Thierry Meignen veut construire un campus international au Blanc-Mesnil !
Publié le 11 Mars 2021
C’est le journal Le Parisien qui fournit cette information (à lire ici). Le maire Thierry Meignen ambitionnerait d’ouvrir avant la fin de son mandat un établissement scolaire privé de la maternelle au lycée à vocation internationale dans la ville du Blanc-Mesnil. Les élèves de ce campus, qui nécessiterait un investissement estimé à 60 millions d’euros, pourraient ainsi devenir trilingue avec l’apprentissage de l’anglais et du chinois.
L’opposition de gauche dénonce un projet mégalomane et pharaonique, oubliant sans doute un peu vite qu’en matière d’éducation la France est en pleine phase de déclassement. Celles et ceux qui ont eu la chance de voyager, de vivre, d’étudier, d’être diplômé et de travailler à l’étranger le savent parfaitement bien. L’influence de notre pays dans le monde s’affaiblit un peu plus chaque année.
Les Etats-Unis, la Chine et la Russie, pour ne citer que ces puissances, nous regardent avec un sourire poli mais méprisant. L’anglais est la langue internationale par excellence et celle qui règne dans le monde des affaires. La maitrise du chinois est devenue un atout majeur. Les Allemands sont mieux formés que nous et les Italiens et les Espagnols n’hésitent à pas à dire qui si les Français s’aspergent abondamment de parfum c’est parce que nous sommes allergiques aux douches !
Mais comme disait Coluche : le Français est comme le coq, il continue de chanter même quand il a les pieds dans la merde !
Dans ces conditions, le projet de Thierry Meignen ne parait pas si fou, d’autant plus que l’endentement de sa commune a fortement baissé, passant de 88 millions d’euros en 2013 à un peu plus de 76 millions d’euros en 2019.
Du reste, si ce campus devait voir le jour, il est fort à parier que tous les bobos qui votent à gauche, sans doute pour se donner bonne conscience, feront tout pour y inscrire leurs enfants !
"Hard pounding this, gentemen ! Let's see who will pound longest !" - Arthur Wellesley - 1st Duke of Wellington
Robert Ferrand alias Robert Iron
Source information : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Wikipédia