Publié le 7 Septembre 2015

On connaissait jusqu'à présent les cours de musique dispensés par l'AMAPP pour petits et grands, de 4 à 14 ans. Mais désormais, il faudra aussi composer avec des cours d'initiation à la pratique théâtrale. En effet, pour la rentrée, notre association innove et ouvre un nouveau cours pour dispenser un nouvel art. Corine Minder, que les enfants et parents de l’AMAPP connaissent déjà sous le pseudonyme de « Coco », dispensera en effet une heure d’initiation à la pratique théâtrale le mercredi de 17h00 à 18h00 à la salle Gainville (quartier Vieux-Pays, rue de Sevran).

L’AMAPP fait sa rentrée 2015 musicale et théâtrale à Aulnay-sous-Bois !

Par des exercices ludiques, l’initiation à la pratique théâtrale permettra à vos enfants âgés de 8 à 14 ans de découvrir la magie et les exigences du théâtre : conscience de soi et des autres, partage de l’émotion et de l’énergie, appropriation du corps et de l’espace.

Mais l'AMAPP vous donne aussi rendez-vous dans quelques semaines pour une grande annonce...

Inscriptions et renseignements sur nos différents cours de musique et de théâtre sur notre site internet www.amapp-aulnaymusique.fr, par e-mail à contact@amapp-aulnaymusique.fr ou bien par téléphone au 01.72.51.89.65 / 06.28.94.58.78.

L’AMAPP fait sa rentrée 2015 musicale et théâtrale à Aulnay-sous-Bois !

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Publié dans #Associations

Publié le 7 Septembre 2015

Célébration 2015 de la libération de Paris et de sa banlieue à Aulnay-sous-Bois

Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois, chevalier de l’ordre national du mérite, Maryonne Montembault, adjointe au maire en charge des anciens combattants, le conseil municipal et les associations des anciens combattants d’Aulnay-sous-Bois, seraient honorés de votre présence à la commémoration de la libération de Paris et de sa banlieue. Rendez- vous ce lundi 7 septembre 2015 à 19h pour un rassemblement place du général de Gaulle.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié le 6 Septembre 2015

Les assistantes sociales à Aulnay-sous-Bois n’assurent plus que le service minimum

D’un seul coup, elle fond en larmes, les doigts crispés sur sa liasse de documents. « Je m’excuse, mais c’est tellement dur… » C’est une mère de famille à bout qui redescend l’escalier du service d’action sociale, à Aulnay-sous-Bois. Elle est venue demander de l’aide. « GDF n’arrête pas d’appeler, de me harceler, parce qu’on doit de l’argent, raconte-t-elle.

Avant, j’avais une assistante sociale adorable. Elle téléphonait, elle faisait les démarches, et ça s’arrangeait. » Elle déplie un formulaire cartonné : « Mais maintenant, on me donne un dossier à remplir toute seule. » Quatre pages, dont un tableau à compléter en donnant le détail de ses dépenses et ressources mensuelles, ainsi que les crédits contractés. Il faut aussi rédiger un argumentaire justifiant la demande d’aide financière. « Moi, encore, ça va, je sais lire et écrire, souffle la femme. Mais les autres ? »

Les autres, ce sont environ 2 600 ménages ou personnes isolées domiciliés à Aulnay, et qui bénéficiaient jusqu’à cet été d’un accompagnement social. En d’autres termes, ils étaient suivis par l’une des 19 assistantes sociales de la ville. Celles-ci les recevaient en rendez-vous individuel, engageaient avec eux des actions pour réduire leurs dettes, bénéficier d’une aide alimentaire, les soutenir dans l’éducation des enfants…

Mais depuis trois mois environ, les assistantes sociales sont invitées à lever le pied. Conséquence d’un bras de fer financier engagé par le maire (Les Républicains) avec le conseil départemental dirigé par le PS (lire ci-dessous). On leur demande, souffle l’une d’elles, d’assurer « un service minimum ». Leur employeur, la municipalité, a donné la consigne de « conclure les actions engagées », de « terminer l’accompagnement » des familles, à l’exception des cas les plus « critiques » (enfants en danger, femme victime de violences).

Autrefois réparties dans sept antennes de quartier, les assistantes sociales et les assistants d’accueil (qui les épaulent, notamment pour les tâches administratives) sont désormais regroupés dans les locaux de l’action sociale, dans le quartier du Vieux-Pays. On y reçoit le public, mais uniquement pour « évaluer » les situations et remettre des documents. « Les collègues ont le moral complètement à plat », glisse un syndicaliste FO. D’autant qu’elles font face à une détresse profonde. Ce matin-là, à la porte d’une salle d’attente bien pleine, on croisait ainsi une jeune femme aux yeux apeurés, qui voulait voir « son » assistante sociale. « On m’a dit de revenir demain, mais je ne sais pas si je la verrai. » Elle s’éloigne, sans savoir où elle dormira ce soir. Voilà un an que son mari, qui l’avait fait venir en France, l’a abandonnée, sans ressources.

Quand ce curieux « service minimum » prendra-t-il fin ? Nul le semble le savoir. En attendant, les habitants sont invités par la ville à se rendre dans les circonscriptions départementales d’action sociale des communes voisines : Drancy, Pavillons-sous-Bois, Livry-Gargan ou Sevran.

La ville et le département vont-ils enfin négocier ?

« La ville ne lâche pas ses habitants. On ne peut plus les accompagner jusqu’au bout. Mais on va bien ficeler les dossiers pour les renvoyer vers les circonscriptions départementales d’action sociale », indique Séverine Maroun, première adjointe (Les Républicains) d’Aulnay. Mais à long terme, que vont devenir les assistantes sociales d’Aulnay, et quel accompagnement pour les familles de la ville ?

Jusqu’au 27 juillet dernier, il existait une convention, datant de 1996, confiant à la ville ces missions. Le département finançait 80 % des salaires, le reste des dépenses étant pris en charge par la commune. En décembre 2014, le conseil municipal d’Aulnay a décidé de dénoncer cet accord, estimant ne plus pouvoir payer sa part. La municipalité comptait alors sur le transfert d’une partie de ses assistantes sociales au département : « En application du contrat passé entre la ville et le département, à compter du 27 juillet, le conseil départemental devra ouvrir une nouvelle circonscription de service social pour les Aulnaysiens », assurait ainsi un courrier aux habitants. Cela n’a pas été le cas.

La mairie a perdu son référé contre le conseil départemental

« On avait six mois pour négocier, mais Stéphane Troussel nous a opposé une fin de non-recevoir », assure Séverine Maroun. « Ce sont eux qui ont remis en cause ce partenariat, et décidé de se passer de la subvention », rétorque Stéphane Troussel, président PS du conseil départemental, qui « propose toujours à la mairie d’Aulnay de revenir à la table des négociationspour définir une nouvelle convention ». En août, le tribunal administratif a rejeté le recours en référé de la ville, qui dénonçait la « défaillance sociale » du département.

G.B.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 6 Septembre 2015

Attention : alerte aux cambrioleurs imposteurs à Aulnay-sous-Bois !

Des cambrioleurs particulièrement rusés ont sévi cet été à Aulnay-sous-Bois. La municipalité lance une campagne d’information sur ses panneaux lumineux pour alerter ses habitants, après plusieurs vols. Plusieurs victimes ont évoqué un scénario similaire : un inconnu sonne à leur porte, se présente comme un ouvrier ou un technicien, venu vérifier que des travaux dans la rue voisine n’ont pas provoqué de fuite d’eau.

Puis de faux policiers font irruption dans la maison, « arrêtent » l’intrus, et demandent aux habitants de vérifier avec eux si des objets de valeur ont disparu… Avant de disparaître à leur tour en dérobant au passage argent et bijoux. La ville rappelle donc quelques précautions à prendre : ne pas ouvrir aux inconnus, exiger une carte professionnelle, un justificatif de passage, vérifier au besoin auprès de l’organisme cité qu’une visite était bien prévue. Et ne jamais indiquer l’emplacement d’objets de valeur. En cas de doute, elle invite à contacter la police municipale au numéro vert (accessible 24 heures sur 24) 08.00.39.93.93.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 5 Septembre 2015

La rédaction d’Aulnaylibre ! a reçu plusieurs alertes de riverains de l’avenue de la Division Leclerc à Aulnay-sous-Bois qui se déclarent épuisés et exaspérés car il est la plupart du temps impossible de se garer dans cette rue à cause du stationnement ventouse de véhicules utilitaires.

Le stationnement ventouse exaspère les riverains de l’avenue de la Division Leclerc à Aulnay-sous-Bois

Ils expliquent avoir appelé à plusieurs reprises la police municipale qui leur a répondu qu’une verbalisation n’était envisageable que si le stationnement dépassait sept jours. La mairie quant à elle n’aurait pas daigné s’exprimer sur la question.

Les habitants du quartier trouvent inadmissible que des entreprises utilisent le stationnement résidentiel comme le parking de leurs trois ou quatre fourgons. Ils considèrent anormal qu’elles ne payent pas de parking alors qu’elles peuvent très bien utiliser la cour de leurs pavillons. Enfin ils se demandent pourquoi la mairie n’intervient pas et si des associations de défense existent dans notre commune pour améliorer le cadre de vie des Aulnaysiens.

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 4 Septembre 2015

Evacuation de 8000 habitants du quartier de la gare à Noisy-le-Sec pour le déminage de bombes de la seconde guerre mondiale

Le quartier de la gare de Noisy-le-Sec aura des allures de ville morte dimanche. Entre 7 500 et 8 000 habitants seront en effet évacués de leurs logements dès les premières lueurs du jour en raison du déminage de trois bombes présumées. Ces engins, datant de la Seconde Guerre mondiale, ont été découverts sur le site du futur atelier de maintenance de la tangentielle nord, juste derrière la gare de Noisy-le-Sec.

C’est donc une opération d’envergure que l’Etat va mener ce dimanche, entre 9 heures et 16 heures : 300 policiers mobilisés, des milliers d’habitants évacués, le trafic TGV et transilien totalement interrompu depuis la gare de l’Est, la N 3 coupée dans les deux sens… « Nous ne voulons prendre aucun risque », assure le préfet Philippe Galli pour justifier ce périmètre d’exclusion de 700 m.

L’origine de l’opération remonte au 17 février dernier lorsque des ouvriers mettent au jour, par hasard, une bombe contenant 280 kg d’explosif. Puis une deuxième à proximité. « Il ne s’agissait plus d’une découverte fortuite, il fallait qu’on sache s’il y en avait d’autres » poursuit Philippe Galli. Dès lors la SNCF bloque l’avancée de son chantier et lance un diagnostic de son terrain. « Près de 90 000 m3 de terre ont été enlevés pour retirer tous les bruits parasites et trois échos métalliques ont été identifiés, détaille Lydia Cault, responsable du chantier du futur atelier de maintenance. Il y a donc une forte probabilité que ce soit des bombes même si nous n’en avons pas la certitude. » Le 19 avril 1944, pas moins de trois mille bombes furent larguées en trente minutes sur la ville par l’aviation anglaise qui visait la gare de triage. Il n’y a rien d’étonnant à ce que l’on en retrouve quelques-unes 71 ans après.

Dimanche, l’opération va durer toute la journée. « On ne sait pas sur quoi on va tomber, analyse Denis Lamotte, chef du service déminage. Les engins sont sous 1,5 m de terre, il va falloir les découvrir, voir si on peut les neutraliser et, si ce n’est pas le cas, les faire exploser. »

Mais à la différence du 17 février dernier, où les services de l’Etat et la SNCF avaient été pris de court, cette fois-ci, tout a été prévu. Des murs de paille de 5 m de haut ont été élevés sur le site, des trous ont été creusés, du sable a été stocké pour recouvrir les bombes en cas d’explosion, des mesures qui ont permis de réduire le périmètre de 1 200 m (en février) à 700 m. Surtout, les municipalités de Noisy et de Bobigny — la ville voisine concernée par 200 à 300 évacuations — ont eu le temps de communiquer. « Nous avons envoyé une lettre à tous les foyers, des affiches ont été placardées dans les magasins de la ville et des voitures équipées de haut-parleurs sillonneront le quartier de la gare dès 6 heures », souligne Laurent Rivoire, maire UDI de Noisy.

Un message préenregistré sera diffusé par téléphone le samedi soir à tous les foyers concernés. « Concrètement, dès 6 heures, les policiers frapperont à chaque porte d’habitation en commençant par le secteur nord du périmètre et inviteront les habitants à quitter le secteur » insiste le commissaire divisionnaire Marc Cherrey, qui supervise l’opération. Le gymnase Langevin accueillera ceux qui n’ont pu trouver refuge ailleurs mais aucune nourriture ne sera distribuée, prévient la mairie. Attention, les bords de l’Ourcq sur la partie Bobigny et Noisy seront interdits au public. Enfin, le chauffage urbain de Bobigny étant situé dans le périmètre, l’eau chaude sera coupée le temps du déminage.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 4 Septembre 2015

Signe que la campagne pour les élections régionales de décembre 2015 va probablement s’accélérer dans les prochaines semaines, les militants communistes étaient nombreux le 2 septembre à la gare d’Aulnay-sous-Bois. A cette occasion ils distribuaient un tract saluant la mise en place du passe Navigo unique à 70 euros par mois, dont ils revendiquent la paternité.

Les militants communistes d’Aulnay-sous-Bois en campagne pour une amélioration des transports en Ile-de-France

Ils sont cependant conscients qu’il reste encore beaucoup à faire en matière de transports en Ile-de-France et avancent quelques pistes d’amélioration dont vous pouvez prendre connaissance dans le document ci-dessous.

Les militants communistes d’Aulnay-sous-Bois en campagne pour une amélioration des transports en Ile-de-France

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Publié dans #Transports

Publié le 4 Septembre 2015

A la découverte du Noratlas à Aulnay-sous-Bois avec l’union nationale des parachutistes

Entrez dans l’intimité des anciens « para » qui vous accueillent, samedi à 10 h 30, dans la carlingue du Noratlas, désormais au sol à Aulnay. L’union nationale des parachutistes ouvre en effet les portes du Nord 2 501, avion mythique qui a transporté des pilotes sur de nombreuses missions militaires et humanitaires et est aujourd’hui devenu le bureau de l’association à la Rose des vents.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 3 Septembre 2015

Manifestation des agriculteurs le 3 septembre 2015 : les tracteurs envahissent Paris !

Journée noire jeudi à Paris et sur les grands axes routiers d'île-de-France. Dès 6 heures et jusqu'à 17 heures au moins, heure prévue pour la dislocation de la manifestation, la circulation autour et dans la capitale risque de faire maugréer plus d’un Parisien.

Les agriculteurs déferlent sur Paris avec leurs tracteurs pour manifester. Dès ce mardi, certains ont déjà pris la route, et la FNSEA annonce plus 1000 tracteurs et 3000 à 4000 agriculteurs mobilisés pour «prendre» la capitale notamment en empruntant le boulevard périphérique, pour converger vers la porte de Vincennes (XIIe).

Dans un communiqué, la préfecture de police met en garde les automobilistes. Elle invite les Franciliens à «différer leurs déplacements, à privilégier les transports en commun et à éviter dans la mesure du possible d’emprunter leur véhicule afin de se rendre» à Paris.

Pour ceux qui doivent malgré tout prendre le volant, la préfecture déconseille d’emprunter le périphérique notamment dans ses tronçons Sud et Est entre la porte Maillot et la porte des Lilas.

Aux abords de Paris, des périmètres délimités seront interdits à la circulation, dans la zone de Saint-Mandé (Val-de-Marne) et Montreuil (Seine-Saint-Denis). Dans la capitale, le secteur entre la place de la Nation, la porte de Bagnolet et la porte de Bercy sera «très difficilement praticable» par les voitures pendant la plus grande partie de la journée.

Les autoroutes convergeant sur Paris seront encombrées par les cortèges de tracteurs, à allure réduite, dès 6 heures du matin. Les parcours qui seront empruntés sont les suivants :

A1 : péage de Chamand (Oise) direction Paris puis échangeur La Chapelle et boulevard périphérique intérieur.

A4 : péage de Coutevroult (Seine-et-Marne) direction Paris puis échangeur Bercy et boulevard périphérique extérieur.

A6 : péage de Fleury-en-Bière (Seine-et-Marne) direction Paris, puis A6a vers porte d’Orléans et boulevard périphérique extérieur.

A10 : péage de Saint-Arnoult (Yvelines) direction Paris, puis A6 direction Paris et A6b vers porte d’Italie et boulevard périphérique extérieur.

A13 : péage de Buchelay (Yvelines) direction Paris, puis échangeur porte d'Auteuil et boulevard périphérique extérieur.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 2 Septembre 2015

Amiante : le CMMP pollueur de la ville d’Aulnay-sous-Bois va-t-il enfin payer ?

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un message de Nicole et Gérard VOIDE du Collectif des riverains et victimes du CMMP d'Aulnay.

Bonjour à toutes et tous,

Nous invitons les victimes et riverains de l'ancienne usine de broyage d'amiante CMMP du vieux pays d'Aulnay à venir soutenir, par leur présence s'ils le peuvent, la plaidoirie de maître François Lafforgue (avocat des associations) à

L'AUDIENCE DU JEUDI 10 SEPTEMBRE 2015 à 15 heures 30

au palais de justice de Paris, Boulevard du Palais (métro Cité) - salle d'audience de la 2ème chambre civile

Il s'agit de savoir si, oui ou non, le principe "pollueur/payeur" inscrit dans la loi sera enfin respecté.

A ce jour, l'impunité est totale :

PDG, préfets, contrôleurs de l'époque de la pollution, responsables des malades et des morts d'aujourd'hui, ne sont plus en vie pour pouvoir rendre des comptes

l'entreprise CMMP, elle-même, échappe à la justice car la loi sur les personnes morales est postérieure aux faits et ne peut s'appliquer rétroactivement

les frais de désamiantage (17 millions d'euros) incombent sans conteste de par la loi au dernier exploitant, c'est-à-dire le CMMP, entreprise florissante et non aux contribuables

le CMMP pollueur, après avoir menti effrontément, minimisé l'ampleur de la pollution du site truffé de poussières d'amiante et de zircon (radio-actif), a multiplié les procédures en justice afin de ne pas payer la facture. Considérant que la meilleure défense est l'attaque, le CMMP,sans la moindre vergogne, réclame le remboursement de frais d'études (par ailleurs dérisoires au regard des 17 millions du chantier)

Après l'impunité qui équivaut, il faut bien le dire, à un permis de tuer, ira-t-on vers la double peine pour les victimes (victimes = payeurs) ou pour un début de justice (pollueur = payeur).

Rendez-vous au Palais de Justice !

Cordialement.

Nicole et Gérard VOIDE

du Collectif des riverains et victimes du CMMP d'Aulnay

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Amiante

Publié le 2 Septembre 2015

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous du flyer annonçant la tenue d’un forum paroissial de rentrée les 5 et 6 septembre 2015 à Aulnay-sous-Bois.

Forum paroissial 2015 à Aulnay-sous-Bois
Forum paroissial 2015 à Aulnay-sous-Bois
Forum paroissial 2015 à Aulnay-sous-Bois
Forum paroissial 2015 à Aulnay-sous-Bois
Forum paroissial 2015 à Aulnay-sous-Bois

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 2 Septembre 2015

Ouverture de l’Ehpad Camille Saint Saëns à Aulnay-sous-Bois

Cet établissement dont l'ouverture est effective depuis cet été peut accueillir 94 résidents, soit 89 en hébergement permanent et 5 en hébergement temporaire, à proximité immédiate du centre-ville d'Aulnay-Sous-Bois (Seine-St-Denis), au cœur d'un grand parc arboré.

Cet établissement bénéficie notamment :

D'une unité d'hébergement renforcée de 11 chambres pour des personnes présentant des troubles sévères du comportement,

D'une unité de vie protégée de 13 chambres pour des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ou de troubles apparentés,

D'un Pôle d'accompagnement et de soins adaptés (PASA) permettant de renforcer l'accompagnement pour les résidents qui le nécessitent, en leur proposant des activités adaptées.

Les chambres, toutes individuelles, sont meublées et équipées d'un appel-malade et d'un téléphone.
L'ensemble des chambres dispose d'un sanitaire accessible aux personnes en situation de handicap.

L'architecture et l'agencement des locaux favorisent la luminosité, la convivialité et l'accessibilité. Les résidents pourront bénéficier d'un grand parc et d'espaces d'activités extérieurs.

PRESTATIONS ET ACTIVITÉS :

Une cuisine traditionnelle et de qualité est préparée sur place et servie en salle de restaurant. Les menus variés et équilibrés sont réalisés par le personnel de cuisine de l'établissement et le personnel hôtelier assure un service à l'assiette et personnalisé.

L'animation est un élément déterminant du projet d'établissement. L'animation, les échanges et les liens sociaux avec l'extérieur constituent des éléments importants de la qualité de vie en établissement. Des activités occupationnelles et culturelles sont mises en œuvre par des salariés de l'établissement, des intervenants extérieurs et des bénévoles. Elles visent à stimuler les capacités cognitives, intellectuelles et physiques des résidents.

Exemples d'animation

Gym douce,

Chorale,

Jeux de société,

Jeux de cartes, loto

Ateliers mémoire,

Travaux manuels,

Promenades, excursions,

Sorties cinéma et spectacle,

Fêtes d'Anniversaire

Des soins sont dispensés par du personnel diplômé avec traçabilité informatique. Le résident conserve le libre choix de son médecin traitant. L'équipe d'infirmiers et d'aides-soignants assure les soins et l'aide personnalisée que requiert chaque résident. L'organisation médicale et paramédicale rigoureuse est assurée par le médecin coordonnateur de l'établissement qui veille à la coordination des intervenants extérieurs et internes et à la sécurité des soins. Un accompagnement psychologique peut également être proposé.

L'établissement bénéficiera par ailleurs d'un partenariat renforcé avec l'hôpital gériatrique René Muret et son équipe médicale.

Des coiffeurs et pédicures interviennent sur rendez-vous au sein de l'établissement.

ADMISSION :

Le prix de journée de l'hébergement et de la dépendance est fixé, chaque année, par le Conseil Général de Seine-Saint-Denis. L'établissement est entièrement habilité au titre de l'Aide Sociale.

INFOS PRATIQUES:

Adresse :
Boulevard de Gourgues
93600 - Aulnay-sous-Bo
is

01 57 42 06 60

www.groupe-sos.org

Source : http://www.capgeris.com/

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé

Publié le 2 Septembre 2015

Les galériens du RER B ont connu un début de matinée compliqué ce mercredi 2 septembre 2015 suite à la chute d’une personne sur les voies à Drancy. D’après les annonces faîtes en gare d’Aulnay-sous-Bois les pompiers sont intervenus rapidement pour l’extirper.

Le trafic était relativement perturbé avant de reprendre une certaine fluidité aux alentours de 8h30.

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Transports

Publié le 1 Septembre 2015

Un homme armé se retranche chez lui et se suicide dans son pavillon à Villepinte

Issue tragique pour l’homme qui s’était retranché ce mardi matin vers 10 heures, dans son pavillon à Villepinte. L’unité de police spécialisée du GSO (groupement de soutien opérationnel), a découvert dans l’entrée de la maison le désespéré pendu à une corde. C’est sa compagne qui avait donné l’alerte quelques instants plus tôt.

Son conjoint, âgé de 39 ans, venait de la viser avec une arme en promettant « un bain de sang ». Les pompiers ont tenté une première approche et ont constaté que l’individu était bien armé d’un pistolet. Un chien d’attaque était à ses côtés. A 11 heures, la police a sécurisé le pavillon, situé rue Daguerre. Quand les forces de l’ordre ont pénétré à l’intérieur, il était déjà trop tard. Un pistolet à grenaille a été découvert sur place.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 1 Septembre 2015

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza s’exprime sur la faillite de l’Etat PS dans la gestion du blocage de l’A1 par les gens du voyage

Atlantico : Les événements récents ont été très choquants : fusillade dans un camp de gens du voyage mardi 25 août, faisant 4 morts dont un gendarme, suivie par une émeute de 60 gens du voyage bloquant l'autoroute A1 de vendredi soir à samedi midi, journée classée rouge par bison Futé en plein WE de retour de vacances. Les émeutiers exigeaient l'autorisation de sortie exceptionnelle du fils de l'une des victimes, actuellement emprisonné, afin qu'il puisse assister à l'enterrement. Ils ont donc employé la violence : feux de pneus et de poubelles pour barrer l'autoroute dans les deux sens, alimentés par du bois coupé à la tronçonneuse par les émeutiers.

600 personnes appartenant à la communauté des gens du voyage ont assisté aujourd'hui aux obsèques à Roye. Ce fait divers violent ne donne-t-il pas l'image d'un territoire mal protégé ?

Mathieu Zagrodzki : L'affirmation est un peu choc ! C'est sûr que c'est l'image que cela donne, c'est très médiatique. On a une démonstration de force très spectaculaire. Avec des moyens mis en oeuvre qui ne donnent pas l'impression d'être improvisés. En effet il faut un certain savoir-faire pour couper des arbres et brûler des pneus afin de couper une autoroute, qui plus est l'une des plus fréquentées d'Europe, un week-end de grand retour de vacances en plein mois d'août, alors que de nombreux Belges et Néerlandais qui ont passé leurs vacances dans le sud de la France rentrent chez eux. De là à dire que l'on fait face à des hordes sauvages incontrôlables, l'affirmation est un peu exagérée. Si l'Etat ne les a pas délogés, c'est qu'il ne l'a pas voulu. Quand on parle d'impuissance, comme beaucoup de voix à droite, de Xavier Bertrand à Marine Le Pen en passant par Karoutchi, qui s'élèvent pour dire que l'état est impuissant, il n'est pas impuissant au sens physique du terme. S'il avait été décidé de déloger ces gens-là et de les interpeller, il n'y aurait eu aucun problème de moyens, c'est une question de volonté politique. Au sommet de l'Etat, on a décidé de ne pas intervenir parce que l'on considérait que le coût de cette intervention serait trop élevée par rapport à la nuisance causée par le blocage.

Bruno Beschizza : 60 personnes bloquent une autoroute, allument des feux avec des poubelles, des palettes et des pneus, et l’Etat, la force publique, ne fait rien. Combien de personnes ont été bloquées durant près de 24 heures ? Ce fait divers donne une image d’impuissance de nos forces de police. Je ne les blâme pas. En maintien de l’ordre, c’est le Préfet qui prend la main, et dans les cas les plus sérieux ou médiatiques comme ici, c’est le gouvernement qui est à la manœuvre. Bien pire que l’image, c’est le signal envoyé qui est inquiétant. Je suis élu d’une grande ville de banlieue avec des quartiers difficiles. Demain, 60 personnes provoquent une émeute dans ma ville, est-ce à dire que là encore le Préfet demandera aux forces de l’ordre de ne pas intervenir ? Cette image, ce signal, c’est le renoncement et cela m’attriste car lorsque l’Etat renonce, c’est la République qui recule.

L'autoroute est l'une des plus fréquentées d'Europe. Les touristes se sont trouvés bloqués dans leur voiture pendant des heures, certains pendant la nuit, en raison d'un réseau secondaire lui aussi saturé. L'autoroute a été dégradée, l'impact économique de l'interruption du trafic est patent. Xavier Bertrand a demandé des "sanctions exemplaires" afin de réagir à ce blocage contraire à l'Etat de droit. Face aux enjeux humains et économiques, le gouvernement a-t-il manqué de poigne et de volontarisme?

Bruno Beschizza : C’est une très bonne question car si vous remarquez bien, le gouvernement, et notamment le Ministre de l’Intérieur est très silencieux sur la question. Vous parlez de décision politique, mais je n’ose imaginer que le gouvernement n’a pas voulu prendre de risque d’affrontements dans les médias entre des gens du voyage et des policiers alors qu’au même moment le pouvoir socialiste tenait ses universités d’été. Je veux plutôt croire qu’il y a eu une impréparation de la part de ceux qui dirigent nos forces de sécurité. Une fusillade avec un gendarme mort, c’est assez inquiétant pour qu’on mobilise des forces de sécurité à proximité. L’ont-elles été ? Ce qui est sûr, c’est que le gouvernement joue l’opacité totale face à cet épisode.

Mathieu Zagrodzki : En termes humains, on est dans un contexte post-Sivens ; il y a toujours la crainte que ce genre de situation ne dégénère. Il me semble que c'est le préfet de la Somme qui a dit quelque chose comme "On ne veut pas que la situation dégénère, on préfère privilégier le dialogue", car il y a une forte sensibilité de l'opinion publique envers les bavures et violences policières. Si une situation dégénère face à plusieurs personnes déterminées, car il faut l'être pour bloquer une autoroute, elles ne vont pas se laisser faire si la gendarmerie mobile ou les CRS tentent de les déloger. Donc ils vont devoir employer des flashballs, des matraques, des gaz lacrymogènes ; ça fait mal et ça peut parfois tuer dans la pire des situations, ce que l'on a vu avec les zadistes de Sivens. Alors on bascule dans un autre reproche qui n'est plus celui de l'impuissance mais d'un Etat qui est violent et ne sait pas user de la force de façon proportionnée. Ce n'est pas pour disculper le gouvernement ou le Ministère de l'Intérieur, je trouve également choquant qu'on laisse l'autoroute du nord bloquée par 60 personnes, mais je comprends la logique qui est la leur. Eviter les morts, la casse, des échanges de coups de feu car ils sont peut-être armés. On veut éviter un massacre qui plus est devant les caméras. Il vaut mieux avoir 50 km de bouchons et une déviation plutôt que ça.

Dans ce contexte, on peut dire que l'opinion publique est soit schizophrène soit très polarisée. Il y aura toujours des gens à droite pour reprocher de ne pas les avoir délogés, affirmant que l'Etat est impuissant et ne symbolise plus l'autorité publique comme elle le devrait. S'il y a de la casse, à gauche on va invoquer les bavures policières. C'est toujours politiquement très délicat à gérer. L'autre exemple ce sont les taxis qui bloquent la porte Maillot et le périphérique. C'est la même chose ; si le préfet de police décide de déloger les taxis et d'envoyer tous les véhicules en fourrière, ils le font, la force publique est suffisamment équipée. Mais c'est politiquement délicat. Les agriculteurs pareil. Toutes ces manifestations sont contraires à l'état de droit. Ici en effet nous sommes dans une échelle supérieure de violence par rapport aux agriculteurs ou aux taxis, même s'il y a eu des violences de la part des taxis. Et bloquer une autoroute, à part bloquer les Champs-Elysées ou encercler le palais présidentiel ou bien Matignon, je ne vois pas ce que l'on peut faire de mieux ou de pire. On peut comprendre les revendications des taxis ou des agriculteurs, également des zadistes de Sivens. Là c'est différent, ce sont des gens qui veulent faire pression sur une décision de justice. Pour autant, dans tous ces cas, on n'est pas dans l'état de droit. Entraver la circulation, s'attaquer aux forces de l'ordre, c'est contraire à la loi. Le gouvernement a donc pris une décision consciente. Le ministre a réuni son cabinet, le préfet, le directeur général de la police, le directeur général de la gendarmerie, le patron des CRS, le patron de la gendarmerie mobile. C'est une décision concertée, cela fonctionne ainsi. On consulte les opérationnels sur le terrain, qui ont dû constater que la situation était tendue, les journalistes ne pouvant pas approcher le camp. Si on lance l'assaut pour les déloger ça va complètement dégénérer. A la place, il va y avoir un blocage pendant quelques heures, on va éviter un bain de sang. C'est une "impuissance" volontaire et à mon avis assumée.

Quelles sont les règles relatives à un tel événement? A partir de quel moment l'intervention des autorités devient-t-elle une nécessité ? S'agit-il d'une décision au cas par cas? Quels sont les critères qui doivent emporter les décisions d'intervention?

Bruno Beschizza : Les critères sont simples. En matière de maintien de l’ordre, la règle traditionnelle de l’intervention des forces de sécurité, c’est de ne pas créer un désordre supérieur au trouble existant. Mais force doit rester à la loi. Ce qui est sûr, c’est que la préfecture n’a pas prise la décision seule : à partir du moment où cet événement est suivi en direct par des chaînes d’information en continu, la décision est remontée au plus haut sommet de l’Etat. Et là, effectivement, les règles d’engagement n’existent pas, c’est du cas par cas.

Je ne puis croire que l’Etat ne puisse pas maîtriser une manifestation d’une soixantaine de personnes, fussent-elles potentiellement violentes. La question, c’est pourquoi.

Mathieu Zagrodzki : Oui c'est au cas par cas. Si je devais énumérer toutes les infractions commises durant ce blocage, c'est implacable. Après il y a une question d'opportunité. Parce qu'en France on préfère la casse matérielle à la casse corporelle. Il y a une espèce de doctrine qui ne dit pas son nom, du mort zéro. On a vu Sivens, également Malik Oussékine en 1986, mais en réalité c'est très rare en France. On ne tire pas à balles réelles, parce qu'on ne veut pas que des gens restent sur le carreau. Donc quand on pense que ça va être trop violent, on préfère que l'orage passe. Ensuite c'est un mécanisme de décision très codifié. Ça se fait par la voix hiérarchique, le sous-préfet, le préfet, l'autorité ministérielle, et le cas échant le Premier ministre. La décision de donner l'assaut par une unité de maintien de l'ordre se fait forcément sur ordre de l'autorité civile. Les hommes casqués sur le terrain ne bougeront pas le petit doigt si l'ordre ne leur a pas été donné par l'autorité préfectorale, qui agit au nom du ministre. D'où des scènes habituelles de murs de CRS aspergés de tomates par des agriculteurs en colère et qui ne font que tendre leurs boucliers pour se protéger. On se demande ce qu'ils attendent : mais ils n'ont pas ordre de bouger. Cependant, le point de non-retour réside dans l'intégrité physique des forces de l'ordre elles-mêmes, ou de tierces personnes. Ici par exemple, si les gens du voyage s'en étaient pris aux automobilistes, cela aurait été le devoir de l'état de protéger ces personnes, sans quoi il y a non-assistance à personne en danger. Si ce sont juste des dégradations, on ferme les yeux.

Quels sont les risques d'un tel événement dans l'opinion publique, et quelle image le gouvernement donne-t-il ?

Bruno Beschizza : L’image de ce gouvernement est désastreuse. Je rappelle tout de même que depuis 2012, c’est un tryptique Taubira qui s’est mis en place avec le laxisme judiciaire, impunité institutionnelle et culture de l’excuse. Aujourd’hui, on voit ce que ceci donne comme conséquences. Je rappelle que pendant l’été, Christiane Taubira a proposé d’abolir le délit de conduite sans permis au motif qu’il fallait désengorger les tribunaux. Le gouvernement donne l’image de l’attentisme, et même pire : de la peur. Quand soixante personnes arrivent à mettre en échec l’Etat de droit, c’est inquiétant. Nos policiers et nos gendarmes ont été humiliés. L’Etat est décrédibilisé. Quant aux citoyens, ils ont l’impression d’un véritable deux poids deux mesures. Et les voyous, eux, restent confortés dans l’impunité.

Mathieu Zagrodzki : L'image que cela donne aux citoyens est désastreuse. Voir des gens qui bloquent impunément une voie de circulation et qui à la fin obtiennent gain de cause, comme avec les taxis qui bloquent Paris pendant une journée à l'issue de laquelle le ministre interdit Uberpop... Le citoyen ne peut que se dire que faire pression n'est pas si compliqué. De fait, la décision a sa rationalité, mais l'argument d'un "Etat-PS faible" est très facile à exploiter par la droite.

Source : www.atlantico.fr

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 1 Septembre 2015

Ce mardi 1er septembre 2015 marque probablement le point de départ de la rentrée pour une large majorité des habitants d’Aulnay-sous-Bois. Même la nature semble au diapason puisque ce matin les canards du lac de Savigny au parc du Sausset étaient bien alignés comme des élèves devant les professeurs.

C’est la rentrée à Aulnay-sous-Bois !

Seuls quelques volatiles avaient décidé de quitter les rangs pour on ne sait quelles raisons. D’où cette interrogation : quel canard serez-vous en cette fin d’année ? Un canard qui suit la ligne docilement sans poser de questions ou bien le vilain petit canard qui ose dire non ! A vous de choisir !

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #En route vers 2015 !