Bruno Beschizza au secours des 12 500 emplois de l’aéroport du Bourget menacés par la gauche

Publié le 17 Juin 2021

Hier matin, notre Maire Bruno Beschizza, tête de liste aux élections régionales pour Valérie Pécresse, s’est rendu avec une dizaine de ses colistiers à l’aéroport du Bourget pour manifester son opposition farouche au projet du candidat « écologiste » Julien Bayou, repris par Audrey Pulvar, de remplacer l’aéroport d’affaires du Bourget par un parc.

En effet, notre Maire n’a pas manqué de rappeler au Parisien l’importance de cet aéroport en termes d’emplois et d’attractivité pour notre département.

Notre édile s’est exprimé également dans une série de tweets très critiques : « Alors que les Séquano-Dionysiens veulent du développement, la gauche leur propose de transformer l’aéroport du Bourget… en parc ! Supprimer 12 500 emplois pour que les parisiens puissent venir se promener le dimanche, voilà le programme de cette gauche hors-sol. » a-t-il déclaré.

 

Bruno Beschizza au secours des 12 500 emplois de l’aéroport du Bourget menacés par la gauche

Bruno Beschizza a également interpellé le Président socialiste du département, candidat à sa propre réélection. Monsieur Troussel a fait savoir qu’il divergeait de la position de la position de Julien Bayou et Audrey Pulvar. Si l’on ne peut que se féliciter de cet éclair de bon sens, on peut s’interroger sur la cohérence politique de toute cette gauche alliée pour les départementales et divisée pour les régionales. 

 Le malaise se fait ressentir jusqu’au niveau local, chez Aulnay-en-Commun.

 Sur les 4 élus qui composent le groupe d’opposition aulnaysien, 3 sont candidats.

Alain Amédro, 15ème sur la liste de Julien Bayou en Seine-Saint-Denis, a soutenu sur twitter la suppression de l’aéroport du Bourget sans aucun mot pour les 12 500 personnes qui se retrouveraient au chômage. 

Quant à Oussouf Siby et Adélaïde Gandji, candidats aux élections départementales pour la gauche, ils ont opté pour la politique de l’autruche.  Ne voulant ni désavouer leur candidat à la présidence du département ni leur collègue d’Aulnay-en-Commun, la gêne est palpable.

Pour autant, à 3 jours du scrutin, une telle attitude est démocratiquement, sinon condamnable, du moins contestable. L’électeur n’est-il pas en droit d’avoir la position des candidats sur un sujet qui concerne plusieurs milliers d’emplois pour la Seine-Saint-Denis ?

Une chose est sûre, Bruno Beschizza a mis un sacré coup de pied dans la fourmilière.

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

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