Aulnay-sous-Bois cérémonie des vœux 2013 : discours du maire Gérard Ségura

Publié le 10 Janvier 2013

Hier soir s’est déroulée la traditionnelle cérémonie des vœux 2013. Vous trouverez ci-dessous la vidéo du discours de Gérard Ségura.  Empreints d’humanisme les mots du maire sont allés d’abord en direction des habitants d’Aulnay-sous-Bois qui en sont « la richesse, la force, l’âme vivante et la raison d’être ». L’hôtel de ville a ainsi été qualifié de « maison commune de tous les habitants sans distinction d’origine, d’opinion ou de croyance ».

 

Monsieur Ségura a également évoqué les sujets brûlants d’actualité comme la fermeture du site PSA et ses conséquences sociales qui restent « une blessure ouverture » ou bien encore la fin du chantier de dépollution de l’ancienne usine d’amiante au moment où la bataille en faveur de l’indemnisation des victimes ne fait que commencer. Dans une posture ostensiblement combative le maire a également rappelé l’importance de l’Est Parisien dans le développement futur de la région Ile-de-France. Il a ainsi décliné un certain nombre de projets majeurs qu’il souhaite voir aboutir dans les années à venir : une gare du Grand Paris au carrefour de l’Europe, le centre lyrique du Créa à la Ferme du Vieux-Pays, un nouveau commissariat de police nationale ou bien encore une nouvelle caserne de pompiers à proximité du stade du moulin neuf. Concernant les projets urbains et la démarche des rendez-vous d’Aulnay matérialisée par la tablette numérique en 3D, monsieur Ségura a affirmé que la quête d’un nouveau dynamisme ne devait pas altérer le souci d’harmonie et le sens du vivre ensemble.

Voulant conclure sur une note résolument positive, le maire a enfin mentionné la nouvelle nomination d’un album de Blues, produit par notre commune, aux Grammy Awards l’équivalent américain des victoires de la musique. Si par bonheur ce disque remportait un prix lors de la cérémonie de remise du 10 février prochain à Los Angeles le monde entier aurait alors une image positive d’Aulnay-sous-Bois  effaçant quelque peu les stigmates des violences de 2005. Evoquant enfin le futur il a cité l’écrivain Georges Bernanos, notamment connu pour son roman Sous le soleil de Satan : « l’avenir est quelque chose qui se surmonte… »

Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

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