Publié le 10 Décembre 2010

S’inspirer du Bouthan ?

 

J’ai toujours nourri une certaine affection pour les civilisations d’Orient avec ce que cela peut signifier de raffinement, de distinction et de sagesse.

 

A l’heure où l’on s’interroge donc sur les effets d’une société matérialiste en proie à la violence, à la drogue et à une certaine forme de déshumanisation, il m’a paru intéressant d’ouvrir une fenêtre sur un tout petit pays de 700 000 habitants, le Bouthan, situé entre l’Inde et la Chine, qui a érigé en principe la recherche non du P.I.B. (Produit Intérieur Brut) mais celle du B. N. B. (Bonheur National Brut).  Qu’est-ce donc que tout cela ?

 

Des idées très simples. Quand nous sommes prisonniers d’un embouteillage dans nos voitures, nous consommons de l’essence en pure perte, mais cela participe du P.I.B. Quand nous sommes victimes d’un vol, nous mettons à contribution notre assureur et cela participe aussi du P.I.B.  Quand l’alcoolisme et la prise de drogue conduisent directement à l’hôpital, cela participe encore du P.I.B. Quand la délinquance nécessite le déploiement de policiers ou la construction de prisons, cela participe toujours du P.I.B. On pourrait multiplier les exemples à l’infini….

 

C’est la raison pour laquelle une commission réunie par N. Sarkozy en 2007  et dirigée par deux prix Nobel d’économie (J. Stiglitz et A. Sen) et un économiste français ((J.P.Fitoussi)  s’est penchée sur les limites de cette notion en proposant différentes pistes d’évolution. Celles-ci, réunies en une série de critères, font en ce moment l’objet de débats au sein de l’Union Européenne. Parallèlement l’OCDE a mis sur les rails un « projet global » dont le but affiché est « d’aller au-delà du P.I.B. ». Les Britanniques de la New Economics Foundation ont développé le « Happy  Planet Index », les Canadiens l’ « indice du progrès authentique » et aux Etats-Unis, un nouveau système baptisé « state of the USA » propose des centaines d’indicateurs clés touchant à la santé, l’éducation, l’environnement, le crime, l’énergie, etc. Gadget ou véritable ouverture vers un dépassement des contradictions de notre système ?

 

Quoi qu’il en soit, le B.N.B. Bouthanais, mis au point par le Centre des Etudes bouthanaises, se distingue par le vaste éventail des domaines explorés, au  nombre de neuf – bien-être psychologique, environnement, santé, éducation, culture, niveau de vie, usage du temps, activités sociales et bonne gouvernance – qui sont analysés à l’aide de 72 indicateurs agrégés en un indicateur unique qui sert de référence à la politique menée dans le pays.

 

Il n’est pas question de comparer ce qui n’est pas comparable, mais il y a certainement des enseignements à tirer d’une telle vision.

 

Un travail épanouissant, un habitat à visage humain, un environnement préservé, une nature respectée, un accès à la culture facilité, une santé physique et psychique préservée, une éducation et des liens sociaux de qualité, des services publics au service de tous, une gouvernance équilibrée et respectueuse des citoyens.  N’est-ce pas au fond tous les thèmes qui seront abordés par l’Agenda 21 ? Et si l’on passait alors des discours aux actes ?

 

Pourquoi alors, pour symboliser une telle démarche, ne pas jumeler Aulnay-sous-Bois avec Timphu, la capitale du Bouthan qui ne compte que 100 000 habitants ?  Une idée parmi d’autres, à condition qu’elle ne soit pas un gadget de communication, mais bien un engagement sincère et exigeant au service d’une certaine vision de la vie en société. Une façon de se projeter dans ce XXI ° siècle naissant, en tenant compte des errements du passé et des exigences du futur.

 

Et si on se souciait à travers ce geste de dégager les voies et moyens d’une sorte de  « Bonheur Municipal Brut » ? 

 

Vous avez dit « utopie » ? Pas si sûr ! Peut-être simplement, sur la base d’une véritable conscience des enjeux de demain, une sorte de « révolution culturelle ou spirituelle » nouvelle manière ?

 

 

Veritis.

 

Source : Ursula Gauthier. Le Nouvel Observateur du 2 décembre 2010.

 

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 9 Décembre 2010

Les événements climatiques sont du pain béni pour les blogs... Plus la peine d'écrire... Quelques clichés et le tour est joué...

parcgainville.JPGLe Parc Gainville. Qui permet de bien se rendre compte de l'épaisseur de neige tombée. Il a semble-t-il été fermé toute la journée. Sans doute pour éviter la pagaille !

 

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Oh la belle affiche accrochée sur une des grilles du parc Gainville ! Le jeu des 1000 euros de France-Inter est en visite mercredi à Aulnay-sous-Bois à 18h30 au Conservatoire de musique et de danse à rayonnement départemental, 12 rue de Sevran. Habituellement ce genre d'affiches est réservé pour notre chère démocratie locale et son slogan pas piqué des hannetons : la démocratie c'est maintenant ! (Rien que ça...). Au moins le 15 décembre ce n'est pas comme en conseil de quartier, vous n'aurez pas l'impression de faire le déplacement pour rien ! 

 

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Le désormais célèbre pont du Sausset. Pour celles et ceux qui ont posé la question, il se situe sur le terrain d'un particulier en zone UG pavillonnaire. Pour l'anecdote, cette personne m'a expliqué qu'à l'époque où le Sausset coulait encore, elle avait l'habitude de se baigner dedans... A cet endroit même.

 

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Les oiseaux profitent de quelques instants de répit pour se restaurer dans ce qui semble être un oranger...

