Actuel défenseur de West Ham United, club 5ème du classement de Premier League anglaise, Kurt Zouma, aussi détenteur de 11 sélections en équipe de France, fait aujourd’hui le buzz pour de bien mauvaises raisons.
En effet, dans la vidéo ci-dessous on le voit sciemment shooter dans un chat comme s’il s’agissait d’un ballon. La séquence choque d’autant plus qu’elle semble filmée en famille et même en présence d’un enfant. On y décèle d'ailleurs une sorte de sadisme puisque la pauvre bête se cache mais est visiblement traquée par ses tortionnaires.
La fondation Brigitte Bardot a fait part de sa volonté de porter plainte.
En attendant, et malgré des réactions unanimes contre lui, Kurt Zouma sera titulaire ce soir face à Watford…
Une vidéo polémique du défenseur de west ham international français kurt zouma où on le voit frapper un chat 🐈 pic.twitter.com/aGmnnOk6is
150 pompiers sont mobilisés pour maîtriser un incendie qui ravage l’hôtel de Seignelay près du musée d’Orsay à Paris. Ce bâtiment prestigieux construit vers 1713 a abrité à plusieurs reprises des ministères ou des secrétariats d’Etat. Il était actuellement en travaux. Aucune victime ne semble à déplorer. Après Notre-Dame, le feu est décidemment l’ennemi du patrimoine parisien.
Je vous écris suite à l’article Et l’islamo-droitisme, alors ? que vous avez publié dans votre magazine Valeurs Actuelles, paru le 3 février 2022 sous la signature de Monsieur Jules Torres. Cet article comporte des approximations, des sous-entendus, des amalgames et des raccourcis auxquels je me dois de répondre tant ils sont infamants et éloignés de la réalité.
Homme marié de 54 ans, père de cinq enfants, j’ai servi dans l’armée française pendant 7 ans et dans la Police Nationale pendant 20 ans. Je suis attaché à la France, à son drapeau et à ses principes. Je crois en l’Etat. Je crois en la République. J’ai consacré toute ma vie au service de la France et de nos compatriotes. Je n’ai jamais caché ou tergiversé avec mes engagements et mes amitiés politiques, que ce soit pour Nicolas Sarkozy, ou pour Jean-François Copé, pourtant attaqué pour sa loi sur la burqa ou pour avoir dénoncé le fait que des jeunes se faisaient arracher leur « pain au chocolat » parce qu’il ne fallait pas manger pendant le ramadan. Vous comprendrez donc que je trouve infamant que l’on sous-entende que je puisse avoir la moindre complaisance avec des salafistes, avec l’islamisme radical.
Plutôt que de vous écrire par le biais d’un avocat, j’ai tenu à vous faire moi-même valoir mes droits en apportant des éléments de réponse.
Sur le prêt de la salle à une association islamiste
Comme tous les maires, je suis sollicité par des associations pour des prêts de salle. Je rappelle que je ne peux pas interdire à une association de louer une salle sans motif valable. Ce serait un excès de pouvoir susceptible d’être sanctionné par le juge administratif.
En l’espèce, l’Association Espoir au Cœur de Mitry avait fait une demande de salle pour le 10 juillet, pour sa fête annuelle comme elle le faisait chaque année, y compris avec mon prédécesseur. Tout était administrativement en règle lors de cette demande de salle. Quand, par la suite, nous avons découvert le profil de l’intervenant, j’ai sollicité le Préfet sur les moyens légaux à ma disposition pour empêcher la tenue de cette réunion. Il m’a été répondu que « l’association demanderesse n’est pas identifiée comme poursuivant des activités contraires à la sureté de l’Etat ou troublant l’ordre public. L’intervenant également connu de nos services, qui, s’il exprime des positions peu progressistes, veille à ne pas se mettre en faute avec nos lois. … je ne dispose pas, tout comme vous, d’une appréciation d’opportunité pour interdire ou non une manifestation cultuelle, sauf si elle est susceptible de troubler l’ordre public. Je reste en l’attente d’éléments que vous seriez susceptible en tant que maire de me communiquer pour étayer une interdiction, soumise au contrôle du juge. »
Les éléments de ce courrier préfectoral prouvent donc que, dès que j’ai eu connaissance de l’identité de cet intervenant, j’ai alerté l’Etat et cherché les moyens légaux à ma disposition afin d’empêcher la tenue de cet évènement. Aujourd’hui, votre journaliste tente de faire croire que j’ai fait preuve de complaisance vis-à-vis d’un prédicateur radical. C’est une déformation de la vérité, un mensonge.
Sur ma supposée tolérance vis-à-vis d’une manifestation de militants antisionistes
En juillet 2014 a eu lieu une manifestation de soutien à la Palestine sans autorisation officielle ni de la ville ni de la préfecture. Aucun trouble à l’ordre public n’a été constaté, aucun appel à la haine raciale, à l’antisémitisme ou à la violence. Il n’y avait donc pas lieu de créer un trouble ou des tensions là où il n’y en avait pas. Dans notre pays, chacun est libre de s’exprimer tant qu’il le fait dans le respect des lois de la République. Ce fut le cas. Et d’ailleurs, les services de l’Etat, qui ont la compétence du maintien de l’ordre, n’ont rien trouvé à redire à cette manifestation.
Vous le savez, le maintien de l’ordre public est une prérogative régalienne exclusivement dévolue à l’Etat et non au Maire. Là encore, votre article sort un événement de son contexte pour créer l’amalgame et la suspicion. Mais étonnamment, à aucun moment vous ne jugez utile de mentionner la réaction qui a été la mienne quelques jours auparavant, le 12 juillet 2014, à la suite d’un jet de cocktail molotov sur la Synagogue de la rue Clermont- Tonnerre. J’avais réuni, à cette occasion, l’ensemble des représentants des communautés religieuses à l’Hôtel de Ville pour apporter leur soutien à la Communauté juive.
Sur la fin de contrat d’un agent contractuelle de la Ville
L’article laisse entendre qu’un agent de la ville aurait été congédiée pour ses prises de position critiques sur le voile. Là encore c’est faux. En droit cela ne peut constituer un motif de licenciement. En revanche cet agent a persisté malgré les avertissements de sa hiérarchie à s’affranchir de son devoir de réserve. C’est la raison de sa fin de contrat. Le motif de cette fin de contrat ne repose donc pas sur le fond de ses convictions, mais bien sur le non-respect de ses obligations contractuelles, à savoir le devoir de réserve qui incombe à tout agent public.
Le non-respect du devoir de réserve a d’ailleurs constitué une des motivations avancées par la Ville pour étayer et obtenir la révocation de Monsieur Hamada Traoré. Révoqué en 2018, cet agent a ensuite organisé une manifestation de soutien à l’auteur de l’attaque terroriste de la Préfecture de Police, Mickaël Harpon, le 10 octobre 2019. Je regrette que votre journal n’ait pas parlé des nombreux signalements au titre de l’article 40 du Code de Procédure Pénal que nous avons fait à l’encontre de cet individu, ni des menaces de mort qu’il a proféré à mon encontre et pour lesquelles je l’ai fait condamner.
Pour finir, je suis fier d’avoir été désigné tête de liste en Seine-Saint-Denis par Valérie Pécresse lors des dernières élections régionales. Je suis fier d’avoir, avec Valérie Pécresse, inauguré en plein cœur d’un quartier d’Aulnay-sous-Bois classé « Politique de la Ville », le square Ahmed Merabet le 11 février 2021, en hommage à ce policier assassiné lors des attentats de Charlie Hebdo.
A compter de cette date, j’ai pris l’engagement d’organiser chaque année une cérémonie commémorative dans ce square, devant la plaque Ahmed Merabet, en l’honneur de toutes les victimes du terrorisme. Tout comme nous rendons systématiquement hommage aux victimes des actes de terrorisme :
Participation à la marche parisienne du 11 janvier, en hommage aux victimes de Charlie Hebdo et de l’hyper Casher
Arnaud Beltrame, gendarme : 28/03/2018
Stéphanie Monfermé, policière, cérémonie à la PM : 20/09/2018
Xavier Jugelé, policier : 25/04/2019
Samuel Paty, le 16 octobre 2020 sur le parterre de l’Hôtel de Ville. La couverture de l’Oxygène du mois de novembre était d’ailleurs consacrée à l’hommage à Samuel PATY.
Comme je vous l’ai écrit en début de correspondance, ce droit de réponse n’est pas un écrit d’avocat. Il ne s’agit pas d’un droit de réponse au sens de la loi de 1881. Je tenais simplement à ce que vous sachiez la réalité derrière les graves accusations proférées.
Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Directeur de la Rédaction, l’expression de mes salutations distinguées.
Dans un article intitulé Islamo-droitisme : Valérie Pécresse rattrapée par les vieux démons de la droite, Valeurs Actuelles sous-entend que de nombreux élus de droite entretiennent des relations douteuses avec l’islam radical.
Le magazine donne la parole à Damien Rieu, un ancien identitaire qui a quitté le Rassemblement National pour rejoindre Eric Zemmour. Selon lui, l’islamo-droitisme se niche dans les faux-semblants et il se pratique de façon honteuse, cachée et inavouable. Voici ce qu’il en dit « Quand l’islamo-gauchisme est cohérent avec lui-même, car c’est une idéologie qui n’est pas cachée, qui est assumée, l‘islamo-droitisme joue sur deux tableaux. Les élus s’adressent à la fois à des électeurs inquiets de la montée de l’islamisme et, en même temps, ils draguent une clientèle islamique. C’est un double visage, un double discours et une double hypocrisie. »
Ainsi, poursuit-il, lors d’une élection, un islamo-droitiste va prononcer un discours ferme sur la sécurité dans les quartiers pavillonnaires mais faire preuve de clientélisme islamique dans les quartiers pauvres à forte population d’habitants de confession musulmane.
La revue évoque ensuite le supposé jeu d’équilibrisme que la candidate à l’élection présidentielle de 2022, Valérie Pécresse, est censée pratiquer entre la ligne dure d’un Eric Ciotti et celle plus consensuelle du centriste Jean-Christophe Lagarde. Enfin, elle aborde spécifiquement Aulnay-sous-Bois dans le paragraphe ci-dessous.
Valérie Pécresse est également proche de Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois, ville où la communauté musulmane représentait, en 2014, près de 40 % de la population (chiffres donnés par le maire lui-même lors d’un meeting de Jean-François Copé dans sa commune). Aux élections municipales de la même année, Beschizza reçoit le soutien de l’UAM 93. Le 31 décembre 2015, il prête gracieusement le gymnase municipal pour une “soirée spéciale” où plusieurs prédicateurs salafistes s’expriment. Quand des militants antisionistes manifestent illégalement sur le parvis de sa mairie, Beschizza ne voit pas le problème. Mais quand une de ses collaboratrices critique le voile, cette dernière est remerciée illico presto à la demande de… Mohammed Henniche. Lors des dernières élections régionales, Beschizza était tête de liste en Seine-Saint-Denis pour Valérie Pécresse.
L’article complet (payant) est disponible via le lien : ici
Pendant que dans les cantons suisses on compte les lingots d’or, la Seine-Saint-Denis, département le plus pauvre de France, recense ses sans abri. Ainsi, sept villes du 93 (Saint-Denis, Aubervilliers, Romainville, Rosny-sous-Bois, Bondy, Gagny et Bobigny) en ont dénombré 454 lors de la nuit de la solidarité. A Paris on en décompterait 2 600.
A Aulnay-sous-Bois, aucun chiffre n’est disponible, peut-être parce qu’officiellement il n’y a pas de sans abri dans notre commune.
Quoi qu’il en soit, misère et Seine-Saint-Denis semblent deux mots qui vont très bien ensemble. Ce qui laisse à penser que Victor Hugo lors de son fameux discours du 9 juillet 1849 avait tort quand il déclamait « Je ne suis pas, messieurs, de ceux qui croient qu'on peut supprimer la souffrance en ce monde ; la souffrance est une loi divine ; mais je suis de ceux qui pensent et qui affirment qu'on peut détruire la misère. »
RIP Victor
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L’homme de 29 ans, policier au Blanc-Mesnil depuis trois ans, est activement recherché depuis vendredi soir. Il est soupçonné d’avoir tué sa conjointe, à Paris, dans le XIXème arrondissement. Pour l’heure, les causes de la mort restent indéterminées. Mais il y aurait eu un épisode de violences conjugales par le passé.
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Le corps d’une jeune femme a été retrouvée à son domicile dans le 19ème arrondissement de Paris. Son compagnon, policier au Blanc-Mesnil, ne s’y trouvait pas. Il est considéré comme étant en fuite. Il est probablement armé.
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Le journal Le Parisien publie aujourd’hui trois articles à propos de la Seine qui est liée à Paris comme la Tamise à Londres. Le constat est effarant. Le fleuve est une décharge à ciel ouvert : déchets plastiques, mer de canettes, chariots de supermarché, bidons d’huile de vidange, on y trouve de tout.
« C’est une ville qui prend de l’ampleur et avec la nouvelle gare, ça va continuer », constate Andrée, 80 ans, alerte et souriante. Sa famille vit à Aulnay-sous-Bois depuis des générations : « Mes grands-parents, mes parents, moi, et ma fille est de l’autre côté de la gare. »
L’octogénaire n’a jamais voulu quitter cette « ambiance de village » héritée du passé. Sa maison en pierre est près de toutes les commodités : « J’ai la mairie, la gare, le marché, les commerces. » Le sud de la ville, pavillonnaire, est très prisé. L’emplacement proche de la gare des commerces, mais aussi l’architecture du bâti, fait de pierres, de briques ou de meulières, suscitent les convoitises.
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Un agent du service courrier de la mairie d’Aulnay-sous-Bois a donné l’alerte après avoir ouvert une enveloppe renfermant des petites billes transparentes, ce vendredi, peu avant 11 heures. Le bâtiment a été confiné pendant une heure et demie, le temps de la levée de doute.
L’enveloppe et les billes ont été prises en charge et analysées. Il s’agirait de billes de silice, a priori sans danger.
Une enquête a été ouverte. Des analyses complémentaires vont être réalisées ainsi qu’une recherche ADN.
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Un habitant d’Aulnay-sous-Bois a été condamné à un an de prison après avoir prostitué une jeune femme d’une vingtaine d’années dans un hôtel Formule 1 à Maurepas, une ville des Yvelines. C’est le gérant de l’hôtel qui a donné l’alerte.
Niant toute implication dans cette affaire de proxénétisme, l’homme âgé d’une trentaine d’année a finalement été confondu par l’enquête des policiers qui avaient mis en place des surveillances répétées.
Déjà poursuivi pour défaut de permis de conduire, le trentenaire a été finalement condamné à 12 mois de prison ferme et une interdiction de séjour de deux ans dans les Yvelines.
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Source information : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Wikipédia
Nouvelle nuit de violences durant la Saint-Sylvestre en Île-de-France. Au total, 186 voitures ont été brûlées et des policiers ont été la cible d’attaques au mortier de feu d’artifice. Dans un contexte sanitaire tendu, les incidents majeurs qui étaient craints à Paris n’ont pas eu lieu. C’est en grande banlieue qu’ils ont été les plus nombreux.
« Pour les policiers, ce fut encore une nuit difficile : guet-apens, tirs de mortiers, incendies de voitures… Mais nos collègues ont encore montré leur passion en ne déméritant pas aux côtés des Français pour les protéger », commente Matthieu Valet, le porte-parole du syndicat indépendant des commissaires de police. « Espérons que durant l’année 2022 il y aura moins de blessés dans nos rangs. »
Spécifiquement en Seine-Saint-Denis, 14 voitures ont été carbonisés et 7 ont subi l’impact d’une propagation de feu.
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Source information : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Wikipédia
Le drame ne s’est pas déroulé à Aulnay-sous-Bois, mais nombreux sont les habitants de notre commune à se rendre régulièrement dans le centre commercial de Claye-Souilly.
Ce samedi un jeune homme de 20 ans est décédé suite à une attaque au couteau dont l’origine serait un simple différent commercial dans la boutique Bouygues Telecom.
L’après-midi shopping a tourné au cauchemar ce samedi 10 juillet 2021, à 13h20, dans les allées du centre commercial Les Sentiers à Claye-Souilly.
Un des employés est décédé
D’après les premiers éléments, après un différend commercial, un homme âgé de 64 ans est en effet revenu armé d’un couteau pour poignarder au coeur deux employés de la boutique Bouygues Telecom.
L’un des deux, âgé de 18 ans, a succombé à ses blessures, l’autre, âgé de 20 ans, a été évacué en urgence absolue vers l’hôpital Pompidou, à Paris.
L’individu a immédiatement été arrêté sur place par quatre passants, et notamment un policier, un agent pénitentiaire et un agent de sécurité, tous hors service, qui se trouvaient sur les lieux. Il a ensuite été remis aux forces de police, qui, arrivées sur place, ont fait évacuer la zone et fermé le centre commercial.
Vers 9 heures ce jeudi 25 juin, un incendie s’est déclaré dans un appartement d’Aulnay-sous-Bois. Un homme se trouvait dans l’habitation située au deuxième étage, au 68, chemin du moulin de la ville. En arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des pompiers, la victime, âgée d’une trentaine d’années, n’a pas pu être sauvée. Et ce malgré les tentatives de réanimation des équipes de secours durant plus d’une heure.
Circonstances de l’incendie inconnues
Deux autres personnes, qui ont tenté de rentrer dans l’appartement en feu pour porter secours à l’occupant, ont été prises en charge sur place par les pompiers. Leurs jours ne sont pas en danger. L’incendie n’a pas entraîné l’évacuation des habitants de l’immeuble.
Une trentaine de pompiers se sont rendus sur place. Une heure après le début de l’incendie, les secours ont indiqué que le feu était maîtrisé. L’appartement, de 80 m2 a été très endommagé malgré l’intervention rapide des pompiers. Les circonstances et les causes exactes de l’incendie ne sont pas encore connues.
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Source information : journal Le Parisien / Image d’illustration : Aulnaylibre.com
Dimanche 13 juin 2021, les sapeurs-pompiers de Paris sont appelés vers 21 heures pour une « personne tombée » du troisième étage d’un immeuble, allée des cerisiers à Aulnay-sous-Bois.
Urgence absolue
La victime a été évacuée une heure plus tard dans un état grave, « en état d’urgence absolue », a précisé la brigade des sapeurs-pompiers de Paris à Actu Seine-Saint-Denis.
Si les circonstances du drame sont encore inconnues, une enquête a été ouverte et confiée au service de l’accueil de l’investigation de proximité (SAIP) du commissariat d’Aulnay.
Le Covid s’est invité dans les moindres recoins de nos vies depuis un an. Alors forcément aussi dans celles des douaniers. A l’heure des bilans, c’est sans grande surprise le masque qui arrive en tête des contrefaçons pour cette année hors du commun. En volume du moins, puisque, sur plus de 467 000 articles saisis par les douaniers franciliens, près de la moitié sont des masques chirurgicaux, acheminés de Turquie, sur le papier du moins.
« A l’époque, ça provenait surtout de Chine, pas de Turquie », se remémore un douanier. Rappelons-nous, mai 2020, la première vague. La France sortait groggy du confinement, avec plus de 26 000 morts du Covid et pas assez de masques pour tous. Des équivalences de normes avaient été passées avec plusieurs pays étrangers (Chine, Japon, Brésil…) pour approvisionner l’Hexagone. L’aéroport de Roissy, première frontière de France, s’était transformé en gigantesque plateforme d’approvisionnement.
Les douaniers ne contrôlaient plus que cela. De bonne foi mais avec une bonne dose d’amateurisme, certains s’étaient lancés dans l’import de masques sans rien connaître aux règles du commerce international. D’autres ont flairé le bon filon, face à la flambée des prix. A cette époque, le prix à l’unité flirtait avec l’euro, dix fois plus qu’aujourd’hui.
700 millions de masques importés en mai 2020
La plupart des 700 millions de masques importés venaient d’Asie. Alors forcément, lorsqu’un chargement arrive de Turquie, le 26 mai, les douaniers ouvrent l’œil plutôt deux fois qu’une. Les palettes sont débarquées d’un avion, mais c’est à Garonor, à Aulnay-sous-Bois, que les contrôles auront lieu. L’objectif est double : vérifier le respect des normes et les formalités de dédouanement avec l’acquittement des taxes. « On n’avait jamais eu affaire à de tels volumes », concède Patrick, responsable du pôle dédouanement à Aulnay-sous-Bois, où six douaniers procèdent aux vérifications de marchandises.
Ils ouvrent un carton et tiquent sur ces boîtes estampillées 44M. Ils font le lien avec une autre marque déposée et bien connue dans le domaine des protections, et soupçonnent des contrefaçons. « On contacte la marque, on envoie des photos et elle a un délai de dix jours pour nous faire un retour » indique un douanier. Dans le jargon, on appelle ça une « demande d’intervention ». Les marques se sont identifiées auprès des douanes, signalent de nouveaux produits par exemple, et les douaniers ont un contact direct avec les représentants juridiques. La douane en comptabilise 1500 à ce jour.
Les sept palettes de masques sont alors stockées à Aulnay, en retenue, jusqu’au retour de la marque officielle, qui confirme la contrefaçon. « Il faut que ce soit très approchant, souligne un agent. Une basket à neuf bandes ne pourra pas être considérée comme une contrefaçon de la marque à trois bandes par exemple. » Deux possibilités s’offrent alors : la destruction ou les poursuites judiciaires. Encore faut-il pouvoir remonter jusqu’au contrefaisant. Les masques en question, apprend-on de la douane, n’ont pas encore été détruits mais devaient l’être prochainement.
Les félicitations du ministre à l’époque ont flatté les agents d’Aulnay, qui par cette saisie, ont aussi décroché le record 2020. « On a très régulièrement saisi des masques, mais davantage sur des problèmes de normes que pour des contrefaçons », éclaire un douanier, conscient que toute actualité est de nature à aiguiser rapidement les appétits. « Quand Neymar a signé au Paris Saint-Germain, on a vu apparaître des tee-shirts à son nom moins de dix jours après », illustre-t-il.
Tant qu’il y a un marché, la contrefaçon a de l’avenir. Derrière les masques, les écouteurs et chargeurs de téléphone ont été massivement saisis (68 551 articles, dont 11 000 écouteurs bluetooth en février par la brigade de Paris-Sud), juste devant les paires de chaussures (42680 paires contrefaites saisies), tendance indémodable, devant les vêtements (34 339) et bijoux et sacs (30 003). La contre-valeur marchande de ces saisies en 2020 est estimée par la douane à 61 millions d’euros.
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Deux personnes ont été visées par des tirs près d’un hôpital à Paris. Il s’agit de l’établissement Henry Dunant, rue Michel-Ange, dans le XVIe arrondissement. L’une des deux victimes a succombé à ses blessures, selon nos informations.
La fusillade s’est déclarée à 13h40 et les deux victimes ont été prises en charge par le personnel de l’hôpital.
L’auteur des coups de feu a pris la fuite à scooter, toujours selon nos informations.
Aucun élément n’a été donné à ce stade sur les circonstances des tirs, devant cet hôpital privé appartenant à la Croix-Rouge française.
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Source information : journal Le Parisien / Source photo : Wikipédia
Dix personnes ont été intoxiquées au monoxyde de carbone ce lundi après-midi à Aulnay-sous-Bois, dans les locaux d'une association évangélique, sur l'avenue Dupuis.
Selon les premières constatations des pompiers, c'est un défaut d'évacuation des gaz d'une chaudière qui a touché simultanément un groupe de personnes, aux alentours de 15h30.
Les victimes ont été transportées dans plusieurs hôpitaux du secteur, dont trois en urgence absolue : une femme enceinte et deux enfants, dont les âges n'ont pas été communiqués.
Vérifier et entretenir ses installations chaque année
Les intoxications au monoxyde de carbone tuent chaque année plusieurs personnes en région parisienne, comme ailleurs. La brigade de sapeurs-pompiers de Paris rappelle qu'il faut très régulièrement « faire vérifier et entretenir toutes les installations — chauffages, chauffe-eau, conduits de fumée à faire ramoner… »
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Source information et image d’illustration : journal Le Parisien
Une femme est accusée d’avoir commandité l’assassinat du père de son fils en 2017 en forêt de Bondy. Celle-ci a avoué en garde à vue, expliquant avoir voulu revivre après des années de coups et d’insultes. Histoire d’une passion qui a tourné au cauchemar.
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C’est en pleine rue qu’un homme de 26 ans a été abattu par balle àAulnay-sous-Bois, mardi 23 mars 2021. Le parquet de Bobigny confirme à Actu Seine-Saint-Denis un « homicide volontaire », mardi vers 18h15.
Le jeune homme a été découvert au sol en arrêt cardio-respiratoire par la police. Les forces de l’ordre ont dénombré cinq impacts de balle sur le corps de la victime qui a rapidement été prise en charge par les secours.
Aucune interpellation
Malgré son transport rapide à l’hôpital privé de l’Est Parisien, à Aulnay-sous-Bois, l’homme est décédé quelques minutes plus tard.
La police est arrivée sur place suite à un appel indiquant des tirs en pleine rue avant qu’une voiture prenne la fuite. « Le véhicule ayant permis la fuite des auteurs était retrouvé vide d’occupants. Des traces de sang et 14 étuis percutés de calibre 9mm étaient découverts sur place », a indiqué une source proche de l’enquête à l’AFP.
Le parquet de Bobigny détaille que le SDPJ 93 est saisi de l’enquête et ajoute que « personne n’a été interpellé et nous n’avons pas encore d’éléments de contexte ».
Des vraies voitures, des vrais chauffeurs mais une fausse entreprise. Plusieurs interpellations ont eu lieu en Seine-Saint-Denis pour travail dissimulé, blanchiment de fraude fiscale et abus de bien social.
La fausse société de VTC employait 150 chauffeurs non déclarés qui gravitaient autour de l’aéroport d’Orly. Elle ne s’acquittait d’aucune cotisation salariale. Le montant de la fraude est estimé à 1,6 millions d’euros.
Ils errent depuis trois semaines dans la zone internationale de l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle. Vingt-cinq ressortissants algériens, en provenance d'Angleterre, leur lieu de résidence, sont bloqués depuis le 2 mars à Roissy. Leur but était de rejoindre l'Algérie. Seulement, avec la crise sanitaire, le pays a suspendu depuis le 17 mars ses liaisons aériennes. Même les vols de rapatriement de ses ressortissants ont été suspendus pour toute la durée de ce mois de mars, en raison de la propagation du variant anglais. Résultat : trois familles et quelques hommes seuls sont pris au piège.
Le consulat d'Algérie vient en effet de faire savoir, après différents échanges avec ces voyageurs esseulés qu'il ne voyait d'autre solution pour eux que de reprendre la direction de Londres.
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Les faits se sont déroulés à Aulnay-sous-Bois, dimanche 14 mars 2021, dans la soirée. Une rixe entre bandes rivales a éclaté.elon une source proche du dossier, cette dispute qui s’est envenimée entre plusieurs individus allant jusqu’à la rixe serait liée à un trafic de stupéfiants.
Deux individus gravement blessés
Les premiers éléments indiquent que les individus étaient munis de barres de fer et de marteaux. Les coups ont été très violents, deux individus ont été gravement blessés.
Selon nos informations, ils ont tous les deux été hospitalisés, l’un a été touché à la tête et l’autre aux poumons. Une enquête a été ouverte pour comprendre ce qu’il s’est passé.
Fini la marque "Monsieur Patate", jouet culte du groupe Hasbro.
Le fabricant a annoncé jeudi 25 février qu'il allait commercialiser une famille patate non genrée, mais a précisé que les jouets genrés eux-mêmes le resteraient. Seuls la marque et le logo perdront l'attribut "Monsieur".
Ces jouets, introduits en 1952, et mis en scène dans la série de films Toy Story, font partie des incontournables des familles américaines.
A partir d'une forme de patate en plastique, les enfants sont appelés à créer des personnages en leur ajoutant des attributs comme des yeux – avec sourcils maquillés pour Madame Patate, par exemple – une bouche, avec rouge à lèvres pour Madame, une moustache pour Monsieur, chaussures à talons ou pas, etc...
« Le bébé braqueur », Gaël Nivelais, 41 ans, a été condamné jeudi soir par la cour d'assises de Paris à une peine de 10 ans de réclusion criminelle. Au total, dix accusés, âgés de 26 à 58 ans, comparaissaient depuis le 15 février devant les jurés parisiens. Ils étaient accusés d'avoir attaqué un camion de fret, le 8 mars 2018 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).
Le matin du 8 mars 2018, il est 7 h 45, lorsque ce semi-remorque est attaqué à la sortie du dépôt TNT de Garonor. Un fourgon se place au milieu de la route. Le chauffeur est neutralisé. Deux hommes montent dans le camion, forcent le conducteur à rouler sur l'autoroute. Il est suivi du fourgon Mercedes et d'une Renault Clio RS et rejoint Mitry-Compans (Seine-et-Marne) où se trouve un autre fourgon blanc. Les malfaiteurs bandent les yeux du chauffeur et l'attachent avec des liens en plastique. Toute l'opération est réalisée sous la protection d'un brouilleur d'ondes et les malfaiteurs communiquent avec des talkies-walkies. Les voleurs déchargent les ordinateurs Apple. Valeur totale : 288 300 euros.
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