Lancement de campagne parfaitement réussi pour le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza
Publié le 3 Décembre 2019
Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza lançait hier soir officiellement sa campagne en vue des élections municipales de mars 2020.
Le moins que l’on puisse écrire est que ce lancement a été parfaitement réussi. Devant une salle Chanteloup comble comme jamais et entouré du vice-président du Sénat, Philippe Dallier, de la sénatrice de la Seine-Saint-Denis, Annie Delmont-Koropoulis, du député de la 10ième circonscription de la Seine-Saint-Denis, Alain Ramadier, et de la conseillère départementale et première adjointe Séverine Maroun, Bruno Beschizza a exprimé son attachement réel et sincère à la ville d’Aulnay-sous-Bois.
Après l’avoir remis sur les bons rails, le maire de la commune entend bien continuer son œuvre pour faire d’Aulnay-sous-Bois une ville encore plus sûre, plus attractive, plus festive et plus agréable à vivre.
Le journal Le Parisien a évoqué cette réunion dans ses colonnes. Vous pouvez prendre connaissance de cet article ci-dessous :
Il faut croire qu'il aime se faire tancer. « Un maire, c'est être à portée d'engueulade », aime à répéter Bruno Beschizza, maire (LR) d'Aulnay-sous-Bois élu en 2014. Ce lundi soir, l'ex-policier a annoncé officiellement, lors d'une réunion de sympathisants, sa candidature aux prochaines municipales.
« J'habite Aulnay-sous-Bois, j'ai ma ville chevillée au corps. Pourquoi s'arrêter au bout de six ans ? » questionne l'édile, qui dit avoir « remis les choses en ordre » après six ans de socialisme. « C'est la suite logique de mon action, dont la direction a été tracée en 2014 », ajoute-t-il.
Principale satisfaction de ce Sarkozyste : « J'ai changé l'image de la ville ». « Pour beaucoup, Aulnay, c'était les images télévisées du garage Renault qui brûlait lors des émeutes de 2005. Aujourd'hui, c'est le plus beau marché d'Île-de-France, c'est Boney M qui réunit 5 000 personnes pour un concert sans incident, ce sont aussi des patrons qui m'appellent pour y installer leur entreprise », égrène-t-il, se félicitant aussi de l'augmentation de 8 % de l'immobilier locatif sur les cinq dernières années.
Une image « positive » que cet ancien syndicaliste a forgée en « refusant systématiquement » les plateaux TV pour parler des problèmes de la banlieue. « Ce serait encore identifier ma ville à du négatif », analyse cet ancien habitué des talk-shows.
Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici
Source article du journal Le Parisien : journal Le Parisien / Source photos : Aulnaylibre.com