Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza annonce la création de l’association des amis de la majorité municipale

Publié le 30 Septembre 2014

Vous trouverez ci-dessous une lettre d’information qui acte le lancement de l’association des « Amis de la Majorité Municipale ». Cette nouvelle structure se veut un lieu privilégié d’échanges et de réflexion dans l’intérêt d’Aulnay-sous-Bois et de ses habitants. Un site internet a été créé pour l’occasion : http://www.a2m-aulnay.fr/. A noter que la prochaine assemblée générale est prévue le dimanche 5 octobre 2014 à 11h au gymnase Pierre Scohy. Enfin, dans le document que nous relayons aujourd’hui, le maire Bruno Beschizza dresse également un premier bilan des actions de son exécutif après six mois de mandature.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Associations

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J
Décision du Comité Européens des droits sociaux:<br /> "Par ses conclusions, le CEDS condamne la France pour violation des droits inscrits dans la Charte Européenne des Droits sociaux révisée (CEDSR) concernant les droits des Roms au logement, à<br /> l’hébergement, à l’éducation de leurs enfants, à l’assistance sociale et médicale, au droit à la protection de la santé.<br /> <br /> Le comité a constaté notamment que les expulsions de campements roms ont eu lieu sans respecter les conditions prescrites par la Charte et donc en violation de la dignité des personnes concernées.<br /> Il juge également insuffisante la politique du gouvernement français à l’égard des Roms, particulièrement sur l’accès à l’éducation des enfants roms et aux soins de santé. Face au manque de moyens<br /> déployés par la France pour améliorer leurs conditions de vie précaires, le CEDS considère que les Roms vivant sur le territoire français souffrent d’un traitement discriminatoire."<br /> Pour plus d'informations:<br /> Loi 2000-614 du 5 juillet 2000<br /> Circulaire N°2012-142 du 2 octobre 2012<br /> et bien sur Article 312-1 du Code Pénal...<br /> En effet Romuald,la loi n'est pas toujours appliquée ce qui permet à des gens comme vous de vociférer......
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D
Qd je lis qu'il y a eu des dysfonctionnements à l'Etat-civil de notre ville, je ne suis pas surpris. Une amie à moi qui y travaille m'a raconté le fonctionnement du service...ça fait peur.<br /> Pas de Responsable depuis plus d'un an, bcp d'agents inexpérimentés, bcp d'arrêts maladie, des horaires à la carte...et elle ne me dit pas tout!<br /> Croyez-moi, si un organisme extérieur avait fait cet audit, cela aurait donné autre chose
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F
dans les placards de l'ancien maire. est le nouveaux maire. Il se trouve une personne Mr Farrugia qui a trouver une lettre de diffamation contre lui est il ne trouve pas une aide. Mr le Maire<br /> pouvez me recevoir0
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R
Chemin du moulin de la ville, près de l'ancien camp de clandos roms, une impasse, allée de Gascogne donnant sur la résidence Vert Harmony dont la construction s'est achevée fin août. Les premiers<br /> proprio, dont moi, s'y sont installés.<br /> <br /> Il y a quelques jours, nous nous sommes réunis pour signer une pétition adressée à la police d'Aulnay contre le groupe de jeunes qui squatte toute la nuit avec musique, discussions au fond de cette<br /> allée/impasse, et, déjà, mise en place d'un point de vente de produits stupéfiants.<br /> A certains moments, ils escaladent même la clôture de la résidence et vont carrément sous le porche d'un des bâtiments de la résidence.<br /> <br /> De nombreux proprio, dont les fenêtres donnent sur cette allée et qui ont donc un visuel direct sur ces « trublions » (ne stigmatisons pas), n'en peuvent déjà plus.<br /> <br /> Mais comme tout le monde le sait, l'insécurité est un fantasme aux yeux de ceux qui vivent dans les quartiers paisibles.
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J
Depuis l'entrée en vigueur du nouveau code pénal au début des années 1990, l'exercice de la mendicité ne constitue plus un délit, tolérée en tant que telle sauf en cas de caractère menaçant, ou<br /> violent sous l’angle du délit spécifique d'extorsion dans l'obtention par violence, menace de violences ou contrainte d’une remise de fonds, de valeurs ou d'un bien quelconque, prévu et réprimé par<br /> l’article 312-1 du code pénal qui fait encourir de 7 ans d’emprisonnement et 100.000 euros d’amende.<br /> Un arrêté municipal était-il donc nécessaire?
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