environnement

Publié le 8 Octobre 2014

sausset.jpgBOTTES AUX PIEDS et sécateurs à la main, une douzaine d'apprentis en restauration du Centre de formation de Villepinte, ont vendangé, hier, au parc départemental du Sausset à Aulnay-Villepinte. Pour la deuxième année, le parc ouvrait ses vignes pour permettre à ces élèves, en brevet professionnel ou en CAP, de découvrir la fabrication du vin, de la cueillette des grappes jusqu'aux premières étapes de la vinification.

Le matin est consacré au ramassage d'une partie des 2 000 pieds de vigne. Patrice Bersac, oenologue et président des vignerons franciliens explique les précautions à prendre pour couper le raisin sans danger. « Mettez bien une main sous la grappe afin que le plan de travail du sécateur ne soit pas dans le même plan que celui des doigts », prévient-il.

Accroupis dans la boue, les apprentis s'appliquent. Les clacs s'enchaînent, les seaux se remplissent avant que les premiers signes de fatigue et quelques coupures n'apparaissent. Heureusement, la boîte à pharmacie n'est pas loin, les blessés se remettent vite au travail. « Avec l'habitude de la cuisine, la fatigue, ça va », sourit Florian, 22 ans. William, lui, a déjà fait les vendanges en Champagne. « Ici, c'est cool », observe-t-il. L'ambiance est bon enfant. Le raisin, un pinot noir, est très beau, selon le maître de chai du parc. Il servira à produire du vin rouge, des confitures et du jus de raisin.

Hier après-midi, la cueillette terminée, les élèves ont découvert la vinification, dans une autre partie du parc. Pour M. Costé, formateur en cuisine au Cefaa, cette journée dans les vignes est « un gain de temps considérable ». « Cela permet à nos apprentis de mieux comprendre comment se fabrique un élément indispensable de la cuisine française. » Benjamin comme Fatima en sont conscients : « il est indispensable de connaître l'oenologie si l'on veut travailler dans la restauration ».

Source : Le Parisien

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 7 Octobre 2014

Peut-être ne le savez-vous pas, mais Aulnay-sous-Bois a été choisie il y a quelque temps pour tester un tout nouveau panneau susceptible d’être ajouté prochainement au code de la route. De forme rectangulaire, il représente un automobiliste qui semble jeter des détritus par la fenêtre. Pour indiquer que c’est mal, une croix rouge barre ostensiblement le véhicule et un message en gros caractère explicite le propos : NE JETEZ PLUS !

2014-OCTOBRE 0962Evidemment, vous l’aurez compris, cet article et le photo-montage qui l’accompagne sont bien entendu un énorme poisson d’avril avant l’heure ! En effet, qui aurait l’idée saugrenue d’inventer une telle signalétique pour rappeler une règle élémentaire de civisme nécessaire au bien vivre ensemble : la propreté c’est l’affaire de tous !

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 29 Septembre 2014

mauvaise-odeur.jpgA moins d’avoir le nez complétement bouché, de nombreux habitants de notre commune ont probablement senti comme une drôle de mauvaise odeur à Aulnay-sous-Bois il y a quelques semaines. Ces effluves nauséabondes provenaient en réalité des campagnes d’épandage de lisiers et effluents d’élevage sur les terres agricoles situées en Seine-et-Marne à l’Est de notre ville.

 

fumier_epandage.jpgIl faut savoir que ce procédé est autorisé par la loi et qu’il est même bénéfique pour les sols et les cultures. L’agriculteur a pour obligation d’enfouir ces effluents sous 24 heures pour en limiter les nuisances. L’épandage se déroule deux fois par an en fin de printemps et en automne.

Par malchance les vents n’étaient pas favorables cette année et les odeurs se sont propagées jusqu’à Aulnay-sous-Bois.

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 27 Septembre 2014

En regardant la photo ci-dessous vous devez instinctivement vous dire : non mais c’est bien sûr, voici un cliché pris à Giverny la commune de Haute-Normandie (Eure) bien connue pour abriter la maison et les jardins du peintre impressionniste Claude Monet !

2014-JULY-0341.JPG

Et bien en fait non ! Cette image a été prise à Aulnay-sous-Bois dans le parc départemental du Sausset. Ouvert en 1981, l’idée de cet espace vert, situé à cheval sur notre commune et Villepinte, a germé dans l’esprit du Conseil Général de Seine-Saint-Denis dès 1972 puisqu’une réserve foncière de 200 hectares de terres agricoles avait été constituée pour équilibrer l’implantation de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle et anticiper la densification des zones alentours restées constructibles.

Parmi les joyaux de ce lieu classé Natura 2000 il y a le Marais. Créé de toute pièce par la main de l’homme, il a pourtant tout de suite été adopté par des espèces d’oiseaux qui y nichent régulièrement ou occasionnellement. Les photos illustrant ces quelques lignes ont été prises de cet endroit.

2014-JULY 0343Alors, si vous n’avez pas le temps d’aller dans l’Eure, rendez-vous au parc du Sausset à Aulnay-sous-Bois et vous verrez qu’il suffit d’attendre la lumière complice du soleil pour qu’il prenne les teintes des tableaux de Claude Monet…

Robert Ferrand

Source données historiques de l’article en provenance du Cercle Archéologique et Historique de la Région d’Aulnay (C.A.H.R.A.)

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Environnement

Publié le 25 Septembre 2014

Chaque année c’est la même histoire. Alors que la saison fait tourner au ralenti la végétation, invariablement le miracle de la nature accomplit son œuvre. C’est ainsi qu’aux alentours du 22 septembre le muguet d’automne fleurit à Aulnay-sous-Bois.

2014-JULY-0960.JPGPour tenter d’en savoir un peu plus sur ce phénomène qui intrigue le jury des maisons et jardins fleuris de notre commune et ébranle même les certitudes des experts botanistes, la rédaction d’Aulnaylibre est allée à la rencontre de celui qui perpétue cette tradition séculaire.

Lou Ferrigno, jardinier Aulnaysien, témoigne :

« J’ai toujours eu la main verte vous savez ! Le secret du muguet d’automne ?  C’est le mélange. Mon terreau maison est enrichi avec des épluchures d’oranges de Sicile et des grains de sable du désert Tunisien. Mais le petit coup de génie je vous le livre : c’est les Gipsy Kings ! Et oui, le sol Aulnaysien étant composé de grandes quantités de Gypse, je diffuse tous les soirs à mes boutures un titre version karaoké du groupe  en fredonnant : Poussare, oh, oh ! Sans engrais, oh oh oh oh ! Voilà vous savez tout ! ».

Alors que l’urbanisation galopante gagne chaque jour un peu plus de terrain, écrasant sous le béton les humains, Lou Ferrigno, sous la bienveillante protection de Dame Nature, résiste et cultive son jardin où pousse l’incroyable muguet d’automne d’Aulnay-sous-Bois.

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 25 Septembre 2014

velib.jpgPour la deuxième semaine consécutive, la Ville de Paris a décidé d'instaurer la gratuité de Vélib' et d'Autolib' en réponse à l'épisode de pollution qui touche la capitale. Airparif, l'organisme chargé de surveiller la qualité de l'air en Ile-de-France, prévoit un nouveau dépassement du seuil d'information aujourd'hui. En conséquence, les abonnés au service Autolib' bénéficient d'une heure de gratuité, tandis que les cyclistes pourront circuler à Vélib' sans payer si leur trajet n'excède pas trente minutes. La gratuité du stationnement résidentiel, mise en place hier, est reconduite. La mairie de Paris prépare actuellement un « plan d'envergure » contre la pollution atmosphérique liée au trafic routier qui devrait être présenté devant le Conseil de Paris en novembre.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 11 Septembre 2014

potager.jpgC'est gratuit.
Nature. 
A Aulnay-Villepinte, les secrets du potager vous seront inculqués dimanche au parc du Sausset. Rendez-vous est donné à 14 h 30 par l'association Jardinot à la Maison du Sausset (inscription obligatoire sur parcsinfo.seine-saint-denis.fr ou au 01.71.29.20.80. Gratuit, enfant dès 10 ans.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 10 Septembre 2014

Paris et une grande partie de l’Ile-de-France sont bâtis sur des vides, conséquences de l’extraction du calcaire en sous-sol depuis le Moyen-Age. Albin Guyon, de l’exploitation générale des carrières, veut sensibiliser les habitants.

Habiter au-dessus d'une ancienne carrière est fréquent en Ile-de-France (voir carte) et cela comporte des risques. Ces dernières semaines, par exemple, des jardins se sont effondrés en Seine-Saint-Denis, à Clichy-sous-Bois comme à Sevran. Albin Guyon, chef de l'inspection générale des carrières, veut sensibiliser les particuliers à ce « risque invisible » comme il l'appelle. En cas de dommage, c'est leur responsabilité qui est engagée, car lorsqu'on achète un terrain, on est aussi propriétaire du sous-sol.

gyspe.pngQuels sont les risques liés au sous-sol ?

Albin Guyon. Une carrière, c'est un vide en sous-sol, qui peut se dégrader, remonter en surface et entraîner des fissures, un effondrement de terrain... On appelle ça un fontis. Nous en constatons au moins une dizaine par an, à Paris et en petite couronne. L'événement le plus marquant du XX e siècle, ce fut l'effondrement d'une carrière de craie à Clamart, dans les Hauts-de-Seine, tout un quartier est descendu de plus de 3 m, en 1961, il y eut 21 morts. En 1991, dans le massif de l'Hautil, en limite du Val-d'Oise et des Yvelines, il y a aussi eu un décès.

Que savez-vous de l’état des carrières ?

On dispose d'un état des lieux assez précis, sur la base d'un atlas entamé au XIX e siècle et continuellement remis à jour. On dispose aujourd'hui de 458 cartes sur Paris et la petite couronne. Chacun peut savoir quelle carrière il y a sous sa maison.

Qu’allait-on chercher dans ces carrières ?

Au sud de Paris, on exploitait du calcaire pour construire. Cela a duré du Moyen Age jusqu'au début du XX e siècle. Le calcaire se situe de quelques mètres à plus d'une trentaine de mètres de profondeur selon les endroits. Au-dessus, on trouve parfois du gypse, qui sert à faire du plâtre. On en a au sud, mais aussi à l'est sur les buttes Montmartre, les buttes-Chaumont, à Belleville à Paris, et plus à l'est avec Vaujours, Coubron en Seine-Saint-Denis, en Seine-et-Marne et dans le Val-d'Oise. On en exploite encore dans certaines communes. On a aussi exploité la craie, sur les coteaux de la Seine (Issy-les-Moulineaux, Meudon et Sèvres) et dans les Yvelines. Ces carrières ont donné des vides un peu partout.

Peut-on se prémunir des risques ?

Il faut se renseigner et tout mettre en oeuvre pour le réduire au maximum. Nous avons pour cela un portail d'information. En rentrant son adresse, on sait si son bien est en zone de carrière*. Et nous donnons notre avis pour la délivrance des permis de construire. On peut être amené à refuser un permis si on a une connaissance insuffisante des sols. Il faudra alors réaliser des sondages supplémentaires ou des travaux de consolidation.

Vous voulez dire qu’on ne peut pas prévoir un effondrement ?

Non ! D'ailleurs les anciennes carrières abandonnées sont considérées juridiquement comme des risques naturels. Les vides sont la conséquence de l'action de l'homme, mais les matériaux se dégradent ensuite progressivement, ce sont des phénomènes lents et imprévisibles qui peuvent être aggravés par les fuites de réseau d’eau par exemple.

Quels autres risques existent ?

Le gypse antéludien (qui date d'environ 40 millions d'années) peut provoquer également des effondrements. On en trouve surtout à Paris et en Seine-Saint-Denis. Dans cette zone, il y a un risque de dissolution qu'on ne peut pas évaluer. Lors du creusement du RER B, une cavité a été découverte sous la gare du nord, qui faisait une quinzaine de mètres de diamètre et autant en hauteur ! C'était à proximité d'un endroit où la SNCF pompait l'eau pour les machines à vapeur. Le gypse étant soluble dans l'eau, s'il se dissout, ça crée un vide. Et comme pour les anciennes carrières, il va falloir entreprendre des travaux de réduction des risques, c'est le même traitement que pour les carrières. On sait que ce risque existe mais on ne sait pas s’il y aura des désordres ni quand.

*http ://igc.paris.fr.

Source : Le Parisien

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 29 Août 2014

Un fidèle lecteur d’Aulnaylibre !, qui a visiblement la main verte, nous a transmis une photo présentant sa récolte du jardin. De quoi rappeler peut-être que, malgré un environnement de plus en plus urbanisé, il est encore possible de produire ses fruits et légumes à Aulnay-sous-Bois.  En tout cas, ce cliché nous a donné envie de relire un classique parmi les classiques à savoir Candide de Voltaire où il est écrit que pour être heureux il suffit de cultiver son jardin…

SAM_1599--3-.jpg

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 29 Août 2014

chauve-souris-copie-1.pngLa nuit internationale de la chauve-souris se déroule ce week-end. Comme chaque année, le parc départemental du Sausset, à Aulnay-Villepinte, vous invite à venir découvrir ce drôle de petit animal. Demain après-midi, de 15 heures à 18 heures, un jeu de piste et un atelier de création de masques attendent les enfants qui pourront profiter ensuite, jusqu'à 19 heures, de contes. De 20 h 30 à 23 heures, une sortie nocturne avec des animateurs vous permettra d'observer les chiroptères dans la nature. C'est gratuit mais il faut impérativement s'inscrire*.

D'autres sorties dans le Vexin

Pour mieux voir ces insectivores volants, on peut aussi se rendre dans le département du Val-d'Oise, l'un des derniers bastions des chauves-souris en Ile-de-
France. Dans le Vexin, sont concentrées 18 espèces différentes sur les 20 encore présentes dans la région, la pipistrelle bien sûr mais surtout un type de chauve-souris qui est en train de disparaître : le petit rhinolophe. Ce chiroptère d'à peine 5 g, qui a la particularité de se draper complètement dans ses ailes lorsqu'il est au repos, se voit de moins en moins. « Il y a un siècle, on en voyait partout en Ile-de-France, mais aujourd'hui il n'en reste plus que dans le Vexin », observe Nicolas Galand, chargé de mission faune au parc naturel régional. Cette espèce très fragile s'installe dans les combles des vieilles maisons.

Si la nuit internationale de la chauve-souris remplit une mission de sensibilisation, c'est bien toute l'année que les habitants sont invités à être attentifs à la présence des chiroptères. « Nous demandons aux gens qui localisent des colonies de nous prévenir », explique Nicolas Galand. « Ces rassemblements de femelles (pendant l'été au moment de la reproduction) sont rares, il est donc important de les protéger. » Car d'une manière générale, toutes les populations de chiroptères ont tendance à régresser en Ile-de-
France. Les chauves-souris sont pourtant d'une grande utilité. « Elles ont un rôle d'insecticide naturel, s'il n'y en avait plus nous serions envahis de moustiques et d'insectes nuisibles pour les cultures. »

* Demain, au parc du Sausset, à Aulnay-Villepinte. Inscription obligatoire au 01.71.29.20.80
Aujourd'hui et demain au bois du moulin de Boisemont à Chars (Val-d'Oise), inscriptions obligatoires 01.48.60.13.00.
Demain, à 20 h 30, à Bernes- sur-Oise (Val-d'Oise), projection sur le mode de vie nocturne des chauves-souris et insectes puis sortie pour les observer dans le marais, inscriptions au 06.10.03.74.19.

 Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 11 Juin 2014

 

Vous trouverez ci-dessous un tract de l’association Aulnay Environnement qui annonce la commémoration des inondations du 19 juin 2013 à Aulnay-sous-Bois. Rendez-vous est donné le samedi 21 juin 2014 à 11h place du Général de Gaulle en face de la gare RER. Vous êtes invités à venir nombreux avec vos seaux, vos amis et vos voisins.

EAU1.png 

EAU2.png

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 19 Mai 2014

QUEL AVENIR POUR AULNAY ?

Qu’en est-il du « bétonnage » ?

Quelles modalités de la révision et des modifications du PLU ?

Quelle réflexion sur la prévention des inondations ?

QUELLE VILLE VOULONS-NOUS ?

AulnayEnvironnement.jpgAulnay Environnement, association dont la réflexion et l’action sont centrés sur la maîtrise de l’urbanisation, a, dans le respect le plus strict de l’indépendance associative, pris contact avec les 4 listes déclarées dès novembre 2013 pour leur soumettre un questionnaire afin de mieux connaître leur projet d’évolution urbaine. 

La liste du maire élu a inscrit dans son programme entre autres: 

Réviser le PLU en début de mandat en concertation avec les habitants.

Stopper le bétonnage qui défigure la ville

Rétablir le COS (coefficient d’occupation des sols)  pour lutter contre la densification de la zone pavillonnaire… 

Nous pensons que notre action n’est pas étrangère à cette intention de révision.

Notre tâche sera d’abord de négocier les modalités de la révision pour qu’il y ait une véritable concertation avec la population et les associations.

Mais sans attendre la révision (qui peut durer plus de 2 ans) nous voulons une modification du PLU qui revienne rapidement sur les modifications que nous avions dénoncées.

rétablissement du COS,

fin des facilités de division de terrains en zone UG (pavillonnaire)

Freiner l’imperméabilisation des sols est fondamental pour la prévention des inondations !

Nous demandons aux élus une réunion sur ces sujets sans attendre l’anniversaire des inondations du 19 juin.  Pour faire le point avec la municipalité et la population, nous vous invitons à une

Réunion publique le 23 mai à 20 heures

au foyer Dumont 

Nous appelons les « inondés » à être présents au conseil municipal de fin juin

en espérant avoir des premières réponses.

Pour les « inondés » nous revendiquons aussi de nouveaux bassins de rétention :

rue de Picardie et sur le terrain des « Impôts » de la Croix Blanche. 

Prévenir et empêcher les inondations c’est urgent ! 

La révision du PLU et le retour au COS  (coefficient maximum d’occupation des sols)

c’est grâce à l’action d’Aulnay Environnement !

Adhérez à AULNAY Environnement !  

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 16 Mai 2014

10 mai 2014, 8h30 : nous avons rendez-vous au centre technique pour profiter de notre prix gagné lors du concours annuel des maisons, balcons et jardins fleuris. Il y a 2 ans, nous avions pu admirer le magnifique jardin de Claude Monet à Giverny et l’année dernière nous avions visité  les hortillonnages d’ Amiens.

Cette année, le mot « Culture » était de nouveau au rendez-vous, dans les deux sens du terme bien sûr.

En route pour Chatenay Malabry, et quelle surprise – après 40km – de nous retrouver à Aulnay !  Ou, plus exactement au Val d’Aulnay où se situe l’arboretum de la Vallée-aux-Loups, avec même son petit  « ru d’Aulnay ».

vallee-aux-loups-1.pngNous avons pu y admirer deux  arbres classés « remarquables » :

Un Cèdre bleu pleureur de l’Atlas, unique en son genre, magnifique, planté en 1895 (680 m² de surface de ramure)

Un Chêne à feuilles de myrsine  (un des rares exemplaires européens)

L'Arboretum abrite près de 500 espèces d'arbres et d'arbustes sur une surface de 12,7 hectares. Cèdre bleu pleureur, Erables, Chênes d'Amérique, Chênes des Marais, Ginkgo biloba, Arbre à caramel, Tulipier de Virginie, Chêne-bambou, …..

Les arbres centenaires constituent un patrimoine paysager et horticole unique, dont le sujet le plus exceptionnel est le cèdre bleu pleureur.

vallee-aux-loups-2.png.jpg.png

Il existe également un nombre extraordinaire de rhododendrons, de glycines et d’azalées, en fleur actuellement : un émerveillement pour les yeux.

vallee-aux-loups-3.pngNous avons visité ensuite la maison de chateaubriand, avec son parc de 10,7 ha. L’écrivain a porté une attention toute particulière à son parc et a planté lui-même des espèces parfois rares lui rappelant ses souvenirs de voyage : cèdre du Liban, platane de Grèce, cyprès chauve de Louisiane, tulipier, catalpa, magnolia, hêtre pourpre, etc.

Comme au Parc du Sausset où on a introduit les chèvres des fossés, plusieurs brebis de race Romane et un bélier de race Berrichonne sont désormais dans le parc de la Maison de Chateaubriand. L’Arboretum possède, lui, des moutons d’Ouessant. Tous ces animaux pratiquent l’éco-pâturage, permettant ainsi de réduire la pollution sonore et d’économiser de l’énergie (pas de tondeuse).

vallee-aux-loups-4.png.jpgProgramme complet, organisation sans tache : merci à la Municipalité et aux Espaces Verts de nous avoir permis de découvrir ces merveilles.

Inscrivez-vous nombreux jusqu’au 1er juillet 2014 au concours des maisons, balcons, et jardins fleuris. C’est très facile, par internet sur le site officiel de la mairie : aulnay-sous-bois.fr

Ensemble faisons fleurir la ville

Anne-Marie

 


Voir les commentaires

Rédigé par Anne-Marie Lobbé

Publié dans #Environnement

Publié le 16 Mai 2014

AirqualityEn progrès, mais doit mieux faire. C'est ce qui se dégage du bilan sur la qualité de l'air en Ile-de-France en 2013, dévoilé mercredi par Airparif. L'an passé, ce sont près de 1,4 million de Franciliens qui ont été « potentiellement concernés » par la pollution aux PM10, des particules fines dont les pics sont en partie liés au trafic routier. Ce chiffre est jugé encourageant. C'est quasiment deux fois moins qu'en 2012 (2,6 millions d'habitants de la région parisienne avaient été touchés). Mais l'association chargée de la surveillance de la qualité de l'air reste vigilante. « 2013 montre une légère tendance à la baisse des niveaux de pollution chronique, se félicite Airparif, mais la qualité de l'air reste problématique en Ile-de-France. »

Les dépassements de seuil restent nombreux

L'Union européenne (UE), qui s'oppose à la 
France à travers un contentieux concernant la qualité de l'air, fixe le seuil réglementaire pour la pollution aux particules fines à 35 jours de dépassement par an. En 2013, décrétée « année européenne de l'air » par l'UE, cette limite a été franchie à plusieurs endroits de la capitale et sur les principaux axes routiers. Hormis les particules fines (PM10 et PM2,5), trois autres polluants sur la soixantaine mesurée par Airparif restent problématiques : le dioxyde d'azote, l'ozone et le benzène.

Une batterie de mesures en préparation

« Nous sommes une vigie », rappelle le président d'Airparif, Jean-Félix Bernard. Si elle n'a aucun pouvoir de décision, l'association pousse pour « des actions fortes et pérennes », comme la création de zones de basses émissions ou zones d'action prioritaire pour l'air (Zapa), où sont exclus les véhicules plus polluants. Un dossier que compte relancer la semaine prochaine la mairie de Paris. Le Plan de protection de l'atmosphère d'Ile-de-France, approuvé en mars 2013 par la préfecture, prévoit un retour de la région sous les seuils de toxicité... en 2020.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 17 Mars 2014

pollution-la-circulation-alternee-ne-sera-pas-reconduite-ma.jpgLe Premier ministre a pris la décision de ne pas reconduire mardi la circulation alternée en Ile-de-France, qui prendra fin lundi à minuit, a annoncé lundi 17 mars à la presse le ministre de l'Ecologie, Philippe Martin. La gratuité des transports en commun cessera à la fin du service, dans la nuit de lundi à mardi, a également indiqué le ministre. Cette décision a été prise "au vu des résultats" lundi, qui montrent "une nette tendance à l'amélioration" de la pollution de l'air aux particules, a expliqué le ministre. Les niveaux de pollution aux particules seront mardi "inférieurs au seuil d'information", a-t-il précisé. "La circulation alternée pour Paris et les 22 communes de la petite couronne prend donc fin ce [lundi] soir à minuit, ainsi bien sûr, à la fin du service, que la gratuité des transports publics communs", a déclaré le ministre. Philippe Martin a par ailleurs salué "le civisme et la coopération des Franciliens".

90% des véhicules en circulation dans la capitale avaient une plaque impaire", a-t-il souligné.

 Il a également relevé que "les craintes de pagaille et de blocage de Paris nés du souvenir de 1997 ne se sont pas confirmées, bien au contraire". "La fluidité de la circulation en Ile-de-France et à Paris a été assurée", a-t-il dit. "Mieux, les bouchons ont été moins importants que pour un lundi habituel avec une diminution de 62% par rapport à lundi dernier de ces bouchons", a-t-il poursuivi. Un bilan "plus complet et plus détaillé" doit être fait dans les jours qui viennent, a encore indiqué le ministre.

Plus de 5.700 PV

Près de 4.000 procès-verbaux (3.859) pour non-respect de la circulation alternée, et 1.884 infractions pour d'autres motifs, ont été relevés lundi 17 mars à 12 heures, selon la préfecture de police de Paris. Parmi les autres motifs figurent le non-respect de la réglementation par les poids lourds en transit. "Le comportement de 27 contrevenants a nécessité l'immobilisation administrative de leur véhicule", est-il précisé. La PP se félicite que "les appels au civisme et au respect de la réglementation ont été largement respectés et suivis d'effet, 90% des véhicules en circulation dans la capitale se révélant être des véhicules autorisés à circuler". Pour veiller au respect de la circulation alternée, quelque 700 policiers sont mobilisés, sur une soixantaine de points de contrôle. Les automobilistes et motards qui bravent l'interdit sont passibles d'une amende de 22 euros (35 si elle est payée plus tard). S'ils refusent de faire demi-tour, leur véhicule sera immobilisé.

"Deux fois moins" de bouchon "que d'habitude"

La mise en oeuvre de cette mesure a engendré une diminution très significative du trafic dans la capitale (-25% aux heures de pointe) et sur les voies d'accès à celle-ci (25 à 30% de baisse selon les axes), selon la PP. La mesure "a entraîné 60% de congestion en moins sur les axes franciliens, ce qui est vraiment énorme", a déclaré Françoise Hardy, chargée de la circulation et la sécurité routière, lors d'un point presse. "Nous sommes dans les moyennes les plus basses jamais atteintes", a assuré Françoise Hardy, précisant que vers 9 heures, seuls 40 km de bouchons avaient été relevés contre 120 km en temps normal. Peu avant 8 heures, le Centre national d'information routière comptait 90 km de bouchons dans la région. C'est "deux fois moins que d'habitude", commentait un porte-parole. La mesure, décidée ce week-end, pourrait être reconduite mardi, jour pour lequel Airparif prévoit une "nette amélioration" de la qualité de l'air.

Gratuité des transports : 4 millions d'euros par jour

Jean-Paul Huchon, président PS de l'Ile-de-France, a déclaré que la gratuité des transports franciliens instaurée depuis vendredi coûtait à sa région 4 millions d'euros par jour et qu'il allait demander un effort à l'Etat. "C'est le Stif, donc la région, qui paye" cette gratuité qui restera en place "jusqu'à la fin du pic de pollution", a indiqué le responsable sur LCI. Jean-Paul Huchon, qui préside aussi le Stif (Syndicat des transports d'Ile-de-France, autorité organisatrice des transports), a relevé que cette gratuité "coûte 4 millions d'euros par jour". "Je suis en discussion avec le gouvernement" pour "qu'il prenne sa part de la charge", a-t-il noté. Jean-Paul Huchon était arrivé au siège de LCI en voiture à immatriculation paire - interdite en ce jour de circulation alternée - mais il a indiqué qu'il s'agissait d'un véhicule hybride, comme tout le parc de la région, et donc autorisé en tout temps. Cette circulation alternée est "une bonne mesure" mais décidée "peut-être un tout petit peu trop tard", selon lui. 

Hausse des consultations dans les hôpitaux

Les consultations liées à la pollution ont augmenté depuis vendredi dans les hôpitaux franciliens, particulièrement pour de jeunes enfants, a indiqué la ministre de la Santé Marisol Touraine, sur RTL. "Depuis vendredi, de manière mesurée mais significative, nous avons constaté qu'il y avait davantage de consultations en particulier de jeunes enfants dans les hôpitaux, uniquement de la région parisienne, et cela a pesé" dans la décision de mettre en place la circulation alternée, a déclaré la ministre. "Chaque jour qui passe de pollution fait grandir les risques" pour la santé, a ajouté Marisol Touraine. Concernant les mesures prises depuis le début du pic de pollution jusqu'à l'instauration de la circulation alternée, le gouvernement s'est inscrit dans "une démarche progressive et graduée", a-t-elle affirmé. "Face à un risque avéré, il est nécessaire de prendre des décisions importantes. (...) Lorsque la mesure a été appliquée en 1997, on a constaté une diminution assez forte de la pollution", a-t-elle ajouté.

Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 16 Mars 2014

3676929_11-0-4191214945_545x341.jpgUNE CINQUANTAINE de cyclistes ont manifesté hier après-midi au Blanc-Mesnil contre le stationnement régulier de 13 000 wagons par an contenant des produits toxiques à la gare de triage de Drancy. En avril dernier, le préfet a pris un arrêté interdisant toute nouvelle construction dans un périmètre de 620 m autour de la gare. « C'est notre 10e manifestation en un an et nous n'arrêterons pas tant que la menace existe », tonne Alain Ramos, président du collectif de riverains en colère. Il réclame la suppression du danger soit par le contournement de l'Ile-de-France, une solution à 3 Mds EUR, soit par la création de tunnels étanches sur le site. « Nous avons remporté une première bataille avec la création d'un comité d'information qui s'est réuni en février dernier, souligne le maire PC du Blanc-Mesnil, Didier Mignot. Il faut maintenant que RFF et la SNCF comprennent le désarroi des habitants. »

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 15 Mars 2014

Les transports en commun en Ile-de-France seront gratuits jusqu’à dimanche soir pour pousser les automobilistes à délaisser leur voiture durant le pic de pollution, a annoncé le Syndicat des transports en Ile-de-France, au troisième jour de seuil d'alerte maximum.

 4383405_6_c258_ill-4383405-3941-avant-jpg.jpg«Considérant les risques importants pour la santé des Franciliens, j'ai décidé, en lien avec le gouvernement, d'assurer la gratuité des transports publics dans toute la région pendant toute la durée du pic de pollution», a annoncé Jean-Paul Huchon, président (PS) du Stif (autorité organisatrice des transports) et de la Région Ile-de-France. 

Concrètement, l'ensemble des métros, RER, trains et bus seront donc gratuits de l'ouverture du réseau à 5H30 à la fermeture du réseau jusqu’à dimanche soir. Il n'y aura toutefois pas de réduction sur les cartes d'abonnement hebdomadaires ou mensuelles. «Je demande à tous les Franciliens de privilégier l'usage des transports en commun», insiste Jean-Paul Huchon.

A Paris, devant la longueur de l'épisode de pollution, la ville a décidé de rendre gratuits les systèmes de transport en libre-service, Autolib' et Vélib'. Les Parisiens profitent visiblement à plein de cette gratuité : « Sur la tranche 7 heures-13 heures, l’utilisation des Autolib’ a augmenté de 46 % et celle des Vélib’ de 62 % sur la tranche 7 heures-14 heures (ce jeudi) », se félicite la mairie. La gratuité des Vélib’ ne concerne que les tickets journaliers. Quant aux Autolib’, seuls les abonnés — 103 000 personnes en tout — bénéficient de la mesure qui doit se poursuivre jusqu’à la fin de l’épisode de pollution aux particules fines.

4383404_6_094b_ill-4383404-7c50-apres-jpg.jpg

Par ailleurs, les vitesses maximales sont juridiquement abaissées en Ile-de-France à 110 km/h sur les portions d’autoroute normalement limitées à 130 kilomètres/heure, à 70 km/h sur les portions d’autoroutes, voies rapides, routes nationales et départementales normalement limitées à 90 km/h et à 60 km/h sur le boulevard périphérique. Mais les réductions de vitesse ont un effet «assez modeste», a toutefois souligné Gilles Aymoz, responsable qualité de l'air à l'Ademe. 

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 11 Mars 2014

3661825_2.JPGL’Observatoire régional des déchets (Ordif) annonce que la quantité d’ordures ménagères diminue. Leur traitement reste néanmoins problématique.

C'est une bonne nouvelle pour l'environnement en Ile-de-France. En 2012, le nombre de déchets ménagers et assimilés (DMA) produits par les Franciliens a reculé de 70 000 t sur un an pour s'établir à 5,62 millions de tonnes. Enlevons quelques zéros pour rendre ce chiffre plus concret : en 2012, chacun des 11,9 millions de Franciliens a produit en moyenne 472 kg de déchets. Ce sont aussi huit kilos de moins qu'en 2011, précise l'Observatoire régional des déchets (Ordif), qui présente ce matin ses dernières données en la matière.

Prévention et fibre écolo ont permis leur réduction

L'une des raisons de ce recul, c'est la 
crise. En période de vaches maigres, on consomme moins et donc logiquement, on produit moins de déchets. « Mais c'est difficilement mesurable et ce ne peut pas être le seul facteur d'explication », prévient Geneviève Wortham (PS), présidente de l'Ordif.

Elle préfère y voir les premiers résultats de la mise en place, pour les plus anciens en 2009, de plans locaux de prévention des déchets (PLP), « qui concernent aujourd'hui 76 % de la population francilienne ». Si l'Ordif estime qu'il est « encore trop tôt pour évaluer l'impact de ces programmes », il constate que « 80 % des collectivités engagées dans un PLP depuis 2009 ont enregistré une baisse de leur ratio de collecte d'ordures ménagères, contre 70 % en moyenne dans l'ensemble de la région ».

Pour sa part, la vice-présidente chargée de l'environnement à la région, Corinne Rufet (EELV) veut y voir « une prise de conscience du problème de la part des Franciliens, qui contrairement à d'autres causes écologiques, est très concret. Les déchets, on y est confronté à chaque fois qu'on pose le pied sur la pédale de sa poubelle ».

Au niveau des départements, les situations peuvent être très variables. Ainsi, c'est en Seine-et-Marne que la quantité de DMA par habitant, comprenant les quantités déposées en déchetteries, a le plus reculé : la poubelle moyenne y pèse 23 kg de moins qu'en 2011. A l'inverse, la Seine-Saint-Denis et les Yvelines sont les deux seuls départements où la DMA a augmenté avec respectivement + 2 kg et +1 kg.

Cependant, la Seine-et-Marne reste le département où on remplit le plus son vide-ordures : avec 540 kg de déchets par habitant, on est très loin des 394 kg produits par les habitants des Hauts-de-Seine, les plus vertueux en la matière. Le Val-d'Oise et ses 505 kg de déchets par habitant se trouve en 3e position. Les Yvelines avec 476 kg se situent dans la moyenne.

« En Grand-Couronne, les modes de vie sont différents. Les gens y produisent davantage de déchets verts (feuilles, branches, gazon...) qu'en Petite Couronne », explique Geneviève Wortham. Seul bémol, si le nombre de déchets diminue, la façon de les traiter ne change pas et reste essentiellement nuisible à l'environnement.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 10 Mars 2014

3649485_d4af6c72b83bf1cf1eebc99501253764adf7e26d_640x280.jpgDe loin, la Tour Eiffel paraît enveloppée dans un châle de brume. Alors qu'un nouveau pic de pollution est atteint ce lundi en Ile-de-France, les associations «Ecologie sans frontière», «Respire» et «le Rassemblement pour la Planète» ont décidé de porter plainte contre X pour mise en danger d'autrui. Toutes trois ont indiqué qu'elle serait déposée mardi.  Il s'agit d'une première en France. «Il y en a ras-le-bol de ce phénomène de la pollution de l'air. Dès qu'il fait beau, dès qu'il fait sec en hiver, vous avez des pics de pollution, les urgences se remplissent. Les slogans et les petites manifs très gentils ça ne suffit plus», lance ce lundi matin sur France Info le vice-président d'Ecologie sans frontière, Nadir Saifi. 

L'épisode de pollution aux particules qui touche l'Ile-de-France depuis mercredi devrait se prolonger en ce début de semaine, avec un dépassement attendu lundi du seuil d'information, a indiqué dimanche l'association francilienne de surveillance de l'air Airparif. Le seuil d'information correspond à une concentration moyenne dans l'air de 50 microgrammes par m3 de PM10 (particules au diamètre inférieur à 10 micromètres) et le niveau d'alerte à une concentration de 80 microgrammes par m3.

Vendredi, 
ce seuil d'alerte, le plus haut niveau de mise en garde accompagné de réductions de vitesse pour les automobiles, avait été déclenché. Ce dimanche, un vent un peu plus fort et une circulation moins intense ont offert un peu de répit aux poumons des Franciliens, même si le niveau de pollution restait important.

Dans un communiqué dimanche, la préfecture de police de Paris a conseillé aux populations les plus sensibles d'éviter les activités sportives intenses et de consulter médecins ou pharmaciens «en cas de gêne respiratoire ou cardiaque inhabituelle». Les automobilistes, eux, sont invités à «différer leurs déplacements» et à «emprunter prioritairement les réseaux de transport en commun». 

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 21 Février 2014

3610323_11-0-4120004910_545x341.jpgL'Ile-de-France dispose encore de 5 000 exploitations agricoles, mais plus pour longtemps, selon Christophe Hillairet, président de la chambre d'agriculture interdépartementale Ile-de-France Ouest. « Si on continue à construire des maisons sur les terres agricoles et à les commercialiser au rythme de 1 700 ha consommés par an, dans 150 ans, il n'y en aura plus aucune dans la région francilienne », assène-t-il. En dix ans, 1 460 exploitations ont disparu, deux sur trois en quarante ans, note le ministère de l'Agriculture dans son dernier recensement.

La Seine-et-Marne reste aujourd'hui le département francilien le plus agricole avec 2 500 exploitations. « On représente la moitié de la région, précise Thierry Bontour, président de la chambre d'agriculture de la Seine-et-Marne. On subit le phénomène d'urbanisation après nos collègues d'Ile-de-France Ouest, mais on est aussi touché, avec Marne-la-Vallée entre autres. On perd 1 000 ha de terres par an. » Les Yvelines, l'Essonne et le Val-d'Oise se positionnent tout juste derrière en nombre d'exploitations. Dans la petite couronne, l'agriculture reste seulement présente dans le Val-de-Marne et en Seine-Saint-Denis.

La baisse du nombre d'exploitations en dix ans concerne surtout le maraîchage, l'horticulture ornementale et l'élevage de volailles. La culture des céréales demeure la plus importante. « Mais elle est aussi menacée aujourd'hui, on l'a vu avec le Plateau de Saclay (Essonne) et ses 400 ha mangés pour une université et pareil pour les champs du Triangle de Gonesse (Val-d'Oise) avec le projet de création d'un centre commercial et de loisirs », regrette le président de la chambre interdépartementale, Christophe Hillairet.

« Quand on croque un hectare de terre agricole, on supprime la possibilité de nourrir huit à dix personnes », gronde-t-il.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 19 Février 2014

Ressourcerie2mains.jpgAULNAY. La Ressourcerie 2mains inaugure ce soir, à 18 heures, sa nouvelle boutique* située dans le centre-ville d'Aulnay. Ouverte depuis fin janvier, elle propose des produits recyclés. Les clients sont de plus en plus nombreux, certains en sont mêmes des visiteurs quotidiens. Samedi dernier, le magasin a déjà presque atteint son objectif journalier en termes de ventes. Les objets sont collectés, triés et rénovés par des salariés en insertion socioprofessionnelle. Vêtements, accessoires de mode, vaisselle, objets de décoration et livres sont proposés à des prix très attractifs, de 0,50 EUR à 10 EUR.

* 15, route de Bondy. Ouverte le lundi et jeudi, de 10 heures à 13 heures, puis de 14 h 30 à 17 h 30, et le mercredi, vendredi et samedi, de 14 heures à 18 heures.

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 7 Février 2014

Au Blanc-Mesnil, le projet d’usine de méthanisation, qui devrait sortir de terre en 2018 en bordure d’Aulnay-sous-Bois, est loin de faire l’unanimité. Porté par le Syctom -l’agence métropolitaine des déchets ménagers (84 villes)- et le Siaap -le syndicat d’assainissement de la région parisienne- il vise à créer un équipement capable de recycler les boues rejetées par la nouvelle usine d’épuration de la ville et les déchets organiques, pour produire du biogaz et du compost. Un « atout écolo » disent les uns, « un danger sanitaire et olfactif » rétorquent les autres…

usine-methanisation-blanc-mesnil-aulnay.jpgDIDIER MIGNOT, MAIRE SORTANT ET CANDIDAT PC-FG. « Ce projet mettra en synergie le Siapp et le Syctom pour traiter les eaux usées et les ordures ménagères. Il n’a rien à voir avec celui de Romainville [décrié, il avait été annulé par le Tribunal administratif en avril 2013]. L’usine de Blanc-Mesnil est 10 fois moins importante et il s’agit d’une collecte de biodéchets organiques. Ce qui peut être dangereux dans ce type d’équipement, c’est quand il traite le tout-venant des poubelles car c’est le tri mécano-biologique de ces déchets qui provoque parfois des incidents. Ce n’est pas le cas chez nous. Il nous faut aussi prendre nos responsabilités : en 2015, l’incinération et l’enfouissement des déchets seront interdits et les villes qui ne trouveront pas de solution alternative paieront des amendes. Qu’il y ait de l’inquiétude des habitants par rapport à un site industriel, c’est légitime. Mais il n’est pas raisonnable pour des opposants politiques de jouer sur des peurs qui n’ont pas lieu d’être. Mieux vaut ouvrir le débat comme nous l’avons fait, en organisant des réunions. Une enquête publique sera aussi lancée. Je reste mobilisé et méfiant, notamment sur la question des nuisances olfactives. Le conseil municipal a voté à l’unanimité l’adoption d’une charte qui permet à la ville d’obtenir un suivi des contrôles et des informations à tout moment. Si je n’ai pas ses garanties, je ne délivre pas le permis de construire. »

THIERRY MEIGNEN, CANDIDAT UMP. « Le permis de construire n’est pas encore délivré, l’enquête publique n’a pas commencé. Si je suis élu, je tordrai le coup à ce projet. Je ne nie pas qu’il faille trouver des solutions à l’enfouissement et l’incinération des déchets mais ne mettons pas cette usine dans un site d’urbanisation dense. Elle n’a pas sa place dans ce quartier. Je me suis aussi renseigné sur ce qui se faisait en Allemagne ou en Suisse allemande, deux pays pionniers en matière de méthanisation. Ces pays-là reviennent en arrière, ils se sont rendu compte que les composts produits et répandus sur les cultures agricoles polluaient les sols. En France, les habitants proches de ces usines se plaignent souvent des odeurs, avec à la clé la perte de valeur de leur patrimoine immobilier. On ne peut pas dire’non’à la gare de triage de Drancy et’oui’à ce type d’équipement. Au Blanc-Mesnil, nous avons l’usine de traitement des eaux usées du Siapp, l’usine chimique L’Oréal, l’aéroport : il faut répartir les charges, nous ne sommes pas la poubelle du département ! »

EDWIN LEGRIS-LAURENT BENHAIM, CANDIDATS DVD. « La ville de Blanc-Mesnil est coincée entre les autoroutes A1, A3, la gare de triage de Drancy, les aéroports : nous sommes déjà la zone la plus polluée de France. Et nous avons aussi la société Air Liquide [entreprise spécialisée dans les gaz, technologies et services pour l’industrie et la santé] qui monte en puissance. Les problèmes territoriaux à régler sont nombreux, rien ne sert d’en rajouter. On a beau dire que la gestion du méthane est sans danger, implanter une telle usine ici n’est pas une bonne idée. Nous ne nions pas qu’il y a des besoins mais pour Blanc-Mesnil, on a déjà assez chargé la barque. En l’état, si nous sommes élus, nous mettrions le projet en suspend pour regarder de plus près les tenants et les aboutissants comme l’implication de la ville à long terme vu que c’est un site qui est destiné à évoluer, en termes de volume de déchets traités… »

MARC BOULANGER, CANDIDAT DVD. « La problématique de gestion des déchets est exponentielle dans les villes. Au Blanc-Mesnil, la croissance démographique se traduit par l’arrivée de nouvelles infrastructures, quartiers, habitations… Il faut donc trouver des solutions pour la création d’un environnement durable et favorable à une gestion des déchets sur la commune. A ce stade, il me semble important de proposer malgré tout un cadre d’actions qui seront à réaliser en parallèle du projet de construction de l’usine de méthanisation, comme la mise en place d’un programme de sensibilisation de masse auprès des populations sur la problématique et les enjeux d’une gestion de nos déchets ou l’obligation de développer des bassins d’emploi dans cette filière, en y associant dès le départ des structures de formations professionnelles, voir en en créant de nouvelles. Le ministère de l’Emploi et les structures d’appui et de pilotage de ses missions doivent participer aux travaux dans ce sens. L’accompagnement par un cabinet externe à une bonne gestion technique et financière de la future usine de méthanisation ainsi que l’aide aux communes dans la gestion et le contrôle du site sont aussi essentiels. »

FLORENCE BEDAGUE, CANDIDATE LO. « Il est de la responsabilité des communes et des agglomérations de traiter les déchets qu’elles produisent. Mais il n’y a pas de solution merveilleuse. Toute activité industrielle est potentiellement dangereuse pour la population. D’autant que le critère de fonctionnement de ce type de structures, c’est la rentabilité, donc les économies sur le personnel, qui impactent nécessairement la sécurité, dans quelques secteurs d’activité que ce soit. Nous restons donc méfiants, à l’écoute de la population. L’usine de méthanisation, c’est un équipement qui sera utile mais il faut vérifier que ce sera fait dans un cadre où les meilleurs moyens seront mis en place. Si nous sommes élus, on écoutera ce que pensent les Blancmesnilois sur cette usine de méthanisation, nous inviterons la population à mettre son nez dans ce dossier, en lui donnant le maximum d’éléments. Le vrai danger objectif pour la ville, c’est la gare de triage de Drancy. Il faut regarder ce problème en face. »

Source : Le Parisien

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 6 Février 2014

Une tempête peut en cacher une autre. A peine remis des dégâts causés par Petra, les Bretons vont devoir affronter une nouvelle perturbation baptisée Qumaira, qui va frapper le nord du pays cette nuit.

« Les vents vont encore atteindre 120 à 130 km/h en Bretagne et dans la Manche. Par contre, ce qui est nouveau, c'est que la tempête va également toucher le nord-est de la Loire. En Ile-de-France, les rafales vont monter jusqu'à 100 km/h contre des vents de 20 à 30 km/h en temps normal. Les Franciliens n'ont pas l'habitude des tempêtes. Il faut être très prudent et éviter de sortir », conseille David Dumas, consultant à l'Observatoire français des tornades et orages violents. Une troisième tempête devrait encore frapper la Bretagne dans la nuit de dimanche à lundi. « Le temps ne va pas vraiment évoluer dans les deux prochaines semaines, ajoute Michel Daloz, prévisionniste chez Météo France. Le mois de février sera plutôt doux et pluvieux avec des risques d'inondations encore probables en Bretagne et dans le Sud-Est. Pour l'instant, on ne prévoit pas de grosses vagues de froid. Le printemps pourrait même être chaud et sec. »

Source : Le Parisien Vidéo : Aulnaylibre !

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 2 Février 2014

periph.jpgDeux associations ont saisi le Conseil d'État. Elles estiment que cette baisse de la vitesse autorisée n'aura aucun effet positif sur la pollution, les nuisances sonores ou le nombre d'accidents.

 À peine un mois d'existence et déjà attaqué. Le décret qui fait passer la vitesse de 80 à 70 km/h sur le périphérique parisien depuis le début de cette année est mis en cause par deux associations. L'Automobile club des avocats et la Ligue de défense des conducteurs ont déposé, dès ce mardi, un recours devant le Conseil d'État. Les deux structures estiment que cette mesure ne peut prospérer car fondée sur «une erreur manifeste d'appréciation». En termes moins juridiques, cela signifie que l'équipe de Bertrand Delanoë, pour faire passer cette baisse, a mis en avant des objectifs qui ne tiennent pas la route, estime Me Matthieu Lesage.

 «Il a été dit que cette limitation allait faire reculer la pollution sonore et de l'air et qu'elle allait améliorer la sécurité routière. Rien de tel», dénonce ce dernier, à l'initiative de cette requête avec Me Rémy Josseaume. Des critiques identiques avaient d'ailleurs été émises par la candidate UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet, dès le lendemain de l'annonce de cette mesure. Dénonçant l'absence d'impact de cette décision, cette dernière avait promis le rétablissement de la vitesse initiale, si elle était élue. Pour cette action en justice, les deux avocats ont compilé des extraits d'études figurant dans ce recours de 13 pages.

Six tués en 2011

Concernant la sécurité routière, les enjeux sont tout d'abord faibles. Par rapport au trafic journalier de 270.000 véhicules, le nombre de tués est peu élevé: six en 2011. Selon Rémy Prud'homme, professeur émérite d'économie, spécialiste des finances publiques et des transports, largement cité, cette baisse va par ailleurs générer un trafic plus dense. On roule moins vite -la vitesse moyenne qui est de 39 km/h passe à 36 km/h-, on reste donc plus longtemps sur le périphérique et la circulation augmente. Or, selon le spécialiste, la densité accrue du trafic est génératrice d'accidents. «Cela va annuler les prétendus effets positifs d'une baisse de la vitesse sur l'accidentalité», selon Me Lesage.

 Autre point passé à la moulinette: le recul annoncé des nuisances sonores. Or Bruitparif, l'observatoire d'Ile-de-France, estime que cette diminution de 10 km/h entraînera une baisse du bruit sans grand effet. «Peu perceptible pour l'oreille humaine», elle «sera insuffi­sante pour améliorer significativement à elle seule la qualité de vie des riverains les plus proches du périphérique», est-il écrit. Quant à la promesse d'une amélioration de l'air, le recours fait état de diverses études indiquant, au contraire, que la diminution de la vitesse va même détériorer la situation. L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie indique: «Quand on est trop bas en vitesse, on peut émettre plus de polluants.» Contrairement à ce que l'on peut penser, rouler à très faible allure, comme c'est le cas en dessous de 40 km/h, augmente la consommation de carburant et les émissions de pollution, rappelle Rémy Prud'homme. «Cette annonce a été une mesure purement politique et il va être intéressant de connaître la position des juges», indique Me Josseaume. Or le Conseil d'État ne devrait pas statuer avant un an.

Source : http://www.lefigaro.fr/

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 2 Février 2014

manif-air.jpgDe faux avions survolent le Trocadéro à basse altitude. Sous ces engins, gonflables, des hommes et des femmes portent des masques et des blouses blanches. En chœur, ils scandent des slogans : « Paris ton sale air irrespirable, irresponsable, mon air, c’est mon droit, l’avenir c’est changer d’air »… Bienvenue au carnaval des asphyxiés, initié par Ile-de-France environnement (IDFE fédère 370 associations), qui se déroulait hier après-midi à Paris.

Plusieurs dizaines de personnes étaient rassemblées pour dire « stop à la pollution en tous genres ». « Les conséquences sur les habitants sont considérables. En France, on compte 3 millions d’asthmatiques », insiste Michel Riottot, président d’IDFE. A Paris, cette pollution provient de deux sources : « La première est liée à la circulation automobile, la seconde, au chauffage résidentiel », détaille Michel Riottot.

Pour réduire ce « sale air » IDFE propose des solutions. « En attendant des voitures électriques moins polluantes, il faut utiliser le gaz naturel pour véhicules. C’est faisable rapidement, martèle Michel Riottot. Et il faut développer les réseaux de chaleur. C’est en cours mais ça ne va pas assez vite. »

Soudainement, un bruit retentit. « Vous entendrez cela toutes les douze minutes », prévient une manifestante au micro. La raison? « Chaque année, toutes les douze minutes, une personne meurt prématurément à cause de problèmes de pollution, notamment celle engendrée par les avions », assure le président d’IDFE. C’est justement le troisième point important évoqué hier. D’ailleurs, nombreux étaient les habitants du Val-d’Oise et les adhérents de l’association de défense des riverains de l’aéroport de Roissy (Advocnar) à avoir fait le déplacement. « Quand je suis arrivée à Montlignon, en 1986, il y avait un avion toutes les cinq minutes, maintenant il y en a trois par minute », déplore Kati. Son jardin, cette quadragénaire ne s’y rend quasiment plus. « Le bruit des avions nous empêche de tenir une discussion et il faut voir l’état de la table de jardin, pleine de particules noires », souffle-t-elle.

A quelques mètres de là, Christine chante des slogans à tue-tête. Puis, elle lâche : « Je suis là pour défendre mon cadre de vie. » Comme les manifestants rencontrés, elle aimerait « que les vols de nuit soient arrêtés. A Orly (NDLR : Val-de-Marne), c’est déjà le cas ». Tous souhaitent une réduction du trafic aérien pour « protéger la santé des citoyens, martèle Patrick Kruissel, membre de l’Advocnar. La loi de juillet 2010, votée dans le cadre du Grenelle II, permet de diminuer les vols en cas de pics de pollution, mais elle n’a jamais été appliquée. »

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement