Antoine Ly a passé deux mois dans le 93 pour son document "Aulnay-sous-Bois, immersion au cœur de la cité" diffusé sur RMC Story à 20h55. Au micro de Philippe Vandel, il revient sur les difficultés qu'il a rencontré pour filmer au cœur de la banlieue.
Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien paru il y a quelque temps. Il a trait à l’espoir de voir un jour le canal de l’Ourcq ouvert à la baignade. Chacun se souvient de Jacques Chirac qui promettait en 1988 d’ouvrir la Seine à la baignade, promesse tombée à l’eau depuis. Alors, qu’en sera-t-il pour le canal de l’Ourcq ? Ce rêve peut-il devenir réalité ? Eléments de réponses ci-dessous...
Après les cinq spots de nage promis au cœur de la capitale, voici venu l'heure de la Seine-Saint-Denis. Objectif : « JO 2024 » Un vœu pieux formulé par le département, à partir duquel tout un chacun devrait pouvoir bénéficier de plusieurs lieux publics où il fera bon barboter, notamment dans le canal de l'Ourcq, dont l'assainissement est aujourd'hui au centre de toutes les attentions.
La dernière étape en date de ce projet pharaonique ? L'inauguration, à Livry-Gargan, du bassin du Rouailler, une infrastructure majeure de rétention et de filtrage des eaux. La deuxième plus importante du département.
« D'une capacité de 26 000 m3, avec un diamètre de 55 m et une profondeur de 16 m, le bassin va permettre de retenir et de mieux gérer les eaux de pluies, réduisant ainsi le risque d'inondation pour les riverains », détaille le département. Son coût ? 32 M€. Un investissement qui devrait cependant servir à une échelle bien plus large.
« Les gens se baignent dans des lieux non-réglementés »
« L'enjeu est évident […] pour que tous nos concitoyens puissent profiter d'îlots de fraîcheur sur leur territoire, plaide Stéphane Troussel, le président du département. Une nécessité accrue en Seine-Saint-Denis, territoire très urbanisé et où chacun ne peut malheureusement pas se permettre de quitter la ville une fois les premières chaleurs venues. »
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Ce mardi, la proposition de loi « tendant à assurer la neutralité religieuse des personnes qui participent au service public de l'éducation », portée par une sénatrice LR, entend viser toutes les religions.
Pourquoi êtes-vous contre cette proposition de loi ?
Alain Ramadier. Je suis élu au conseil municipal d'Aulnay-sous-Bois depuis 1989. Je suis donc un élu de banlieue, j'essaie d'être pragmatique. Il y a dans nos quartiers beaucoup de familles musulmanes, c'est un fait. Or, dans nos écoles, si on interdit aux mamans d'accompagner les sorties, il n'y aura plus de sortie. Ce sont elles qui s'impliquent dans la vie de l'école. Je parle bien du voile, du foulard, pas d'une burqa !
Par ailleurs, la réalité du quotidien, c'est que le voile ne pose aucun problème. Ni aux enfants, ni aux habitants, ni à la démocratie locale. En la matière, le « vivre-ensemble » est bel et bien là.
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Les drapeaux de l’Hôtel de Ville sont en berne suite à l’annonce hier du décès de Jacques Chirac, ancien président de la République.
Le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, a salué sa mémoire sur les réseaux sociaux dans le message suivant : « Président rassembleur, Jacques Chirac aura toujours cherché à réconcilier les Français entre eux, avec leur Histoire et leur pays. Président visionnaire sur la question du changement climatique, il a toujours su porter les valeurs humanistes de la France à travers le monde.
Toute sa vie, avec passion et chaleur, Jacques Chirac aura mis sa formidable énergie au service de la France et des Français ».
Source photo : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Hier a été lancé un Grenelle national des violences conjugales. Le jour choisi, 3 septembre 2019, est à l’origine du numéro d’appel, le 3919, destiné aux femmes victimes de toutes formes de violences, mais aussi à leur entourage, aux témoins et aux professionnels concernés.
En préfecture de Bobigny s’est déroulée, également ce mercredi, une réunion de lancement évoquant à la fois les dispositifs déjà en place pour aider les victimes mais aussi les axes d’amélioration.
Malgré une mobilisation de nombreux acteurs la Seine-Saint-Denis n’est pas épargnée par le fléau des violences conjugales. Ainsi, plus de 3 300 plaintes ont été déposées dans le département depuis le début de l’année 2019, un chiffre en hausse de 9%.
En 2018, 4 femmes ont perdu la vie en Seine-Saint-Denis par suite des violences de leur conjoint ou ex-conjoint. 2 femmes ont subi le même sort en 2019. Au niveau national le chiffre est encore plus effrayant puisque l’on déplore 101 féminicides.
Vous pouvez lire ci-dessous l’article du journal Le Parisien qui relate la réunion d’hier en préfecture de Bobigny. Pour agrandir, cliquez sur l’image.
« Les deux derniers qui y habitaient sont partis dans le courant de l'année scolaire 2018-2019. Ils ont été relogés ailleurs dans la ville », confirme-t-on dans l'entourage du maire Stéphane Blanchet (SE).
« Le shit est plus fort que l'éducation »
Ce mardi matin, dans l'une des écoles de ce groupe scolaire, on nous confirme que « le trafic de drogue, le bruit à toute heure, le squat de certains appartements, l'insalubrité, ont eu raison de la patience de ces enseignants ».
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Quels sont les prénoms qui ont été le plus donnés aux bébés en 2018 en Seine-Saint-Denis ?
Selon les chiffres publiés par l'Insee et que nous avons compilés, Lina (avec 131 naissances), arrive comme l'année dernière en tête chez les filles, tandis que c'est désormais Mohamed (244), qui arrive en première position chez les garçons.
Dans le top 10 féminin, on retrouve Sarah (94), Inaya (89), Aya (88), Sofia (84), Yasmine (76), Nour (75), Assia (71), Jade (70) et Mariam (61).
Côté masculin, le prénom Adam (206) passe de la 1re à la deuxième place. Il devance Ibrahim (127), Gabriel (98), Rayan (89), Amir (85), Ismaël (81), Imran (77), Liam (76) et Isaac (75).
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Un policier affecté à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) en brigade de police secours s'est suicidé, ce dimanche, à son domicile, a appris BFM Paris. Ses collègues l'ont retrouvé avec le mot "ne pas me réanimer". L'homme d'une trentaine d'années se serait donné la mort avec son arme personnelle.
Il s'agit du cinquième suicide de policier depuis le début de la semaine. En 2019, un membre des forces de l'ordre se tue tous les cinq jours. Au total, 44 policiers se sont donné la mort depuis le début de l'année, contre 35 en 2018.
Le message de la préfecture de Seine-Saint-Denis est tombé aujourd’hui à 13h37. Le département est placé en vigilance « rouge » canicule par Météo-France depuis 16h00.
Alors réchauffement climatique ou pas réchauffement climatique ? Chacun est libre de philosopher sur les réseaux sociaux ! En attendant, le record absolu de température maximale en France a été établi le 28 juin 2019 à Vérargues, dans l’Hérault. Il y faisait 46°C.
A quand le prochain record ?
Pour mémoire la ville d'Aulnay-sous-Bois a mis en place un plan canicule dès le 1er juin 2019. Vous trouverez les informations utiles en cliquant : ici
Certains pêchent pour ramener des poissons, d’autres ramènent… des obus. C’est l’étonnante découverte faite par un pêcheur samedi, vers 17 heures, à Aulnay-sous-Bois, au niveau du pont de l’Union, dans le canal de l’Ourcq. Il pratiquait la pêche à l’aimant.
Très en vogue en ce moment, cette technique consiste à attacher un puissant aimant au bout d’un fil et de le lancer dans l’eau. Tout ce qui est métallique est immédiatement accroché par l’aimant.
Deux obus de mortier allemands datant de la seconde guerre mondiale ont été ramenés à la surface. L’homme a fait connaître sa découverte et le laboratoire central de la police s’est rendu sur place pour prendre possession des deux engins.
Source information : journal Le Parisien / Photo d’illustration
L’Oréal a inauguré son nouvel incubateur « L’Oréal MYT » à Aulnay-sous-Bois destiné à soutenir les projets et initiatives portés par les salariés de l’entreprise dans le domaine du digital. Cet espace de 700 mètres carrés, comportant 12 ateliers, permettra la gestion de 12 projets sélectionnés simultanément.
Il s’agit d’une nouvelle pierre dans la relation de confiance entre l’Oréal et notre ville. L’arrivée prochaine d’une nouvelle division L’Oréal Luxe dans l’usine Aulnaysienne contribuera à la modernisation du site de production avec un investissement de 15 millions d’euros sur notre territoire.
Le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, présent lors de cette inauguration, a chaleureusement remercié les équipes et collaborateurs de l’Oréal pour leur engagement dans notre commune. « Ce groupe est un acteur important de notre territoire qui représente un symbole mondialement connu et reconnu pour son excellence » a-t-il déclaré.
Source information et photo : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien paru dans son édition du mercredi 15 mai 2019. Il revient sur un événement important puisqu’hier le maire Bruno Beschizza a posé la première pierre de la future super piscine d’Aulnay-sous-Bois.
Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien daté de ce mardi 2 avril 2019. On y apprend qu’une condamnation à 18 mois de prison ferme a été prononcée suite à l’agression de deux roumains à Aulnay-sous-Bois, lors des rumeurs d’enlèvement d’enfants.
Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien daté du mardi 26 février 2019. On y apprend que l’entreprise Chronopost compte employer 400 salariés sur l’ancien site PSA à Aulnay-sous-Bois.
Quatorze candidates pour une seule couronne. Samedi soir à Aulnay-sous-Bois se tiendra l’élection Mademoiselle Ile-de-France. Des jeunes femmes de toute la région défileront devant un jury de 11 personnes, dont le mentaliste Frank Truong qui a participé à l’émission « La France a un incroyable talent » et des membres de la mairie d’Aulnay.
Pas de critère de taille ou de poids
L’élection Mademoiselle Ile-de-France existe depuis 2008 et est rattaché à l’élection nationale, Mademoiselle France. « C’est un concours qui est ouvert aux jeunes femmes de 16 à 21 ans sans aucun critère de taille ou de poids », explique Lucie Brizzi, du comité Mademoiselle Ile-de-France. Toutes les candidates passent cinq fois devant le jury, en différentes tenues, dont un passage « passion » : « Pendant une minute, chacune des prétendantes s’exprime sur sa passion, sur ce qu’elle aime », précise Lucie Brizzi.
Parmi les 14 candidates, deux viennent de Seine-Saint-Denis : Mélina Rapidie, 21 ans, habitante de Gagny (21 ans) et Laetitia Leray, 18 ans, de Noisy-le-Grand. « Quand j’ai vu qu’il n’y avait aucune restriction physique, je me suis dit pourquoi pas moi ? », explique Mélina, qui prépare une formation de responsable de secteur mode et beauté et qui travaille chez Hermès. C’est la première fois que les deux jeunes femmes participent à une élection notamment pour « prendre confiance » en elles. Toutes deux s’accordent à dire que l’élection est également « une aventure humaine et l’occasion de rencontrer des gens d’autres milieux ».
Samedi soir salle Pierre-Scohy, rue Aristide-Briand. Ouverture des portes à 19 heures et début du spectacle à 20 heures.Tarif : adultes 20 €, enfants (moins de 12 ans) 12 €. Informations au 06.37.40.00.04.
Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien daté du vendredi 22 février 2019. On y apprend comment les policiers se sont rendus dans une société à Aulnay-sous-Bois, où ils ont découvert 900 kg de cannabis dans deux camionnettes.
Le feu est parti accidentellement au deuxième étage d’un immeuble qui en compte quatorze.
Un grave incendie s’est déclaré accidentellement ce jeudi matin dans un immeuble d’Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Une personne âgée habitant au deuxième étage de l’immeuble est décédée.
Les pompiers de Paris, en charge de la capitale et des départements limitrophes, font savoir que deux de leurs hommes, âgés de 20 ans et 21 ans, ont été gravement blessés lors de l’intervention. Ils ont sept et neuf mois de service à la caserne d’Aulnay.
L’un des deux pompiers blessés a été héliporté vers l’hôpital Percy, à Clamart. Son pronostic vital est engagé.
Les soldats du feu expliquent également qu’ils ont procédé à «plusieurs sauvetages». Environ 150 hommes ont été mobilisés ainsi que 50 véhicules. Les flammes ont été maîtrisées vers 8 heures.
D’après BFM Paris, le sinistre s’est déclenché un peu après 7 heures du matin, au deuxième étage d’un immeuble qui en compte quatorze. Son origine est accidentelle. L’hypothèse d’une cigarette mal éteinte est envisagée.
Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, s’est rendu sur les lieux, confirmant le bilan. Il a expliqué que le feu se serait déclenché depuis le lit médicalisé de la personne décédée.
L’immeuble où le feu s’est déclaré est une copropriété très bien entretenue. Interrogé sur place, le maire d’Aulnay, Bruno Beschizza (LR), a expliqué qu’il ne «s’agit pas d’un problème d’insalubrité», mais d’un «accident» comme il en survient plusieurs dizaines par mois dans le département.
L’élu a ajouté que 80 personnes sont «accueillies dans un gymnase» et que les problèmes de relogement devraient être limités avec un rétablissement de l’électricité dans la journée. Christophe Castaner a précisé que la structure de l’immeuble n’a d’ailleurs pas été endommagée.
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Source article et image d'illustration : journal Le Parisien
Un sans-abri de 45 ans a frôlé le pire, jeudi, alors qu’il squattait des locaux vacants du centre commercial du Galion. Des riverains ont aidé les secours à soulever le rideau de fer.
La scène ne dure que quelques secondes. Elle se déroule jeudi en fin d’après-midi, dans le centre commercial du Galion à Aulnay-sous-Bois. Aux cotés de pompiers en pleine intervention, on aperçoit un homme en civil haranguer des passants : « Allez les gars, venez, venez ! »
Cinq à six personnes rappliquent et aident les secours à soulever un solide rideau métallique. Les pompiers en extraient ensuite un homme, inconscient mais vivant.
Cet acte citoyen a été filmé par des habitants du quartier, qui ont publié la scène sur le réseau social Facebook. Accompagné du message : « Grand respect aux pompiers et aux gars des 3 000 (NDLR : le nom du quartier, également appelé Rose-des-vents) ».
« Jeunes et moins jeunes sont venus donner un coup de main »
Alertés peu après 17 heures, une trentaine de pompiers avait convergé sur place. On leur avait signalé que quelqu’un se trouvait dans le commerce, après y avoir accédé par le sous-sol.
« Il y avait beaucoup de monde sur place, et au moment où on essayait de faire levier pour relever le volet métallique, jeunes et moins jeunes sont venus donner un coup de main, c’est à souligner, et il faut que ça perdure », salue le commandant Gildas Le Coeur, porte-parole de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris.
Intoxiqué et souffrant de légères blessures, le blessé a été pris en charge par une équipe médicale de l’hôpital Robert-Ballanger, à Aulnay. Ses jours ne sont pas en danger.
D’après les relevés du laboratoire central de la police, le feu serait d’origine accidentelle. Mais la succession d’incendies récents interroge des habitants du quartier. Dimanche, les pompiers sont intervenus sur deux autres feux dans ce même sous-sol.
« C’est tout le monde qui a aidé ! »
Selon les habitués du Galion, le blessé s’appelle « Antonio ». Âgé de 45 ans, il aurait trouvé refuge tout récemment dans ces bureaux, qui abritaient il y a quelques années une agence de voyage.
Ce vendredi, dans le café situé juste en face des lieux de l’incendie, les clients ne veulent pas mettre en avant la bravoure d’un habitant plus qu’un autre. « C’est tout le monde qui a aidé ! » témoigne l’un d’eux.
« Il y avait plein de jeunes du quartier, et ils n’ont pas caillassé les pompiers, contrairement à ce qu’on entend parfois, poursuit Bachir, qui a fondé l’association Renaissance Galion 3 000. Ici, tout le monde respecte leur travail. C’est un superbe métier. »
Le centre communal d’action sociale a payé une nuit d’hôtel à deux hommes, qui dormaient dans le lieu incendié mais qui n’étaient pas sur place au moment de l’incendie. « On ne sait pas où aller, on remercie les gens qui nous aident, nous permettent de manger » explique l’un d’eux, rencontrés cet après-midi dans le quartier.
Ils sont natifs du Sénégal, âgés d’une vingtaine d’années. L’un dit être arrivé en France il y a quatre mois, l’autre il y a deux ans. « Et je n’ai jamais eu de logement », souffle-t-il.
« On ne veut pas qu’ils meurent de froid »
Seuls quelques commerces sont encore ouverts dans ce centre commercial promis à la démolition. « C’est nous qui avons ouvert le local pour permettre à ces personnes de dormir ailleurs que dans la rue, poursuit Bachir. On ne veut pas qu’ils meurent de froid. Si on ne les aide pas, c’est de la non-assistance à personne en danger. »
Cela fait presque quatre ans que ces locaux seraient vacants. Ce vendredi soir, c’est Bachir qui devait loger les deux jeunes hommes, privés de toit pour la nuit.
Source article et photo : journal Le Parisien / Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
A Aulnay, l’extrême vigilance de la police municipaleaura permis d’arrêter trois suspects et de secourir un blessé grave. Dans la nuit de jeudi à vendredi, un vigile d’une quarantaine d’années, a été sauvagement poignardé dans les locaux d’une entreprise de recyclage. Il a été transporté à 3 h 30 avec un pronostic vital engagé à l’hôpital Avicenne à Bobigny. Il présentait plusieurs plaies saignantes dans le dos.
Une heure plus tôt, la police municipale aperçoit sur ses écrans de surveillance trois hommes en train de dissimuler un gros sac, au niveau de l’épicerie l’Epi d’Or. La police municipale d’Aulnay est sur le pont 24 heures sur 24 et a l’œil rivé sur les caméras reliées au centre de supervision urbain (CSU). Les policiers se rendent sur place et interpellent le trio. Dans le sac, ils découvrent des pièces de monnaie et des billets. Le tout pesant dix bons kilos.
Trois coups de couteau dans le dos
Progressivement un suspect commence à parler. Il explique qu’ils viennent de cambrioler une entreprise, une heure et demie plus tôt et qu’ils ont agressé le gardien. Dans la société SOSO recyclage, distante de près de 2 km de l’épicerie, les agents retrouvent au 1erétage, un homme gisant dans son sang. Son frère est penché sur lui, complètement tétanisé.
La victime a reçu au moins trois coups de couteau dans le dos et a été frappée à l’arrière de la tête. Avant de lui porter les coups, les agresseurs lui avaient extorqué la combinaison du coffre-fort et réussi à s’emparer du butin.
Les trois agresseurs, âgés de 19 à 25 ans, se disent sans domicile fixe et de nationalité égyptienne. Ils ont été placés en garde à vue. La victime originaire d’Aulnay, assurait la sécurité de l’entreprise avec son frère qui dormait sur place. Le blessé aurait rampé jusqu’à la pièce où se trouvait son frère pour l’alerter.
L’enquête a été confiée au commissariat d’Aulnay.
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Source article : Le Parisien / Photo d'illustration
Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, 99 voitures ont été incendiées en Seine-Saint-Denis, dont 27 par propagation, nécessitant l’intervention des pompiers.
Dans le lot, certains véhicules ont très probablement été incendiés pour des tentatives d’escroquerie à l’assurance.
Par ailleurs, neuf feux de poubelles ont été recensés.
Au total, 31 personnes ont été interpellées et 24 placées en garde à vue par les forces de l’ordre.
Source information : Thomas Poupeau du journal Le Parisien / Photo d'illustration : Aulnaylibre.com !
Des femmes de La Courneuve et des jeunes du conseil local de la jeunesse ont invité une vingtaine de réfugiés hébergés à Aulnay-sous-Bois à partager la journée autour d’un repas.
Des larmes de joie et des rires à n’en plus finir. « C’est mon anniversaire aujourd’hui, et c’est le plus beau cadeau qu’on puisse me faire », lâche Nabila, maman de quatre enfants, en voyant tous ces sourires qui l’entourent, le jour de ses 44 ans. La maison pour tous Césaria-Evora, à La Courneuve, a accueilli ce samedi une vingtaine de réfugiés hébergés à Aulnay-sous-Bois, pour leur offrir un repas et un peu de répit.
« Plutôt que faire une maraude et repartir, on a préféré organiser un repas et passer du temps ensemble », explique Moudou Saadi, responsable du conseil local de la jeunesse, qui réunit des jeunes de tous les quartiers de La Courneuve.
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Source article et photo : Carole Sterlé du journal Le Parisien
Surfer en Ile-de-France pourrait être possible en 2023. Sevran, Linkcity, et les fédérations de sports de glisse nautique y croient dur comme fer. Un protocole d’accord pour l’achat des terrains va être signé lundi avec Grand Paris Aménagement.
Fermons les yeux un instant pour imaginer. Cheminer entre les plages et les piscines, un skatepark à gauche, une scène de concert à droite, avec des plans d’eau, de part et d’autre, du wakeboard, des vagues pour le surf. Hawaï est loin, mais Sevran, c’est tout près.
A quelques minutes de l’aéroport de Roissy mais aussi de Paris ou de la Défense, la petite ville de 50 000 habitants de Seine-Saint-Denis avec ses deux gares du super métro, fait son chemin pour devenir le temple de la glisse urbaine aquatique en 2023. Un protocole va être signé lundi en vue de l’achat des terrains.
L’Ile-de-France est le plus grand bassin de surfeurs avec 30 000 licenciés
Ce projet de « La Vague » a été lauréat du projet Inventons la métropole, en 2017. 420 candidats, 51 projets retenus. Au programme à Sevran, une immense base de loisirs nautiques sur les 32 hectares du quartier Montceleux, 800 logements et cette « vague » inédite avec ses 1000 vagues à l’heure grâce à une gestion écologique de l’eau. Surfer 30 minutes sur ces vagues artificielles, reviendrait, au niveau de l’effort, à une sortie de 3 ou 4 heures en mer.
« L’Ile de France est le plus grand bassin de surfeurs, avec 30 000 licenciés » insiste Patrice Martin, douze fois champion du monde français de ski nautique (de 1979 à 2001) et actuel président de la fédération de ski nautique et de wakeboard. Il est convaincu que la glisse a un bel avenir dans une ville aussi jeune que Sevran, où 45 % des habitants ont moins de 30 ans, et 25 % des habitants ont moins de 15 ans.
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Source article Carole Sterlé du journal Le Parisien / Photo d'illustration