Le maire de Tremblay-en-France François Asensi passera la main à sa première adjointe Virginie de Carvalho en 2026

Elu pour la première fois en 1971 à Aubervilliers et longtemps encarté au parti communiste, le maire de Tremblay-en-France François Asensi, qui fut aussi député pendant 36 ans, annonce qu’il ne briguera pas un septième mandat lors des élections municipales de 2026. Il mise sur sa première adjointe Virginie de Carvalho pour sa succession.

Ci-dessous un extrait de l’article que le journal Le Parisien lui consacre aujourd’hui :

« Je suis sans doute l’homme public de Seine-Saint-Denis qui s’est le plus souvent confronté au suffrage universel. Je peux même l’affirmer. » Élu pour la première fois conseiller municipal d’Aubervilliers en 1971, François Asensi (DVG) aura marqué de son empreinte l’histoire politique d’un département qu’il a labouré depuis plus d’un demi-siècle. L’annonce, ce mercredi, de sa décision de ne pas briguer un nouveau mandat lors des municipales l’an prochain constitue donc « un évènement », décrit-il sans forfanterie.

Voilà 34 ans que cet enfant de la Petite Espagne, un quartier de Saint-Denis où il a grandi, préside aux destinées de Tremblay-en-France et de ses habitants. Une longévité que seul Christian Demuynck (LR), le maire de Neuilly-Plaisance en poste depuis 1983, surpasse en Seine-Saint-Denis. François Asensi fut aussi député durant 36 ans, de 1981 à 2017. « Il est l’heure de ranger ma boîte à outils », juge-t-il aujourd’hui.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source information : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Wikipédia