[CORONAVIRUS] 📝 La Ville d'Aulnay-sous-Bois remercie l'entreprise aulnaysienne Printéa-impression-durable qui réalise, en lien avec la Direction de l'Education et les écoles, des impressions de devoirs et exercices scolaires.
✅ Cette aide matérielle permet aux familles qui ne sont pas équipées de matériel informatique ou d'imprimantes de pouvoir assurer la continuité pédagogique à domicile durant le confinement sanitaire. 👍
Source information et image : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois
L’entreprise Printéa à Aulnay-sous-Bois imprime des devoirs et exercices scolaires pour les enfants
Prof de français dans un lycée de la banlieue parisienne, Mathilde Levesque est heureuse de faire ce métier. Et fière, parfois jusqu'à l'émotion, de ses élèves. A découvrir dans Je dis donc je suis sur France 3 ce jeudi 16 avril à 22h55.
Est-ce que le métier de prof correspond à l'image que vous vous en faisiez avant de l'exercer ?
Mathilde Levesque : Oui. En revanche, la réalité qui est la mienne sur le terrain, dans le 93, est très différente de ce que les gens imaginent. Il y a un décalage avec les clichés sur la violence des élèves, le faible niveau des profs et leur mal-être. On est 240 enseignants dans mon lycée (Lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois, ndlr). Il y a peut-être des profs en souffrance à cause des élèves, mais pas plus qu'ailleurs. On est des profs globalement heureux au quotidien.
Le documentaire semble dire que "tenir" une classe repose surtout sur le fait d'intéresser les élèves...
Une gestion de classe est un équilibre jusqu'au moment où l'ennui mène les élèves au décrochage : dormir, dessiner, discuter... Il faut les intéresser tout le temps parce qu'ils sont 8 heures par jour sur une chaise à apprendre. C'est lourd pour eux. Donc dès qu'ils peuvent prendre une pause, ils la prennent. Avec moins d'heures de cours, ils seraient plus souples.
Comment se passe le confinement avec vos élèves ?
Mon interaction avec eux est importante. Avoir des élèves, ce n'est pas que leur apprendre un commentaire de texte, c'est aussi répondre à leurs questions : les cours vont-ils reprendre, le bac aura-t-il lieu... ? Il y a aussi l'angoisse liée au contexte : le virus va-t-il frapper la famille ? C'est violent et inquiétant pour eux. Ils sont en âge de comprendre que la situation est compliquée et grave. L'école a l'habitude d'éponger et d'endiguer beaucoup d'angoisse et de colère qu'ils ne peuvent exprimer chez eux. C'est important qu'ils aient toujours cette possibilité.
Sur réquisition de la préfecture de Seine-Saint-Denis, l’internat du lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois est mis à disposition par la région Ile-de-France avec le soutien de la commune afin d’y accueillir des malades du Coronavirus.
A l’issue de la réquisition, les locaux seront entièrement désinfectés pour la sécurité des élèves qui sont habituellement hébergés dans l’internat pendant la période scolaire.
Source information et image : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois
La ville d’Aulnay-sous-Bois prolonge ce week-end l’accueil des enfants des soignants et des agents médico-sociaux indispensables à la gestion de la crise sanitaire liée au Coronavirus.
Une cellule d’information municipale est joignable au 0800 093 600
Source information et image : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois
C’était l’annonce choc du président de la République, Emmanuel Macron, lors de son allocution à la télévision ce soir. Pour tenter d’endiguer la propagation du Coronavirus dans notre pays, il a décidé la fermeture totale des crèches et des écoles (de la maternelle au lycée) à Aulnay-sous-Bois et partout en France.
Aucune notion de durée n’a été indiquée dans ce qui constitue indubitablement une annonce surprise. Comment les parents vont gérer la garde des enfants, comment les cours vont-être dispensés et les contrôles effectués ? On verra bien comme on dit ! En attendant, une chose est sure : comme chantait Sheila, qui sera d’ailleurs en concert à l’automne dans notre ville, l’école est finie !
Une enveloppe de 100 millions d'euros va être consacrée aux "cités éducatives", dispositif visant à améliorer la réussite scolaire dans les quartiers défavorisés. En Ile-de-France, ce sont plus de 26 000 000 euros qui seront consacrés aux territoires labellisés "cités éducatives".
Les ministres de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer et de la Ville et du Logement Julien Denormandie ont annoncé une enveloppe de 100 millions d'euros pour les 80 territoires labellisés "cités éducatives".
Les budgets seront gérés par les préfectures. Ces moyens permettront de financer des actions concrètes dans les écoles de 80 quartiers défavorisés pour mieux prendre en charge les enfants à partir de trois ans jusqu'à 25 ans pendant le temps scolaire, périscolaire et extrascolaire.
Les acteurs éducatifs, associatifs, culturels, sportifs, entreprises, travailleurs sociaux, interviendront dans le parcours de l'élève, en appui de l'école, pour éviter notamment les décrochages. L'objectif est d'accompagner chaque jeune depuis la petite enfance jusqu’à l’insertion professionnelle.
L'initiative a été expérimentée à Grigny en Essonne en 2017. Cette idée avait ensuite été reprise en 2018 par l'ancien ministre de la Ville Jean-Louis Borloo dans son rapport sur la ville repris mais largement édulcoré par le gouvernement.
En Seine-Saint-Denis, les cités éducatives vont bénéficier de plus de 7 millions d'euros. Depuis la rentrée 2019, les villes de Aulnay-sous-Bois, Bondy, Clichy-sous-Bois, La Courneuve et Sevran ont mis en place de telles structures.
Des élèves de CM1 de l’école Ambourget à Aulnay-sous-Bois ont participé récemment à l’émission France Info Junior. Ils ont posé la question : comment ça fonctionne une pharmacie ? Une interrogation qui peut avoir son importance quant on songe à l’actualité du moment marquée par la progression du Coronavirus…
Même si le gouvernement espère sans doute un essoufflement pour imposer sa réforme du bac, la contestation semble se poursuivre à Aulnay-sous-Bois et ailleurs.
Dans notre commune, une réunion est ainsi programmée entre parents et professeurs le mardi 4 février de 18h à 20h à la bourse du travail. Difficile pour le moment de dire ce qu’il en ressortira.
En attendant, le malaise et le désarroi paraissent palpables notamment chez les représentants des parents d’élèves du lycée Voillaume, comme en atteste le témoignage ci-dessous :
« Tous les lycées sont déjà mobilisés depuis plusieurs semaines. Une Réforme qui va sacrifier tous les élèves nés après 2003. C'est une épreuve régionale donc un bac différent pour tous (inégalité). Exemple : dans le dept 93 et dept 75 moins de valeur aux yeux des futurs employeurs, les professeurs du dept 75 seront beaucoup plus en avance, efficaces et moins absents que ceux du 93. Ils ne sont plus évalués à leur juste valeur, ils sentent de la discrimination on leurs choisira des sujets beaucoup plus simples.
Les jeunes s'interrogent, ils nous interrogent, ils n'ont pas encore l'idée de leurs orientations pour certains. On leur rajoute des heures, sur leurs emplois du temps pour rattraper les cours perdus. On leur demande trop de choses d'un seul coup. Trop de professeurs absents. Comment réviser des cours, que l'on n’a pas eu par manque de temps ou de professeurs. Les élèves sont en plein burn out. Certains ont des prises médicamenteuses suite à des crises d'angoisse. Ils sont menacés, de conseils de disciplines, de zéros. Les profs remplaçants n'ont pas la même façon d'enseigner. Bref en 3 mois, ils ne sont pas préparés ». »
Après la mise en retrait du prince Harry et de son épouse Meghan Markle, le Brexit et la rencontre de rugby programmée cet après-midi dans le tournoi des six nations, il n’est pas intéressant d’écouter la séquence ci-dessous.
En effet, lors de l’émission radio, France Info junior, trois élèves de CM1 d’Aulnay-sous-Bois ont posé des questions sur la famille royale d’Angleterre. So how do you do, England ?
Il semblerait que le rassemblement festif programmé ce jeudi 23 janvier 2020 entre 15h et 18h devant le lycée Jean Zay pour protester contre les réformes de la retraite et du bac ait commencé plus tôt que prévu.
Magie des réseaux sociaux, nous avons reçu plusieurs Snapchat ce matin parlant d’un blocus. Il s’agirait en réalité plutôt d’une manifestation.
Quoi qu’il en soit, depuis plusieurs mois le malaise de la société française semble palpable : mouvement des gilets jaunes, grèves des cheminots et des avocats notamment, personnel hospitalier au bord de la crise de nerfs et donc maintenant la jeunesse.
En parlant de la jeunesse justement, on ne peut que se remémorer les mots du chanteur engagé Daniel Balavoine qui expliquait déjà devant François Mitterrand que « la jeunesse se désespère, elle est profondément désespérée parce qu’elle n’a plus d’appui… elle ne croit plus en la politique française… le désespoir est mobilisateur et lorsqu’il devient mobilisateur il est dangereux… ».
Au lycée Jean-Zay d'Aulnay-sous-Bois, des professeurs ont annoncé leur intention de faire grève lors de la surveillance des épreuves qui doivent se dérouler la semaine prochaine. Une première manifestation est organisée ce jeudi devant l'établissement pour faire entendre leurs revendications.
Dans un communiqué l'association de parents d'élèves FCPE 93 a de nouveau demandé « le report de ces épreuves et l'ouverture d'une vraie réflexion sereine sur la notion de contrôle continu ». Parents et profs redoutent que les E3C ne stigmatisent le bac des jeunes issus des quartiers populaires, dont le niveau est souvent considéré comme inférieur à ceux des lycéens originaires de villes plus prisées. Dans la plupart des établissements du département, les épreuves doivent débuter la semaine prochaine.
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Alors que la France est en retard en matière de scolarisation des enfants autistes, notre bonne ville est pionnière en la matière.
En effet, depuis septembre, c’est au collège Le Parc à Aulnay-sous-Bois qu’une classe s’est ouverte pour accueillir six élèves atteints d’autisme.
Si les six adolescents à avoir intégré cette classe spéciale bénéficie d’un encadrement adapté, ils vont en récréation et à la cantine avec les autres élèves, ce qui favorise leur inclusion. D’ailleurs, ils suivent le même programme scolaire que tous les collégiens.
Voilà donc une belle réussite 100% made in Aulnay-sous-Bois, dont chacun peut légitiment se réjouir.
Demain la France devrait être paralysée par un mouvement de grève massif. Néanmoins la vie continue et la ville d’Aulnay-sous-Bois s’organise par aider au mieux les habitants.
A ce titre, vous trouverez ci-dessous la liste des crèches ouvertes et des écoles assurant un service minimum d’accueil.
Pour plus d’informations vous pouvez cliquer : ici
Source information et image : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois
C’est désormais de l’histoire ancienne puisqu’en moins de deux ans cet établissement scolaire a été reconstruit.
Le résultat semble tout à fait convaincant. L’architecture est plus moderne et épurée, et surtout les collégiens de Christine de Pisan disposeront de locaux neufs permettant d’étudier de façon optimale.
Nous ne pouvons évidemment que saluer cette belle réussite.
Anne-Marie Lobbé
Source photos : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Suite à la grève programmée dans les établissements scolaires ce jeudi 3 octobre 2019, l’Ifac d’Aulnay-sous-Bois met en place un service minimum d’accueil dans les écoles dont le taux de grévistes est supérieur à 25%.
La liste des écoles concernées par ce dispositif est la suivante :
- Ambourget maternelle et élémentaires 1 et 2
- Anatole France maternelle et élémentaire
- André Malraux maternelle
- Le Bourg maternelle et élémentaire 2
- Charles Perrault
- Croix-Rouge maternelle et élémentaires 1 et 2
- Croix Saint Marc maternelle
- Emile Zola
- Fontaine des Prés maternelle et élémentaires 1 et 2
- Jean d’Ormesson maternelle et élémentaire
- Le Parc
- Louis Aragon maternelle et élémentaire
- Louis Solbes
- Merisier élémentaire 1
- Nonneville maternelle et élémentaires 1 et 2
- Ormeteau maternelle
- Paul Eluard maternelle et élémentaires 1 et 2
- Paul Bert
- Perrières maternelle et élémentaire
- Petits Ormes élémentaire
- Pont de l’Union
- Prévoyants
- Savigny maternelles 1 et 2 / élémentaires 1 et 2
- Vercingetorix maternelle et élémentaire
Pour les autres écoles, les enfants seront accueillis par les enseignants.
Il est à noter que toutes les activités périscolaires sont maintenues.
Source information : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois / Photo d’illustration
Le député Alain Ramadier a écrit cette semaine au ministre de l’éducation Jean-Michel Blanquer pour l’alerter sur le manque d’enseignants dans les collèges et les lycées.
Rien qu’à Aulnay-sous-Bois, on dénombre actuellement 8 postes toujours vacants depuis la rentrée.
Dans sa lettre, le député de Seine-Saint-Denis explique que « les enfants de notre département ne sont pas des sous-élèves d’une sous-République ». « Ils méritent les mêmes conditions d’apprentissage que tous les autres enfants des autres départements français » ajoute-t-il.
Le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza a lui aussi dénoncé « une situation qui ne peut plus durer ». « Le temps d’enseignement perdu par les élèves ne pourra pas être récupéré et ce sont autant de connaissances qui ne sont donc pas acquises par les élèves d’Aulnay-sous-Bois » conclut-il.
Vous pouvez prendre connaissance ci-dessus de la lettre du député Alain Ramadier. Pour lire cliquez sur les images.
Le label « cités éducatives », tiré du rapport Borloo, aura pour objectif d’améliorer la réussite à l'école dans les zones défavorisées, avec une enveloppe de 34 millions d'euros de crédits par an, soit plus de 100 millions sur trois ans. L’idée est, entre autres, de favoriser la prise en charge extra-scolaire.
Les quartiers Gros Saule et Mitry-Ambourget à Aulnay-sous-Bois ont été retenu pour intégrer le label « cités éducatives ».
Article complet de France 3 Régions à lire en cliquant : ici
En passant devant la classe, on ne remarque pas tout de suite la différence. Il faut y pénétrer pour voir les changements, comme ces bureaux individualisés placés contre les murs, afin de permettre aux enfants de travailler au calme, et de limiter leurs stimuli sensoriels. Ou cette table ronde autour de laquelle ils peuvent réfléchir en groupe.
Ce lundi matin, Boubakar, Adam, Rafi et leurs camarades ont fait leur rentrée en 6e au collège Le Parc d'Aulnay-sous-Bois. Ils intègrent la première Unité d'enseignement externalisée pour enfants souffrant de troubles du spectre autistique (UEEA) ouverte en France dans l'enseignement secondaire.
Cantine et récréation avec les autres élèves
Grâce à ce dispositif, ces six adolescents vont pouvoir suivre leur scolarité dans un collège classique. Si le conseil départemental de Seine-Saint-Denis a réalisé quelques aménagements pour qu'ils aient leurs propres locaux, ils partageront leur repas à la cantine et leur récréation avec les autres élèves.
« C'est avant tout durant ces temps-là qu'on travaille sur l'inclusion », souligne Grégory Prémon, directeur académique adjoint du département. Les élèves suivront également quelques cours en classe traditionnelle, en fonction des facilités de chacun.
Un adulte pour deux adolescents
« Au quotidien, la classe comptera un adulte pour deux adolescents. On leur offre un accompagnement le plus individualisé possible », détaille Grégory Prénom. Côté éducation nationale, une enseignante spécialisée, accompagnée d'une AESH (accompagnante d'élèves en situation de handicap) leur fera cours.
S'y ajoutera également du personnel de l'hôpital Robert-Ballanger d'Aulnay, qui a répondu à l'appel de l'Agence régionale de santé pour monter cette UEEA en partenariat avec l'institut médico-éducatif Jean-Marc Itard du Blanc-Mesnil. Soit deux éducatrices et une psychologue à mi-temps, et un pédopsychiatre qui interviendra régulièrement. Ce qui représente un investissement de 10 000 € par an et par élève pour l'ARS.
Tous les enfants étaient déjà scolarisés en UEEA à l'école Les Perrières d'Aulnay. « Ce sont des jeunes qui n'auraient pas forcément pu aller en classe traditionnelle avec une AESH, ni en ULIS (NDLR, classe à effectif réduit qui accueille des élèves souffrant de troubles cognitifs ou mentaux), car ils ont besoin d'un accompagnement plus individualisé », souligne le docteur Virginie Cruveiller, pédopsychiatre à Robert-Ballanger.
Ce sera bientôt une obligation légale. En 2022, 20 % des produits servis dans les cantines scolaires devront être issus de l'agriculture biologique. La mesure peut paraître peu ambitieuse à voir les efforts déjà faits par plusieurs villes de Seine-Saint-Denis.
De nombreuses communes mettent en avant le choix du bio dans leur restauration scolaire. Notamment sur leur site Internet. Drancy vante « 57 % de fruits et légumes bios » pour ses écoliers. Aulnay y parle de son « pain bio », Le Blanc-Mesnil des « nombreux produits bios servis chaque mois ».
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Ce devait être la dernière étape d'une des réformes les plus emblématiques du gouvernement. En 2017, le ministre de l'Education nationale lançait ses fameuses classes de CP à 12 élèves en REP +.Une mesure étendue l'an passé aux CE1 en REP + et aux CP en REP, qui devait prendre son rythme de croisière cette année en étant déployée aux CE1 de REP.
La mesure ne sera en fait effective que dans 80 % des CE1 de REP. Si le dispositif devrait ainsi être pleinement opérationnel à Aulnay, Stains, Romainville ou Épinay, ce ne sera pas le cas à Aubervilliers, Saint-Denis ou Montreuil. « L'éducation nationale n'a étendu ce dispositif que dans les écoles où les locaux étaient disponibles. Ce qui est très marginal », précise la mairie (PCF) de Montreuil.
« Il y a des écoles où cela n'a pas marché, reconnaît Daniel Auverlot, le recteur de l'académie de Créteil. Les locaux n'étaient pas du tout adaptés, c'était la cacophonie. Cela devenait contre-productif, donc ce ne sera plus la solution privilégiée partout. »
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Source article : Le Parisien / Photo d’illustration : Aulnaylibre.com