93 infos

Publié le 19 Novembre 2021

Un avant et un après. Le confinement de deux mois, au printemps 2020, au début de la crise sanitaire du Covid-19, a eu un effet de bascule pour les ménages les plus fragiles. « Pour la première fois, l’an dernier, j’ai entendu des personnes dire qu’elles avaient faim, confie Camille Hugues, déléguée du Secours catholique en Seine-Saint-Denis. Des parents nous ont dit qu’ils se privaient de repas pour que leurs enfants qu’ils avaient toute la journée à la maison puissent manger. »

La Seine-Saint-Denis s’enlise dans la pauvreté

À l’occasion de la publication ce jeudi du rapport annuel de l’association sur l’état de la pauvreté en France, Camille Hugues détaille les conséquences durables sur la population du département en termes d’isolement social et économique.

Un chiffre d’ailleurs résume bien les répercussions de la coupure relationnelle : « 86 % des gens de Seine-Saint-Denis qui sont venus nous voir l’ont fait en priorité pour un besoin d’écoute, d’accueil et des conseils alors qu’ils ne sont que 56,5 % au niveau national », relève la déléguée départementale du Secours catholique.

Un constat très clair que confirme Nadia, une maman de 41 ans qui vit depuis trois ans avec son mari et leurs trois enfants de 5 à 15 ans en hôtel social, à Saint-Ouen. « Le confinement, c’était horrible, insupportable, parce qu’on a toujours besoin d’échanger, d’avoir un entourage, résume-t-elle. Heureusement, on avait créé un groupe WhatsApp des familles de l’hôtel. J’étais également dans d’autres groupes de soutien. On a fait des concours de dessin que les enfants venaient présenter par les portes des chambres. »

Isolement et détresse morale

« Il y a eu un isolement très important, avec la fermeture de très nombreuses associations, l’arrêt des activités, des distributions et des ateliers où les gens avaient l’habitude de venir aussi pour se rencontrer », souligne Camille Hugues, dont l’antenne mobilise treize salariés dans le 93. « On a observé une grande détresse morale, reprend-elle. On a mis en place une grosse cellule d’écoute composée de dix bénévoles et on s’est rendu compte que des entretiens qui auraient dû prendre 15 ou 30 minutes pouvaient dépasser une heure et quart. Les gens avaient besoin de parler. »

Une détresse qui a été la porte d’entrée pour les premières demandes d’aide alimentaire. En Seine-Saint-Denis, 64 % des personnes sont venues à l’association pour trouver des solutions pour se nourrir, bien au-dessus de la moyenne en France. « Au Secours catholique, nous avons opté pour les chèques-services qui permettent de faire ses courses de façon digne, précise la déléguée départementale. On préfère cette solution moins visible de l’extérieur pour les familles, plutôt que les colis, pas toujours adaptés. »

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Publié le 18 Octobre 2021

Alors que Le Pré-Saint-Gervais est la plus petite commune du département, la commune avec la plus grande superficie est Tremblay-en-France.

Aulnay-sous-Bois deuxième ville la plus grande de Seine-Saint-Denis en superficie

Une ville de 2 244 hectares

Les données confirment bien cette réponse. Tremblay-en-France est la commune la plus vaste de Seine-Saint-Denis avec ses 2 244 hectares, soit 22,44 km². Pourtant, ce n’est pas la ville la plus peuplée, 36 230 personnes y habitent.

De la plus vaste à la plus petite

Cette ville devance clairement toutes les autres communes. La seconde commune la plus vaste est Aulnay-sous-Bois, avec une superficie de 16,20 km² suivie de Noisy-le-Grand avec 12,95 km².

Saint-Denis arrive en quatrième position, ensuite toutes les communes du département font moins de 10 km² jusqu’à la plus petite, Le Pré-Saint-Gervais, qui fait 0,70 km².

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Source article : Actu.fr / Source photo d’illustration : Wikipédia

 

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Publié le 18 Octobre 2021

C’est un appel lancé à l’occasion du 60ème anniversaire de la date commémorative. Dimanche 17 octobre 2021, cinq maires de Seine-Saint-Denis ont signé l’appel des maires pour la reconnaissance du crime d’Etat perpétré le 17 octobre 1961. « Nous Maires sommes résolument convaincus qu’une reconnaissance officielle reste une nécessité historique et politique ! », signent-ils.       

Cinq maires de Seine-Saint-Denis demandent la reconnaissance en crime d’Etat du 17 octobre 1961

Cinq villes de Seine-Saint-Denis

Parmi les dix signataires franciliens, les municipalités de Bobigny, La Courneuve, L’Île-Saint-Denis, Montreuil, Nanterre et Stains. Le maire d’Allonnes, dans la Sarthe s’est également joint à l’appel.

