Aulnay-sous-Bois réunion Croix-Blanche à la mairie : l’UDI Jacques Chaussat demande au blog Aulnaylibre ! de quitter la salle du conseil municipal !

Décidemment cela devient une habitude à l’UDI. Après « l’incident » Rama Yade qui avait vu notre  blog exclu sans ménagement d’une réunion publique voilà de nouveau qu’Aulnaylibre !  doit quitter la salle du conseil municipal pendant la réunion Croix-Blanche suite à des pressions de Jacques Chaussat tout récemment proclamé président du parti radical de Seine-Saint-Denis. Pourtant notre présence avait été autorisée par la mairie mais il semblerait que cela ait indisposé celui qui « ré-enchante le rêve d’Aulnay ». En revanche, l’arrivée au même endroit de son fidèle compagnon de route Daniel Jacob, candidat par ailleurs aux législatives de 2002 pour le MPF (Mouvement pour la France) de Philippe de Villiers, n’a semble-t-il pas posé problème à monsieur Chaussat alors que celui-ci n’était même pas convié !

Que Jacques Chaussat n’aime pas le blog Aulnaylibre ! c’est son droit le plus strict. C’est clair qu’il préférait sans doute MonAulnay particulièrement à l’époque où son rédacteur en chef, Arnaud Kubacki, passait son temps à lui faire de la publicité de façon honteusement détournée. Mais, fondamentalement, là n’est pas la question. Le plus important en effet est que ces deux « accidents » rapprochés semblent démontrer que derrière l’image policée des représentants locaux de l’UDI se cachent quelques pulsions tyranniques tendant volontiers à museler la parole et censurer la libre information ! Voilà qui est troublant pour une formation politique qui place, parait-il, l’humain au centre de la politique autour de valeurs fondées sur la liberté !  Monsieur Chaussat aurait-il un double discours et donc un double visage ?

Quoi qu’il en soit, ces événements récents ternissent incontestablement l’image locale de l’Union des Démocrates et Indépendants et notamment celle du Parti Radical d’Aulnay-sous-Bois. Eux qui prétendent incarner un renouveau, notamment dans l’optique des municipales de 2014, semblent en réalité adeptes de méthodes issues d’un lointain passé que l’on croyait à jamais enterré…