93 infos

Publié le 30 Avril 2020

Il y a les soldats du feu, les pompiers. Il y a désormais les soldats du Coronavirus, à savoir toutes les professions médicales qui luttent contre ce fléau. Parmi elles, les médecins généralistes qui payent aussi un lourd tribut dans ce combat face à un ennemi invisible.

Ainsi, comme le relate le journal Le Parisien, le docteur Paul Alloun de La Courneuve est le quatrième médecin généraliste emporté par le Covid-19. Il avait 61 ans…

« Je suis la fille d'une victime de guerre », écrit la fille de Paul Alloun dans un texte qu'elle nous a adressé. La jeune femme de 29 ans a perdu son père, le 23 avril. Le sexagénaire, qui vivait dans le Val-d'Oise et exerçait à La Courneuve est le quatrième médecin généraliste emporté par le coronavirus en Seine-Saint-Denis, département touché de plein fouet par l'épidémie.

Ses enfants sont en colère. « Le manque de moyens pour protéger nos médecins de ville est déplorable, écrit encore sa fille. La mise à disposition de protection n'a pas du tout été à la hauteur de cette guerre. Nous sommes en guerre paraît-il. »

Quand on la joint par téléphone, elle raconte ce père, médecin « passionné », établi depuis 33 ans à La Courneuve, à quelques pas de l'hôtel de ville. Petite fille, elle le voyait partir le matin du domicile familial, dans le Val-d'Oise : « Il avait sa petite routine, se levait très tôt, lisait, faisait du sport, et prenait le petit-déjeuner avec ma mère avant de partir. Il rentrait à 23 heures, minuit. Il aimait prendre le temps avec ses patients. »

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Source article : journal Le Parisien / Source image d’illustration : Wikipédia

 

 

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Publié dans #93 Infos

Publié le 29 Avril 2020

« C'est quand même regrettable que les maires, les premiers au contact des populations, soient si peu concertés alors que le sujet les concerne en premier chef », déplore Laurent Russier, le maire PCF de Saint-Denis, à l'issue du discours du Premier ministre Edouard Philippe sur le déconfinement prévu le 11 mai.

La question de la rentrée à l'école a particulièrement agacé l'élu communiste : « On va tout droit au fiasco ! »

Les élus du 93 pas convaincus par le plan de déconfinement du gouvernement

Ainsi, Laurent Russier estime que le troisième et dernier trimestre 2020 « n'en est plus un ». « Envisager de rouvrir les écoles pour moins de dix jours de classes si l'on respecte les demandes du gouvernement, à quoi cela sert ? Au regard de la prise de risque, c'est insensé… » Ainsi, l'édile aurait préféré un déconfinement « beaucoup plus progressif », en guise d'échauffement pour « la vraie rentrée » de septembre. « A Saint-Denis, j'ai quarante groupes scolaires. En rouvrir cinq ou six et y accueillir les élèves les plus en difficulté sur la continuité pédagogique aurait eu plus de sens selon moi et les directeurs d'école », développe-t-il.

Même son de cloche chez Yannick Hoppe, le maire UDI du Bourget, qui fait partie des huit maires centristes à avoir envoyé un courrier au préfet de Seine-Saint-Denis stipulant leur refus d'ouvrir les écoles maternelles et les crèches le 11 mai. « Je ne suis pas anti-gouvernement, loin de là… mais à l'issue de ce discours, je ne suis pas beaucoup plus avancé », grince l'édile.

« On fera partie des départements en rouge »

« On sait très bien, au vu des chiffres de Santé-Publique France, que la Seine-Saint-Denis est en difficulté face au Covid-19. On fera partie des départements en rouge selon la grille de lecture annoncée par le gouvernement, c'est-à-dire ceux qui seront soumis à un déconfinement plus strict, poursuit encore Yannick Hoppe. En cela, je reste convaincu de la nécessité de garder nos écoles maternelles fermées le 11 mai. Cela aura le mérite, aussi, de mobiliser les personnels, même les enseignants, sur la gestion des écoles élémentaires. Et ce, pour limiter la casse ! »

De son côté, Philippe Dallier, sénateur LR et conseiller municipal aux Pavillons-sous-Bois, pose la question de la « territorialisation » du déconfinement avancée par le Premier ministre. « C'est bien beau… mais en Île-de-France, comment on fait ? Peut-on sérieusement envisager de déconfiner l'un des départements mais pas le voisin, alors que l'on connaît les flux de personnes, notamment de travailleurs, entre chacun d'entre eux ? »

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Publié le 28 Avril 2020

En matière de confinement, il y a les bons et les mauvais élèves. Les chiffres fournis par la préfecture de police de Paris, compétente sur l'ensemble de la petite couronne, sont sans appel : les mauvais sont en Seine-Saint-Denis et les meilleurs… à Paris.

 
Le 93 mauvais élève du confinement avec 41 103 amendes pour 242 259 contrôles !

Entre le début du confinement et le 25 avril, les forces de l'ordre ont contrôlé 1 104 060 personnes à Paris et en ont verbalisé 69 082 soit 6,3 % du total. En Seine-Saint-Denis, les 242 259 contrôles ont donné lieu à 41 103 amendes, soit… 17 % du total ! Les Hauts-de-Seine, avec 8,7 % d'amendes sur 210 863 contrôles, s'en sortent avec les honneurs alors que le Val-de-Marne, 13,7 % de personnes verbalisées sur 163 353 contrôles, s'en sort tout juste.

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Source article et carte : journal Le Parisien

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Publié le 27 Avril 2020

 Cet après-midi, le maire Bruno Beschizza a accueilli la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse. Elle est venue offrir un respirateur et 1 000 masques FFP2 pour le personnel soignant.

Un respirateur et 1 000 masques FFP2 offerts par la région Ile-de-France à Aulnay-sous-Bois

Source information et image : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Publié le 27 Avril 2020

Ce matin-là, sur la feuille scotchée à même le conteneur à ordures, la mention « héros » s'accompagne du dessin enfantin et très coloré d'un éboueur. « Ça m'a fait chaud au cœur, j'ai eu le sourire direct ! Les gens réalisent enfin qu'ils ont besoin de nous », réagit Edouard *. Il est « ripeur », en Seine-Saint-Denis.

 
Face au Coronavirus les éboueurs à Aulnay-sous-Bois et dans le 93 sont des héros

Autrement dit, il est l'un de ceux que les habitants aperçoivent perchés à l'arrière des camions de collecte. Chargés de lever et vider les poubelles. Lever et vider. Encore et encore.

Edouard, le super-héros n'a pourtant pas toujours les bons équipements pour faire face aux risques professionnels de contamination au coronavirus. « En ce moment, nous n'avons plus de gants jetables pour nous protéger les mains lorsque l'on retire nos gants de collecte, que l'on monte dans la cabine ou que l'on touche une barre d'appui. En attendant d'en recevoir, on a obtenu le droit de changer la paire de gants de collecte à la fin de chaque journée. »

« Toux, perte de l'odorat et du goût… » Arrêté depuis trois semaines, Valentin*, qui est conducteur de benne à ordures dans une société concurrente à celle d'Edouard, a développé tous les symptômes du Covid-19. « J'ai respecté le confinement, les gestes barrière à la maison. Les seuls risques que j'ai été amené à prendre, c'est au travail », constate froidement Valentin qui intervient dans une ville de Seine-Saint-Denis de 50 000 habitants. « Il y a beaucoup de cités et beaucoup de conteneurs à récupérer et vider. »

« On nous a donné une savonnette mais pas d'eau pour l'utiliser »

« On n'a pas de masques, poursuit-il. Le gel hydroalcoolique n'est disponible que dans les locaux. Dans les camions, on nous a donné une savonnette pour nous laver les mains, mais pas d'eau pour l'utiliser ! À la place, on ramène chacun nos petits flacons personnels de désinfectant quand on en a. »

Les ripeurs de l'entreprise d'Edouard bénéficient en revanche d'un masque chirurgical par jour. « Mais ça ne sert pas à grand-chose si on inhale des particules contaminées, en manipulant les conteneurs. Il nous faudrait des FFP2 qui ont des filtres », estime Edouard.

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Source article : journal Le Parisien / Source photo : Aulnaylibre.com

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Publié le 23 Avril 2020

Pour la seconde fois en une semaine, les parcs de Seine-Saint-Denis, interdits au public le temps du confinement, ont été le théâtre d'événements dramatiques. Mercredi soir, une femme a été violée dans le parc du Sausset, à Aulnay-sous-Bois. Quelques jours plus tôt, un homme errant dans celui de La Courneuve avait été abattu de trois coups de feu après s'être rué sur les policiers avec un couteau.

 
Une femme de 45 ans victime d’un viol dans le parc du Sausset à Aulnay-sous-Bois

A Aulnay-sous-Bois, mercredi, la victime pensait se promener en toute sécurité dans l'espace vert déserté, vers 21 heures. Alors qu'elle était venue profiter de la tranquillité du lieu, cette Aulnaysienne de 45 ans a été violée par un inconnu. Écouteurs sur les oreilles, elle ne l'a pas entendu s'approcher quand il a surgi dans son dos.

Frappée à plusieurs reprises, la victime s'est évanouie

Elle raconte qu'il a d'abord tenté de l'étrangler à mains nues. Puis il l'a fait chuter. L'individu l'a ensuite frappée à plusieurs reprises, en la maintenant fermement au sol. Elle l'aurait vu baisser son pantalon avant de perdre connaissance. Quand elle a repris ses esprits, elle a constaté qu'elle n'avait plus ses sous-vêtements.

L'agresseur s'était enfui emportant avec lui son téléphone portable. Elle a été secourue dans un premier temps par un homme qui faisait son footing.

Puis elle a été transférée aux UMJ (unité médico-judiciaire) pour faire constater médicalement les violences sexuelles. « Elle porte des stigmates de violences graves », indique le parquet de Bobigny, qui a ouvert une enquête pour des faits de viol. En revanche, « aucune tentative d'homicide n'est retenue ».

«Un acte barbare»

L'enquête a été confiée au service départemental de la police judiciaire. L'auteur est toujours activement recherché.

« Nous sommes particulièrement choqués par cet acte barbare », a réagi le conseil départemental du 93, propriétaire du site. Il indique aussi : « À la suite des mesures gouvernementales et à un arrêté du préfet, nos parcs départementaux ont été fermés au public. L'information de la fermeture des parcs est bien visible sur les portes de nos parcs. Nous en appelons clairement à la responsabilité et au civisme de chacun. »

Mais le parc du Sausset, à cheval sur Aulnay-sous-Bois et Villepinte, est totalement ouvert sur plus de 202 hectares. Et donc difficilement contrôlable. Les patrouilles y sont aléatoires, « selon les effectifs dont nous disposons », précise un policier.

 «L'étendue de nos parcs empêche une fermeture physique de tous les points d'entrée»

Ces immensités sont sillonnées par la brigade équestre mais aussi la police nationale ou municipale. De l'avis des forces de l'ordre, « très peu de personnes s'y rendent. Il y a bien quelques joggeurs. Mais nous ne sommes pas sur les bords du canal de l'Ourcq ! »

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Source article et image : journal Le Parisien

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Publié le 22 Avril 2020

La missive est partie ce lundi, direction le bureau du préfet de Seine-Saint-Denis. Dans un courrier adressé à M. Leclerc, le collectif Vélo IDF demande la levée de l'interdiction de fréquenter les berges des canaux passant en Seine-Saint-Denis.

 
Faut-il rouvrir les berges du canal de l’Ourcq aux vélos à Aulnay-sous-Bois et dans le 93 ?

« D'un côté, l'Etat dit vouloir lever des obstacles à la pratique du vélo, et de l'autre certains préfets ferment des axes essentiels pour ceux qui se déplacent à vélo », résume Stein van Oosterein, le porte parole du Collectif.

Si les partisans du deux-roues comprennent la mesure, renouvelée par arrêté le 15 avril dernier, pour limiter les rassemblements et donc le propagation du Covid-19, ils précisent qu'elle « pénalise fortement les soignants et autres professionnels mobilisés qui se déplacent aujourd'hui à vélo afin d'éviter les transports en commun, où le risque de contamination est particulièrement élevé. »

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Source article : journal Le Parisien / Source photo : d’illustration : Aulnaylibre.com

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Publié le 22 Avril 2020

La décision a été prise en réaction aux violences sporadiques qui ont éclaté dans des villes d'Ile-de-France ces deux dernières nuits. « Le préfet de Police interdit l'achat et la détention des artifices de divertissement et des articles pyrotechniques à Paris et dans la petite couronne à compter du 21 avril 2020 20 heures », annonce la préfecture ce mardi. L'interdiction prendra fin le 27 avril à 8 heures.

« Depuis quelques nuits, dans plusieurs communes de l'agglomération parisienne, les forces de l'ordre sont la cible de jets de projectiles, de tirs de mortiers et de jets de substances ou mélanges dangereux », a justifié la préfecture dans un communiqué. Outre Paris, les départements concernés par cette interdiction sont les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne.

Seules « les personnes justifiant d'une utilisation des artifices de divertissement et articles pyrotechniques à des fins professionnelles titulaires du certificat de qualification ou de formation » peuvent bénéficier d'une dérogation.

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Source article : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Wikipédia

 

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Publié le 21 Avril 2020

En France, au Laos mais aussi aux Etats-Unis, au Canada, en Australie ou encore en Thaïlande, des Laotiens ont illuminé des pagodes bouddhistes ce week-end en mémoire du Dr Kabkéo Souvanlasy.

Ce médecin de famille, né il y a 65 ans au Laos, exerçait à Sevran depuis 1987. Il a succombé au Covid-19, vendredi sur son lit du service réanimation de l'hôpital Robert-Ballanger d'Aulnay-sous-Bois, où il avait été admis le 16 mars dernier.

« Il a été en première ligne et a été contaminé en examinant des patients qui étaient atteints du Covid-19, relate le Dr Manola Souvanlasy-Abhay, cousine par alliance du défunt qui tient un cabinet à Paris, dans le XIIIe arrondissement. Le 93 a été un département très sévèrement touché par le virus. Son épouse a aussi été contaminée, mais elle va mieux. »

Le virus, Manola Souvanlasy-Abhay en parle comme d'un « ennemi silencieux, invisible, agressif ». Selon ce qu'elle explique, les médecins de l'hôpital d'Aulnay « ont tout fait pour qu'il s'en sorte. Il a même été traité à la chloroquine. »

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : journal Le Parisien / Source photo d’illustration Wikipédia

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Publié le 21 Avril 2020

C’est sur sa page Facebook qu’il l’annonce fièrement. Le maire du Blanc-Mesnil Thierry Meignen, récemment réélu dès le premier tour, explique que sa ville va accueillir l’une des premières usines de fabrication de masques en Ile-de-France.

Cette implantation va se réaliser en un temps record grâce à la volonté municipale, le soutien de Valérie Pécresse et à monsieur Wang.

L’usine sera opérationnelle début mai et aura une capacité de production de 500 000 masques par jour.

Source information et image : compte Facebook de Thierry Meignen

 

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Publié le 20 Avril 2020

Le gouvernement et les médias préparent petit à petit les esprits à un déconfinement programmé le lundi 11 mai 2020. Quelle que soit la forme que prendra cette opération, on sait déjà qu’elle sera très progressive. Ainsi bon nombre de frontières seront sans doute fermées pendant l’été ce qui exclut de fait des vacances à l’étranger.

Alors, comme dit le proverbe « A quelque chose malheur est bon », la sortie du confinement sera peut-être l’occasion de découvrir ou redécouvrir le patrimoine et l’histoire de notre ville et du département. 

C’est ce qu’avait fait Wael Sghaier en 2016. Il était parti explorer la Seine-Saint-Denis. Son documentaire est disponible sur YouTube jusqu’au 29 avril minuit.

Vous pouvez également lire l’article que le journal Libération lui consacre en cliquant : ici

Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

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Publié le 19 Avril 2020

C'est l'un des services publics essentiels pour le fonctionnement des collectivités : les bureaux de poste. Alors que près des deux tiers d'entre-eux avaient fermé en Seine-Saint-Denis, pour cause d'épidémie de Covid-19, le groupe la Poste annonce une réouverture progressive.

 
Réouverture progressive des bureaux de poste à Aulnay-sous-Bois et dans le 93

Ainsi, à partir de ce lundi, onze nouveaux bureaux seront ouverts dans le département, portant le nombre total de lieux disponibles à 58*. En temps normal, un peu moins d'une centaine de bureaux sont en activité dans le département.

Une évolution «au jour le jour »

« La mobilisation exceptionnelle des équipes dans les bureaux permet à la Poste d'assurer ses missions prioritaires tout en protégeant la santé des postiers et des clients », se félicite le groupe dans un communiqué.

Précisant tout de même que « cette liste de bureaux ouverts peut évoluer au jour le jour, en fonction de l'évolution de la situation sanitaire et de l'absentéisme des équipes - ce qui comprend garde d'enfant, maladie […] ».

La Courneuve, commune de presque 45 000 habitants, est concernée : le bureau « Ouest », situé avenue du Général-Leclerc, rouvre lundi.

Des bureaux sont ouverts à Aubervilliers, Aulnay, Bagnolet, Bobigny, Bondy, Clichy, Drancy, Dugny, Épinay, Gagny, Gournay, La Courneuve, Le Blanc-Mesnil, Le Bourget, Le Raincy, Les Lilas, Les Pavillons-sous-Bois, Livry-Gargan, Montfermeil, Montreuil, Neuilly-Plaisance, Neuilly-sur-Marne, Noisy-le-Grand, Noisy-le-Sec, Pantin, Pierrefitte, Romainville, Rosny, Saint-Denis, Saint-Ouen, Sevran, Stains, Tremblay, Villepinte, Villetaneuse, Le Pré-Saint-Gervais

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et photo : journal Le Parisien

 

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Publié le 19 Avril 2020

« Les musulmans le savent déjà : la fête sera triste ! » Constat amer dressé par M'hammed Henniche, coresponsable de l'Union des associations musulmanes (UAM 93) de Seine-Saint-Denis — un département qui compte de nombreux fidèles : 700 000 selon la dernière estimation officiellement communiquée par les services de l'Etat, le préfet de l'époque Philippe Galli en l'occurrence.

Le 24 avril, c'est le début du ramadan, mois sacré de l'islam, au cours duquel les musulmans qui le souhaitent jeûnent et multiplient les prières collectives. Sauf qu'avec le confinement, prolongé au moins jusqu'au 11 mai, le culte sera très contraint : ni prières collectives ni agapes entre voisins ou famille élargie. Et ce, peut-être pour la totalité du mois sacré.

1,8 milliard de fidèles sont concernés dans le monde, dont une bonne partie sera confinée. En France, le Conseil français du culte musulman (CFCM) vient de produire ses « alternatives » en matière de pratique religieuse.

« En temps normal, le ramadan se fait chaque jour en deux temps : le jeûne en journée, puis un repas de rupture du jeûne — l'Iftar — à la nuit tombée, qui se déroule avec la famille élargie, des voisins, des amis. Et le soir, il y a les prières collectives, dites de Tarawih, dans toutes les mosquées », détaille M'hammed Henniche.

Pour autant, si le ramadan tronqué qui s'annonce « interroge et inquiète tous les musulmans, en quête de spiritualité en ce moment », explique Yacine Laoudi, responsable de l'Acma — l'association qui gère la grande mosquée d'Aulnay-sous-Bois —, « les gens sont absolument conscients que c'est la question sanitaire qui prime ». Lui-même avait d'ailleurs pris le soin de fermer l'immense lieu de culte dont il a la responsabilité « plusieurs jours avant l'annonce du confinement, sécurité sanitaire oblige ».

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Source article : journal Le Parisien / Source vidéo : Aulnaylibre.com

 

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Publié le 17 Avril 2020

Un gros hématome, trois jours d'ITT pour… une boîte de lait de coco en pleine figure. Marie, 18 ans, caissière au Casino de Sevran, a déposé plainte mercredi dernier après avoir été agressée par une cliente du supermarché où elle travaille depuis un mois et demi. Symptôme évident des incivilités qui fleurissent, selon nombre d'employés de la grande distribution, durant ce confinement. Las des incivilités, le responsable du magasin menace de baisser le rideau jusqu'au déconfinement.

C'est Manon, sa sœur, qui raconte l'agression. « Cette cliente, qui est une habituée, est entrée en voulant se faire rembourser une conserve de lait de coco. Elle n'avait plus le ticket. Ma sœur, qui n'est vraiment pas quelqu'un d'agressif, lui a dit que sans ce ticket, ce n'était pas possible. Tout a dégénéré à partir de là », explique Manon.

Ulcérée, la cliente lui jette la conserve en métal au visage en hurlant : Tiens, le voilà ton remboursement ! Dans le choc, la boîte de conserve est enfoncée. Immédiatement, les collègues et le vigile du supermarché interviennent et calment le jeu, avant que cette cliente ne quitte les lieux, refusant de décliner son identité à la direction et à l'agent de sécurité.

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Source article : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Wikipédia

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Publié le 16 Avril 2020

Derrière le journaliste Madjid Khiat, en direct d’un centre de tri à Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, la première équipe vient de partir, la seconde arrive pour remplir ces camions et aller distribuer ces colis. Cet entrepôt est gigantesque et représente trois terrains de football et chaque jour, ici, il y a 25 000 colis pour une grande partie de l’Île-de-France. Sur place, Laurence Naouri se prépare pour sa livraison.

Comment vit-elle cette période de confinement, elle qui est en première ligne ? "Oui, mais je suis fière parce que les clients ils sont heureux, ils sont contents qu’on les livre. Et puis c’est important parce qu’il y a les médicaments, on livre les pharmacies. C’est bien parce que l’on a la reconnaissance des gens, des clients", affirme Laurence Naouri.

Des livraisons de colis en baisse de 15 %

Que lui disent-ils ? "Pour ma part, j’ai des joggers, ils sont contents, ils s’arrêtent et me disent ‘merci pour ce que vous faites’". Dans l’ensemble de la France, en trois semaines, il y a eu 15 millions de colis distribués, c’est une baisse de 15 % par rapport à d’habitude, explique Madjid Khiat.

Article complet de https://www.francetvinfo.fr/ à lire en cliquant : ici

Source article : https://www.francetvinfo.fr/

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Publié le 14 Avril 2020

Vendredi dernier le maire Bruno Beschizza a reçu Mehdi Maizate et Adnane Calife de la start-up Makagency.

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza reçoit la start-up Makagency

A l’aide de ses imprimantes 3D, l’entreprise a déjà fabriqué 130 visières de protection pour le personnel du centre ambulatoire Covid-19 et le personnel des centres municipaux de santé d’Aulnay-sous-Bois.

Source information et photo : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Publié le 8 Avril 2020

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien qui explique comment la start-up Makagency, basée à Aulnay-sous-Bois, fabrique bénévolement des visières contre le Coronavirus.

Doucement, les cinq imprimantes 3D de l'atelier de Makagency, à Aulnay-sous-Bois, détricotent les bobines de plastique PLA à base d'amidon de maïs pour les transformer en pièces de visières anti-éclaboussures.

Mélange de tech et d'artisanat, la mise en production est possible grâce aux fichiers en open source mis à disposition, sur le web, par des fabricants ingénieux, qu'ils soient français ou étrangers. Une solidarité internationale qui s'organise dans le cadre de la lutte contre le coronavirus et de l'immense pénurie de matériel qui l'accompagne.

« Nous avons sorti les 300 premières visières et nous sommes en capacité d'en fabriquer 150 à 200 par jour », indique Mehdi Maizate, le jeune fondateur de Makagency, une start-up dont l'accessoire vedette était jusqu'à présent un support de smartphone. Adapté aux écrans d'ordinateurs, le petit objet conçu en impression 3D facilite la vie de ceux dont le travail est ultra-connecté. Une idée récompensée l'an passé au concours Lépine.

Pour les hôpitaux, les centres Covid et les pharmacies

Mais aujourd'hui, Mehdi Maizate met gratuitement ses talents de bricoleur au service des équipes soignantes, mais aussi des professionnels exposés aux cas de Covid-19 et aux risques de contamination. « Lorsque j'ai vu qu'il y avait des initiatives en Italie où des gens utilisaient des imprimantes 3D pour réaliser des masques et des embouts de respirateur, j'ai eu envie de tourner notre capacité de fabrication vers ceux qui en avaient besoin localement, autour de chez moi », décrit le jeune entrepreneur d'Aulnay.

Makagency a commencé par la production de visières. Les hôpitaux de Gonesse et Pontoise (Val-d'Oise), deux pharmacies avoisinantes de la start-up mais aussi les centres Covid d'Aulnay et Bondy font partie des premiers intéressés par la proposition de Mehdi Maizate. Les agents du cimetière de Tremblay-en-France ont également bénéficié de ces équipements de protection.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source information : journal Le Parisien 

 

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Publié le 7 Avril 2020

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien informant de la présence du chef de l’Etat, Emmanuel Macron, aujourd’hui en Seine-Saint-Denis. Après la Maison de santé pluridisciplinaire de Pantin, il devrait se rendre au Centre communal d’action sociale (CCAS) de La Courneuve.

Emmanuel Macron est attendu mardi après-midi en Seine-Saint-Denis, l'un des départements les plus touchés par l'épidémie de coronavirus, pour y rencontrer des professionnels de la santé et de l'accompagnement social, a indiqué l'Elysée.

Le chef de l'Etat visitera d'abord la Maison de santé pluridisciplinaire de Pantin, où « il échangera avec les professionnels de santé en charge de l'animation de la structure (médecins généralistes, infirmières, sages-femmes) et la directrice de la CPAM », a précisé la présidence. Cette visite sera l'occasion de « mettre en exergue le recours massif à la télémédecine depuis le début de la crise et les synergies positives créées entre la médecine de ville et l'hôpital », selon l'Elysée.

Deuxième visite en Seine-Saint-Denis

Emmanuel Macron est ensuite attendu au Centre communal d'action social (CCAS) de La Courneuve pour y « échanger avec les professionnels et les volontaires mobilisés par les autorités municipales pour assister les personnes âgées les plus vulnérables », a indiqué l'Elysée.

Ce déplacement intervient alors que la France entre dans sa quatrième semaine de confinement, fixé jusqu'au 15 avril pour le moment. Au total, depuis le 1er mars, 8911 personnes sont mortes, dont 605 en 24 heures, nouveau pire bilan quotidien depuis le début de l'épidémie.

Emmanuel Macron s'est déjà rendu en Seine-Saint-Denis depuis le début de la crise sanitaire en allant à la rencontre, le 18 mars, des équipes de réanimation de l'hôpital Avicenne de Bobigny.

Il a aussi effectué plusieurs autres déplacements sur le terrain au côté des professionnels qui luttent contre l'épidémie. Il s'est ainsi rendu à l'Institut Pasteur auprès des chercheurs, dans un hôtel réquisitionné pour les sans-abri, à l'hôpital de campagne installé par l'armée près de Mulhouse et, la semaine dernière, dans une usine de masques en périphérie d'Angers et au centre de crise du ministère des Affaires étrangères.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici / Source photo : Wikipédia

Marc Masnikosa

 

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Rédigé par Marc Masnikosa

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Publié le 6 Avril 2020

Délimitées par quelques grosses pierres posées à la va-vite, parsemées de rares bouquets de fleurs et protégées par des tas de terre fraîchement remuée, les files des tombes évoquent un fort sentiment d'urgence. Ce samedi après-midi, il émane du carré musulman du cimetière intercommunal de La Courneuve un mélange de tristesse et de solitude.

Les enterrements ont doublé au cimetière de La Courneuve à cause du Coronavirus

Entre le 30 mars et le 3 avril, sur les dix-neuf personnes de confession musulmane qui ont été enterrées, onze sont décédées des suites du Covid-19. Ici, au cœur de ce gigantesque espace de 35 hectares, les chiffres égrenés chaque soir et de façon clinique par le directeur général de la santé prennent tout leur sens.

Surmortalité plus élevée en Seine-Saint-Denis

L'exemple de ce cimetière illustre parfaitement la situation de la Seine-Saint-Denis, dont le taux de surmortalité lié au Covid est plus élevé qu'à Paris ou d'autres départements franciliens. « Vendredi, sur les sept enterrements, cinq concernaient des personnes mortes du Covid, témoigne Gilles Poux, le maire PCF de La Courneuve. On essaie de ne pas dépasser le rythme d'un enterrement par heure. »

Quatre villes du 93 sont rattachées au cimetière intercommunal : La Courneuve, Aubervilliers, Drancy et Bobigny, soit un bassin de plus de 260 000 habitants. Alors, que disent précisément les statistiques de ces derniers jours ? Les données font froid dans le dos. « Entre le 30 mars et le 3 avril, nous avons eu 33 inhumations dont 18 pour des Covid », détaille Corinne Cadays-Delhome, présidente du syndicat en charge de la gestion des lieux, et par ailleurs maire adjointe à La Courneuve.

Sur les 33 enterrements, 18 ont donc eu lieu dans le carré musulman, qui existe depuis 2013 et compte plus de 900 emplacements. Un dix-neuvième a eu lieu au cimetière musulman historique de Bobigny (également géré par le syndicat). Et donc sur les 19 défunts de confession musulmane, onze sont morts des suites de la maladie déclenchée par le coronavirus.

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Source article : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Wikipédia

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 3 Avril 2020

Plus 63 % de morts en une semaine. Jeudi soir, lors de son point quotidien sur la situation sanitaire liée au Covid-19, Jérôme Salomon, le Directeur général de la Santé avait évoqué un excès de mortalité dans le département de la Seine-Saint-Denis, sans dévoiler de chiffre. Ce vendredi, l'Institut national de la statistique apporte un éclairage en publiant le nombre de décès quotidiens par département en France au mois de mars. Un tableau qui montre que le pourcentage de morts a augmenté de 63 % sur le 93 entre la semaine du 14 au 20 mars et celle du 21 au 27 mars.

 
Coronavirus : le nombre de morts explose en Seine-Saint-Denis

Un taux bien supérieur à ceux enregistrés par les autres départements franciliens, comme le Val-d'Oise (+ 47 %), les Hauts-de-Seine (+ 36 %) ou encore Paris (+ 32 %). Dans le détail, l'épidémie a commencé à s'accélérer en Seine-Saint-Denis à partir du 24 mars. Ce jour-là, 625 personnes ont perdu la vie contre 551 le même jour l'an passé. Un chiffre qui — il faut le rappeler — prend en compte toutes les personnes décédées, qu'elles soient mortes ou non du Covid-19. Depuis, leur nombre n'a cessé d'augmenter quotidiennement, atteignant 940 le 30 mars contre 643 le 30 mars 2019. À Montreuil, deuxième ville du département, les effets s'en font déjà ressentir au service de l'Etat civil, qui a noté une multiplication des nombres de décès par deux mercredi et par quatre jeudi (comparé à 2019).

Comment faut-il interpréter cette hausse de 63 % que la Direction générale de la santé n'a pas commentée ? L'Agence régionale de santé d'Ile-de-France rappelle seulement, de son côté, que la « surmortalité découle d'une analyse multifactorielle et d'une étude approfondie nécessitant thèses et articles d'épidémiologie ». Alors que le système de santé du département est souvent décrit comme défavorisé par rapport à ceux d'autres territoires, risque-t-on plus de mourir en Seine-Saint-Denis qu'ailleurs ?

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Source article et photo : journal Le Parisien

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 31 Mars 2020

« Si on ferme les marchés, pourquoi alors laisser ouvert les supermarchés ? » C'était le cri du cœur de nombreux élus, il y a une semaine en réaction à l'annonce du Premier ministre Édouard Philippe de fermer de tous les marchés en France pour lutter contre l'épidémie de Covid-19.

 
La préfecture autorise la réouverture du marché du Bourget

Des dérogations pouvaient localement être accordées, notamment là où il n'y a aucune alternative commerciale. Mais en Seine-Saint-Denis, la préfecture avait vite freiné les velléités des maires : aucune dérogation ne devait y être accordée. Quatorze demandes avaient été adressées à la préfecture. « Il n'y en a pas eu d'accordées », précisait Michaël Sibilleau, le directeur de cabinet du préfet, vendredi dernier dans nos colonnes.

Des règles d'hygiène « encore plus drastiques »

Mais la donne est, semble-t-il, en train de changer. Premier à obtenir une bonne nouvelle : le maire (UDI) du Bourget, Yannick Hoppe, qui avait été l'un des premiers à monter au créneau. Il l'a appris lundi soir : le marché de sa ville va pouvoir rouvrir ce mercredi matin, de 8 heures à 13 heures. « Je suis très heureux car je ne comprenais pas cette décision, réagit-il ce mardi. Surtout qu'il s'agit vraiment d'un petit marché, dans une ville à taille humaine, de 16 000 habitants, où il n'y a pas de grand supermarché, seulement des supérettes. »

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Source article : journal Le Parisien / Source image : compte Twitter du maire du Bourget

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 30 Mars 2020

Daoudja, 6 ans, est décédé ce dimanche, peu avant minuit, à l'hôpital Necker (Paris, XVe). Le petit garçon avait été frappé violemment par son père, vendredi dernier, au domicile familial à Tremblay-en-France.

Pris en charge dans un état critique, il n'a jamais repris connaissance. Des séquelles cérébrales irréversibles avaient été constatées, laissant présager une issue fatale.

Le père en détention provisoire

Le père, âgé de 45 ans, a été déféré ce dimanche devant un juge d'instruction « pour violences ayant entraîné une infirmité permanente et des lésions cérébrales irréversibles sur un mineur de 15 ans par ascendant », indique le parquet de Bobigny. Il a été placé en détention provisoire jusqu'à un débat différé devant le juge des libertés et de la détention (JLD), jeudi prochain.

Vendredi à 16h30, quand les secours sont arrivés dans ce logement du Vieux-Pays à Tremblay-en-France, le jeune garçon gisait inanimé depuis un certain temps dans sa chambre. Les faits se seraient produits deux heures du tôt. La mère, qui était absente à ce moment, avait été appelée en catastrophe par l'un de ses aînés alors que son fils venait de convulser sous les coups du père.

Frappé très violemment à la tête

Le mari aurait reconnu les faits. Cet homme corpulent aurait frappé très violemment son enfant à la tête au point de déclencher des convulsions. Le petit garçon, originaire de Côte d'Ivoire, était arrivé en début d'année en France. D'autres enfants vivaient sous le même toit. En garde à vue, le père a admis avoir déjà porté la main sur la fratrie.

Le petit garçon a-t-il succombé sous les coups portés uniquement à mains nues par le père, comme celui-ci l'affirme ? L'enquête se poursuit. L'autopsie devra permettre d'en savoir plus sur les causes exactes du décès.

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Source article : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Wikipédia

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 29 Mars 2020

Les chances de survie de Daoudja sont infimes. Ce jeune garçon de 6 ans avait été tabassé par son père vendredi à Tremblay (Seine-Saint-Denis).

Ce dimanche, cet homme de 45 ans a été déféré devant un juge d'instruction « pour violences ayant entraîné une infirmité permanente et des lésions cérébrales irréversibles sur un mineur de 15 ans par ascendant », indique le parquet de Bobigny. Son placement en détention a été requis.

Depuis vendredi, Daoudja est en état de mort cérébrale. Lorsque les secours sont arrivés dans cet appartement du Vieux-Pays, le jeune garçon gisait inanimé dans sa chambre. Transporté à l'hôpital Necker, à Paris (XVe), il n'a jamais repris connaissance.

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Source article : journal Le Parisien / Source image d’illustration : Wikipédia

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 27 Mars 2020

Cette semaine 21 500 tubes de gel hydro-alcoolique fabriqués par les usines de l’Oréal ont été distribués par la ville d’Aulnay-sous-Bois aux établissements et professionnels de santé de la commune.

Les usines l’Oréal produisent du gel hydro-alcoolique pour Aulnay-sous-Bois

Les pompiers, les polices municipale et nationale ainsi que les services de maintien à domicile bénéficient aussi de la production de gel des usines de l’Oréal.

Source information et image : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 26 Mars 2020

La ville de Drancy a la douleur d’annoncer les décès de Paule Beaujour et de Brahim Fellah, conseillers municipaux, des suites du Coronavirus.

Toutes nos condoléances à leurs familles et leurs proches.

Coronavirus : mort de Paule Beaujour et Brahim Fellah conseillers municipaux de Drancy

Source information et photo : compte Facebook de la ville de Drancy

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos