Publié le 10 Juillet 2015

Marché des saveurs algériennes à Aulnay-sous-Bois

La ville d’Aulnay-sous-Bois accueille samedi au City stade un savoureux marché algérien « Les 1 000 et une saveurs ». Vous pourrez y acheter des plats préparés mais aussi tous les ingrédients pour préparer vous-mêmes le tajine de vos rêves. Ce marché de spécialités culinaire et artisanales des différentes régions d’Algérie est organisé en partenariat avec le Consulat d’Algérie à Bobigny, pour célébrer Constantine capitale 2015 de la culture arabe.

Samedi, de 16 heures à 23 h 30 au City stade, 56, rue Auguste Renoir (face au CAP), à Aulnay-sous-Bois.

Source : Le Parisien

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 10 Juillet 2015

Annonce officielle de Autolib à Aulnay-sous-Bois !

Tous fanas des petites voitures grises écolos. A quelques semaines de fêter son quatrième anniversaire, le 5 septembre, le service de location de voitures électriques en libre-service Autolib' n'en finit pas d'étendre sa toile. Mardi, sept nouvelles communes (dont Aulnay-sous-Bois) se sont converties et ont rejoint le syndicat mixte Autolib' métropole, qui fait l'interface entre les collectivités et l'opérateur. Après Paris et ses départements limitrophes, la grande couronne se laisse séduire. Explications.

Un million de kilomètres parcourus chaque semaine

Début juin, le cap symbolique des 100 000 locations par semaine (soit un million de km parcourus) a été franchi. Autolib' compte désormais 82 000 utilisateurs abonnés actifs. Toutes les 24 heures, ils parcourent plus de trois fois le tour de la planète. « C'est un truc incroyable, reconnaît Marie-Pierre de la Gontrie, première vice-présidente (PS) de la région, et présidente depuis un an d'Autolib' métropole. Je le dis d'autant plus facilement qu'au début il y avait beaucoup de sceptiques. Quand Delanoë et Bolloré ont lancé ce pari, certains se sont demandés s'ils n'étaient pas dingues. »

973 stations dans 66 communes... pour l'instant

Il est loin le temps où Autolib' était perçu comme une lubie de bobo parisien. Le service compte aujourd'hui 3 300 voitures Bluecar qui naviguent entre 973 stations réparties dans 66 communes. L'une des dernière à avoir inauguré un emplacement est Le Chesnay dans les Yvelines. Et les villes candidates affluent. Elles sont seize (2) à avoir adhéré depuis le début de l'année. Et Autolib' métropole est actuellement en discussion avec une trentaine d'autres. Aujourd'hui, le pourcentage d'abonnés non parisiens approche les 50 %. Comment expliquer un tel engouement ? « D'abord, les villes voient que cela marche avec un taux de réabonnement de 90 % d'une année sur l'autre, un bon maillage et une voiture robuste, explique Marie-Pierre de la Gontrie. Et puis, la pollution préoccupe de plus en plus les Franciliens. Du coup beaucoup de conducteurs n'hésitent pas à abandonner leur voiture. Or, Autolib' permet justement de disposer d'un véhicule le jour où on en a besoin. »

De nouveaux services en vue

Le réseau devrait donc continuer à s'étoffer. « On souhaiterait couvrir l'intégralité de la métropole. Tel que c'est parti, on va le faire. Mais il ne faut pas que cela soit au détriment de la qualité du service », souligne la présidente d'Autolib' métropole. Des innovations sont également à prévoir. Une version améliorée d'Utilib', la version utilitaire de couleur rouge flashy, sera mise en service à l'automne. Egalement dans les cartons : un couplage du passe Navigo et de la carte Autolib' et un encouragement au covoiturage des utilisateurs. Le syndicat mixte planche enfin sur une tarification sociale d'Autolib' pour démocratiser le service dont l'abonnement annuel coûte 120 € auquel il faut rajouter 5,50 € par demi-heure.

(1) Bougival, Versailles (Yvelines), Marnes-la-Coquette , Vaucresson (Hauts-de-Seine), Aulnay , Le Pré-Saint-Gervais (Seine-Saint-Denis) et Sucy-en-Brie (Val-de-Marne).(2) En plus des 7 précédentes : Vélizy (Yvelines), Clichy (Hauts-de-Seine), Dugny, Epinay, Montreuil, Neuilly-Plaisance (Seine-Saint-Denis), Champigny (Val-de-Marne), Argenteuil et Bezons (Val-d'Oise).

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 10 Juillet 2015

La gestion du 93 par Claude Bartolone mise en cause par la chambre régionale des comptes

Il n'y avait aucune raison que Claude Bartolone (PS) soit présent hier matin à la séance du conseil départemental, puisqu'il n'y est plus élu. Cependant, son nom était sur toutes les lèvres. Les élus ont abordé le rapport de la chambre régionale des comptes (CRC), qui épingle la gestion du département de 2010 à 2015. Et, bien que la gestion Bartolone ne porte que sur deux années (2010-2012), il était la cible idéale pour l'opposition de droite, à cinq mois des élections régionales.

La droite saisit le procureur de la République. Le groupe les Républicains (LR, ex-UMP) veut que la justice examine l'affaire des recrutements douteux. Les magistrats de la CRC relèvent en effet qu'en 2012 les effectifs du cabinet de la présidence dépassaient le plafond autorisé par la loi, avec quatorze conseillers au lieu de onze. Par ailleurs, ils s'interrogent sur la réalité du travail réalisé par un ancien élu (le prédécesseur de Claude Bartolone dans le canton, aujourd'hui disparu, de Pantin-Est), embauché au cabinet de la présidence après 2008. « Ce rapport met en exergue des pratiques douteuses dans la gestion des ressources humaines », s'emporte Jean-Michel Bluteau, patron des Républicains. Des affirmations rejetées en bloc par la majorité. « Les trois salariés que la CRC compte au nombre des collaborateurs sont en réalité des agents administratifs », rétorque Daniel Guiraud, vice-président (PS) chargé des finances.

« Les comptes insincères », un choix politique. Les magistrats n'ont pas manqué de relever qu'en 2010 « l'inscription de recettes incertaines a altéré la sincérité du budget »*. L'opposition s'en empare et extrapole. « Claude Bartolone a créé une zone de non-droit budgétaire, s'insurge Hervé Chevreau, élu DVD. Il a également minoré l'état de la dette. Et il risque de reproduire la même chose à la région. » « Nous assumons tout, tonne Stéphane Troussel, le président (PS) du conseil. Si nous avons fait ce choix, c'est pour dénoncer les transferts de charges d'Etat non financés. Là où les magistrats constatent, nous dénonçons. Là où ils entérinent, nous combattons. »

Le candidat aux régionales pris pour cible. L'opposition espère bien convaincre les électeurs que le candidat PS aux régionales est un piètre gestionnaire. « Nous attendions des excuses de sa part et, au lieu de ça, nous avons eu droit à sa candidature », s'étrangle Thierry Meignen (LR). « La gestion de Claude Bartolone est mauvaise, insincère et malhonnête », renchérit Jean-Michel Bluteau. « Votre objectif était de salir Claude Bartolone, pas de parler du fond », contre- attaque Mathieu Hanotin, patron du groupe PS. « Utiliser les remarques de la CRC comme argument électoral est lamentable. Elle en fait à toutes les collectivités qu'elle contrôle », lâche Corinne Valls. Et la vice-présidente (DVG), chargée des transports, rappelle que les magistrats ont récemment adressé des observations peu avenantes à une mairie de droite... Sans préciser de quelle ville il s'agit.

* En avril 2010, Claude Bartolone a fait voter un « budget de révolte », avec 75 M€ de recettes virtuelles, correspondant aux sommes réclamées à l'Etat pour compenser les transferts de charges.

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 9 Juillet 2015

Les arrêtés antimendicité d’Aulnay-sous-Bois annulés par la justice

La mesure avait fait polémique. Les deux arrêtés antimendicité pris en avril et septembre 2014 par le maire Les Républicains (ex-UMP) d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza ont été annulés. Le tribunal administratif de Montreuil a rendu sa décision mardi. La juridiction avait été saisie par la Ligue des droits de l’homme, la Fédération nationale des associations de réinsertion sociale (Fnars), et le conseiller municipal PC d’Aulnay Miguel Hernandez. Les magistrats estiment que ces arrêtés qui interdisaient, jusqu’au 30 juin, de mendier de 8 heures à 20 heures, dans six secteurs de la commune, sont « insuffisamment motivés ».

Pour justifier cette mesure exceptionnelle — une première, semble-t-il, dans le 93, Bruno Beschizza avait invoqué « le nombre croissant de personnes se livrant à la mendicité », « parfois de manière agressive ou avec enfants », et « les plaintes adressées par les administrés et les difficultés pour les forces de police de les gérer ». Ces arguments n’ont pas convaincu les juges.

Après avoir rappelé que « la mendicité en tant que tellene constitue pas un délit », le tribunal administratif a estimé, au vu du dossier présenté par la commune, que « les risques d’atteinte à l’ordre public » ne présentaient pas « un degré de gravité tel que son interdiction s’avérât nécessaire ».

« Pour dire les choses simplement, Bruno Beschizza a utilisé un bazooka pour tuer une mouche. Contrairement à ce qu’il disait à l’époque, il n’existait pas de mendicité violente ou menaçante », note l’élu communiste Miguel Hernandez. « C’est une vraie victoire, se réjouit François Siebecke, du collectif de soutien aux Roms d’Aulnay. Même s’il intervient après l’expiration des arrêtés, le jugement empêchera à l’avenir le maire d’utiliser ce type de mesures. » Pourtant, Bruno Beschizza ne s’avoue pas battu. « La justice administrative n’a pas remis en cause le fondement juridique de ces mesures. Nous avons eu le tort de ne pas produire de plaintes d’administrés, ni assez d’éléments permettant d’apprécier la gravité du phénomène. Je vais solliciter les habitants et ma police municipale pour constituer un dossier en vue d’un prochain arrêté ».

L’élu avait fait de cette question un thème de campagne. Le premier arrêté, pris un mois après son élection en 2014, a précédé de peu l’évacuation des bidonvilles roms établis dans le nord de la ville. Les zones ciblées étaient proches des campements roms. Un an après, la ville d’Aulnay n’abrite plus aucun bidonville, mais Bruno Beschizza assure que la mesure répond toujours « à une demande sociale des habitants ». « Je ne veux pas que les commerçants d’Aulnay constituent comme ceux de Montpellier une milice anti-mendicité, affirme-t-il. Je vais donc tout faire pour pouvoir à nouveau doter ma police municipale d’outils juridiques ».

L’arrêté concernait six secteurs : le quartier centre-gare ; l’avenue Anatole-France ; la rue du 11-Novembre ; le secteur du Vieux Pays ; les grands axes du nord de la ville, rues Duclos, Chagall, Cézanne, carrefour de l’Europe ; et enfin le marché du Galion, en lisière de la Rose-des-Vents.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Sécurité publique

Publié le 9 Juillet 2015

Saisie d’armes, cocaïne et héroïne au Gros Saule à Aulnay-sous-Bois

Un pistolet automatique de calibre 11,43, un revolver à grenaille, trois cartouches de calibre 7,65, deux cartouches à grenaille, 29 bonbonnes de cocaïne et 10 bonbonnes d’héroïne… Mercredi après-midi, les policiers du commissariat d’Aulnay-sous-Bois ont réalisé une jolie saisie alors qu’ils effectuaient une perquisition chez un suspect domicilié au 1, allée du professeur Monod, dans le quartier du Gros Saule.

Cet homme avait au départ été placé en garde à vue pour recel de vol. En arrivant à son domicile, les policiers ont découvert un sac contenant de la cocaïne et de l’héroïne. Ils ont également récupéré les clés d’un véhicule de marque Renault.

Après avoir localisé la voiture, garée à proximité, dans la rue, ils ont procédé à sa fouille. C’est là, dissimulées dans le coffre, qu’ils ont retrouvé les armes et les munitions.

Rapidement identifié, le propriétaire de la voiture a été à son tour arrêté et placé en garde à vue mercredi au commissariat d’Aulnay-sous-Bois pour détention d’armes prohibées.

Le premier suspect est quant à lui toujours soupçonné de recel de vol, mais aussi désormais de trafic de stupéfiants. Les deux hommes étaient ce jeudi toujours en garde à vue. Le commissariat local reste chargé de la poursuite des investigations.

Source : Le Parisien

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 9 Juillet 2015

Les soldats du feu étaient à pied d’œuvre hier soir aux alentours de 23h30 pour éteindre un incendie de voiture dans le quartier Mitry-Ambourget juste en face du stade Vélodrome à Aulnay-sous-Bois.

Les images captées par un vidéaste amateur témoignent de l’embrasement spectaculaire du véhicule. La fumée et l’odeur de pneu cramé ont rapidement saturé l’atmosphère. Quelques curieux observaient la scène sans montrer le moindre signe de nervosité. Le secteur est resté calme.

L’intervention rapide des pompiers a permis d’éviter que les flammes ne se propagent davantage.

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 9 Juillet 2015

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous de la tenue d’ateliers « P’tit Ingénieur en herbe » sur la péniche Anako du Canal de l’Ourcq à Aulnay-sous-Bois. Ils se tiendront les vendredi 10 et jeudi 16 juillet 2015 de 16h à 17h30.

Atelier “P’tit ingénieur en herbe” sur la péniche Anako du Canal de l’Ourcq à Aulnay-sous-Bois

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 9 Juillet 2015

16000 appels non urgents reçus par les pompiers au plus fort de la canicule

16 000 appels « ne relevant d'aucune nécessité vitale » ont été reçus par les pompiers de Paris dans la nuit de vendredi à samedi, au plus fort de la canicule. Ces appels abusifs ont provoqué la saturation du centre de traitement de l'alerte de la BSPP (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris), située dans la caserne de la porte de Champerret (XVIIe) « mettant ainsi en danger ceux qui avaient besoin d'une intervention rapide des moyens de la Brigade ».

Parmi ces appels abusifs émanant de Paris et des départements de la petite couronne, les pompiers ont eu au téléphone une personne qui avait « des difficultés pour éteindre sa bougie parfumée », une autre leur signalant une fuite de sa chasse d'eau, ou encore un habitant coincé dans un ascenseur à l'arrêt au rez-de-chaussée, leur intimant d'intervenir « au plus vite car il avait faim »... Les pompiers rappellent que le 18 et le 112 sont des numéros d'appels d'urgence uniquement.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 8 Juillet 2015

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous de la tenue de plusieurs Rallye Jeux dans le cadre de l’exposition « Sacrée Croissance ! » à la maison de l’environnement d’Aulnay-sous-Bois. Ils se dérouleront les jeudi 9, mercredi 15, vendredi 17, lundi 20, mercredi 22 et lundi 27 juillet 2015 de 15h à 17h dans le Parc Faure.

Rallye Jeu Croissance Sacrée à la maison de l’environnement d’Aulnay-sous-Bois

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 7 Juillet 2015

Tout a commencé le samedi 4 juillet 2015 dans l’après-midi lorsqu’André Cuzon, ancien président de l’association Aulnay Environnement, alerte les blogs locaux sur une affaire plutôt étrange : l’abattage sauvage de platanes situés à l’intérieur de l’école Nonneville à Aulnay-sous-Bois. Son récit (à lire ci-dessous) et les photos qui illustrent cet événement sont aussi impressionnants que surprenants.

L’étrange affaire de l’abattage sauvage des platanes de l’école Nonneville à Aulnay-sous-Bois

« Je suis alerté vers 17 heures 10 par une amie qui habite derrière l’école d’un élagage qui ressemble à une coupe sauvage dans la cour de l’école Nonneville. J’envoie un appel d’urgence aux blogs et me rends sur place avec elle et un autre voisin alerté. Nous tapons fort à la porte concernée : les ouvriers nous disent qu’ils n’ont pas la clef et que leur responsable doit passer à 19h30. Le gardien intérimaire vient voir à la porte au bout de quelques minutes. Nous lui demandons d’avertir les responsables du chantier et de la police municipale. Pendant qu’il appelle 3 ouvriers ayant la clef en profitent pour ressortir en voulant refermer à clef : ils étaient parait-il sur un chantier de placoplatre !

L’étrange affaire de l’abattage sauvage des platanes de l’école Nonneville à Aulnay-sous-Bois

Hervé Suaudeau pour son blog Monaulnay arrive. Le spectacle est impressionnant : un platane de plus de 20 mètres de haut a été abattu par grosses branches de 30 centimètres de large. Des branches sont tombées sur les toits de l’école et des logements sur les bancs neufs de l’école… 1 autre professionnel sort avec du matériel ( électrique !). Nous attendons la police municipale, qui arrive et constate comme nous les dégâts, les risques évidents des travaux et l’absence des travailleurs partis comme des voleurs. Ils envisagent de mettre le camion resté là en fourrière afin de convoquer le « patron ».

L’étrange affaire de l’abattage sauvage des platanes de l’école Nonneville à Aulnay-sous-Bois

Pour moi responsable associatif aulnaysien ce grave incident demande des réponses municipales après les enquêtes nécessaires. Cela doit porter sur les donneurs d’ordre, les conditions dans lesquelles des travaux se font à l’insu apparemment des gardiens et de la police ! Evidemment ce qui nous motive ce sont les conditions de travail des personnels… et les conséquences de travaux pour les biens publics et pour les arbres centenaires des écoles dans ce cas. Un arbre était mal : 5 autres étaient menacés…

L’étrange affaire de l’abattage sauvage des platanes de l’école Nonneville à Aulnay-sous-Bois

Nous demandons aux élus de nous informer des résultats de cette enquête. A cet instant de mon compte-rendu j’ai un appel de Frank Cannarozzo. Je compte sur lui. Je lui ait dit que j’avais l’impression d’avoir affaire à des voleurs de bois… »

L’étrange affaire de l’abattage sauvage des platanes de l’école Nonneville à Aulnay-sous-Bois

Immédiatement, notre Robin des Bois local, Hervé Suaudeau, se fend d’un article sur son blog où il émet l’hypothèse que cette opération aurait peut-être été commanditée par l’exécutif municipal soi-même. Il étaye son assertion sur des « rumeurs » soulevées par le corps enseignant de cet établissement scolaire mais pourtant formellement démenties en conseil d’école par Claire Fouque l’adjointe au maire en charge de l’éducation.

L’étrange affaire de l’abattage sauvage des platanes de l’école Nonneville à Aulnay-sous-Bois

Renseignement pris, il apparait finalement que la ville n’a absolument pas mandaté cet abattage sauvage. Elle est en fait victime de la situation exactement comme lors du dépôt de tonnes de terre survenu en 2013 sur le site de l’ancienne usine d’amiante. Une plainte aurait d’ailleurs été déposée et une enquête est en cours pour connaitre les tenants et aboutissants de cette affaire.

L’étrange affaire de l’abattage sauvage des platanes de l’école Nonneville à Aulnay-sous-Bois

Moralité : à force de voir le mal partout notre sympathique blogueur semble se laisser gagner par une sorte de paranoïa aiguë. Attention à la surchauffe…

(Merci à André Cuzon pour le compte-rendu et les photos).

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 7 Juillet 2015

La coupe est pleine à Aubervilliers. Elle déborde même. Pascal Beaudet a annoncé hier midi que, désormais, il porterait plainte pour dégradations de biens publics. « Les dégradations devront être indemnisées », a prévenu le maire PCF, qui va prendre un arrêté en ce sens aujourd'hui.

A Aubervilliers, le phénomène a pris une ampleur sans précédent. La municipalité avait été l'une des premières à s'en alarmer mardi dernier. « J'ai fait appel au sens civique. Mais cela n'a pas été entendu », déplore-t-il. Pire, son message adressé le 30 juin sur le site Internet de la ville a été dévoyé. « Il faut rappeler que cette importante consommation d'eau n'est pas facturée davantage. Le tarif étant forfaitaire sur l'année et compris dans le prix de la location annuelle à la société Veolia », écrivait-il. Certains élus qui tentaient de raisonner des habitants ont reçu cette réplique surprenante : « C'est gratuit, le maire est d'accord ».

Pascal Beaudet s'en offusque. Sur le site Internet, il écrivait : « Rien n'est gratuit. Il y a bien quelqu'un qui va payer. Veolia en tiendra compte lors de la renégociation du contrat ». Les millions de mètres cubes envolés, des installations vandalisées, des canalisations explosées, des sous-sols inondés. L'addition ne sera pas indolore. Demain, la municipalité fera le point avec son délégataire. Au plus fort de la crise, « entre quinze et vingt bouches étaient ouvertes en même temps », indique le maire.

Un soir, en rentrant chez elle, une salariée confie en avoir compté « neuf ouvertes sur l'avenue de la République ». Si l'eau coulait à flot dans les rues, dans les robinets, le réseau était à sec « Je n'avais plus d'eau dans mon appartement », indique-t-elle. Le maire avoue sa perplexité devant une situation « inextricable ». « La canicule est un faux argument. Ces actes sont répréhensibles et ne peuvent être justifiés ni par la météo ni par la fermeture temporaire de la piscine municipale. » Celle-ci est programmée deux fois par an en décembre et à la fin de l'année scolaire, pour répondre à la directive de l'agence régionale de santé (ARS). Les bassins sont vidés et nettoyés.

L'effet canicule n'explique pas tout. Des témoins ont rapporté au maire d'étranges comportements : « un petit groupe qui aurait les clés tournait sur toutes les bouches et les ouvrait systématiquement ». Pour l'heure la police n'a interpellé aucun auteur. Mais ses interventions systématiques pour protéger les agents de Veolia, se déroulent sous haute tension. « Nous sommes presque toujours pris à partie avec des jets de projectiles, des barres de fer », indique un policier. Ils ne sont pas les seuls. Le maire raconte qu'un habitant qui tentait d'intervenir « s'est fait retourner sa voiture et a dû s'enfuir ». Si bien que les pompiers habilités à verrouiller les bornes préfèrent « laisser l'eau couler et attendre 22 heures », le temps que les rues se vident. Pascal Beaudet avoue son désarroi. En préfecture, il lui a été conseillé « de ne pas trop solliciter la police ». Il enchaîne : « Pour faire appliquer l'arrêté municipal, nous aurons besoin d'elle. »

Source article : Le Parisien / Vidéos d’illustration : Aulnaylibre !

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Publié dans #93 Infos

Publié le 7 Juillet 2015

Vous trouverez ci-dessous l’annonce d’une exposition intitulée « sacrée croissance ! ». Elle se déroule du mardi 7 juillet au mercredi 29 juillet à la maison de l’environnement d’Aulnay-sous-Bois située dans le parc Faure.

Exposition « sacrée croissance ! » à la maison de l’environnement d’Aulnay-sous-Bois

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Publié le 7 Juillet 2015

Un wagon potentiellement toxique déraille à la gare de triage de Drancy

La sirène a retenti au moins trois fois, dimanche 5 juillet 2015, aux abords de la gare de triage de Drancy, située également sur les communes du Blanc-Mesnil et du Bourget.

Un wagon a déraillé peu avant 13 heures. Selon le comité des riverains de la gare de triage (Corigat), il a été percuté par un deuxième wagon au contenu potentiellement toxique.

« Ce wagon sert à transporter de l'isobutylène, un produit inflammable et explosif », s'alarment Jean-Yves Souben, élu EELV au Blanc-Mesnil, et Anne-Marie Delmas, vice-présidente du Corigat. « On joue avec le feu », s'inquiète Jean-Yves Souben.

La préfecture de Seine-Saint-Denis a confirmé le déraillement d'un train : « Il ne contenait aucun produit toxique. L'alarme se déclenche à chaque fois qu'une voiture déraille, est percutée ou renversée. C'est la procédure qui l'exige. Elle permet d'éviter tout risque. » Vers 14 h 30, tout était rentré dans l'ordre.

Chaque année, plus de 15 000 wagons transportant des matières dangereuses passent par ce site majeur du fret francilien. A Noël 2013, un wagon de déchets nucléaires avait déraillé. Depuis, plusieurs incidents, fuites ou déraillements ont déclenché les sirènes d'alarme.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 6 Juillet 2015

Depuis le début de la vague de chaleur, le nombre de bornes à incendie vandalisées a atteint des sommets dans le département : jusqu'à 300 ouvertures sauvages pour la seule journée de vendredi. Soit 15 millions de litres d'eau à l'heure déversés dans les rues. Hier, la baisse de la température aura eu pour effet de stopper le mouvement. Aujourd'hui, une question se pose : à combien se chiffre la facture et qui va la payer ?

Veolia, le délégataire qui assure la gestion du service public, ne peut pas encore chiffrer les dégâts provoqués par ces millions de litres d'eau lâchés dans la rue. « Il y a l'eau perdue mais il faut aussi prendre en compte le coût des bornes réparées qui n'ont heureusement pas toutes été cassées. Cette facture-là revient aux collectivités. Il faut également compter les caves infiltrées, les appartements inondés, les postes de distribution d'électricité endommagés », énumère Veolia.

Inquiétude pour la fin de la semaine

Le groupe a dû envoyer des techniciens sur place pour réparer et fermer l'eau mais également mobiliser du personnel dans ses usines pour activer le traitement d'eau et pouvoir réalimenter les canalisations. Impossible pour le moment de dire si cette crise aura des répercussions sur le prix de l'eau pour les villes et le contribuable.

Pour les communes, la liste des incidents causés par ces geysers sauvages commence à s'allonger. A Saint-Ouen, la halle du marché Ottino inondée n'a pas pu ouvrir hier. « Je vais prendre un arrêté -- 9 000 € d'amende pour les vandales -- lundi », indique William Delannoy, le maire UDI de Saint-Ouen. Le maire PS de Pantin a fait de même vendredi.

A Bondy, une arrivée d'eau a été percée dans le quartier Nord. « En centre-ville, une borne a juste été ouverte. Le problème ? Les auteurs n'ont pas conscience du danger », déplore la maire socialiste de Bondy, Sylvine Thomassin.

Jeudi, à Bobigny, un enfant âgé de 8 ans a été blessé, projeté par la puissance du jet d'eau. Vendredi, à Sevran, un poteau à incendie scié a inondé un poste électrique, privant de courant 1 500 foyers jusqu'à 1 heure du matin.

Chez Veolia, on se tient prêt à gérer une nouvelle situation de crise si la chaleur revient, peut-être en fin de semaine. « On se prépare à devoir de nouveaux intervenir en cas de nouveaux pics des températures », indique un porte-parole du groupe. Dans ce cas, le groupe espère l'organisation d'une table ronde avec la préfecture.

Source article : Le Parisien / Vidéos d’illustration : Aulnaylibre !

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 3 Juillet 2015

Assistantes sociales à Aulnay-sous-Bois : le maire Bruno Beschizza attaque le département !

Le torchon brûle entre la mairie d’Aulnay-sous-Bois et le conseil départemental. Le 10 décembre dernier, Bruno Beschizza (LR) avait annoncé sa volonté de ne plus financer les assistantes sociales de sa ville ainsi que les centres de planification familiale. Depuis 1996 et la signature d’une convention avec le département, la ville gère un service d’assistantes sociales (elles sont aujourd’hui 22, dont dix contractuelles). Le conseil général assume 80 % des dépenses de personnel. Le reste, ainsi que les loyers et dépenses courantes, est à la charge de la municipalité. Idem pour les trois centres de planification familiale.

Bruno Beschizza avait prévu un délai de six mois, qui devait servir à transférer l’intégralité de service ces compétences vers le département, qu’il juge responsable de l’action sociale. Mais dans ce laps de temps, rien n’a changé. Stéphane Troussel, président PS du conseil départemental conteste tous les arguments du maire d’Aulnay. Hier matin, c’est donc offensif que Bruno Beschizza s’est présenté devant la presse. En présence de l’avocat de la ville mais aussi des assistantes sociales, qu’il avait conviées à une réunion juste avant, il a annoncé sa volonté de saisir le tribunal administratif. Il veut attaquer pour « excès de pouvoir du département ».

Stéphane Troussel refuse ce « tour de passe-passe » et critique la volonté du maire d’« habiller sa décision de faire des économies sur le dos des plus fragiles et d’accuser le département ». Pour couronner le tout, les deux hommes semblent avoir du mal à se voir, et ce alors que Bruno Beschizza est conseiller départemental. Celui-ci indique qu’il a sollicité un rendez-vous avec Stéphane Troussel de longue date mais qu’il ne lui a été accordé que le 20 juillet, à une semaine de la fin effective de la convention qui unit sa ville et le département. « C’est du foutage de gueule, on ne négocie pas en sept jours », s’emporte-t-il. Stéphane Troussel dit n’avoir reçu de demande qu’il y a deux semaines. « Le département maintiendra son action », poursuit-il en reconnaissant qu’il y a un risque que le service donné aux gens soit de moins bonne qualité.

Source : Le Parisien

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 1 Juillet 2015

Vers une ouverture tous les dimanches de O’Parinor à Aulnay-sous-Bois !

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du site roissymail.com annonçant l’ouverture de O’Parinor tous les dimanches. Ce processus s’enclenchera en principe à la fin de l’année 2015. Voilà qui permettra sans doute au centre commercial d’Aulnay-sous-Bois de bénéficier d’une affluence potentiellement tentée jusque-là par le concurrent de Tremblay-en-France à savoir Aéroville qui lui est toujours ouvert ce jour-là. En revanche, les commerces de proximité qui périclitent, risquent d’en pâtir fortement.

Vers une ouverture tous les dimanches de O’Parinor à Aulnay-sous-Bois !

J’ai fait la connaissance hier de Karl Tailleux (photo ci-contre), qui est le nouveau (depuis trois mois) directeur du centre commercial O’Parinor, en remplacement de Bastien Leal, promu directeur marketing au sein du groupe Hammerson, la foncière qui gère (entre autres…) le centre.

On a déjeuné dans le Centre, sur la terrasse de la Grande Brasserie. Eh bien je peux dire que ce jeune homme (27 ans) m’a fait une grande impression ! Après une école supérieure de commerce (et un passage chez coca-cola), il a dirigé le centre commercial les Docks Vaubanau Havre. On lui souhaite un grand succès dans sa nouvelle mission ici.

Et, au cours du repas, il m’a fait un « cadeau ». Un vrai scoop ! Après un long combat (dont je témoigne, j’ai suivi le dossier), O’Parinor a été autorisé, par arrêté du préfet de Seine-Saint-Denis (qui avait hésité longtemps… ) du 10 avril à ouvrir tous les dimanches (comme Aéroville…). Ceci dans le cadre des PUCE (voir la fiche explicative ici). Toutefois, les choses se feront progressivement car maintenant c’est au tour des magasins du Centre (qui avaient tous souhaité l’ouverture du dimanche) de monter leur dossiers administratifs. L’ouverture tous les dimanches commencera en fin d’année.

C’est une bonne nouvelle !

Source : http://www.roissymail.com/

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce