Publié le 10 Octobre 2014

Le trafic était conforme aux prévisions, hier, sur le RER B  : très perturbé ! L'appel à la grève lancé par quatre syndicats de la RATP (FO, CGT, Unsa et SUD) a été massivement suivi par les conducteurs de cette ligne qui transporte quotidiennement près de 900 000 passagers.

Selon la RATP, qui avait demandé à des cadres formés au pilotage de remplacer les grévistes, l'objectif de faire rouler une rame sur deux aux heures de pointe a cependant pu être légèrement dépassé. « Nous avons fait partir 68 % des trains normalement prévus », indique un porte-parole de la RATP, qui gère le sud de la ligne B. Sur la branche nord, de la gare du Nord jusqu'à Roissy (Val-d'Oise), gérée par la SNCF, le mouvement social a par ailleurs engendré la suppression d'un train sur deux toute la journée.

Les conducteurs de la ligne B entendaient protester contre « les pressions de plus en plus grandes » de leur direction pour atteindre les objectifs de qualité -- et notamment de régularité -- imposés par le Stif (Syndicat des transports d'Ile-de-France). « Des objectifs difficilement tenables en raison de la configuration de la ligne », martèle Laurent Gallois, délégué Unsa à la RATP. Cogérée par deux opérateurs de transport, la ligne B (qui partage ses voies avec le RER D dans le centre de Paris) doit en théorie atteindre un taux de trains à l'heure de 94 %. En 2013, il n'était que de 83 %. Grâce à diverses mesures, comme des rénovations du matériel roulant ou l'ouverture en janvier d'un poste de pilotage commun SNCF-RATP, il est remonté à 87,2 % cette année. « Mais on doit continuer nos efforts », soulignait-on hier soir à la RATP.

« Les mesures managériales dénoncées par les grévistes visent à améliorer encore la qualité de service », précise un porte-parole de la Régie. Les grévistes, qui n'ont pas obtenu de rendez-vous avec leur direction, devaient reprendre le travail normalement ce matin, à 6 h 30.

Source article : Le Parisien / Vidéo d’illustration : Aulnaylibre !

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Publié dans #Transports

Publié le 10 Octobre 2014

 « Aux confluences du Brésil et de l'Afrique de l'Ouest, le trio explore des rivages à la beauté sauvage. Un appel à la rêverie, groovy et lancinant. Le projet world de l'année» Télérama + NDIDI EN 1ÈRE PARTIE

Rivière Noire nous convie à un voyage au long cours entre Rio, Paris et Bamako, à la croisée de la musique populaire brésilienne et du folk mandingue. C’est une vraie rencontre, qui sonne aujourd’hui comme une évidence entre un chanteur brésilien Orlando Morais, un songwriter guadeloupéen, Pascal Danaé et un brillant producteur Jean Lamoot. Ensemble, ils descendent le fleuve Niger, calés sur les riffs des guitares électriques et les tambours africains, au fil de douces mélodies lumineuses, accrocheuses et habitées. Kassé Mady Diabaté, dont la voix lancinante hante le somptueux titre Bate Longe, sera également à bord de cette pirogue qui fera escale au Cap.

Rivière Noire est en résidence de pré-production au Cap du 6 au 10 octobre.

En concert samedi 11 octobre – 20h30

Source : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Publié le 9 Octobre 2014

C’était le moment people de la soirée. Après avoir failli rater l’événement à cause d’un bouchon monstre au niveau du carrefour de l’Europe, la rédaction d’Aulnaylibre ! est finalement arrivée juste à temps pour voir Liam Neeson fouler le tapis rouge du centre commercial O’Parinor avant de s’engouffrer dans la salle 1 du cinéma UGC d’Aulnay-sous-Bois. Nous vous proposons de revivre ce moment en vidéo.

Pour rappel l’acteur venait présenter son nouveau film balade entre les tombes. Demain nous publierons l’interview qu’il a bien voulu accorder devant une foule en délire.

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Publié dans #Culture

Publié le 9 Octobre 2014

4199931_photo-027-new.jpgCinq ans, jour pour jour, après le meurtre d’un jeune touriste américain dont le corps avait été découvert abandonné dans un espace vert à Aulnay-sous-Bois, le ou les auteurs n’ont toujours pas été identifiés. La dépouille, en état de décomposition avancée, de Justin Little, 21 ans, avait été retrouvée par un promeneur, le 9 octobre 2009, allongée sur le sol au croisement de l’avenue Raoul-Duffy et de la rue Paul-Cézanne, à proximité de la Cité des 3 000.

Un morceau de parpaing se trouvait à proximité de son crâne, qui présentait d’importantes fractures. Identifié grâce à son passeport, retrouvé à ses côtés, ainsi qu’à son tatouage présentant l’inscription «Sola virtus invicta» (Ndlr : la vertu seule est invincible), Justin Little a succombé aux nombreux coups reçus au niveau de la tête.

