Publié le 13 Mars 2014

economie-social-automobileOn ne peut pas compter sur les patrons. Eric, à la tête d’une boîte de maintenance de véhicules, avait convié fin février tout son réseau de petits entrepreneurs d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) à débattre avec le maire (PS) en campagne. Presque tous se sont défilés. La réunion d’appartement se tiendra en tout petit comité. L’hôte prétexte les congés scolaires, la gestion du tout-venant au boulot, une mystérieuse épidémie d’angines…

Et soupçonne un fond de désintérêt pour la politique. «Ce n’est pas une question de droite ou de gauche mais nous, les petites entreprises, on se sent un peu délaissés. On ne demande pas le tapis rouge mais la ville n’a pas fait grand-chose pour nous.» Candidat à sa réélection, Gérard Ségura soupire en se grattant la tête : «C’est vrai que le dossier PSA a pris le dessus sur nos projets économiques.»

Le socialiste a un air de Droopy fatigué. Son premier mandat n’a pas tourné à la franche rigolade : trois ans de bras de fer avec PSA, dès 2011, soldés par la fermeture de son usine, l’un des premiers employeurs industriels du département. La dernière Citroën C3 est sortie de la chaîne le 25 octobre. Difficile de repartir en campagne tout feu tout flamme. Le socialiste ne cherche pas à minimiser la casse : le coût social évident, l’attractivité économique de la ville en panne, un trou dans le budget municipal qui atteindra en 2016 trois millions d’euros annuels de pertes de recettes fiscales. Et une facture électorale ? Le scrutin est doublement risqué pour le sortant, confronté à ce sinistre industriel, et qui plus est du même bord qu’un gouvernement à la peine sur le front du redressement industriel et de l’emploi. A la tête d’une liste PS-PRG-MRC-PCF, mais sans Europe Ecologie-les Verts, Gérard Ségura veut croire qu’il n’en fera pas les frais et juge la ville prête à rebondir (lire ci-contre) : «On se tourne vers l’avenir, on est en train de dépasser le traumatisme.»

«La fin de PSA a été un choc, mais Aulnay n’est pas Florange», tempère un élu. L’usine est nichée à l’extrême nord de la ville, loin du sud pavillonnaire, mais elle est dans le paysage depuis quarante ans et le nord populaire s’est construit en fonction d’elle. Certains l’appellent encore «l’usine Citroën». Seuls 240 des 3 000 salariés de PSA vivaient à Aulnay, mais tous les habitants ont un ami, un voisin, qui a travaillé sur les lignes de production. Nombreux sont ceux passés pour un job d’été, un boulot en intérim.«L’usine n’embauchait plus depuis longtemps mais on savait qu’elle était là», se souvient un Aulnaysien. Ce n’était plus un fleuron mais c’était tout un symbole.

Reproche. Le candidat UMP, Bruno Beschizza, diagnostique, lui, «un sentiment de déclassement chez les habitants, impression que la fermeture de l’usine a amplifié». La droite n’accuse pas le maire d’avoir laissé partir le constructeur automobile mais d’avoir«mal géré» la crise. Ségura aurait joué les matamores face à la direction du groupe. L’homme passe pourtant pour un discret mais Jacques Chaussat, tête de liste UDI, lui reproche de s’être empêtré dans «un bras de fer inutile», visant aussi le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, «dont on connaît la verve et les moulinets».Beschizza dénonce un «activisme de casseur de chaises qui n’a pas servi le monde ouvrier et a fait peur aux investisseurs». Il rappelle avec gourmandise la visite de Manuel Valls au côté du maire, en janvier dans le quartier du Gros-Saule, chahuté par un jeune homme qui avait lancé au ministre de l’Intérieur : «La prochaine fois, ce serait bien de venir avec le ministre de l’Emploi.»

Mais loin de lui, jure le candidat UMP, l’idée de «nationaliser» la campagne. Il a tout de même fait venir Jean-François Copé et Valérie Pécresse et recevra Jean-Pierre Raffarin lundi. Et ses concurrents glissent avoir surtout vu le conseiller régional tracter sur le prétendu enseignement du genre à l’école en brandissant les livres Tous à poil ! et Mehdi met du rouge à lèvres. «Il prend ses repères», «il bosse le plan de la ville», se moquent les autres candidats. Beschizza minimise un «petit parachutage par l’autoroute A3». De Rosny-sous-Bois, l’ancien syndicaliste policier de Synergie et spécialiste sécurité de l’UMP a déménagé sa famille de cinq enfants il y a six mois, appâté par «l’enjeu politique et économique d’Aulnay», à savoir la reconquête de la commune, dirigée par la droite pendant vingt-cinq ans avant de basculer en 2008, et la reconstruction post-PSA. 

Colère. Parmi les anciens de l’usine, l’action du maire laisse une impression mitigée. Lui rejoue le film de sa bagarre pour «accompagner la lutte sociale et le plan de reclassement» et raconte avoir été «un des rares», le jour de l’annonce de la fermeture, en juillet 2012, à venir aux portes de l’usine. «Il y avait des gars avec trente-cinq ans de maison qui pleuraient, raconte Tanja Sussest, déléguée du SIA, le syndicat majoritaire.J’avais la rage, c’est le maire qui a ramassé.» Depuis la syndicaliste et l’élu se sont rabibochés… au point de faire liste commune. Installée à Aulnay fin 2013, elle s’est vue promettre la délégation à l’emploi. Un autre ex-salarié se présente à Aulnay, Marc Darsy, délégué CGT et tête de liste LO. Pour lui, le maire s’est plus intéressé au terrain que PSA laisserait vacant qu’au maintien de l’usine. Un autre cégétiste, Jean-Pierre Mercier - aussi à LO - s’étonne que le socialiste, «de la même couleur que le gouvernement, ne nous ait pas ouvert plus de portes. Il n’a pas voulu faire de vagues auprès du gouvernement».

Le maire, lui, se targue d’avoir obtenu du groupe automobile l’engagement de proposer systématiquement des reclassements, internes ou externes. «Zéro salarié à Pôle Emploi, on s’est battus pour ça», trompette-t-il. Surtout, il est convaincu d’avoir un coup à jouer avec la reconversion du site. Et si sa proximité politique avec le gouvernement peut tenir du boulet dans la campagne, pour cette nouvelle manche, appartenir à la majorité socialiste à la région et au département - celui du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, qui lorgne sur le Grand Paris - ne joue pas, loin de là, en sa défaveur.

Source : Laure Equy - Libération

 

 

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 13 Mars 2014

Ali.jpgAli est un jeune électeur de 21 ans, étudiant en comptabilité. Il a reçu automatiquement sa carte électorale. Pour cette année, il doute encore et hésite entre les différentes candidatures dans sa ville, Aulnay-sous-Bois (93). Rencontre avec un jeune électeur.

