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Publié le 2 Mars 2016

Le syndicat SUD appelle à un mouvement de grève ce mercredi dans les caisses d’allocations familiales (CAF) de Seine-Saint-Denis. Il dénonce le fait que les agents d’accueil sont confrontés à un rythme et des conditions de travail particulièrement difficiles. Il rappelle que la semaine dernière à l’agence de Saint-Denis une salariée s’est fait agresser (insultes, crachat) et que l’équipe doit parfois finir à 18 h 30. Le syndicat alerte sur un risque d’épuisement professionnel et regrette également la fermeture d’agences en début d’après-midi pour gérer le flux d’allocataires. Il réclame, entre autres, le renforcement des effectifs, la transformation des CDD en CDI ou encore le renforcement des conditions de sécurité.

Source article : Le Parisien / Vidéo d’illustration : Aulnaylibre !

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Publié le 1 Mars 2016

Un motard se crashe sur la départementale 370 entre Gonesse et Aulnay-sous-Bois !

Le conducteur d’un deux-roues a été grièvement blessé dans un accident de la route survenu ce lundi après-midi à Gonesse.

Il était un peu plus de 15 heures lorsque ce motard a perdu le contrôle de son engin, dans des circonstances qui restent à déterminer. Sans heurter le moindre véhicule, il est allé tout droit dans un rond-point situé sur la route départementale 370, à la sortie du boulevard intercommunal du Parisis (BIP). Ce motard a fait l’objet d’un transport médicalisé par les secours jusqu’au centre hospitalier de Gonesse, tout proche du lieu de l’accident.

Source article : Le Parisien / Image d’illustration

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Publié le 28 Février 2016

L’homme qui a renversé un enfant à Paris et fait un braquage au McDonald à Aulnay-sous-Bois sortait de prison !

L'homme soupçonné d'avoir volé un véhicule puis renversé et grièvement blessé un enfant à Paris vendredi était sorti de prison depuis quelques jours et porte douze condamnations à son casier judiciaire, a-t-on appris samedi de source judiciaire.

Cet homme de 35 ans a été arrêté pendant sa fuite, sur l'autoroute A3 au niveau d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), après avoir tenté de braquer un fast-food. En état d'alcoolémie, «il a foncé en direction des policiers» lors de son interpellation, des faits qui pourraient être qualifiés de tentative d'homicide sur policier s'il est mis en examen à l'issue de sa garde à vue, a expliqué la source judiciaire.

L'enfant de six ans restait samedi dans un état critique, selon la même source. Il a été renversé par le suspect à bord du véhicule qu'il venait de voler sous la menace d'une arme factice un peu plus tôt dans le sud-est de la capitale, place d'Italie (XIIIe arrondissement).

L'homme était sorti de prison lundi, après avoir purgé une peine de dix mois ferme, a indiqué la source judiciaire. Son casier judiciaire porte douze condamnations pour des délits liés aux stupéfiants, plusieurs délits de conduite sans permis, extorsion et vol, a-t-on appris de la même source.

Sa garde à vue a été prolongée samedi et il devrait être déféré dimanche pour être présenté à un juge en vue d'une mise en examen.

Source article : Le Parisien

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Publié le 27 Février 2016

Salle prêtée à des salafistes à Aulnay-sous-Bois : le maire Bruno Beschizza livre sa vérité

Entretien. Cette semaine,l'hebdomadaire Marianne a mis en cause Bruno Beschizza le maire LR d'Aulnay-sous-Bois, en affirmant qu'il a prêté « gracieusement » une salle municipale à une organisation salafiste de la ville. Face à la polémique, il livre sa vérité à Valeurs actuelles. Et contre-attaque : "seul l’Etat a le droit de mettre en rétention administrative une personne".

VA. Vous dénoncez la « mauvaise foi de vos détracteurs »…que s’est-il passé à Aulnay-sous-Bois ?

Bruno Beschizza. L’histoire est simple : une association aulnaysienne a fait une demande d’utilisation de salle. Cette demande était conforme en droit. Elle a donc pu bénéficier de l’octroi d’une salle aux mêmes conditions que toutes les autres associations aulnaysiennes. Que veulent les donneurs de leçon bien à l’abri dans leurs beaux quartiers parisiens ? Faire payer une salle à une association en particulier et pas aux autres ? Selon quels critères ? Sportif, culturel, politique, cultuel…Ce serait illégal. Annuler une réservation de salle au motif que les intervenants ne sont pas forcément des gens avec qui l’on aimerait partir en vacances ? C’est aussi illégal. Il est pour le moins étonnant que le journal Marianne qui n’a que le mot République à la bouche en oublie un fait important : une collectivité locale est soumise aux lois de la République. En tant que Maire, je respecte le droit. Si j’avais décidé de ne pas mettre à disposition cette salle, la Ville aurait été condamnée en référé au Tribunal Administratif. Contrairement à ce qu’affirme Marianne de manière fallacieuse, ce n’est donc pas avec ma « bénédiction » que cette association a pu organiser cet événement. Quand la section locale du Parti Socialiste demande une salle, je ne peux pas exiger d’eux qu’ils me disent qui va intervenir lors de leur réunion. Et même si je le faisais, je n’aurais pas la capacité juridique de vérifier les bonnes mœurs des intervenants. Les prédicateurs désignés par le journal Marianne, malgré l’Etat d’urgence, ne font l’objet d’aucune interdiction de s’exprimer en France. Je rappelle que seul l’Etat a le droit de mettre en rétention administrative une personne. C’est donc à l’Etat qu’il faut demander des comptes et non au Maire ! L’Etat doit assumer ses responsabilités. D’autant qu’il a été prévenu…

VA. Vous faites pourtant partie des élus Républicains les plus fermes sur le sujet… Comment se passe le dialogue entre la municipalité et les organisations musulmanes, parfois radicales ?

Bruno Beschizza. Là encore, il faut savoir de quoi l’on parle. Selon Marianne, mon prédécesseur à la Mairie d’Aulnay-sous-Bois était dans une démarche que l’on pourrait qualifier de communautariste vis à vis de certaines organisations. Des promesses auraient été faites à la veille d’élections. Je ne fonctionne pas de cette manière-là. Je n’ai jamais fait de pacte ou de marchandage avec telle ou telle communauté. A l’inverse, je dialogue régulièrement avec toutes les communautés religieuses. Je les réunis toutes au même moment lorsque cela peut-être nécessaire. Et contrairement à d’autres, je tiens le même discours aux chrétiens, aux juifs et aux musulmans. Le dialogue n’est jamais un problème. C’est la compromission qui l’est. Quand un cocktail molotov a été jeté sur une synagogue, j’ai immédiatement réuni l’ensemble des communautés religieuses et associations cultuelles afin d’envoyer un message de paix. Elles étaient toutes au rendez-vous. J’ai renouvelé ce dialogue inter-religieux à la suite des attentats de Charlie Hebdo et du 13 novembre. Ce dialogue permet aussi de rappeler les règles et d’éviter que certaines associations fonctionnent en roue libre en s’éloignant du cercle républicain.

VA. La ville d’Aulnay est-elle particulièrement touchée par l’islamisme radical, en progression sur le territoire français ?

Bruno Beschizza. Pas plus qu’en Seine-Saint-Denis en général, mais pas moins non plus. Aulnay est une ville où les difficultés sociales sont réelles. Notre véritable problème, c’est l’insécurité. Dès la prise de fonctions de Jean-Jacques Urvoas, je lui ai écrit pour lui démontrer que le sentiment d’impunité n’est pas une invention mais une réalité quotidienne en Seine-Saint-Denis. Prochainement, je vais rencontrer le ministre de l’Intérieur au sujet de la relocalisation de notre commissariat. La police va partout, dans tous les quartiers, mais c’est la justice, elle qui ne passe plus. Et là encore, je dénonce en tant que Maire l’Etat qui ne fait pas son travail. Mais à l’inverse, je refuse de considérer qu’Aulnay serait un terreau particulier d’un islamisme radical violent au prétexte qu’il existe une porosité entre les trafics de stupéfiants et d’armes qui servent de fonction support à des terroristes. Source : http://www.valeursactuelles.com

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Publié le 26 Février 2016

Aulnay-sous-Bois n’aurait pas été choisie pour représenter la France à l’Eurovision 2016

Aulnay-sous-Bois n’aurait pas été choisie pour représenter la France à l’Eurovision 2016. C’est ce qu’a laissé entendre l’animateur télé Cyril Hanouna dans son émission Touche Pas à Mon Poste jeudi soir. Amir Haddad, ex-candidat de The Voice, défendrait les chances de l’Hexagone à Stockholm.

Cette information n’a été ni confirmée, ni démentie par France 2 qui devait en principe révéler officiellement l’artiste et la chanson choisis le 12 mars prochain. Quoi qu’il arrive, les quatre jeunes d’Aulnay-sous-Bois auront porté haut les couleurs de la ville, notamment dans les médias, et c’est finalement le plus important !

Pour plus de détails vous pouvez lire l’article de 20 minutes paru à ce sujet en cliquant : ici

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Publié le 25 Février 2016

Le nouvel an des salafistes au gymnase municipal de la Rose des Vents à Aulnay-sous-Bois

Vous trouverez ci-dessous un article paru sur le site du magazine Marianne.

Dans cette ville de Seine-Saint-Denis, une association musulmane a invité des prédicateurs radicaux à intervenir devant plusieurs centaines de personnes le 31 décembre dernier. Une soirée qui s'est déroulée dans une salle prêtée par le maire LR Bruno Beschizza.

Aulnay-sous-Bois, le 31 décembre 2015, il y avait ceux qui fêtaient la Saint-Sylvestre. Et puis ceux - environ 700 personnes, selon les organisateurs - qui participaient à une conférence organisée au gymnase de la Rose des vents. "Une soirée spéciale", indiquait assez mystérieusement l'affiche diffusée par l'Espérance musulmane de la jeunesse française (EMJF), l'association organisatrice, implantée à Aulnay depuis la fin des années 1990. Il est vrai que les trois intervenants invités étaient pour le moins "spéciaux", puisqu'il s'agissait de prédicateurs connus pour leurs positions radicales... Ils ont donc pu s'exprimer librement dans une salle municipale, avec la bénédiction de Bruno Beschizza, le maire Les Républicains, qui a gracieusement prêté le gymnase à l'EMJF.

L'auditoire a ainsi pu écouter Nader Abou Anas, un prédicateur dont il suffit de taper le nom sur YouTube pour constater que ses prêches sont assez peu progressistes. "La femme, elle ne sort de chez elle que par la permission de son mari", l'entend-on par exemple asséner dans une vidéo. "Qu'elle sache que les anges la maudissent toute la nuit dans le cas où elle se refuse à son mari sans raison valable." Dans un autre sermon sur les dangers de "la fornication", il explique à son public qu'il est "haram" (interdit par l'islam) de serrer la main aux femmes. On comprend pourquoi sa présence au Salon de la femme musulmane de Pontoise, en septembre dernier, avait fait polémique. Mais Nader Abou Anas a d'autres domaines de spécialité. Comme la musique, ces "sifflements sataniques" qui "poussent à commettre l'adultère, au libertinage, à pervertir les mœurs", comme il l'affirme dans un autre prêche...

Article complet à lire en cliquant : ici

Source : http://www.marianne.net

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Publié le 23 Février 2016

Pour ses détracteurs, c'est un projet complètement fou et démesuré, qui sacrifie des terres agricoles fertiles. Les autres le voient comme le futur temple de l'innovation, de la société de loisirs du futur, écoresponsable, et une formidable manne d'emploi sur un territoire aujourd'hui défavorisé.

Le projet de centre commercial EuropaCity à Gonesse peut-il devenir un nouveau Notre-Dame-des-Landes ?

Une chose est sûre : EuropaCity ne laisse personne indifférent. Certains voient même en cet immense centre commercial, culturel et de loisirs, qui doit ouvrir sur le Triangle de Gonesse en 2024, un potentiel Notre-Dame-des-Landes. Il faut dire que le projet porté par Immochan, filiale du groupe Auchan, s'annonce pharaonique avec ses 80 ha, dont 230 000 m 2 de boutiques, 10 ha de parc urbain, une piste de ski indoor, un parc aquatique, des salles d'exposition, le tout à moins de trente minutes en transports en commun (future ligne 17 du métro), du centre de Paris. Un dossier qui mobilise au-delà des couleurs politiques

Le débat public qui doit se tenir du 15 mars au 30 juin et qui prévoit réunions et ateliers thématiques destinés aux habitants devrait donner le ton. S'enflammera-t-il ou pas ? Il permettra en tout cas à chacun de se faire un avis.

Source article : Le Parisien

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Publié le 22 Février 2016

Mort d’un jeune homme du 93 lors d’un accident de la route dans l’Oise

Un jeune homme de 22 ans originaire de Seine-Saint-Denis est mort ce dimanche matin dans un accident de la route à Senlis, dans l’Oise. Le conducteur de la voiture, un jeune homme âgé de 25 ans et lui-aussi habitant du 93, a été grièvement blessé et héliporté vers l’hôpital d’Amiens (Somme).

Pour des raisons encore inconnues, la voiture dans laquelle se trouvaient les deux jeunes originaires du 93 est entrée en choc frontal avec un camping-car. Quatre autres personnes ont été blessées à des degrés moindres dans cet accident : une jeune fille de 17ans habitante du Val-d’Oise qui se trouvait dans la voiture et les trois occupants du camping-car.

Source article : Le Parisien / Image d’illustration

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Publié le 19 Février 2016

Les fumeurs de cannabis peuvent perdre leur permis de conduire !

C’est une nouvelle arme pour dissuader les consommateurs de cannabis… tout en faisant de la prévention routière. Désormais, les acheteurs contrôlés en possession de stupéfiants lors d’opérations police-douanes auront la désagréable surprise de recevoir un courrier de la préfecture de leur département leur enjoignant de passer une visite médicale pour «vérifier leur aptitude médicale à la conduite ».

A l’origine de ce dispositif ? L’article du code de la route R. 221-11 qui permet au préfet, «dans le cas où les informations en sa possession lui permettent d’estimer que l’état physique du titulaire du permis peut être incompatible avec le maintien de ce permis de conduire » de prescrire un examen médical. Concrètement, les personnes contrôlées (détentrices d’un permis de conduire ou en demande de permis) devront effectuer une visite médicale auprès d’un médecin agréé qui vérifiera leur toxicologie.

En cas de contrôle positif, le préfet pourra prononcer la restriction de validité, la suspension ou l’annulation du permis de conduire ou encore le changement de catégorie dudit permis. «C’est avant tout une action de prévention », explique le patron de la compagnie de sécurisation et d’intervention du 93, le commandant Lunel. «Nous voulons que ces consommateurs prennent conscience des dangers qu’il y a à conduire après avoir fumé du cannabis. »

Source article : Le Parisien

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Publié le 19 Février 2016

Deux hommes de 18 et 22 ans originaires d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) ont été arrêtés par une patrouille de police, dans le centre de Villeparisis, dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 2 heures. Les deux suspects portaient des parpaings au moment de leur interpellation. Dans leur Peugeot 208, les policiers ont découvert quatre roues qu’ils auraient volées et qui proviendraient d’une Clio.

Les parpaings servaient à caler les voitures. Après un passage en garde à vue, les deux hommes ont été laissés libres. Ils seront jugés prochainement au tribunal de Meaux. Ils étaient inconnus de la justice jusqu’ici. L’interpellation a été rendue possible par l’appel d’un témoin sur le 17. La personne avait fourni la description des deux hommes, ce qui avait permis aux policiers de les retrouver plus facilement, après un petit moment de surveillance. Au cours de l’interpellation, un des deux hommes avait essayé de se cacher.

Source article : Le Parisien / Vidéo d’illustration : Aulnaylibre !

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Publié le 16 Février 2016

Jean-Yves Chevallier nommé directeur de cabinet du maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza

C’est une nouvelle qui concerne avant tout le fonctionnement interne de la mairie, mais puisqu’elle a fait l’objet d’une alerte Google nous la relayons aujourd’hui auprès de nos lectrices et lecteurs pour leur bonne information.

Ainsi, depuis le 1er février 2016, Jean-Yves Chevallier occupe la position de directeur de cabinet du maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza, fonction dont il était en charge dans la ville de Limoges depuis août 2015.

Un simple clic sur LinkedIn permet d’en savoir plus sur le riche parcours du nouveau « DirCab » de la commune. Au-delà de l’expérience requise, ce poste hautement stratégique est attribué de préférence à un homme ou une femme de confiance. Messieurs Beschizza et Chevallier se connaissant déjà depuis une bonne dizaine d’années, cette collaboration prend dès lors tout son sens.

Quoi qu’il soit, et puisqu’Aulnay-sous-Bois est comme chacun sait une ville accueillante, nous lui souhaitons la bienvenue !

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

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Publié le 10 Février 2016

Les frères Belhoucine, anciens animateurs jeunesse à Aulnay-sous-Bois, seraient morts en Syrie

Les frères Belhoucine, qui avaient quitté la France pour la Syrie en compagnie de la compagne d'Amédy Coulibaly quelques jours avant les attentats de janvier 2015, sont présumés morts, a affirmé mardi soir une source proche du dossier.

Mohamed, 28 ans, a été «tué au combat» tandis que son frère Medhi, 24 ans, est «mort des suites de blessures de guerre mal soignées», selon Le Petit Journal de Canal+, qui a révélé l'information.

Une source proche du dossier a confirmé, sans préciser les noms, qu'ils seraient morts dans ces circonstances. Une autre a de son côté affirmé à l'AFP que l'information «semble fiable» mais n'a pas été recoupée. Les deux frères, anciens animateurs jeunesse à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), n'étaient pas considérés comme des cadres de premier plan du groupe Etat islamique. L'un d'eux avait été repéré en Irak, selon cette source.

Quelques jours avant les attentats de janvier 2015, Hayat Boumeddiene, la compagne de l'assassin de l'Hyper Cacher Amédy Coulibaly, était partie en Syrie, accompagnée des frères Belhoucine. Mehdi Belhoucine et Hayat Boumeddiene avaient été identifiés à leur entrée en Turquie sur des images de vidéosurveillance à l'aéroport d'Istanbul.

Article complet à lire en cliquant : ici

Source article : http://www.leparisien.fr

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Publié le 5 Février 2016

En accueillant 1000 jeunes à Bercy aujourd'hui pour leur faire rencontrer des entreprises, Emmanuel Macron souhaite donner de l'ambition aux jeunes.

Emmanuel Macron et le rappeur Booba, même combat ! Ils font tous les deux du business, à ceci près que le ministre de l'Economie ne porte pas de casquette. L'étoile montante du gouvernement s'est lancé un nouveau défi : reconquérir la jeunesse des quartiers populaires en faisant sauter le plafond de verre des discriminations à l'embauche et, surtout, en se faisant le chantre du droit à la réussite individuelle.

Cet après-midi, il accueille à Bercy près de 1 000 jeunes pour les mettre en contact avec des entreprises pour faciliter les embauches. Fin janvier, Macron, ancien banquier d'affaires, lui avait organisé un dîner de levée de fonds à l'américaine...

Donner le droit de réussir

« Il y a en France des barrières mentales et réglementaires, c'est ça que je veux bousculer », confie-t-il à notre journal. Au rancart, donc, le discours paternaliste de la gauche distribuant allocations et contrats aidés. « Un jeune n'a pas envie qu'on l'assiste », poursuit Emmanuel Macron, pour qui « la situation oblige à reconsidérer les idées préconçues ». « Ce que je souhaite, c'est donner à ces jeunes le droit de réussir ».

Son modèle, c'est Xavier Rolet, ce Français parti de Sarcelles pour devenir... le Monsieur Bourse de Londres !

«Je suis prête à tout pour devenir riche comme Macron»

Réactions à l'université de Saint-Denis, où toute la banlieue nord de Paris défile. Ici, on vient dans l'espoir de décrocher un diplôme pour s'en sortir. On rêve de grande réussite. Le parcours de Macron impose le respect. Il est même admiré.

A l'entrée de la fac, des vigiles fouillent les sacs. A droite, la cafétéria est bondée. C'est l'heure du déjeuner. Assis à table, Romain engloutit un kebab entre deux cours en amphi. Futur professeur d'histoire, il habite un quartier difficile d'Aubervilliers. Pour lui, le ministre de l'Economie est « un modèle de réussite ». « S'il est arrivé aussi haut, c'est qu'il a travaillé d'arrache-pied. Cela, on ne peut que le respecter. Et puis, franchement, quand tu es ministre et que tu as beaucoup de fric, c'est que tu as bien réussi ta vie ! » lache-t-il, entouré de ses trois amis, hilares.

Au premier étage, Jessica est assise sur le rebord d'une fenêtre. Habitante d'Aulnay-sous-Bois, quartier dit sensible, elle aussi est dithyrambique sur Macron. « Il est passé dans les plus grandes écoles. Il a su travailler et être ambitieux pour se donner toutes les chances de réussir. Il mérite tout ce qui lui arrive aujourd'hui. » Abritée sous un porche, Lilia fume une cigarette. Etudiante en droit, elle attend le début de son cours d'anglais. Issue d'une famille populaire, elle « rêve d'être à sa place. Je suis prête à tout pour devenir riche comme lui ! J'écraserais tout sur mon passage. Il a tout ce dont il a besoin. Même plus ». De quoi faire sursauter son amie Irina. « L'important, c'est la famille, les amis. On peut être heureux sans avoir beaucoup d'argent. Regarde-nous ! » lance-t-elle.

Sur la route pour prendre le bus, les deux amis Mohammed et Fateh se roulent une cigarette. Casquette sur la tête et jogging, Mohammed a le sentiment de partir de loin. Il se montre dubitatif face à la réussite fulgurante du ministre de l'Economie. « Il est né dans un milieu social plus facile que d'autres, avance-t-il. Il a pu se servir de son réseau ou de celui de sa famille pour devenir ce qu'il est », lâche-t-il, un brin fataliste. Et Fateh renchérit : « C'est clair qu'il a dû se faire pistonner pendant sa carrière ! Nous, nous n'avons pas cette chance. »

Source article : http://etudiant.aujourdhui.fr / Vidéo d’illustration Aulnaylibre !

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Publié le 12 Janvier 2016

Deux hommes arrêtés à Aulnay-sous-Bois après un braquage

Deux hommes âgés de 27 et 32 ans, ont été interpellés ce mardi matin à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) par la police judiciaire de Versailles. Ils sont soupçonnés d’avoir braqué l’entrepôt du transporteur FeDex, à Trappes (Yvelines), dans la nuit du 5 aux 6 mars 2015. « Ces deux hommes ont été identifiés grâce un travail d’enquête classique sur l’environnement d’un premier suspect arrêté à Aulnay, le matin des faits », précise une source proche de l’affaire.

Cette nuit-là, il était près de 2 heures, quand quatre hommes, encagoulés et gantés, sont arrivés dans la cour de l’entrepôt de l’avenue Le Verrier, à bord d’un fourgon Renault Master. Le conducteur reste à bord du véhicule, tandis que ses trois complices forcent la fenêtre d’un bureau avec un pied-de-biche. Une fois dans les locaux, ils surprennent six employés. L’un des voleurs les tient en respect avec un fusil à pompe. Pendant ce temps, les autres chargent le fourgon de matériel informatique, de vêtements de marque et de téléphones portables.

Plus d’une heure plus tard, trois voleurs repartent à bord du fourgon. Resté un moment sur place pour garder les employés, le quatrième prend à son tour la fuite en dérobant une voiture, appartenant à un responsable de la société.

A 4 heures, à 50 km de là, les policiers municipaux d’Aulnay-sous-Bois décident de contrôler une Golf et une camionnette garés de manière anarchique sur le bas-côté de la N 2, à la sortie de l’autoroute. Mais le conducteur de la voiture force le passage et tente même d’écraser un fonctionnaire. Son passager, un homme de 33 ans, qui avait tenté de prendre la fuite à pied, sera interpellé. Mis en examen, il a été depuis écroué par les juges Versaillais. La camionnette restée sur place était encore remplie de marchandises dérobées chez FeDex.

Les deux suspects interpellés ce mardi ont été placés en garde à vue dans les locaux de la DRPJ de Versailles.

Source : Le Parisien

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Publié le 9 Janvier 2016

Mort d’un homme poignardé en plein cœur à Aulnay-sous-Bois

Un homme de 25 ans a été tué d'un coup de couteau au coeur vendredi après-midi à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). L'auteur présumé des faits a été interpellé quelques heures plus tard au Blanc-Mesnil. Il est depuis en garde à vue dans les locaux du service départemental de la police judiciaire en charge de l'affaire. L'enquête a été ouverte pour homicide volontaire.

Source : Le Parisien / Image d’illustration

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Publié le 31 Décembre 2015

Attentats de Paris : Hasna Ait Boulahcen sera-t-elle enterrée à Aulnay-sous-Bois ?

Après Sammy Amimour, l’un des terroristes du Bataclan inhumé en toute discrétion à La Courneuve le 24 décembre, Hasna Ait Boulahcen sera-t-elle enterrée à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) ? Dans cette ville d’où la jeune femme était originaire, aucune demande d’inhumation n’a été formulée. La cousine d’Abdelhamid Abaaoud est morte le 18 novembre dernier pendant l’assaut du Raid à Saint-Denis, rue du Corbillon.

« Je n’ai été informé de rien, des corps sont toujours à l’institut médico-légal à Paris et rien ne dit qu’elle sera inhumée ici, elle avait aussi des attaches ailleurs », déclare Bruno Beschizza, le maire (LR) d’Aulnay-sous-Bois. La jeune femme avait rejoint son père, en Moselle. « Je n’ai de toute façon aucun motif légal pour m’opposer à une inhumation », ajoute le maire, qui salue la décision de discrétion absolue recommandée par le gouvernement à ce sujet. « La meilleure des choses est qu’il n’y ait aucune publicité, à la fois par respect pour la famille du défunt, et pour que l’on ne transforme pas la sépulture en lieu de recueillement pour les martyrs ni qu’il devienne une cible pour d’autres. » Le maire est plus en colère, en revanche, sur l’opacité qui englobe les perquisitions. « Je ne sais même pas combien ont été réalisées sur la ville, ni combien de personnes fichées S sont visées par ces perquisitions », peste Bruno Beschizza.

Après les attentats de janvier, l’élu avait découvert que les frères Belhoucine, soupçonnés d’appartenir à la nébuleuse terroriste, avaient encadré du soutien scolaire à Aulnay de 2009 à 2014, dans le cadre de contrats temporaires. Alors même que l’un des frères, Mohamed, était, durant cette période, mis en examen pour participation présumée à une filière afghane.

Source : Le Parisien

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Publié le 28 Décembre 2015

Des familles syriennes appellent à l’aide aux portes de Paris

Elles avaient disparu depuis les attentats de novembre. Mais depuis quelques jours, de nombreuses familles syriennes se sont de nouveau installées aux abords des portes du périphérique parisien. « SOS familles syriennes », peut-on lire sur toutes les pancartes en carton tenues par des femmes et des enfants aux portes de Clignancourt, de la Villette ou encore de Pantin. Certains automobilistes viennent en aide à ces populations dans le besoin en leur procurant des vêtements, de l’argent ou de la nourriture.

A l’association Revivre, qui vient en aide aux réfugiés syriens en France, on précise néanmoins avoir « pris des distances avec ces familles qui, malgré les aides, refusent de faire les démarches pour demander le droit d’asile ».

Source : Le Parisien

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Publié le 15 Décembre 2015

La prime versée aux non-grévistes de PSA à Aulnay-sous-Bois

La Cour d'appel de Paris a estimé que la prime versée en 2013 aux salariés grévistes contestant la fermeture de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois, en échange de leur départ, pouvait être accordée aux non-grévistes qui en ont fait la demande, ont indiqué mardi à l'AFP des sources concordantes.

Selon la CGT et le SIA, syndicat majoritaire dans l'ex-usine, la cour d'appel a confirmé lundi le jugement de première instance selon lequel accorder une prime exceptionnelle aux seuls grévistes marquait une "inégalité de traitement". En mars 2014, le tribunal de grande instance de Paris avait jugé "illicite" le protocole de fin de conflit signé en ce sens en mai 2013 entre la direction, la CGT et la CFDT. Elle avait enjoint PSA Peugeot Citroën d'étendre son bénéfice à tous les salariés qui en auraient fait la demande au plus tard le 16 août 2013.

Le protocole accordait une prime exceptionnelle de 19.700 euros à chaque gréviste qui s'engageait à partir avant le 31 mai et à abandonner son recours contre le plan social. Le groupe automobile a annoncé à l'AFP son intention de se pourvoir en cassation. Il estime que l'arrêt rendu "ne prend pas en compte la situation du site d'Aulnay", théâtre de quatre mois de grève dure pour contester sa fermeture.

Montant de la prime ajustée "au préjudice subi"

Il rappelle que ce protocole avait été "difficilement" négocié pour prévoir "le départ immédiat des 200 grévistes", qui renonçaient aux aides au reclassement prévues pour les autres salariés. "De manière à respecter l'équité de traitement, une prime compensatoire de 19.700 euros avait été négociée en sus des indemnités prévues dans le PSE", a ajouté un porte-parole de PSA. "Cette condamnation n'est qu'un peu de justice, même si elle est très loin de dédommager les 3.000 salariés d'Aulnay-sous-Bois", a réagi dans un communiqué la CGT, selon laquelle plusieurs centaines d'ouvriers pointent à Pôle emploi, dont une centaine sont arrivés à la fin de leurs droits.

Pour obtenir la prime, les salariés vont encore devoir attendre que leurs recours aux Prud'hommes soient examinés, "pour les salariés, c'est très long", a pour sa part réagi Tanja Sussest, ex-déléguée du SIA, qui accompagne 250 salariés. Les conseils de Prud'hommes ajusteront le montant de la prime "au préjudice subi", selon que les salariés licenciés dans le cadre du plan social ont été "reclassés ou pas", précise-t-elle

Source : http://www.lefigaro.fr

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Publié le 15 Décembre 2015

La chanson d’Aulnay-sous-Bois pour l’Eurovision 2016 reçoit le soutien du comédien Yvan Le Bolloch

Voilà quelques semaines que la presse et les réseaux sociaux bruissent de leur candidature. Anaïs, Théo, Monir et Einath, les plus jeunes candidats à la sélection française pour l’Eurovision 2016, originaires d’Aulnay-sous-Bois, ont reçu leur premier soutien de poids. Celui du comédien Yvan Le Bolloch (« Caméra Café ») : « Il connaît très bien l’un des arrangeurs de la chanson. Il a été emballé par ces jeunes de banlieue qui veulent défendre les couleurs de la France », raconte Alexandre Conan, lycéen et responsable de la communication autour de cette candidature.

Âgés de 16 à 24 ans, les quatre chanteurs ont enregistré « Emmène-moi », un titre qu’ils n’ont pas le droit d’interpréter pour le moment, sous peine d’être disqualifiés. Ils se sont réunis autour d’un projet porté par le conservatoire d’Aulnay et l’Amapp (association musicale). S’ils se sont lancés à l’assaut de ce concours, c’est que c’était « le moyen de vivre une expérience humaine et musicale », confie la jeune Einath. L’alchimie au sein de ce quatuor saute aux yeux. « Il y a une super entente, on est à l’écoute de ce que chacun peut proposer » précise Einath. Ils ont chacun des parcours différents. Anais a 16 ans et joue du piano depuis l’âge de six ans. Elle s’investit au sein de l’Amapp depuis ses huit ans. Théo a commencé la musique au conservatoire dès six ans et poursuit aujourd’hui ses études au sein d’une classe à horaires aménagés pour la musique. Si Anais et Théo voient dans ce projet « une aventure exceptionnelle », Einath, 20 ans, songe davantage à l’avenir. Elle espère percer dans la musique. Au conservatoire depuis l’âge de quatre ans, la jeune fille rêve d’une carrière d’auteur, compositrice et interprète. Monir, le doyen de la bande, 24 ans, est choriste dans plusieurs formations. Il a décroché cette année la première place régionale lors du tremplin musical « Vocal Tour ».

Même si leur candidature ne devait pas être retenue, ces jeunes amateurs garderont de bons souvenirs de cette expérience. Ils font déjà la fierté de la directrice du conservatoire aulnaysien, Bernadette Dodin. Monir parle avec enthousiasme de la collaboration avec les arrangeurs Abdelouhab Seba et Farouk Tekkouk. « C’est une opportunité incroyable d’être encadré par des professionnels.Nous avons aussi pu enregistrer avec un orchestre. Ce n’était pas forcément évident mais grâce à l’équipe, tout s’est bien déroulé ». Le comité de sélection de France Télévisions doit se prononcer dans les prochaines semaines.

Source : Le Parisien

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Publié le 10 Décembre 2015

Trois habitants d’Aulnay-sous-Bois impliqués dans des braquages

L'un reconnaît toutes les agressions, un autre se dit totalement innocent et le troisième avoue avoir participé à certaines attaques. La police judiciaire de Meaux (Seine-et-Marne) vient de boucler une enquête qui a mené trois jeunes derrière les barreaux. Ces habitants de la cité des Saules, à Aulnay-sous-Bois, sont soupçonnés d'avoir commis huit vols à main armée dans leur département, mais aussi en Seine-et-Marne et dans le Val-d'Oise.

Au début de leurs investigations, les policiers enquêtaient sur sept braquages. La série avait démarré le 19 mai, lorsque trois malfaiteurs équipés d'une arme de poing avaient attaqué une supérette et une boulangerie à Mitry-Mory (Seine-et-Marne), emportant 350 €. Le 26 mai, une station-service Total du Pin (Seine-et-Marne) avait été attaquée par un trio qui avait raflé 1 100 €, en utilisant notamment un pistolet automatique et une bombe lacrymogène.

Agés de 17 à 20 ans

Le lendemain, des malfaiteurs avec une arme de type kalachnikov s'étaient cassé le nez devant la porte -- fermée par les employés -- de la station-service Total de Villeparisis (Seine-et-Marne). Le trio allait y revenir le 22 juillet, avec une arme de poing et une matraque, dérobant cette fois-ci 400 €.

La PJ enquêtait également sur deux agressions au mode opératoire différent. Le 28 mai, des habitants de Chelles (Seine-et-Marne) avaient été malmenés à leur domicile par un trio armé. Et le 23 juillet, un couple avait été attaqué par trois hommes avec une arme de poing, sur le parking du centre commercial Aéroville de Roissy-en-France (Val-d'Oise) : la femme avait vu disparaître sa montre, d'une valeur de 63 000 €. Les investigations ont d'abord permis aux enquêteurs d'arrêter deux mineurs de 17 ans, le 24 juillet. L'un d'eux a non seulement reconnu les sept braquages mais il a avoué une huitième attaque, celle de la station-service BP de Vaujours, braquée le 12 mai. Quand à l'autre jeune, il n'a rien reconnu. Les deux ont été écroués.

C'est la semaine dernière que les enquêteurs ont auditionné le troisième larron, âgé de 20 ans, qu'ils ont extrait d'une maison d'arrêt, où il est incarcéré pour une autre affaire. Il a reconnu avoir servi de chauffeur sur quatre des agressions.

Source : Le Parisien

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Publié le 2 Décembre 2015

Les huit derniers « survivants » de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois

Le rituel semble ubuesque, mais immuable. Tous les matins, à 6 h 46, franchir le tourniquet de l'usine. Puis en ressortir à 14 h 37. Des horaires calqués sur ceux de l'ancienne équipe du matin, à l'époque où les ateliers de PSA Aulnay tournaient encore. L'usine automobile est officiellement fermée depuis. .. décembre 2013. L'un des trois ateliers a été démoli. Mais les derniers salariés concernés par le plan social continuent à pointer.

« On a vidé les bureaux, trié les documents »

Ils sont encore huit. Sept hommes et une femme, reconnus handicapés. C'est à ce titre qu'ils ont pu rester jusqu'à deux ans de plus dans les effectifs de PSA. Le dispositif s'achève fin décembre et ils devront quitter l'usine. Du lundi au vendredi, ils entrent dans un bâtiment administratif du site. S'installent dans une salle, équipée de quelques ordinateurs et d'une connexion Internet. Deux encadrants sont là aussi, ainsi qu'un préventeur sécurité, et un employé chargé de la paie. « Au début, on avait des activités, se souvient l'un d'eux. On a vidé les bureaux, trié les documents, déplacé les voitures sur les parkings... »

Au début, c'était en juin 2013. Dans le cadre du plan social, PSA a proposé à ses salariés dits « fragiles » d'intégrer une « équipe multi-activités ». 89 ont accepté. Alors que le couperet du licenciement devait tomber début 2014, ils ont pu rester à Aulnay, pour bénéficier d'un « suivi individualisé ». Avec l'espoir d'obtenir une mutation au sein du groupe, ou de trouver un nouvel emploi à l'extérieur.

Au fil du temps, les collègues sont partis

Mutation, congé « senior », ou départ dit volontaire, au fil du temps, les collègues sont partis. Des formations ou des remises à niveau ont eu lieu : français, maths, informatique... Une session « soins et beauté » de trois jours. Serge, 50 ans, ancien responsable d'unité, a pu passer son permis car. Puis les activités se sont raréfiées. Le temps paraît long aux derniers d'Aulnay.

Aujourd'hui, seule Elena a encore de quoi s'occuper : « Je scanne des documents pour les archives de l'usine de Poissy », indique cette blonde de 43 ans, au regard fatigué. Lundi, elle a fondu en larmes en découvrant la lettre recommandée de PSA : « Ils me proposent un poste à Poissy, c'est le même que celui que j'ai refusé il y a quelques mois. Il n'est pas adapté à mon handicap. Et je n'ai pas de moyen de transport pour y aller de chez moi, à Bobigny », affirme-t-elle. Elena n'a qu'un vœu : rester au sein du groupe automobile. « C'est ce qu'on veut tous. Comment on pourrait retrouver du travail ailleurs alors que les gens en bonne santé n'y arrivent pas ? » argumente Aziz, 43 ans et le dos abîmé après vingt-trois ans à l'usine.

La direction assure poursuivre « le travail de reclassement »

Un porte-parole de PSA indique que l'entreprise poursuit « le travail individuel de reclassement [...] pour faire des propositions de postes adaptées aux restrictions médicales de chacun en tenant compte de leur lieu d'habitation ». Parmi les derniers d'Aulnay, certains viennent effectivement de recevoir une offre. A Poissy, Saint-Ouen... ou Valenciennes, pour Serge. « A deux heures de chez moi », commente cet ancien responsable d'unité. Patrick et Bruno, la cinquantaine, 20 et 28 ans d'ancienneté, attendent toujours. En dehors d'une mission en Esat (établissement pour travailleurs handicapés) de quelques semaines, ils affirment encore n'avoir reçu « aucune proposition » de mutation.

Le tribunal des prud'hommes de Bobigny, saisi par 161 anciens salariés de PSA-Aulnay, devait rendre sa décision hier. Ce ne sera finalement que le 15 décembre. Les magistrats doivent se prononcer sur la régularité de leur licenciement, en 2013. Une seconde audience, portant sur 200 dossiers, doit avoir lieu le 8 décembre.

Source : Le Parisien

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Publié le 1 Décembre 2015

Marc Lavoine et Raymond Domenech autour du député du 93 Daniel Goldberg pour défendre la République contre le terrorisme

Que faire des lendemains des attentats du 13 novembre ? Une certitude semble résister au chaos : l’état d’urgence ne réglera pas tout. « L’éradication de ce mal nécessitera l’implication de toute la communauté française, riche de sa diversité », avancent d’une même voix des personnalités, signataire d’un appel publié récemment dans le Huffington Post et qui a donné lieu à un rassemblement, à l’Assemblée nationale, en fin de semaine dernière, avec pour mot de ralliement « la République au cœur ».

Le chanteur Marc Lavoine, l’ancien sélectionneur de l’équipe de France de football Raymond Domenech, l’ex ministre Fadela Amara, et quelques dizaines d’autres citoyens, psychiatre, cardiologue, sportif, historien, islamologue, dirigeants d’entreprise, artistes, policier, historien ont été réunis salle Colbert par l’intermédiaire du député du 93 Daniel Goldberg (PS), soucieux d’aider le « sursaut républicain » à s’organiser.

« Trente ans après la marche des beurs, on ne pensait pas être là, à parler de ça », avoue Abdel Aïssou, patron de Ranstadt, société d’intérim, et ami de longue lutte de Daniel Goldberg. Dans la salle l’émotion est palpable. Chacun raconte, en mots, en silence, ou en chanson, comme le chanteur Marc Lavoine, son émotion, la perte d’un proche, la peur. Il y a urgence à « sauver les enfants de la République », intervient François Pupponi, élu socialiste lui aussi, dans le Val-d’Oise.

L’appel de Domenech aux sportifs

Une jeune étudiante en sciences politique de 22 ans se souvient de cette phrase de Jacques Chirac, en 2005, qui disait que « tous les enfants des quartiers sont des enfants de la République ». « Il est temps de se mettre au travail ! » lâche-t-elle, sous les applaudissements. Les chemins sont pluriels : soutenir l’école et les enseignants « plutôt que les décrier et les maltraiter », estime une prof de l’internat d’excellence de Sourdun (Seine-et-Marne).

« Aider le travail », suggère Francis Dubrac, qui a contribué à la construction du Stade de France, qui emploie 300 jeunes de Saint-Denis et La Courneuve dans son entreprise de travaux publics. Raymond Domenech lance, lui, un appel aux sportifs. « Avant les sportifs étaient toujours un peu à part, là on a été touchés, ça donne un devoir, je lance un appel aux sportifs, vous avez un devoir de défendre la République, exprimez-vous ».

Tous ont conscience que cet appel n’est qu’un début, reste maintenant à concrétiser cet élan.

Source : Le Parisien

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Publié le 27 Novembre 2015

Neuf lycéens du protectorat Saint-Joseph à Aulnay-sous-Bois rendent hommage aux victimes des attentats de Paris

En bleu blanc rouge, le slogan « Pray for Paris (NDLR : Priez pour Paris) » s’étale sur dix mètres de papier kraft. Cette grande frise a été réalisée par neuf lycéens du protectorat Saint-Joseph, un établissement privé d’Aulnay-sous-Bois, et trône désormais dans le couloir principal du site. « C’est notre façon de rendre hommage aux victimes des attentats de Paris », résume Alexandre, 17 ans, l’un des élèves de cette classe de 1re Sciences et techniques du management (STMG). L’idée leur est venue le lundi suivant les attaques qui ont coûté la vie à 130 personnes.

« On est rentrés dans notre lycée, il faisait sombre, l’ambiance était pesante, raconte Shanel. On a parlé de ça toute la journée, en cours, avec nos professeurs. » Le mardi, leur professeur d’arts plastiques propose un sujet libre. « On a décidé de faire cette grande banderole pour montrer qu’il y a une fraternité entre les citoyens français », détaille Alexis. Et leur œuvre est visible : « Dans le couloir où on l’a mise, dans l’entrée, tous les élèves et les professeurs peuvent la voiren passant », se réjouit Shanel.

Aujourd’hui, plus de deux semaines après les attentats, certains élèves sont encore marqués par le drame. « C’est vrai qu’on a peur, on est parfois un peu parano », reconnaît Shanel. D’autres, au contraire, ne veulent pas s’enfoncer dans la psychose, comme Alexis : « Notre prof d’histoire nous a dit : vous êtes jeunes, il faut vivre ! »

Source : Le Parisien

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Publié le 25 Novembre 2015

Attentats de Paris - Aulnay-sous-Bois : une rupture amoureuse à l’origine de la radicalisation de Hasna Ait Boulahcen ?

La semaine dernière, Hasna Aït Boulahcen est morte dans l'assaut donné dans un appartement de Saint-Denis dans lequel se trouvait Abdelhamid Abaaoud, le cerveau présumé des attentats du 13 novembre. Paris Match dresse le portrait de la kamikaze.

A la suite de l'assaut donné dans un appartement de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) dans lequel était retranché Abdelhamid Abaaoud, le cerveau présumé des attentats du 13 novembre, le corps d'une femme avait été identifié : celui de Hasna Aït Boulahcen, 26 ans, la cousine d'Abdelhamid Abaaoud. Nos confrères de Paris Match ont enquêté sur le passé de la kamikaze et tentent de connaître les raisons pour lesquelles celle qui vénérait Hayat Boumeddiene, la veuve d'Amedy Coulibaly, a décidé de se radicaliser. Hasna Aït Boulahcen a eu une enfance difficile et souffrait de troubles psychologiques. Après avoir été placée en famille d'accueil pour mauvais traitements, celle qui aurait applaudi devant sa télévision le 11 septembre 2001 en découvrant l'attentat du World Trade Center, va ensuite se retrouver en Moselle à Creutzwald à l'âge de 15 ans. Hasna Aït Boulahcen montre des signes de troubles psychologiques. "Elle était marquée. Elle se prenait la tête pour un rien, partait en vrille, alternant les moments de joie et de détresse" se souvient une ancienne connaissance.

UNE RUPTURE AMOUREUSE A L'ORIGINE DE SA RADICALISATION ?

Hasna Aït Boulahcen, décrite comme un "garçon manqué", va goûter aux joies de l'amour comme toutes les filles de son âge. "Elle était naïve et influençable" se souvient son amie d'enfance qui raconte qu'elle fumait des joints et buvait de la vodka "comme un mec". A sa majorité, Hasna Aït Boulahcen commence à écumer les boites de nuit. "Elle collectionnait les mauvaises fréquentations et les embrouilles, disparaissait parfois trois quatre jours et sonnait chez moi dans un état lamentable, n'osant aller chez son père, et prenait un long bain". Un comportement que son père ne va pas supporter. "Son père l'a jetée, valises dehors, car elle avait transformé son appartement en squat, en son absence". Son amie s'est également souvenue de l'épisode au cours duquel elle va asperger ses amis de sa bombe lacrymogène. Un épisode qui lui aura valu le surnom de "la gazeuse", "bombe lacrymo" ou bien "rambo".

A la rue, Hasna Aït Boulahcen retourne vivre chez sa mère en région parisienne, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Les voisins garderont le souvenir d'une famille "normale, ordinaire, polie". A cette époque, la jeune femme va monter une entreprise de travaux à Clichy-sous-Bois, placée en liquidation un an seulement après sa création. Dans un même temps, Hasna Aït Boulahcen a porté plainte pour viol à Pantin et modifiera ensuite son comportement en s'intéressant de près à la religion.

"Elle ne connaissait rien à l'islam et ne parlait jamais religion, raconte une amie. Un jour, elle m'a dit qu'elle avait trouvé sa voix. Elle ne buvait plus, elle fit son premier ramadan. Elle souhaitait intégrer l'armée. Elle était amoureuse d'un Afghan, parlait de fonder une famille et d'avoir assez d'enfants pour remplir un stade de foot" témoigne une de ses amies au sujet de celle qui décida de porter le voile. Une métamorphose qui n'a pas manqué de surprendre Ahmed, son voisin. "On ne voyait plus que ses yeux, même ses mains étaient gantées. Je ne supportais plus ses vidéos de propagande à la gloire de Daech sur les réseaux sociaux . Elle a vrillé, elle délirait avec la Syrie... Elle est devenue obsédée". A la suite d'une "rupture amoureuse" douloureuse, Hasna sera recrutée par Daesh sur internet. "Jver biento aller en syrie inchallah biento depart pour la turkie" postait-elle sur Facebook pour témoigner de son engagement.

Source : http://www.closermag.fr

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Publié le 23 Novembre 2015

La PJ de Paris fait la plus grosse saisie de l’année avec 18 kilos de cocaïne

Lors d'une opération menée de concert avec la police judiciaire de Marseille, la police judiciaire parisienne a saisi18 kg de cocaïne, 17 kg de résine de cannabis, cinq armes de poing, un détonateur et 400 grammes d'explosif de type TNT, ainsi que plusieurs centaines de cartouches, deux brassards de police, plusieurs véhicules dont un Porsche Cayenne et plus de 300.000 euros en liquide.

«La PJ marseillaise nous a prévenus qu'elle travaillait sur un réseau qui s'approvisionnait en Ile-de-France», a expliqué Christophe Descoms, chef de la brigade des stupéfiants de Paris. Les policiers parisiens ont alors pris en filature, à partir du centre de la France, une équipe venue «s'approvisionner» dans la nuit de mardi à mercredi.

L'assaut à Saint-Denis fait d'abord fuir les trafiquants

«Malheureusement ce premier épisode échoue à cause des attentats. Il y avait trop de policiers partout. Comme ils venaient en Seine-Saint-Denis et que c'est ce jour-là qu'a eu lieu l'assaut à Saint-Denis, ils sont redescendus à vide», raconte le chef de la brigade des stupéfiants. L'équipe réapparaît dans la nuit de samedi à dimanche. Pris en filature toute la journée, ils effectuent une première transaction à Goussainville (Val-d'Oise) puis à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) où ils sont interpellés en flagrant délit.

Trois Marseillais d'une trentaine d'années ont ainsi été interpellés en possession de 2 kg de cocaïne, ainsi que trois fournisseurs présumés. Quelque 6kg de cocaïne ont été retrouvés dans un véhicule laissé à Goussainville, et les enquêteurs ont saisi dans un appartement 10 kg de cocaïne ainsi que le cannabis, l'argent, et les armes.

Onze interpellations à Marseille

«On est clairement dans une logique de grand banditisme. Ils sont tous connus pour être des importateurs de stupéfiants et pour fréquenter le grand banditisme», selon Christophe Descoms, pour qui la présence de détonateurs et d'explosifs sont «assez souvent le matériel utilisé par le grand banditisme.

Au même moment à Marseille, la police, qui attendait le flagrant délit parisien, démantèle le réseau marseillais et interpelle onze personnes. «Notre objectif est de faire tomber les réseaux et de mettre les gens en prison», a souligné Christophe Descoms pour c'est «plus grosse saisie de cocaïne de l'année» de la PJ parisienne.

Source : Le Parisien

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