Une semaine jour pour jour sépare les deux photos ci-dessous. La guerre en Ukraine semble donc bien faire exploser le prix de l’essence à Aulnay-sous-Bois et ailleurs.
Ainsi, dans la Station BP du Vieux-Pays, le sans plomb 95 passe de 2,069 euros le litre à 2,299. L’Ultimate Diesel passe de 2,239 euros le litre à 2,529 euros. Enfin, le Gasoil passe de 2,319 euros le litre à 2,429 euros. L’augmentation atteint donc près de 30 centimes du litre en l’espace de 7 jours.
Les chiffres records du plein de carburant laissent présager une recrudescence des vols dans les réservoirs. En Ile-de-France et dans l’Oise, les professionnels du secteur sont sur le qui-vive. Mais les particuliers ne sont pas épargnés et doivent aussi parfois réparer les dégâts sur la trappe d’essence de leur véhicule.
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Même si elle semble bien loin de nous, la guerre entre la Russie et l’Ukraine parait produire des effets collatéraux très perceptibles localement. Ainsi, à Aulnay-sous-Bois, le prix de l’essence flambe comme dans la station BP située rue Jacques Duclos dans le quartier Vieux-Pays.
Les tarifs affichés donnent le tournis : 2,239 euros le litre d’Ultimate Diesel, 2,139 euros le litre de Gasoil et 2,069 euros le litre de sans plomb 95.
Ainsi, par exemple, en mettant 34,32 litres de sans plomb 95 dans son réservoir, la note totale s’élève à 71,01 euros. Un chiffre totalement ahurissant. D’où cette question : à ce rythme là, la barre des 3 euros le litre va-t-elle être franchie ?
Le site Actu.fr à recenser le prix des carburants en Seine-Saint-Denis au 1er mars 2022. A Aulnay-sous-Bois, c’est Carrefour qui reste le moins cher. Voir la liste ci-dessous :
Les cinq stations où le gazole est le moins cher :
Carrefour Aulnay-sous-Bois : 1,724 euro le litre au 26 février ;
Cora de Livry-Gargan : 1,729 euro le litre au 25 février ;
Total, aire de La Courneuve Ouest, A1 Lille-Paris : 1,739 euro le litre au 25 février ;
Simply Market de Villepinte : 1,741 euro le litre au 25 février ;
Auchan Aubervilliers : 1,742 euro le litre au 25 février.
Les cinq stations où l’essence SP95-E10 est la moins chère :
Cora de Livry-Gargan : 1,759 euro le litre au 25 février ;
Carrefour Sevran : 1,761 euro le litre au 25 février ;
Carrefour Aulnay : 1,761 euro le litre au 25 février ;
Auchan de Montfermeil : 1,761 euro le litre au 25 février ;
Total, aire de La Courneuve Ouest, A1 Lille-Paris : 1,782 euro le litre au 25 février.
Article complet de Actu.fr à lire en cliquant : ici
Cette semaine, le maire Bruno Beschizza a adressé un courrier au premier ministre Jean Castex pour l’alerter sur les conséquences de la crise du secteur de l’agro-alimentaire qui a un impact direct sur le budget des Français, mais aussi des collectivités locales.
Nous assistons à une augmentation des délais de livraison et des ruptures de stocks, ainsi qu’à une envolée du prix des matières premières et des denrées alimentaires.
Cette inflation pourrait avoir un réel impact sur les marchés passés avec nos prestataires, sur la qualité des repas servis et sur le respect de la loi EGALIM qui impose notamment un nombre important de produits issus de filières de qualité ou de productions biologiques.
Certaines collectivités ont fait le choix de passer à des repas froids, ou d’arrêter les services de restauration. Nous ne pouvons pas nous résoudre à en arriver à de telles extrémités.
C’est pourquoi le maire sollicite des mesures d’urgence auprès de l’Etat, notamment une augmentation des dotations aux collectivités, afin de permettre une continuité des services de restauration municipale.
Le prix de l’essence continue d’augmenter inexorablement. Ainsi, le litre de sans plomb 98 est affiché à 1,999 euros à la station BP située 370 rue Michel Ange à Aulnay-sous-Bois. Un record sans précédent.
Pourtant, les voitures se bousculaient à la pompe, noyées dans les fumées des pots d’échappement.
Moralité : 1) la société de l’après-automobile n’est pas pour demain. 2) même à 3 euros le litre on continuerait de rouler 3) où sont passés les gilets jaunes ?
A chaque mois son impact sur le portefeuille des Français. Hausse du taux du livret A de 0,5 à 1 %, prime inflation, mais aussi hausse de prix des péages et de l’électricité, voici tout ce qui change à partir du mardi 1er février 2022 : ici
Créé en juin 2020, le Fonds Résilience a aidé, à hauteur de plus de 133 millions d’euros, plus de 7.000 TPE et PME franciliennes à faire face à la crise sanitaire. Pour leur permettre de poursuivre la relance de leur activité économique, la Région renonce au remboursement de sa part de la dette, de l'ordre de 37,5 millions d'euros.
Selon certains sondages il paraitrait que le pouvoir d’achat est une des préoccupations majeures des Français en ce moment et donc un thème à traiter par les candidats à l’élection présidentielle de 2022.
Si Emmanuel Macron et le gouvernement Castex ont réussi à contenir l’augmentation de l’électricité en obligeant EDF à vendre à prix cassé à ses concurrents, ce qui fera tout de même perdre 6 à 7 milliards d'euros à l’entreprise détenue à plus de 80% par l’Etat, ils semblent impuissants face à la montée continue du prix des carburants.
Ainsi, par exemple, en fin d’après-midi à la station BP du Vieux-Pays à Aulnay-sous-Bois où les véhicules se bousculaient, les prix affichés de l’essence donnaient le vertige. 1,929 euros le litre d'Ultimate Diesel, 1,829 euros le litre de Gasoil, et 1,839 euros le litre de sans-plomb 95. En faisant la conversation en francs, on est à environ 12 francs le litre.
Mais visiblement cela n’a l’air d’inquiéter personne. Même les gilets jaunes, dont le mouvement s’est structuré autour de la flambée des carburants, semblent endormis par la crise du Covid-19. Dans ces conditions, et pour le moment, Emmanuel Macron prépare tranquillement le scénario qui doit conduire à l’annonce de sa candidature pour une réélection.
Dès lors, avant le premier tour de l’élection présidentielle le 10 avril prochain, à l’instar de l’Angleterre et du Danemark par exemple, monsieur Macron devrait annoncer la fin des mesures restrictives liées à la pandémie. Il passera alors pour le sauveur des Français. Du reste, sa gestion de la crise sanitaire est saluée jusque dans la presse américaine, notamment le très important New York Times, qui considère qu’avec le quoi qu’il en coûte la France s’en est mieux sortie que les autres pays de la zone euro. De ce fait, la relance économique est plus forte en France et elle s’accompagne d’une baisse massive du chômage.
Ainsi, en apparence en tout cas, le président de la République se dégage la route pour le premier tour des élections présidentielles. La campagne électorale ne décolle pas, noyée qu’elle est dans la Covid-19. Il n’y a quasiment plus de manifestations dans les rues. L’explosion des prix des carburants ne provoque pas une seule réaction. Et même la dette publique de 2 834 milliards d’euros, dont personne ne parle, et qui garantit pourtant un serrage de ceinture sans précédent pour les Français après le second tour du scrutin présidentiel, passe sous les radars. Comme si les Français étaient blasés, endormis, résignés, anesthésiés ou calmés par la pluie des chèques signés Macron qui tombe en continue depuis la fin de l'année 2021 tout en cramant la caisse.
Rien n’est évidemment encore gagné pour lui, mais s’il est réélu le 24 avril prochain, Emmanuel Macron aura réussi un exploit exceptionnel. Tel un vaccin enivrant il aura été celui qui apaise, assomme et étourdi les Français…
Qui dit nouvelle année dit changement. Alors comme dirait l’autre, au 1er janvier 2022 le changement c’est maintenant !
Prix du timbre, Smic, crédit immobilier, retraites, impôt sur le revenu, taxe foncière, taxe d’habitation, tarifs des autoroutes, livret A… toutes les informations utiles sont disponibles en cliquant : ici
Les automobilistes voient le montant de leur plein d’essence croître de jour en jour. Ces derniers jours, le prix des carburants atteint des niveaux record. Samedi 8 octobre 2021, le gazole se vendait en moyenne 1,5354 euro le litre en France. Dans ce contexte morose pour le porte-monnaie, quelles sont les stations qui affichent les prix les moins chers de Seine-Saint-Denis ?
La moins chère à Stains, la plus chère à Saint-Ouen
C’est à la station essence du Carrefour de Stains, boulevard Maxime Gorki, que le prix à la pompe est le plus bas pour le litre de gazole (1,489 euros), du sans-plomb 95-E10 (1,568 euros) et du sans-plomb 98 (1,657 euros), selon le site gouvernemental Prix-carburants.gouv.
