Le Billet de Veritis : Un joyeux conte de Noël ! Mythes et réalités…
Publié le 25 Décembre 2010
Un joyeux conte de Noël ! Mythes et réalités…
Il est né le divin enfant. Or, tous les enfants sont divins… pourquoi donc celui-ci en particulier ?
Parce qu’il était attendu… tout simplement ! Par qui ? Par ceux qui connaissent ces choses secrètes, tels ces rois mages venus d’Orient, venus fêter la naissance d’un enfant, à l’égal de tous les autres enfants, mais peut-être aussi à nul autre pareil…Les augures, les présages l’avaient prédit… Mais comme souvent, en pareille circonstance, ceux qui auraient dû s’en réjouir, ne le reconnaîtront pas. Tel est la loi du grand nombre sans doute, mais aussi le destin de ceux qui échappent au plus grand nombre. Etrange non ?...
D’autant que sa légende était probablement, elle-même, écrite avant qu’il ne fût conçu. Encore plus étrange, non ?
Car il faut assurément une force particulière pour laisser une marque telle qu’elle en arrive à bousculer un calendrier au point que l’on dira par la suite : avant ou après !
Jusqu’à sa conception et sa mort, qui dit-on, auraient été extraordinaires ! Actes de foi ou de croyance diront certains. Pure invention diront d’autres. Et si l’on oubliait pour un temps enfantillages ou anathèmes pour revenir à l’essentiel, c’est-à-dire l’essence des choses sur laquelle chacun pourrait, peut-être, s’accorder ?
De sa conception d’abord.
Divine (mais toutes les conceptions ne le sont-elles pas ?) ou pas, personne n’a démontré à ce jour qu’une conception pouvait se produire par la vertu du Saint-Esprit. Alors, on confond aisément la vertu simple d’une mère, son innocence, y compris dans l’acte sexuel, avec je ne sais quel miracle…divin. Marie était assurément vierge de toutes pensés impures, de la notion de péché (d’autant que celle-ci n’est qu’une pure invention), mais cela ne bouscule pas pour autant les lois de la biologie qui s’imposent à tous.
De son adolescence ensuite.
Il y a une chose qui frappe dans la vie de Jésus. On ne sait pas ce qu’il advint de lui entre l’âge de treize ans et celui de trente ans. A priori, aucune trace. Etrange non ? Cela ne m’aurait pas troublé outre mesure, si à l’occasion d’un voyage en Inde, il y a de cela fort longtemps, je n’étais tombé sur quelques documents indiquant que selon, toute vraisemblance, Jésus avait foulé le sol du territoire indien et avait même étudié les écritures bouddhiques, notamment au monastère d’Alchi, situé au Laddakh, contrée que j’ai également eu la chance de visiter.
De sa maturité encore.
Des Esséniens, nous savons à la fois beaucoup de choses (à travers la découverte des manuscrits de Qumran) et finalement assez peu de choses. Si ce n’est que Jean le Baptiste attendait Jésus lui aussi (Il faut que je m’efface, pour lui laisser toute sa place, aurait-il affirmé). C’est alors qu’après son baptême, Jésus se mit en route vers son destin.
Chose bien étrange encore : tout se passe comme si, de ce moment, sa vie était toute tracée. Son arrestation, sa crucifixion, sa résurrection…
De sa « mort » enfin.
Tout est affaire de symbole. Et celui-ci est probablement le plus fort de tous. Tout le monde ne rêve-t-il pas de vaincre la mort ? Assurément, pour une personne « extraordinaire » une mort ne peut être « ordinaire ». Et d’ailleurs, il n’existe aucune mort ordinaire…Alors, tout s’est passé effectivement comme si…sauf que l’histoire ne s’est pas finie pour autant. Car une étrange chose enfin demeure : qu’est devenu Jésus après sa résurrection ? Monté aux cieux, pourquoi pas ? Mais comment ne pas voir qu’il ne s’agit là que d’une pure métaphore ?
De ce qu’il advint par la suite.
Après avoir rempli sa mission, il y a tout lieu de penser que Jésus reprit sa route vers les Indes, à la recherche des douze tribus perdues d’Israël, ainsi que l’attestent certains écrits. C’est alors, semble-t-il, qu’il finit par s’établir dans cette si belle Vallée du Cachemire, dont le souvenir reste encore présent à ma mémoire. Il y mourut selon, certaines sources, à l’âge de 108 ans.
Alors pourquoi tout cela est-il passé sous silence ?
Probablement parce que cela remettrait en cause bien des dogmes, des légendes et des pouvoirs établis. Des trésors, des secrets sûrement encore trop précieux pour qu’ils puissent être dévoilés. Jusqu’à quand ?
Et si une sorte de Wiki Leaks s’emparait des secrets bien gardés du Vatican ?
Vous avez dit révolution ?
Veritis.