trésorier de campagne ? Un polytechnicien, énarque de la fameuse promotion de F. Hollande, ami de trente ans de ce dernier, et dont l’origine de sa fortune provient d’un parachute doré de 11 millions d’euros versé par la société de taxis G7, à la tête de laquelle il a été placé par A. Rousselet, ami intime de F. Mitterrand ! Ainsi la boucle est bouclée et le monde, à la fois dans le temps et dans l’espace, est bien petit…

Ainsi, de cercles en cercles, d’amitiés en amitiés, de fréquentations en fréquentations, ce sont toujours les mêmes que l’on retrouve : au-delà des pseudo étiquettes de droite ou de gauche, un petit monde agit au mieux de ses intérêts et au mépris des déclarations tonitruantes du genre : « Je n’ai qu’un seul ennemi, le monde de la finance qui n’a ni visage, ni passeport, ni bulletin de vote » comme le proclamait F. Hollande au meeting du Bourget en janvier 2012.

Les gogos pourront bien toujours gober ce genre de propos prononcés dans une kermesse électorale, la réalité, quant à elle, demeure toujours aussi implacable.

Les firmes dynamiques et mondialisées telles que Apple, Google, Facebook, etc….font tout pour échapper à l’impôt. Les placements de toutes natures, quelle que soit leur origine (chinoise, russe, américaine, africaine, européenne) essayent d’optimiser leur rendement fiscal, par l’entremise de paradis fiscaux, au mépris des Etats et des peuples. Aidés en cela par toutes les banques internationales, les cabinets d’affaires, les intermédiaires de tout poil, experts juridiques ou fiscalistes ! Et quand ce n’est pas le fruit de la corruption, de l’argent de la drogue, du commerce des armes ou de la prostitution !

Je n’ai rien contre ce Monsieur, qui, au demeurant, a l’air sympathique, et édite une revue de qualité intitulée « Books ». Mais tout cela est bien le signe d’une consanguinité malsaine, de pratiques qui dépassent les frontières et tous les clivages politiques, et font le lit de tous les populismes, si dangereux pour ce qui peut rester de nos apparentes démocraties, si mal en point.

Mais là, ou la « gauche » (on devrait plutôt dire la pseudo gauche) est le plus critiquable, c’est qu’elle se pare des « habits de la vertu » pour tromper le bon peuple,  c’est qu’elle brandit l’étendard de ses « valeurs morales » pour masquer des pratiques tout aussi condamnables.  Il n’est que de voir les petites combines qui régissent bien souvent les mœurs locales pour imaginer ce que sont les vastes trafics, les corruptions généralisées (notamment en Russie et en Chine, mais pas seulement là), les trafics d’influence, les fraudes de toutes sortes pratiquées à tous les niveaux  et mettant en péril les bases mêmes de toute société qui se respecte.

Surtout lorsque ceux qui sont censés défendre des valeurs telles que la probité, l’honnêteté et la justice, se retrouvent, eux-mêmes, pris la main dans le sac. Surtout lorsque ceux qui devraient donner l’exemple, sont, eux-mêmes, emportés par des tempêtes ou bourrasques médiatiques. Lesquelles ont l’immense mérite de révéler que derrière ou autour de ceux qui se proclament des « parangons de vertu » se cachent, en réalité, des hommes qui n’échappent pas à des  combinaisons ou montages interdits ou moralement répréhensibles.

Pour résumer, lorsque F. Hollande sort le gourdin fiscal qui matraque les honnêtes gens, certains de ses très proches en profitent pour se faufiler dans les arcanes de la finance internationale et passer entre les mailles d’un filet qu’ils ont soigneusement concocté à condition qu’eux-mêmes, bien sûr, puissent en réchapper ! Où est la vertu là-dedans ? Où est la morale ? Où sont tous ces discours et ces leçons données à la France entière ? Il est temps d’en finir avec cette hypocrisie qui n’a que trop duré.

Veritis

 

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 5 Avril 2013

Une entreprise de L’Hôpital, commune située en Moselle (57), livrera jeudi prochain l’ossature métallique du dôme de la future mosquée d’Aulnay-sous-Bois. Simetal a travaillé à sa réalisation depuis plusieurs semaines, après avoir remporté l’appel d’offres.

La structure mesure douze mètres sur douze pour une hauteur de six mètres. Une partie sera recouverte de produits verriers très épais. « Le plus difficile a été de respecter les tolérances d’assemblage », précise Jean Dacruz, le gérant.

Après les dernières finitions, elle sera transportée par camion et montée sur le toit de la mosquée à l’aide d’une grue mobile d’une capacité de 130 tonnes.

Source : http://www.republicain-lorrain.fr

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Urbanisme

Publié le 5 Avril 2013

LOGO-PEUGEOT-CITROEN-copie-2.gifLes grévistes qui ont perturbé mardi dernier des réunions de CHSCT (comité d’hygiène et de sécurité) au sein de l’usine PSA d’Aulnay ne seront finalement pas sanctionnés. La direction du site a levé les sept mises à pied annoncées, après de très longs pourparlers avec les grévistes, mercredi soir sous la houlette du directeur départemental du travail, Marc Leray, à Aubervilliers.

« Une seconde salve de réunions de CHSCT a pu se tenir sans problème le mercredi matin, c’est ce qui nous a amenés à annuler ces mises à pied », indique une porte-parole. « Il a fallu rappeler à PSA ce qu’était la notion de faute lourde. Elle ne correspondait pas du tout à l’action menée mardi », affirme Jean-Pierre Mercier, délégué CGT. Les grévistes, dont le mouvement a débuté mi-janvier, soutenus par CGT, Sud et CFDT locale, réclament toujours la levée des sanctions et menaces de sanctions à l’encontre de huit d’entre eux. Deux salariés ont déjà été licenciés et ont depuis porté leur dossier devant le tribunal des prud’hommes de Versailles (Yvelines). Ce dernier doit rendre une première décision aujourd’hui.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 4 Avril 2013

MPOKORA.jpgLe centre commercial O’Parinor devrait être en ébullition ce samedi 6 avril après-midi avec la venue de M. Pokora et la troupe de Robin des Bois ! Vous trouverez ci-dessous le programme complet de cet événement organisé en place orange :

Finale du casting de danse Robin des Bois

A partir de 14h, sessions de casting de danse avec Hakim Ghorab, l’un des chorégraphes du spectacle Robin des Bois pour recruter l’ultime danseur de la troupe de Robin des Bois.

Les 15 danseurs finalistes devront donner le meilleur d’eux-mêmes pour avoir la chance d’intégrer la troupe du spectacle Robin des Bois, en tournée à Paris dès le 26 septembre 2013 et dans toute la France dès 2014.

Showcase de la troupe de Robin des Bois

M. Pokora et la troupe de Robin des Bois donneront par ailleurs un showcase exceptionnel et éliront le grand gagnant du casting de danse.

Ils interprèteront les tubes de l’album du spectacle « Ne renoncez jamais », en vente à la Fnac depuis le 25 mars 2013.

Pour le plus grand plaisir des fans du spectacle Robin des Bois, un point de vente Fnac sera disponible en zone orange ce samedi 6 avril pour acheter tous les produits Robin des Bois : single, albums, places de spectacles…

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Fêtes et Cérémonies