A l’inverse, la station Esso, boulevard Victor Hugo à Saint-Ouen affiche les prix les plus élevés du département pour le gazole (1,840 euros) et le sans-plomb 98 qui frôle les deux euros avec un prix au litre de 1,980 euros.
Les prix les moins chers pour le gazole
Carrefour Stains : 1,489 euros
Cora Livry-Gargan : 1,529 euros
Carrefour Sevran : 1,543 euros
Carrefour Aulnay-sous-Bois : 1,544 euros
Total Access Stains : 1,546 euros
Auchan Montfermeil : 1,546 euros
Carrefour Drancy : 1,549 euros
Leclerc Epinay-sur-Seine : 1,549 euros
Esso du Champy Noisy-le-Grand : 1,553 euros
Carrefour Livry-Gargan : 1,554 euros
Les prix les moins chers pour le SP95-EP10
Carrefour Stains : 1,568 euros
Cora Livry-Gargan : 1,579 euros
Carrefour Sevran : 1,592 euros
Carrefour Drancy : 1,604 euros
Esso du Champy Noisy-le-Grand : 1,605 euros
Total Access Stains : 1,609 euros
Carrefour Aulnay-sous-Bois : 1,609 euros
Leclerc Epinay-sur-Seine : 1,610 euros
Auchan Montfermeil : 1,618 euros
Esso Aéroport Le Blanc-Mesnil : 1,619 euros
Les prix les moins chers pour le SP98
Carrefour Stains : 1,657 euros
Cora Livry-Gargan : 1,659 euros
Carrefour Sevran : 1,659 euros
Esso du Champy Noisy-le-Grand : 1,689 euros
Leclerc Epinay-sur-Seine : 1,695 euros
Total Access Villepinte : 1,698 euros
Carrefour Aulnay-sous-Bois : 1,698 euros
Intermarché Livry-Gargan : 1,699 euros
Carrefour Drancy : 1,700 euros
Auchan Montfermeil : 1,705 euros
Article complet d’Actu.fr à lire en cliquant : ici
Le premier ministre Jean Castex doit se rendre aujourd’hui à Bobigny pour signer un protocole de renationalisation du RSA, un « événement » annoncé avec tambour et trompette dans les colonnes du journal Le Parisien (lire ici) et le site Actu 93 (lire là).
Ce simple tour de passe-passe budgétaire présenté comme une bonne nouvelle ne devrait pourtant pas faire oublier l’essentiel. La dette publique de l’Etat s’établissait à 2 739 milliards d’euros au premier trimestre 2021 soit 118,2 % du PIB, tandis que la dette du département de la Seine-Saint-Denis se chiffrait à 1,7 milliards d’euros !
Dans cette opération on a donc l’impression que l’Etat en faillite vole au secours du département de la Seine-Saint-Denis en ruine !
Mais oublions cela, car heureusement le bon peuple sait que nos décideurs politiques sont des hommes et des femmes éclairés dont les actions n'aspirent qu'au plus grand bien de tous !
Renationalisation du RSA
« Pour valoriser les atouts du département de Seine-Saint-Denis et répondre à ses difficultés, l’État investit massivement dans le cadre du plan « Un État fort en Seine-Saint-Denis », présenté dès 2019″, affirme le cabinet du Premier ministre.
Parmi les mesures annoncées il y a deux ans, la prime pour les fonctionnaires de ce département et l‘arrivée de nouveaux policiers. L’an dernier, Jean Castex se réjouissait notamment du déploiement de 25 policiers supplémentaires à Saint-Ouen.
A l’ordre du jour de cette nouvelle visite, la renationalisation du RSA, réclamée par le président du Département, Stéphane Troussel. « Dans la continuité de ce Plan, le Gouvernement et le département de Seine-Saint-Denis ont trouvé un accord sur l’expérimentation de la recentralisation du financement du revenu de solidarité active (RSA) », annonce le cabinet.
Source articles : journal Le Parisien et site internet Actu 93 / Source photo : Wikipédia
[BUDGET 2021] Engagement tenu : cette année encore, la ville d’Aulnay-sous-Bois n'augmente pas vos impôts ! Grâce à une meilleure maîtrise des deniers publics depuis 2014, la Municipalité maintient le cap afin de préserver votre pouvoir d'achat.
Source information et image : page Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois
En France, le « budget genré », ou « budgétisation sensible au genre » débarque, brandi telle une arme contre les discriminations hommes-femmes par des élus locaux, socialistes, communistes et écologistes.
Concrètement, il s’agit d’« analyser les conséquences directes et indirectes des dépenses et des recettes publiques sur la situation respective des femmes et des hommes », précise une note de la Direction générale du Trésor.
Plusieurs villes, dont Montreuil (Seine-Saint-Denis), Brest (Finistère), Rennes (Ille-et-Vilaine), et Lyon (Rhône) ont décidé de mettre en œuvre la mesure. Paris y réfléchit aussi.
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Les chiffres se superposent. Et donnent le vertige. « 20 milliards d'euros sont prévus entre 2021 et 2027 pour le plan de relance régional économique, écologique et solidaire, dont 5,5 milliards en 2021 et 2022, annonce Valérie Pécresse, la présidente (Libres!) de la région Ile-de-France. Il faut ajouter aussi 4 milliards déployés pour la formation. C'est le plus gros investissement régional, mais c'est normal car l'Ile-de-France a été la zone la plus touchée par la pandémie. »
Présenté en visioconférence aux acteurs franciliens ce mercredi, ce plan de relance Etat-région (auquel le conseil régional donne réellement pour sa part 13,8 milliards d'euros) pour faire face à la crise sanitaire et ses conséquences devait être signé ce jeudi matin. « C'était un réel besoin, une nécessité », savoure le président de la Chambre de commerce et d'industrie du Val-d'Oise.
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Source information : journal Le Parisien / Image : compte Twitter de Valérie Pécresse
Pour tout achat de vélos et véhicules électriques, la Métropole du Grand Paris, dont fait partie la ville d’Aulnay-sous-Bois, vous propose des subventions.
Pour savoir comment bénéficier de ces aides cliquez : ici
Source information et image : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois
[ENTREPRISES] Vous êtes une TPE, une association ? Vous avez besoin d'aide pour vous relever ? Avec le Fonds Résilience de la Région Ile-de-France, bénéficiez d'une avance remboursable à taux zéro de 3 000 à 100 000 € pour une durée allant jusqu'à 6 ans.
Lancé en 2020 avec la participation de Paris Terres d’Envol, ce dispositif est renouvelé pour 2021. Déposez votre dossier avant le 17 mars prochain en cliquant : ici
Source information et image : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Ce n’est pas un mince exploit compte-tenu de l’état déplorable dans lequel la gauche Aulnaysienne, menée par le socialiste Gérard Ségura, l’écologiste Alain Amédro et le communiste Miguel Hernandez, avait laissé les finances de notre commune en 2014.
Et pourtant c’est bien le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, qui l’a accompli : la capacité de désendettement de la ville d’Aulnay-sous-Bois passe sous la barre symbolique des 10 ans !
Comme vous pouvez le constater sur le graphique issu du compte administratif de 2019 (voir ci-dessus), l’évolution est spectaculaire entre 2017 et 2019, la durée de remboursement de la dette passant de près de 18 ans à moins de 10 ans.
Cet excellent résultat concrétise le redressement des comptes de la ville impulsé par Bruno Beschizza. En maîtrisant ses dépenses de fonctionnement, la commune a considérablement augmenté son épargne brute qui, à plus de 15 millions d’euros, retrouve un niveau supérieur à l’année 2010.
Rappelons, enfin, que l’objectif défini dans le contrat de maîtrise de la dépense publique signé avec l’Etat est plus que respecté, puisque celui-ci fixait un plafond de 13,51 années en 2019.
En faisant mieux que l’objectif fixé par l’Etat, en passant sous le seuil critique des 12 ans, puisque la capacité de désendettement de la commune est de 9,86 années en 2019, le maire Bruno Beschizza prouve qu’il gère les finances de la ville d’Aulnay-sous-Bois en bon père de famille…
[SOLIDARITÉ] Sur proposition du Maire Bruno Beschizza, le conseil municipal du mercredi 8 juillet a voté 2 mesures en faveur du pouvoir d'achat des familles d'enfants porteurs d'un handicap. Objectif : une tarification plus juste, plus équitable et plus simple !
Modification du calcul du quotient familial afin de ne plus tenir compte des prestations sociales perçues en faveur des enfants porteurs d’un handicap.
Modification de la tarification des centres de loisirs pour les enfants en situation de handicap suivis par des auxiliaires d'intégration et accueillis en demi-journées.
Source information et image : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois
« Sans aide urgente et conséquente de l'Etat, je ne vois pas comment les villes vont pouvoir tenir le coup! » A la mi-mai, après deux mois de confinement pour enrayer l'épidémie de Covid-19, Laurent Russier, maire PCF de Saint-Denis, fait ses comptes. Conclusion sans appel : entre l'achat de masques, de gel hydroalcoolique, la protection des agents, ou l'absence de recettes… la crise a déjà coûté très cher à la collectivité, premier rempart des citoyens contre la contamination.
Un constat partagé dans de nombreuses villes de Seine-Saint-Denis, qui ont engagé parfois plusieurs millions d'euros pour s'astreindre aux mesures sanitaires. Et certaines économies effectuées, comme l'annulation d'événements festifs, font à peine redescendre la note.
Ainsi, à Saint-Denis, la plus grande ville du département avec 115 000 habitants, l'ardoise globale de la gestion du Covid-19 entre la mi-mars et la mi-mai dépasse les 5 millions d'euros (M€), dont 3 M€ de dépenses imprévues.
Masques et chèques alimentaires
Principal poste de dépense : « 1,2 M€ de chèques alimentaires distribués aux familles les plus modestes, qui, délestées d'une partie de leurs revenus à cause de la crise, n'arrivaient plus à se nourrir », explique Laurent Russier, qui a aussi dépensé 650 000 euros de masques chirurgicaux et 150 000 en tissu, 380 000 euros en protections diverses (gel, gants, barrières en plexiglas…)
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Les tarifs réglementés de vente du gaz appliqués par Engie à des millions de foyers français baissent de 4,4% à partir du 1er avril
Allocations
AAH (allocation adulte handicapé), prime d'activité, et l'ensemble des allocations familiales seront revalorisées de 0,3%.Le RSA (revenu de solidarité active) doit lui aussi être revalorisé à hauteur de +0,9% pour s'établir à 564,78 euros maximum, au lieu de 559,74 euros actuellement.
Pour les demandeurs d'emploi en fin de droits, ils voient leur indemnisation continuer en avril.
Reporté :
Assurance chômage: le deuxième volet de la réforme de l'assurance chômage est reporté au 1er septembre 2020
Allocation logement : alors que la réforme prévoyait de compter les revenus actuels des bénéficiaires (et pas ceux d'il y a deux ans), ce calcul est repoussé.
Expulsions interdites: la fin de la trêve hivernale prendra exceptionnellement fin deux mois plus tard, le 31 mai.
Le journal Le Parisien consacrait hier un long article sur la situation financière de la ville.
Chacun garde en mémoire que la gauche réunie (Parti Socialiste, Verts-Ecologistes, Parti Communiste, Parti Radical de Gauche), autour de Gérard Ségura, a fait exploser la dette entre 2008 et 2014, celle-ci passant de 36 millions d’euros à 106 millions d’euros ! Soit une augmentation de 70 millions d’euros en seulement 6 ans !
Depuis son élection en 2014, le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, a largement enrayé cette progression. Ainsi, à fin 2018, la dette se situe à 131 millions d’euros. Sachant que, dans le même temps, la baisse des dotations de l’Etat décidée par François Hollande et Emmanuel Macron a fait perdre à la commune 26 millions d'euros de recettes, le résultat est donc plutôt remarquable.
En effet, sans la perte des 26 millions d'euros de recettes de l’Etat, l’encours de dette de la ville n’aurait pas progressé d’un centime d’euros entre 2014 et 2018 !
Vous pouvez prendre connaissance de l’article du journal Le Parisien en cliquant : ici
Source article : journal Le Parisien / Source photo : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Les 18-30 ans qui souhaitent bénéficier d’une aide au permis de conduire, accordée en contrepartie d’un engagement associatif, ont entre le 13 et le 24 janvier 2020 pour faire acte de candidature.
Parce que le permis constitue un atout important d’accès à l’emploi et à l’autonomie, la Ville d'Aulnay-sous-Bois et l’Établissement public territorial (EPT) Paris Terres d’Envol, avec la participation du Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), financent, à hauteur de 1 000 €, l’obtention du permis pour les jeunes Aulnaysiens âgés de 18 à 30 ans.
En contrepartie, les personnes qui seront retenues en ayant motivé l’utilité du permis dans leur parcours professionnel et personnel doivent s’engager bénévolement pendant 70 heures, dans une activité citoyenne menée au sein d’une association.
Les dossiers de candidature sont à retirer et à retourner à l'accueil de la Direction de l'éducation au 22 Boulevard Gallieni, du 13 au 24 janvier 2020. Une commission chargée d’étudier les dossiers se réunira à l’issue de cette période.
Retrait des dossiers : À l'accueil de la Direction de l'éducation Adresse : 22 Boulevard Gallieni Horaires :
Du lundi au vendredi, de 8h30 à 12h - 13h30 à 17h30.
Une vidéo ludique ci-dessous vous en dit plus.
Source information et image : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois