Publié le 25 Mai 2011
Hier c'était mardi et une soirée tranquille au coin du feu se profilait à l'horizon. Lorsque mi media naranja (ma moitié d'orange) lance vers la fin du repas : " mais au fait aujourd'hui ce n'est pas l'heure musicale !?". Au lieu de faire profil bas, je confirme en opinant du chef et ajoute que c'est même un spécial contes pour enfants... (J'ai lu la note de Jean-Gauthier dans l'après-midi ici). Enthousiasme général autour de la table. La suite on la connait, tout le monde se prépare en vitesse et direction l'école de musique située 12 rue de Sevran à Aulnay-sous-Bois.
Au programme donc, deux contes musicaux pour enfants. Le premier s'intitulait : le tyran, le luthier et le temps. C'est l'histoire d'un tyran assoiffé de pouvoir qui veut contrôler tous ses sujets. Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé ne serait bien sûr que pure coïncidence ! Toujours est-il que pour asseoir son emprise sur le peuple, le tyran cherche un moyen pour contrôler l'information et savoir tout ce qui se dit et se fait. Il rencontre alors un luthier aux pouvoirs magiques qui lui propose de maîtriser le temps à l'aide d'un simple métronome.
Le conte plonge ensuite dans le fantastique. Celui qui actionne le métronome créé un décalage temporel lui permettant de ralentir le cours des événements du monde environnant. Le tyran en profite alors pour passer de rues en rues, de maisons en maisons afin d'observer, écouter et savoir tout de son peuple. Grisé par le mécanisme, le tyran oublie qu'en contrepartie le temps s'accélère pour lui de façon vertigineuse. Il vieillit très vite et finit par mourir...
Voici un extrait... Ambiance...
Dans la note suivante je reviendrai sur le second conte intitulé le p'tit bonhomme des bois




L'espace Jacques Prévert accueille, quant à lui, du 14 au 20 mai 2011 le festival des pratiques artistiques amateurs. Au menu du théâtre, du chant, de la danse et du mime. Début samedi à partir de 14h, des jeunes présenteront des extraits de l'œuvre de Molière parmi le malade imaginaire, le Bourgeois Gentilhomme, l'Avare et les Précieuses Ridicules.









L'oligarchie décrite et analysée par les intellectuels n'est pas une organisation ou système politique identifié en tant que tel. Le propre de cette oligarchie est d'être "invisible", c'est-à-dire sans structure apparente, sans hiérarchie, ni chef. C'est ce que mentionne Alain COTTA dans Le règne des oligarchies. L'auteur fait ici état du fonctionnement oligarchique de nos sociétés : partout sur la planète, le pouvoir est aux mains d'une poignée d'individus dans la sphère économique, financière, politique, sociale, médiatique.


