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Publié le 25 Mai 2011

Hier c'était mardi et une soirée tranquille au coin du feu se profilait à l'horizon. Lorsque mi media naranja (ma moitié d'orange) lance vers la fin du repas : " mais au fait aujourd'hui ce n'est pas l'heure musicale !?". Au lieu de faire profil bas, je confirme en opinant du chef et ajoute que c'est même un spécial contes pour enfants... (J'ai lu la note de Jean-Gauthier dans l'après-midi ici). Enthousiasme général autour de la table. La suite on la connait, tout le monde se prépare en vitesse et direction l'école de musique située 12 rue de Sevran à Aulnay-sous-Bois.   

Au programme donc, deux contes musicaux pour enfants. Le premier s'intitulait : le tyran, le luthier et le temps. C'est l'histoire d'un tyran assoiffé de pouvoir qui veut contrôler tous ses sujets. Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé ne serait bien sûr que pure coïncidence ! Toujours est-il que pour asseoir son emprise sur le peuple, le tyran cherche un moyen pour contrôler l'information et savoir tout ce qui se dit et se fait. Il rencontre alors un luthier aux pouvoirs magiques qui lui propose de maîtriser le temps à l'aide d'un simple métronome. 

Le conte plonge ensuite dans le fantastique. Celui qui actionne le métronome créé un décalage temporel lui permettant de ralentir le cours des événements du monde environnant. Le tyran en profite alors pour passer de rues en rues, de maisons en maisons afin d'observer, écouter et savoir tout de son peuple. Grisé par le mécanisme,  le tyran oublie qu'en contrepartie le temps s'accélère pour lui de façon vertigineuse. Il vieillit très vite et finit par mourir...

 Voici un extrait... Ambiance...

Dans la note suivante je reviendrai sur le second conte intitulé le p'tit bonhomme des bois

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 25 Mai 2011

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Source : Le Parisien du 25 mai 2011

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 23 Mai 2011

Kuamen2.JPGKuamen est riche d'une culture musicale éclectique. Bercé par la musique noire américaine dont son père est fan (James Brown, Jimmy Cliff, Michaël Jackson...), la scène rap et hip-hop est le terreau de sa vocation ( IAM, NTM, Wu-Tang Clan, Mos Def, Dr. Dre, Snoop Dogg). Il ne s'interdit cependant aucun style citant pêle-mêle les Beatles, Red Hot Chili Peppers, Nirvana, Ben Harper, Francis Cabrel, Brassens et Moustaki. Un joli mélange.

"La musique est universelle, poursuit-il c'est une ouverture sur le monde. Il n'y a pas de bonne ou mauvaise musique. Il faut trouver la musique qui vous touche". Le déclic se produit sans doute alors qu'il est âgé de 12 ou 13 ans en écoutant une cassette de rap de son cousin. L'idée de créer sa propre musique germe doucement en lui. C'est ainsi que naturellement il collabore aux différents projets du rappeur Sefyu au sein du groupe N.C.C (Naturel Court Circuit).

Tout en prenant plaisir à évoluer au sein d'un collectif musical, "le besoin d'extérioriser quelque chose qui me ressemble" s'impose presque comme une évidence. Un univers personnel aux multiples couleurs entre hip-hop, folk et rock. Ainsi le projet "Entre Les Différences" prend forme en 2008 et pourrait connaitre un joyeux aboutissement à la rentrée prochaine.

Une dizaine de titres sont déjà enregistrés, tous chantés en français. Kuamen suit sa voie et sa voix au gré de ses envies... nous entraînant avec lui...    

Un grand merci à Kuamen pour notre rencontre un lundi de pâques ensoleillé et à Kasline qui a permis de l'organiser...

Retrouvez Kuamen sur sa page MySpace ici et sur Kuamen_Official .

Pour se quitter en musique, voici deux nouveaux titres qui expriment bien la diversité de la palette musicale de Kuamen.  Feel the good mood qui comme son nom l'indique (Sentir la bonne humeur) est vitaminé aux ondes positives. Yaya, chanson intimiste.

 
 

 

Stéphane Fleury

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 23 Mai 2011

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Ce qui frappe chez Kuamen c'est son sourire apaisé. Une sorte de sérénité profonde comme un fleuve abreuvé de multiples sources. Né en Angleterre d'une mère Mauricienne et d'un père Congolais, c'est vers l'âge de huit ans qu'il arrive à Aulnay-sous-Bois à la cité Emmaüs ou cité de l'Europe comme on l'appelle maintenant. De ce quartier populaire, il garde le souvenir "d'un esprit de solidarité" où se tissent des liens solides d'amitié. Il perçoit aussi les disparités entre Aulnay-Nord et Aulnay-Sud comme si c'était la même ville mais pas "la même planète".