Sa dépouille a été restituée deux mois plus tard à sa famille. «Ce jeune homme n’avait plus donné signe de vie depuis la fin du mois de septembre, assure une source proche de l’affaire. Ses parents ne souhaitaient pas qu’il parte seul en France. Il souffrait d’une forme d’autisme. Il était passionné d’histoire et voulait visiter des monuments tels que le tombeau de Napoléon aux Invalides ou l’Arc de Triomphe».

Arrivé à Paris le 22 septembre 2009, en provenance de New-York, Justin Little avait surtout la ferme intention de s’engager dans la Légion étrangère. Avant de quitter son Oregon natal et la ville de Salem, située au Nord-Ouest des Etats-Unis, il avait pris rendez-vous au fort de Nogent (Val-de-Marne). Selon nos informations, le jeune garçon, accro aux jeux vidéos, avait également prévu, en cas de refus de la Légion étrangère, de rentrer le 5 octobre aux Etats-Unis.

Quel mobile ? Pourquoi là ?

Le mobile de son meurtre, dont l’enquête a été confiée aux policiers de la brigade criminelle, pourrait être crapuleux. Sur les lieux de la découverte de son corps, les policiers ont saisi, éparpillés çà et là, de nombreux vêtements, divers documents de voyage ainsi qu’une carte de Paris appartenant au jeune touriste. En revanche, sa carte de crédit siglée de la West coast bank ainsi que sa carte d’identité et son sac à dos n’ont jamais été retrouvés.

«Nous n’avons jamais réussi à comprendre ce qu’il était venu faire à Aulnay-sous-Bois où il ne connaissait personne, poursuit la même source. Il a été décrit comme un peu naïf par ses proches. L’un des scénarios envisagés est qu’il a suivi quelqu’un avant d’être violemment agressé et de se faire voler ses effets personnels. La juge d’instruction, en charge de ce dossier, l’a finalement clôturé au mois de mai 2012, faute d’éléments. Mais il ne sera définitivement refermé que dix ans plus tard, soit au mois de mai 2022».

Les parents, amis et proches de Justin Little ont crée une fondation à sa mémoire et une page Facebook* lui a également été dédiée.

*Justin Little Memorial Foundation

Source : LeParisien.fr

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 9 Octobre 2014

JCALors du prochain conseil municipal programmé le mercredi 15 octobre 2014 à 20h à l’Hôtel de Ville d’Aulnay-sous-Bois, le maire Bruno Beschizza devrait présenter la délibération numéro 5 dont l’objet est de modifier la dénomination de la place Camélinat dans le quartier Nonneville. Elle devrait désormais s’appeler place Jean-Claude Abrioux afin de rendre hommage à l’homme politique Aulnaysien qui été député de la Seine-Saint-Denis de 1993 à 2007, conseiller général de la Seine-Saint-Denis de 1982 à 1994, maire d’Aulnay-sous-Bois de 1983 à 2002 et membre du conseil municipal de 2003 à 2008.

Cette idée n’est pas nouvelle. Déjà en 2011, lors du décès de Jean-Claude Abrioux, l’hypothèse de débaptiser la place Camélinat, du nom du militant ouvrier Zéphirin Camélinat, avait été envisagée sans toutefois se concrétiser. Cette fois-ci, il semblerait que le temps soit vraiment venu.Camelinat1854

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Publié dans #Conseil municipal

Publié le 9 Octobre 2014

La brocante de l’association Just-ado-it, organisée dimanche dernier place Camélinat Jean-Claude Abrioux à Aulnay-sous-Bois, est achevée mais il semble pourtant rester un canapé cuir à saisir route de Bondy. Dépêchez-vous ! Il n’y en aura pas pour tout le monde !

CanapeCuir.jpg

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Publié dans #Divers

Publié le 9 Octobre 2014

liamneeson.jpgDeux jours après Omar Sy, c'est l'acteur américain Liam Neeson (« Taken », « Star Wars, épisode I : la Menace fantôme »...) qui sera ce soir à 19 heures à l'UGC Ciné Cité d'Aulnay. Inutile de chercher une place pour l'avant-première du film de Scott Frank, « Balade entre les tombes », qui affiche déjà complet. En revanche, les fans pourront apercevoir la star, qui foulera le tapis rouge déroulé pour l'occasion à l'entrée du multiplexe, et se livrera à une séance d'autographes.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Culture

Publié le 9 Octobre 2014

educ.jpgLes écoliers et collégiens de Seine-Saint-Denis auront-ils cours lundi matin ? Impossible encore de trancher réellement. Car si les parents d'élèves ont été prévenus depuis plusieurs semaines que les enseignants participaient cette matinée-là à une concertation sur les programmes scolaires, et donc que les enfants n'auraient pas classe, les événements se bousculent depuis hier. Et pourraient bien changer la donne.

Car hier, dans l'après-midi, la matinée banalisée a été annulée en Seine-et-Marne et dans le Val-de-Marne après deux recours déposés au tribunal administratif par des associations de parents d'élèves en début de semaine. Le rectorat, qui n'a pas voulu attendre la décision des tribunaux, a préféré reporter cette demi-journée. Une victoire pour les parents qui dénonçaient cette matinée de concertation « alors que cela aurait pu être organisé en dehors des heures de classes », râle Rodriguo Arenas, le 
président de la FCPE 93.

L'organisation des parents devrait être perturbée

En Seine-Saint-Denis, où aucun recours n'a été déposé par les associations de parents, la matinée banalisée reste pour l'instant maintenue, assure le rectorat dans un communiqué. « Nous ne voulions pas rentrer dans un bras de fer juridique, justifie Rodriguo Arenas. Nous avions communiqué notre désaccord, nous trouvions scandaleux d'imposer aux parents de faire garder leurs enfants un jour de semaine. Mais puisque le rectorat impose encore un régime à deux vitesses dans l'académie, et que cela va encore retomber sur les enfants de notre département, j'irai déposer demain matin (NDLR : ce matin) un recours pour la Seine-Saint-Denis. »

Et s'il espère obtenir gain de cause dans les temps, le président de la FCPE 93 assure qu'en cas d'échec, de nombreuses écoles seront occupées et « nous envahirons le hall de la direction académique ».

Quoi qu'il arrive, cette incertitude devrait perturber l'organisation des parents. A l'image de Zilia, dont les deux enfants sont scolarisés en primaire à Gagny. Secrétaire commerciale, elle a dû poser une journée de congé pour assurer la garde de ses enfants. « Avec la réforme des rythmes scolaires, j'ai déjà dû aménager mon 
emploi du temps avec mon employeur, explique-t-elle. Là, je vais perdre une journée de congé. Quoi qu'il arrive, mes enfants n'iront pas à l'école lundi entre 14 h 15 et 16 heures. Et si on me demande de justifier leur absence, je dirai que nous avions une consultation familiale ! »

Source : Le Parisien

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Publié dans #Education

Publié le 9 Octobre 2014

semaine-bleu-A.jpgDans le cadre de la semaine nationale des retraités et des personnes âgées qui se déroule du 13 au 19 octobre 2014, les foyers-clubs d’Aulnay-sous-Bois organisent un large éventail d’animations : ateliers, thé dansant, infos voyages, sorties promenades, chant, théâtre, sport de danse. L’ensemble du programme est disponible au format pdf en cliquant ici.

Source : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 8 Octobre 2014

Si l’ancien maire d’Aulnay-sous-Bois, Gérard Ségura, aime souvent répéter qu’on ne vit pas de souvenirs,  beaucoup d’Aulnaysiens gardent pourtant en mémoire la brutalité de sa politique urbanistique qui, pendant six ans,  a agressé bon nombre de quartiers, notamment pavillonnaires, de la ville.

pavillonclosdarcon.JPGAinsi, dès 2009, année de la suppression du Coefficient d’Occupation des Sols (COS), les modifications successives du plan local d’urbanisme (PLU) n’ont semblé tendre que vers un seul et unique objectif : densifier au maximum le moindre espace disponible. Il suffit pour s’en convaincre d’aller jeter par exemple un coup d’œil rue du clos d’Arçon dans le quartier Vieux-Pays. A cet endroit, la division facilitée des parcelles a permis l’édification de deux nouvelles constructions là où auparavant il n’en existait qu’une seule avec un grand jardin.   

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Ce type de désastres s’est propagé un peu partout dans la commune tout au long de la mandature de l’ancienne majorité municipale. Si, à l’époque, tous les regards se sont focalisés sur le drame vécu à la cité Arc-en-ciel, les décisions prises par Gérard Ségura et son entourage ont continué à allonger la liste des victimes. De ce point de vue, le centre gare nord a subi un véritable choc de béton visuellement perceptible rues Charles Dordain, Fernand Herbaut/Impasse des Marronniers, Jules Princet, Jean-Charcot etc…

Oh mon béton ! Tu es le plus beau des bétons !

2014-OCTOBRE-0444.JPGIronie du sort, alors que l’actuel vice-président du conseil général a sèchement perdu les dernières élections municipales, c’est aujourd’hui au tour de la rue Degeyter, située perpendiculairement au boulevard Lefèvre, non loin du square Volpati,  de subir l’invasion du béton. Comme un héritage des tristes années Ségura, un immeuble totalement en rupture avec ce secteur pavillonnaire de la ville est sur le point d’être achevé.

2014-OCTOBRE-0449.JPGComme vous pouvez le constater sur les photos prises par notre rédaction, la construction est si dense qu’elle colle littéralement à la clôture du chemin permettant d’accéder au pavillon voisin. La sensation d’enfermement est d’ailleurs particulièrement oppressante. Et ne parlons pas du jardin auparavant arboré, situé à l’arrière du nouveau bâtiment, qui devrait accueillir la bagatelle de huit places de parking, comme le prévoit le règlement de la zone UG !

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Au-delà des désagréments d’un chantier qui s’est déroulé dans des conditions particulièrement difficiles à supporter pour les riverains, la rue Degeyter est un funeste exemple de bétonnage rendu possible par les errements de l’ancien maire, incapable, malgré ses promesses, de préserver la zone pavillonnaire. Espérons désormais que le nouvel adjoint en charge de l’urbanisme Denis Cahenzli ne soit pas à son tour atteint de la fièvre du Monopoly et conserve à Aulnay-sous-Bois un visage humain, c’est-à-dire une ville  où il fait tout simplement bon vivre.

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 8 Octobre 2014

RER-B-AulnayAttention si vous devez prendre le RER B demain. Quatre syndicats ont déposé un préavis de grève qui court de jeudi 4 h 40 à vendredi 6 h 30. Selon la RATP, il n'y aura qu'un train sur deux entre Gare-du-Nord et Saint-Rémy-lès-Chevreuse - Robinson aux heures de pointe (6 h 30 à 10 heures et 16 h 30 à 21 heures) et un seul train par heure aux heures creuses. Un changement de train sera nécessaire à Gare-du-Nord. Ce mouvement des agents RATP aura également des répercussions sur la portion nord du RER B, gérée par la SNCF. Les syndicats dénoncent une politique du chiffre liée au contrat entre le Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif) et les opérateurs qui engendre des souffrances au travail, qui peut « impacter dangereusement la sécurité ferroviaire ». Selon Laurent Gallois (Unsa-RATP), des alertes lancées en janvier lors d'un comité d'hygiène et de sécurité extraordinaire n'ont pas entraîné de réaction.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 8 Octobre 2014

Ce samedi 4 octobre 2014 à la mairie était organisée une matinée d’accueil des nouveaux habitants de la commune. Une visite commentée en bus était également proposée afin de découvrir les nombreux atouts dont dispose notre ville.


Membres de l’Administration, élus, et néo-résidents Aulnaysiens ont ainsi pu échanger en toute convivialité au cours d'un moment à la fois fort et simple comme un message de  bienvenue à Aulnay-sous-Bois. 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 8 Octobre 2014

Marianne.jpgCe 2 octobre 2014, nous avons pris connaissance que le bureau départemental du Parti radical 93 décidait de soutenir la candidature de Jean-Christophe Lagarde pour son « talent », sa « détermination » et son « courage ».

On ne peut qu’être sensible à cette belle déclaration d’amour de Monsieur Chaussat et de son dévoué bureau quand on est en capacité d’occulter l’appui déterminant de son nouveau mentor à son investiture aux dernières municipales à Aulnay.

Aussi, nous ne ferons pas l’injure à Jacques de nous interroger sur ses motivations qui l’ont amené à céder ou abandonner la présidence du groupe UDI au Conseil général…

Ainsi, c’est donc à la présence de 5 personnes au bureau départemental (composé à ce jour de 8 membres et tenant sa légitimité du vote de quelques dizaines d’adhérents) à qui nous devons cette instrumentalisation et ce déni de démocratie militante !!!

Saluons ici notre ami Daniel JACOB qui a démissionné dignement en mai dernier de son poste de trésorier du bureau départemental ! Daniel, tu peux compter sur notre amitié et loyauté !

Tout cela nous pousse donc à penser que ce que Jacques ne supporte pas dans notre belle famille radicale, c’est l’expression d’une opposition légitime à son ambition destructrice qui empêche le renouveau.

D’ailleurs, nous sommes particulièrement troublés par les recours systématiques à l’encontre d’adhérents bien ciblés !!! Nous serions très curieux d’en connaître les motivations…

Enfin, ce n’est pas tant le soutien de Jacques et de 4 « personnes isolées » au député-maire de Drancy que nous mettons en cause, mais le fait que ce bureau masque la réalité militante du Parti radical de Seine-Saint-Denis.

D’ailleurs, ce bureau aurait gagné à permettre l’expression démocratique des adhérents radicaux du 9-3 qui a été démontré ce dimanche 28 septembre au Blanc-Mesnil par son SOUTIEN majoritaire à Yves JÉGO.

Billel OUADAH,
Conseiller départemental UDI
billelouadah.fr

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Publié dans #Communiqués

Publié le 8 Octobre 2014

C’était l’événement culturel de la soirée. L’équipe du film Samba présentait en avant-première le long-métrage au cinéma UGC d’Aulnay-sous-Bois. Enfin presque, puisque manquaient tout de même à l’appel Charlotte Gainsbourg, Izia Higelin et Eric Toledano.

Ce sont donc le réalisateur Olivier Nakache, Tahar Rahim et Omar Sy qui ont assuré la promotion de cette comédie à la fois grave et légère sur les sans-papiers, dont quelques scènes ont été tournées au centre commercial O’Parinor. Comme d’habitude Omar Sy a fait le show déclenchant rires et applaudissements devant une foule en délire. Bien que ce moment n’ait duré que cinq minutes, les protagonistes s’étant éclipsé avant la projection, la rédaction d’Aulnaylibre ! vous propose de le revivre en vidéo dans son intégralité.

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Culture

Publié le 8 Octobre 2014

sausset.jpgBOTTES AUX PIEDS et sécateurs à la main, une douzaine d'apprentis en restauration du Centre de formation de Villepinte, ont vendangé, hier, au parc départemental du Sausset à Aulnay-Villepinte. Pour la deuxième année, le parc ouvrait ses vignes pour permettre à ces élèves, en brevet professionnel ou en CAP, de découvrir la fabrication du vin, de la cueillette des grappes jusqu'aux premières étapes de la vinification.

Le matin est consacré au ramassage d'une partie des 2 000 pieds de vigne. Patrice Bersac, oenologue et président des vignerons franciliens explique les précautions à prendre pour couper le raisin sans danger. « Mettez bien une main sous la grappe afin que le plan de travail du sécateur ne soit pas dans le même plan que celui des doigts », prévient-il.

Accroupis dans la boue, les apprentis s'appliquent. Les clacs s'enchaînent, les seaux se remplissent avant que les premiers signes de fatigue et quelques coupures n'apparaissent. Heureusement, la boîte à pharmacie n'est pas loin, les blessés se remettent vite au travail. « Avec l'habitude de la cuisine, la fatigue, ça va », sourit Florian, 22 ans. William, lui, a déjà fait les vendanges en Champagne. « Ici, c'est cool », observe-t-il. L'ambiance est bon enfant. Le raisin, un pinot noir, est très beau, selon le maître de chai du parc. Il servira à produire du vin rouge, des confitures et du jus de raisin.

Hier après-midi, la cueillette terminée, les élèves ont découvert la vinification, dans une autre partie du parc. Pour M. Costé, formateur en cuisine au Cefaa, cette journée dans les vignes est « un gain de temps considérable ». « Cela permet à nos apprentis de mieux comprendre comment se fabrique un élément indispensable de la cuisine française. » Benjamin comme Fatima en sont conscients : « il est indispensable de connaître l'oenologie si l'on veut travailler dans la restauration ».

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #Environnement

Publié le 7 Octobre 2014

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Publié dans #Culture

Publié le 7 Octobre 2014

Peut-être ne le savez-vous pas, mais Aulnay-sous-Bois a été choisie il y a quelque temps pour tester un tout nouveau panneau susceptible d’être ajouté prochainement au code de la route. De forme rectangulaire, il représente un automobiliste qui semble jeter des détritus par la fenêtre. Pour indiquer que c’est mal, une croix rouge barre ostensiblement le véhicule et un message en gros caractère explicite le propos : NE JETEZ PLUS !

2014-OCTOBRE 0962Evidemment, vous l’aurez compris, cet article et le photo-montage qui l’accompagne sont bien entendu un énorme poisson d’avril avant l’heure ! En effet, qui aurait l’idée saugrenue d’inventer une telle signalétique pour rappeler une règle élémentaire de civisme nécessaire au bien vivre ensemble : la propreté c’est l’affaire de tous !

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Publié dans #Environnement

Publié le 7 Octobre 2014

cgtpsaaulnay.jpgL'affaire a fortement déplu aux militants CGT de PSA Aulnay. Hier, l'un d'entre eux a été entendu au poste de police du Galion, dans le quartier de la Rose-des-Vents. Il s'agit de Philippe Julien, délégué syndical de longue date au sein de l'usine, désormais quasiment vide et en cours de démolition.

Philippe Julien a été entendu en tant que témoin, dans le cadre d'une
enquête sur des faits remontant au 9 mars 2013. Le site PSA était alors paralysé par la grève, soutenue par la CGT et Sud. Le mouvement de grogne, qui a duré quatre mois, s'était accompagné de multiples opérations spectaculaires, dont une dizaine de « péages gratuits ». Une action simple, consistant à soulever les barrières d'un péage, pour permettre aux véhicules de passer gratuitement.

De multiples opérations « coup de poing »

Les grévistes avaient successivement ciblé les péages de Senlis (Oise), Saint-Arnoult (Yvelines)... Le 9 mars 2013, ils avaient ciblé Fleury-en-Bière (Seine-et-Marne), sur l'autoroute A 6. Une centaine d'entre eux avaient investi les lieux vers 17 h 30, soulevant les barrières de péage, et sollicitant au passage les automobilistes pour remplir la « caisse de grève ». « On m'a demandé ce que j'avais vu et si j'étais présent ce jour-là. Mais je ne m'en souviens pas, on a fait tellement de choses », explique Philippe Julien. Les grévistes ont en effet multiplié les opérations « coup de poing », faisant irruption dans les bureaux de Pôle emploi à Paris, occupant brièvement les locaux de l'UIMM (Union des industries et des métiers de la métallurgie)...

Lors de leur visite à Fleury-en-Bière, la société d'autoroute APRR avait fait appel à un huissier, pour faire constater l'« entrave à la perception d'un péage ». Elle aurait depuis déposé plainte. Le préjudice subi s'élèverait à plus de 54 000 €. Somme rondelette censée correspondre à de légers dommages commis sur une barrière et surtout le manque à gagner lié à cette « gratuité » imposée par les manifestants. Philippe Julien voit dans cette convocation « un acte de vengeance, à l'égard d'une grève qui n'a pas plu, et à l'égard des syndicats qui ont soutenu cette grève ». Un autre responsable syndical pourrait être entendu dans le cadre de cette enquête.

Source : Le Parisien

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 7 Octobre 2014

cannabis.jpgDeux hommes ont été arrêtés au volant d'un véhicule dimanche soir à Aulnay-sous-Bois pour défaut de permis de conduire et refus d'obtempérer. En voyant les policiers, ils avaient tenté de fuir et de se débarrasser d'un sac. Ils transportaient 97 g de cannabis et 2 650 € en liquide, dont on ignore la provenance. Une enquête est en cours.

Source : Le Parisien

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 7 Octobre 2014

Avis aux cinéphiles ! Le film « Samba » est projeté en avant-première ce mardi soir à l'UGC Ciné-Cité d'Aulnay-sous-Bois, en présence de l'équipe du tournage. Les comédiens Omar Sy, Charlotte Gainsbourg, Tahar Rahim et Izia Higelin seront aux côtés des réalisateurs Olivier Nakache et Eric Toledano pour présenter cette comédie qui sortira sur grand écran le 15 octobre.

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20 h 30 à l'UGC Ciné-Cité d'Aulnay. Entrée : 5 EUR.

Source article : Le Parisien / Photo : Aulnaylibre !

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Publié le 6 Octobre 2014

En 2004, le ministre délégué à la Ville, Jean-Louis Borloo, lançait le processus initiant la création de l’ANRU (l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine) comme guichet unique servant d’impulsion à de vastes transformations urbanistiques. L’ambition était de restaurer en profondeur de larges périmètres d’un quartier en procédant à la réhabilitation de logements, à la résidentialisation des copropriétés pour une meilleure délimitation entre espace privé et public, à la destruction d’habitat ancien pour reconstruction en neuf, à l’introduction de logements privés dans des secteurs qui en étaient dépourvus afin de favoriser une meilleure mixité  ou encore à la création de voies nouvelles dans un souci de désenclavement.

Balladeurbainerosesdesvents5.JPGC’est ainsi que le plan de rénovation urbaine (PRU), représentant un investissement de plus de 300 millions d’euros, a radicalement transformé le quartier de la Rose des Vents à Aulnay-sous-Bois. Le résultat est visuellement spectaculaire. Il suffit pour s’en convaincre de parcourir les rue Edgar Degas, Christophe Colomb ou Marco Polo, sans oublier l’allée de la Bourdonnais et le petit coin de paradis constitué par les jardins du Zéphyr, pour mesurer l’étendue des changements opérés dans ce secteur de la ville. Reste pourtant encore un choc visuel à l’entrée des 3000, l’incontournable barre du Galion, vestige obsolète d’un urbanisme des années passées, qui donne une impression d’enclavement déjà marquée par la présence de la RN2.

De la destruction du Galion à la construction d’un nouveau mur de béton

Sous la mandature de l’ancien édile Gérard Ségura, annonce avait été faîte de l’intention de détruire le Galion afin de repenser totalement l’espace, en vue de créer un poumon de respiration et une perspective plus ouverte notamment en direction du parc Robert Ballanger. Cette idée semble également portée par l’actuel maire Bruno Beschizza qui compte sur un nouveau plan de rénovation urbaine (ANRU2) pour pouvoir la concrétiser. C’est pourquoi , dans ce contexte, il est plutôt difficile de comprendre la logique qui a conduit à laisser sortir de terre les programmes de construction des ilots Delacroix et Sisley rue Paul Cézanne et Cours Salvador Allende. Ces immeubles d’une taille monstrueusement démesurée sont en effet en train d’enclaver à nouveau ce quartier.


S’il est évident qu’il est nécessaire d’élargir l’offre de logements afin d’améliorer le parcours résidentiel des Aulnaysiens, il ne faut pas confondre vitesse et précipitation. De ce point de vue, tout le monde garde en triste mémoire la folie bétonneuse de l’ancien maire d’Aulnay-sous-Bois, dont l’implacable logique consistait à densifier systématiquement au maximum le moindre espace disponible sans tenir compte du cadre de vie existant des habitants. Dans le cas présent, au lieu d’aérer ce secteur de la ville, ces nouvelles constructions participent à l’enclaver davantage, démontrant une fois de plus de façon flagrante les mauvais choix de Gérard Ségura. 

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 6 Octobre 2014

toureiffel.jpgLe vertigineux plancher vitré du premier étage rénové de la tour Eiffel, qui permet de marcher à 57 m au-dessus du vide, sera inauguré cet après-midi par la maire (PS) de Paris Anne Hidalgo. La société d'exploitation de la tour Eiffel (Sete) a profité du 125 e anniversaire de la Dame de fer pour réaménager le plus vaste étage du monument, qui est paradoxalement le moins fréquenté. Après deux ans et 30 M€ de travaux, l'espace d'un demi-hectare est désormais accessible aux personnes handicapées, doté de pavillons plus écologiques et d'un parcours muséographique modernisé. Avec 7 millions d'entrées par an, la tour Eiffel reste le monument payant le plus visité au monde.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 6 Octobre 2014

ILS FILMENT LA BANLIEUE. Invitée de la 8e édition du festival «Les Pépites du Cinéma», Alice Diop présente aujourd’hui son documentaire La mort de Danton. Cette cinéaste de 35 ans, prépare un moyen-métrage sur la solitude amoureuse de jeunes des quartiers. Portrait.

Invitée par Les Pépites du Cinéma (« un festival qui nous a révélé et qui a une nécessité absolue d’exister ») ce lundi 6 octobre 2014 aux côtés des réalisateurs Jean-Pierre Thorn et Rachid Djaïdani pour débattre de «Peut-on scénariser le réel ? », Alice Diop prépare actuellement un moyen-métrage, Vers la tendresse, récit de l’errance amoureuse d‘un groupe de jeunes hommes.

Alice.jpgProduite par Les Films du Worso et soutenue par le CNC, la Mairie de Paris et France 3, Alice Diop bénéficie d’une résidence à l’Espace Khiasma des Lilas (93), en collaboration avec l’association montreuilloise Cinévie. « Je mène des ateliers autour de la mise en scène et la réalisation du film. Certains jeunes seront stagiaires durant le tournage, d’autres comédiens ».

Née à Vincennes (94) en 1979 d’un père ouvrier et d’une mère femme de ménage sénégalais, Alice Diop est la benjamine d’une fratrie de cinq enfants. A la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois (93), quartier « pittoresque » et « chaleureux » où elle a grandi, elle connaît une enfance «heureuse et protégée ». Son déménagement dans une zone pavillonnaire à l’âge de 8 ans la plonge pourtant dans un ennui profond. L’alternative ? L’évasion littéraire. Les sœurs Brontë, Jane Eyre, Au bonheur des dames… « Je ressentais déjà une nécessité de partir même si je n’en avais pas conscience ».

Élève « assez moyenne » (« j’étais timide et réservée »), Alice Diop est placée en 4e dans une classe à pédagogie différenciée qui change sa vie « quinze élèves couvés et protégés par des professeurs bienveillants : cela m’a donné le goût du savoir et une curiosité insatiable ». Diplômée d’un Bac L, elle s’inscrit en Histoire à la Sorbonne Paris 1 et rédige un mémoire de maîtrise sur « Les intellectuels africains et la négritude autour de la revue Présence Africaine de 1947 à 1962 ».

Pour elle qui a grandi avec les films du dimanche soir que son père enregistrait méthodiquement (« il avait une collection de 4500 films »), la découverte de cartons pleins de pellicules photo lors du décès de celui-ci fut un véritable chamboulement « Lui qui était analphabète et ouvrier dans l’automobile n’avait absolument pas été destiné à cultiver cette fibre artistique dont je n’ai rien su. J’aime me dire que quelque chose de lui survit dans mon désir de cinéma».

C’est pourtant à la fac, en découvrant le documentaire Contes et comptes de la cour d’Éliane de Latour, qu’Alice Diop connaît son premier choc esthétique « ce film réunissait tout : un intérêt pour les sciences humaines pensé par le biais du cinéma». Elle décide alors de prendre une année sabbatique et fréquente assidument Beaubourg où elle dévore les films des documentaristes Frédéric Wiseman, Johan Van der Keuken et Chris Marker. Puis s’inscrit en DESS Image et société à la faculté d’Evry où, à travers les films de Godard, Pialat et Cassavettes, se confirme son envie de cinéma.

Par l’entremise de sa sœur, Alice Diop rencontre un producteur et réalise plusieurs documentaires pour l’émission L’œil et la main de France 5. En 2005, elle signe son premier documentaire diffusé sur la chaîne Voyage, La Tour du monde, sur la cité des 3000 à Aulnay, suivi, à la suite des émeutes, par Clichy pour l’exemple, diffusé sur France 5, racontant en creux «toutes les violences quotidiennes et silencieuses que subissaient et subissent encore les habitants des quartiers populaires ».

Par la suite, Alice Diop se forme six mois en écriture documentaire à La Fémis puis réalise Les sénégalaises et la sénégauloise sur les femmes de sa famille à Dakar avant de signer La mort de Danton primé au festival Cinéma du Réel de Paris, sur l’acteur Steve Tientcheu dont elle avait à l’époque « l’intuition de son talent », confirmé aujourd’hui par la certitude « de sa réussite ».

Adepte du cinéma d’Alain Giraudie et d’Abdellatif Kechiche mais surtout grande fan de Claire Denis qu’elle aimerait rencontrer «avec 35 Rhums, elle m’a fait prendre conscience qu’à travers mon corps noir je pouvais toucher à l’universel », Alice Diop s’avoue heureuse « d’avoir 35 ans en France en 2014 et de faire du documentaire. Ce qui se passe actuellement est extrêmement intéressant. Nous sommes une génération qui venons de ces quartiers-là et nous nous sommes emparés des outils intellectuels, de production et de création pour réaliser des choses qui ont été très peu produites avant ou en tout cas, pas par les gens qui en était issus».

Si la majorité de ses films se passent à la périphérie de Paris (« un terrain à explorer de l’intérieur »), Alice Diop ne situe pas son travail « en réaction » au traitement médiatique des banlieues. Au contraire. Pour filmer la banlieue, Alice Diop n’use que d’une seule et même ligne directrice  « donner un visage et un nom à des gens que l’on voit peu ».

 Claire Diao

Projection du documentaire La mort de Danton d’Alice Diop lundi 6 octobre 2014 à 15h à Commune Image, 8 rue Godillot 93400 Saint Ouen + rencontre professionnelle « Peut-on scénariser le réel ? » à 16h30 en partenariat avec Périphérie et le GREC en présence d’Alice Diop, Jean-Pierre Thorn et Rachid Djaïdani, animé par Isabelle Reignier, journaliste au Monde.

 Plus d’infos : http://www.lespepitesducinema

Source : http://www.bondyblog.fr/

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 6 Octobre 2014

Peau-dane_A_01.jpgÀ l'occasion du spectacle Peau d'âne, programmé samedi 17 janvier 2015 au théâtre Jacques Prévert, venez partager une expérience inédite où, de fil en aiguille, le conte nous amène à la couture !

Dans sa mise en scène de Peau d’âne, le célèbre conte populaire de Charles Perrault, Jean-Michel Rabeux crée une ambiance féerique en s’appuyant notamment sur les costumes. Nous vous invitons à imaginer et à créer votre « peau d’apparat » tout en découvrant les coulisses du métier de costumier de spectacle.

Au cours de cinq séances, du patron aux finitions, vous confectionnerez une cape selon vos inspirations en étant accompagné et conseillé par une costumière. Vous rencontrerez également le comédien Christophe Sauger, interprète de la fée marraine, qui vous présentera son personnage et l’univers de ce spectacle. Et lors d’une séance photo, il vous guidera pour prendre la pause dans votre « cape de lumière » !

En partenariat avec l’ACSA, le centre social Albatros et le PICA.

Tarifs et modalités d'inscriptions

Atelier accessible dès 15 ans, sur inscription. Aucune compétence n’est demandée, les débutants sont les bienvenus.

Forfait : 16€. Inclut la participation aux cinq ateliers et une place pour le spectacle 
Peau d'âne. Le matériel (tissu et fournitures) est à fournir.

Informations et inscriptions : Émeline Compain au 06 01 18 15 63
ou par email : emeline.compain [at] tcprevert.fr

Calendrier des séances :
• Séance 1 : vendredi 10 octobre 2014
• Séance 2 : jeudi 16 octobre 2014 de 19h à 22h
• Séance 3 : jeudi 13 novembre 2014 de 19h à 22h
• Séance 4 : lundi 15 décembre 2014 de 19h à 22h
• Séance 5 : vendredi 19 décembre 2014

Le lieu des ateliers vous sera précisé lors de l’inscription.

Source : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois / Crédit photo : Ronan Thenadey

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 5 Octobre 2014

"Par Toutatis" est une expression marquant la surprise qui a largement été popularisée par la bande dessinée "Astérix". C'est également le titre d'un morceau figurant sur l'EP NQNT de Vald. Ce dernier s'apprête d'ailleurs à en dévoiler le clip avant la sortie du projet prévue pour le 27 octobre 2014.

vald-pra-sente-le-teaser-de-son-nouveau-clip-par-toutatis-v.jpg

C'est lundi 6 octobre, jour du lancement de la pré-commande du EP que nous pourrons découvrir ce nouveau clip du jeune rappeur d'Aulnay-sous-Bois. À en croire le teaser, Vald a une fois de plus privilégier un esprit loufoque et décalé pour la mise en scène. On attend le résultat avec impatience !

Restez branchés sur Booska-p pour découvrir toutes les news autour de Vald et de son EP NQNT disponible dans les bacs et en téléchargement légal à partir du 27 octobre prochain. Pour toute l'actualité du rap français, abonnez-vous à la page facebook Booska-p et suivez-nous sur le compte Twitter Booska-p

Source : http://www.booska-p.com/

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture