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En janvier 2022, cet habitant de Bondy âgé de 70 ans a été admis en réanimation à l’hôpital Robert Ballanger à Aulnay-sous-Bois. Alors que l’équipe médicale s’était accordée à arrêter les soins en cas de rechute, son état de santé s’est considérablement amélioré. Son fils se confie au journal Le Parisien.

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Chaque année l'été s'accompagne de périodes de fortes chaleurs, facteurs de risques pour les plus fragiles. Dans le prolongement du plan canicule mis en place par la préfecture, la ville vous accompagne, via son centre de liaison et d'information pour le maintien à domicile (CLIMAD).

Nous invitons, les seniors de plus de 60 ans, les moins de 60 ans inaptes au travail et les personnes en situation de handicap à se faire recenser en cas de déclenchement d'une alerte canicule.

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Au 13 mai 2022, le cumul des décès du Covid-19 en Seine-Saint-Denis a atteint le chiffre de 3 031.

748 personnes sont toujours hospitalisées dans le département. Parmi elles, 31 sont en soins critiques.

Alors que toutes les restrictions liées à la pandémie sont levées les uns après les autres, la maladie n’a pas disparu. Il convient donc sans doute de rester prudent.

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La maternité du GHI Le Raincy Montfermeil est selon un classement du Figaro dévoilé le lundi 9 mai 2022 la meilleure maternité de Seine-Saint-Denis.

Le CHI André Grégoire à Montreuil et l’hôpital privé du Blanc-Mesnil figurent dans le top 30.

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Olivier Veran a fait cette annonce surprise à la sortie du dernier conseil des ministres du gouvernement Castex. Le masque ne sera plus obligatoire dans les transports en commun à partir du lundi 16 mai 2022.

Cette mesure s’applique également aux voyageurs prenant l’avion au sein de l’Union Européenne.

Rendez-vous après l’été pour savoir si le virus du Covid-19 s’étendra à nouveau et obligera le futur gouvernent à prendre des mesures contraignantes pour la population…  

En début de semaine, les urgences du centre hospitalier intercommunal ont fermé leurs portes et refusé les patients qui se présentaient en raison d’un manque de personnel : plus de la moitié des infirmiers et aides-soignants sont en arrêt maladie. Chronique, le déficit d’effectifs du service avait conduit l’été dernier à l’activation du plan Blanc.

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Les urgences de l’hôpital Robert Ballanger à Aulnay-sous-Bois sont restées fermées dans la nuit de lundi à mardi, par manque de personnel. Plus de la moitié des infirmiers et des aide-soignants du service sont en arrêt maladie, épuisés par le sous-effectif chronique.

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« On ne mettra jamais les femmes en danger, veut rassurer la direction du groupement hospitalier de territoire Grand Paris Nord Est (qui regroupe Aulnay, Montreuil et Montfermeil). S’il y a manque d’effectifs, on réduit les salles de naissance, on s’adapte. »

Pour faire face à cette pénurie qui frappe partout, plusieurs maternités du département ont commencé par mettre fin aux activités jugées non essentielles, comme la préparation à l’accouchement, la sophrologie, l’acupuncture, mais cela n’a pas suffi. Elles arrêtent désormais les inscriptions des femmes enceintes, même lorsque celles-ci habitent le secteur, c’est-à-dire qu’elles leur refusent la possibilité d’être suivie et d’accoucher dans leur structure. Cela s’était déjà produit l’été dernier ; cette fois, le phénomène s’intensifie.

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Faut-il y voir un signal de fin de pandémie ? Quoi qu’il en soit, la préfecture a pris un arrêté qui amorce la fermeture progressive des centres de vaccination anti-covid en Seine-Saint-Denis.

Depuis les campagnes électorales présidentielles et législatives, puis la guerre en Ukraine et son lot d’augmentation des prix, le Covid-19 a pratiquement totalement disparu des sujets de conversation.

Nul doute qu’on laissera probablement la population tranquille le temps des vacances d’été. Reste à savoir si les passes sanitaires et vaccinaux s’appliqueront de nouveau à la rentrée en cas de reprise de la maladie et des hospitalisations…

Pour rappel, avec un taux de couverture vaccinal de 67 %, le 93 est le département le moins vacciné de France métropolitaine.

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Une collecte de sang est prévue à Aulnay-sous-Bois le lundi 9 mai.

Vous aussi, sauvez de nombreuses vies !

Pour donner votre sang, rendez-vous :

Salle Chanteloup, 1 Avenue de Nonneville

Lundi 9 mai

14h30 à 19h30

Réservations en cliquant : ici

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Outre ses actions de terrain, Aulnay-sous-Bois a symboliquement illuminé le campanile en bleu ce week-end pour marquer la journée mondiale de sensibilisation à l’autisme.

La Seine-Saint-Denis est le département de France métropolitaine où la Covid circule le moins. Malgré près de 800 cas quotidiens enregistrés en moyenne entre le 11 et le 17 mars, le taux d’incidence ne dépasse pas les 333 cas pour 100 000 habitants.

Ce dimanche 20 mars 2022, 736 personnes étaient hospitalisées dans le département à cause du virus, dont 41 en service de réanimation.

Espérons que l’épidémie ne repartira à la hausse dans les semaines qui viennent. En attendant, il parait raisonnable de continuer à être prudents en respectant notamment les gestes barrières.

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La famille, les proches de Jean-Claude Seknagi et de nombreux soutiens ont manifesté ce dimanche devant l’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois. Ils demandent le droit à la vie pour cet homme âgé de 70 ans.

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Les poussières transportées du Sahara, à l’origine de la couleur orangée du ciel depuis mardi, comportent des éléments pouvant être toxiques, et des particules fines, qui peuvent donc pénétrer dans l’organisme, et provoquer des dégâts pulmonaires et cardiovasculaires.

Le Sirocco facilite la transmission des pathogènes par voie respiratoire écrit par exemple sur Twitter le biologiste médical Claude-Alexandre Gustave. Les particules de sable inhalées peuvent servir de véhicules aux bactéries, virus pathogènes. Elles favorisent aussi l’inflammation des voies respiratoires inférieures, ce qui peut compliquer des infections respiratoires ou pneumopathies chroniques.

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Depuis quelques jours déjà, l’épidémie de Covid-19 repart à la hausse dans notre pays. Les chiffres de santé publique France sont les suivants : + 116 618 cas confirmés, 20 919 patients hospitalisés, 17 83 patients en soins critiques et 146 décès.

Du coup se pose cette double question : la levée des mesures de protection juste avant les élections présidentielles n’est-elle pas un cadeau empoisonné ? Le retour du masque obligatoire en intérieur et du passe vaccinal est-il déjà programmé au lendemain du second tour prévu le 24 avril 2022 ?

Réponses dans un peu plus d’un mois…

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Ce lundi 14 mars 2022 commencera avec de nouvelles mesures d’allégement concernant la crise sanitaire liée au Covid-19.

Le port du masque ne sera plus obligatoire en intérieur dans les lieux publics fermés. Les seules exceptions à cette nouvelle règle concernent les transports collectifs et les établissements de santé où le masque restera obligatoire.

Le passe vaccinal est levé dans tous les lieux de loisirs, de culture ou encore les restaurants.

Le passe sanitaire fait son retour. Ainsi, un simple test de dépistage négatif sera suffisant pour accéder aux hôpitaux ou les Ehpad.

L’obligation vaccinale s’applique toujours au personnel soignant.

Le protocole sanitaire repasse au niveau 1 dans les écoles. Ainsi de l’école élémentaire jusqu’au lycée cela signifie la fin du port du masque en intérieur.

Enfin, en entreprise le protocole sanitaire se termine aussi ce lundi.

Ces aménagements interviennent au moment où le chiffre des contaminations repart à la hausse.

Rendez-vous donc après les élections…

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Face au léger rebond de l’épidémie de Covid-19, le premier ministre Jean Castex a annoncé ce samedi l’ouverture de la quatrième dose de vaccin aux personnes âgées de plus de 80 ans ayant reçu leur dose de rappel depuis plus de trois mois.

Même si les cas de Covid repartent à la hausse, la stratégie du gouvernement, qui a annoncé la suspension du passe vaccinal à partir de ce lundi 14 mars, ne devrait pas changer de stratégie dans la lutte contre l’épidémie.

On en reparlera sans doute après l’élection présidentielle des 10 et 24 avril 2022.

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Cette décision, la famille de Jean-Claude Seknagi, un patient du centre hospitalier intercommunal (CHI) Robert-Ballanger, à Aulnay-sous-Bois, la redoutait. Le médecin expert missionné le 24 février par le tribunal administratif de Montreuil vient de rendre son rapport. Ses conclusions vont dans le sens des réanimateurs de l’hôpital, lesquels ont décidé de ne pas procéder à une réanimation active de cet homme de 70 ans si son état de santé venait à se dégrader.

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Sur décision du corps médical, Jean-Claude Seknagi un homme de 70 ans actuellement en soins à l’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois, ne serait pas réanimé si son état de santé venait à se dégrader. Une perspective qui scandalise la famille. « On tue notre père, et nous avec » déclarent les enfants tandis que la femme de l’homme hospitalisé exprime sa douleur.

Dans ce cas précis, famille et soignants s’opposent et la justice vient de nommer un médecin expert pour trancher ce cas épineux qui pose questions sur l’euthanasie et la fin de vie.

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Il n’y a pas si longtemps tous les Français applaudissaient les personnels soignants. En effet, tout le monde a en mémoire ces claquements de mains réitérés tous les soirs à 20 heures et relayés par les médias au début de la crise du Covid-19.

Et puis patatras ! Plus un bruit, finies les standing ovations c’est désormais l’indifférence et le silence qui règnent.

Ajoutez-y des conditions de travail pénibles et des salaires de misère, et cela explique sans doute ce chiffre vertigineux : il manquerait 2 820 infirmiers dans les 154 établissements hospitaliers que compte l’Ile-de-France.

La profession ne semble plus attirer ou susciter des vocations. Même le dispositif exceptionnel lancé il y a six semaines en Ile-de-France exclusivement pour fidéliser les intérimaires infirmiers n’a séduit que 63 volontaires. 38 infirmiers ont déjà signés et 25 s’apprêtent à le faire. C’est donc une goutte d’eau dans l’océan…

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Dans le cadre de la campagne « Mars bleu » dédiée au dépistage du cancer, des actions ainsi que des stands seront mis en place pour sensibiliser.

Exposition – sensibilisation :

Du 7 au 31 mars

CMES Louis Pasteur, 8-10 avenue Coullemont

Stands d’information et de sensibilisation :

Mardi 15 mars • 14h - 16h

Foyer Club André Romand, 13 rue André Romand

Mercredi 16 mars • 14h – 17h

Association Les Femmes Relais, 16 rue Edgar Degas

Vendredi 25 mars • 9h30 à 16h30

Hôpital privé de l’Est Parisien, 11 avenue de la République

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Mal rémunérées, mal considérées et soumises à des rythmes qui mettent parfois leurs patientes en souffrance, ces professionnelles de l’accouchement doivent aussi faire face au cruel manque de personnel qui touche l’hôpital.

Le site marieclaire.fr leur consacre un reportage réalisé à la maternité de l’hôpital Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois à lire en cliquant : ici

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Le premier ministre Jean Castex s’apprête à annoncer ce jeudi 3 mars 2022 la fin du passe vaccinal à partir du 14 mars 2022. Par ailleurs, le port du masque en intérieur ne devrait plus être obligatoire à l’exception des transports en commun et des établissements médicaux. Le passe sanitaire serait néanmoins maintenu dans certains endroits.

Ces annonces devraient être faites dans le journal de 13h sur TF1 par Jean Castex.

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A compter de ce lundi 28 février 2022, les Français pourront se passer du masque dans les lieux clos où le passe vaccinal est obligatoire. Sont notamment concernés les bars, cafés, restaurants, stades, salles de sport, cinémas, bibliothèques.

Le port du masque reste en revanche en vigueur dans les transports en commun (TGV, métros et bus).

C’est évidemment une excellente nouvelle. Un espace santé vient d’ouvrir 9 rue du 11 novembre à Aulnay-sous-Bois. Situé en face de la gare du RER B, ce centre dispose de différents praticiens : généraliste, ophtalmologue, orthoptiste Pédiatre, Sage-femme, Gynécologue et Audioprothésiste.

Téléphone : 01 86 70 80 80

Mail : espacesantesaulnay@gmail.com

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