Petit jeu du week-end : cherchez l'erreur ! La solution...
Publié le 20 Septembre 2011
En préambule et pour désamorcer toute velléité de polémique concernant l'équipement au centre de ce petit jeu du week-end, précisons qu'il n'a jamais été question de remettre en cause son utilité publique.
Situé rue Maximilien Robespierre, ce bâtiment alimente copieusement les conversations du quartier. En cause, le volume démesuré de son architecture qui en fait une construction peu insérée dans le tissu urbanistique existant et la froideur du béton gris encore apparent rivalisant avec de sombres couleurs lugubres. Comme si la moindre once d'imagination avait été mise au placard lors de sa réalisation.
A l'occasion nous reviendrons sur les aspects purement réglementaires du Plan Local d'Urbanisme qui permettent l'édification d'un tel équipement en pleine zone pavillonnaire. Mais revenons à nos moutons ou plutôt à nos fenêtres en l'occurrence. Sur l'extrême gauche du bâtiment se trouve une extension en béton qui pend littéralement dans le vide. Comme si l'édifice avait été prévu plus grand mais que faute d'espace on s'était ravisé au dernier moment ! Sur place c'est visuellement très troublant.
On aperçoit, enfin, sur cette même façade les contours de deux fenêtres qui n'ont visiblement pas trouvé vitres à leur pied. A défaut d'ouvrir sur un intérieur, elles se perdent dans l'infini. Dans celle de la partie supérieure on aperçoit un coin de ciel bleu. C'est peut-être là que les architectes auraient dû puiser un supplément d'inspiration...
Un grand merci pour vos nombreux commentaires très inspirés ! Et un clin d'œil amical à Fatima, Onizuka et au représentant le plus emblématique de la Aulnaylive World Company qui ont trouvé la réponse attendue.