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Publié le 5 Juin 2019

L’Oréal a inauguré son nouvel incubateur « L’Oréal MYT » à Aulnay-sous-Bois destiné à soutenir les projets et initiatives portés par les salariés de l’entreprise dans le domaine du digital. Cet espace de 700 mètres carrés, comportant 12 ateliers, permettra la gestion de 12 projets sélectionnés simultanément.

Il s’agit d’une nouvelle pierre dans la relation de confiance entre l’Oréal et notre ville. L’arrivée prochaine d’une nouvelle division L’Oréal Luxe dans l’usine Aulnaysienne contribuera à la modernisation du site de production avec un investissement de 15 millions d’euros sur notre territoire.

Le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, présent lors de cette inauguration, a chaleureusement remercié les équipes et collaborateurs de l’Oréal pour leur engagement dans notre commune. « Ce groupe est un acteur important de notre territoire qui représente un symbole mondialement connu et reconnu pour son excellence » a-t-il déclaré.

Source information et photo : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois

 

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Publié le 15 Mai 2019

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien paru dans son édition du mercredi 15 mai 2019. Il revient sur un événement important puisqu’hier le maire Bruno Beschizza a posé la première pierre de la future super piscine d’Aulnay-sous-Bois.

Pour lire l’article cliquez sur l’image.

Le maire Bruno Beschizza a posé la première pierre de la future super piscine à Aulnay-sous-Bois

Source article : journal Le Parisien

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Publié le 2 Avril 2019

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien daté de ce mardi 2 avril 2019. On y apprend qu’une condamnation à 18 mois de prison ferme a été prononcée suite à l’agression de deux roumains à Aulnay-sous-Bois, lors des rumeurs d’enlèvement d’enfants.

Pour lire l’article cliquez sur l’image.

Condamnation à 18 mois de prison ferme pour avoir tabassé deux roumains à Aulnay-sous-Bois

Source article : journal Le Parisien  

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Publié le 26 Février 2019

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien daté du mardi 26 février 2019. On y apprend que l’entreprise Chronopost compte employer 400 salariés sur l’ancien site PSA à Aulnay-sous-Bois.

Chronopost compte employer 400 salariés sur l’ancien site PSA à Aulnay-sous-Bois

Source article : journal Le Parisien

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Publié le 23 Février 2019

Quatorze candidates pour une seule couronne. Samedi soir à Aulnay-sous-Bois se tiendra l’élection Mademoiselle Ile-de-France. Des jeunes femmes de toute la région défileront devant un jury de 11 personnes, dont le mentaliste Frank Truong qui a participé à l’émission « La France a un incroyable talent » et des membres de la mairie d’Aulnay.

Pas de critère de taille ou de poids

L’élection Mademoiselle Ile-de-France existe depuis 2008 et est rattaché à l’élection nationale, Mademoiselle France. « C’est un concours qui est ouvert aux jeunes femmes de 16 à 21 ans sans aucun critère de taille ou de poids », explique Lucie Brizzi, du comité Mademoiselle Ile-de-France. Toutes les candidates passent cinq fois devant le jury, en différentes tenues, dont un passage « passion » : « Pendant une minute, chacune des prétendantes s’exprime sur sa passion, sur ce qu’elle aime », précise Lucie Brizzi.

Parmi les 14 candidates, deux viennent de Seine-Saint-Denis : Mélina Rapidie, 21 ans, habitante de Gagny (21 ans) et Laetitia Leray, 18 ans, de Noisy-le-Grand. « Quand j’ai vu qu’il n’y avait aucune restriction physique, je me suis dit pourquoi pas moi ? », explique Mélina, qui prépare une formation de responsable de secteur mode et beauté et qui travaille chez Hermès. C’est la première fois que les deux jeunes femmes participent à une élection notamment pour « prendre confiance » en elles. Toutes deux s’accordent à dire que l’élection est également « une aventure humaine et l’occasion de rencontrer des gens d’autres milieux ».

Samedi soir salle Pierre-Scohy, rue Aristide-Briand. Ouverture des portes à 19 heures et début du spectacle à 20 heures. Tarif : adultes 20 €, enfants (moins de 12 ans) 12 €. Informations au 06.37.40.00.04.

Source article et photo : journal Le Parisien

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Publié le 22 Février 2019

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien daté du vendredi 22 février 2019. On y apprend comment les policiers se sont rendus dans une société à Aulnay-sous-Bois, où ils ont découvert 900 kg de cannabis dans deux camionnettes.

Pour lire cliquez sur l’image.

Aulnay-sous-Bois : 1,5 tonne de cannabis saisie lors de l’arrestation d’un gang de trafiquants

Source article : journal Le Parisien

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Publié le 21 Février 2019

Le feu est parti accidentellement au deuxième étage d’un immeuble qui en compte quatorze.

Un grave incendie s’est déclaré accidentellement ce jeudi matin dans un immeuble d’Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Une personne âgée habitant au deuxième étage de l’immeuble est décédée.

Les pompiers de Paris, en charge de la capitale et des départements limitrophes, font savoir que deux de leurs hommes, âgés de 20 ans et 21 ans, ont été gravement blessés lors de l’intervention. Ils ont sept et neuf mois de service à la caserne d’Aulnay.

L’un des deux pompiers blessés a été héliporté vers l’hôpital Percy, à Clamart. Son pronostic vital est engagé.

Les soldats du feu expliquent également qu’ils ont procédé à «plusieurs sauvetages». Environ 150 hommes ont été mobilisés ainsi que 50 véhicules. Les flammes ont été maîtrisées vers 8 heures.

D’après BFM Paris, le sinistre s’est déclenché un peu après 7 heures du matin, au deuxième étage d’un immeuble qui en compte quatorze. Son origine est accidentelle. L’hypothèse d’une cigarette mal éteinte est envisagée.

Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, s’est rendu sur les lieux, confirmant le bilan. Il a expliqué que le feu se serait déclenché depuis le lit médicalisé de la personne décédée.

L’immeuble où le feu s’est déclaré est une copropriété très bien entretenue. Interrogé sur place, le maire d’Aulnay, Bruno Beschizza (LR), a expliqué qu’il ne «s’agit pas d’un problème d’insalubrité», mais d’un «accident» comme il en survient plusieurs dizaines par mois dans le département.

L’élu a ajouté que 80 personnes sont «accueillies dans un gymnase» et que les problèmes de relogement devraient être limités avec un rétablissement de l’électricité dans la journée. Christophe Castaner a précisé que la structure de l’immeuble n’a d’ailleurs pas été endommagée.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et image d'illustration : journal Le Parisien 

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Publié le 8 Février 2019

Un sans-abri de 45 ans a frôlé le pire, jeudi, alors qu’il squattait des locaux vacants du centre commercial du Galion. Des riverains ont aidé les secours à soulever le rideau de fer.

La scène ne dure que quelques secondes. Elle se déroule jeudi en fin d’après-midi, dans le centre commercial du Galion à Aulnay-sous-Bois. Aux cotés de pompiers en pleine intervention, on aperçoit un homme en civil haranguer des passants : « Allez les gars, venez, venez ! »

Cinq à six personnes rappliquent et aident les secours à soulever un solide rideau métallique. Les pompiers en extraient ensuite un homme, inconscient mais vivant.

Cet acte citoyen a été filmé par des habitants du quartier, qui ont publié la scène sur le réseau social Facebook. Accompagné du message : « Grand respect aux pompiers et aux gars des 3 000 (NDLR : le nom du quartier, également appelé Rose-des-vents) ».

« Jeunes et moins jeunes sont venus donner un coup de main »

Alertés peu après 17 heures, une trentaine de pompiers avait convergé sur place. On leur avait signalé que quelqu’un se trouvait dans le commerce, après y avoir accédé par le sous-sol.

« Il y avait beaucoup de monde sur place, et au moment où on essayait de faire levier pour relever le volet métallique, jeunes et moins jeunes sont venus donner un coup de main, c’est à souligner, et il faut que ça perdure », salue le commandant Gildas Le Coeur, porte-parole de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris.

Intoxiqué et souffrant de légères blessures, le blessé a été pris en charge par une équipe médicale de l’hôpital Robert-Ballanger, à Aulnay. Ses jours ne sont pas en danger.

D’après les relevés du laboratoire central de la police, le feu serait d’origine accidentelle. Mais la succession d’incendies récents interroge des habitants du quartier. Dimanche, les pompiers sont intervenus sur deux autres feux dans ce même sous-sol.

« C’est tout le monde qui a aidé ! »

Selon les habitués du Galion, le blessé s’appelle « Antonio ». Âgé de 45 ans, il aurait trouvé refuge tout récemment dans ces bureaux, qui abritaient il y a quelques années une agence de voyage.

Ce vendredi, dans le café situé juste en face des lieux de l’incendie, les clients ne veulent pas mettre en avant la bravoure d’un habitant plus qu’un autre. « C’est tout le monde qui a aidé ! » témoigne l’un d’eux.

« Il y avait plein de jeunes du quartier, et ils n’ont pas caillassé les pompiers, contrairement à ce qu’on entend parfois, poursuit Bachir, qui a fondé l’association Renaissance Galion 3 000. Ici, tout le monde respecte leur travail. C’est un superbe métier. »

Le centre communal d’action sociale a payé une nuit d’hôtel à deux hommes, qui dormaient dans le lieu incendié mais qui n’étaient pas sur place au moment de l’incendie. « On ne sait pas où aller, on remercie les gens qui nous aident, nous permettent de manger » explique l’un d’eux, rencontrés cet après-midi dans le quartier.

Ils sont natifs du Sénégal, âgés d’une vingtaine d’années. L’un dit être arrivé en France il y a quatre mois, l’autre il y a deux ans. « Et je n’ai jamais eu de logement », souffle-t-il.

« On ne veut pas qu’ils meurent de froid »

Seuls quelques commerces sont encore ouverts dans ce centre commercial promis à la démolition. « C’est nous qui avons ouvert le local pour permettre à ces personnes de dormir ailleurs que dans la rue, poursuit Bachir. On ne veut pas qu’ils meurent de froid. Si on ne les aide pas, c’est de la non-assistance à personne en danger. »

Cela fait presque quatre ans que ces locaux seraient vacants. Ce vendredi soir, c’est Bachir qui devait loger les deux jeunes hommes, privés de toit pour la nuit.

Source article et photo : journal Le Parisien / Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici 

 

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Publié le 11 Janvier 2019

A Aulnay, l’extrême vigilance de la police municipale aura permis d’arrêter trois suspects et de secourir un blessé grave. Dans la nuit de jeudi à vendredi, un vigile d’une quarantaine d’années, a été sauvagement poignardé dans les locaux d’une entreprise de recyclage. Il a été transporté à 3 h 30 avec un pronostic vital engagé à l’hôpital Avicenne à Bobigny. Il présentait plusieurs plaies saignantes dans le dos.

Une heure plus tôt, la police municipale aperçoit sur ses écrans de surveillance trois hommes en train de dissimuler un gros sac, au niveau de l’épicerie l’Epi d’Or. La police municipale d’Aulnay est sur le pont 24 heures sur 24 et a l’œil rivé sur les caméras reliées au centre de supervision urbain (CSU). Les policiers se rendent sur place et interpellent le trio. Dans le sac, ils découvrent des pièces de monnaie et des billets. Le tout pesant dix bons kilos.

Trois coups de couteau dans le dos

Progressivement un suspect commence à parler. Il explique qu’ils viennent de cambrioler une entreprise, une heure et demie plus tôt et qu’ils ont agressé le gardien. Dans la société SOSO recyclage, distante de près de 2 km de l’épicerie, les agents retrouvent au 1erétage, un homme gisant dans son sang. Son frère est penché sur lui, complètement tétanisé.

La victime a reçu au moins trois coups de couteau dans le dos et a été frappée à l’arrière de la tête. Avant de lui porter les coups, les agresseurs lui avaient extorqué la combinaison du coffre-fort et réussi à s’emparer du butin.

Les trois agresseurs, âgés de 19 à 25 ans, se disent sans domicile fixe et de nationalité égyptienne. Ils ont été placés en garde à vue. La victime originaire d’Aulnay, assurait la sécurité de l’entreprise avec son frère qui dormait sur place. Le blessé aurait rampé jusqu’à la pièce où se trouvait son frère pour l’alerter.

L’enquête a été confiée au commissariat d’Aulnay.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici 

Source article : Le Parisien / Photo d'illustration 

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Publié le 1 Janvier 2019

Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, 99 voitures ont été incendiées en Seine-Saint-Denis, dont 27 par propagation, nécessitant l’intervention des pompiers.

 
Dans le lot, certains véhicules ont très probablement été incendiés pour des tentatives d’escroquerie à l’assurance.

 

Par ailleurs, neuf feux de poubelles ont été recensés.

Au total, 31 personnes ont été interpellées et 24 placées en garde à vue par les forces de l’ordre.

Source information : Thomas Poupeau du journal Le Parisien / Photo d'illustration : Aulnaylibre.com !

 

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Publié le 22 Décembre 2018

Des femmes de La Courneuve et des jeunes du conseil local de la jeunesse ont invité une vingtaine de réfugiés hébergés à Aulnay-sous-Bois à partager la journée autour d’un repas.

Des larmes de joie et des rires à n’en plus finir. « C’est mon anniversaire aujourd’hui, et c’est le plus beau cadeau qu’on puisse me faire », lâche Nabila, maman de quatre enfants, en voyant tous ces sourires qui l’entourent, le jour de ses 44 ans. La maison pour tous Césaria-Evora, à La Courneuve, a accueilli ce samedi une vingtaine de réfugiés hébergés à Aulnay-sous-Bois, pour leur offrir un repas et un peu de répit.

 

« Plutôt que faire une maraude et repartir, on a préféré organiser un repas et passer du temps ensemble », explique Moudou Saadi, responsable du conseil local de la jeunesse, qui réunit des jeunes de tous les quartiers de La Courneuve.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici 

Source article et photo : Carole Sterlé du journal Le Parisien 

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Publié le 15 Décembre 2018

Surfer en Ile-de-France pourrait être possible en 2023. Sevran, Linkcity, et les fédérations de sports de glisse nautique y croient dur comme fer. Un protocole d’accord pour l’achat des terrains va être signé lundi avec Grand Paris Aménagement.

Fermons les yeux un instant pour imaginer. Cheminer entre les plages et les piscines, un skatepark à gauche, une scène de concert à droite, avec des plans d’eau, de part et d’autre, du wakeboard, des vagues pour le surf. Hawaï est loin, mais Sevran, c’est tout près.

 

A quelques minutes de l’aéroport de Roissy mais aussi de Paris ou de la Défense, la petite ville de 50 000 habitants de Seine-Saint-Denis avec ses deux gares du super métro, fait son chemin pour devenir le temple de la glisse urbaine aquatique en 2023. Un protocole va être signé lundi en vue de l’achat des terrains.

L’Ile-de-France est le plus grand bassin de surfeurs avec 30 000 licenciés

Ce projet de « La Vague » a été lauréat du projet Inventons la métropole, en 2017. 420 candidats, 51 projets retenus. Au programme à Sevran, une immense base de loisirs nautiques sur les 32 hectares du quartier Montceleux, 800 logements et cette « vague » inédite avec ses 1000 vagues à l’heure grâce à une gestion écologique de l’eau. Surfer 30 minutes sur ces vagues artificielles, reviendrait, au niveau de l’effort, à une sortie de 3 ou 4 heures en mer.

« L’Ile de France est le plus grand bassin de surfeurs, avec 30 000 licenciés » insiste Patrice Martin, douze fois champion du monde français de ski nautique (de 1979 à 2001) et actuel président de la fédération de ski nautique et de wakeboard. Il est convaincu que la glisse a un bel avenir dans une ville aussi jeune que Sevran, où 45 % des habitants ont moins de 30 ans, et 25 % des habitants ont moins de 15 ans.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici 

Source article Carole Sterlé du journal Le Parisien / Photo d'illustration 

 

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Publié le 9 Décembre 2018

Les services départementaux projettent une capacité de désendettement de 41 ans en 2021, si rien ne change. Le président (PS) du conseil départemental demande un rendez-vous au Premier ministre, Édouard Philippe.

Le département va-t-il faire faillite ? Après avoir demandé le remboursement de 345 M€ à l’Etat, et à dix jours du vote du budget, le département de Seine-Saint-Denis ouvre son livre de comptes.

« Nous n’avons rien à cacher, plaide le président (PS) du conseil départemental, Stéphane Troussel. Et nous voulons tordre le cou à certaines rumeurs. »

 

A en croire les chiffres et les projections exposés par les services départementaux, la capacité de désendettement de la collectivité atteindra 41 ans en 2021, « si rien ne change ». Soit une quasi-faillite. « Ce serait la catastrophe, s’alarme Gaëtan Grandi, conseiller départemental (LR) d’opposition. Nous devrions avoir de moins en moins recours à l’emprunt d’année en année. »

L’explosion des dépenses de solidarité

Mais comment ? Les recettes, à hauteur d’1,7 Mds € stagnent depuis trois ans. « Imaginer que notre collectivité peut s’en sortir uniquement avec des économies de gestion n’est pas à la hauteur de la situation, alerte Stéphane Troussel. Nous sommes très contraints, il y a beaucoup de dépenses que nous ne maîtrisons pas ! »

A commencer par les allocations individuelles de solidarité (AIS), et en particulier le RSA. Elles représentent 635 M€ de dépenses, sur 2,2 Mds € de budget. Surtout, l’enveloppe gonfle d’année en année. De 450 M€ en 2012, elles sont passées à 700 M€ six ans plus tard. De même, le nombre de mineurs isolés accueillis dans le département, a triplé en trois ans.

« Le tout sans compensation nouvelle. Nous empruntons à la place de l’Etat, dénonce Stéphane Troussel. Nous sommes des payeurs aveugles. » Gaëtan Grandi recommande de ne se concentrer que « sur les dépenses obligatoires ». « Il y a certains secteurs où nous pourrions regarder, estime-t-il. Par exemple la culture ou le sport, sans pour autant mettre ces budgets à zéro. »

Deux solutions envisagées : une plus grande aide de l’Etat ou du reste de l’Ile-de-France

Le premier s’élève à 17 M€, et le second à 8 M€. « Que serait une collectivité sans politique culturelle et sportive ? », questionne le patron du conseil départemental. Les charges de personnels du département, autre levier possible, sont « stables » depuis 2012. « Contrairement à ce qu’on peut croire », glisse Stéphane Troussel.

Enfin, comme celui des Hauts-de-Seine, le département pourrait confier la gestion des crèches et PMI aux communes. C’est exclu. « Les municipalités ne sont pas au mieux financièrement non plus », souligne-t-on au conseil départemental.

Deux solutions sont donc évoquées. La première, une meilleure compensation de l’Etat. 173 M€ par an permettrait au département de revenir à une capacité de désendettement de 6 ans. L’autre une « solidarité » entre les départements franciliens.

Stéphane Troussel a demandé un rendez-vous avec le Premier ministre, Édouard Philippe. Sans réponse pour l’instant.

Source article : Victor Tassel du journal Le Parisien 

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Publié le 8 Décembre 2018

Deux hommes arrêtés mardi à Tremblay et Clichy-la-Garenne pour trafic de stupéfiants et association de malfaiteurs ont été déférés ce vendredi au tribunal de Bobigny.

Les policiers d’Aulnay-sous-Bois avaient saisi 57 kg de cannabis, conditionnés en valises marocaines, dans un pavillon de Tremblay-en-France et arrêté cinq personnes au total.

Deux femmes et un homme ont été remis en liberté à l’issue de leur garde à vue.

L’enquête va se poursuivre dans le cadre d’une information judiciaire.

Source information : journal Le Parisien / photo d'illustration

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Publié le 2 Décembre 2018

Une centaine de jeunes de 14 à 22 ans ont participé à la dictée organisée par l’association la Nouvelle ambition, ce dimanche.

Confiance en soi et réussite professionnelle : voilà les deux priorités de la Nouvelle ambition. En organisant, ce dimanche, une dictée et des tests de logique - auxquels ont participé une centaine de jeunes de 14 à 22 ans - les membres de l’association d’Aulnay-sous-Bois souhaitent travailler sur la question de l’autocensure. Elle est, pensent-ils, particulièrement active dans les territoires périphériques.

 

« Il y a des jeunes qui se victimisent, qui pensent être voués à l’échec parce qu’ils viennent de banlieue, constate Anis Kaaroud, président de l’association. Mais penser ça, c’est être dans le négatif avant même de commencer sa vie ! On entend : même si je fais bac + 5, je vais être au chômage. Non, ce n’est pas vrai ! On manque d’ambition. »

Liberté de penser

Hamza, 20 ans, a fait sien cet état d’esprit. Etudiant en informatique à l’université Paris-XIII-Villetaneuse, il souhaite s’orienter vers la sécurité informatique ou la finance. Venu pour « évaluer son niveau de langue », il dit avoir, depuis quelques années, fait un travail sur lui pour acquérir une liberté de penser.

« Avant, je me fixais énormément de limites. Je me disais : je ne peux pas porter ça parce que ça ne me va pas. Je ne vais pas faire de basket, c’est pour les gens grands. Je ne vais pas faire de danse, c’est pour les filles etc., raconte le jeune homme. Et puis j’ai appris à oser. J’ai rencontré des personnes qui m’ont appris à casser les stéréotypes, à faire ce qui me plaisait et pas ce que la société voulait que je fasse. »

«Une force en nous »

Selon lui, qui habite Sevran, venir de banlieue constitue plutôt un atout : « C’est une force qui est en nous, qui nous permet de repousser nos limites, de prouver à ceux qui viennent de Paris intra-muros, qui étudient à Henri IV ou La Sorbonne, qu’on peut y arriver aussi. »

A ses côtés, Hasna et Loubna, encore lycéennes, acquiescent : « C’est une histoire de mentalité. J’ai choisi d’avancer. Jamais je me dis que parce que je viens d’Aulnay, je ne vais pas y arriver », assure la première, qui se destine à être orthophoniste.

Des propos qui collent aux objectifs de l’association. Selon Mohamed, secrétaire de la Nouvelle ambition, ses membres se veulent être « les grands frères de ces jeunes ».

Source article et photo : Elsa Marnette du journal Le Parisien 

 

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Publié le 30 Novembre 2018

Kalpana a perdu les eaux dans la salle où se produisait l’humoriste le week-end dernier. Sa sortie a été applaudie par les spectateurs. Elle a accouché du petit Keiran dans le camion des pompiers.

Keiran est né sous une drôle d’étoile. Celle de l’humoriste Ahmed Sylla. Lors d’un spectacle qu’il donnait à Aulnay, samedi dernier, la maman, Kalpana, a eu des contractions et a dû sortir précipitamment de la salle pour accoucher. Une expérience incroyable que nous ont racontée les jeunes parents ce vendredi, une fois remis de leurs émotions.

Ce n’aurait pourtant dû être qu’un simple samedi de détente, une soirée relax en plein milieu d’un déménagement. Kervin a acheté des places pour le spectacle qui se jouait à quelques pas de chez lui. « Je ne voulais pas trop marcher car j’étais à un mois et demi du terme, prévu le 2 janvier », détaille Kalpana.

«Les gens se sont mis à applaudir»

Sur le chemin, elle ressent quelques contractions mais n’y attache pas d’importance. Le couple entre dans le théâtre et s’installe. « Environ 15 minutes après, les contractions sont devenues plus fortes. Au début, je n’ai pas pensé à l’accouchement, pas avec un mois et demi d’avance… jusqu’à ce que je perde les eaux. »

Coïncidence, au même moment, Ahmed Sylla s’adresse au public, et plus particulièrement à la rangée située juste derrière les deux parents. « Quand on s’est levé pour sortir, tout le monde nous a vus et Ahmed Sylla aussi, se souvient son mari. Il nous a demandés s’il y avait un souci et je lui ai dit que ma femme allait accoucher. Et là, un truc incroyable, les gens se sont mis à applaudir, à siffler, à nous souhaiter bon courage, un vrai truc de fou. »

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : journal Le Parisien / Photo d'illustration 

 

 

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Publié le 30 Novembre 2018

Les VIP de La République En Marche étaient de sortie lors de l’élection municipale anticipée de Villemomble. Les ministres Jean-Michel Blanquer, Marlène Schiappa et Gérard Darmanin avaient en effet apporté un soutien ostensible au candidat LREM, Alex Boulon.

Cet appui massif n’a, semble-t-il, produit aucun effet dans les urnes puisqu’Alex Boulon a largement dévissé lors de ce scrutin. Au soir du premier tour, qui s’est déroulé dimanche dernier, il récolte seulement 437 voix soit 6,93% des votes exprimés.

Pour rappel, aux élections législatives de 2017, la candidate LREM avait rassemblé 2 491 voix soit 30,39% des votes exprimés dans la commune de Villemomble. Si l’on compare ces deux scrutins, cela signifie 83% de voix en moins. La part des votes exprimés est, quant à elle, en baisse de 77%.

La République En Marche parait donc plus que jamais à l’arrêt et ce n’est pas d’un gilet jaune dont ont besoin ses représentants mais plutôt d’un gilet de sauvetage…

Source dessin d’illustration : Glez - Burkina Faso / Courrier International

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Publié le 28 Novembre 2018

L’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb et deux syndicalistes policiers avaient porté plainte contre le militant, en février, s’estimant injuriés lors d’une manifestation pro-Théo.

« Dans nos quartiers, il y a des policiers qui nous tuent, qui nous violent, qui nous frappent. Nous, qui nous protège ? » Pour ces mots, clamés au mégaphone devant le siège d’Alliance Police nationale en février, Hadama Traoré, militant associatif d’Aulnay, comparaissait au tribunal de Paris, ce mercredi.

Il fait l’objet d’une plainte pour injures du ministre de l’intérieur de l’époque, Gérard Collomb, ainsi que de Frédéric Lagache et Jean-Claude Delage, responsables du syndicat policier. Le parquet a requis une amende de 1 000 € avec sursis.

Regrettant que le conseil des plaignants « ne réussisse pas à expliquer ce qui constitue une injure dans les propos d’Hadama Traoré », Yaël Scemama, l’avocate du militant, s’est efforcée de rappeler le contexte de la manifestation.

« Il s’agissait de dénoncer les violences policières, un an après l’affaire Théo, un jeune homme que connaît bien mon client », a-t-elle rappelé, sous le regard de Théo Luhaka lui-même, ainsi qu’une quinzaine de soutiens.

Une vidéo de l’interpellation du jeune homme a été projetée à l’audience. « Cette vidéo est sortie dans un média en février, sans que la famille de Théo ne soit au courant. C’est ce qui ronge mon client au moment des faits », a asséné Yaël Scemama

De son côté, l’avocate des syndicalistes - le ministère de l’intérieur, n’était pas représenté, sinon par le parquet - a martelé qu’Hadama Traoré les avaient précisément « désignés comme racistes », les traitant aussi de « racailles » - vidéos à l’appui.

« Accuser quelqu’un de viol, de meurtre, de violences, c’est une insulte », a renchéri le parquet.

Le délibéré sera rendu le 13 février.

Source information et photo : journal Le Parisien 

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Publié le 26 Novembre 2018

Le maire sortant (LR) de Villemomble, Patrice Calméjane, est arrivé ce dimanche soir largement en tête du premier tour des élections municipales anticipées de Villemomble, avec 40,81 % des suffrages. Il devance de quasiment dix points Jean-Michel Buteau, le candidat (DVD), qui n’est autre qu’un de ses anciens adjoints. La liste conduite par le socialiste Marc Daydie obtient 17,60 % des voix. Ces trois premiers candidats sont en capacité de maintenir au second tour.

Pour un galop d’essai aux municipales, la liste LREM, conduite par Alex Boulon récolte 6,93 % des votes. Quant à Didier Delpeyrou, le candidat EELV, il décroche 3,78 % des suffrages.

Inscrits : 15 611 ; Votants : 6 425 ; Blancs : 68 ; Nuls : 55 ; exp. : 6 302 ; Alex Boulon (LREM) : 437 (6,93 %) ; Marc Daydie (PS) : 1 109 (17,60 %) ; Patrice Calméjane (LR) : 2 572 (40,81 %) ; Didier Delpeyrou (EELV) : 238 (3,78 %) ; Jean-Michel Bluteau (Div. droite) : 1 946 (30,88 %).

Source article et photo : journal Le Parisien

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Publié le 25 Novembre 2018

Aulnay laissera un souvenir bien particulier à l’humoriste Ahmed Sylla, de passage samedi soir sur la scène du Théâtre Jacques-Prévert. Adepte des échanges impromptus avec le public, le comédien n’a pu s’empêcher d’interpeller un couple quittant discrètement la salle. « L’homme s’est mis à crier : Ma femme perd les eaux, ma femme perd les eaux ! », raconte un témoin de la scène.

Appelés à la rescousse, les pompiers sont arrivés à temps, pour prendre en charge la femme. Celle-ci a accouché peu avant 22 h 30, dans le camion des secours, stationné devant le théâtre. Le bébé est bien portant. En mairie, on indique qu’Ahmed Sylla cherchait à entrer en contact avec les heureux parents, pour les inviter à assister à une autre représentation de son spectacle du début à la fin si possible.

Source article et photo : journal Le Parisien 

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Publié dans #93 Infos

Publié le 23 Novembre 2018

Courir… pour sauver deux enfants d’une mort certaine. Ce dimanche, la petite ville de Chaumontel (Val-d’Oise) se mobilise afin de récolter des fonds pour Hugo, 3 ans, et Emma, 1 an, atteints de la maladie de SanFilippo, une pathologie neurodégénérative qui réduit leur espérance de vie à 12 ans.

Au menu : 4 km de course façon Color-Run, la célèbre épreuve parisienne où les participants sont aspergés, dans la bonne humeur, de poudre colorée. Il s’agit de récolter des fonds pour financer un essai clinique. Objectif : 4 M€. Une cagnotte en ligne, initiée par leurs parents, réunit pour l’instant 1,2 M€.

« Très émus par cet élan de solidarité »

« Nous sommes très émus par cet élan de solidarité ! C’est le boucher de Lamorlaye, village voisin, qui a été touché par l’histoire de nos enfants et a déclenché l’initiative », témoigne Julien, le papa d’Hugo et Emma, employé au service dialyse de la clinique d’Aulnay-sous-Bois.

Outre la course de 4 km, qu’on peut réaliser en marchant, une randonnée à VTT de 20 km est aussi programmée, ainsi qu’une foule d’animations.

Le gardien du PSG les soutient

L’élan de solidarité a largement dépassé le Val-d’Oise : récemment, le gardien du PSG, Alphonse Aréola, a relayé le combat sur les réseaux sociaux et le navigateur Sébastien Desquesses a pris la Route du rhum avec un bateau aux couleurs des enfants.

Au menu : 4 km de course façon Color-Run, la célèbre épreuve parisienne où les participants sont aspergés, dans la bonne humeur, de poudre colorée. Il s’agit de récolter des fonds pour financer un essai clinique. Objectif : 4 M€. Une cagnotte en ligne, initiée par leurs parents, réunit pour l’instant 1,2 M€.

Car du côté médical, « le temps presse », explique Julien. L’essai clinique doit avoir lieu « tant que le cerveau des enfants est préservé ».

Ce dimanche 25 novembre, dès 10 heures, place Eugène-Coudre à Chaumontel. Inscription via la page Facebook « Hugo et Emma, un combat en couleur ». Participation : 16 € (dont 15 € reversés à la cagnotte pour Hugo et Emma).

Source article et photo : Thomas Poupeau et Arnaud Journois du journal Le Parisien

 

 

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Publié dans #93 Infos

Publié le 20 Novembre 2018

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d'un article de Gwenael Bourdon, du journal Le Parisien. Il revient sur la fermeture programmée de l'usine PSA de Saint-Ouen en 2021. Certains salariés qui avaient connu la fermeture de l'usine d'Aulnay-sous-Bois avaient retrouvé un emploi là-bas. Ils sont de nouveau plongés dans l'angoisse...

Parmi les 324 salariés du site PSA de Saint-Ouen voué à fermer en 2021, une poignée a déjà connu la fin de l'emblématique usine d'Aulnay-sous-Bois.

Voilà quelques jours qu’Aziz a renoué avec une vieille sensation, désagréable et tenace : « Qu’est-ce qu’il va nous arriver maintenant ? Où est-ce qu’on va aller ? » L’ouvrier de l’usine PSA de Saint-Ouen sait désormais que le site fermera ses portes en 2021 au plus tard. Il doit laisser place au chantier du futur Grand Hôpital. Un comité central d’entreprise extraordinaire se réunit ce mercredi sur le sujet et doit évoquer les solutions proposées pour les 324 salariés.

L’angoisse de l’avenir, Aziz connaît bien. Comme une vingtaine de salariés de Saint-Ouen, il a connu la fin d’une autre usine, celle d’Aulnay. « C’était mon premier travail, j’avais 19-20 ans. Je me disais : c’est une usine automobile, ça ne fermera pas. C’était une usine moderne », raconte ce conducteur d’installation, âgé de 36 ans et père de trois enfants en bas âge. En juillet 2012, l’annonce de la fermeture avait fait l’effet d’un tremblement de terre aux 3 000 salariés aulnaysiens.

« Pendant des mois, la direction avait démenti, pour que les gens ne se révoltent pas », se souvient Ahmed, 54 ans, employé au conditionnement. A Saint-Ouen, en revanche, l’annonce de la fermeture n’a guère surpris Aziz : « Dès que je suis arrivé, j’ai compris qu’ici ça ne durerait pas. Les gens partaient et on ne les remplaçait pas… »

« On en a fait, des sacrifices »

L’annonce officielle, faite au personnel la semaine dernière, laisse un goût amer aux « rescapés d’Aulnay ». C’est ainsi que se définit Sandrine, l’œil noir au-dessus d’un gobelet de café. « Ils délocalisent tout ! », fulmine l’ouvrière de 49 ans. PSA Aulnay, c’était toute sa vie : « J’y suis entrée à 18 ans, c’est là que travaillaient mes parents, que travaillait mon conjoint… Quand tu es jeune, tu construis ta vie autour de ton gagne-pain. » Le couple avait fait construire sa maison dans l’Oise, « pas trop loin » d’Aulnay.

Article du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici 

Source article et photo : Gwenael Bourdon du journal Le Parisien

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Publié le 18 Novembre 2018

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d'un article du Bondyblog consacré aux élus LR d'Aulnay-sous-Bois qui ont distribué samedi le tract stop au racket des automobilistes sur le marché du Vieux-Pays. 

Ce samedi 17 novembre, jour de mobilisation des "gilets jaunes" contre la hausse du carburant, la mairie LR d'Aulnay-sous-Bois a organisé un tractage sur le marché de la ville sur le thème "Stop au racket des automobilistes". 

Comme chaque samedi matin au marché du Vieux Pays d’Aulnay-sous-Bois (93), les habitants de la ville font leurs courses. Le temps est ensoleillé malgré la fraîcheur matinale. Dans un ballet régulier, les personnes âgées traînent leur chariot et s’arrêtent pour se saluer et discuter. Ici, rien ne laisse penser que nous sommes le 17 novembre, journée de mobilisation des « gilets jaunes » contre la hausse du prix des carburants, un mouvement citoyen qui se veut sans affiliation politique et qui a organisé manifestations et blocages à travers la France. 

En « soutien » au mouvement, c’est sur le marché d’Aulnay-sous-Bois que se sont réunis une dizaine d’élus et de militants des Républicains (LR). Ils sont là aujourd’hui pour un tractage à l’initiative du maire LR de la ville, Bruno Beschizza, absent des lieux. Comme les manifestants, eux aussi arborent des gilets jaunes en distribuant des tracts estampillées par la Fédération LR de Seine-Saint-Denis pointant la hausse des carburants.

Lutte des classes et convergence des luttes à droite

Récupération ? Les militants rejettent la suspicion d’un revers de la main : un des adjoints au maire LR de la ville, Denis Cahenzli, considère qu’il est « un citoyen comme les autres » et qu’il a « le droit de manifester son mécontentement ». Indiquant que cet événement a été lancé en raison de l’absence de mobilisation autour d’Aulnay-sous-Bois, l’élu pointe du doigt « le manque de pédagogie du gouvernement ». « Cette hausse du carburant risque de ralentir voire de casser la dynamique autour de l’écologie », estime-t-il. Toutefois,  lors de sa prise parole, il utilisera des éléments de langage du tract et fera référence au “racket fiscal” des automobilistes.

Article complet du Bondyblog à lire en cliquant : ici 

Source article et photo : https://www.bondyblog.fr

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Publié le 17 Novembre 2018

Certains rêvaient peut-être d'un nouveau mai 68. Force est de constater que nous en sommes encore bien loin. Notamment à Aulnay-sous-Bois.

Les gilets jaunes devaient, selon certaines sources bien informées, se mobiliser en masse en suivant un circuit précis : d'abord ralentir le carrefour près du centre commercial O'Parinor, puis celui de L'Europe avant de se diriger vers celui des droits de l'Homme près du Mac Donald.

 

 

En début d'après-midi, comme en témoigne notre vidéo ci-dessus tournée sur place, le carrefour de l'Europe était d'une fluidité absolue. Même pas la queue d'un début d'embouteillage. Nos yeux n'y croyaient tellement pas qu'ils ont même écrasé une larme.

Donc si vous avez des courses à faire ou un film à aller voir à l'UGC, n'hésitez pas un instant, la circulation est optimale en direction du centre commercial O'Parinor d'Aulnay-sous-Bois.

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Publié le 17 Novembre 2018

A lire ce matin les articles de nos confrères de la blogosphère locale, il fallait s'attendre à du lourd et même à du très très très lourd. 

En effet, les gilets jaunes étaient parait-il mobilisés en masse à Aulnay-sous-Bois et devaient ralentir fortement l'accès au carrefour menant au centre commercial O'Parinor.

 

Sur notre vidéo ci-dessus tournée en début d'après-midi sur place, le trafic était pourtant d'une fluidité absolue. Alors que s'est-il passé ? Où sont les points de blocages annoncés ?

En attendant la réponse à ces questions, le centre commercial O'Parinor n'a même pas dû ressentir la moindre baisse de fréquentation.

Le grand capital peut dormir tranquille. La révolution n'est pas pour demain...

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