 

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Et enfin pour terminer, la fameuse courgette des neiges qui ne pousse qu'à Aulnay-sous-Bois et que tout le département nous envie ! Du reste, elle est particulièrement prisée du très connaisseur jury aulnaysien du concours des villes fleuries. Tout comme le fameux muguet de juillet !   Notre commune abrite un véritable micro-climat !

 

Sinon d'autres photos ici ou ...

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 9 Décembre 2010

Réforme des retraites, déficits publics et langage de vérité….

 

Il arrive parfois en lisant la presse que l’on tombe sur un article, dont on se dit que l’on aurait pu, à peu de choses près, l’écrire soi-même. Alors pourquoi réécrire d’une autre manière ce qui apparaît limpide et frappé au coin du bon sens ?

 

Je ne résiste donc pas au plaisir de partager avec les lecteurs d’Aulnay libre, dont on me dit qu’ils sont de plus en plus nombreux,  ce petit article écrit sous la plume de Christine Kerdellant, Directrice de la rédaction de l’Expansion , en page 7 du n° de décembre 201O et dont je vous livre, ici, les extraits le plus significatifs.

 

«  La réforme des retraites est entérinée. Sarkozy a-t-il été plus courageux que ses prédécesseurs ? Non, il n’avait pas le choix ».

 

« Si le pays avait reculé, montrant l’incapacité du pays à se réformer, notre dette aurait perdu son triple A et, avec cette bonne note, la capacité à se refinancer à bon prix. Le premier pas vers une situation à la grecque… »

 

«  Il y a longtemps que les cassandres le prédisaient, mais, cette fois, nous y sommes : nos 1650 milliards de dettes publiques – dont les deux tiers détenus par des étrangers – nous mettent à la merci de cette démocratie censitaire que sont les marchés financiers internationaux. Désormais nous sentons tout le poids de « l’insoutenable légèreté de la dette ».

 

« Même les socialistes, s’ils conquièrent l’Elysée, en 2012, ne pourront s’en affranchir. Car, personne n’a oublié mai 1981, les largesses dispensées et le retour de bâton de 1983 : le franc ne valait plus qu’un dixième du dollar, la France courrait à la faillite, le retour de l’orthodoxie s’est imposé. »

 

Puis, elle conclut par ces mots « Même quand ils ont tort, les marchés ont toujours raison ».

 

Quelques commentaires, donc, pour préciser les choses :

 

1.      Comme, chacun sait, la démocratie est le pire des systèmes à l’exception de tous les autres. Mais, les échéances  électorales regorgent de promesses diverses, souvent démagogiques, qui ne servent, la plupart du  temps, qu’à attraper les « gogos ». Mais il est si bon de pouvoir rêver, et de s’imaginer que tout est possible : tout et son contraire ! Voir la réalité en face est souvent plus cruel mais cela éviterait, sans nul doute, des faires des promesses inconsidérées que l’on répand précisément…sans compter.

 

2.      Tous les bons observateurs savent que la réforme des retraites de N. Sarkozy ne finance en réalité que la moitié de l’impasse financière d’ici 2020, le reste ne reposant que sur des hypothèses incertaines (taux de chômage ? taux de croissance ?), le recours au fonds de réserve des retraites et à des mesures fiscales non précisées. Il est vrai, cependant, que le report de l’âge de la retraite de 65 à 67 ans, pour avoir droit à une retraite sans décote, lorsque le nombre d’années de cotisation est insuffisant, peut poser problème dans certains métiers.

 

 

3.      La proposition des socialistes que j’ai étudiée  en détail est habile, mais ne repose pour l’essentiel que sur de nouvelles taxations avec des chiffrages qu’il est impossible de vérifier et une ambiguïté qui, au fond, n’en est pas une : Oui, vous pouvez partir à 60 ans, mais si vous n’avez pas le nombre de trimestres requis vous aurez droit à une décote sévère ! De plus, il est clairement indiqué que le nombre d’annuités de cotisation ne sera pas remis en cause (41 ans aujourd’hui, 41, 5 ans en 2012, 42 ans en 2020). Dés lors, si l’on considère qu’il n’est pas rare aujourd’hui de commencer à travailler vers l’âge de 23 ou 25 ans, on arrive facilement à 65 ou 67 ans. Vive donc la retraite à 60 ans !

 

4.      Par définition, toute dette doit être financée. L’ampleur de la crise financière que nous avons connue en 2008 ont conduit les banques centrales à abaisser leurs taux d’intérêt à court terme dans une fourchette comprise entre 0, 25 % aux Etats-Unis et 1% en Europe. Il s’en est suivi une atténuation sensible des taux longs  ce qui diminue relativement, pour les Etats encore « bien notés », la charge financière liée à la dette publique. Fort heureusement. Mais il se trouve que les budgets étant toujours en déficit, la dette continue de croître et les frais financiers avec. Jusqu’à quand ?

 

5.      Les réalités ont la vie dure. Sauf à ce qu’on puisse considérer que le financement des Etats puisse échapper à la logique des marchés - pour ne pas dépendre d’eux il vaut mieux réduire son déficit, maintenir la dette à un niveau supportable, et surtout la gager par des investissements futurs et non par des dépenses de fonctionnement. On peut toujours demander à tous les niveaux des moyens supplémentaires, des dépenses supplémentaires mais il vaut mieux s’assurer avant que l’on a bien  les moyens d’une telle politique. Par quel miracle, les collectivités pourraient-elles s’exonérer ad vitam aeternam de ce qui s’impose à tout un chacun ? 

 

6.      On peut discuter de la façon dont les banques jouent leur rôle d’intermédiation, mais on ne peut pas oublier quelques règles de base : elles doivent prendre des risques, tout en les surveillant de près et en les couvrant autant que faire se peut ; elles doivent assurer si nécessaire la liquidité des placements de leurs clients qui sont aussi des épargnants ; elles doivent rester solvables afin de garantir le remboursement éventuel des avoirs de leurs clients. Si l’une ou l’autre de ses missions n’est plus remplie, le système se grippe et peut se propager dangereusement à toute l’économie entraînant des faillites en cascade.  Il suffit parfois de peu, d’un grain de sable ici ou là, pour que le système implose  d’autant qu’aujourd’hui tous les systèmes sont interconnectés. C’est la raison pour laquelle les Etats et les banques centrales se sont portés au secours des banques. Sûrement pas pour leurs beaux yeux, mais pour éviter une catastrophe systémique. On peut donc tout à la fois blâmer les banques parce qu’elles sont trop chères, parce qu’elles n’irriguent pas assez l’économie ou parce qu’elles prennent des risques inconsidérés. Mais on ne peut pas vouloir à la fois tout et son contraire. 

 

7.      Il existe des pistes innovantes pour réduire les déficits publics et commencer le processus de désendettement des Etats, mais cela suppose à la fois une Force Unie des Etats  et un rapport des forces suffisamment puissant face aux marchés pour que ceux-ci soient sérieusement encadrés et régulés. Mais à l’heure des simples clics d’ordinateurs et de la libre circulation des mouvements de capitaux qui sont aussi une force permettant d’assurer la mobilité et l’efficacité d’un système d’allocation des ressources, il y faut beaucoup plus que la volonté d’un seul Etat, pour qu’un tel système puisse fonctionner. Deux pistes méritent d’être sérieusement creusées : celle qui conduirait à l’éradication des « paradis fiscaux » qui constituent une source d’évasion fiscale assez phénoménale et une autre qui  conduirait à l’instauration d’un prélèvement à un taux minime ( 0, 05 % par exemple) sur l’ensemble des transactions financières.

 

 

8.       Mais qui aura le courage de s’attaquer à cette montagne colossale d’intérêts coalisés ? Et qui sera capable d’imposer un tel système comportant à la fois les instruments de collecte et de contrôle nécessaires, sans que des dommages collatéraux ne viennent le perturber ? C’est la toute la question de la mise en place d’instruments mondiaux face à la mondialisation des marchés. En clair de l’instauration d’une ébauche de démocratie mondiale face à des marchés mondiaux. Les marchés sont efficaces mais injustes. La démocratie peut être plus juste, mais est impuissante si elle ne s’accompagne pas de la force des marchés. Il faut donc penser à une nouvelle articulation de la démocratie et des marchés à travers une nouvelle dialectique non véritablement explorée à ce jour.

 

9.      Tout cela nous entraîne très loin des petites querelles politiciennes et de ces semi vérités ou semi mensonges qui sont distillées ici ou là, car au fond, à de rares exceptions près, les hommes politiques préfèrent masquer la vérité pour tenter de séduire des électeurs avec de vaines promesses qui se retourneront  fatalement contre eux, car elles ne pourront entrainer que déceptions et désillusions. La démocratie dont je parle est plus exigeante. Elle n’est pas l’ennemie de la vérité. Elle est l’ennemie de la facilité ou de la démagogie.

 

 

Veritis.

 

 

 

 

 

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Rédigé par Veritis

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Publié le 8 Décembre 2010

J'ai rien fait j'vous jure. Après une journée de travail où je voulais pas spécialement gagner plus que les autres, m'est venue l'idée saugrenue de vouloir rentrer chez moi. Par la RN2 direction Paris. Et là pas de bol, pour à peine 10 misérables centimètres de neige voilà que je suis coincé au milieu des camions et des voitures. La dernière fois c'était les vaches, maintenant c'est la neige !

RN2.jpg

Je n'aurai qu'un mot pour celles et ceux qui me liront dans les années futures : Génial ! Nous sommes en France en 2010 et le réseau de transport routier est paralysé par quelques centimètres de neige !

Parfois je lis que notre beau pays signe des contrats très importants avec la Chine, l'Inde ou le Brésil... N'y aurait-il pas un petit contrat de prévu pour acheter des chasse-neiges ou du sel ou du sable même ? Où peut-être pourrait-on localement renforcer le personnel dédié aux réseaux routiers lorsqu'une vague neigeuse est annoncée par la météo...? On appelle cela anticipation il me semble...

Stéphane Fleury pour Aulnaylibre ! blog pas vraiment itinérant...

 

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Transports

Publié le 8 Décembre 2010

RobinetEau.jpgLes informations ci-dessous relatives à l'eau distribuée à Aulnay-sous-Bois proviennent d'une note de synthèse jointe avec la facture habituelle et intitulée : Qualité de l'eau distribuée à Aulnay-sous-Bois (Nord et Sud). Synthèse de l'année 2009. Je ne sais pas si tout le monde y prête attention mais il m'a paru intéressant de les lire et de les publier. On remarque comme cela après une simple première lecture qu'il existe des différences entre le Nord et le Sud de la commune bien que globalement l'eau distribuée en 2009 reste conforme aux valeurs limites réglementaires.Premier constat étonnant, à priori, sur l'origine de l'eau. Le Nord est alimenté par de l'eau des forages situés sur la commune. Rien de plus n'est précisé. Alors qu'au Sud on explique clairement que ce secteur est alimenté par l'eau de la Marne traitée à l'usine de Neuilly-sur-Marne... Pourquoi le même niveau de détail n'est-il pas donné pour le Nord ? Ensuite on remarque que les résultats obtenus sur l'analyse bactériologique ont été réalisés sur 81 échantillons prélevés dans le Nord contre 185 dans le Sud. Pourquoi une telle disparité dans le nombre des prélèvements effectués  ? Enfin derniers constats : plus de nitrates au Sud et quelques traces de pesticides (0,03 micro gramme par litre maximum). Plus de calcaire et de fluor au Nord.

Peut-être en saurons-nous davantage après la soirée-débat sur l'eau et sa gestion proposée par l'association Aulnay, ville ouverte (AVO). Ce soir à 19h30 salle du parc Dumont face au RER B... ?

En attendant voici le détail de l'analyse 2009, que je vous laisse le soin d'apprécier.

Stéphane Fleury

Origine de l'eau :

Nord : votre secteur est alimenté par de l'eau des forages situés sur la commune. La gestion est assurée par : Véolia Eau-Compagnie Générale des Eaux Banlieue.

Sud : votre secteur est alimenté par l'eau de la Marne traitée à l'usine de Neuilly-sur-Marne. La gestion est assurée par : Véolia Eau-Compagnie Générale des Eaux Banlieue.

Bactériologie : micro-organismes indicateurs d'une éventuelle contamination des eaux par des bactéries pathogènes. Absence exigée.

Nord et Sud : eau de très bonne qualité bactériologique. Tous les prélèvements sont conformes. La DDASS (Direction départementale des Affaires sanitaires et sociales), qui est réglementairement parlant chargée du contrôle sanitaire de l'eau potable, a pris en compte pour cette synthèse 2009 les résultats de 7 échantillons prélevés en production et de 74 échantillons prélevés en distribution dans le Nord. Dans le Sud ce sont les résultats de 145 échantillons prélevés en production et de 40 échantillons prélevés en distribution qui ont été pris en compte pour la même synthèse.

Nitrates : éléments provenant principalement de l'agriculture, des rejets domestiques et industriels. La teneur ne doit pas excéder 50 milligrammes par litre (mg/l).

Nord : eau ne contenant pas de nitrates. Aucune valeur n'a été supérieure au seuil de détection de 3 mg/l. Moyenne : 0,1 mg/l. Maximum : 0mg/l

Sud : eau contenant peu de nitrates. Moyenne : 17,1 mg/l. Maximum : 28mg/l.

Dureté : teneur en calcium et en magnésium dans l'eau. Il n'y a pas de valeur limite réglementaire de dureté.

Nord : Eau très calcaire. Moyenne : 36,5 °F. Maximum : 37,7 °F. Une eau calcaire n'a aucune incidence sur la santé.

Sud :Eau calcaire. Moyenne : 26,8 °F. Maximum : 32,2 °F. Une eau calcaire n'a aucune incidence sur la santé.

Fluor : Oligo-éléments présents naturellement dans l'eau. La teneur ne doit pas excéder 1,5 milligrammes par litre (mg/l).

Nord : eau moyennement fluorée. Moyenne : 0,75 mg/l. Maximum : 0,8 mg/l. Le fluor a un rôle efficace pour prévenir l'apparition de caries. Avant d'envisager un apport complémentaire en fluor (comprimés, sel...) chez l'enfant, il convient de consulter un professionnel de santé.

Sud :Eau très peu fluorée. Moyenne : 0,2 mg/l. Maximum : 0,3mg/l. Le fluor a un rôle efficace pour prévenir l'apparition de caries. Avant d'envisager un apport complémentaire en fluor (comprimés, sel...) chez l'enfant, il convient de consulter un professionnel de santé.

Pesticides :

Substances chimiques utilisées pour protéger les cultures ou désherber. L'exposition de la population s'apprécie en trois Classes : Classe A = La teneur ne dépasse jamais 0,1 micro gramme par litre ; Classe B1 = La teneur dépasse la norme mais faiblement ou sur une période inférieure à 30 jours, aucune restriction d'usage n'est nécessaire ; Classe B2 = La teneur dépasse la norme de façon importante ou sur une période supérieure à 30 jours, des restrictions d'usage d'eau sont imposées.

Nord : Eau conforme à la norme. Aucun dépassement de la limite de qualité n'est observé. Classe A Valeur maximale inférieure au seuil de détection.

Sud :Eau conforme à la norme. Aucun dépassement de la limite de qualité n'est observé. Classe A Maximum : 0,03 micro gramme par litre (Déséthylatrazine).

Avis sanitaire global : l'eau distribuée en 2009 est restée conforme aux valeurs limites réglementaires fixées pour les paramètres bactériologiques et physico-chimiques analysés.

Source : Synthèse de l'année 2009, Délégation Territoriale de Seine-Saint-Denis/Agence Régionale de Santé Ile de France

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé

Publié le 8 Décembre 2010

Le RER B nouveau est arrivé ! D'après l'article de 20 minutes ci-dessous, ce moyen de transport est sur le point de devenir subtil et très glamour... Qu'en pensez-vous ?

photointerieurrerb.jpg

Le B nouveau est arrivé. La première rame rénovée du RER B a été présentée en grande pompe. Côté extérieur, les voitures ont abandonné leur peinture bleu, blanc, rouge, pas très glamour pour un subtil mélange de vert jade, rouge "Carmillon" et "vif argent". Les couleurs symboles de la RATP, de la SNCF et du Syndicat des transports d'Ile-de-France(Stif), qui ont financé à hauteur de 317 millions d'euros ce sérieux lifting. A l'intérieur, les anciennes cloisons, anxiogènes, ont été supprimées ainsi que les strapontins, gênants aux heures de pointe. Outre la couleur des sièges, l'ambiance lumineuse a été revue. La climatisation a été installée, les espaces bagages rendus plus accessibles et 24 caméras de vidéo-protection par rame enregistreront des images couleur en continu. Deux autres rames rénovées seront livrées d'ici à la fin de l'année, mais il faudra attendre 2014 pour que les 119 rames de la ligne aient fait peau neuve. "Il a l'air plus joli, c'est vrai, mais ce qu'il faut avant tout, c'est qu'il soit fiable", réagissait hier sur le vif Nicolas, un habitant de Massy.

Source article et photo : Alexandre Sulzer, A.Gelebart 20 minutes du mardi 7 décembre 2010.

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 7 Décembre 2010

Inde. Agacés de payer le prix fort pour se nourrir sainement, de plus en plus de citadins indiens cultivent leur petit jardin. Plusieurs formations à l'agriculture bio et urbaine connaissent désormais un franc succès. Reportage paru dans "Outlook"

arbreimmeuble.JPGSoixante habitants de Bombay suivent avec attention les mouvements de Preeti Patil. Elle découpe devant eux une pomme censée représenter notre planète. “C’est toute la terre dont nous disposons pour cultiver des denrées alimentaires", dit-elle. Dans cette salle du centre de formation du parc naturel du Maharashtra, on croise des informaticiens, des avocats, des médecins, des étudiants, des personnes âgées et des adolescents boutonneux. Pour eux, Preeti est une célébrité. Ils ont tous lu comment cette femme, responsable de la restauration au sein de l’administration portuaire de Bombay, a galvanisé son service en transformant la terrasse de 280 mètres carrés jouxtant la cantine en une “forêt” luxuriante. Ils sont sidérés d’apprendre que son potager recycle les 20 kilos de déchets produits quotidiennement par la cuisine de la cantine. Et qu’elle y récolte des légumes incroyablement savoureux, parmi lesquels des épinards, des gombos, des aubergines et des tomates cerises, que les salariés mangent souvent crus et, bien sûr, des fruits comme les goyaves, les pommes cannelle, les mangues, les bananes et même les noix de coco d’un gigantesque palmier planté contre le mur de la terrasse. Ils ont renoncé à leur repos dominical pour apprendre à devenir des cultivateurs urbains.

Dans le monde entier, les citadins ont recours aux fermes urbaines en période de crise. Au lendemain des deux guerres mondiales, des jardins de la victoire ont fait leur apparition dans les zones urbaines britanniques, américaines, canadiennes et allemandes pour renforcer la sécurité alimentaire. Comme le soulignent Preeti et d’autres membres du mouvement d’agriculture urbaine, l’Inde est elle aussi au bord d’une crise. Pour nourrir une population citadine en plein essor, nous empiétons de plus en plus sur les zones périurbaines, qui satisfont la majeure partie de nos besoins alimentaires. Dans l’avenir, les denrées vont donc être transportées sur de plus longues distances encore, ce qui va accroître notre empreinte carbone. Avec l’accroissement de la demande, nous devrons également payer plus cher nos légumes et nos fruits. Et comme nous sommes tributaires de l’agriculture chimique, les produits que nous mangeons sont déjà bourrés de pesticides et d’engrais et très pauvres en nutriments.

Pour faire face à tous ces problèmes, Preeti a créé en 2009 Urban Leaves, une ONG destinée à promouvoir l’agriculture “natueco”, une méthode organique qui utilise des déchets biologiques faciles à se procurer pour produire une terre riche en nutriments mais légère. En moins d’un an, la participation à ses ateliers – 30 personnes au début – a doublé et il y a déjà une liste d’attente pour les prochains. Les participants présentent des profils très disparates, depuis Ubai Hussein, un ancien cuisinier converti dans l’agriculture organique qui était consterné par la qualité des légumes vendus sur les marchés de Bombay, jusqu’à Mavis D’Souza, une employée d’aéroport passionnée d’agriculture depuis le jour où elle a fait pousser des pastèques sur sa terrasse et qui cultive un petit potager à Borivili une banlieue de Bombay.

Quand B. N. Vishwanath, l’un des pionniers de l’agriculture organique sur terrasse, a commencé à organiser des ateliers en 1996, la plupart des participants étaient des femmes au foyer et des gens à la retraite. “Mais depuis 2008, souligne-t-il, j’ai observé un soudain accroissement du nombre de jeunes, dont la plupart venaient du secteur informatique.” Et pourquoi pas, poursuit-il. “Cela rafraîchit votre maison, vous procure de l’oxygène, vous permet de recycler vos détritus et, si vous vous y prenez bien, vous garantit des légumes sans produits chimiques pour toute l’année.” Assez pour nourrir une famille ? Oui, d’après M. Vishwanath, qui assure qu’en plantant six légumes différents dans un potager de 55 mètres carrés, on peut récolter 10 kilos de légumes par semaine !

Selon M. Prabhakar, de l’Institut de recherche indien en horticulture [GreenTek Indika], à Bangalore, les expériences montrent qu’une terrasse de 110 mètres carrés peut permettre de nourrir une famille de cinq personnes. Une récompense non négligeable pour une heure de travail par jour.

L’atelier de Preeti est une occasion de partager des expériences et de rencontrer d’autres passionnés d’agriculture urbaine. Comme Jumana Parkar, qui a abandonné son travail bien payé d’hôtesse de l’air. Aujourd’hui, elle travaille bénévolement dans des fermes pour se former aux techniques agricoles…

Source : Smita Mitra, Outlook, New Delhi in Courrier international pour Direct Matin 01/12/2010

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 7 Décembre 2010

LA MAIRIE nous parle de l’Agenda 21

 

BRAVO….. mais en même temps :

 

* elle abat lâchement des arbres un matin du mois d’Août, à 7 h,

 

* elle veut construire dans un autre quartier pavillonnaire une barre de béton, alors que les riverains avaient réalisé un projet pour garder ce quartier pavillonnaire qui fait le charme et le bien vivre à Aulnay s/s Bois, projet qui correspond parfaitement à l’Agenda 21

 

ALORS QUI CROIRE ??

 

La Mairie qui veut faire l’Agenda 21 ?

OU

La Mairie qui détruit les quartiers et bétonne allègrement la ville sans concertation ?

 

R. FERRAND, un électeur

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Rédigé par R.FERRAND

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 6 Décembre 2010

La face cachée d’un certain « socialisme »…

 

J’aime bien les mots de social (isme ) ou de commun (isme).

 

Pourquoi ?

 

Parce que les mots de société et de social(isme) ont la même racine : (soc) . A partir de là on peut décliner : socle, socio, sociabilité, …. C’est l’idée de « faire société », de « vivre ensemble » qu’il faut retenir  ici. Mais tout le monde sait bien que cela veut dire aussi : fixer des règles et les respecter. Pour le bien de la société toute entière et non pas pour une partie (ou un parti).

 

Parce que les mots de communauté et de commun(isme) ont la même racine : (commun ). Il en va de même pour l’idée de commune, le fait de mettre en commun ou de partager. Du mot partager on arrive facilement à l’idée de participation. De l’idée d’ « être avec »  on en vient facilement au mot de concertation. On a alors le souci et le respect du bien commun. Là aussi, pour toute la communauté des êtres humains, et non pas pour telle ou telle fraction.

 

Mais, pour équilibrer tout ça, je dirais que j’aime aussi bien les mots d’individu et de responsabilité.

 

Pourquoi ?

 

Parce que le mot individu signifie aussi « ne pas être divisé ». En d’autres  termes être un, uni ou unifié.  A partir du moment où l’on devient « un », on n’est plus écartelé ou désuni, on rassemble en soi-même ses forces et dés lors on se sent capable d’être responsable, ce qui veut dire : « être capable de répondre ». On intègre la difficulté du réel, la complexité des choses, on se garde des slogans simplistes ou des positions binaires.  On réfléchit par soi-même et on ne se contente plus du « prêt à penser » tout fait que l’on veut bien nous servir ici ou là.  On devient alors aussi, un homme (ou une femme) dans la cité, autant dire un(e) citoyen(ne).

 

En revanche, je n’aime pas beaucoup les mots en « isme ». 

 

En effet dans les mots qui se terminent en « isme », il  y a toujours le danger toujours possible d’une dérive, d’un excès, d’un dévoiement. L’idée aussi d’une doctrine réductrice qui ne reconnaîtrait pas la fécondité de l’autre et  se replierait sur elle-même au nom de valeurs ou d’une certaine idée du « bien » pouvant conduire dans leur logique folle à toutes les pressions ou menaces, tous les excès ou débordements.

 

Il en va ainsi du sectarisme, du fondamentalisme ou même de l’individualisme à outrance. Bref, tout ce qui coupe, sépare, éloigne, et divise.

 

Dés lors il est vain d’opposer l’individu à la société ou la société à l’individu. Toute société qui écrase d’une façon ou d’une autre l’individu est méprisable et doit pouvoir être combattue. Tout individu qui ne respecte pas la société par excès de pouvoir, prédation ou oubli de ses règles doit pouvoir être remis à sa place ou, au besoin, combattu.

 

C’est dans ce cadre d’ailleurs que certains  pensent que nous vivons de plus en plus aujourd’hui dans un univers qu’ils nomment, au croisement de la sociologie et de la psychologie, un « individualisme de masse ».  Dés lors, et pour forcer un peu le trait, il est permis de craindre que ni les individus ni la société n’existent véritablement et que l’individu a toutes les chances de se perdre en une sorte de « masse » plus ou moins indifférenciée.

 

Deux images caractéristiques illustrent ce propos :

 

-          L’automobiliste, seul dans sa voiture, pris dans un embouteillage quotidien sur des autoroutes ou routes surchargées. Seul au milieu de tous, prisonnier d’un instrument fait en principe pour sa liberté.

-          L’usager des transports en commun, perdu dans ses rêves ou son journal, à demi ensommeillé le matin, fourbu après son travail le soir, pressuré dans des rames surchargées et le plus souvent replié sur lui-même.

 

Mais revenons maintenant à ces fameux mots en « isme » pour examiner le cas échéant le décalage voire le gouffre qui sépare les mots de la  réalité et focalisons-nous sur le mot « socialisme » à travers deux faits d’actualité très récents,  l’un dans un pays étranger et l’autre dans notre bon « pays » de France.

 

1. Dans un pays africain, cher à la France, un Président, membre de « l’Internationale socialiste », a perdu, ces derniers jours, les élections de façon assez nette et a décidé, malgré cela, de ne pas renoncer à ses fonctions, au mépris de toutes les règles démocratiques. Au mépris des résultats annoncés par une commission électorale indépendante et placée sous l’observation de L’O.N.U.  Avec l’aval d’une Cour constitutionnelle à la botte d’un « Président » qui confond son intérêt et celui de son clan avec l’expression d’un peuple qui a eu le toupet de s’exprimer d’une façon déplaisante pour lui.

 

Exemple significatif d’un individualisme qui ne respecte « la masse » que si elle sert ses intérêts. Où est le « socialisme » là dedans ? Un simple paravent pour un « pouvoir personnel ». De beaux mots qui ne servent qu’à masquer un appétit insatiable de pouvoir avec tous les avantages qui vont avec. Rien de plus, mais rien de moins. Triste histoire assurément !

 

2. Dans une région du sud de la France, il était une fois deux frères, membres du Parti socialiste, dont l’un occupe un poste envié de sénateur et de président du conseil général et l’autre est un homme d’affaires spécialisé dans le traitement des déchets, aux comptes (peut être trop ?) florissants, dormant depuis peu en prison.

 

Que reproche-t-on à ce monsieur ? Pas moins que : «  tricheries sur les pesées de déchets, recours à des sous-traitants proches du grand banditisme (d’où les soupçons de blanchiment), trafic d’influence  pour procurer des appartements HLM à des « amis » ou pour faciliter l’obtention de certains marchés publics ». D’aucuns disent que « Monsieur  Frère avait développé une certaine emprise sur des élus et des fonctionnaires, fondée sur un mélange  d’intimidation, de charme et de contreparties. », qu’il « avait prise sur le Directeur de la propreté, qu’il aurait recruté lui-même, moyennant un très bon salaire, afin que les sociétés choisies par ce dernier soient avantagées ».

 

Depuis longtemps, déjà, des rumeurs bruissaient sur « l’étrange omniprésence de ce monsieur, en contrat avec l’office H.L.M que présidait son frère, et par ailleurs président de la commission d’attribution des cartes de la fédération du P.S. laquelle était  verrouillée par ce même frère ! ».  Etonnant mélange des genres, à priori, entre présomption d’affairisme ou corruption et politique….Alors, que devient le « socialisme » là-dedans ? Qu’en penseraient Blum ou Jaurès ?

 

Que retenir de tout cela ?

 

Qu’il y a parfois loin des discours à la réalité. Qu’une société n’existe véritablement que si elle respecte des règles définies en commun et l’ensemble des individus qui la composent. Que tout ce qui ressemble à un ostracisme, à  du favoritisme ou à des passe-droits n’a pas droit de cité dans une société juste et équilibrée. Que la liberté d’expression et la sécurité doivent être garanties à chacun des citoyens. Que la confiance, la probité et l’honnêteté ne sont pas de vains mots mais les réquisits indispensables de tout comportement individuel et de toute vie en société.

 

Alors, nous pourrons peut-être parler d’un monde civilisé.

 

Veritis.

 

 

 

 

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 4 Décembre 2010

Vous trouverez ci-dessous les principales animations organisées dans notre ville à l'occasion du Téléthon 2010.

 

Pour faire un don cliquez ici ou appelez le 3637.

 

Gymnase Pierre Scohy

1 rue Aristide Briand - de 14h à 18h30

Le Village-Téléthon vous accueillera pour de nombreuses animations et ateliers, comme ses brocantes livres et jouets, créations de Noël, son atelier cuisine, sa vente de pupitres et petit mobilier, du maquillage, des tatouages au hénné, son défi-Wii, son exposition qui vous parlera de génétique, ses jeux en bois grand format (grenouille...), sa cave à fumée, son lâcher de pigeons voyageurs, la vente de ses confitures, mais aussi avec sa vente de crêpes, d'alimentation salée et sucrée, une pause vin chaud, sans oublier son Village-Enfants qui expliquera aux petits ce qu'est la génétique à travers ses ateliers ludiques et instructifs. Baptêmes en moto et voitures anciennes.

 

Chapiteau du Vélodrome

rue Maximilien Robespierre - de 14h à minuit

 

De 14h à 18h

Un après-midi festif avec de nombreux ateliers (vide-grenier, créations de Noël, confection de bracelets brésiliens et perles, vente de Tee-Shirts et objets divers, maquillage) des mini-tournois de football et de badminton, de ping-pong, des courses en sac, un challenge en vélo Bicross et bien sûr des crêpes, des boissons fraîches et chaudes.

 

De 20h30 à minuit

Un concert Rock, Pop & Folk avec les groupes 14 coffes, Ousstal et Straight. Prix d'entrée : 5euros.

 

Dojo du Moulin Neuf

Stade du Moulin Neuf - de 14h à 18h

4 heures de démonstration non-stop de judo et self défense. Exposition de photos, initiation self-défense, remise de ceintures (enfants et adultes) et compétition pour les 8/14ans.

 

Antenne Sociale Jupiter

rue Saturne - de 14h à 18h

Une brocante d'objets décoratifs et pêche à la ligne organisée par le Comité d'animation Jupiter

 

Au Club Canin (prés de la Déchetterie)

aux horaires d'ouverture du club les 4,5 et 6 décembre.

Cours d'entraînement, démonstrations et parcours Agility pour tous.

 

A noter que les samedi 4 et dimanche 5 les séances Cinéma de l'Espace Jacques Prévert et les entrées du Stade Nautique seront reversées au Téléthon.

 

Source : prospectus de la mairie récupéré pendant l'atelier de l'agenda 21 consacré à la biodiversité.

 

 

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 3 Décembre 2010

D'après le site e-alsace.net, qui traite de l'actualité des médias et des nouvelles technologies, le chantier du réseau fibre optique de la Seine Saint-Denis et du Val d'Oise a débuté. Une première.

C'est le premier réseau interdépartemental de France, déployé par la société Debitex Telecom. Il couvrira à terme 27 communes. Ce réseau comprend trois volets : la fibre optique pour des sites publics, la fibre optique pour des zones d'activités et un des plus vastes réseaux fibre optique jusqu'à l'habitant en zone moyennement dense.

fibreoptique

Les travaux de génie civil débutent à Arnouville (12 500 habitants) puis dès janvier et février à Villiers-le-Bel (26 000 habitants), Aulnay-sous-Bois et Noisy-le-Grand.  Michel Aumas, maire d’Arnouville, s’est personnellement investi dans le dossier et a facilité la signature des arrêtés municipaux permettant l’occupation de l’espace public pour les travaux.

450 kilomètres d'infrastructures

Le réseau comprendra 450 kilomètres d’infrastructures dans un délai de trois ans. Il desservira 400 sites publics, 100 zones d’activités et plus de 100 000 logements en fibre optique.

D’ici un an environ, le cœur de réseau Debitex sera achevé et irriguera la plupart des 27 communes du projet. Montant de l’investissement : 45 millions d’euros, financés par les deux départements et par le conseil régional d’Ile de France.

Déjà des usages

Les premiers utilisateurs sont déjà connus souligne Xavier Hermesse, directeur général de Debitex. "Un opérateur mobile a mandaté Debitex Telecom pour le raccordement de ses pylônes télécoms. Des communes et communautés d’agglomération étudient la mise en place d’un réseau de vidéo protection s’appuyant sur le réseau Debitex. Certains des quelques 70 collèges des deux départements seront mis en réseau en 2011 et pour des expérimentations dans le cadre des environnements numériques de travail (ENT)".

Source : e-alsace.net  Carte in Projet "Débit Express" Débitex Août 2007

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Technologies

Publié le 3 Décembre 2010

Samedi matin le téléphone sonne à une heure indue. Personnellement je n'aurais pas décroché mais ma moitié est du genre qui répond au téléphone. Je me dis tiens c'est peut-être la valise RTL (si ça se trouve ça existe même plus ce jeu) mais non. En fait ce sont des amis et ils sont tellement contents d'avoir enfin trouvé la maison de leurs rêves à Aulnay-sous-Bois qu'ils nous l'annoncent par téléphone. Rire, joie, cris dans l'écouteur,  j'ai l'habitude des effusions à la façon de ma belle famille espagnole. Jusqu'à la question qui tue. Mais où-est-ce exactement ? A côté de la Mairie ! Soudain le sourire de ma compagne de vie se crispe. Elle est presque aussi calée en PLU que moi ! Vous n'êtes pas au courant des projets dans le secteur ? Silence...

downtownhouse.JPG

La suite vous la devinez. Des appels aux différents services de l'urbanisme qui se montrent assez vagues sur la question. Un passage au bureau 135 où il est impossible de récupérer une copie des projets inclus dans la dernière modification du plan local d'urbanisme. On évoque de simples intentions. On leur parle aussi de petites unités bien insérées dans le tissu existant mais cela tellement sans conviction, avec tellement de réserves, qu'ils n'y croient pas eux-mêmes. L'agence elle a encore moins de scrupules. La Mairie est carrément sous tutelle  et n'a plus les moyens de financer ses projets !  Alors celui du quartier Mairie pensez-donc ! Ce pavillon c'est une affaire !

Finalement ils passent chez nous. Je leur donne une copie couleur du dossier de modification. On déplie le mini-plu et on observe un peu les zones. Leur "futur" bien immobilier se situe en face du parking du centre administratif entre un restaurant et des pompes funèbres. Funeste présage. De toute façon leur décision est déjà prise et leur passage à la maison n'a finalement fait que valider leur choix instinctif. Ils n'achèteront pas. Trop d'incertitudes alors qu'il s'agit de leur premier achat, l'investissement de toute une vie...

Ils sont déçus évidemment. La maison leur convenait parfaitement. Après des recherches infructueuses dans le sud... Où acheter alors ? demandent-ils en conclusion. Avec les bouleversements potentiels de la révision, qui pourrait peut-être durer deux ans, un plan local d'urbanisme stabilisé permettant d'assainir la situation et donner une certaine visibilité n'existe pas actuellement à Aulnay-sous-Bois. Alors ils vont attendre et continuer à occuper leur logement social. En attendant des jours meilleurs...

Pour celles et ceux qui seraient tout de même intéressés par une telle acquisition dans le secteur, le prix de base était de 325 000 euros. C'était sans doute jouable aux alentours de 310 000 euros. Je reste surpris à titre personnel que des transactions immobilières continuent particulièrement à cet endroit. Si la Mairie suivait une certaine logique elle devrait finir de préempter le moindre pavillon aux alentours du futur projet plutôt que de laisser des personnes prendre le risque d'acheter un bien dans un environnement appelé à de fortes mutations et qui forcement n'aura rien à voir avec la situation actuelle... Les services de l'urbanisme semblaient pourtant indiquer qu'aucune intention de préemption renforcée ne concernait ce bien immobilier... Etrange.

Nos amis en tout cas ont l'impression d'avoir échappé à une sorte de piège...

Aulnaylibre blog toujours en recherche de réponses...

     

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 2 Décembre 2010

Attention danger... Elle arrive à Aulnay-sous-Bois ! Non il ne s'agit pas de la prochaine révision du PLU (Plan local d'Urbanisme) sans concertation avec la population, mais de la NEIGE ! L'abominable tonne de NEIGE ! Et oui, nous sommes en France en 2010, genre fin novembre, début décembre et il NEIGE ! Etonnant non ? Et ces minuscules pellicules d'eau glacée tombées du ciel font la une des journaux !  Comme si elles représentaient une vraie menace pour la nation ! Quoique, quoi que...

A en juger par les images entrevues par mes yeux embrumés de sommeil dans l'édition de 7heures de télé-matin c'était un peu la panique en Bretagne... A un moment donné j'ai même crû que la manche ou l'océan atlantique avaient gelé et qu'on pouvait aller au Royaume-Uni et aux USA à pied ! Mais non c'était juste une route nationale bloquée par le manteau neigeux... Des voitures, des camions coincés et des personnes à évacuer tant bien que mal... Après l'Orléanais, la Bretagne, demain la Seine-Saint-Denis et Aulnay-sous-Bois ?

Sur la route ce matin je me demandais. Si jamais Dame Nature nous envoyait un beau jour une bonne vague de froid genre venue de Sibérie et tout... avec des énormes chutes de NEIGE et des températures de moins 20 degrés pendant une ou deux semaines voire quelques semaines... Mais dans quel état serait le pays ? Après la NEIGE, le chaos ?

En attendant, quelques photos de l'Eglise Saint Sulpice, prises ce matin...

stsulpice1.JPG

stsulpice2.JPG

Stéphane Fleury        

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Environnement