Publié le 12 Décembre 2014

Les commerçants des marchés d’Aulnay-sous-Bois vous invitent à déguster les saveurs de Noël les 12, 13 et 14 décembre 2014. Rendez-vous sur les marchés de la Rose des Vents, du Vieux-Pays et de la gare.

marche-aulnay-sous-bois.jpgSource : site internet de la ville d'Aulnay-sous-Bois


 

 

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Publié dans #Commerce

Publié le 12 Décembre 2014

Controles-RER-B.JPGIls sont derrière les tourniquets, à tous les accès et même dans les trains. Impossible de resquiller, les contrôleurs sont partout. Même les plus lestes des voyageurs, qui tentent d'esquiver le face à face, se cassent les dents. Un pas de côté, un autre en arrière et hop : « Bonjour Monsieur, votre titre de transport s'il vous plaît.  » S'ils sont capables de faire grève, pour réclamer des renforts, ils peuvent aussi être redoutables lorsqu'ils sont aussi nombreux, près d'une centaine, comme ici, en gare d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

Un voyageur sur dix sans titre de transports

L'opération est nommée « B Zen », en référence à la ligne B, qui traverse l'Ile-de-France du Nord au sud, celle aussi où la fraude est la plus importante d'après les études de la SNCF. 12,5 % de fraude, soit plus d'un voyageur sur 10 sans titre valable. « On le sait parce qu'on observe que les tourniquets sont souvent sautés, et les études et enquêtes trimestrielles menées auprès des voyageurs le confirment », éclaire Michel Bendjiriou, responsable Sûreté et lutte anti-fraude Transilien, sur les lignes B, H et K.

900 000 voyageurs, dont 360 000 sur la partie nord (Gare-du-Nord-Aéroport de Roissy), la ligne B est l'une des plus fréquentée d'Europe. C'est aussi la seule liaison de transports en commun entre l'aéroport de Roissy -- première frontière de France -- et la capitale.

Quand on sait que c'est un axe où les incivilités sont en hausse, bien au-delà de la moyenne francilienne (+ 16 % contre + 9 % en Ile-de-France depuis le début de l'année), on comprend un peu mieux pourquoi la SNCF met les bouchées doubles. Le manque à gagner a en effet été chiffré à 9,5 M€ par la SNCF pour la seule année 2014.

Des passagers « clandestins » pas toujours chaleureux

Pour le côté zen de l'opération, en revanche, il faudra repasser. En apercevant la haie d'uniformes, deux jeunes voyageurs entonnent à tour de rôle : « C'est la fin du mois, ils profitent des pauvres, sortez vos tickets ! » Si les contrôleurs restent courtois et le plus souvent souriants, les passagers clandestins ne sont pas forcément chaleureux. Ainsi, une mère et sa fille, qui sont arrivées de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) en passant par Paris, pour voir le frère. La mère fait mine de chercher son ticket, en sort plusieurs, mais aucun de valable. « Ben, on a un ticket... » suggère la fille qui vient à sa rescousse, présentant son aller Villiers-le-Bel-Paris. « Mais pour aller à Aulnay, depuis Paris, vous avez fait comment ? Il vous faut un ticket, ce n'est pas la même ligne », lui oppose le contrôleur qui verbalise deux fois. Et puisqu'elles ne payent pas sur place, la douloureuse passe de 50 à 80 €.

Fraude-RER-BCertains sont prêts à tout

A côté, une lycéenne bien mignonne, prétend qu'elle n'a pas de document d'identité. « Alors ce sont vos parents qui viendront vous chercher, c'est la loi ». « Mais je peux vous donner mon nom et mon prénom... » propose-t-elle. « Ah non, c'était avant ça ! » lui répond le contrôleur. Elle finit par sortir... son carnet de correspondance. Les boîtiers des contrôleurs prennent toutes les cartes, en plus des chèques et espèces. « Je me souviendrai toujours de cette femme contrôlée Gare du Nord, du temps de la carte Orange (NDLR : avant le passe Navigo), elle avait plusieurs titres falsifiés, et pour échapper à l'amende, elle s'est mise à se déshabiller, j'ai dû appeler la police », raconte Antonio, vingt ans de métier, selon qui le fraudeur n'a pas d'âge, ni de sexe. Pareil pour les incivilités.

485 amendes en quatre heures

« Parfois, ce sont des touristes ou des hommes en costumes qui mettent les pieds sur les sièges », assure Basile, chef d'équipe des médiateurs « Promevil », ces blousons bordeau qui sillonnent les trains en équipe sur la partie nord, depuis trois ans. En quatre heures de contrôles, en gare d'Aulnay, 485 voyageurs ont été mis à l'amende. La vente aux guichets, elle, a augmenté de 88 % !

Source : Le Parisien

 

 

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Publié le 11 Décembre 2014

Du rififi au marché de la Gare

Certains d'entre vous se demandent peut-être les raisons des travaux entrepris à l'angle de la rue de Bondy et de l'impasse de Pontoise : destruction d'un parterre de fleurs et déplacement de quelques mètres d'un poteau d'éclairage public. 

charcutier-aulnay-sous-bois.jpg

La réponse est simple et fait polémique au sein de la communauté des commerçants et des clients de la halle alimentaire. En effet, à sa demande et avec le soutien de certains commerçants du boulevard de Strasbourg, un charcutier a obtenu le droit de sortir du marché couvert pour s'installer à l'extérieur et ceci en dépit des règles établies de contenir les commerces de bouche à l'intérieur de la halle. 

Cet artisan reprendrait de plus la boutique (préemptée par la municipalité) où est installée une épicerie turque et dont le bail ne serait pas renouvelé en raison de défaut de paiement des loyers (source officieuse). En conséquence, il a choisi lui-même son emplacement près de son futur commerce, ce qui nécessite de libérer l'espace d'où les travaux entrepris. 

Ce transfert d'un commerce vers l'extérieur de la halle et les travaux réalisés soulèvent des questions.

Quel devenir pour le marché couvert si la mairie contrevient aux règles établies et permet la sortie des commerces de bouche ? Plusieurs autres commerçants l'envisageraient désormais pour des raisons multiples :

  • désertification des lieux ; plusieurs commerces ont ou vont fermer (volailler, produits portugais, produits italiens)
  • manque d'attractivité du fait de son confinement et d'une signalétique peu présente ; sur ce dernier point, la pose d'une enseigne signalant la halle avait été demandée mais a été refusée par le syndic de l'immeuble. Une signalétique provisoire (banderole) aurait pu être envisagée, apposée en début et retirée en fin de marché afin de ne pas indisposer les propriétaires des appartements.

Les travaux entrepris ont un coût, qui paiera ? Celui-ci sera-t-il pris en charge par le commerçant demandeur comme cela est prévu par une délibération du conseil municipal ou est-ce que tous les Aulnaysiens vont devoir payer pour accéder à la demande d'un seul individu ? 

Le malaise semble profond au sein des commerçants que l'on aurait pu penser solidaires entre eux ce qui n'est apparemment pas le cas. Le microcosme commerçant est à l'image du monde actuel : individualiste. 

Mr le Maire, nous vous relayons un cri d'alarme : le marché couvert de la Gare est en danger et les usagers attendent de vous une vraie politique de redynamisation, de soutien et d'écoute des commerçants de la halle alimentaire auxquels ils tiennent. Ils attendent également une clarification concernant le financement de ces travaux.

Source article : Philippe Grécourt (Avec nos remerciements).

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Publié dans #Commerce

Publié le 11 Décembre 2014

Le théâtre  Jacques Prévert doit faire salle comble ce soir pour la venue de Muriel Robin à Aulnay-sous-Bois. L’humoriste pourrait pourtant être dans une situation délicate compte-tenu de ses convictions contraires aux  prises de position récentes de certains élus locaux sur la question du mariage pour tous.

Muriel-Robin-Aulnay-sous-Bois1.jpg

On se souvient par exemple de la tribune de la première adjointe au maire Séverine Maroun, parue en novembre dernier dans le numéro 206 du magazine municipal Oxygène, qui expliquait sans concession que le mariage homosexuel détruisait la famille et le cadre sécurisant des enfants bâti autour de l’union d’un papa et d’une maman.

Muriel-Robin-Aulnay-sous-Bois2.jpg

Dans ces conditions, peut-être que les élus locaux qui partagent cette ligne devraient  céder leurs places réservées ce soir ou bien Muriel Robin, qui en septembre 2013 annonçait son intention d’épouser sa compagne, ferait peut-être mieux d’annuler purement et simplement sa représentation...

Marc Masnikosa

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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 11 Décembre 2014

Poitiers_Vivonne.jpgPoitiers

Il le répète comme un mantra. A chaque question, Mamadou affiche un air dédaigneux et dit et redit et re-redit: « Je me rappelle pas, j'étais ivre! » Ce dont il se souvient, avec certitude, c'est qu'il n'a pas frappé et pas volé les deux étudiants violemment dépouillés par un groupe de cinq jeunes. C'était vendredi, à 4h du matin, sur un banc entre la mairie et le jardin du Puygarrreau. Ce dont il se souvient, c'est qu'il était seul ce soir-là… Quand bien même il fêtait son anniversaire au kebbab.

Version édulcorée

Ce dont il se souvient, c'est qu'il a demandé l'heure à un des jeunes étudiants. « J'ai vu son portable, c'était un vieux, ça m'intéressait pas. Je lui ai dit de partir! » Le reste? Pas vu. Pas su. « J'ai croisé le groupe quand la police est arrivée. » Bilan: trois majeurs arrêtés et jugés hier, deux mineurs convoqués devant le juge des enfants. Mamadou n'a rien vu et presque rien fait. Fabrice idem. Quant à Abdallah, il reconnaît avoir poussé violemment une des victimes.
Au moment de l'interpellation, deux mineurs et Mamadou sont vus par les policiers se débarrasser d'objets compromettants appartenant aux victimes. Qui a frappé si ce n'est le trio
? « Je sais pas, j'étais ivre », répète encore une fois Mamadou qui dit ne pas être arrivé à souffler dans l'éthylomètre du commissariat. On ne saura donc jamais à quel point il était vraiment ivre!
Peu connu de la justice, le trio formé par des copains d'Aulnay-sous-Bois dont certains vivent maintenant à Poitiers agace fortement le tribunal avec sa version très édulcorée qui charge les mineurs.

Case prison

Le tribunal suit les réquisitions du parquet. Le trio, incarcéré depuis le week-end est maintenu en détention pour des durées de six, huit et quatorze mois.

Source : http://www.lanouvellerepublique.fr/

 

 

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Publié le 11 Décembre 2014

rerbdirect.jpgCela fait maintenant trois ans que Magali Angibaud prend tous les jours la ligne K depuis Dammartin-en-Goële jusqu'à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), où elle exerce le métier d'auxiliaire de puériculture. Elle préférerait, comme avant, y aller en voiture, « mais c'est quand même plus économique de prendre le train ». Malgré les efforts faits par la direction de la ligne K, Magali assure ne pas avoir « remarqué d'amélioration notable » de ses conditions de transport, ajoutant que « les trains sont encore souvent en retard ». Elle estime en outre qu'à moins de se rendre à la gare en avance « cela reste très difficile d'arriver à l'heure », en partie à cause des « correspondances pas idéales » avec le RER B. « 

Quand on arrive à la gare de Mitry-Claye, le RER est rarement sur le point de partir, regrette-t-elle. A l'inverse, si le K n'arrive qu'une minute après le départ annoncé du RER B, il ne nous attend pas. » En revanche, elle a remarqué que « de plus en plus de gens prennent la ligne K depuis des gares où passe le RER B, comme Mitry-Claye ou Aulnay ». Un phénomène également constaté par la direction de la ligne K, qui l'explique par une nette amélioration de la ponctualité ces dernières années. Pour un certain nombre d'usagers rencontrés à la gare de Mitry-Claye, c'est aussi parce que depuis le passage du RER B, en septembre 2013, au tout omnibus entre Paris et Aulnay, leur temps de parcours s'est allongé de vingt minutes. Alors qu'il existe encore quelques directs et semi-directs sur la ligne K. Pour sa part, Magali attend surtout de la SNCF « une nette amélioration de l'information aux voyageurs et des correspondances avec le RER B ».

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 11 Décembre 2014

Evin-Amiante.jpgDepuis  un  mois et demi, l'Agence régionale de santé (ARS) supervise la recherche des anciens écoliers du quartier où se trouvait autrefois l'usine d'amiante du CMMP, (Comptoir des minéraux et matières premières) à Aulnay. Le recoupement des fichiers de l'assurance maladie et des registres des écoles ont permis d'envoyer des milliers de courriers à travers la France. Mais les associations de victimes de l'amiante réclamaient un suivi plus rigoureux. Elles ont été reçues mardi soir par le directeur de l'ARS, Claude Evin.

Que ressort-il de cette rencontre ?

Claude Evin. Nous avons dialogué. Je vais examiner leurs demandes. Elles s'inquiètent par exemple de la destruction du fichier utilisé pour retrouver les anciens écoliers. Mais on ne détruira pas ce fichier tant qu'on en a besoin. Elles demandent qu'on élargisse la recherche aux anciens élèves d'un lycée professionnel du quartier, et à ses enseignants. Je me suis engagé à examiner cette éventualité.
Autre requête, qu'on devrait pouvoir satisfaire : la personnalisation des courriers, en y indiquant le nom et l'adresse du destinataire, pour qu'il comprenne qu'il est directement concerné et qu'il ne s'agit pas d'une lettre-type.

Les associations veulent aussi que cette recherche permette d'évaluer les dégâts causés par le CMMP, d'établir un bilan sanitaire...

Oui, les associations voulaient demander aux médecins traitants de nous renvoyer un document pour signaler les malades. Mais on n'était pas à l'abri que certains omettent de le faire, par négligence... On va passer par l'assurance maladie, puisque le mésothéliome [ NDLR : cancer de la plèvre] est une maladie à déclaration obligatoire, et par le Fiva (Fonds d'indemnisation des victimes de l'amiante) pour recenser les cas identifiés.

Peut-on imaginer que cette recherche s'étende ensuite aux anciens habitants du quartier, aux anciens salariés ? L'étude du Giscop* avait envisagé ces pistes...
Peut-être, mais je n'ai pas la méthode pour le faire ! N'oublions pas que cette démarche est une première en France. Comment identifier les adultes qui ont vécu là ? Et s'agissant des anciens salariés de l'usine du CMMP, c'est à l'entreprise de mener ces recherches. Si elle ne le fait pas, il existe des procédures : il faut saisir la justice.

Ce travail de recherche autour de l'usine, c'est un investissement important ?
C'est un travail titanesque, en terme de temps et d'investissement financier. Mais la question posée est toujours la même : le rapport entre « le coût et le bénéfice ».Il s'agit d'évaluer le rapport entre cette recherche et le nombre de personnes qu'on pourra retrouver.

Les premiers résultats sont-ils satisfaisants ?

Il est trop tôt, nous n'avons pas encore suffisamment de retours. Des gens ont téléphoné à la plate-forme, l'information leur permettra peut-être de saisir le Fiva, d'aller voir un médecin pour passer une radio pulmonaire.

*Groupe de recherche sur les cancers d'origine professionnelle, rattaché à l'université Paris XIII-Villetaneuse.

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #Amiante

Publié le 11 Décembre 2014

C’était l’un des événements très attendus du conseil municipal du 10 décembre 2014 à Aulnay-sous-Bois. Compte-tenu de l’actualité présente, les élus examinaient en fin de séance un vœu de soutien aux trois collèges actuellement en lutte pour préserver leur statut en éducation prioritaire. Pour rappel, Christine de Pisan et Victor Hugo passent de REP+ à REP, tandis que Gérard Philipe sort totalement de ce dispositif, ce qui signifie moins de moyens mis à la disposition des établissements scolaires pour la réussite des enfants.

Voeu1.pngAprès une suspension de séance, les différents représentants des composantes du conseil municipal, Alain Pachoud (UMP et Personnalités), Jacques Chaussat (UDI), Gérard Ségura (PS et assimilés), accompagnés de Miguel Hernandez (PCF), alors que ce dernier n’a pourtant pas de groupe dans cette assemblée, semblaient s’être mis d’accord avec le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza sur un texte commun amendé  permettant de formuler le vœu. Du reste, un vote à l’unanimité des membres présents s’est déroulé dans la foulée pour entériner le principe de présentation de ce vœu alors qu’il arrivait en dehors du délai légal.

voeu2.png

Dès lors, dans ces conditions, on pouvait s’attendre à un vote unanime sur ce sujet, tant la mobilisation des parents, représentants des parents d’élèves et enseignants est forte en ce moment. Pourtant, à la surprise générale, le groupe PS a finalement décidé de s’abstenir. C’est Daniel Goldberg qui a porté ce choix en lisant notamment une lettre que lui a adressée Najat Vallaud-Belkacem.  Il semblait quelque peu gêné par ce vœu. En effet, membre de la majorité socialiste à l’Assemblée nationale, il lui était délicat de désavouer la ministre de l’Education nationale. Ainsi, il a soutenu la décision gouvernementale de ne pas conserver le collège Gérard Philipe dans le réseau d’éducation prioritaire et a même estimé que les enseignants des collèges Christine de Pisan et Victor Hugo bénéficieraient des mêmes aides qu’auparavant.

Au final donc, les groupes UMP et Personnalités, UDI ainsi que Marie-Jeanne Queruel et Miguel Hernandez (PCF) ont voté pour tandis que le PS faisait le choix étrangement peu courageux de l’abstention… 

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Publié dans #Conseil municipal

Publié le 10 Décembre 2014

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Publié dans #Communiqués

Publié le 10 Décembre 2014

C’est l’histoire d’une dame d’un certain âge qui vend une parcelle de terrain très largement arborée au 5 rue du Sausset à Aulnay-sous-Bois dans la zone pavillonnaire du quartier Vieux-Pays. Rien de bien extraordinaire à ce stade. Sauf que l’acquéreur se met en tête d’y bâtir autre chose qu’un petit pavillon. Profitant des largesses d’un plan local d’urbanisme (PLU) rendu encore plus permissif sous la mandature de l’ancien maire Gérard Ségura, la nouvelle construction prévoit l’occupation quasi-totale de l’espace jusque-là noyé de verdure.

Les arbres sont abattus, les fondations et les murs du nouveau bâti prennent forme en lieu et place de la végétation, jusqu’à ce que l’émotion de la dame en question, qui regrette peut-être maintenant d’avoir vendu son terrain, et la mobilisation de quelques associations qui crient au bétonnage conduisent à l’arrêt pur et simple des opérations. Résultat des courses, un an et demi plus tard, le chantier est totalement à l’abandon. Les mauvaises herbes pullulent et les rats investissent peu à peu la place.

Espérons que l’adjoint au maire en charge de l’urbanisme Denis Cahenzli saura débloquer la situation…

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 10 Décembre 2014

Toujours plus nombreux, toujours plus remontés et toujours plus mobilisés pour défendre leurs Zones d'éducation prioritaire. Hier midi, plus de 2000 enseignants des collèges déclassés par la nouvelle carte de l'éducation prioritaire venus de toute l'Ile-de-France s'étaient donné rendez-vous boulevard Raspail à Paris pour défiler jusqu'au ministère de l'Education nationale rue de Grenelle. L'occasion, une fois de plus, après trois semaines d'intenses mobilisations de tenter de faire plier la ministre Najat Vallaud-Belkacem avant que celle-ci n'arrête définitivement cette fameuse carte.


En Seine-Saint-Denis, si dix-huit collèges entrent dans le dispositif d'éducation prioritaire prévu par le ministère, cinq autres en sortent. Hier, à la manifestation parisienne, les enseignants de ces établissements ont donc défilé nombreux pour réclamer leur maintien en REP (réseau d'éducation prioritaire).

La carte définitive n’est pas encore actée par le ministère

« Touche pas à ma ZEP - collège Balzac - Neuilly-sur-Marne » ou encore « REP in peace » était-il écrit, par exemple, sur les pancartes des enseignants venus du département. Si les professeurs des collèges sortis de REP restent particulièrement mobilisés, c'est bien parce que la carte définitive n'est pas encore actée par le ministère. Des discussions sont encore en cours ici ou là pour affiner chaque décision. A Montreuil, le député PS Razzy Hammadi assure ainsi que les élémentaires Paul-Bert et Françoise-Dolto seront maintenues dans le dispositif d'éducation prioritaire alors même qu'elles dépendent du réseau du collège Paul-Eluard, qui lui quitte le REP.

Source article : Le Parisien / Vidéos : Aulnaylibre !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 10 Décembre 2014

L'affaire est sans précédent. Pour la première fois, la brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) qui, avec ses 8 250 hommes, assure la protection de la capitale et des trois départements de petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), risque de voir son budget de fonctionnement baisser l'an prochain. Celui-ci, financé par l'Etat, la Ville de Paris, les départements de petite couronne et les 123 villes de l'agglomération via le budget alloué à la préfecture de police (PP), pourrait reculer de 1,772 M€ sur un total de près de 330 M€.

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Ce qui induirait des conséquences non négligeables sur les capacités opérationnelles des soldats du feu, dont le nombre d'interventions, en constante augmentation, s'élève à plus de 500 000 par an. Selon un document que le journal Le Parisien s'est procuré, la brigade envisagerait, si le budget était adopté, la suppression de cinq grandes échelles, de deux engins-pompes, la réduction des capacités de plusieurs unités spécialisées, mais également la fermeture des centres de secours de Gennevilliers-Port et de Sèvres (Hauts-de-Seine) et la mutualisation de leurs moyens respectifs avec les services départementaux de secours et d'incendie (Sdis) du Val-d'Oise et des Yvelines. Elle souhaiterait en outre facturer certaines interventions.

Quant aux effectifs, ils risquent également d'être impactés. A terme, si aucune rallonge budgétaire n'était accordée à la BSPP à l'occasion du vote du budget supplémentaire, la brigade évalue à 457 le nombre d'emplois qui pourraient être supprimés. Des restrictions budgétaires que la PP, dans le prévisionnel présenté mercredi en commission consultative de gestion, attribue à « un contexte financier contraint » qui l'oblige à « assurer budgétairement les mesures incontournables au détriment d'autres évolutions ». Ainsi, le plan de modernisation de la brigade sera différé, pour la deuxième année d'affilée.

A quelques jours de l'examen du budget primitif de la préfecture de police au Conseil de Paris, l'UMP mais également les élus EELV comptent donner de la voix en faveur de la BSPP. Les deux groupes évoquent la possibilité de ne pas voter le budget de la PP, s'il demeurait en l'état. « La capacité opérationnelle des pompiers ne doit pas être affaiblie, souligne David Belliard, coprésident du groupe écologiste au Conseil de Paris. Nous allons, avant le vote, demander qu'une partie des retombées financières liées à l'augmentation du tarif des fourrières soit affectée à la BSPP. » La Ville, de son côté, est formelle : le budget de la préfecture de police, dont une partie est réattribuée aux pompiers, est bien en baisse de 6 MEUR, mais les recettes programmées des fourrières viendront combler ce déficit. En fait, précise-t-on à l'Hôtel de Ville, « il s'agit d'une opération blanche pour la PP ».

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 9 Décembre 2014

blogsausset1.JPGÀ l’occasion de la date anniversaire de la loi du 9 décembre 1905 de « séparation des églises et de l’État », l’Union départementale des DDEN (délégués départementaux de l’éducation nationale) de Seine­Saint­Denis et une cinquantaine d’élèves d’une école publique de Villepinte ont planté un « arbre de la laïcité » dans le parc départemental du Sausset, en présence de Stéphane Troussel, Président du Conseil général.

En accueillant cet acte symbolique dans l’un de ses parcs, le Conseil général entend rappeler l’importance de la laïcité, principe fondamental de la République et encourager le vivre­ensemble. En Seine­Saint­Denis plus qu’ailleurs, il s’agit de promouvoir une laïcité protectrice pour les jeunes, innovante, concrète qui ne vise pas à exclure.

Source : http://www.seine-saint-denis.fr/

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Publié dans #93 Infos

Publié le 9 Décembre 2014

MaxenceDécidément, le parti d’extrême droite ne sait pas vraiment comment gérer le cas de Maxence Buttey, cet élu de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) qui a annoncé récemment sa conversion à l’islam.

Le jeune homme de 22 ans vient en effet d’apprendre par mail que le bureau départemental du 
FN lui retirait sa fonction de responsable de circonscription. Et il n’en revient pas. «Je n’ai jamais été consulté, ni appelé, on m’apprend ça par mail, ce ne sont pas des méthode, tempête-t-il auprès du Parisien.fr. Quant au motif, il est bidon puisqu’il est écrit: "Perte de confiance". Qu’est ce que ça veut dire? J’ai vu Jordan Bardella, le secrétaire départemental du FN la semaine dernière, il ne m’a rien dit.» 

Maxence Buttey en est sûr: c’est sa conversion à l’islam qui lui vaut cette sanction. L’élu FN avait déjà été suspendu en octobre pour, officiellement, avoir diffusé une vidéo sur les aspects prophétiques du Coran. «Prosélytisme,» avaient alors tonné les responsables du bureau exécutif. 

Une semaine plus tard, sous la pression médiatique, sa suspension était levée. Mais depuis, Maxence a bien senti qu’il n’était pas le bienvenu partout. «Il y a, au sein du FN, beaucoup d’islamophobes. Je ne les juge pas, c’est un fait, analyse-t-il. Ce n’est pas le cas de 
Marine Le Pen et de nombreux responsables nationaux qui savent faire la différence entre la vie privée et la vie publique. En revanche, dans le département, certains n’y arrivent pas. Depuis l’affaire de la vidéo, je n’ai rien dit, rien fait pour mettre en avant ma religion. Je fais mon travail d’élu, j’arpente le terrain. Bref on ne peut rien me reprocher. On me sanctionne donc bien pour mes convictions religieuses.»

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 9 Décembre 2014

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous de l’interview du conseiller municipal d’Aulnay-sous-Bois, Paulo Marques, en charge des relations internationales, donnée dans l’hebdomadaire Franco-Portugais Luso Jornal sorti le mercredi 3 décembre 2014. Nous vous laissons le soin de la découvrir en version originale, la traduction n’étant finalement pas très difficile… 

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 9 Décembre 2014

La rédaction d’Aulnaylibre ! vous propose de prendre connaissance ci-dessous d’une vidéo du ténor Silvano Sapia qui a chanté lors du marché de Noël d’Aulnay-sous-Bois. Sa voix a résonné dans le parc Dumont et a conclu en beauté le premier événement de ce type dans notre commune. Nous débutons avec un classique : Ave Maria.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 9 Décembre 2014

fibre-optique-bobigny.jpgSur le tableau blanc, une série de chiffres et de signes qui, pour le profane, relève plus d'un langage d'un autre monde que d'un enseignement en français. Et pourtant, les 14 élèves qui assistent au cours ce matin-là à Bobigny maîtrisent parfaitement ces données. Ils font partie de la première promotion d'installateur de réseaux câblés et de communication, une formation prodiguée par le Campus des métiers en partenariat avec Orange et le conseil général du 93.

« Bon, nous sommes d'accord, vous savez tous raccorder un câble ? » Gilles Blanc, le formateur, recueille une réponse positive à sa question. Mais il pousse le curseur plus loin. « Rappelez-moi la différence entre le cuivre et la fibre optique ? » Et les élèves ont intérêt à la connaître, la différence, car, dans un an, si tout va bien, ils poseront leurs premiers câbles. Selon la chambre des métiers d'Ajaccio (Corse), où cette formation existe depuis plus d'un an, le taux de conversion en CDI est de... 100 %. Les postes démarrent à 1 400 €, avec une évolution de carrière qui permet de gagner 2 000 € après trois ou quatre ans d'expérience.

Contrairement à certains domaines d'apprentissage où les élèves traînent un peu les pieds, les nouvelles technologies, elles, recueillent un vif succès. « Lorsque nous avons ouvert cette formation, nous avons reçu 100 CV et convoqué 50 personnes, s'enthousiasme Leïla Diri, la directrice du Campus des métiers. Tous sont venus, ce qui est exceptionnel. Nous en avons gardé finalement 14. » La formation dure un an, soit 290 heures en formation et 140 heures en entreprise. Une seule fille fait partie de l'aventure. « Mon père était électricien et j'aimais bien le voir travailler, souligne Amira, 22 ans, pour expliquer son choix. Mais je voulais apprendre des choses nouvelles, et la fibre optique, personne ne connaît vraiment cette technologie. Tout le monde m'a dit que c'était l'avenir des communications. »

Romain, 29 ans, cherchait aussi un secteur porteur. « J'ai abandonné l'école à 12 ans et j'ai enchaîné les petits boulots comme serveur, militaire et brancardier, raconte-t-il. C'est justement à l'hôpital que j'ai vu des bac + 5 pousser des brancards. Je me suis dit qu'il fallait trouver rapidement un boulot solide dans un domaine d'avenir. » Mohammed, 24 ans, est un peu tombé dessus par hasard. « Avec mon bac pro électrotechnique, je me suis rendu dans des forums pour tenter d'avoir des entretiens, détaille-t-il. Je n'ai pas eu grand-chose, alors je me suis inscrit à Pôle emploi qui m'a parlé de cette formation. J'ai trouvé l'enseignement intéressant, mais j'ai aussi bien aimé le coup de pouce financier. »

En effet, non seulement les cours ne leur coûtent rien, mais, cerise sur le gâteau, les élèves gagnent même de l'argent dans le cadre de leur passage en entreprise. Pour Gilles Blanc, le filon n'est pas prêt de s'épuiser. « Le gouvernement prévoit la fin du déploiement de la fibre en 2030. Ça laisse de la marge, sourit-il. Et puis il faudra toujours assurer la maintenance et suivre l'évolution technologique. » Et ce n'est pas Marianne Brunat, déléguée régionale d'Orange, qui dira le contraire. « Ce sont des métiers complexes qui manquent de main-d'œuvre, insiste-t-elle. Orange recrute, traditionnellement, 2 000 apprentis par an sur toute la France. Mais depuis 2013, nous en prenons 1 000 de plus qui se consacrent exclusivement au très haut débit. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #Emploi

Publié le 9 Décembre 2014

amiante-aulnayLe livre qu'elle vient de publier, « la Science asservie » (Ed. La Découverte), est un réquisitoire à l'encontre des industriels qui ont exposé leurs ouvriers à des substances toxiques. Le propos est sans concession, à l'image de son auteur. Annie Thébaud-Mony, sociologue de la santé désormais à la retraite, est une militante.

Porte-parole de l'association anti- amiante Ban Asbestos, elle fait partie de ceux qui ont brisé le silence autour de l'ancienne usine d'amiante du CMMP à Aulnay-sous-Bois. En 2012, cette petite femme menue aux cheveux argentés avait d'ailleurs refusé la Légion d'honneur que la ministre Cécile Duflot avait demandée pour elle, en pointant le manque de moyens dévolus à la recherche en santé publique.
Avant de diriger le Giscop, groupement scientifique rattaché à l'université
Paris XIII-Villetaneuse, Annie Thébaud-Mony est passée par l'Algérie, le Brésil... Mais son travail dans le 93, au début des années 1980, a marqué un tournant. « Au détour d'une enquête sur la tuberculose, j'ai découvert des malades qui souffraient de la silicose ou de l'asbestose (NDLR : maladies contractées dans le cadre de leur travail). Or, on ne disposait d'aucune donnée sur les maladies professionnelles. »

Elle se penche alors sur le sort d'anciens ouvriers marocains, laissés sur le carreau après la fermeture en 1984 d'une fonderie à Bondy. Elle découvre « des situations humaines insupportables ». « Ces gens étaient en mauvaise santé, incapables de trouver un autre travail. Or, on les avait précisément recrutés parce qu'ils étaient solides. Sans travail, ils allaient se retrouver sans papiers. » Au fil du temps, la chercheuse s'ancre dans le 93. « Le conseil général nous a longtemps soutenus dans nos travaux », se souvient-elle.

En 1993, Annie Thébaud-Mony participe à un groupe de travail départemental sur l'inégalité face aux cancers. De 2000 à 2006, elle lance une enquête auprès de 1 300 cancéreux, soignés dans trois hôpitaux : Robert-Ballanger (Aulnay), Avicenne (Bobigny), et l'hôpital intercommunal de Montfermeil. La reconstitution minutieuse de leurs parcours professionnels aboutit à un constat accablant : 84 % de ces malades ont, aucours de leur vie, été exposés à plus de trois substances cancérogènes. La fermeture des usines signifie-t-elle que le danger a disparu ? « Non », répond-elle sans hésiter : « Le département compte désormais beaucoup de petites entreprises sous-traitantes. On observe le développement de cancers précoces chez des gens beaucoup plus jeunes qu'avant. » Elle raconte ainsi une visite récente au sein d'une entreprise de recyclage de batteries de voitures à Pierrefitte, rappelée à l'ordre par l'inspection du travail : « Les employés désossaient les batteries à mains nues dans un coin de l'atelier... »

Une autre menace subsiste, enfouie dans les sols des friches. Annie Thébaud-Mony reste mobilisée avec les victimes du CMMP et les riverains des villes voisines du fort de Vaujours, qui fut un centre de recherche du Commissariat à l'énergie atomique. Son conseil aux habitants qui s'inquiètent du voisinage d'une friche industrielle : « Avant de faire des études de sol, il faut accéder aux documents retraçant l'histoire du site. S'il est classé, un dossier existe, que ce soit en mairie, aux archives départementales ou au Service technique des installations classées. Cela permet de déjouer les mensonges de l'entreprise pollueuse. »

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #Amiante

Publié le 8 Décembre 2014

La patinoire d’Aulnay-sous-Bois vient d’ouvrir ce 8 décembre 2014 à la Ferme du Vieux-Pays.

Notre commune devient donc Aunay-sur-Glace pour la plus grande joie des petits et des grands jusqu’au 18 janvier 2015. Vous trouverez ci-dessous tous les renseignements utiles pour profiter au mieux de cet espace convivial en plein air. Bonne glisse !

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patinoire-aulnay-sous-bois2.pngSource information : site de la ville d’Aulnay-sous-Bois / Vidéo : Aulnaylibre !

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Publié dans #Soyons sport.

Publié le 8 Décembre 2014

L’association Aulnay Environnement organise une réunion publique à la salle Gainville, située 24 rue de Sevran à Aulnay-sous-Bois, le mercredi 10 décembre 2014 de 20h à 22h pour évoquer la concertation autour de la révision du plan local d’urbanisme (PLU) actuellement lancée dans notre commune. Vous trouverez ci-dessous l’affiche annonçant cet événement.

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Publié dans #Urbanisme

Publié le 8 Décembre 2014

sirigu.jpgLe gardien de but du PSG Salvatore Sirigu a été victime dimanche soir d'un vol à la portière. L'international italien s'était arrêté à un feu de l'avenue Jean-Jaurès, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) quand deux hommes se sont approchés de sa voiture, une Porsche 911 noire aux vitres teintées. Ils ont brisé la vitre de la portière droite, côté passager, et dérobé un sac resté sur le siège. Salvatore Sirigu a porté plainte quelques minutes plus tard auprès du commissariat, qui se charge de l'enquête. Le sac, appartenant à un membre de sa famille, ne contenait a priori que des effets personnels sans grande valeur. 

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 8 Décembre 2014

C’est la première fois que notre site diffuse des vidéos de l’équipe locale Aulnay Futsal. Le moins que l’on puisse écrire est que l’engouement autour de cette discipline est exacerbé. L’ambiance est énorme, la proximité du public aux abords du terrain rendant le vécu de la partie très intense.


Pour une première, nous avons eu de la chance puisque, dans un Cosec de la Rose des Vents plein à craquer, le Aulnay Futsal s’est imposé 5 à 3 face aux Enfants de la Goutte d’Or. Nous vous proposons aujourd’hui de revivre cet événement à travers trois vidéos.

La première démontre que les footballeurs qui évoluent sur un périmètre réduit doivent être rapides, techniques et collectifs pour trouver la solution devant le but. L’engagement est total, au point qu’un de nos joueurs s’est même vu infliger un carton rouge. La seconde déjà diffusée est celle du 5ème but marqué par le Aulnay Futsal alors qu’il était en infériorité numérique. La troisième c’est le cri de la victoire des supporters après le coup de sifflet final.

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Publié dans #Soyons sport.

Publié le 8 Décembre 2014

2014-NOVEMBRE-2075.JPGAprès la belle réussite du marché de Noël le week-end dernier c’est au tour de la mairie d’Aulnay-sous-Bois de s’éclairer à l’approche des fêtes de fin d’année. Le décor est sobre certes mais avec un peu d’imagination on pourrait presque y tourner le prochain Harry Potter…

2014-NOVEMBRE-2076.JPG

 

 

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Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 8 Décembre 2014

passenavigoC'est désormais acquis : le passe Navigo unique verra le jour, les députés ayant adopté vendredi un amendement rendant possible sa création. Le nouveau dispositif sera progressivement déployé en Ile-de-France. Alors que sa mise en place était d'abord envisagée pour le 1er octobre, le Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif) est parvenu vendredi, en marge du vote à l'Assemblée nationale, à un accord permettant la disparition des zones tarifaires dès le 1er septembre.

Bientôt le cap des 70 euros dans les zones 1 et 2

Certaines incertitudes ont par ailleurs été levées. Ainsi, si les abonnés des zones 1 et 2 du cœur d'agglomération vont subir au 1er janvier une augmentation de leur abonnement de 4,3 % -- plus importante que la hausse moyenne pratiquée ces dernières années -- pour atteindre tout de suite le cap des 70 €, ce ne sera pas le cas en ce qui concerne les 10 % d'abonnés Navigo aux autres forfaits deux zones (2-3, 3-4, 4-5), soit 400 000 usagers.

Un délai pour les autres abonnés, s’ils le souhaitent

Considérant que leurs conditions de transport sont plus difficiles que pour ceux vivant en cœur d'agglomération, un amendement que doit adopter mercredi le conseil d'administration du Stif prévoit une hausse « normale » de 2,9 % au 1er janvier pour les forfaits en zone 2-3, 3-4 et 4-5, qui resteront ainsi sous la barre des 70 €. Les usagers concernés auront ensuite deux possibilités : soit conserver leur passe deux zones, à moins de 70 €, et ce jusqu'au 31 décembre 2016, ou passer, dès le 1er septembre 2015, à un passe illimité à 70 €.

La carte Imagine R également dézonée

Ce changement sera lui aussi opéré dès le 1er septembre et fera passer la carte Imagine R au prix unique de 333,90 €, soit 37,10 € mensuels sur les neuf mois de l'année scolaire ou universitaire.
C'est un peu plus que ce qu'avait annoncé Pierre Serne (EELV), le vice-président chargé des transports au conseil régional, qui parlait vendredi matin, sur 
France Bleu, d'une carte Imagine R à 35 € par mois. Le surcoût estimé qu'entraîne le dézonage total de la carte Imagine R -- que ne couvre pas l'accord passé avec les entrepreneurs sur la hausse du versement transports -- est estimé entre 5 M€ et 15 M€. La région les prendra intégralement à sa charge.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 8 Décembre 2014

mormeck.jpgJean-Marc Mormeck n'aura pas gagné son ultime pari. Par décision des juges, deux contre un, le boxeur de 42 ans a perdu aux points son ultime combat professionnel face au jeune Polonais Mateusz Masternak, 27 ans. Le boxeur plusieurs fois champion du monde n'a pas su résister aux assauts de la jeunesse, il avait pourtant en ligne de mire une dernière chance mondiale. «Merci à vous tous de vous être déplacés et d'avoir été aussi nombreux à me soutenir sur les réseaux sociaux. Sincèrement la boxe m'a fait connaître, j'ai choisi d'être là à 42 ans pour ce défi face à un jeune. Il a gagné alors applaudissez-le ! » a lancé avec beaucoup de fair-play, le Guadeloupéen sept fois titré en neuf finales mondiales.

A 42 ans, Mormeck - 37 succès et 5 défaites - souhaitait quitter la scène en beauté avec une nouvelle ceinture. Champion WBA des lourds-légers de 2002 à 2005, champion WBA-WBC 2005 et 2007, Mormeck est revenu dans sa catégorie de prédilection après avoir «voulu réaliser son rêve de gosse» devenir champion du monde des lourds. Rêve brisé par l'Ukrainien Vladimir Klitschko en mars 2012. A l'issue de sa défaite, ce vendredi, Mormeck a confirmé qu'il mettrait un terme à sa carrière. «A 42 ans j'ai tenté un dernier défi, j'espère que vous me suivrez dans mes autres activités» a-t-il lancé au public du Palais des Sports d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). 

Source : Le Parisien 

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Publié dans #Soyons sport.