D’après le site officiel de l’administration française « Chaque jeune Français qui devient majeur est inscrit d’office sur les listes électorales. La mairie informe par courrier le nouvel électeur de son inscription, sans que celui-ci n’effectue de démarche particulière. Si toutefois son inscription n’avait pas eu lieu, le jeune peut régulariser sa situation en s’adressant à sa mairie ou au tribunal d’instance ».

As-tu déjà voté ?

Ali : Oui j’ai déjà voté. La première fois que j’ai pu voter, c’était aux élections présidentielles de 2012. Au premier tour, j’avais voté François Bayrou. C’était un vote par défaut, j’ai pris le moins pire. Et au deuxième tour j’ai voté François Hollande contre Nicolas Sarkozy. Puis j’ai voté aux législatives.

Vas-tu participer aux municipales cette année ?

Au premier tour je vais d’abord regarder les listes indépendantes, ce qu’elles peuvent proposer. Je verrai celles qui sont le plus orientées vers la problématique des banlieues, des jeunes en banlieues qui sont dans ma ville à Aulnay-sous-Bois. Il y a un gros clivage entre Aulnay sud qui est la zone pavillonnaire où les gens sont aisés, et la partie nord, un peu plus problématique avec les cités.

Dans quelle partie de la ville habites-tu ?

J’ai la chance d’habiter dans la zone pavillonnaire, la partie où tout se passe bien. Mais il y a quand même la partie nord qui est pauvre où il y a de la délinquance. Quand il y a eu les émeutes en banlieue, il y a eu des émeutes là-bas, et il y a eu beaucoup de dégâts. Aujourd’hui je regarderai qui s’intéresse à ces problématiques-là, voir ce que les candidats vont proposer par rapport à cela. Si j’apporte mon soutien ça sera à ces personnes-là.

Connais-tu les candidats de ta ville, leur programme ?

Non, je n’ai pas encore pris le temps de regarder. Je connais le maire actuel, Gérard Segura du Parti socialiste. J’ai vu un petit peu ce que ça a donné depuis le début. La façon dont a été gérée la commune est une catastrophe, d’après ce que des personnes m’ont dit.

As-tu des affinités avec un parti politique ?

Je m’en fiche, gauche ou droite. Concrètement, ce qui m’intéresse, c’est ce que la personne propose en terme de politique sociale, comment il s’intéresse aux jeunes de banlieue… Sinon je ne voterai pas.

Comment comptes-tu t’y prendre pour faire le tri parmi les candidatures ?

Aulnay est une grande ville et il y a beaucoup de candidats. Parmi les listes indépendantes, ils ont tous de bonnes idées. Elles ont le défaut de ne pas fédérer forcément du monde autour d’eux. Des bonnes idées on en a tous. Je vais essayer, si j’ai l’occasion, de les rencontrer et de parler avec eux. Et de vraiment voir avec eux ce qu’ils ont à proposer. J’éviterai de m’appuyer seulement sur des affiches et lire ce qu’il y a de beau dedans.

A ton avis pourquoi beaucoup de jeunes s’abstiennent ou ne votent pas ?

L’abstention est due, je pense, à plusieurs raisons. Certains ont perdu espoir et n’ont vu aucun changement dans leur ville, leur quartiers, là où ils habitent. Aujourd’hui, clairement, les partis traditionnels qui tiennent les villes, les départements ou les régions, ont complètement déserté les quartiers populaires. Donc pour la jeunesse qui vient de ces quartiers-là, il y a ce sentiment d’abandon. A titre personnel, je le ressens. Ils ont l’impression qu’ils votent, qu’ils ne votent pas, ça ne change rien. Deuxièmement, certains vont penser que la politique ça ne sert à rien. Et peut-être que pour certains, notamment des jeunes avec qui j’ai eu l’occasion de discuter, il n’y a pas la conscience politique, de ce qui se passe dans leur ville.

Penses-tu que les hommes politiques peuvent changer ton quotidien ?

Très honnêtement, non. Parce que j’ai aujourd’hui le sentiment que la politique ce n’est plus vraiment de la politique dans l’action sur le terrain. C’est plus de la communication, des intérêts matériels. Aujourd’hui on veut le pouvoir, on veut le prestige mais il n’y a pas clairement une volonté d’agir au niveau de la population. Ils ne sont pas assez à l’écoute de la population, pas assez à l’écoute des besoins et des préoccupations.

Dans ta ville concrètement, comment souhaiterais-tu que les choses évoluent ?

Il y a une grande disparité entre les quartiers sud et nord, j’aimerais bien qu’il y ait plus d’égalité. Aujourd’hui quand on entend Aulnay-sous-Bois et quand je dis que j’y habite on va tout de suite penser aux quartiers chauds alors que j’habite dans la zone pavillonnaire.

Ressens-tu un décalage entre ce que les politiques proposent et ce qui est fait concrètement ?

A titre d’exemple, François Hollande avait promis le vote des étrangers aux municipales. C’était prévu pour 2014. C’était une des 60 propositions. Cela n’a pas été fait. On a clairement l’exemple le plus frappant. On tiendra les promesses qu’on peut tenir et les promesses qui ne sont pas forcément celles qui arrangent, on ne les tiendra pas. Ça a été le jeu malin d’essayer d’attirer les voix de partout. Le but du PS était d’attirer les voix de la banlieue. Ça a été chose faite mais la promesse n’a pas été tenue. On verra d’ici la fin du quinquennat mais il y a peu de chance que ce soit mis en place.

Un dernier mot à dire en direction des politiques ?

S’ils veulent vraiment candidater pour des élections, et bien qu’ils réfléchissent à ce qu’ils veulent. Et si vraiment ils le veulent, qu’ils se dévouent corps et âmes pour les habitants. Et qu’ils aient une vraie conscience politique. Et d’un côté on aimerait bien aussi les voir agir, pas seulement quand il y a des élections mais aussi à côté. Ça montrerait qu’ils sont vraiment au service des autres. Quand on se présente à des élections, on sait dire qu’on est au service d’autrui, pas au service d’intérêt politiques ou idéologiques.

Source : Chahira Bakhtaoui / http://www.bondyblog.fr/

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Publié le 13 Mars 2014

ACU21-640x320.jpgMUNICIPALES 2014. A deux semaines des élections municipales, Alain Amedro, candidat EELV, a déjà bien investi le terrain. Déjà vice-président de la région Ile-de-France, il se verrait bien diriger la municipalité d’Aulnay-sous-Bois.

Père de deux enfants, urbaniste et historien, Alain Amedro commence sa carrière en tant qu’enseignant. Il entre en politique en tant que chargé de mission transport au sein du Conseil général de la Seine-Saint-Denis. Tout en traçant son chemin, il devient vice-président du STIF (Syndicat des transports d’Ile-de-France) et président de la commission des investissements et du contrat de projet du STIF de 2004 à 2010.

A Aulnay-sous-Bois, c’est en tant que conseiller municipal d’opposition qu’il se fait connaître, poste qu’il occupe de 1999 à 2008. Cet écologiste deviendra par la suite adjoint chargé de l’urbanisme (urbanisme et espaces verts) du maire socialiste Gérard Ségura, qu’il quittera en 2010. « J’avais de profonds désaccords avec les pratiques du maire d’Aulnay ». Avec ses collègues écolos, il donnent alors leur démission.

Aujourd’hui, Alain Amedro propose « une autre alternative de gauche » à Aulnay-sous-Bois avec sa liste Vivre mieux ensemble, à Aulnay-sous-Bois», une « gauche humaniste, écologiste et solidaire ».  L’une de ses principales priorités : « remettre les règles pour tous ». Le candidat EELV n’a pas encore sorti son programme mais dévoile des propositions au fur et à mesure de la campagne (et en fonction des résultats des ateliers-citoyens qu’il engage). Il oriente les grandes lignes de son projet vers le renouveau : de nouvelles méthodes, une nouvelle équipe et un nouveau projet (social, démocratique et écologique).

AA2.jpg« Transparence », un mot qu’il répète assez régulièrement. L’élu régional propose de revaloriser le rôle de l’opposition : « une meilleure représentation de l’opposition, ça oblige à une plus grande transparence ». La thématique de l’écologie ne passe évidemment pas inaperçue dans son raisonnement, « on lie les questions d’urbanisme à l’environnement, la qualité de vie. Par exemple, le besoin d’un logement, l’agrandissement d’un certain nombres d’espaces verts ».

Au niveau du développement économique, il se préoccupe du commerce de proximité et de l’artisanat, « comment on aide les petites entreprises à s’installer par exemple. Il faut le faire en lien direct avec la chambre de commerce et l’artisanat ».  La réindutrialisation du site PSA Peugeot Citroën fait partie de cette thématique, « on pense que c’est un lieu stratégique et qu’il faut aller au-delà de la ville ». Alain Amedro défend l’idée de l’intercommunalité et d’une réindustrialisation dans le domaine de l’aéronautique, de l’éolienne et du solaire.

La thématique des transports en commun est aussi un domaine qu’il connait bien. A l’heure où les Aulnaysiens vivent un véritable calvaire avec le RER B et ses dysfonctionnements à répétition, Alain Amedro se veut ferme. « La commune peut porter le dialogue et des exigences. La SNCF et RFF (Réseau Ferré de France) doivent nous rendre des comptes et dire quelles solutions apporter très rapidement ». Il n’oublie pas de qualifier la situation de « scandaleuse ».

En attendant de publier sa liste officiellement, Alain Amedro se laisse aller à quelques confidences, « on a fait équipe avec des gens qui ont milité dans les associations, on se positionne vraiment plus comme des gens qui ont envie de travailler ensemble que comme des déçus ».

Le 12 février dernier, il animait une réunion publique dans laquelle Patrick Braouezec, président de la communauté d’agglomérations Plaine Commune, et Julie Nouvion, présidente de Bruitparif et conseillère régionale, venaient le soutenir. Il assistait aussi au déplacement de Cécile Duflot le 21 février à Aulnay en sa qualité de vice-président de la région Île-de-France (en présence du maire Gérard Ségura et du député Daniel Goldberg). La ministre venait défendre sa loi sur le logement, tout juste votée.

« Je pense que si on veut garder cette ville à gauche il faut qu’on soit en tête ». Alain Amedro ne cache pas son ambition : se maintenir au second tour. Il y a quelques semaines, Gérard Segura publiait un communiqué d’ « appel à un désistement réciproque en faveur de la liste de gauche la mieux placée au premier tour » Le candidat EELV n’a toujours pas répondu, « ce n’est ni un refus, ni une acceptation. On regardera les choses de façon très précises au soir du premier tour ». Un scrutin attendu de pied ferme.

Source : Imane Youssfi / http://www.bondyblog.fr/

 

 

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 13 Mars 2014

le 12 mars 2014

Intimidations, agressions, injures publiques :

Alain Amédro lance un appel à toutes les têtes de liste :

« Revenons à la dignité démocratique »

Alain-Amedro-2014

Hier, une colistière de l'UMP a été la victime d’inscriptions injurieuses sur sa porte et dans les couloirs de son immeuble. Ces inscriptions sexistes et ordurières, tracées à la peinture, faisaient clairement référence à son soutien à l'UMP.

Face à des actes intolérables, dès hier après-midi, Alain Amédro a tenu à se rendre auprès de la candidate, parce que au-delà des oppositions politiques fortes, il y a des femmes et des hommes engagés pour la démocratie. Il lui a témoigné tout son soutien républicain et réaffirmé que chaque citoyen a le droit de se présenter sur la liste de son choix. Ce libre choix, sans pression, constitue le cœur de la démocratie.

La campagne municipale à Aulnay connaît bien des dérives : blog corbeau, pressions et menaces sur les colistiers de plusieurs listes, entrisme...

Nous refusons la censure des idées, l'intimidation, les lettres anonymes, les injures publiques... Ce sont autant de comportements politiques indignes qui déconsidèrent les autres plutôt que de rassembler. Du changement de comportement des responsables politiques dépend une société plus juste et plus harmonieuse.

Alain Amédro lance un appel solennel à toutes les têtes de liste : « Ces 17 derniers jours de campagne doivent se passer dans un climat démocratique apaisé et respectueux des femmes et des hommes. Pour ma part, je m'engage à être le maire de tous les aulnaysiens, quelques soient leur quartier, leurs origines ou leur vote en 2014 ».

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 13 Mars 2014

3667495_11-0-4182255797.jpgDES INSULTES à la peinture sur sa porte, dans le hall de son immeuble, sur sa boîte aux lettres... Najwa Sadki, candidate sur la liste de l'UMP Bruno Beschizza à Aulnay, a eu un réveil un peu brutal mardi. « Ma voisine est venue sonner à 8 heures, et j'ai vu... », confie la femme de 30 ans, qui habite dans le quartier Savigny. Outre les injures, l'un des graffitis la traite de « balance UMP ».

Condamnations en bloc


Candidate pour la première fois (en 38e position), Najwa Sadki a déposé plainte, se gardant bien de désigner un coupable. « Je n'ai aucune idée de qui a fait cela. Les gens savent que je suis en campagne. J'ai fait beaucoup de porte-à-porte, j'ai beaucoup discuté autour de moi », explique-t-elle, assurant avoir reçu de nombreuses réactions de soutien hier.

Dans un communiqué, Bruno Beschizza déplore « un climat de divisions et de haine », fruit, selon lui, « d'une 
gestion municipale partisane ». Le maire PS sortant, Gérard Ségura, dément : « Je condamne ces inscriptions. La campagne s'est jusqu'à présent déroulée tranquillement, dans un climat qui n'a rien à voir avec celui de 2008. » L'élu accuse à son tour le camp de son rival UMP. Il affirme avoir déposé plainte, il y a une dizaine de jours, pour injure publique, après un tweet envoyé par un partisan de Bruno Beschizza.

Le candidat écologiste Alain Amédro affirme, quant à lui, avoir observé des « dérives » dans la campagne. Il a rendu visite à Najwa Sadki pour lui exprimer son indignation. « Je ne suis pas d'accord avec ses idées, mais il est inacceptable qu'on cherche à intimider quelqu'un qui s'engage ainsi dans la vie démocratique. On se doit tous le respect. »

Source : Le Parisien

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Publié le 13 Mars 2014

3667697_11-0-4181323702_545x341.jpgA DIX JOURS du premier tour des municipales, l'affaire Orty Gym pourrait-elle nuire à Eric Raoult, le maire UMP du Raincy, qui se présente à sa propre succession dans un contexte compliqué ? Difficile à dire. Ce club de gym réservé aux femmes s'était fait remarquer, bien malgré lui, en novembre dernier, lorsque le maire avait décidé de le fermer pour des questions de sécurité. Les responsables, eux, avaient mis en avant un acte islamophobe, Lynda Ellabou, la gérante, portant le voile. Depuis début février, le club a rouvert. Et Brigitte Kadri, la nouvelle avocate, a décidé de porter plainte contre le maire pour discrimination raciale et trafic d'influence concernant la composition de la commission municipale de sécurité. Elle réclame 200 000 € de dommages et intérêts pour le préjudice économique et moral.

En septembre, quand le club ouvre, tout va bien. Mais lorsque Lynda Ellabou et son mari se déplacent en personne à l'
hôtel de ville pour déposer une autorisation d'aménagement, tout se gâte. « Le jour où le maire a vu que ma cliente portait un voile et que son époux portait la barbe, ça a été le début de leurs ennuis », soupire l'avocate. Eric Raoult fait un signalement à la préfecture qui ne réagit pas. Mieux, selon Brigitte Kadri, elle donne un agrément de conformité. « Le maire l'a mal pris. Alors, en octobre, il a monté une commission municipale fantoche avec des membres à lui qui, comme par hasard, ont estimé que le local ne respectait pas les normes », poursuit l'avocate.

Le couple essaie alors de négocier directement avec Eric Raoult. Mais, méfiant, il s'équipe d'un dictaphone discret. « Il nous a dit clairement qu'il ne voulait pas de femmes voilées, il m'a demandé de changer le nom du club et même d'activité, s'étrangle encore Lynda Ellabou. Il voulait que je fasse un salon d'esthétique. De cette manière, selon lui, c'était plus simple d'exclure les hommes. » Le blocage est 
total. Un mois plus tard, un arrêté de fermeture est pris. « La police municipale a débarqué un jour, a évacué toutes mes clientes et a fait fermer le club », raconte la future maman, encore sous le choc. Elle attaque en référé devant le tribunal administratif de Montreuil, mais elle est déboutée, les juges ne voyant pas l'urgence... La date de l'audience sur le fond n'a pas encore été fixée. Lorsque Brigitte Kadri reprend le dossier, elle décide de repartir de zéro, assure que les normes sont respectées et fait rouvrir le club début février. Sauf qu'entre-temps la moitié des adhérentes sont parties.

De son côté, Eric Raoult plaide la bonne foi. « Orty veut dire soeur en arabe et avec ces soupçons de salles de prière clandestines, on a l'impression que ce nom de club incite à venir prier dans les lieux, d'autant que la gérante porte le voile, essaie-t-il de justifier. Alors, oui, j'ai peut-être dit que je n'étais pas favorable à la présence d'une femme voilée, mais c'était pour éviter d'en faire un commerce communautaire. Voila aussi pourquoi j'ai tenté de les faire changer de nom. » Concernant la fameuse commission de sécurité et l'agrément préfectoral, le maire estime que l'avocate se méprend. « La préfecture a donné un agrément concernant l'accès handicapé, pas sur la sécurité, poursuit-il. Quant à la commission municipale, elle est composée de policiers, de pompiers, d'experts qui ne travaillent pas pour moi. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 13 Mars 2014

envoye_special.jpg« ENVOYÉ SPÉCIAL » aborde ce soir la question des non-remplacements de profs dans l'Education nationale. Dans son sujet « Ecole cherche profs désespérément », l'émission de France 2 a notamment suivi le collectif des parents d'élèves de Seine-Saint-Denis, qui est mobilisé depuis plusieurs années pour une meilleure gestion de cette question. Chaque année, en France, deux millions et demi d'heures de cours sont perdues pour cause de professeurs en arrêt maladie ou en formation, et non remplacés. Le département est particulièrement touché par ce phénomène.

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 12 Mars 2014

Vous trouverez ci-dessous un communiqué de Bruno Beschizza informant qu’une habitante d’Aulnay-sous-Bois a été victime de graffitis injurieux anonymes pour avoir rejoint sa liste. Espérons que ces pratiques totalement inacceptables pour notre pays démocratique ne marquent pas un tournant détestable dans la campagne à une dizaine de jours du premier tour de scrutin.

Bruno-Beschizza-AulnayCe matin, Mme SADKI, colistière de Bruno BESCHIZZA a découvert des inscriptions sur sa porte «PUTE PARTE» et dans son hall d’immeuble «SADKI BALANCE UMP».

Bruno BESCHIZZA, candidat de la droite, du centre et de la société civile, dénonce un geste particulièrement lâche et indigne.

Cette jeune femme choisie sur la liste de Bruno BESCHIZZA, en position éligible, a été choisie pour ses qualités humaines et ses compétences.

Les injures inscrites sur sa porte mettent une fois de plus en avant les pratiques non démocratiques et le non-respect de la pluralité des idées de chacun.

Ce climat de haine et de division est le fruit finalement d’une gestion municipale partisane qui oppose les habitants entre eux, et rend d’autant plus nécessaire l’alternance à Aulnay-sous-Bois avec la mise en place d’une nouvelle méthode de gouvernance portée par la liste Aulnay respectueuse, Aulnay gagnante.

Source : communiqué du 11 mars 2014 du site http://www.beschizza2014.fr/

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 12 Mars 2014

Alternance. Bien que les candidats socialistes en campagne ne se heurtent pas à la colère des électeurs sur le terrain, mais plutôt à une certaine atonie, le PS redoute une forte abstention et un vote sanction.

À DOUZE JOURS du premier tour des élections municipales, beaucoup de socialistes jugent que la campagne est insaisissable, selon le terme utilisé hier par Thierry Mandon, l'un des porte-parole des députés PS. Tour d'horizon des questions qui taraudent l'état-major et les candidats.

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La valeur des sondages. Les sondages sont généralement fiables, mais ils ne mesurent un rapport de force qu'à un moment précis. Jusqu'au jour du scrutin, la situation peut bouger. Il y a trois semaines, devant les étudiants de Sciences-po, Jean-Christophe Cambadélis, le numéro deux du PS, avait exprimé ses doutes : « Les sondages actuels, si on les écoutait, on ne perdrait rien ou presque. Or jamais sous la V e République un gouvernement impopulaire n'a gagné d'élections intermédiaires. Donc, il y a quelque chose qui cloche. » Alors que la campagne officielle vient juste de démarrer, l'opinion n'est pas encore cristallisée, estime Christophe Borgel, le responsable des élections au PS.
Le niveau de l'abstention. 
« Les sondeurs ont tendance à la sous-estimer, car ils ont du mal à la mesurer », avertit le politologue Roland Cayrol. « Ce qui compte surtout, c'est l'abstention différentielle, en l'occurrence savoir si les abstentionnistes seront plus nombreux à gauche qu'à droite », relève le chercheur Pierre Martin. Ce qu'on redoute au PS, c'est, compte tenu de
 l'impopularité record du chef de l'Etat, une faible mobilisation des électeurs de Hollande. Rue de Solferino, on espère au moins que les récentes affaires ayant visé Copé et Sarkozy pèseront sur l'électorat de droite.

Le risque d'une déroute. Les municipales sont les premières élections depuis l'arrivée au pouvoir des socialistes en 2012 et peuvent donc être propices à l'expression des mécontentements. Sur le terrain, les candidats assurent que les électeurs ne leur disent pas qu'ils vont les sanctionner à cause de Hollande. « Ce n'est pas parce qu'on ne l'entend pas que cela n'existera pas », prévient Laurent Baumel, animateur de la Gauche populaire.
Après un bon millésime 2008, le PS, qui dirige les deux tiers des villes de plus de 100 000 habitants et 50 % des villes de plus de 10 000 habitants, a en tout cas cette fois plus à perdre qu'à gagner. Certes, les experts électoraux du parti se disent plutôt rassurés pour les grandes métropoles : Paris, Lyon, Lille, Toulouse, Rennes, Nantes, Montpellier. Cependant, une dizaine d'autres grandes villes pourraient bien basculer à droite, notamment Amiens, Angers, Argenteuil , Caen, ainsi que Saint-Denis de la Réunion. Mais c'est surtout dans les villes petites ou moyennes que les pertes du PS pourraient être les plus lourdes. En 2008, 42 villes de plus de 30 000 habitants étaient passées de droite à gauche. Cette année, le mouvement devrait être inverse, voire plus puissant encore.

Source : Le Parisien

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 12 Mars 2014

Suite ci-dessous de notre reportage vidéo consacré à la venue de l’ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin à la salle Chanteloup d’Aulnay-sous-Bois le 10 mars 2014. Après le sénateur-maire des Pavillons-sous-Bois Philippe Dallier, c’est Bruno Beschizza qui a pris la parole. Son intervention s’est articulée en deux temps. Un premier pour présenter ses colistiers qui sont montés sur scène les uns après les autres. Un second pour décliner les axes fondamentaux de son programme.


Dans son discours Bruno Beschizza a dénoncé toutes les dérives du système Ségura. Il a marqué sa volonté de rompre avec les pratiques d’un système qui abime notre ville. Pour ce faire, il propose qu’Aulnay-sous-Bois redevienne respectueuse de toutes les Aulnaysiennes et de tous les Aulnaysiens sans distinction. Il souhaite agir également pour qu’Aulnay-sous-Bois retrouve enfin sa place dans l’est-parisien en devenant un pôle économique attractif pour les entreprises permettant de valoriser les talents et les potentiels de chacun des habitants de la commune.

Robert Ferrand.

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 12 Mars 2014

data-center.pg.jpgIls sont devenus des rouages essentiels des « autoroutes de l'information ». Les data centers, ces bunkers abritant les serveurs et les données de gros clients (fournisseurs d'accès Internet, opérateurs de téléphonie, grandes sociétés), pullulent en Seine-Saint-Denis. Cinquante pour cent des flux Internet français transitent par le 93. 

La Plaine-Saint-Denis, autrefois la plus grande zone industrielle de France, fournit une puissance électrique suffisante pour alimenter ces centres de données (pour des clients tels que IBM ou BlackBerry). A Saint-Denis, Aubervilliers, La Courneuve, on trouve déjà 12 data centers, sur 110 000 m 2. Trois nouveaux sites doivent voir le jour : à Aubervilliers (Data 4 sur 15 000 m 2 rue Réchossière) ; à La Courneuve (Interxion Paris 8 remplacera Eurocopter sur 43 500 m 2) ; et enfin à Villetaneuse (sur 15 000 m 2, sur un ancien terrain de Veolia).

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Technologies

Publié le 12 Mars 2014

S1I17LA VIGILANCE D'UN COUPLE a sans doute permis à une fillette de 4 ans d'échapper à la perversité d'un oncle de 51 ans à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Dimanche, vers 17 heures, ces passants, qui se trouvaient dans un parc du quartier de Savigny, ont été intrigués en voyant un homme se diriger vers une rampe d'accès aux caves. Il emmenait avec lui une très jeune fillette.

Le couple les a suivis, surprenant le quinquagénaire dans un recoin, dans une position peu équivoque, le pantalon baissé, l'enfant contre lui... Les riverains ont immédiatement appelé la police, et l'homme a été interpellé dans la foulée.

Le suspect a été confié à la brigade des mineurs de la sûreté territoriale de Seine-Saint-Denis, à Bobigny, le service spécialisé dans les viols et les agressions de mineurs. Le pédophile présumé vit en Italie. Il était de passage à Aulnay, hébergé chez des proches qui se trouvent être également les grands-parents de la petite victime. La fillette était venue passer quelques jours chez eux, envoyée par sa mère, italienne, après le récent décès du père.

L'enfant a été rendue à ses grands-parents après avoir été entendue par les policiers de la brigade des mineurs, avec l'appui d'un interprète. L'oncle, lui, est resté deux jours en garde à vue à Bobigny. Il a été déféré hier soir au tribunal. Le suspect nie avoir abusé de l'enfant et évoque un malentendu.

Un magistrat décidera des suites à donner. Des contacts ont été pris avec les autorités transalpines, par l'entremise de l'officier de liaison français en poste en Italie. Il s'agit notamment de savoir si cet homme est déjà connu pour des faits semblables.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 11 Mars 2014

La venue de Jean-Pierre Raffarin à Aulnay-sous-Bois hier soir pour soutenir Bruno Beschizza dans la campagne des municipales a remporté un succès colossal. En effet, près de 600 personnes ont été dénombrées à la salle Chanteloup. L’événement s’est déroulé en trois temps : l’arrivée de l’ancien premier ministre et le discours du sénateur-maire Philippe Dallier, la présentation des colistiers et le discours de Bruno Beschizza, puis enfin l’intervention de Jean-Pierre Raffarin.


Nous vous proposons de débuter la couverture de cette soirée avec deux premières vidéos présentant l’arrivée sur scène de Jean-Pierre Raffarin puis le discours de Philippe Dallier. Après avoir fustigé la politique menée par François Hollande et Jean-Marc Ayrault au niveau national, le maire des Pavillons-sous-Bois a rappelé l’importance des prochaines municipales pour reconstruire et repartir de l’avant dans l’optique de 2017. Il espère que Villepinte, Le Blanc-Mesnil ou encore Saint-Ouen puissent basculer le 30 mars au soir

Quant à Aulnay-sous-Bois spécifiquement il a conclu par ces mots : « Je suis certain que la victoire est au bout du chemin. Allez-y, foncez, n’ayez peur de rien, vous allez gagner ! »

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 11 Mars 2014

Nibart.jpgCe matin, la rédaction d’Aulnaylibre ! relayait un article du Parisien consacré à Dominique Nibart le créateur du concours de robots Cybertech. Mieux encore, notre site est allé directement à sa rencontre pour une interview à l’occasion d’un événement important : le Forum Mondial des Enseignants Innovants de Barcelone. C’est là-bas que Dominique Nibart, tel un ambassadeur, représentera son collège (Pablo Néruda), notre bonne ville d’Aulnay-sous-Bois et le département de la Seine-Saint-Denis.  

A quel évènement allez-vous participer la semaine prochaine ? 

D.N : J'ai l'honneur et la fierté d'être sélectionné avec 250 autres enseignants du monde entier afin de participer au Forum Mondial des Enseignants Innovants (90 pays sont représentés). Je pars lundi (hier) pour Barcelone avec 6 autres enseignants français.

Qu'est-ce qui vous vaut d'être sélectionné ?

D.N : C'est le concours de robots Cybertech que j'anime depuis 19 ans qui a retenu l'attention du jury.

Comment cela va-t-il se passer ?

D.N : Dans un premier temps je disposerai d'un stand sur lequel j'installerai quelques robots réalisés par les élèves, des photos ainsi qu'une imprimante 3D utilisée par mes élèves. J'aurai droit à 3 minutes de présentation (en anglais ) devant un jury qui me posera ensuite des questions durant une quinzaine de minutes. Puis je devrai avec une équipe internationale (une vietnamienne, une égyptienne, un belge et un chypriote) réaliser une activité pédagogique innovante, motivante et intéressante (toujours en anglais) et la présenter à un jury.

Pensez-vous gagner ?

D.N : Il y aura certes des récompenses là-bas pour les 10 meilleurs projets, mais Cybertech n'étant pas une compétition, je ne vais pas jouer les compétiteurs. J'y vais pour rencontrer des enseignants innovants qui m'apporteront sans doute beaucoup et me feront progresser dans ma pratique.  Je suis également fier de représenter mon collège (Pablo Néruda) ma ville (Aulnay-sous-Bois) et mon département (la Seine-Saint-Denis).

Interview recueillie par Marc Masnikosa. Un grand merci à Dominique.

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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 11 Mars 2014

3649521_11-0-4161377910_640x280.jpgLe tribunal de grande instance de Paris a condamné ce mardi le groupe PSA pour «inégalité de traitement», après le versement d’une prime de fin de conflit de 19 700 € à d’anciens grévistes de l’usine automobile d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).  C’est ce qu’annonce Me Philippe Lejard, avocat du Syndicat indépendant de l’automobile (SIA), à l’origine de cette procédure. La direction de PSA, contactée, n’était pas encore au courant de cette décision. 

 La justice ordonne à l’entreprise de verser cette prime supplémentaire à tous les salariés qui en avaient fait la demande avant le 16 août 2013. Cela représente au moins 550 personnes, selon Me Lejard.  Alors qu’un plan social accompagnait la fermeture de ce site industriel, la direction de l’entreprise a passé en mai 2013 un accord avec le syndicat CGT, pour mettre fin à une grève de quatre mois au sein de l’usine. Dans un premier temps, 120 à 130 salariés ont pu quitter l’entreprise en touchant la prime supplémentaire, à condition de partir rapidement et de renoncer aux mesures de reclassement. 

Une deuxième vague de 350 personnes ont à leur tour touché la prime mais ont dû pour cela présenter une promesse d’embauche ou les preuves d’une création d’entreprise. 550 autres salariés ont vu leur demande refusée. C’est en leur nom que le SIA avait entamé sa procédure.  L’usine PSA d’Aulnay, qui comptait plus de 3000 salariés en juillet 2012, va fermer ses portes cette année.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 11 Mars 2014

A Chanteloup on y a cru pourtant ! Le terre-plein près d’Intermarché avait été nettoyé. Les riverains s'attendaient donc à l’aménagement de somptueux massifs de fleurs pour égayer un peu le paysage. Après tout, comme indiqué sur les panneaux d'entrées de la commune,  Aulnay-sous-Bois est une ville 4 fleurs.

chanteloup1.jpg

C’est alors que le drame est survenu. La vue d’un véhicule de secours devant la mairie était le signe annonciateur que l’on redoutait tous : la dépendance de Gérard Ségura au béton reprenait de plus belle !

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Et c'est donc à Chanteloup, qu’à la place de massifs de fleurs, une chape de béton de forte épaisseur est venue calmer une des crises d’addiction du maire au béton. A ce stade d’évolution la maladie semble donc totalement incurable.

chanteloup3.jpgDommage que Gérard Ségura n’ait pas été accroc au goudron pendant ses six années de mandat. Parce qu’au moins les nids de poule, d’autruche et autres dégradations de la voirie auraient été résolus au quart de tour !

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Marc Masnikosa

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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 11 Mars 2014

3661825_2.JPGL’Observatoire régional des déchets (Ordif) annonce que la quantité d’ordures ménagères diminue. Leur traitement reste néanmoins problématique.

C'est une bonne nouvelle pour l'environnement en Ile-de-France. En 2012, le nombre de déchets ménagers et assimilés (DMA) produits par les Franciliens a reculé de 70 000 t sur un an pour s'établir à 5,62 millions de tonnes. Enlevons quelques zéros pour rendre ce chiffre plus concret : en 2012, chacun des 11,9 millions de Franciliens a produit en moyenne 472 kg de déchets. Ce sont aussi huit kilos de moins qu'en 2011, précise l'Observatoire régional des déchets (Ordif), qui présente ce matin ses dernières données en la matière.

Prévention et fibre écolo ont permis leur réduction

L'une des raisons de ce recul, c'est la 
crise. En période de vaches maigres, on consomme moins et donc logiquement, on produit moins de déchets. « Mais c'est difficilement mesurable et ce ne peut pas être le seul facteur d'explication », prévient Geneviève Wortham (PS), présidente de l'Ordif.

Elle préfère y voir les premiers résultats de la mise en place, pour les plus anciens en 2009, de plans locaux de prévention des déchets (PLP), « qui concernent aujourd'hui 76 % de la population francilienne ». Si l'Ordif estime qu'il est « encore trop tôt pour évaluer l'impact de ces programmes », il constate que « 80 % des collectivités engagées dans un PLP depuis 2009 ont enregistré une baisse de leur ratio de collecte d'ordures ménagères, contre 70 % en moyenne dans l'ensemble de la région ».

Pour sa part, la vice-présidente chargée de l'environnement à la région, Corinne Rufet (EELV) veut y voir « une prise de conscience du problème de la part des Franciliens, qui contrairement à d'autres causes écologiques, est très concret. Les déchets, on y est confronté à chaque fois qu'on pose le pied sur la pédale de sa poubelle ».

Au niveau des départements, les situations peuvent être très variables. Ainsi, c'est en Seine-et-Marne que la quantité de DMA par habitant, comprenant les quantités déposées en déchetteries, a le plus reculé : la poubelle moyenne y pèse 23 kg de moins qu'en 2011. A l'inverse, la Seine-Saint-Denis et les Yvelines sont les deux seuls départements où la DMA a augmenté avec respectivement + 2 kg et +1 kg.

Cependant, la Seine-et-Marne reste le département où on remplit le plus son vide-ordures : avec 540 kg de déchets par habitant, on est très loin des 394 kg produits par les habitants des Hauts-de-Seine, les plus vertueux en la matière. Le Val-d'Oise et ses 505 kg de déchets par habitant se trouve en 3e position. Les Yvelines avec 476 kg se situent dans la moyenne.

« En Grand-Couronne, les modes de vie sont différents. Les gens y produisent davantage de déchets verts (feuilles, branches, gazon...) qu'en Petite Couronne », explique Geneviève Wortham. Seul bémol, si le nombre de déchets diminue, la façon de les traiter ne change pas et reste essentiellement nuisible à l'environnement.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Environnement

Publié le 11 Mars 2014

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Source : Les Echos du lundi 10 mars 2014

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 11 Mars 2014

3660787_11-0-4173720639_545x341.jpgIl a organisé la première édition « dans la cantine » de Pablo-Neruda, un collège réputé sensible d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). C'était il y a dix-neuf ans. Depuis, Dominique Nibart a fait de son concours de robots un événement national.

Quelque 2 500 enfants, essentiellement des collégiens, de toute la 
France participent chaque printemps à la compétition inventée par ce prof de technologie, persuadé que « l'imagination débordante des gosses » peut faire des miracles. Son concept tient du jeu : les équipes doivent, sans l'aide d'adultes, inventer un robot capable de parcourir quelques dizaines de mètres en ligne droite.

« A chaque fois, les jeunes commencent par dire qu'ils ne savent pas faire, puis ils inventent des trucs ultra-compliqués, raconte l'enseignant. Depuis que le concours existe, ils ont inventé 106 manières différentes de faire avancer leur robot, avec du sable, de l'air, de l'eau, et même des lentilles ! »

Pour les concurrents, le pari est gagné quand leur engin dépasse la ligne d'arrivée. Pour Dominique, l'objectif est ailleurs : l'apprentissage de quelques notions de technologie, bien sûr, mais surtout « la découverte pour ces gamins qu'ils sont capables de créativité ». Le professeur le jure, cette conviction « change tout », jusqu'au comportement « des plus perturbateurs ». 

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Technologies

Publié le 10 Mars 2014

3649485_d4af6c72b83bf1cf1eebc99501253764adf7e26d_640x280.jpgDe loin, la Tour Eiffel paraît enveloppée dans un châle de brume. Alors qu'un nouveau pic de pollution est atteint ce lundi en Ile-de-France, les associations «Ecologie sans frontière», «Respire» et «le Rassemblement pour la Planète» ont décidé de porter plainte contre X pour mise en danger d'autrui. Toutes trois ont indiqué qu'elle serait déposée mardi.  Il s'agit d'une première en France. «Il y en a ras-le-bol de ce phénomène de la pollution de l'air. Dès qu'il fait beau, dès qu'il fait sec en hiver, vous avez des pics de pollution, les urgences se remplissent. Les slogans et les petites manifs très gentils ça ne suffit plus», lance ce lundi matin sur France Info le vice-président d'Ecologie sans frontière, Nadir Saifi. 

L'épisode de pollution aux particules qui touche l'Ile-de-France depuis mercredi devrait se prolonger en ce début de semaine, avec un dépassement attendu lundi du seuil d'information, a indiqué dimanche l'association francilienne de surveillance de l'air Airparif. Le seuil d'information correspond à une concentration moyenne dans l'air de 50 microgrammes par m3 de PM10 (particules au diamètre inférieur à 10 micromètres) et le niveau d'alerte à une concentration de 80 microgrammes par m3.

Vendredi, 
ce seuil d'alerte, le plus haut niveau de mise en garde accompagné de réductions de vitesse pour les automobiles, avait été déclenché. Ce dimanche, un vent un peu plus fort et une circulation moins intense ont offert un peu de répit aux poumons des Franciliens, même si le niveau de pollution restait important.

Dans un communiqué dimanche, la préfecture de police de Paris a conseillé aux populations les plus sensibles d'éviter les activités sportives intenses et de consulter médecins ou pharmaciens «en cas de gêne respiratoire ou cardiaque inhabituelle». Les automobilistes, eux, sont invités à «différer leurs déplacements» et à «emprunter prioritairement les réseaux de transport en commun». 

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 10 Mars 2014

bondy-gare-les-coquetiers2_640x280.jpgLe trafic devait reprendre vers 11h45 ce matin sur la ligne du tram-train T4, entre Bondy et Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis). Il était interrompu depuis 10h30 ce lundi, en raison d'un accident à la gare des Coquetiers (Pavillons-sous-Bois). Une voiture, qui n'a pas respecté les feux de signalisation, s'est retrouvée sur les voies à l'arrivée d'une rame. Le conducteur du tramway a freiné mais n'a pas réussi à éviter la collision, qui n'a heureusement fait aucun blessé.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 10 Mars 2014

map_of_taiwan.jpgOnze élèves du collège de Jinhu, à Kinmen, une île du détroit de Taiwan, sont arrivés le 1er mars pour un séjour d’une semaine en France dans le cadre d’un échange pédagogique avec le collège Pablo Neruda d’Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Une quinzaine d’élèves aulnaisiens sont attendus en retour à Kinmen à la fin du mois prochain. L’idée de cet échange est venue à Yann Reby, professeur d’anglais au collège Pablo Neruda, et principal organisateur du côté français, alors qu’il visitait Kinmen, une île pour laquelle il s’est pris de passion.

La rencontre avec Andrew Stewart, un professeur d’anglais au collège Jinhu, dans le sud-est de Kinmen, a été déterminante, les deux professeurs décidant d’établir des ponts entre leurs élèves au moyen d’échanges de correspondances et de cours optionnels, en vue d’ouvrir leurs horizons sur un ailleurs très différent – tout en améliorant leurs capacités de communication en anglais.

Les collégiens taiwanais avaient à leur programme le Château de Versailles, le quartier Montmartre ou encore les bords de Seine mais aussi au Palais Bourbon où ils ont été reçus le 6 mars dans l’après-midi par Claude Bartolone, le président de l’Assemblée nationale. Ils sont rentrés hier de leur voyage en France.

Fin avril, c’est une quinzaine d’élèves du collège d’Aulnay qui viendront découvrir Kinmen, une île dont sur laquelle ils en savent déjà beaucoup grâce à leurs correspondants et de par les recherches qu’ils ont menées avec leur professeur d’anglais.

On peut suivre quelques-uns des moments privilégiés de cet échange scolaire sur la page Facebook consacrée par les élèves d’Aulnay et leur professeur au Projet Kinmen.

Source : http://taiwaninfo.nat.gov.tw/

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 10 Mars 2014

Bruno-Beschizza-Aulnay-copie-1L'ancien Premier ministre UMP et actuel sénateur de la Vienne, Jean-Pierre Raffarin, vient ce soir à Aulnay-sous-Bois soutenir le candidat Bruno Beschizza pour les municipales lors d'une grande réunion publique. Ce dernier en profitera pour présenter l'ensemble de ses colistiers. Philippe Dallier, sénateur-maire UMP de Pavillons-sous-Bois, sera également présent.  

Ce soir à 20 heures, salle Chanteloup, 1, avenue de Nonneville à Aulnay-sous-Bois.

Source : Le Parisien

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 10 Mars 2014

3657893_11-0-4170204650_545x341.jpgLes futurs parents d'élèves et les élèves sont invités ce soir à participer à une réunion d'information sur le 7 e collège d'Aulnay-sous-Bois, à six mois de son ouverture. Cette réunion aura lieu dans l'école Nonneville en présence de Stéphane Troussel, le président (PS) du conseil général, et Gérard Segura, le maire PS. Ce collège est des cinq établissements nouvellement créés, parmi les douze qui seront inaugurés en septembre prochain. Il aura une capacité d'accueil de 700 élèves, un gymnase et un plateau sportif extérieur de 1 300 m 2, une salle polyvalente, une salle d'exposition, une salle des associations ainsi qu'un espace parents. La salle de restauration pourra accueillir 500 demi-pensionnaires. Le collège, qui devrait porter un nom de femme, sera doté de 391 ordinateurs fixes, 65 ordinateurs portables et 217 tablettes numériques, une imprimante 3D et un vidéoprojecteur 3D. Chaque salle de cours sera équipée d'un vidéoprojecteur interactif.

Ce soir, à 19 h 30 dans le réfectoire de l'école Nonneville, 42, rue de Toulouse à Aulnay-sous-Bois

Source : Le Parisien

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Publié dans #Education

Publié le 10 Mars 2014

Secourscatholique.jpgA quinze jours du premier tour des municipales, l’association caritative se penche sur les actions des communes en faveur des plus démunis. Selon elle, il faudrait en faire plus.

La solidarité n'est pas vraiment la priorité des municipalités en ce moment. C'est le triste constat qu'a réalisé le Secours catholique à travers une étude lancée l'année dernière dont le rapport vient d'être rendu. En juin 2013, l'association a envoyé aux quarante communes du département un questionnaire sur ce qui est mis en place pour les populations les plus fragiles. Trois thématiques étaient évoquées : l'analyse des besoins sociaux, la domiciliation et l'accueil en mairie. Seul un tiers des communes ont répondu*.

L'analyse des besoins sociaux. Il s'agit d'une étude chargée de collecter des données (démographie, emplois, revenus...) afin d'affiner les offres sociales. Elle est imposée par la loi mais quasiment personne ne l'a faite puisque seules cinq communes sur les quatorze qui ont répondu ont réalisé cette analyse. « Beaucoup pensent que ça ne sert à rien et c'est dommage, regrette Xavier Vandromme, 
président du Secours catholique 93. Car cela permet de connaître, par exemple, le nombre de handicapés, de gens qui touchent le RSA, de gens logés en logements sociaux et ainsi de répondre aux attentes. Les villes sont trop sur des dispositifs d'urgence. » Villemomble est un contre-exemple puisque la commune a établi rapidement des critères précis. « Cela m'a permis, par exemple, de définir une enveloppe pour aider les plus en difficultés à payer l'électricité, souligne Patrice Calméjane, le maire UMP. J'ai ainsi pu aussi ouvrir un centre social dans le quartier des Marnaudes. Un autre est en préparation dans l'est de la commune. »

La domiciliation. Il s'agit de donner une adresse à ceux qui n'en ont pas afin qu'ils puissent communiquer avec l'administration. « Le problème, c'est que ce sont surtout les associations qui s'en occupent, déplore Xavier Vandromme. Et quand il y a trop de monde, elles sont parfois dépassées. » Là encore, beau contre-exemple avec Montreuil qui domicile près de 350 personnes. « Beaucoup de gens n'ont pas accès à leurs droits sociaux comme le RSA ou l'Aide médicale d'Etat, faute d'adresse, s'insurge Muriel Casalaspro (EELV), ajointe aux solidarités. On 
finance donc une association qui accueille le public tous les après-midi en mairie même s'il faut reconnaître qu'on arrive à saturation. »

L'accueil en mairie. C'est le bon point de l'étude. « Globalement, les populations fragiles sont plutôt bien accueillies dans les mairies du département, sourit le président du Secours catholique 93. Certains ont des services spécifiques de traduction ou sont dotés d'un écrivain public. » C'est le cas à Saint-Denis qui a une part importante de population étrangère. « Nous avons un service de traduction assez efficace puisque nous couvrons l'Afrique subsaharienne, l'Asie du sud-est ou encore les Pays de l'est, détaille Fabienne Soulas, maire-adjointe (FG) aux solidarités. Nous avons aussi une permanence qui aide les usagers en délicatesse avec les services publics et nous allons mettre en place des signalétiques (amplificateurs, zones tactiles...) pour les handicapés. »

Le Secours catholique espère organiser une table ronde avec l'ensemble des maires après les élections, afin de faire avancer l'ensemble de ces sujets.

* Ont répondu les villes socialistes d'Aubervilliers, Clichy-sous-Bois, le Pré-Saint-Gervais et Les Lilas, les villes Front de gauche, Le Blanc-Mesnil, Saint-Denis, Stains et Villetaneuse, la ville écologiste Montreuil, les villes UMP Montfermeil, Les Pavillons-sous-Bois et Villemomble.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos