Aulnay-sous-Bois : des trous encore des p'tits trous... dans les routes.
Publié le 28 Mai 2010
Rue Maximilien Robespierre : Episode 3
Aulnaylibre ! poursuit son exploration de la rue Maximilien Robespierre en examinant aujourd'hui à la loupe l'état de la chaussée...
Ce n'est pas qu'une particularité aulnaysienne, il suffit de rouler par exemple sur la RN330 entre Ermenonville et Senlis pour constater dans quelle situation déplorable se trouve le réseau routier français par endroits, mais la rue Maximilien Robespierre, pour peu qu'on y prête attention, offre à cet égard quelques clichés intéressants...
La photo ci-dessous ne représente pas des fragments d'écriture de nos ancêtres mérovingiens dont des traces ont pourtant été retrouvées dans le quartier, mais bel et bien un passage piéton...
Photo suivante : des p'tits trous, toujours des p'tits trous. Le poinçonneur du vélodrome est passé par là !
Next : la pastille de goudron, l'ennemie jurée du p'tit trou dans la route. Mais le p'tit trou a des alliés précieux : les voitures et les camions qui roulent à fond, la pluie, la neige, le soleil qui font tout pour dégommer la pastille de goudron.
Cliché suivant : la grosse pastille de goudron. Pour les gros trous uniquement.
Et enfin pour terminer cette photo d'Aulnay-sous-Bois, l'américaine, avec cette mini-faille de San Andreas en formation... Après Chicago, la Californie.
Hasard ou coïncidence, dans la rue Maximilien Robespierre, j'ai croisé Roland Emmerich le réalisateur de 2012, le film catastrophe où les routes se dégradent sous l'effet de la chaleur. En voyant l'état de cette portion de chaussée il s'est exclamé (je traduis) : "Bon sang, si j'étais passé en repérage par ici avant le film, j'aurais sans doute économiser 20% sur le budget effets spéciaux !".
Pour consoler Roland je lui ai dit : si l'idée te venait de faire une suite... Repasse en 2014...
Stéphane Fleury.