Loin de se contenter de ce constat, il s'aventure dans tous les milieux avec une ligne directrice qui se forge au fil du temps : voir au delà des apparences, des différences... D'où le concept de son projet musical "Entre Les Différences" qui sonne comme une philosophie de vie et s'inspire de son métissage et de son vécu.

Présentation en musique avec deux premiers titres. Entre les différences, qui sonne comme le passeport musical de Kuamen. La douleur de Pacifico Ramirez, référence aux westerns et en particulier le bon, la brute et le truand de Sergio Leone.

   
 

 

 

 

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 20 Mai 2011

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Push up est un cocktail détonnant de cinq musiciens réunis pour l'amour du groove et de la "Great Black Music". La voix jazzy et puissante de la chanteuse Sandra Nkaké se marie au timbre de velours de Karl The Voice, le slam du poète Allonymous rencontre les rythmiques 70's de Jean Phi Dary, tout ceci soutenu par les flûtes envoûtantes de Jî Drû. Le premier album The Grand Day of Quincy Brown est un véritable hommage à la Blaxploitation, c'est la bande originale d'un biopic dans lequel nous faisons connaissance avec Qunicy Brown, fils spirituel de Foxy Brown et Quincy Jones. Véritables trublions de scène, les cinq mousquetaires de la funk feront vibrer le public du Cap d'une énergie furieuse. Push up the volume !

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Imany est imprégnée de la culture anglo-saxonne. A 19 ans, elle part s'installer aux Etats-Unis durant quelques années où elle cultive une admiration toute particulière pour les chanteurs soul charismatiques Tina Turner, Marvin Gaye, Billie Holiday ou encore Tracy Chapman. C'est dans le labyrinthe new-yorkais que la jeune chanteuse poussera ses premières notes tout en développant un style paré de mélodies soul folk simples et émouvantes. Après s'être produite en première partie d'Angie Stone, Sly Johnson ou encore plus récemment Ben L'Oncle Soul, c'est sur la scène du Cap qu'Imany viendra ravir les oreilles d'un public qui ne sera pas déçu du voyage.

 

Ce soir 21 heures à partir de 4 euros. Il reste encore des places ! Le Cap 56, rue Auguste-Renoir. Tél 01 48 66 40 38

Source : Le Cap musiques actuelles du monde. Programme avril, mai, juin 2011

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 13 Mai 2011

J'entends souvent dire qu'Aulnay-sous-Bois est une simple ville-dortoir de banlieue comme une autre. Pourtant, à regarder l'intense vitalité de ses activités culturelles il y a plutôt de quoi se réveiller ! Jugez plutôt avec le programme de ce week-end : ouverture du festival des pratiques artistiques amateurs à l'espace Jacques Prévert, chants de griots et folk africaine dans le cadre du festival "l'Afrique dans tous les sens" sur la scène du CAP sans oublier un retour vers le futur par l'intermédiaire des littératures imaginaires.

Petit tour d'horizon, non exhaustif, de ce qui se passe en ville... Et si vous sortiez de chez vous !

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Les amateurs de livres fantastiques pourront assouvir leur passion lors de la 2è édition des Futuriales, festival des littératures imaginaires, samedi à Aulnay. Des dédicaces, des tables rondes et une exposition sont organisées en présence de plusieurs écrivains, Eric Hostein, Jean-Philippe Depotte et Paul-Jean Hérault. Les prix Futuriales de la révélation adulte et de la révélation jeunesse seront remis en présence du lauréat 2010, Laurent Poujois. La compagnie des Cosmopodes viendra animer la journée par deux représentations de leur spectacle de rue, "les Marcheurs de l'espace".

Samedi 14 mai de 10h à 19h au parc Dumont. Entrée libre.

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Mah Damba est issue d'une famille de griots ("djelis" en bambara) respectés au Mali. Dans la tradition africaine, les griots chantent les louanges des grandes familles. Ici, dans un répertoire traditionnel mais  ouvert à la création, la grande djelimousso fera vibrer la scène du Cap de sa voix puissante, accompagnée par ngonis et guitares en tous genres.

Un pied dans la culture de ses ancêtres, l'autre dans le monde moderne, Kareyce Fotso est une artiste, globetrotteuse, pétrie d'un talent indéniable et dotée d'un timbre mûr. Elle bercera un public qu'elle sait conquérir par les chansons tant émouvantes qu'humoristiques de son album Kwegne, inspirées d'un répertoire blues.

Samedi 14 mai 20h30 à partir de 4 euros au CAP 56 rue Auguste-Renoir Tél : 01 48 66 40 38

panoramiquesL'espace Jacques Prévert accueille, quant à lui, du 14 au 20 mai 2011 le festival des pratiques artistiques amateurs. Au menu du théâtre, du chant, de la danse et du mime. Début samedi à partir de 14h, des jeunes présenteront des extraits de l'œuvre de Molière parmi le malade imaginaire, le Bourgeois Gentilhomme, l'Avare et les Précieuses Ridicules.

A partir du samedi 14 mai 14h. Entrée libre et gratuite à l'Espace Jacques Prévert. Renseignements au 01 48 68 00 22

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 28 Avril 2011

madjo.jpgCa coule de source, Madjo a la musique dans la peau. C'est peut-être Evian-les-Bains, ville où elle a grandi, qui lui a donné son timbre limpide et la fraîcheur de ses mélodies. En français comme en anglais, la jeune femme à la crinière féline compose ses textes à la lueur de ballades folk. Son premier album intitulé Trapdoor propose un univers onirique inspiré par l'écrivain Lewis Carool, fait de comptines amusantes et fantasmagoriques. Une petite merveille à découvrir ou redécouvrir.

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Bercée au rythme gospel des églises de Kampala, capitale ougandaise, la chanteuse Jaqee quitte son pays natal au début des années 90 et débute ses pérégrinations musicales en Suède où elle sort un premier album soul R&B en 2005 intitulé Blaqalixious. D'une personnalité originale et créative, Jaqee jongle avec les genres et les couleurs, sa voix élégante et son phrasé jazzy manient aussi bien les cadences trip hop que les courbes bluesy. Mais c'est dans un style mâtiné de reggae et de dub que Jaqee revient en 2010 avec un troisième album qui nous démontre une fois de plus toute la richesse et l'étendue de sa palette musicale !

 

Il reste des places. Vendredi soir 21h. A partir de 4 euros. Réservations au 01 48 66 94 60.

Source : Le Cap Musique Actuelles Du Monde. Programme Avril, Mai, Juin 2011

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 26 Avril 2011

Le Centre de Danse du Galion nous annonce la tenue d'une répétition publique le mercredi 27 avril 2011 à 15h. Il s'agit du spectacle de la compagnie Mood/RV6K intitulé, Rétention dont le chorégraphe Hervé Sika donne une description ci-dessous :

"Dans mon travail chorégraphique, je tente d'explorer dans la danse hip-hop des territoires nouveaux, de provoquer des ruptures avec mes bases arrières et d'interroger les a priori sur cette danse. Pour cela je m'empare d'un propos et je tente de lui donner corps.

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Dans Franchir allègrement, la précédente pièce de la compagnie, j'ai exploré l'idée de la traversée. Traversée d'une frontière que l'on se donne ou qui nous est imposée. Les danseurs traversaient le plateau de jardin à cours dans une répétition de mouvements.

Avec Rétention, j'irai à contre-pied de cette démarche car la rétention implique un état de corps qui se situe à l'arrêt, dans la retenue du mouvement au bord de l'explosion. Rétention est pour moi la position d'une personne qui retient quelque chose volontairement et dans un but précis. A partir de là deux choix sont possibles : laisser sortir et en assumer les conséquences, ou compter le temps où l'on va rester enfermé avec ce qu'on a retenu. Cet état va créer un environnement, un huis clos symbolique dans lequel le corps du danseur va pouvoir s'exprimer et laisser paraître ce qu'il a retenu jusqu'à maintenant.

Entrée libre. Réservation souhaitée. Renseignements : Centre de danse du Galion, Galerie Surcouf : 01 48 68 80 65

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 25 Avril 2011

Saint Sébastien de banlieue

Le coeur les seins percés de flèches

De fines et noires panthères lèchent

mes plaies quand je ferme les yeux

 

Et pourtant je chante dans le supplice

l’espoir d’une saison églantine de mai

L’avènement d’une ville coiffée d’ailes et d’astres

La roue dentelée du soleil tournant dans des orbites creuses

 

Puisqu’existe plus haut que la douleur une voix

fleuves tressés  -- pour nier le plomb des fatalités

qui réveille les cadavres endormis dans les sillons de la chair

Cadavres qui demain exploseront de ferveur et de joie.

 

 

                    André Laude

 

(Amicalement transmis par André Cuzon)

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 21 Avril 2011

Un drôle de cocktail se prépare au CAP, la salle de concerts d'Aulnay-sous-Bois. Pendant les vacances, vingt jeunes chanteurs de la veine rap des quartiers de la ville font leurs armes sur scène avec des musiciens venus du slam, du rap, mais aussi du rock. Avec Kohndo, un ex de la Clica, un groupe parisien des années 1990, en résidence au Cap, D'de Kabal, le rappeur-slameur de Bobigny, a accepté d'être de l'aventure. Ces ateliers, qui se terminent demain, aboutiront à "Be Live", un concert qui se jouera au Cap, le soir de la Fête de la musique, le 21 juin.

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"Il y a des moments de grande émotion" Kohndo, artiste en résidence

C'est au tour de Serya, la vingtaine timide, de se lancer. Le jeune homme scande ses textes accompagné d'une guitare, d'une batterie et d'un clavier. Dans la salle, le rappeur Kohndo, 36 ans, écoute, intervient, corrige. Autour de lui, les autres rappeurs amateurs suivent attentivement l'exercice en attendant leur tour. Depuis le 11 avril, ils ont pris le rythme de ces répétitions intenses. "Je voulais faire se rencontrer des univers différents, casser les barrières entre les genres, faire jouer sur une scène des gamins qui ont plus l'habitude de chanter dans leur hall ou d'improviser des enregistrements sur leurs ordinateurs, aux côtés de musiciens aguerris" explique le directeur de la salle, Stéphane Moquet.

"L'idée est de s'enrichir les uns les autres", confie Kohndo. "Je viens du hip-hop. Je suis imprégné de ses messages d'amour, de paix et d'unité", insiste le chanteur. Au Cap, il délivre ses conseils sans compter. "J'apprends aux jeunes à maîtriser leur souffle, placer leur voix, dire leur texte, détaille-t-il. Sur scène, la plupart découvrent leur rapport à l'autre, à la musique, à leur propre corps. Ce n'est pas évident de franchir le fossé. Et là, le défi est relevé. Il y a des moments de grande émotion", assure-t-il.

C'est encore un autre plaisir que vivent les musiciens en accompagnant ces artistes en herbe. "Je me sens toujours bien avec des jeunes. Ils sont enrichissants par leur regard neuf et leur approche simple de la musique", sourit David, le guitariste. Pour lui, tous les genres musicaux ont leur place et ont quelque chose à dire. " Le rap n'est pas a priori mauvais et le jazz ou le rock a priori bons parce qu'ils seraient plus complexes. Parfois on se rend compte que c'est dans le minimalisme que les choses les plus fortes ressortent."

Source : Marie-Pierre Bologna. Le Parisien du jeudi 21 avril 2011

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 19 Avril 2011

Ce matin je suis tombé sur ce petit encart dans Le Parisien. Six grands films à 3 euros à l'Espace Jacques Prévert d'Aulnay-sous-Bois. Une bien chouette initiative il est vrai.

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Le petit problème est que nous sommes aujourd'hui le 19 avril et que quatre des six films en question ont déjà été programmés ! En effet, Gainsbourg vie héroïque et The Ghost Writer étaient projetés les lundi 11 et mardi 12 avril, le nom des gens les mercredi 13 et jeudi 14 avril et rien à déclarer les jeudi 14 et vendredi 15 avril.

Cette annonce arrive donc un peu tard ! Nous pardonnerons bien volontiers à notre journal local cette petite étourderie sans doute due à une volonté appuyée de relancer le cinéma français qui passe un sale printemps avec des chiffres de fréquentation catastrophiques, comme décrit en page 30 du quotidien.

Ceci dit, et j'ai bien vérifié le programme, il reste quand même encore 2 films à voir pour 3 euros :

Des hommes et des dieux le jeudi 21 avril à 18h et le vendredi 22 avril à 20h45

Fighter en vo sous-titré le jeudi 21 avril à 20h45, le vendredi 22 avril à 18h15 et le samedi 23 avril à 18h15 puis 20h45.

Stéphane Fleury

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 18 Avril 2011

Le Centre de Danse du Galion nous annonce la tenue d' une répétition publique du spectacle Vertige d'elle, le mardi 19 avril 2011 à 15h30. Conseillé à partir de 12 ans. Entrée libre. Réservation souhaitée. (01 48 68 80 65).

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Dans Vertige d'elle, trio danse hip-hop dont la création est prévue fin 2011, la chorégraphe Claire Moineau s'inspire du texte "Les séparées" de l'auteur Pierre Notte que celui-ci a écrit tout particulièrement pour ce projet. Pierre Notte (plusieurs Molières, artiste associé du Théâtre du Rond Point) relève le défi d'écrire pour la danse avec comme sujet l'homosexualité féminine, thème que Claire lui a imposé.

"Il s'agira de quelqu'un qui n'est pas là.

D'un être parti, exactement. Il ne s'agira que de cela.

Il y aura trois voix de femmes. Trois désirs et trois corps de femmes.

C'est une histoire.

L'histoire simple qui les conduit, l'une et l'autre à se trouver chacun l'une de l'autre à l'exact bout du monde."

 

L'enjeu de la rencontre entre Claire et Pierre est de trouver des passerelles entre texte et danse, entre passion et séparation, entre manque et désir.

Dans sa nouvelle pièce Claire Moineau souhaite réaliser un travail sincère sur l'intime en espérant lever le tabou sur ce sujet de société.

 

 

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 15 Avril 2011

Premier groupe pop rock français révélé par le label participatif BuzzMyBand, The Enjoys sortent leur premier opus.

A la simple évocation du nom de leur groupe (de l'anglais enjoy qui signifie "s'amuser"), The Enjoys donnent le ton et affichent leurs ambitions : faire plaisir et se faire plaisir.

Formé de Hugo, Achille, Flavien et Aurélien, qui se sont rencontrés durant leurs études au Conservatoire régional de Paris puis à l’École nationale de musique d’Aulnay-sous-Bois, The Enjoys ont troqué violons et flûtes pour guitares et batterie, "Pour se détacher des codes stricts du classique, et jouer de la musique librement", comme ils aiment à le rappeler.

Quelque part entre les BB Brunes et les Dutronc père et fils , The Enjoys viennent de sortir leur premier opus éponyme, co-produit par le site BuzzMyBand et les internautes fans.

Voici quelques extraits vidéos du combo pour se mettre dans l'ambiance : un teaser, un titre acoustique et un clip...

Enjoy !

 

 

Source : Premiere.fr 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 12 Avril 2011

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Emmanuel Oponga, professeur au Centre de Danse du Galion, propose aux 8-12 ans de découvrir les bases de la danse hip-hop. Avis aux débutants et aux amateurs !

Cela se passe aujourd'hui de 14h à 15h30 au Centre de Danse du Galion, Galerie Surcouf. Renseignements au 01 48 68 80 65.

Une autre séance est également prévue le mardi 19 avril 2011 de 14h à 15h30.   

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 8 Avril 2011

Considéré comme l’un des plus grands vibrapho­nistes de jazz des années 60, Roy Ayers a ensuite été le leader du mouvement rythm’ and blues des années 70/80. Influencé par le son jazz-funk de Miles Davis et Herbie Hancock, Ayers a simplement créé le style acid-jazz avec des morceaux comme Everybody loves the sunshine et We live In Brooklyn Baby.

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Les adeptes les plus pointus de la fusion musicale et du hip-hop ont reconnu l’importance de ce créateur touche à tout en faisant souvent appel à lui. Il a joué, enregistré notamment pour Stevie Wonder, Lonnie Linston Smith, Groover Washington Jr, Herbie Hancock, Stanley Clarke, Galliano, The Roots. Il est aujourd’hui le deuxième artiste le plus samplé au monde après James Brown.

Roy Ayers a fêté ses 70 ans le 10 septembre dernier après avoir écumé les scènes européennes. Sur la route depuis une bonne dizaine d’années, le vibraphoniste ne semble pas décidé à ranger ses mailloches au grenier. Il est de passage au Cap pour un concert exceptionnel

Roy Ayers Acid-Jazz samedi 9 avril 20h30. Places à 10€, 8€ ou 6€.

Il reste une centaine de places. Réservation concerts au 01 48 66 94 60

Source : Le Cap musiques actuelles du monde. Programme Avril, Mai, Juin 2011

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 8 Avril 2011

La Fédération des libres penseurs de Seine-Saint-Denis organise une conférence-débat sur le thème : "Société multiculturelle ou République multiculturaliste ?"

Ce soir à 20 heures, salle du parc Dumont, avenue Gallieni. Entrée libre.

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                  "Autour des monuments pacifistes en France" - D. P. ROY - Page 128. "La Libre Pensée"

Source : Le Parisien du 8 avril 2011

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 6 Avril 2011

Le Centre de Danse du Galion, situé Galerie Surcouf à Aulnay-sous-Bois, nous annonce la tenue de cercle et ateliers de danse hip-hop le samedi 9 avril 2011.

 

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Le Cercle est un moment unique où les danseurs de tous âges et de tous niveaux - amateurs, professeurs ou professionnels - se retrouvent pour partager leur passion commune de la danse. Un cercle se forme autour d'un premier danseur qui improvise sur la musique, un second danseur le remplace, et ainsi de suite. L'occasion pour les élèves du Centre de Danse du Galion, leurs professeurs (Habiba Mahjoub, Emmanuel Oponga, Olivier Lefrançois, Didier Mayemba) et les danseurs de tous horizons de partager un instant de danse créatif et spontané !

 

Pour le Cercle rendez-vous le samedi 9 avril 2011 de 14h à 16h.

 

Ateliers de danse hip-hop   

Le danseur et chorégraphe de la Compagnie Par-Allèles Jamal M'Hanna convie les danseurs d'un niveau avancé (à partir de 15 ans) à se perfectionner aux différentes techniques de la danse hip-hop.

 

Pour les Ateliers de danse hip-hop rendez-vous le samedi 9 avril 2011 de 16h à 18h.

 

Pour tous renseignements tel : 01 48 68 80 65 Email : danseaul@wanadoo.fr

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 3 Avril 2011

Mais ces oligarques au fait, qui sont-ils, comment opèrent-ils pour asseoir leur pouvoir et faire plier les Etats ? Car il ne s'agit pas de fantasmer une organisation secrète qui comploterait dans l'ombre afin de liquider les démocraties. Non. Ce sont avant tout les acteurs d'un système, qui évoluent dans différentes sphères, qu'elles soient économiques, financières, politiques, médiatiques, intellectuelles, culturelles. Il ne s'agit donc pas d'un groupe social homogène et organisé mais de différents acteurs qui, du fait de leur position sociale, entretiennent d'étroites relations.

C'est ce que montrent Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot dans leur livre Le Président des riches. A partir d'une enquête sur le terrain hexagonal, les sociologues dévoilent les pratiques relationnelles de nos élites actuelles, qui se côtoient, organisent des rencontres les uns avec les autres, à l'occasion d'une soirée, d'un déjeuner, d'une fête etc., et développent un "collectivisme pragmatique" leur permettant de promouvoir et d'assurer leurs intérêts personnels (et pécuniaires). Et l'intérêt général ? Bof, ça rapporte quoi ?

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Et bien cela pourrait permettre d'éviter une dérive sécuritaire et autoritaire de l'Etat, qui ruinerait définitivement nos pratiques et aspirations démocratiques, comme l'analyse Anne SALMON dans son essai Les nouveaux empires, fin de la démocratie ? L'auteur interroge ici les rapports entre l'économique et le politique et le rôle de la puissance publique face à la (trop grande) puissance économique. Il est nécessaire de réguler l'économie, nous dit la sociologue, et pour ce faire l'Etat doit reprendre ses prérogatives de régulateur social.

Voilà donc de quoi alimenter notre réflexion sur l'état actuel de notre démocratie. Si la dérive oligarchique observée et analysée à travers ces cinq essais - d'œuvres de sociologues, économiste ou journaliste - remet en cause le principe même du système démocratique, sa structure reste néanmoins opérationnelle. Nous avons encore des institutions qui garantissent des droits et des libertés, nous avons toujours des capacités d'action, d'organisation, de mobilisation, d'imagination.

L'exemple récent des soulèvements populaires dans plusieurs pays arabes est d'ailleurs là pour nous rappeler que le fatalisme n'existe pas, quelle que soit la forme du pouvoir en place. Bien sûr, l'équilibre des forces est toujours fragile, et l'imperfection des systèmes politiques révèle toujours sa composante humaine.

Alors, citoyens, citoyennes, à vous de jouer...

Source : Aurélien Picot Gazette de Folies d'encre. Avril 2011.

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Publié le 2 Avril 2011

oligarchieL'oligarchie décrite et analysée par les intellectuels n'est pas une organisation ou système politique identifié en tant que tel. Le propre de cette oligarchie est d'être "invisible", c'est-à-dire sans structure apparente, sans hiérarchie, ni chef. C'est ce que mentionne Alain COTTA dans Le règne des oligarchies. L'auteur fait ici état du fonctionnement oligarchique de nos sociétés : partout sur la planète, le pouvoir est aux mains d'une poignée d'individus dans la sphère économique, financière, politique, sociale, médiatique.

Guidés par le seul appât du gain, les détenteurs du pouvoir économique et financier accroissent leur hégémonie en convertissant les élites politiques à l'idéologie du marché mondialisé et sans entrave (c'est-à-dire dérégulé). Le pouvoir de l'argent est sans partage et, tel un rouleau compresseur, semble avoir fait table rase de nos velléités démocratique. D'autant plus, nous dit Alain COTTA, que le citoyen a sombré dans une sorte d'apathie et se sent impuissant à opposer une quelconque résistance aux appétits dévastateurs des oligarques. Vous avez dit démocratie ? Un mythe.

Qui doit redevenir réalité, clame Hervé KEMPF dans L'oligarchie, ça suffit, vive la démocratie. Là aussi, l'auteur met en évidence (de manière très documentée) la main mise sur le pouvoir par une caste détentrice de capitaux (en gros les riches) qui entend bien accroître et défendre ses privilèges au détriment des populations. Point de démocratie donc, mais une oligarchie prédatrice et consciente de son pouvoir. Mais l'auteur ne s'arrête pas à  ce froid constat. Il invite en effet à réinventer la démocratie, à lui redonner sens et corps, bref à mettre fin au diktat des oligarques. Hervé KEMPF lie cette indispensable résurgence démocratique aux problèmes écologiques : la gestion de nos ressources et leur exploitation concerne l'ensemble des citoyens. C'est notre "bien commun" et doit donc occuper une place centrale dans nos démocraties.

Mais ce n'est pas le seul bien que nous possédons. Dans où est passé le bien commun ?, François FLAHAUT dépoussière cette antique notion et tente de la redéfinir par une approche plus concrète et plus exhaustive. Il s'agit ici de dépasser le cadre purement économique du bien (entendu le bien matériel et marchand, érigé en valeur suprême, mesurable, quantifiable et donc seul digne d'intérêt pour la sphère économique) pour se pencher sur les autres biens, matériels ou immatériels, existant dans la vie sociale, à titre individuel et collectif. La lutte face au pouvoir économique et son dogme marchand passe alors par la défense et la promotion de ces biens communs. (A suivre...)

Pour une discussion sur le thème de La démocratie, dans quel état ? Rendez-vous avec les sociologues Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon ce samedi à 17h à la libraire  Folies d'encre du 41 boulevard de Strasbourg à Aulnay-sous-Bois

Source : Aurélien Picot Gazette de Folies d'encre. Avril 2011.

 

 

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Publié le 2 Avril 2011

Il semblerait que nos démocraties modernes souffrent de quelques maux et se posent des questions existentielles. Qui suis-je ? Où vais-je ? Dans quel état j'erre ? Et plus fondamentalement : suis-je vraiment ?

Cette question est en effet au coeur de nombreux ouvrages actuels dans le domaine des sciences sociales. Les analyses critiques portent sur les rouages décisionnels de nos sociétés dites démocratiques. Leurs auteurs mettent en exergue les (trop grandes) connivences entre les élites économiques, financières et politiques, lesquelles prendraient alors des décisions sans tenir compte de l'avis des populations. L'intérêt particulier (de ces élites) prévaudrait systématiquement sur l'intérêt général, les acteurs économiques et financiers les plus puissants réussissant à influencer les politiques afin que ces derniers prennent des décisions en leur faveur.

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Il y aurait donc quelque chose de pourri au royaume de la démocratie ?

Mais revenons à la base. Démocratie : demos cratos, le pouvoir du peuple. Née à Athènes au Vème siècle avant J.C., cette conception du pouvoir politique entend donner au peuple une entière souveraineté dans la gestion des affaires de la cité. Dans un tel régime, le peuple doit décider souverainement et collectivement de son avenir, de sa destinée. Par peuple, il faut ici entendre les "hommes libres". La démocratie athénienne distinguait en effet l'homme libre, véritable citoyen prenant effectivement part aux affaires de la cité, et l'esclave qui, par définition, n'était pas libre et n'avait donc pas son mot à dire.

L'autonomie individuelle et collective est donc à la fois le principe et la finalité de la démocratie. Puisque le pouvoir n'appartient à personne en particulier mais au peuple en général, le régime démocratique s'oppose de fait aux autres formes de régimes tels que la théocratie, la monarchie, l'autocratie, la ploutocratie et... l'oligarchie.

Nous y voilà. C'est ici que le bât blesse. En fait de bas, il s'agirait plutôt de haut... du panier. L'oligarchie est un régime dans lequel le pouvoir est aux mains d'un petit groupe d'individus. En démocratie, le choix politique est fondé sur un principe égalitaire ( 1 citoyen = 1 voix) qui, couplé à un système de représentativité, permet aux voix majoritaires de mettre au pouvoir leur représentant, censé défendre l'intérêt général, c'est-à-dire celui du plus grand nombre. Le primat de l'intérêt général est donc normalement assuré par le vote des citoyens, qui conservent ainsi leur souveraineté.

C'est le système politique adopté par de nombreuses sociétés, dont la nôtre. Nos institutions sont effectivement démocratiques : le droit de vote est garanti, chacun peut s'exprimer, fonder un parti, etc. Dès lors, nous ne pouvons affirmer être dans un système oligarchique, institué et assumé en tant que tel. Et pourtant... (A suivre...)

Pour une discussion sur le thème de La démocratie, dans quel état ? Rendez-vous avec les sociologues Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon ce samedi à 16h à la libraire  Folies d'encre du 41 boulevard de Strasbourg à Aulnay-sous-Bois.

Source : Aurélien Picot Gazette de Folies d'encre. Avril 2011.

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 28 Mars 2011

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Après ces quelques semaines de relative tension autour des élections cantonales, le Centre de danse du Galion nous propose de prendre un peu de hauteur pour un voyage... là-haut.

Là-haut traite de la mort et de l'absence. Le spectacle ne porte pas pour autant un regard triste et pessimiste sur le sujet puisque l'accent est mis sur l'apprentissage d'une existence plus forte face à cette épreuve. Ainsi, sans ignorer ni minimiser l'importance et la violence de la mort, il s'agit de sublimer, transformer et recréer l'absence.

Par le biais de la danse et de la manipulation d'objets, la chorégraphe Magali Duclos sonde les différentes façons de combler l'espace vide, d'exprimer et de rendre physiquement concret l'être disparu devenu invisible.

"Cette pièce s'adresse aussi aux enfants. En effet, dés le plus jeune âge, nous sommes tous confrontés à une perte et à l'absence qui s'ensuit. C'est pourquoi il me semble si important d'aborder ces thèmes sous un angle poétique et ludique, notamment grâce aux objets manipulés qui intriguent et renforcent l'imaginaire des plus jeunes" nous dit  Magali Duclos.

C'est donc ce mercredi 30 mars 2011 à 15hoo au Centre de danse du Galion, Galerie Surcouf. Entrée libre. Réservation souhaitée. Renseignements au 01 48 68 80 65

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 26 Mars 2011

 

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Source : Le Parisien du 26 mars 2011

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 24 Mars 2011

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C'est l'histoire de Grand Bébé. Il est encore dans le ventre de sa mère et se prépare à sortir et à quitter sa pantoufle confortable pour découvrir la vie. Je suis une fille ou un garçon ? Qu'est-ce qui m'attend dehors ? Il s'interroge et imagine le monde qui s'apprête à le recevoir. Pour la première fois, Claude Ponti, avec toute sa fantaisie, écrit pour le théâtre. La star de la littérature pour enfants nous offre ce joli spectacle coloré, à voir en famille.

"La Pantoufle" Vendredi 25 mars 20h30 à l'espace Jacques Prévert. Tarif : 4,8 et 9,50 euros. Tél : 01.48.68.08.18

Source : Le Parisien du 24 mars 2011

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 23 Mars 2011

La nouvelle vague de l'afro-beat débarque au Cap pour une soirée torride pleine de cuivres, de percussions ravageuses et de grooves puissants. Depuis sa création à Ottawa, au Canada, en 2002, le Soul Jazz Orchestra est devenu l'un des groupes les plus ravageurs de son genre. Renouvelant les grooves purs et durs des années 1960 et 1970 et fusionnant sans effort les rythmes soul, l'improvisation jazz et les pulsations africaines, le combo fait évoluer les fondations établies par Fela, Fania et le funk de façons complètement nouvelles. En concert, le Soul Jazz Orchestra est avant tout une invitation à la danse, servie par des interprètes talentueux et des cuivres endiablés.

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Originaire de Montpellier, Fanga ("force de conviction" en dioula) évolue aussi à la croisée de l'afro-beat, du jazz et du funk, jouant une musique éminemment spirituelle enrichie d'influences hip-hop et d'électro agglomérées en puissantes tourneries inspirées des rythmiques yorubas. Au micro, Korbo rend hommage à sa culture mandingue en chantant aussi en français et en dioula.

Source : www.aulnay-sous-bois.com

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 18 Mars 2011

La librairie Folies d'encre, située 41 boulevard de Strasbourg à Aulnay-sous-Bois, organise un concours de textes destiné aux jeunes de 12 à 18 ans. Il s'agira d'écrire un texte de deux à cinq pages inspiré de l'univers de Maëlle Fierpied. Voici un extrait tiré du roman Chroniques de l'Université invisible.

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Le texte et le règlement du concours sont à retirer à la librairie. Date limite des inscriptions : le 31 mars 2011. La remise des prix est prévue le mercredi 6 avril en présence de Maëlle Fierpied.

Pour plus de renseignements vous pouvez contacter la librairie au numéro suivant : 01-48-66-12-85

Stéphane Fleury

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Rédigé par Stéphane Fleury

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