Publié le 12 Octobre 2013

renaud-monfourny-aulnay-patti-smith.jpgAULNAY-SOUS-BOIS. Leonard Cohen, Neil Young, Bjork, Lou Reed, Patti Smith (notre photo) : les plus grandes stars du rock ont défilé dans sa chambre noire. Renaud Monfourny, photo-reporter et portraitiste depuis la première heure au magazine « les Inrockuptibles », présente une trentaine de ses meilleurs clichés dans l’exposition « Un jour, j’ai rencontré William Burroughs » à Aulnay. Retrouvez les visages de la culture underground des années 1980 à aujourd’hui, du romancier William Burroughs au cinéaste Quentin Tarantino.

Entrée libre, à partir d’aujourd’hui et jusqu’au 24 novembre, du mardi au dimanche de 13h30 à 18h30 à l’Espace Gainville, 22, rue de Sevran à Aulnay. Tél. 01.48.79.65.26.

Source : Le Parisien Photo : Renaud Monfourny

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 11 Octobre 2013

Vous trouverez ci-dessous la lettre de Gérard Ségura annonçant sa candidature pour les prochaines élections municipales des 23 et 30 mars 2014. 

gerard-segura-2014.pngMadame, Monsieur,

Il y a bientôt six ans, je sollicitais vos suffrages comme maire d’Aulnay-sous-Bois parce que je considérais que notre ville avait accumulé beaucoup de retard. Depuis, avec l’équipe municipale qui m’entoure, nous n’avons cessé de travailler d’arrache-pied à mettre en oeuvre le programme sur lequel nous nous étions engagés devant vous, et à remettre Aulnay sur de bons rails.

Durant le mandat, nous nous sommes heurtés à bien des obstacles. Nous avons dû faire face à la crise économique qui touche de plein fouet de nombreuses familles. Nous avons subi la baisse des dotations publiques. Nous avons encaissé le choc de la fermeture de PSA. Autant d’épreuves que nous avons surmontées et qui nous ont rendus plus forts pour aborder l’avenir.

Vous le savez, lorsque j’ai pris mes responsabilités, des dossiers cruciaux restaient sans solution. C’était le cas du nouveau commissariat de police dont nous venons d’obtenir le financement, du Plan de rénovation urbaine, que nous avons relancé, des ruines du garage Renault qui ont fait place à des commerces, de l’ancienne usine d’amiante aujourd’hui dépolluée. Cette ténacité nous a également permis de remettre à niveau le patrimoine scolaire, de relancer le parcours résidentiel, d’obtenir le 7e collège ou encore la gare du Grand Paris.

Ce bilan a été forgé sur l’engagement tenu de ne pas augmenter la pression fiscale grâce à une discipline budgétaire stricte et un recours maîtrisé à l’emprunt. Ce bilan a été forgé sur la volonté de ne pas opposer les uns aux autres, mais de s’appuyer sur la diversité des talents et des générations, sur les valeurs de solidarité et de dialogue. Ce bilan a été forgé sur la conviction que notre ville a les moyens de forcer son destin et de se construire un futur meilleur.

Désormais Aulnay a besoin de franchir un palier décisif. Il nous faut arracher les financements en faveur de la deuxième grande étape du Plan de rénovation urbaine. Il nous faut obtenir une caserne des pompiers digne de ce nom. Il nous faut gagner les crédits en faveur du Centre de création vocale et scénique du CRea. Il nous faut imposer sur le site de PSA un projet industriel haut de gamme, fondé sur la performance économique et écologique, créateur de milliers d’emplois pour notre population et notre jeunesse.

Les richesses ainsi créées représenteront une formidable opportunité en même temps que la garantie certaine de maintenir un haut niveau de service public communal sans hausse de la fiscalité, de préserver et d’embellir durablement notre cadre de vie, de résoudre les difficultés de circulation et de transport, de soutenir le commerce de proximité et le dynamisme associatif.

Aulnay dispose d’atouts incomparables pour gagner. Nous avons tout fait pour effacer le souvenir déplorable des émeutes de 2005. L’image de notre commune s’est améliorée au point que beaucoup sont prêts à s’investir dans des entreprises de long terme. Dans ce moment déterminant, rien ne serait plus dommageable que le repli sur soi, la peur de l’échec et le retour à l’immobilisme.

C’est afin de porter cette vision ambitieuse, de saisir cette chance historique pour notre ville et d’impulser l’élan indispensable sur la voie de la réussite que je vous présente ma candidature à l’élection municipale du 23 mars prochain.

J’ai la volonté de venir à vous entouré des candidats de la liste de large rassemblement à gauche, et, au-delà, de rassembler toutes les aulnaysiennes et tous les aulnaysiens. Cette liste sera composée de femmes et d’hommes compétents, attachés à notre commune, de sensibilités diverses. Une liste rajeunie et renouvelée autour d’élus que vous connaissez déjà et appréciez parce qu’ils ont fait leurs preuves durant ce mandat.

Je vis à Aulnay-sous-Bois depuis près de 40 ans. J’y ai été enseignant, puis directeur d’école. J’ai vu grandir des générations d’enfants et fait la connaissance de milliers de parents. J’ai exercé des responsabilités associatives et syndicales. J’ai vu Aulnay dans ses pires comme dans ses meilleurs jours.

Mes racines sont ici, elles sont profondes et anciennes. J’aime ma ville plus que jamais. Et je suis toujours le premier à me battre pour elle. C’est ce que je fais en me consacrant sans relâche à ma tâche de maire. Je m’y consacre avec passion, courage et une énergie intacte. Et je souhaiterais que vous m’aidiez à achever ce que j’ai commencé.

Parce que je sais vos souffrances et vos espérances,

parce que je sais ce que vous vivez et ressentez,

parce que je sais combien est fort l’attachement que vous portez à Aulnay,

soyez certains de pouvoir compter sur ma fidélité et mon énergie.

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Publié le 11 Octobre 2013

passe-navigo.jpgEntre 130 000 et 150 000 Franciliens jouent désormais à « saute-zones » chaque week-end. Mise en place en septembre 2012, la mesure de dézonage du passe Navigo le week-end rencontre un franc succès. Depuis mai, entre 70 000 et 80 000 personnes vont ainsi au-delà de ce que leur permet habituellement leur carte de transports le samedi, et de 60 000 à 70 000 le dimanche. Et pour le premier dézonage d’été, mis en place entre le 13 juillet et le 18 août, ce sont 560 000 usagers qui ont dézoné. Autant de chiffres qu’ont présenté hier Pierre Serne, vice-président (EELV) de la région aux Transports, et Mounir Satouri, président du groupe écologiste. « Ça a bénéficié aux habitants de la grande couronne, mais aussi à beaucoup de Parisiens qui ont franchi le périphérique cet été, assure ce dernier. Le dézonage améliore la cohésion sociale et territoriale. »

Il manque 400 M€ afin de généraliser le test

Les deux élus ont aussi présenté un sondage sur le passe Navigo à tarif unique, objectif poursuivi à terme. Commandé par le groupe EELV à la région et réalisé par Harris Interactive en septembre dernier, il montre notamment que 80% des Franciliens interrogés estiment « qu’il s’agit d’une mesure juste ». Et ils sont à peine moins nombreux (79%) à être « d’accord avec l’idée de mettre en place cette mesure ». Un sondage qui tombe à point nommé pour les écologistes qui aimeraient voir inscrites dans la loi de finances 2014 des mesures susceptibles de financer le passe à tarif unique. « On espère notamment convaincre les députés socialistes, confirme Pierre Serne, pour qu’ils puissent infléchir la position du gouvernement ».

Pour financer le passe à tarif unique (aligné sur les zones 1-2, soit 65,10 € mensuels), il manque en effet quelque 400 M€ que les élus de la majorité de gauche à la région comptent récupérer en faisant contribuer les entreprises par une hausse du versement transport (VT). Mais jusqu’à présent, les parlementaires s’y sont refusés. « Il faudra que chacun assume si ce n’est pas fait », lance Pierre Serne. Car le passe Navigo à tarif unique est l’une des promesses de campagne les plus emblématiques des régionales de 2010, qui devait être réalisée à mi-mandat. Valérie Pécresse, la chef de file de l’opposition régionale (UMP), y voit « un cadeau qui ne compense pas la hausse continue des tarifs de transports, de 12,5% depuis 2010. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 11 Octobre 2013

Vous trouverez ci-dessous un article du site Lutte Ouvrière intitulé PSA Aulnay-sous-Bois, après les requins, les vautours. Il explique comment le terrain de l’ancienne usine, idéalement situé il est vrai, attise bien des convoitises. Pour endiguer la spéculation le conseil régional d’Ile-de-France serait prêt à débourser 1 milliard d’euros !

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1 200 travailleurs de l'usine PSA Aulnay-sous-Bois, dont la fermeture est prévue en mars 2014, sont toujours sans solution d'emploi. Mais le terrain suscite bien des convoitises. Quand Citroën l'avait acheté en 1972 pour une bouchée de pain, il avait déjà fait une opération foncière en revendant les 16 hectares de l'usine de Javel, dans le 15e arrondissement de Paris, pour 375 millions de francs. Quarante ans plus tard, les 160 hectares d'Aulnay, desservis par trois autoroutes, proches de Paris et des aéroports de Roissy et du Bourget, valent cher. Dans son plan secret prévoyant la fermeture du site, en 2011, la direction de PSA escomptait déjà une vente à 300 millions d'euros. Mais on parle aujourd'hui de un à deux milliards d'euros. Les offres se bousculent... mais pour l'instant PSA n'est pas vendeur.

C'est que le trust n'est pas seulement un licencieur, c'est aussi un spéculateur : une gare de métro du Grand Paris Express doit être construite à proximité, et tout laisse à penser que Peugeot attend que les prix grimpent. 

Quitte à ce que, en attendant, le terrain reste une friche industrielle.

Le conseil régional d'Île-de-France, dirigé par le PS, se dit prêt à mettre un milliard d'euros sur la table pour acheter le terrain avant de le revendre. Comme si l'argent public devait servir à cela ! La seule mesure qui s'imposerait serait l'expropriation. Mais elle ne viendra pas d'un pouvoir politique qui a laissé les mains entièrement libres à PSA pour supprimer 11 000 emplois avec un plan social qui ne lui a rien coûté.

Après avoir exploité à Aulnay des milliers de salariés qui ont fabriqué des millions de voitures pendant quarante ans, PSA va réaliser une nouvelle opération spéculative, avec la bénédiction du gouvernement.

Source : http://www.lutte-ouvriere-journal.org/

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 11 Octobre 2013

Aeroville-embouteillages.jpgL’ouverture du nouveau centre commercial Aéroville ne fait pas que des heureux. A quelques centaines de mètres de l’immense bâtiment, les salariés de la zone de fret de Roissy (95) en subissent même les conséquences en termes de circulation. Et ce en raison d’un changement de sens de circulation. « Nous nous levons plus tôt et devons trouver de nouvelles routes, faire des détours pour nous rendre sur notre lieu de travail, racontent certains salariés. Des pétitions circulent, on n’en peut plus! » Aux travaux liés à la mise en service du centre commercial, qui ouvrira la semaine prochaine, s’ajoutent ceux d’aménagement des rues, prévus depuis longtemps.

« L’ouverture d’Aéroville va nettement améliorer cette situation, soutient-on à Aéroports de Paris (ADP). Un parking de 4500 places va ouvrir, il réglera les problèmes de stationnement qui participent à la perturbation du trafic. » Car en plus de nouveaux sens interdits et de déviations, les ouvriers du chantier se garent le long de la route, réduisant la largeur des files. « Entre nous, on a surnommé le centre commercial Aéromerde, poursuit un salarié de la zone. Personne ici ne profitera de ses magasins, mais on hérite de ses désagréments. » Les transporteurs accusent de nombreux retards de livraisons et les employés sont à bout. « Ces travaux ont mis une énorme pagaille dans notre organisation, confie un employé. L’autre jour, un transporteur a mis quarante minutes pour faire 500 m! »

La question est de savoir combien de temps la situation va durer? « C’est une situation temporaire », assure ADP. Mais impossible de connaître l’échéance exacte du retour à la normale. « Nous avons peur que ces changements soient définitifs, poursuit une automobiliste. Il est question de sécuriser la zone de fret pour que les clients d’Aéroville n’y accèdent pas. » Les salariés attendent l’ouverture du centre commercial pour constater l’évolution de la situation. Si rien ne change, ils envisagent de monter au créneau.

Source : Le Parisien

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 11 Octobre 2013

Deux chanteuses aux voix saisissantes et aux univers dépaysants sont en concert ce samedi 12 octobre à 20h30 au Cap d’Aulnay-sous-Bois : Mélissa Laveaux et Riff Cohen. Vous trouverez ci-dessous quelques lignes sur ces artistes agrémentées de deux vidéos.

Si Mélissa Laveaux n’a rien escamoté de l’identité très forte dessinée par un premier album acclamé Camphor And Copper en 2008, elle s’est aujourd’hui réinventée. À la douceur acoustique d’un folk langoureux et chaloupé, la jeune femme préfère à présent l’énergie plus sophistiquée d’une pop percutante et irrésistible avec Dying is a wild night. L’écriture y est toujours aussi personnelle, la voix toujours aussi sensuelle et juvénile, mais les orchestrations explosent en un feu d’artifice inventif, qui fait la part belle aux rythmiques et à des sonorités plus synthétiques.

Riff Cohen est née en à Tel Aviv et y a grandi dans « une atmosphère bohème ». Elle a été élevée dans une sorte de matrice culturelle méditerranéenne et nord-africaine avec un père d’origine tunisienne et une mère algérienne. Elle a produit elle-même son album A Paris, tout en faisant des apparitions remarquées sur scène, dont la première partie des Red Hot Chili Peppers au Parc Hayarkon de Tel Aviv. Farouche et innocente, d’une féminité sans fard, d’une détermination sans faille, Riff est de ces rigolotes désinvoltes. Sa musique, plutôt rock, prend à rebours tous les genres avec bienveillance, jonglant entre enracinement et liberté. Riff Cohen est en résidence de pré-prodution au Cap du 7 au 10 octobre 2013.

Samedi 12 octobre à 20h30 au Cap (style :pop-folk). Réservations : 01 48 66 94 60 - Tarifs : 10-8-5 euros.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 10 Octobre 2013

C’était aux alentours de 18h00 ce jeudi 10 octobre 2013. Le RER B s’est trouvé totalement paralysé suite à un accident de personne. Le trafic devait reprendre normalement vers 20h. Pas de bol avant la grève annoncée pour demain ! Bon courage à tous pour votre retour à la maison…

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Transports

Publié le 10 Octobre 2013

Selon le site infosimmo.com les prix de l’immobilier neuf à Aulnay-sous-Bois seraient en hausse d’environ 12,5 % sur les 6 derniers mois. Ainsi, un T3 (3 pièces) se négocierait dans la commune aux alentours de 266 000 euros en octobre 2013. Vous trouverez ci-dessous la section qui concerne l’évolution de ce baromètre en Seine-Saint-Denis :

La Seine-Saint-Denis, terre de contrastes

Alors que la ville de Saint-Denis enregistre la plus forte baisse de ce baromètre : - 9.71 % pour le prix moyen d’un trois-pièces en six mois à 218 500 €, le reste des communes les plus dynamiques de Seine-Saint-Denis en matière d’immobilier neuf se situe dans le haut du classement des plus fortes hausses : Pantin, + 13.5 %, Aulnay-sous-Bois, + 12.5 %, Drancy, + 11 %. En tout, on compte 7 hausses pour 2 baisses dans le 93 en ce mois d’octobre. On assiste à un rattrapage dans ce département où l’on construit beaucoup et qui reste malgré tout attractif : 300 000 € maximum pour un trois-pièces. Bobigny fait même partie des 5 villes les moins chères en Ile-de-France avec un T3 à 184 000 €.

forte-hausse.jpg

Les plus curieux peuvent cliquer ici pour l’article complet qui évoque aussi la situation de Paris.

Source : http://www.infosimmo.com

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Logement

Publié le 10 Octobre 2013

Vous trouverez ci-dessous une lettre ouverte des communistes d’Aulnay-sous-Bois adressée au maire Gérard Ségura. Dans celle-ci, ils expliquent trouver intolérable et inadmissible la multiplication  des candidatures frontales du PS face au PCF dans plusieurs ville de Seine-Saint-Denis pour les prochaines municipales de 2014. D’où ces questions : les communistes menacent-ils implicitement de faire une liste au premier tour à Aulnay-sous-Bois ?  En ont-ils seuls la capacité ? Une alliance avec les écologistes est-elle possible ? Ou bien encore s'agit-il d'une simple gesticulation pour faire monter les enchères avant l'échéance ? 

Lettre ouverte des communistes d'Aulnay à Gérard SEGURA, Maire d'Aulnay-sous-Bois

groupe_photo_avec_noms_web.jpgLETTRE OUVERTE Le 27 septembre 2013 

A Gérard Segura Maire socialiste d’Aulnay sous bois 
A la Section du Parti Socialiste d’Aulnay sous bois 

 Chers Camarades, 

Les prochaines élections municipales de mars prochain seront un moment très important de l’expression citoyenne et démocratique pour plus de justice sociale et de liberté.  Il est souhaitable qu’un rassemblement le plus large possible de toute la gauche s’opère à Aulnay Sous Bois et dans le département dès le premier tour pour battre la droite et l’extrême droite. Tel n’est pas le cas actuellement. 

 A Saint Denis, le député PS Mathieu Hanotin annonce fin aout sa volonté de conduire une liste contre celle du maire communiste sortant Didier Paillard.  Le Président du Conseil Général PS Stéphane Troussel envisage de se présenter à la Courneuve contre le maire communiste sortant Gilles Poux et un candidat s'est également déclaré dans la presse contre Carine Just à Villetaneuse.  Invoquant le cas d'Aubervilliers où le Maire PS avait été devancé par le Maire sortant communiste au premier tour en 2008 et n'avait dû son élection qu'aux voix de la droite au second tour, des dirigeants socialistes évoquent par ailleurs "l'opportunité" de listes socialistes au Blanc-Mesnil, à Saint-Ouen ou à Stains. 

 Ces situations sont intolérables et inadmissibles, alors que la droite se fait partout menaçante. Si elles restaient en l’état les communistes d’Aulnay sous Bois, solidaires des communistes de leur département, ne pourraient rester sans réagir.  Ces situations auraient des répercussions locales évidentes alors que les communistes d’Aulnay sous Bois agissent pour un rassemblement le plus large possible de toute la gauche au premier tour, pour vaincre la droite et l’extrême droite dans notre ville. 

Espérant que vous contribuerez avec nous au rassemblement le plus large de la gauche partout en Seine-Saint-Denis Souhaitant votre opinion, et en attendant une rencontre entre nos deux sections, 

 

Recevez, Chers Camarades, nos salutations les plus fraternelles. 

Pour la Section Communiste d’Aulnay sous bois 

Xavier TOULGOAT
Secrétaire de Section 

Source : http://www.elus-communistes-aulnay.com/

 

 

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 10 Octobre 2013

Aeroville-Elodie-Arcayna.jpgA une semaine de l’ouverture d’Aéroville le journal Le Parisien est allé à la rencontre de sa future directrice, Elodie Arcayna,  qui parle  de la magie de ce pays des merveilles commercial aux 200 boutiques dont l’objectif affiché est d’atteindre à terme les 12 à 13 millions de visiteurs annuels. Vous pouvez prendre connaissance de cet article ci-dessous.

Derrière son bureau, sur un meuble, trône un casque de chantier… rose. Elodie Arcayna, future directrice du centre commercial Aéroville, l’avait fait repeindre pour en faire, sinon un accessoire de mode, au moins un signe distinctif, parmi d’ordinaires casques blancs et jaunes. Mais Aéroville ouvrira ses portes au public dans une semaine tout juste. Exit le casque! Si elle devait trouver un nouvel accessoire, Elodie Arcayna choisirait peut-être la baguette… de chef d’orchestre. Car c’est ainsi que cette jeune femme d’à peine 30 ans définit le travail d’un directeur de centre.

« Oui, on fait trois métiers en un. Notre préoccupation première, c’est d’accueillir les clients dans les meilleures conditions. On gère la sécurité, la maintenance, la propreté, un peu comme un syndic s’occupe d’une copropriété. On développe la communication, dans le centre et vers l’extérieur. On fait beaucoup de relationnel avec les clients, les maires, les hôtels… » Depuis quelques jours, la directrice fait « répéter » la troupe de 150 personnes qui fera vivre le centre au quotidien : les agents de sécurité, les femmes de ménage travaillent déjà comme si le centre était ouvert…

AerovilleTremblayJour après jour, Elodie Arcayna arpente le mail, observant les avancées d’un chantier « à flux tendu ». « Tout sera prêt pour jeudi », assure-t-elle. Même le dernier parking du centre, auquel il manquera juste sa façade de verre bleuté. Contemplant les vitrines géantes, la déco audacieuse de certaines boutiques, la silhouette des avions survolant les verrières des allées, elle confie : « Ce que j’ai vu dans des films et sur plans prend forme aujourd’hui, c’est magique. Et comme j’ai été nommée sur ce projet il y a neuf mois, j’ai vraiment l’impression d’être sur le point d’accoucher. » La jeune femme ne semble pas effrayée par l’ampleur de la tâche, même s’il s’agit de diriger un paquebot de 200 boutiques et 84000 m2, flanqué du cinéma du groupe EuropaCorp (de Luc Besson), censé conquérir une zone de chalandise allant jusqu’à l’Oise. Mais elle n’en est pas à ses débuts. Avant Aéroville, elle était directrice des Quatre-Temps, 230 boutiques au cœur du quartier d’affaires de La Défense (Hauts-de-Seine), où elle est arrivée à 27 ans.

Quand on la questionne sur son âge, elle souligne qu’elle est « assez représentative de la clientèle qu’on veut aller chercher », et qu’elle fréquente déjà les enseignes qui ouvriront boutique à Aéroville. A Tremblay, elle va donc piloter le décollage d’un « nouveau standard » de centre commercial Unibail-Rodamco. « Mon but est que les clients soient émerveillés tout en ayant l’impression que tout roule comme si le centre était ouvert depuis des années », affirme-t-elle. Et les affaires dans tout cela ? « Il faudra trois ou quatre ans pour faire décoller le centre comme on l’entend », glisse-t-elle. L’objectif est d’atteindre 12 à 13 millions de visiteurs annuels.

Source : Le Parisien

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 10 Octobre 2013

Aulnay-PSA.jpgIls sont venus taper du poing sur la table. Et demander un soutien auprès de la Direction départementale du travail et de l’emploi de Bobigny. Hier, une centaine de salariés de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois avaient fait le déplacement pour tenter de faire bouger les choses. « Au début du Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), la direction avait clamé haut et fort que tous les salariés seraient reclassés, lâche Philippe Julien, secrétaire de la CGT de PSA Aulnay. Aujourd’hui, nous constatons sans surprise que cela n’était qu’un mensonge. »

Car sur les 3000 salariés du site, 1200 attendent toujours une solution de reclassement. Mais il est encore trop tôt pour tirer des conclusions, selon la direction. « La période de volontariat n’est pas encore terminée, explique une porte-parole de PSA. Ni celle du reclassement en interne. Les discussions sont encore en 
cours avec de nombreux salariés. »

Déjà, environ 600 ouvriers du site ont été mutés dans le groupe et quelque 600 ont déjà quitté l’entreprise. Pour les autres? « Nous sommes enfermés dans une usine qui ne tourne plus, poursuit Philippe Julien. Alors que la direction s’était engagée à continuer la production jusqu’en décembre 2014, tout est à l’arrêt depuis mai. On est dans un vaisseau-fantôme et tout est fait pour nous encourager à partir et nous faire craquer. »

SNCF, RATP, ADP : des possibilités jusqu’en décembre

Ce qu’ils déplorent : les promesses non-tenues de reclassement. « On nous avait fait miroiter 300 postes à la SNCF, à la RATP et à ADP, précise le syndicaliste. Mais actuellement, seuls vingt anciens salariés du site de PSA ont été reclassés là-bas. » D’autres sont encore en discussion, assure la direction de PSA qui précise que les employés ont jusqu’à décembre pour prendre une décision et que les sessions de recrutement se poursuivent.

Et si, hier, le directeur du Travail a bien entendu les revendications des PSA, ces derniers ne souhaitent pas s’arrêter là. « Nous voulons que l’Etat mette son nez dedans comme il l’a fait dans d’autres dossiers, à l’image de Continental par exemple, demande Philippe Julien. Cela pousserait PSA à respecter le PSE qui était négocié au départ. »

Et pour « motiver » le gouvernement à mettre les mains dans le cambouis, les salariés désœuvrés comptent bien demander un rendez-vous au ministère mais aussi à la région Ile-de-France. « Nous avons appris récemment que la région envisageait de racheter le terrain de l’usine à PSA, assure-t-il. Là encore, le groupe va s’en sortir avec une belle plus-value immobilière. Si la région et l’Etat peuvent investir dans l’immobilier, ils peuvent aussi soutenir les salariés. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #Emploi

Publié le 10 Octobre 2013

PREVERT-A_01.jpgSamedi 19 octobre, l’espace Jacques Prévert met la musique à l’honneur dans toute la ville lors d’une journée enchantée ouverte à tous et en accès libre.

Pour lancer sa nouvelle saison le théâtre et cinéma Jacques Prévert vous propose de découvrir gratuitement, aux quatre coins de la ville, un programme festif et musical. Après un ciné-concerto proposé à 11h au cinéma Jacques Prévert, des concerts, fanfares, déambulations musicales se poursuivront dans toute la ville jusqu’à 22h. Lieux insolites, coins de rue, les Aulnaysiens retrouveront au gré de leurs promenades les cent-vingt musiciens et soixante-dix choristes mobilisés pour la journée. Si le programme comporte certains rendez-vous annoncés, d’autres surprises attendent les habitants tout au long d’une journée enchantée et en chansons.

Le programme complet est à télécharger ici.

Appel à bénévole

L’espace Jacques Prévert recherche des bénévoles adultes de tous âges motivés et investis pour participer à l’organisation de cette grande journée festive du samedi 19 octobre, aux côtés de son équipe. Toutes les personnes curieuses et prêtes à vivre l’aventure sont les bienvenues. Leurs missions seront principalement liées à l’accompagnement des spectacles (concerts, petites formes itinérantes, rendez-vous inattendus…) Pour plus d’informations et pour toute aide, contactez le 06 01 18 15 63 ou envoyez un mail à emeline.compain@ejp93

Source : aulnay-sous-bois.fr

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Publié le 9 Octobre 2013

rerblogoLe Syndicat des transports d’Ile de France (Stif), réuni mercredi matin en conseil d’administration, prévoit pour 2014 une hausse des tarifs comprise entre 2,8 et 3,35%. Ce sont les hypothèses de hausse tarifaire retenues dans le cadre du débat d’orientations budgétaires de l’autorité organisatrice des transports en région parisienne.

La chef de file de l’opposition à la Région, Valérie Pécresse (UMP), a dénoncé «une hausse des tarifs qui ne se traduit pas par une amélioration de la qualité de service». Le Stif prévoit tout de même de financer, dès 2014, 650 M€ d’investissements par an jusqu’en 2025. Un montant qui a doublé par rapport aux trois derniers exercices. Se disant «très préoccupée par les statistiques des opérateurs» (SNCF et RATP, NDLR), la conseillère régionale d’opposition réclame la mise en place d’un «mécanisme de bonus-malus spécifique à la régularité» car c’est «la première exigence des usagers», assure-t-elle.

Avec le passage de la TVA sur les transports en commun de 7% à 10% au 1 er janvier 2014, les ressources du Stif vont être amputées de 98 millions d’euros. Une somme que le Stif va donc compenser en augmentant les tarifs, une solution préférée à la baisse des investissements. Par ailleurs, les élus du Stif, qui ont ardemment milité auprès du ministre du Budget et des parlementaires pour un maintien, voire même une baisse de la TVA sur les transports de 7% à 5%, ont émis un voeu appelant les parlementaires à l’abandon de la hausse de la TVA sur les transports, lors des débats sur le budgets qui doivent se dérouler dans les prochains jours.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 9 Octobre 2013

Vous trouverez ci-dessous un communiqué d’Aulnay Environnement à propos du projet Croix-Blanche. L’association demande ni plus ni moins la suspension de toute construction sur le terrain de l’ancien centre des impôts tant que les moyens de juguler les risques potentiels d’inondation sur cette zone ne sont pas clairement définis.

PROJET CROIX BLANCHE 

logoaulnayenvironnementSuite à la nouvelle catastrophe due aux inondations, dès  juin 2013 nous avons écrit :

« Il faut envisager dès maintenant un bassin de rétention au centre des impôts de la Croix Blanche et un ouvrage en bas de la rue de Picardie ? »

Depuis nous avons eu occasion de le demander lors de la dernière ( ?) réunion de pilotage de la Croix Blanche le 12/09/13 et de l’exposition au public du samedi 14.

Le maire a évoqué cette possibilité publiquement, mais cela demande précisions. En effet un bassin de rétention est quasiment indispensable par rapport au projet lui-même en fonction des normes de la DEA (environ 45 m3), mais en l’occurrence il s’agit d’utiliser le terrain de plus de 4.000 m² libre de toutes construction pour un grand bassin pour le quartier.

Il existe déjà rue Jean Jaurès sous la chaussée, 2 bassins enterrés de 200 m3 manifestement insuffisants.
Il faut certainement un bassin largement supérieur à 1.000m3, pour les seules pluies bi ou tri -annuelles.
En tout état de cause cela remet en cause le projet qui doit être soumis au conseil municipal le 17 octobre 2013.

Un tel bassin enterré serait sans doute en concurrence avec le parking souterrain (même à un seul niveau comme nous le souhaitions), il posera problème pour les arbres actuels en pleine terre et aura des conséquences éventuelles sur les eaux souterraines.

Cela remet en cause l’économie du projet, mais aucun autre terrain ne peut être disponible dans ce secteur !

Il faut donc surseoir à toute décision et demander à l’état, à la région et au département de s’emparer du sujet.

Il est temps que le préfet accepte d’étudier un PPRI (plan de prévention des risques d’inondations) pour éviter d’oublier que des terrains sont inondables et de prescrire des règlements en conséquence.

Nous demandons au conseil municipal de surseoir à tout projet de construction en l’état.

p.s.

rappelons que dans le « diagnostic PLU » de 2008 il est écrit :

« …pour ces raisons la commune est classée « à risque fort ».Elle a fait l’objet de 9 arrêtés préfectoraux de catastrophe naturelle entre 1983 et 2001 pour des inondations et des coulées de boues. »

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Publié le 9 Octobre 2013

Alors que les feuilles d’imposition arrivent, le journal Le Parisien fait le point sur l’évolution des taxes dans les communes du département depuis 2007. Après les hausses du début de mandat, c’est la pause avant les élections municipales de 2014…

taxe-habitation-aulnay.JPG

Sur les feuilles d’impôts locaux, qui arrivent en ce moment dans les boîtes aux lettres, les augmentations devraient être faibles cette année. Hormis la revalorisation de la base locative, fixée chaque année par l’Etat, la seule hausse votée en 2013 concerne la part départementale de la taxe foncière, payée par les seuls propriétaires. Dans les villes, on ne touche pas aux taux d’imposition avant les élections municipales, c’est presqu’une règle absolue. Les hausses, s’il y en a, interviennent en début de mandat.

Ainsi en mars 2009, quelques mois après le début de la crise financière, 19 villes sur 40 avaient augmenté leurs impôts, avec un record à Aubervilliers (+ 13% pour la taxe d’habitation, + 16% pour la taxe foncière). Elles n’étaient plus que 9 en 2010 et 3 en 2011.

Le Raincy a augmenté ses impôts dès 2008 et pendant cinq années d’affilée (+1%, + 4%, + 4%, + 1% et + 1%). Pour le maire (UMP) Eric Raoult, « c’est plus acceptable d’étaler ainsi la hausse », une hausse qu’il justifie par le doublement de l’amende sur la loi SRU, sa ville étant toujours très en retard dans la construction de logements sociaux, mais aussi par « la participation au fonds de péréquation, la revalorisation de la caisse de retraite communale locale et des travaux dans la ville ».

Saint-Denis a augmenté de 17,9%, sur cinq ans, ses taux communaux. Une hausse « inévitable mais qui reste mesurée » selon le maire (PC) Didier Paillard. « On redistribue, on construit des écoles, on baisse le prix des services publics… » Malgré cette hausse, « la ville reste toujours dans le bas de l’échelle », estime le maire. En particulier pour la taxe d’habitation (11,46%), l’un des taux le plus bas du département. « Saint-Denis reste une ville accueillante pour les ménages modestes », assure Didier Paillard. La moitié des habitants sont exonérés d’impôts locaux, ajoute l’élu, et la fiscalité locale porte plus sur le foncier, c’est-à-dire les propriétaires, particuliers comme entreprises. « 62% de la taxe foncière concerne les entreprises », indique Didier Paillard.

A Montreuil, la hausse des taxes, en 2010, avait fait exploser la majorité. Il faut dire que la maire (EELV) Dominique Voynet avait promis pendant sa campagne de 2008 de ne pas toucher aux impôts. « Nous n’avons pas eu le choix, assure Sébastien Maire, son directeur de cabinet. Dès le début du mandat, nous avons découvert une situation financière pire que ce que nous pouvions imaginer. La ville était menacée d’une mise sous tutelle et aucune construction d’école n’avait été prévue alors que les établissements étaient saturés. » Du coup, pour faire notamment face à une dette « catastrophique » et afin de lancer la construction de cinq écoles, la commune a augmenté les impôts locaux pour récupérer 5 M€ chaque année. D’autres villes ont aussi été contraintes de voter des hausses malgré des taux déjà élevés. Ce fut le cas à Sevran, dont le maire (EELV) Stéphane Gatignon a été jusqu’à faire une grève de la faim devant l’Assemblée nationale, il y a un an, afin d’obtenir un fonds d’urgence pour les villes pauvres.

Un peu moins de la moitié des communes n’ont pas touché à leurs taxes durant toute la mandature. « Cela fait 19 ans que nous n’avons pas augmenté les impôts locaux, se félicite ainsi Gérard Cosme, le maire (PS) du Pré-Saint-Gervais. Nous travaillons à la maîtrise des dépenses. Cela passe par la mutualisation des moyens. On a externalisé aussi des actions ponctuelles de nettoyage. » A Pantin, le maire (PS) Bertrand Kern précise que les impôts locaux n’ont pas augmenté depuis dix ans grâce, notamment, à l’arrivée des ateliers du TGV Est. « Cela nous a permis de diminuer la dette de la ville de 30 M€. Par ailleurs, je n’ai pas augmenté l’effectif des employés communaux depuis 2001. Quand j’ai dû créer de nouveaux postes, à la police municipale par exemple, nous sommes restés à effectif constant. En plus, tous les postes de dépense ont été revus à la baisse, les forfaits de téléphones ont tous été réduits à leur strict minimum, l’isolation de la mairie a été refaite pour économiser en chauffage et l’éclairage de la ville se fait désormais par led ce qui diminue de façon notable les dépenses en électricité. »

A Rosny-sous-Bois, les taux n’ont pas augmenté depuis 2003. Trois raisons principales, selon le maire UMP Claude Capillon, l’arrivée en 2006 du centre commercial Domus, une politique de non-remplacement systématique des fonctionnaires de la mairie : « En 2013, cela a permis d’économiser 700000 € », observe Claude Capillon. L’élu a noté aussi « l’arrivée sur la ville, depuis 2008, de foyers qui ont plus de moyens. Ainsi en cinq ans, le taux de foyers payant l’impôt sur le revenu est passé de 56% à 61% ».

Romainville est la seule ville du département où les taxes foncières et d’habitation baissent sur la dernière mandature. « En 2008, en pleine crise au sein de ma majorité, j’ai voulu donner un acte fort et nous avons diminué les deux impôts locaux de façon significative, relate Corinne Valls, la maire (DVG). On a compensé en allant chercher des subventions partout où il était possible d’en trouver. Par ailleurs, on a diminué les frais de gestion en mutualisant et rationalisant les services. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #Taxes

Publié le 9 Octobre 2013

Bruno-Beschizza-Aulnay-copie-1Au sein de l’opposition municipale, les élus Europe Ecologie-les Verts rappellent qu’ils faisaient partie de la délégation reçue place Beauvau en 2012. « Nous nous félicitons de la décision du gouvernement de financer les études du commissariat », indiquent-ils par voie de communiqué. « C’est une première étape qui devra être concrétisée par l’inscription effective au budget de la nation », ajoutent-ils. C’est un tout autre ton qu’emploie Bruno Beschizza, conseiller régional et candidat UMP aux prochaines municipales. Le courrier du ministre n’est selon lui « qu’une simple promesse d’étude pour 2014, qui n’engage même pas le ministère de l’Intérieur sur un quelconque financement de la construction du nouveau commissariat ». Et de dénoncer « l’utilisation d’effets d’annonce, validés par des ministres socialistes, pour masquer le bilan désastreux du maire sortant ».

Source : Le Parisien

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Publié dans #Sécurité publique

Publié le 9 Octobre 2013

Manuel-Valls.jpgA six mois des élections municipales, la nouvelle tombe bien pour Gérard Ségura. Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, vient d’écrire au maire (PS) d’Aulnay pour lui confirmer que des études seront engagées l’année prochaine, « malgré un contexte budgétaire extrêmement contraint », en vue de bâtir un commissariat neuf, destiné à remplacer un bâtiment vétuste. Manuel Valls précise que « le début des travaux [peut] être envisagé au début de l’année 2016, sous réserve des dispositions de la loi de finances ». « C’est une immense satisfaction pour les habitants » et « un soulagement pour les fonctionnaires de la police nationale », assure Gérard Ségura. « J’avais obtenu un engagement certain pour des études en 2016. On gagne deux ans », se réjouit l’élu, pour qui le démarrage du chantier dans la foulée ne fait aucun doute : « Ces études coûtent cher, je vois mal un ministre les commander sans déclencher la construction. » Contacté sur ce point, le ministère de l’Intérieur n’a pas répondu. Autre motif de satisfaction pour le maire d’Aulnay : Manuel Valls approuve le choix de l’emplacement. « Le terrain que vous proposez me paraît tout à fait pertinent pour parfaitement couvrir Aulnay-sous-Bois ainsi que certains quartiers de Sevran », écrit-il.

Le choix du terrain ne convainc pas totalement

Le sujet avait fait débat à Aulnay. Pour rebâtir l’équipement, aujourd’hui situé dans le sud de la ville, la majorité municipale a mis à disposition du ministère un terrain dans les quartiers nord. La parcelle, de plus de 3000 m2, est située en bordure du rond-point Jean-Monnet, sur la N2, en lisière de la cité de la Rose-des-Vents. L’opposition UMP et UDI avait milité pour un autre terrain, sur le site de l’ancienne usine d’amiante CMMP. Sur le terrain, les policiers se disent surpris par cette nouvelle, du moins le syndicat Alliance, mobilisé depuis longtemps contre le choix du terrain. « C’est curieux que cela arrive maintenant, s’étonne Christophe Ragondet, le délégué sur ce district. Aucun organisme paritaire n’a en tout cas encore été saisi… » Cette localisation témoigne, selon lui, d’une « méconnaissance du métier de policier ».

« Les victimes préfèrent déposer plainte à l’écart des quartiers, c’est ce qu’on constate déjà avec le poste de police du Galion (NDLR : au cœur de la Rose-des-Vents, incendié en 2005, rouvert en 2007), mieux vaudrait un terrain plus près de Sevran. Quant aux fonctionnaires, il leur faudrait garer leur voiture sur un parking à côté, en cas d’échauffourées, ce serait des dégradations assurées », craint le délégué policier, qui suggère lui aussi une installation sur le site du CMMP. Mais le terrain, aujourd’hui recouvert d’une chape de béton afin d’éviter les remontées de fibres d’amiante ne pourrait accueillir que des installations légères (parking, aire de jeux, terrain de sport).

Source : Le Parisien

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Publié dans #Sécurité publique

Publié le 9 Octobre 2013

aubervilliersRéunis hier soir à Aubervilliers en assemblée générale, les parents d’élèves, enseignants et animateurs ont décidé de poursuivre le mouvement contre la réforme des rythmes scolaires. Les occupations d’école et les actions symboliques des parents vont se poursuivre toute la semaine, une pétition de soutien va être lancée et un nouveau rassemblement devant la mairie est prévu mercredi midi prochain. Les enseignants se réuniront entre eux mardi pour décider de l’éventualité d’une nouvelle journée de grève.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Education

Publié le 8 Octobre 2013

rerb-greve.jpgAttention... Seuls sept trains sur dix devraient circuler mercredi sur le RER A (ligne gérée par la SNCF) ainsi que sur les lignes N (Montparnasse - Mantes-la-Jolie) et U (La Défense - Versailles). S’inscrivant dans un mouvement européen, les cheminots de la CGT et de la CFDT protestent contre le «4e paquet ferroviaire» qui ouvre la voie à la libéralisation du transport national de voyageurs en 2019.

Vendredi, c’est cette fois du côté de la RATP que ça risque de coincer, sur le RER B (branche sud) entre gare du Nord et Saint-Rémy-lès-Chevreuses/Robinson. L’intersyndicale, qui exige une «reconnaisssance» à la hauteur des nouvelles «contraintes» liées à la cogestion du RER B avec la SNCF, a déposé un préavis de grève qui court de ce vendredi 4 heures du matin à samedi 6 h 30. Aucune prévision de trafic n’a encore été fournie pour ce dernier mouvement.

Source : Le Parisien

 


 

 

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Publié dans #Transports

Publié le 8 Octobre 2013

Vous trouverez ci-dessous un communiqué de presse annonçant l’obtention d’un nouveau commissariat à Aulnay-sous-Bois aux environs de l’année 2016.

Aulnay-sous-Bois, le 7 octobre 2013 

Obtention du nouveau commissariat :

« Une immense satisfaction pour les habitants »

AULNAY93-LOGO-Bitmap-CouleursQuadriCMJNM. le Ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, vient de me confirmer par courrier le lancement en 2014 des études du nouveau commissariat d’Aulnay-sous-Bois en vue du début des travaux dès 2016.

Cette annonce intervient alors que la Ville a mis gracieusement à disposition un vaste terrain le long de la RN2 et que la Région s’est engagée à financer près de la moitié de la construction.

C’est une décision de toute première importance pour Aulnay-sous-Bois qui méritait un équipement digne de la troisième ville du département.

C’est une immense satisfaction pour les habitants qui bénéficieront ainsi de conditions de sécurité et de tranquillité nettement renforcées grâce à des interventions de police plus efficaces et à des effectifs supplémentaires.

C’est un soulagement pour les fonctionnaires de la police nationale, ainsi que pour les victimes, qui vont respectivement disposer d’un lieu de travail et d’un espace d’accueil incomparablement améliorés.

Le nouveau commissariat est d’autant plus attendu qu’il s’accompagne du maintien d’un poste et d’effectifs de police conséquents dans la partie sud de la commune.

En dépit d’un contexte budgétaire tendu, le gouvernement a reconnu la légitimité de notre demande et son caractère urgent. Je tiens à remercier celles et ceux, de toutes sensibilités politiques, qui ont contribué à ce succès en ayant pris part aux diverses initiatives et manifestations publiques que nous avons organisées à cette fin toutes ces dernières années.

Gérard SEGURA

Maire d’Aulnay-Sous-Bois

Vice-Président du Conseil Général

de la Seine-Saint-Denis

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Publié dans #Sécurité publique

Publié le 8 Octobre 2013

Vous trouverez ci-dessous une communication de Bruno Beschizza à propos du projet Croix-Blanche.

 

Aulnay-sous-Bois, le 2 octobre 2013

Bruno-Beschizza-Aulnay.pngMadame, Monsieur,

Particulièrement sensibilisé par le projet « Croix-Blanche », je tenais à vous faire part de ma préoccupation quant au traitement de ce dossier.

Non seulement ce projet met à mal le caractère pavillonnaire de votre quartier, mais il pourrait constituer un préalable dangereux à une densification anarchique et sans vision globale de notre ville.

Très étonné par le traitement médiatique qu’en a fait la mairie d’Aulnay, je tiens à vous apporter mon soutien ainsi qu’à l’association de votre quartier qui a tout fait,  non sans mal, pour que la démocratie soit respectée.

Aujourd’hui, je ne peux que dénoncer la méthode de la municipalité et m’associer à votre mécontentement : non seulement l’association Q.C.B.E a été évincée du Forum des associations - au mépris de toute règle démocratique et républicaine - mais elle n’a pas été associée une seule fois aux 3 projets présentés samedi 14 septembre, contrairement à ce qu’affirme le magazine municipal « Oxygène ». L’utilisation de ce journal à des fins politiciennes est inacceptable.

Ce n’est pas ma conception du rôle d’un élu municipal.

Un maire doit d’abord être à l’écoute de ses citoyens. L’intérêt général d’une ville, c’est d’abord l’intérêt de ses habitants. De plus, en matière d’habitat nous devons absolument éviter les ruptures urbaines qui fragilisent tant de quartiers en France.

Sachez que je reste à votre disposition pour échanger sur ce dossier qui nous touche tous et qui constituera une de mes priorités dans les mois à venir.

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Publié le 8 Octobre 2013

nurse_team4.jpgLe conseil général attribue des bourses aux futurs médecins, auxiliaires de puériculture et puéricultrices qui s’engagent ensuite à travailler dans le 93.

Une bourse mensuelle pour lutter contre la désertification médicale. Hier matin, le président PS du conseil général, Stéphane Troussel, a rencontré les bénéficiaires d’un tout nouveau dispositif. En échange d’une bourse, dix auxiliaires de puériculture, quatre puéricultrices et cinq médecins s’engagent, à la fin de leurs études, à travailler trois à quatre ans dans les centres de protection maternelle et infantile (PMI) et dans les crèches départementales du département. « La Seine-Saint-Denis connaît de grandes inégalités en matière d’accès aux soins, c’est pourquoi sommes obligés de mener une politique très volontaire », souligne Stéphane Troussel.

Ainsi, les auxiliaires de puériculture boursières reçoivent un montant de 1100 € net par mois pendant les dix derniers mois de leur formation. En contrepartie, elles s’engagent à travailler trois ans dans les crèches. Les futures puéricultrices, elles, sont recrutées parmi les infirmières. Le conseil général leur paie leur scolarité d’un an et leur propose un montant de 1360 € net sur douze mois pour celles qui ont moins de trois ans d’expérience et 1560 € net pour les autres. En échange, elles travailleront pour au moins trois ans comme adjointe à la directrice de crèche, directrice de centre PMI ou puéricultrice de secteur. Enfin, les médecins seront payés 1000 € net par mois durant leurs deux dernières années d’étude contre un engagement de quatre ans dans une PMI. Cette proposition n’a pas rencontré le succès escompté : seuls deux médecins se sont portés volontaires pour cinq bourses. L’ensemble des candidats ont été sélectionnés en fonction de leur situation financière et surtout de leur motivation.

Micheline Grandman était infirmière scolaire avant de s’engager dans une formation d’auxiliaire de puéricultrice. « Les centres de PMI n’ont pas forcément bonne réputation car le travail qu’ils font est méconnu, raconte-t-elle. Beaucoup d’amis m’ont dit : Tu ne vas rien faire là-bas. Mais c’est complètement faux. » Par ailleurs, la jeune femme met aussi en avant l’avantage du financement. « Je connais des amis qui ont dû vendre leur appartement pour financer leurs études, poursuit-elle. Alors que nous, non seulement, nous sommes payés mais en plus nous sommes sûrs d’avoir un boulot à la fin de la formation. » Bintou Timera, elle, était infirmière en milieu hospitalier pendant huit ans. En décidant de devenir puéricultrice, elle accepte une perte de près de 600 € par rapport à son ancien salaire. « C’est un choix réfléchi qui n’a pas été simple, reconnaît-elle. Mais j’ai envie de m’investir dans ce département et de travailler au contact des tout-petits. »

Reste que la Seine-Saint-Denis n’est pas seule à proposer un tel dispositif. Paris le fait également. « La capitale bénéficie d’un avantage anormal, dénonce Stéphane Troussel. Les départements sont obligés de demander aux candidats de passer, en plus de leur diplôme, le concours de la fonction territoriale pour devenir cadre A. Mais pas à Paris qui bénéficie d’une dérogation. Un concours en moins à passer : cela représente une concurrence terrible pour nous. »

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #Santé

Publié le 8 Octobre 2013

deux_pianos___Valses_Viennoises_600C-copie-1.jpgAu cours de cette saison, l’Heure musicale rendra hommage à Franz Schubert lors d’une série de concerts articulés autour de son œuvre. Ce cycle débute avec la célèbre Fantaisie en fa mineur (D 940) considérée comme une des pierres angulaires du répertoire du piano à quatre mains. Les variations sur un thème de Haydn op56b de Johannes Brahms présentent, quant à elles, un aspect bien différent de l’écriture pour deux pianos, offrant à l’instrument une véritable dimension orchestrale.

Heure musicale du 8 octobre 2013 à 20h30 au conservatoire de musique, 12 rue de Sevran à Aulnay-sous-Bois. Entrée libre. 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 8 Octobre 2013

basilique-saint-denis.jpgDans le cadre de l’événement Monument jeu d’enfant qui fête ses quinze ans cette année, la basilique des rois de France se montre ce samedi sous un jour nouveau pour séduire les enfants entre 5 et 12 ans. Il reste des places pour les ateliers taille de pierre, création de mosaïque, ateliers de sérigraphie, réalisation d’un roi pantin, il y en a pour tous les goûts. « C’est l’occasion pour les familles de visiter un édifice qu’elles ne connaissent pas forcément », commente Serge Santos-Echeverria, administrateur de la basilique. Les animations gratuites se déroulent de 10 heures à 17h15, les accompagnants bénéficiant d’un tarif réduit.

Réservations au 01 49 21 14 87 ou par courriel à reservations.basilique@monuments-nationaux.fr

Source : Le Parisien

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Publié dans #Culture

Publié le 7 Octobre 2013

Peut-être ne connaissez-vous pas la rue Marceau à Aulnay-sous-Bois ? Située au cœur du Vieux-Pays il s’agit d’une petite artère qui relie perpendiculairement les rues Camille Pelletan et Jacques Duclos en passant par l’avenue Kléber. Et bien sachez que cette portion de route revient constamment dans les discussions du conseil de quartier Vieux-Pays-Roseraie-Bourg où beaucoup se lamentent de son état de saleté avancé, y-compris une élue de l’actuelle majorité municipale.  Mais comme très souvent dans cette instance de la démocratie participative tant mise en avant sous cette mandature (sourires gênés), les délégués arrivent avec leurs problèmes et repartent deux heures après avec ceux des autres en prime sous le bras ! Du coup, la rue Marceau reste désespérément sale depuis cinq ans au point qu’il serait peut-être judicieux de la rebaptiser désormais la rue Crado…

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #A vos quartiers !