« Il y a soixante ans, le 17 octobre 1961, au cœur de Paris et dans sa banlieue, la police française aux ordres de Maurice Papon, se rendait coupable d’une répression inouïe à l’égard des milliers d’Algériens, venus manifester pacifiquement contre le couvre-feu discriminatoire qui leur était imposé », écrivent-ils.

Des mesures de réparation

A l’initiative du maire de Stains, Azzédine Taïbi (PCF), ils enjoignent le président Emmanuel Macron « de reconnaître clairement sans ambiguïté le massacre colonial et le crime d’Etat s’étant déroulé dans Paris ». Selon les estimations, près 200 morts furent dénombrés par les historiens après des études menées dans les années 90. 

Les maires demandent l’intégration de la date du 17 octobre « dans le calendrier officiel des cérémonies commémoratives nationales« . Ils réclament également « des mesures de réparations, symboliques comme matérielles » en direction des victimes, des familles et leurs descendants.

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Publié le 29 Septembre 2021

Les victimes pensaient avoir affaire à un policier et se voyaient dépouiller de leur argent liquide. Le tribunal correctionnel de Meaux a condamné un Iranien, âgé de 30 ans, à un an de prison ferme, avec incarcération immédiate, lundi, pour deux vols fausse qualité. Une peine assortie d’une interdiction du territoire français.

Un an de prison ferme pour avoir joué au faux policier à Aulnay-sous-Bois et en Ile-de-France

C’est la Sûreté départementale de Seine-et-Marne qui a procédé à son interpellation au terme d’une enquête minutieuse. Le jour des faits, le 29 juillet, trois hommes à bord d’une Clio avaient abordé un Moldave, sur le parking d’un hôtel de Collégien. A la vue d’un objet argenté présenté comme appartenant à la police, l’homme s’était laissé contrôler. Lorsque le trio était reparti, le malheureux s’était retrouvé délesté de 9 900 euros en liquide. Le même jour, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), c’est un Pakistanais qui s’était vu alléger de 400 euros.

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Source article : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Wikipédia

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Publié le 28 Septembre 2021

Ils sont 36, président du conseil départemental, maires, députés ou sénateurs, de gauche comme de droite. Quatre jours après l’évacuation controversée des toxicomanes des jardins d’Éole vers la place Auguste-Baron, à la lisière de Pantin et d’Aubervilliers, des élus de Seine-Saint-Denis de tous bords ont mis leurs divergences politiques de côté pour adresser, ensemble, une lettre ouverte adressée à Jean Castex. « Il est inacceptable qu’une telle décision [ait été] prise dans la précipitation et sans concertation, plaçant les élus et les habitants devant un insupportable fait accompli », s’insurgent les signataires.

Ces derniers condamnent d’une même voix « le choix qui a été fait par le ministre de l’Intérieur et le préfet de police de Paris de déplacer le problème vers la Seine-Saint-Denis ― comme c’est malheureusement trop souvent le cas ―, au plus grand mépris de ses habitants qui ont tout autant droit à la sérénité que les autres. »

Crack entre Paris et Pantin : 36 élus du 93 dont le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza demandent des comptes à Jean Castex !

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Source article et photo : journal Le Parisien

 

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Publié le 26 Septembre 2021

En ce dimanche de marché, la rue Magenta, à la frontière de Paris et Pantin, est quasiment impraticable : les camionnettes des commerçants occupent les trottoirs, les piétons et les cyclistes s’approprient la chaussée. La foule est dense, nombreuse. « On est la ligne d’habitants qui n’existent pas selon Darmanin », s’emporte Marion, une habitante de la rue, bordée par des immeubles d’habitation.

Vendredi, la préfecture de police a muré le passage Forceval, situé à deux pas du marché, qui permettait de relier le quartier des Quatre-Chemins, entre Pantin et Aubervilliers, et le XIXe arrondissement de Paris. Une mesure prise dans la foulée de l’évacuation de consommateurs de crack vers la Porte de Villette, « dans un secteur sans riverain aux abords immédiats », indiquait alors la préfecture.

Consommation de crack à Paris : après le mur de Berlin, le mur de Pantin !

Une « vaste blague », « une honte » pour les habitants qui ont organisé un rassemblement ce dimanche matin, auquel s’est invitée la présidente de la région (Libres !) et candidate à la présidentielle Valérie Pécresse et une nuée de journalistes. Devant les caméras, elle estime que « ce mur ne réglera pas le problème » : « La solution serait d’ouvrir une structure de désintoxication au lieu d’ouvrir des salles de shoot qui troublent l’ordre public partout dans Paris et qui créent des encouragements à consommer. »

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et photo : journal Le Parisien

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Publié le 23 Septembre 2021

Les prises de parole avaient beau s’être achevées depuis plus d’une demi-heure, des dizaines de personnes restaient là, sur le parvis de la mairie d’Aubervilliers, à échanger par petits groupes sur ce fléau que sont les violences faites aux femmes. Elles étaient environ 200 à s’y être réunies, ce mercredi à 18 heures, pour rendre hommage à Hamana, une femme de 38 ans égorgée par son conjoint.

C’est à quelques mètres seulement de l’hôtel de ville que le drame s’est noué, au troisième étage d’un immeuble dont l’entrée donne sur la place que se partagent l’église Notre-Dame-des-Vertus et le bâtiment municipal. Le matin du 11 septembre, sur les coups de 7 heures, Amar, 53 ans, a appelé la police pour annoncer qu’il venait de tuer sa femme. Dans l’appartement, les enquêteurs ont trouvé le corps inanimé d’Hamana. Avant l’arrivée des policiers, le meurtrier présumé avait enfermé dans une chambre leurs quatre enfants, âgés de 6 à 14 ans.

Hommage à Hamana, mère de famille de 38 ans égorgée par son conjoint à Aubervilliers

Le 81e féminicide en France depuis le début de l’année

L’assistance s’est rassemblée ce mercredi à l’appel de l’observatoire des violences envers les femmes du conseil départemental de Seine-Saint-Denis, de la municipalité d’Aubervilliers et d’associations, dont SOS Femmes 93. C’était « le temps de l’hommage, du collectif, de l’émotion », a souligné Karine Franclet (UDI), la maire de la commune.

Hamana est la 81e femme décédée sous les coups de son compagnon ou de son ex-conjoint depuis le 1er janvier 2021.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source information : journal Le Parisien 

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Publié le 21 Septembre 2021

Les faits se sont déroulés aux Lilas, en Seine-Saint-Denis, à quelques encâblures de Paris. Un adolescent âgé de 16 ans est mort, tué d’un coup de couteau à la poitrine aux Lilas, a annoncé le parquet de Bobigny ce mardi matin.

Un adolescent de 17 ans, suspecté d’être l’auteur, a été interpellé vers 20H lundi, peu de temps après les faits, alors qu’il se trouvait sur un Vélib. Il a été placé en garde à vue.

Mort d’un adolescent de 16 ans poignardé par un autre adolescent de 17 ans aux Lilas

Les faits ont eu lieu dans un quartier pavillonnaire de la ville, en présence de quelques jeunes, selon une source policière, qui exclut pour l’heure un homicide lié aux phénomènes de bande. Les deux adolescents ne sont pas connus des services de police. L’enquête a été confiée à la police judiciaire du département.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici / Autre article d’Actu 93 à ce sujet à lire en cliquant :

Source photo d’illustration : Wikipédia

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Publié le 11 Juillet 2021

L’actualité n’est malheureusement pas toujours réjouissante. Ainsi, comme le révèle le journal Le Parisien dans ses colonnes, le corps d’un homme nu a été découvert ce mercredi matin flottant à la surface du canal de l’Ourcq. Vendredi, les causes de la mort étaient toujours inconnues.

Le corps d’un homme nu retrouvé flottant à la surface du canal de l’Ourcq

Mercredi matin, à Pantin, le corps d’un homme, nu et ensanglanté, selon les constatations des témoins et des images que le journal Le Parisien a pu consulter, a été découvert, flottant à la surface du canal de l’Ourcq, près de la place Johan-Barthold-Jongkind. Les policiers ont passé de longues heures sur place, au grand désarroi de certains riverains qui regrettait que le corps n’ait pas été mieux caché à la vue des immeubles alentour. La victime n’était toujours pas identifiée vendredi. Les causes de sa mort en sont pas connues pour l’instant.

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Source article : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Aulnaylibre.com

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Publié le 6 Juin 2021

Nouveau règlement de compte dans la banlieue nord de Paris. Un jeune homme de 21 ans a été blessé par balle durant la soirée de jeudi à Pantin (Seine-Saint-Denis).

Vers 20 h 45, des riverains préviennent la police après avoir surpris une rixe entre plusieurs personnes devant le numéro 1 de l’avenue Jean Lolive. Lorsque les forces de l’ordre arrivent devant cet îlot d’immeubles rouges, les pompiers sont déjà en train de porter assistance à un jeune homme de 21 ans, blessé par balle. Les secours notent qu’il souffre de deux plaies sanglantes. « Une première au torse et une seconde à l’extérieur de la cuisse gauche », précise une source proche de l’affaire. L’homme est gravement blessé mais conscient et peu coopératif. Il répond d’emblée aux enquêteurs qu’il ne souhaite pas s’expliquer sur les circonstances de cette agression et ne veut pas déposer plainte.

Fusillade à Pantin : un blessé par balle

Du sang et des impacts de pistolet à grenaille

La victime est conduite à l’hôpital Avicenne de Bobigny avec un pronostic vital engagé. Les forces de l’ordre relèvent sur les lieux des traces de sang mais n’y retrouvent pas de douilles. « Ils ont découvert des impacts qui pourraient ressembler à ceux laissés par un pistolet à grenaille », ajoute notre source. Le ou les suspects n’ont pas pu être identifiés. Le commissariat de Pantin est chargé d’éclaircir cette affaire.

Sans aucun lien entre les deux histoires, en avril dernier une fillette avait été blessée par balles en pleine rue à Pantin. Cette enfant de 10 ans avait été touchée d’une balle dans le dos. L’enfant avait été victime d’une balle perdue alors qu’un tireur tentait de tuer une figure du grand banditisme du XXe arrondissement de Paris.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et photo : journal Le Parisien 

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Publié le 4 Juin 2021

Une tentative de meurtre en pleine rue à Sevran. Un homme d’une quarantaine d’années a été placé en garde à vue mardi soir par le service départemental de police judiciaire de la Seine-Saint-Denis (SDPJ 93). Il est soupçonné d’avoir, la veille, tiré par arme à feu sur un homme, près de la station de tramway Freinville - Sevran. Transporté dans un état grave à Georges-Pompidou à Paris, le blessé a été pris en charge par l’hôpital avec son pronostic vital engagé. Mais son état s’est stabilisé, mardi, à sa sortie du bloc opératoire. Ses jours ne sont désormais plus en danger.

Un homme gravement blessé par balle dans la rue à Sevran

L’alerte avait été donnée lundi soir, par un passant. Peu avant 19h30, une altercation éclate entre deux hommes, boulevard d’Aulnay, face à la gare du tramway. L’un des deux protagonistes sort une arme de poing et tire une fois vers la tête de son rival, avant de prendre la fuite à pied. Arrivés sur place, la police et les services de secours découvrent la victime, gravement blessée mais consciente, au niveau de l’avenue Liégeard, avec un Taser sur elle. « L’homme a été touché à la nuque et le projectile est ressorti par la mâchoire », indique au Parisien le parquet de Bobigny.

Un différend couvait depuis des semaines

Le frère de la victime, qui s’est rendu sur les lieux, déclare aux policiers connaître l’auteur du coup de feu. Le suspect, un habitant de Sevran né en 1981, est interpellé à Saint-Denis le lendemain soir par le SDPJ 93 et placé en garde à vue pour tentative d’homicide volontaire. Selon les premiers éléments de l’enquête, un différend opposerait cet homme à sa victime depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois.

Ce jeudi en fin d’après-midi, la garde à vue du suspect était toujours en cours. L’enquête de la police judiciaire suit son cours. Les policiers doivent déterminer les circonstances exactes du drame, avec, notamment, l’exploitation des caméras du secteur.

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Source article : journal Le Parisien / Photo d'illustration : Wikipédia

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Publié le 3 Juin 2021

« L’homophobie existe partout », insiste Johan Cavirot, président de FLAG! (association des agents LGBT des ministères de l’Intérieur et de la Justice), avant de glisser : « Mais c’est plus facile de tenir la main à son copain au centre de Paris qu’à Saint-Denis. Lorsque j’y travaillais, je cachais mon orientation sexuelle dans certains quartiers même si c’est sûrement à cause de préjugés. »

Début mai, le conseil départemental de Seine-Saint-Denis a signé une convention dans laquelle il s’engage à mieux signaler les violences homophobes. En Ile-de-France, Paris et la Seine-Saint-Denis sont les seuls départements à signer cette charte qui vise à communiquer sur l’application nationale de signalement des actes LGBTophobes créée en 2020 par FLAG! , l’association qui regroupe les fonctionnaires des ministères de l’Intérieur et de la Justice.

« Elle a été beaucoup utilisée à Paris car la ville communique dessus depuis un an, explique le président de l’association. On a comptabilisé 244 signalements pour Paris et la petite couronne sur les dix mois de 2020. Le conseil départemental de Seine-Saint-Denis pourra voir l’évolution de la LGBTphobie en temps réel alors que les statistiques du ministère de l’Intérieur concernent l’année précédente. »

Géolocaliser les injures et agressions pour mieux lutter contre les LGBTphobies

Le principe ? Les citoyens et les acteurs publics peuvent y signaler anonymement des injures ou des agressions homophobes. Les actes géolocalisables permettront d’émettre « une photographie des LGBTphobies sur le territoire » selon le conseil départemental qui considère ces « données essentielles pour mieux lutter contre ces discriminations ».

« J’ai eu l’occasion de croiser les représentants de FLAG! lors d’un colloque contre les LGBTphobies. On n’a pas hésité lorsqu’ils nous ont proposé une collaboration plus étroite. Les victimes connaîtront grâce à l’application les bons interlocuteurs pour porter plainte », se félicite Stéphane Troussel, président du conseil départemental en soulignant que le « département est engagé depuis longtemps dans la lutte contre toutes les discriminations ».

 

« Dans l’imaginaire social, l’homosexualité est perçue comme blanche, mobile et dotée d’un fort capital économique»

En 2020, le département et l’institut Harris ont publié un baromètre des discriminations dans lequel 75 % des participants estimaient « que des personnes étaient discriminées en Seine-Saint-Denis en raison de leur orientation sexuelle ».

Plus homophobe que les autres départements d’Ile-de-France, la Seine-Saint-Denis ? En 2020, selon les chiffres de la préfecture de police, les infractions commises en raison de l’orientation ou de l’identité sexuelle des victimes ont baissé partout en petite couronne… sauf en Seine-Saint-Denis. Mais depuis le début 2021, c’est à Paris qu’elles explosent — 104 faits recensés contre 68 sur la même période l’année précédente.

L’homophobie n’est « pas plus présente dans le 93 qu’ailleurs » résume Axel Ravier, auteur d’un mémoire de sociologie sur « la visibilité des gays en cités ». « Depuis les années 1990, la presse dépeint ces territoires comme un enfer où sévit l’islam et donc l’homophobie », observe le chercheur, ajoutant que la réalité s’avère « plus nuancée ». La Seine-Saint-Denis suscite pourtant de vives réactions à ce sujet, y compris chez les associations LGBT +, certaines ayant renoncé à s’y implanter, de peur d’accréditer la thèse d’un territoire homophobe. Voire d’être taxée de racisme.

«Culte de la virilité» dans les cités

« Dans l’imaginaire social, l’homosexualité est perçue comme blanche, mobile et dotée d’un fort capital économique, estime Axel Ravier. Il existe aussi une injonction à la visibilité de la part de la société. En réalité, des personnes LGBT + vivent leur orientation en cités mais de façon plus discrète qu’ailleurs ». Une réserve qui s’explique par le « contrôle social » dans ces banlieues, sorte « de villages où tout le monde se connaît », note Salima Amari, sociologue et autrice de « Lesbiennes de l’immigration ». « On peut s’y sentir oppressé », lâche-t-elle.

Au cours de ses entretiens avec des homosexuels des cités, notamment en Seine-Saint-Denis, Axel Ravier a observé « qu’ils préfèrent dissimuler leur homosexualité afin de ne pas se couper des liens affectifs et économiques ». « Ils restent en banlieue, tout en ne s’affichant pas, mais n’en souffrent pas forcément », analyse-t-il, en admettant la prégnance « du culte de la virilité » dans ces territoires.

«T’es arabe donc tu n’as pas le droit d’être homo»

Cette discrétion se remarque sur les sites de rencontre. « De nombreux gays affichent une biographie succincte et une absence de photo de profil lorsqu’ils viennent du 93 », note le sociologue. Mais cette attitude de retrait résulte aussi du racisme. « Certaines personnes rejettent les gays racisés de banlieue. En gros, elles leur disent : T’es arabe donc tu n’as pas le droit d’être homo », ajoute-t-il.

La religion peut jouer aussi sur l’acceptation de l’identité sexuelle. « Certains cultivent une distance avec le culte familial. La société voudrait qu’ils rompent avec leur foi mais d’autres ajustent ce lien entre sexualité et religion », décrypte Axel Ravier.

Salima Amari a, elle, étudié les comportements des lesbiennes issues de l’immigration maghrébine, notamment en Seine-Saint-Denis. « Des mères peuvent faire pression sur leur fille pour garder leur réputation », éclaire la chercheuse. Des femmes lui ont ainsi confié avoir négocié des « accords tacites » avec leurs familles pour vivre leur homosexualité de façon cachée. Résultat, elles ont épousé un homme tout en continuant leur amour lesbien dans l’intimité.

Première marche des fiertés en 2019 à Saint-Denis

La gentrification de la petite couronne changera-t-elle la donne ? Elle s’accompagne en tout cas dans certains quartiers, d’une visibilité accrue des homosexuels dans l’espace public. La première marche des fiertés s’est ailleurs déroulée en 2019 à Saint-Denis.

De lieux de rencontres « gay » existent aussi dans les quartiers populaires de Seine-Saint-Denis. « Il y a de la drague homosexuelle. Des jeunes se voient dans des espaces publics inaccessibles aux curieux, comme les caves d’immeubles ou des coins dans des parcs », détaille Axel Ravier.

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Publié le 2 Juin 2021

Un appel au secours via facebook. « Help, help, help... Avis à toutes les sages-femmes de France et de Navarre ! Nous avons réduit peu à peu nos activités mais malgré cela nous somme dans une impasse, l’équipe a besoin d’aide », écrit le 8 mai cette sage-femme d’une maternité francilienne de type 3, plus de 5000 accouchements par an, qui n’arrive pas à recruter. Ce coup de chaud est loin d’être un cas isolé en Ile-de-France : 14 postes vacants sur 40 à l’hôpital Robert-Ballanger (Seine-Saint-Denis), 20 sur 67 au CHI de Créteil (Val-de-Marne), un tiers de l’équipe à renouveler au Centre hospitalier Sud Francilien (Essonne)... Et plus de 50 000 bébés à naître cet été en Ile-de-France.

Et si un jour il n’y avait plus de sages-femmes pour assurer les accouchements à l’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois ?

De fait, les offres d’emplois et CDI pullulent sur les plateformes de recrutement. « Cela fait des années que c’est difficile, mais cet été c’est dramatique », s’inquiète une cadre hospitalière du nord de l’Ile-de-France, angoissée par ce planning d’été qu’elle n’arrive pas à boucler. « On est constamment sur le fil, en sous effectif, développe Anouk, sage-femme parisienne passionnée de 47 ans, qui gagne 2 600 euros par mois. On s’est déjà beaucoup remplacées et on n’a plus d’énergie pour prendre davantage de gardes. Le Covid a aggravé la fatigue. Les maternités sont les seuls services à avoir continué leur activité à 100 % pendant la crise. » On ne déprogramme pas un accouchement...

Et si un jour il n’y avait plus de sages-femmes pour assurer les accouchements à l’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois ?

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Publié le 1 Juin 2021

Dramatique accident. Mardi 1er juin 2021, les services de police ont lancé un appel à témoins suite à un grave accident de la route survenu à Rosny-sous-Bois.

Délit de fuite

Les faits remontent au mercredi 26 mai 2021. Ce matin-là, entre 8h15 et 8h30, une jeune fille de 12 ans a été renversé par un deux roues, « du type scooter de livraison », rue du 4e Zouaves.

L’auteur de l’accident a pris la fuite en direction du centre-ville. « Si vous avez été témoin de la scène ou disposez de tout élément susceptible de servir à l’enquête, merci de contacter l’officier de police judiciaire au 01 48 12 28 85 », indique la municipalité qui relaie l’appel à témoin.

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Publié le 31 Mai 2021

La fête d’anniversaire a tourné au drame. Dimanche 23 mai 2021, des voisins appellent la police à Bondy (Seine-Saint-Denis) après avoir été témoin d’une violente agression dans un jardin privé. Un père de famille est suspecté d’avoir violemment frappé sa femme et sa fille. L’homme était jugé pour violences mercredi 26 mai 2021 au tribunal de Bobigny

Bondy : une fille de 17 ans perd connaissance après avoir été frappée par son père

Sa fille perd connaissance

Ce jour-là, la famille fête l’anniversaire de leur fils âgé de 13 ans. Le père de famille, boit de nombreux verres de whisky et de bière. Fortement alcoolisé, il insulte, crache sur sa femme et la frappe violemment. La fille du couple, âgée de 17 ans, reçoit un coup à la tête en tentant de s’interposer. A l’arrivée des secours, la jeune fille avait perdu connaissance.

« Du vendredi au dimanche, il boit beaucoup et on entend des cris, des bruits de meuble, de la vaisselle cassée et des coups qui s’apparentent à de la violence », explique un voisin aux forces de l’ordre. 

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Publié le 18 Avril 2021

[À NE PAS MANQUER] Ce mercredi 21 avril, ne manquez par l'émission "Top Chef - la guerre des restos" tournée dans 3 restaurants de la ville : La Cantina, Côté Sud et Renata.

6 candidats ont eu 48 heures pour imaginer le concept, la décoration et le menu de ces établissements. Cette année, une nouveauté s'est ajoutée : les candidats ont dû imaginer une version à emporter de leur menu.

Ne loupez pas cette émission le mercredi 21 avril à 21h05 sur M6 !

L’émission de M6 Top Chef tournée à Aulnay-sous-Bois diffusée ce mercredi 21 avril 2021

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Publié le 17 Avril 2021

Des violences ont éclaté à Epinay-sur-Seine dans la nuit de vendredi à samedi. Peu avant minuit, cité d’Orgemont, une vingtaine de personnes ont tiré des mortiers et lancé des cocktails molotov sur les forces de l’ordre, qui auraient vu leurs véhicules endommagés.

Aucun blessé n’est à déplorer, mais trois personnes ont été interpellées, indique le parquet de Bobigny. Il s’agit de deux mineurs et d’un majeur, âgés de 16, 17 et 19 ans. Ils ont été placés en garde à vue pour violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, rébellion et participation à un attroupement armé.

Source information et vidéo : journal Le Parisien

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Publié le 16 Avril 2021

Ancien ministre, député et maire, Eric Raoult est décédé ce vendredi à l’âge de 65 ans. L’information, tweetée par l’eurodéputé RN et ex-LR Thierry Mariani, nous a été confirmée par son épouse et l’actuel maire (SE) du Raincy, Jean-Michel Genestier. Maire du Raincy (Seine-Saint-Denis) entre 1995 et 2014, également député de Seine-Saint-Denis durant plus d’une vingtaine d’années, Eric Raoult avait exercé la charge de ministre sous le mandat de Jacques Chirac. Il avait hérité du portefeuille de l’Intégration et de la lutte contre l’exclusion du 18 mai au 7 novembre 1995, avant d’être nommé ministre délégué à la Ville et à l’Intégration de cette date au 2 juin 1997.

Eric Raoult, ancien ministre, député-maire du Raincy est mort

Sa défaite contre Jean-Michel Genestier en 2014, soutenu par certains de ses anciens adjoints, l’avait profondément blessé. Son épouse également. « Je suis sous le choc, nous confie-t-elle ce vendredi. C’est une immense tristesse, une immense douleur. Je perds l’homme de ma vie, un très grand humaniste, un homme de droit et de valeur. » En proie à des problèmes de santé, Eric Raoult s’était tout de même présenté aux dernières municipales, en vain.

« Son état s’est aggravé subitement ce matin. Il n’est pas mort du Covid, mais de ses soucis de santé. Son cœur a lâché, d’épuisement. Il est mort d’avoir été trahi, d’avoir été mis de côté par tous ceux qui l’avaient mis en selle, puis qui ne l’ont pas été. J’ai été la seule derrière lui. »

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et image : journal Le Parisien  

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Publié le 16 Avril 2021

Un incendie s’est déclaré à Aubervilliers dans un entrepôt de 4 000 m². Il servait à stocker en autres choses des antiquités et des tissus.

L’incendie se serait déclenché entre 5 heures et 6 heures. Aucun blessé n’est à déplorer. 200 pompiers ont été mobilisés pour enrayer la propagation du feu.

Cet événement spectaculaire a fortement perturbé le trafic sur la ligne du RER B. Le panache de fumée était d’ailleurs visible à des kilomètres à la ronde.

Quelle que soit l’origine de cet incendie on s’étonnera de la multiplication de cet type d’événements dans notre département.

Source vidéo : journal Le Parisien

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Publié le 16 Avril 2021

Une course-poursuite entre la police et un scooter, survenue pendant la nuit du jeudi 15 avril 2021, s’est terminée par un dramatique accident sur l’autoroute A1, à Saint-Denis au niveau du canal, à proximité du Stade de France. 

Un conducteur de scooter dans un état grave après avoir pris l’A1 à contresens à Saint-Denis

Le conducteur du scooter dans un « état grave »

Le scooter s’est engagé sur l’autoroute à contre-sens avant de percuter un véhicule. Le conducteur du deux-roues a été transporté à l’hôpital dans un état grave tandis que l’automobiliste a été légèrement blessé, ont confirmé les pompiers de Paris auprès d’Actu Seine-Saint-Denis. 

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Source article : https://actu.fr / Source photo d’illustration : Wikipédia

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Publié le 15 Avril 2021

Le journaliste défenseur de la cause animale Hugo Clément avait alerté les réseaux sociaux. Jeudi 15 avril 2021, trois chiens ont pu être sauvés de mains de leur bourreau à Villepinte. Sur la vidéo, un homme était vu jeter violemment au sol un des trois chiens et lui asséner de violents coups de ceinture. 

Trois chiens sauvés de la maltraitance de leur propriétaire à Villepinte

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Source article : https://actu.fr / Source photo d’illustration : Facebook

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Publié le 14 Avril 2021

Des paies en retard, des salaires versés qui ne correspondent pas aux horaires réellement effectués… Ce mardi matin, des agents de la mairie de Bondy se sont réunis en assemblée générale durant laquelle ils ont décidé de déposer un préavis de grève pour le lundi 26 avril.

Cyberattaque, paies en retard et ambiance tendue à la mairie de Bondy

« Il y a eu de gros problèmes dans le paiement de nos salaires ces derniers mois, depuis la cyberattaque dont a été victime la mairie. Mais rien n'a été fait pour essayer de régler rapidement ces bugs, ce n'était clairement pas la priorité du maire », persifle un agent qui préfère rester anonyme.

Une rançon de plus d'1 million d'euros exigée, mais non versée

Le 9 novembre dernier, la ville a été victime, quelques semaines avant la commune de Pantin, d'un « ransomware », un logiciel malveillant. « Le mardi 10 novembre, nous n'avions plus de réseau, ni d'accès à nos boîtes mail, rappelle Stephen Hervé, le maire (LR) de Bondy, qui a porté plainte dans cette affaire. Des pirates s'étaient introduits dans notre système d'information et dans les deux serveurs où étaient stockées la quasi-totalité de nos données. Ils les ont cryptées et ont exigé plus d'un million d'euros de rançon pour nous les restituer, mais bien sûr, nous n'avons pas payé. »

Les informations concernant les quelque 1 400 agents de cette commune de 54 000 habitants ont été perdues. « En novembre, décembre et janvier, ils ont donc touché le salaire qu'ils avaient eu en octobre », explique le maire.

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Source article et image : journal Le Parisien

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Publié le 14 Avril 2021

La moquerie a mal tourné. Jeudi 8 avril 2021, un homme de 43 ans crache sans raison apparente dans les cheveux d’une passagère du bus 249. Il était jugé mardi 13 avril 2021, au tribunal de Bobigny pour « violences aggravées ».

Attaque au couteau dans un bus à Pantin

Violente agression 

Les faits se sont déroulés alors que le bus circulait niveau de la gare RER de Pantin. Deux hommes interviennent alors face à l’individu qui sort un couteau pour les menacer. Un des deux passagers parvient à désarmer l’accusé, actionne le système d’ouverture d’urgence du bus et arrive à le faire sortir du véhicule. 

L’altercation se poursuit alors un peu plus loin entre les deux hommes. Le mis en cause sort un deuxième couteau et assène à la victime un coup à la tête causant une plaie profonde, un coup au bras et à la main avant d’être interpellé. La victime se verra prescrire dix jours d’interruption totale de travail (ITT). 

Zones d’ombres

Lors de l’audience en comparution immédiate, le mis en cause, un laveur de vitre en situation précaire, justifie le crachat sur la passagère en expliquant avoir entendu une conversation moqueuse à son encontre entre elle et son amie. Il explique ensuite avoir été agressé par la victime à la sortie du bus avec une barre de fer et s’être alors défendu avec le second couteau.

L’accusé, interpellé avec le crâne ouvert, se verra en effet prescrire cinq jours d’ITT mais l’utilisation d’une barre de fer ne sera pas établie. Ses blessures résultent, aux yeux du procureur, d’un acte de légitime défense de la part de la victime. L’homme, déjà poursuivi sept fois notamment pour violence avec arme, sera condamné par le tribunal de Bobigny à 18 mois de prison ferme.

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Publié le 13 Avril 2021

Un homme muni d’une arme à feu a tiré, mardi 13 avril 2021, en direction d’un véhicule à Pantin blessant une jeune fille de 10 ans, selon le parquet de Bobigny, saisi de l’enquête dans un premier temps. Les faits se sont déroulés aux alentours de 13h, rue Rouget de Lisle, à proximité de l’église de Pantin. D’après le maire de la ville, plusieurs coups de feu ont été tirés sur une voiture sortant d’un parking souterrain. 

Une fillette de 10 ans en urgence absolue après une fusillade à Pantin

Une fillette blessée conduite à l’hôpital 

La fillette, qui se trouvait dans l’habitacle avec son père a été conduite à l’hôpital, par ce dernier, en urgence absolue a-t-on appris de source policière. Toutefois selon le parquet le pronostic vital n’est pas engagé. L’auteur des faits a pris la fuite. Les pompiers se sont rendus sur place. 

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Publié le 13 Avril 2021

Energivores et massifs les data centers poussent comme des champignons en Ile-de-France et surtout en Seine-Saint-Denis sans réel débat public avec les habitants. Conservation de nos données numériques contre Environnement, qui va gagner ?

Les data centers poussent comme des champignons en Seine-Saint-Denis

Le 93, «cœur du réacteur»

La Seine-Saint-Denis est un peu malgré elle leader en la matière et premier département de l'hexagone en data centers. Une particularité qui s'explique par ses capacités électriques industrielles historiques mais aussi ses infrastructures de télécommunication et la présence sur son territoire de plus de la moitié des points d'échange Internet de la région parisienne.

Equinix a implanté sept de ses neuf data centers franciliens en Seine-Saint-Denis. « C'est le cœur de notre réacteur », résume Régis Castagné, directeur général d'Equinix France, qui emploie 300 personnes dans le pays. La dernière unité vient d'être mise en service fin février, dans le cadre d'une extension à Saint-Denis. Qui en a entendu parler ? Pas grand monde, hormis les experts du secteur. « On ne le savait pas », confirment en chœur et un peu étonnés des habitants du quartier.

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Source information et image : journal Le Parisien

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